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loac

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Tout ce qui a été posté par loac

  1. je ne sais pa s comment ils les utilissent , mais remplir les coffre extérieure d eau c est pas mal et metre des sac a terre au sol c est bien aussi , cela absorbe un peux les londes de choque. Aprés les tappes ouvertes cela permet déjecter les gars c est pas mal aussi???
  2. perso le VAB c est 20 ans de ma carriére et les voir déchirer comme cel cela me dis que j ai eu beaucoup de chance
  3. Certe et je pensais la même chose Mais tirer 100 obus sans résultats et en tirer 10 avec des coups au but cela laisse a réfléchir quand même
  4. je suis impressionner par la différence de qualité des matériaux occidentaux (pzh 2000, ceasear,himars ...) et le matériel russe. Je ne m attendais pas a une telle différence
  5. Comme avec l artillerie il semble manquer lourdement de coordination avec les troupes au sol. Je me demande a quoi doit ressembler une équipe JTAC russe ....?
  6. Où encore rencontrer en traversant la caisse une boite de munition ou un obus. Les véhicules de combats en sont remplis et dans ce cas la il y a de grande chance qu' il explose Mais comme le fait remarquer akhilleuse , avec de la chance, le vhl peux sans sortir quasiment indemne
  7. Je ne sais pas trop ou en est cette fameuse livraison de Léopard 1 allemand , mais quitte a continué dans la voie du réarmement de l'Ukraine je pensais que nos AMX 10RC dont nous sommes entrain de nous séparer ne serais pas un mauvais choix ..... Le temps que les équipages soit formés le terrain sera sec et c'est un blindé qui allie vitesse et puissance de feu (capable de mettre hors de combat la plus part des MBT russe).
  8. Sur le même compte twitter on voit l'apparition d'un LG MILKOR et ,de ce qu'il me semble, être un RP7 made in USA . Je voulais bien sur parler d'un RPG7 et cela pourrais être un PSRL1.
  9. Dans pas longtemps il pourra donner son avis sur le 155 mm OTAN ...
  10. Moi j'y vois un signe de faiblesse de l'armée russe et surtout que cela va être terrible pour les assiégés ...
  11. Les chaînes "infos " françaises annoncent la rédition de plus d'un millier d'ukrainiens à Marioupol...
  12. Personnellement je suis surpris par la précision des frappes d'artillerie (des deux camps) depuis le début du conflit ... Concernant cette vidéo les hommes semblent attendrent dans la tranchée , mais mes yeux peuvent me tromper. Ils devraient rapidement ce faire des abris perpendiculaires a la lignes de tranchée pour s' y abriter.
  13. La puissance de l explosion viens de ce que rencontre la charge creuse ... Un jerricane ,des munitions donne une explosion Un mur des éclats de briques
  14. Aujourd4 hui 300 sorties , d après les chaine d info direct. Mais ils tirent tous depuis les zones contrôlé par les russes (Crimée,Bielorussiue,mer d'Azlov...) La détense AA Ukrainienne renseignée en temps réel par les alliés demeure extrêmement performante .
  15. A cette distance il doit probablement y avoir un problème d'entraxe (la différence entre l'axe du viseur et du canon) et il n' a pas du y penser tout de suite ??? (Au Famas pour toucher le point viser a moins de 10 mètres il faut viser 7 cm au dessus ....)
  16. prodigalité =dépense excessive ? J ai du aller voir sur internet ! Et bien de mon point de vu ,il y a la toute la différence entre l'instruction (ISTC en France) et le vrai combat. Je suis un fervent défenseur de l instruction de l'ISTC , mais dans la mesure ou nous admettons quelle ne réponds pas a toute les solutions. Au combat le volume du feu est très important dans certaines situations et parfois au dépends des bases de l'ISTC.
  17. Etonnant dans quels sens ? Les impacts sur le BMP arrive sur un blindage relativement faible mais avec une forte incidence . Ceux sur le T72 arrive sur le bas de la caisse (qui ne doit pas être beaucoup plus blindé) mais sur une surface plane et donc avec une efficacité maximum .
  18. Pour moi il n y a pas de mythe a y voir mais des enseignements : 1/ les défenseurs connaissent la zone et cela leur donne un premier avantage. 2/il doit s'agir d un groupe entrainé , avec des combattants qui débarquent pour protéger le blindé ,un tireur au canon qui maitrise et un pilote avec qui il communique bien. 3/vu le bilan c est pas un carnage mais un BTR qui arrête un (ou 2 T72) c est du bilan .
  19. C est ce qui manque cruellement au blindés russes qui pourrais les protéger a coup de rpg7
  20. Pour le T72 il connais clairement les points faibles du blindage.
  21. Engagement majeur, engagement de haute intensité. De quoi parle-t-on réellement ? Ces termes qui appartiennent au langage militaire, sans toutefois y recouvrer une définition précise, peuvent apparaître à nos concitoyens comme une notion floue. Il convient donc en introduction de ce dossier de préciser ce que pourrait être un tel type d’engagement. L’appellation « haute intensité » est vraisemblablement l’enfant de la pratique consistant à contourner les réalités incommodantes ou effrayantes par des ellipses ou des périphrases. Or, de quoi s’agit-il ? Évoque-t-on un sévère accrochage, pendant quelques heures, d’une unité engagée en opérations extérieure ? Ou bien envisage-t-on plutôt une large bataille de chars et d’artillerie, semblable à celles que la seconde guerre mondiale a inscrites dans notre imaginaire ? En réalité, il s’agit bien ici de la guerre. Ce mot que nous avons écarté de notre langage depuis le conflit algérien, il y a soixante ans, à l’exception d’une courte réapparition, au début des années 90, à l’occasion de la première guerre du Golfe. Le propos de ce dossier est donc d’envisager la perspective d’un conflit armé conséquent, que l’on considérera, pour notre réflexion, conduit hors du territoire national. Certes, notre expérience des opérations extérieures doit servir de base à notre réflexion, mais il convient d’aller au-delà pour un conflit qui pourrait présenter quatre caractéristiques dont les conséquences majeures seront abordées dans les différents chapitres de ce dossier : son ampleur par la quantité de forces déployées ; sa violence, impliquant des pertes à un niveau inconnu pour notre pays, du fait d’un adversaire lourdement équipé, fortement motivé et pouvant agir selon des références culturelles ne correspondant pas à notre éthique ni au droit de la guerre ; son caractère multinational, avec les atouts mais aussi les contraintes et les fragilités qu’entraîne cette configuration ; ses effets très importants sur le territoire national, tant en termes de sécurité, que par la mise en place d’une forme « d’économie de guerre » partielle, touchant les secteurs nécessaires au soutien de l’engagement (armement, transport, santé, information…). Lourdes pertes, « coup de collier » budgétaire et industriel, menaces sur le territoire national, nous sortons là de toute situation connue depuis le milieu du siècle dernier. Pour s’y préparer, autant qu’il en soit possible, il convient de bien en circonscrire le cadre de l’action, dans toutes ses dimensions. C’est l’objet des pages qui suivent. Bonne lecture. GCA (2S) Éric MARGAIL
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