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christophe 38

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Tout ce qui a été posté par christophe 38

  1. Exact ; quand on parle de neutraliser la menace, c'est la rendre sans risque... tirer dans les jambes va exposer l'intervenant à la lame du meurtrier... et donc, d'en remettre une (qui sera vue comme un acharnement pour tuer). si le commentateur est "malin", il dira qu'il fallait tirer dans le bras ou dans la main... alors que dans la vraie vie, bin, c'est pas facile (à rajouter au stress, au fait d'avoir une ligne de tir dégagée pour ne pas toucher un innocent..) pour ceux qui doutent : https://www.crsi-paris.fr/actualites/legitime-defense-couteau-vs-pistolet-la-regle-des-7-metres un assaillant avec un couteau est dangereux !
  2. j'en ai vu qui tuaient avec des pics de barbecue, d'autres avec des tisonniers, d'autres avec un stylo (dans l'oeil, ça marche bien ou dans la carotide)... donc, on interdit aussi tous ces objets ? j'en ai vu qui étaient des enfants qui tuaient... bienvenue dans la vraie vie ; le risque est autour de nous (et nous pouvons aussi etre un risque pour ceux qui nous entourent, puisqu'ils ne sont pas dans notre tete)
  3. quel ratio ? quelles "chances" de mourir autrement ? quelles sont les causes de mortalité en France ? https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/sites/default/files/2021-01/Principales causes de décès et de morbidite.pdf à quel rang arrive celui du fada étranger ? (je suis juste en train d'écrire qu'il ne faut pas faire du SARKOZY et sur reagir lors d'un evenement)
  4. NON ! Les tueurs d'enfants, les féminicides, les reglements de compte dans les cités sont des meurtres quotidiens ils n'ont rien à voir avec l'immigration récente. ne pas faire d'amalgame et avoir du discernement
  5. re, je me permets, je vais répondre, du mieux que je peux et de mon point de vue... la responsabilité envers son prochain ? question de generation... d'ailleurs, tu as certainement lu que beaucoup filmaient... j'aimerai qu'on me dise que le "17" à Annecy etait assailli d'appels... (histoire que je me prenne dans la face qu'il n'y a pas que des égoistes...) Concernés par Annecy plus que par Buenos Aires ? si tu veux... (en meme temps, j'habite à Mayotte et les gens qui prennent des coups de machette sur la tete, ça ne manque pas et ça n'empeche pas de dormir les métropolitains... ou nos coupures d'eau : nous en sommes à 3 par semaine, lundi, nous passons à 4 et au début des vacances scolaires, nous serons à 5, de 17h00 à 07h00, avec des jours entiers en aout... qui est ce qui est choqué en métropole ?? dégun ? (sauf nos proches et nos familles). Comparer le droit commun et la guerre ? bin, disons que si un enfant de 4 ans prend un missile dans sa chambre, il n'a rien demandé, lui... et sa mère non plus (parce que, là, tu t'autorises une exception à geometrie variable : le barbu qui égorge chez nous, il est en guerre, lui ? donc, on ne doit pas s'émouvoir ?? bof ! façon café du commerce, alors : nous ne sommes pas dans la boucle, nous n'avons, comme informations, que ce qui est rapporté par ............. des rapporteurs et ce qui est "disable" par les autorités ; donc, de fragments incomplets, tu voudrais faire une analyse ? que veux tu controler des refugiés qui vont te donner une identité verbale, qui fuient leur pays en guerre (ah oui, faut pas parler de la guerre et de ses traumatisés (bin, justement, ils sont traumatisés et n'ont pas le meme rapport avec la mort que nous). Moi, je vis au milieu des clandestins (il y en a plus que des légaux !) avec une centaine de fichés S dans le coin... Il faut etre realiste : il est impossible de les empecher de rentrer sauf à refaire le mur de berlin. (pour les légaux : le taré qui a égorgé le sacristain à Nice etait rentré clandestinement). c'est compliqué ; en gros, je ne suis pas certain (je suis meme sur) d'avoir toutes les informations et le cerveau capable de comprendre, d'analyser et de proposer.. le "truc" qui me rassure, c'est que nous accueillons (qu'on le veuille ou pas)entre 56 000 et 77 000 refugiés par an en France (et qui restent, donc, les années suivantes). Tous ne deviennent pas des assassins (et nous avons aussi nos meurtriers autochtones). Concernant la Suede, le durcissement des conditions pour résider, pour des étrangers, doit etre pour beaucoup, comme le Danemark (immigration choisie et des "contraintes" pour ceux qui veulent des papiers, sous peine de ne pas pouvoir rester Concernant Schengen, un peu pareil : cela ne nous a pas été presenté comme un menu avec des cases à cocher (et je ne suis pas certain qu'au moment du referendum, beaucoup de ceux qui vivent aujourd’hui avaient une idée de ce que deviendrait l'Europe. les services de l'Etat sont les exécutants des décisions, des choix pris, tant par le gouvernement que par l'Assemblée Nationale ; ça se saurait, si les executants avaient leur mot à dire (ou étaient écoutés)
  6. le propre du putaclic, c'est de faire pleurer dans les chaumieres ou de choquer. si cela s'etait passé dans une petite ville d'Amerique du Sud (ou des missiles qui tombent en Ukraine et qui tuent des civils innocents), ça n'aurait meme pas fait une ligne... personne ne se serait identifié aux proches des victimes. c'est la loi du mort-kilometre http://www.seduirelapresse.com/2012/06/13/cette-loi-qui-oblige-litteralement-les-journalistes-a-parler-de-vous/ donc, la semaine prochaine, les gros titres, ce sera peut etre un avion qui est tombé ou les employés d'un fabricant de farine qui ont chopé le cancer... ou tout autre titre aguicheur (dans la violence)
  7. depuis le Bataclan, la legislation a changé ; imagine toi, ton tango rafale dans la foule et part en courant... avec son arme, et il change de chargeur... tu ne peux pas le tuer ? imagine toi, il arrete de tirer et coure .............. s'abriter pour reprendre le feu... tu ne peux pas tirer ?
  8. que proposes tu pour empecher un fou de passer à l'acte ?
  9. non, tu n'es pas obligé de tirer dans les jambes (ce sont des coups et blessures volontaires, là) tu peux ! je vous laisse lire les points 3 et 5 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000025503132/LEGISCTA000034107968/2020-10-01/
  10. un autre détail : à l'heure de la réforme des retraites, ici, il y a tres, tres peu de manifestants (point qu'on n'en parle pas dans la presse ; je dirai, à vue de nez, dans les 10 à 15 manifestants, des métropolitains, les locaux ne se sentent pas concernés. pourquoi ? d'une part, leur regime de retraite les autorise à partir à 57 ans pour quelques années encore, et, comme le conseil general, avant 2004, n'a jamais cotisé, on arrive à trouver des retraites à moins de deux cent soixante euros par mois... les retraites à moins de mille balles sont legion... et, quand il y a des interviews, il faut tout écouter : tel ancien fonctionnaire est passé de 2 000 euros de salaire à 950 euros de retraite.... il a cotisé 26 ans avant de prendre une dispo pour faire un autre metier. Donc, dans l'absolu, 26 ans au lieu de 42 ans, il ne peut pas avoir une retraite complete (mais, ça, personne ne lui a expliqué, à ce monsieur)... et, cerise sur le gateau, les commerçants, les artisans, les taxis.... ne déclarent rien ! ne paient pas d'impots ! ne cotisent en rien ! donc, esperer avoir une retraite quand tu n'a jamais cotisé... faut oser. donc, à la grosse louche, 600 000 habitants, dont 120 000 gamins scolarisés, 50 000 qui ont entre 0 et 5 ans et qui ne sont pas scolarisés, 10 000 qui sont dans la brousse et qui ne vont plus à l'école (moins de 16 ans)... ça laisse dans les 400 000 adultes. en 2017 (désolé, c'est la seule stat des impots, qui est parue en janvier 2023), 63 000 foyers fiscaux... (et 17% de ceux ci qui paient l'impot (soit moins de 11 000 personnes), et, dans les 92 000 citoyens (voir la somme des inscrits à la présidentielle) à la grosse louche, 100 000 citoyens et 400 000 adultes (sans papiers) ainsi que 170 000 gamins... dont 11 000 qui paient l'impot (sur ... 600 000, si le nombre de présent est égal à cela et pas plus) l'extraordinaire est notre quotidien
  11. Pour ceux-ci, connaît-on la proposition de ceux refusés par les Comores ? les Comores sont réticentes à récuperer des opposants politiques ou des délinquants, voire leurs simples citoyens : ces iles n'ont rien pour les loger, aucun emploi à leur proposer, aucun moyen de subsistance, pas d'école... ... Voilà, les "Ni-ni" comme vous les nommez. Donc si un couple arrive à Mayotte (de comoriens par exemple) dont la femme est enceinte bientôt à terme et se débarrasse de ses papiers : l'enfant naît sur l'île. Que ce passe t-il pour ces gens ? Sont-ils considérés comme apatrides ou pas ? L'enfant devient-il de facto un "Ni-ni" ? Si ce n'est pas le cas, existe t-il vraiment des pays acceptant de recevoir régulièrement ces apatrides autrement que de façon marginale ? Est-ce une pratique courante et représentative ? C'est pire : ils n'ont pas de papiers parce que leur état civil est pratiquement inexistant : leur naissance a été notée par un cadi (le curé du coin) sur un bout de papier (pas de registre des naissances ou des baptisés)... Ils n'ont pas d'argent pour se payer des papiers, pas d'argent pour acheter un visa (et si c'etait le cas, ils arriveraient avec un visa (donc légalement, en bateau et non pas en barque) et oublieraient de repartir à l'issue ; mais, venus officiellement, ils pourraient, sous conditions, etre régularisés (contrairement à ceux qui arrivent sans papiers et en barque). L'enfant qui nait, avant 2018, sera possiblement français jusqu'à son age de 18 ans, où là, si aucune démarche n'a été entamée, il sera comorien. En attendant, la mère, qui est une ni-ni ne sera pas expusable avant 2036, au pire. Ces gens ne sont pas apatrides ; personne ne les a déchu de leur nationalité ; ce sont des enfants de comoriens, ils sont comoriens et n'ont pas acces à la double nationalité, ne remplissant pas les conditions. Pour qu'ils aillent ailleurs qu'aux Comores, il leur faudrait des papiers... que les Comores doivent leur faire. Les parents de ces enfants ne deviennent pas des habitants légaux, ce sont des squatters. S'ils étaient légaux, ils auraient des papiers et n'en ont pas et n'en auront pas.
  12. le sketch continue : https://lejournaldemayotte.yt/2023/06/08/comores-plainte-contre-la-maria-galanta-et-la-societe-comorienne-des-ports/
  13. re, la grande majorité des expulsés sont comoriens (80%) ; ils sont adultes. (les autres 20% sont, dans leur tres grande majorité, des Africains) ; ils viennent ici soit pour accoucher, soit pour travailler. et s'ils sont mineurs expulsés, c'est parce qu'ils sont rattachés à un adulte (avant, il y a quelques années, c’était le premier qui passe, maintenant, c'est vraiment quelqu'un de leur famille, oncle ou tante, frere majeur, ou géniteur). Sinon, on se les garde, parce que les Comores les refusent. Ils ne sont pas apatrides ! ils portent la nationalité de leurs parents, c'est ce qui permet de les renvoyer dans le pays de leurs parents (un apatride, tu le renvoies où tu veux, si le pays en face en veut) 80% des naissances concernent des femmes comoriennes ; il y avait 10 000 naissances par an, sauf ces deux dernières années où le chiffre est passé à 12 000. le droit du sol n'est pas applicable à Mayotte : il y a 2 cas de figures : - l'enfant né avant 2018 de parents clandestins ; un des adultes de la famille (père, mère, frère ou sœur), avec papiers (qu'il a pu obtenir après, puisqu'avant, il est sans papier), peut présenter le dossier de l'enfant à la préfecture avec des justificatifs d'une présence sur place pendant 5 ans ininterrompue. Ces cas sont exceptionnels ; les parents sont illettrés, ne connaissent rien aux papiers... mais, légalement, tant que l enfant n'a pas passé ses 18 ans, donc n'est pas de comorien, possiblement français, il n'est pas expulsable, ses parents non plus. C'est ce que nous appelons chez nous, des Ni-ni : ni expulsables ni régularisables (donc, tu vois bien que ce n'est pas parce que la mère a accouché ici qu'elle a des papiers) (donc, cette législation sera applicable jusqu'en 2036). - après 2018, nous rentrons dans l'amendement Thani https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/amendements_alt/1106/CION_LOIS/CL259 ARTICLE 9 QUATER Substituer à l’alinéa 2 les deux alinéas suivants : « Art. 2494. – À la demande de l’un des parents et sur présentation de justificatifs, la mention qu’au jour de la naissance de l’enfant, il réside en France de manière régulière, sous couvert d’un titre de séjour, et ininterrompue depuis plus de trois mois est portée sur l’acte de naissance de l’enfant selon les conditions et modalités prévues par le code de procédure civile. L’acte de reconnaissance prévu à l’article 62 du présent code peut énoncer cette mention dans les mêmes conditions. « Le refus de mention par l’officier de l’état civil est susceptible de recours devant le procureur de la République, selon des modalités prévues par décret en Conseil d’État. » EXPOSÉ SOMMAIRE Cet amendement vise à répondre aux remarques formulées par le Conseil d’Etat dans son avis sur la proposition de loi déposée par le sénateur Thani Mohamed SOILIHI sur l’adaptation du droit au sol à Mayotte. Le Conseil d’Etat a pointé la nécessité de clarifier la portée de l’article 2494 du code civil, en précisant notamment que la mention de la situation régulière des parents sur l’acte de naissance de l’enfant est apposée à la demande des parents, et sur présentation par eux des justificatifs pertinents. Il faut donc que la mère soit sur le territoire national avec papiers depuis au moins 3 mois pour que l'enfant soit français (la double nationalité). Il est prévu de reprendre cette nuance pour la future loi sur l'immigration, en portant le délai à 12 mois. Les clandestins peuvent espérer avoir des papiers... Ils n'en auront pas sauf si leur dossier est étudié par l'OFPRA et qu'il ressort positif. L'immense majorité est constituée de réfugiés économiques, ni politiques ni de brimés dans leur pays.
  14. abject ? mais, monsieur, c'est comme ça que ça se passe dans le monde ; les nationaux retournent dans leurs pays, quand les destinataires arrivent à avoir des conventions pour le retour.. va voir du coté Australie comment ils procedent...
  15. ah parce que tu crois que ça marche ? parce que tu penses que, sur place, on n'y a pas pensé ? on n'a pas testé ? et quand ton bateau traite une embarcation et qu'il en passe 5 ou 6 à coté de toi et que l'avion t'en signale encore autant à X kilometres de toi, tu fais quoi ? quand tu prends des pierres (les équipages intercepteurs) et que tu as des blessés, comment vois tu ta reaction ?? combien de temps peux tu tenir ? parce que, quand meme, tu dois bien t'imaginer que s'ils reussissent à partir c'est que du coté autorité, on laisse passer, soit par pot de vin, soit pour emmerder la France...
  16. pour la reunification, je n'y crois pas un instant, de la part de comoriens réfugiés sur Mayotte : ils ont fuit leurs iles à cause de la misere et de notre richesse... quel serait le résultat d'un rattachement au pays qui est 20 eme au rang des pays les plus pauvres de la planete ? ça irait mieux ???
  17. si je peux me permettre, pas d'accord : pour moi, il y a plusieurs catégories de clandestins : des opposants politiques, des persécutés (que ce soit à cause de leur foi, de leur origine, de leur sexualité...) et des refugiés économiques. autant pour les premiers, je leve le sourcil mais, je donne un accord de principe (sous reserve qu'ils ne continuent pas leur politique ou leur religion chez nous, pour nous attirer les embrouilles), autant nous ne pouvons pas accueillir les refugiés économiques... coté Mayotte, ici, on parle de 600 000 habitants pour 300 000 recensés, dont, en gros 180 000 mineurs. pour donner une autre image, la France 67 millions d'habitants dont..300 ou 400 000 sans papiers juste pour donner une image de la proportion : la métropole avec 50 millions de travailleurs au black, d'assistés, de gens qui viennent se faire soigner... (heu, ici, c'est soins gratuits, ils n'ont rien)... ça passe ? bref, y envoyer nos clandestins doublerait ce chiffre... et, si les clandestins mahorais peuvent venir, pourquoi pas les Guyanais ? j'en reviens à la paix civile ; combien de temps estimez vous avant que, soit les politiques, soit des citoyens expriment leur refus ? et, une fois sur le territoire, pensez vous qu'il sera facile de leur demander de partir et d'avoir du résultat ?
  18. Oui, mais, 200 000 qui viennent de Mayotte là, mais, quand le reste du monde aura trouvé la porte d'entrée, ce sera combien ??
  19. quand on regarde la richesse mondiale, on peut considerer que le tiers ou le quart de la population mondiale vit comme nous. Les autres aspirent à notre confort, notre niveau de vie, nos richesses. La question serait : si on partage ce que l'on a (partage ou donne), serons nous toujours aussi riches ? dit autrement : pouvons nous accueillir toute la misère du monde ? Où mettre le curseur avant que les miradors ne poussent sur les frontieres ?
  20. et, elle ne précise pas plusieurs détails : comment les clandestins vont rallier la métropole ? qui va leur payer les mille euros de billet aller ? avec quels papiers, puisqu'ils n'ont rien pour attester de leur identité ? est ce que nos collegues à Roissy vont les laisser débarquer ? ces gens, analphabètes et/ou ne parlant pas la langue, dans un pays qu'ils ne connaissent pas, où il fait froid, avec des mœurs alimentaires différentes (pour ne pas aller plus loin), comment vont ils se debrouiller dans le train, le métro (qu'ils ne connaissent pas) ? si, aujourd'hui, on considère que Mayotte est un cul de sac, bien rempli, mais, dont on ne part qu'avec des papiers en regle et de l'argent pour au moins payer le billet et assurer le viatique à l'arrivée, qui ne penserait pas que, en envoyant tous les clandos du monde en Europe et en France, ça ne ferait pas un appel d'air ? autre "gag" : certains locaux voudraient voir arriver Frontex, moi pas : je n'ai pas envie de voir des bateaux humanitaires à 3 kilometres des cotes comoriennes pour recueillir les migrants et les amener en toute sécurité en France à Mayotte (faire le boulot des kwassas, comme le font les humanitaires au large des cotes libyennes).. et, comme ici, le jour de la distribution de l'intelligence, beaucoup faisaient l'école buissonniere, beaucoup sont tentés par des solutions tres simplistes.
  21. ouais, bon, là, pour exister, elle demande à ce que la métropole, la France hexagonale, accueille les clandestins qui arrivent à Mayotte ; dilués dans la masse, ça se verra moins (associée dans cette idée avec un député corse, qui, lui, n'en veut pas sur son ile)
  22. je dirai que sur la carcasse, il y a des morceaux comme les os, la carcasse, qui se pesent mais ne se vendent pas. donc, en gros, c'est le moyen de vendre deux fois plus de viande que si l'animal était entier.
  23. je me repete, sans aucun doute : l'extraordinaire est notre quotidien https://lejournaldemayotte.yt/2023/06/02/justice-audiences-covid-le-plaider-coupable-a-de-plus-en-plus-dadeptes/ par ailleurs, vu que les habitants, qui pratiquent le commerce informel, ne déclarent rien aux impots et ne cotisent en rien, il ne faut pas etre étonné qu'ils n'aient rien comme retraite (jusqu'en 2004, Mayotte ne cotisait pas du tout à la retraite ; ceux qui sont partis dans les premieres années qui ont suivi perçoivent 250 balles. Mon proprio est parti l'an dernier de l'EDF local, en ayant travaillé 2 ans de plus pour 1100 euros par mois ; on ne va pas le pleurer : il a une dette de 26 000 euros d'impots impayés suite à des loyers ou des taxes foncieres... Ils savent à peu pres faire rentrer, mais, cracher au bassinet, non) et, du coté eau, nous vivons une époque formidable : RESSOURCE EN EAU : LE MANQUE D’INFORMATIONS COMMENCE À INQUIÉTER La consommation en hausse à 42 000 m3 jour mais toujours pas de solutions pour produire… La succession des réunions du comité de suivi de la ressource en eau en version élargie se poursuit mais n'apporte aucune réponse concrèteselon les participants qui commencent à s’inquiéter sérieusement. Hier, celle-ci se déroulait au Conseil départemental et une fois de plus les participants n'ont pas appris grand-chose à leur plus grand désespoir Un point de situation a été fait par les autorités qui a permis de rappeler que la saison des pluies est désormais terminée, elle a été la moins productive depuis 1997, la sécheresse continue de sévir. Il a aussi été annoncé que les prochains mois devraient être un peu plus pluvieux que la normale mais que ces pluies attendues ne permettront en aucune manière de compenser ou de rattraper le retard accumulé. Face au manque de réponses du Syndicat des eaux, la persistance des questions des élus a permis cependant d'éclairer 2 aspects : les travaux qui doivent permettre d'alimenter le sud de l'île via Mtsangamouji n’ont toujours pas démarré. Ils auraient dû commencer en avril, visiblement ce n'est toujours pas le cas, ces travaux doivent impérativement être terminés pour le mois d'août pour permettre l’alimentation du sud. Le syndicat des eaux n'a pas pu selon les participants apporter de réponses concrètes sur les modalités de réalisation et les délais. Pas beaucoup plus d’informations transmises aux participants à la réunion quant à la nouvelle campagne de forage et à la mise en service de celui de Miréréni, il n’y avait pas d’éléments en plus de ceux déjà annoncés lors de la réunion précédente. Par ailleurs, les rampes d'eau que les élus ont décrié considérant que cellesci était un appel aux affrontements et aux tensions entre communautés sont en cours d'installation… Ibrahim Aboubacar, le DGS du syndicat des eaux aurait précisé que les lieux d'implantation avaient été déterminés en lien avec les services des communes, la rentrée risque donc d'être sportive… La préfecture a re-confirmé que les travaux l'usine de dessalement de Petite-Terre étaient toujours en cours. La construction d'une unité de dessalement de grande permettant 2 produire 40 000 m3 d'eau par jour n’est toujours sur les rails. A terme elle doit fournir 40 000 m3. Les autorités annoncent que 10 000 m3 seront disponibles dès 2024, les participants à la réunion semblaient douter des délais. Plus inquiétant, la construction de la 3e retenue collinaire n'avance toujours pas, pire Matignon ne semble plus du tout être en phase avec sa construction, le conseiller outre-mer de la Première ministre Antoine Poussier aurait expliqué à certains élus mahorais que c'est ce n'était plus à l'ordre du jour avec la perspective de l'usine de dessalement. En effet on peut penser que 40 000 m3 d'eau dessalée plus les 2 retenues collinaires peuvent suffire pour quelque temps. De toute manière 30% des terrains nécessaires pour la 3e retenue collinaire ne sont toujours pas acquis… Les élus ont également demandé des précisions sur l'organisation qui allait se mettre en place à compter du mois de septembre : pas de réponse probante, la seule chose qui est sûre c'est qu’à compter du 12 juin une 4e coupure d'eau hebdomadaire va voir le jour, la 5e interviendra après la période scolaire en juillet et la 6e coupure d'eau sera probablement mis en place au mois d'août. À quoi servent donc ces réunions si celles-ci n’apportent pas de réponses concrètes sur comment les choses vont se passer ? Telle est la question que se pose bon nombre des participants de ce comité de suivi. En réalité, les décisions sont surement prises en dehors… Néanmoins, faute d’informations, la population ne peut toujours pas anticiper sur la rentrée de septembre puisque l'organisation reste inconnue. Anne-Constance Onghéna pour rappel, les coupures commencent à 17h00 jusque vers 07h30. C'est l'hiver et il fait 30-32 à l'ombre le jour et 26 la nuit
  24. ils n'ont pas compris que là où les russes s'installent, ils n'en partent plus ou alors le pays est ruiné...
  25. la suite ? ou une suite ? https://www.marianne.net/monde/europe/sur-le-lac-majeur-la-reunion-despions-israeliens-et-italiens-tourne-au-drame-3-morts?utm_source=nl_quotidienne&utm_medium=email&utm_campaign=20230531&xtor=EPR-1&_ope=eyJndWlkIjoiZjkzOTBjZDc4YWUxZWRjNTIxYTdlMmRjMjU0YTNlODEifQ%3D%3D Sur le lac Majeur, la réunion d'espions israéliens et italiens tourne au drame : 4 morts Barbouzerie tragique Par Ariel Dumont Publié le 31/05/2023 à 18:23 Le 28 mai au soir, quatre personnes se sont noyées dans le naufrage d’un bateau de plaisance sur le lac Majeur, dans le nord de l’Italie. Le mystère plane sur la présence à bord d’une vingtaine d’espions italiens et israéliens qui auraient échangé des documents top secret avant le drame. Récit d’une affaire de barbouzes conclu par la mort de quatre personnes par la noyade dont trois espions. En temps normal, ce naufrage aurait été décrit par la presse locale comme un simple fait divers, une catastrophe comme tant d’autres provoquée par un phénomène météorologique dit de « downburst », une tempête d’une rare violence très inhabituelle sur le lac Majeur, situé dans le nord de l'Italie. Sauf que ce dimanche 28 mai au soir, avant ce drame qui a entraîné la mort de quatre personnes, ce n'était pas de simples ressortissants lambda qui se trouvaient sur le pont mais une vingtaine de barbouzes italiens et israéliens – en plus d'une femme russe – qui faisaient la fête à bord du « house-boat », une embarcation de 16 mètres de long pouvant héberger une quinzaine de passagers, qui a coulé à pic. De quoi transformer cette affaire en une magnifique énigme digne d’un roman de John Le Carré. L’affaire qui trouble les services secrets italiens et israéliens, a commencé la semaine dernière dans le nord de l’Italie, lorsque huit agents secrets du renseignement italien rencontrent 13 espions israéliens pour échanger des documents. Une réunion préparée à l’avance, censée être top-secret et à laquelle trois des quatre victimes auraient participé selon la presse locale : Tiziana Barnobi, 53 ans, Claudio Alonzi, 63 ans et Erez Shimoni, un Israélien d’une cinquantaine d’années, officiellement retraité du Mossad, le renseignement israélien. Après avoir échangé leurs dossiers, les Israéliens montent dans des taxis pour se rendre à l’aéroport et rentrer à Tel Aviv. Mais la circulation est particulièrement dense ce vendredi 26 mai au soir et le groupe rate l’avion. Aussi, décident-ils de repartir le lundi soir et de passer le week-end dans la région pour fêter parait-il, l’anniversaire de l’un d’entre eux. Les Israéliens retrouvent leurs homologues italiens. Quelqu’un propose de demander à un ami en commun, un skipper du nom de Claudio Carminati, de les emmener se balader et dîner sur le lac dans son « house boat ». Problème : ils sont vingt-trois au total avec les deux membres de l’équipage. Mais après tout, Claudio Carminati est un excellent skipper, époux d'Anya Bozhkova, la quatrième victime de nationalité russe. Il serait très connu dans le milieu du renseignement transalpin. L’ambiance est à la fête et la mission s’est passée comme prévu. Avant de monter à bord, la joyeuse troupe d’espions déjeune dans un restaurant, Il Verbano, célèbre pour ses pâtes à la truffe d’été et ses bouteilles de Barbaresco. Crise d’angoisse Sur le lac, tout est calme lorsque les passagers montent à bord. Sauf que la météo décide de jouer les trouble-fêtes. Tout bascule en peu de temps. Un violent orage éclate, le vent commence à souffler très fort, les rafales atteignent les 100 kilomètres/heures. Des grêlons énormes tombent sur le lac et endommagent le bateau. « C’était effrayant comme si l’enfer s’était tout à coup déchaîné. Nous avons aperçu quelqu’un qui se cramponnait à un morceau de bois au milieu du lac puis d’autres personnes qui essayaient d’atteindre la rive » racontera plus tard un couple de promeneurs aux pompiers. Les récits des rescapés, ou du moins des quelques-uns qui ont été entendus par les magistrats du parquet chargés du dossier avant d’être évacués en catimini, sont terribles. Lorsque la tempête se déchaîne, Tiziana Barboni, l’un des 007 Italiens, a une crise d’angoisse. Elle se réfugie dans la cabine avec Anya Bozhkova qui essaye de la calmer. L’Italienne a peur et n’arrive plus à respirer. L’embarcation chavire. Le vent souffle de plus en plus fort. À bord, c’est la panique. Le bateau commence à couler à pic et Erez Shimoni tombe dans le lac. Quelques secondes plus tard, les deux femmes disparaissent à leur tour dans les eaux. Les autres passagers décident de tenter le tout pour le tout et se jettent à l’eau sans gilets de sauvetage. Ils s’accrochent à tout ce qu’ils trouvent – chaises, tables, morceaux de bois – et nagent de toutes leurs forces pour parcourir les 300 mètres qui les séparent de la rive. Des témoins les aperçoivent et appellent les pompiers. Quatre corps seront récupérés quelques heures plus tard, dont ceux de trois espions. Les douze Israéliens rescapés sont rapidement embarqués sur un avion militaire de l’armée israélienne à destination de Tel-Aviv. Les Italiens qui ont été hospitalisés aux Urgences, sont évacués par les services secrets transalpins. Toutes les traces des espions sont effacées dans les hôtels où ils ont passé quelques nuits, tout comme au restaurant Il Verbano. Les carabiniers installent des barrières sur la rive, là où une partie des rescapés sont arrivés à la nage. Et à Jérusalem comme à Rome, les autorités refusent de répondre aux questions des journalistes.
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