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Métal_Hurlant

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Tout ce qui a été posté par Métal_Hurlant

  1. Interview de Zelensky diffusée hier sur LCI. Le président ukrainien semble en forme et plus combatif que jamais : https://www.tf1info.fr/international/video-exclusif-interview-volodymyr-zelensky-sur-lci-revoyez-l-entretien-integral-du-president-ukrainien-2242194.html
  2. https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/guerre-en-ukraine-kiev-craint-une-offensive-de-grande-envergure-de-la-russie-début-2023/ar-AA15khCX?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=aaa1520701904130abd33825c2fd59ba Guerre en Ukraine : Kiev craint une offensive de grande envergure de la Russie début 2023 Le commandant en chef de l’armée ukrainienne, Valéry Zaloujny, a dit jeudi s’attendre à une nouvelle attaque russe sur Kiev dans les tout premiers mois de 2023, alors que les combats se concentrent depuis plusieurs mois dans l’Est et le Sud de l’Ukraine. Une thèse en partie partagée par le ministre ukrainien de la Défense, Oleksii Reznikov, par le chef des forces terrestres Oleksandr Syrskyi et Volodymyr Zelensky, selon «The Guardian». Une politique délibérée de communication pour «souligner la menace persistante que la Russie représente pour l’Ukraine » aux Occidentaux ? s’interroge le quotidien britannique. « Une tâche stratégique très importante pour nous est de créer des réserves et de se préparer à la guerre, qui peut avoir lieu en février, au mieux en mars, et dans le pire des cas fin janvier », a affirmé Valéry Zaloujny dans un entretien à l’hebdomadaire britannique «The Economist». « Je ne doute pas qu’ils tenteront une nouvelle fois de prendre Kiev », a-t-il appuyé. «Tenir la ligne de front» actuelle Le commandant en chef de l’armée ukrainienne a affirmé, dans cet entretien, « avoir fait tous les calculs: combien de chars, d’artillerie nous avons besoin et ainsi de suite » pour repousser cette éventuelle offensive. (...) Pour Valéry Zaloujny, un autre « problème » actuel pour son armée est de « tenir la ligne » de front actuelle, qui s’étend du Sud à l’Est, « et ne plus perdre de terrain », après avoir chassé les Russes en septembre de la région de Kharkiv (nord-est) et de Kherson début novembre (sud). «Rassembler leurs ressources» humaines et militaires Selon le chef de l’armée ukrainienne, les Russes bombardent par ailleurs les infrastructures énergétiques du pays depuis octobre après une série de revers humiliants car « ils ont besoin de temps » pour « rassembler leurs ressources » humaines et militaires dans l’optique d’une nouvelle offensive d’ampleur dans les prochains mois. Le réseau énergétique national est « sur un fil », a-t-il aussi relevé à « The Economist», jugeant « possible » qu’il soit mis entièrement hors d’usage par de nouvelles frappes russes de missiles et de drones. Ces frappes provoquent quotidiennement des coupures d’électricité importantes dans tout le pays, laissant plusieurs millions d’Ukrainiens dans le froid et dans l’obscurité, en pleine période hivernale. «J’ai l’impression qu’on est au bord du gouffre (…). Sans eau, lumière et chaleur, pouvons-nous préparer nos réserves pour de nouveaux combats ?» s’inquiète Valéry Zaloujny. Alors que la Russie a mobilisé quelque 300 000 soldats réservistes à l’automne, le ministre ukrainien de la Défense, Oleksii Reznikov estime dans « The Guardian » que si la moitié d’entre eux, sommairement formés, ont renforcé rapidement les rangs sur le champ de bataille, les 150 000 autres bénéficient d’une formation bien plus approfondie pour des offensives futures dans « différents camps ». Comme il faut environ trois mois d’entraînement, « cela signifie qu’ils essaient de lancer la prochaine vague de l’offensive probablement en février, comme l’année dernière», poursuit le ministre qui ne mentionne pas toutefois que Kiev serait la cible. «Nous estimons que la Russie dispose d’une réserve de 1,2 à 1,5 million de personnes», avait ajouté le commandant en chef de l’armée ukrainienne, en distillant la crainte d’innombrables batailles.
  3. "...SCOOP : Des responsables américains ont élaboré des plans pour envoyer des kits JDAM à l'Ukraine, des équipements qui convertissent des munitions non guidées en "bombes intelligentes" capables de cibler des positions militaires russes avec un haut degré de précision, ont déclaré des responsables américains familiers avec le sujet..."
  4. "...L'Ukraine obtient 7 des 9 meilleurs systèmes de défense aérienne de l'OTAN..."
  5. https://www.lemonde.fr/international/live/2022/12/14/guerre-en-ukraine-en-direct-des-explosions-entendues-dans-le-centre-ville-de-kiev_6154314_3210.html La Russie continue d’être alimentée en composants électroniques occidentaux en dépit des sanctions et restrictions à l’exportation Une enquête menée par Reuters en collaboration avec le Royal United Services Institute (RUSI), un groupe de réflexion britannique sur la défense établi à Londres, détaille pour la première fois la chaîne d’approvisionnement mondiale qui continue d’alimenter la Russie en composants informatiques et autres appareils électroniques occidentaux. L’enquête a identifié une galaxie d’importateurs et d’exportateurs obscurs, comme Azu International, et a révélé que des expéditions de semi-conducteurs et d’autres technologies continuent d’arriver en Russie depuis Hongkong, la Turquie, mais aussi l’Estonie, membre de l’Union européenne. La Russie a acheté au moins 2,6 milliards de dollars (2,43 milliards d’euros) de composants informatiques et électroniques au cours des mois qui ont suivi les sanctions technologiques occidentales prises à l’encontre de son invasion de l’Ukraine, a rapporté Reuters mardi, citant des documents douaniers russes que l’agence de presse britannique a achetés auprès de trois fournisseurs commerciaux. Les semi-conducteurs et d’autres technologies sont arrivés en Russie entre avril et le 31 octobre via Hongkong et la Turquie – qui n’ont pas adhéré aux restrictions à l’exportation des Etats-Unis et de l’Union européenne – ainsi que l’Estonie. Certains des fournisseurs – y compris des entreprises à Hongkong et en Turquie – ont des liens avec des ressortissants russes, selon un examen des documents déposés par les entreprises. Des entreprises américaines, comme Intel, AMD et Texas Instruments, représentaient au moins 777 millions de dollars des produits importés. Intel, AMD et Texas Instruments ont déclaré à Reuters qu’ils n’avaient pas expédié de produits en Russie, conformément aux sanctions et aux contrôles à l’exportation. Reuters a rapporté en août dans une enquête conjointe avec le RUSI que des puces produites en série par des entreprises occidentales, dans de nombreux cas non soumises à des restrictions à l’exportation, sont apparues à l’intérieur de missiles et de systèmes d’armes que l’armée russe a déployés en Ukraine. Le département américain du commerce estime que l’accès de la Russie aux semi-conducteurs a été réduit de près de 70 % depuis le début de l’invasion russe en Ukraine. Cependant, l’examen des dossiers douaniers « a révélé que depuis l’invasion la valeur déclarée des importations de semi-conducteurs par la Russie a, en fait, fortement augmenté », déclare Reuters. Selon le RUSI, la Russie s’est efforcée de trouver de nouvelles voies pour sécuriser l’accès aux micropuces occidentales. De nombreux composants sont vendus par le biais de distributeurs opérant en Asie, comme Hongkong, qui sert de passerelle pour les produits électroniques destinés à l’armée russe ou à des sociétés agissant en son nom. La Commission européenne a déclaré qu’elle « prend très au sérieux le contournement de l’UE, car il s’agit d’une pratique qui peut nuire à l’efficacité des sanctions de l’UE ». Le Kremlin et le ministère de l’industrie et du commerce russe n’ont pas répondu aux demandes de commentaires émanant de l’agence britannique.
  6. "...Pour ceux qui se demandent pourquoi l'Ukraine n'est pas à l'offensive..."
  7. Apparemment ça serait la photo du lancement d'un des Neptune qui ont coulé le Moskva :
  8. LbpUne vidéo de dingue !!! "...Ho ho ho! #MeryChristmas Jeter des cadeaux dans la cheminée des envahisseurs russes par les défenseurs ukrainiens..." N.B pas certain que ce ne soit pas l'inverse... (russes/ukr) @LBP Vidéo déjà mise ici. Collectionneur
  9. https://twitter.com/EuromaidanPress/status/1601938603332063233 "...Le mouvement de guérilla ATESH, qui opère en Crimée occupée, a revendiqué l'incendie d'une base militaire russe "La base de l'armée dans le village de Sovietske en Crimée ukrainienne est en feu. Nous avons travaillé sur ce 'projet' pendant longtemps..."
  10. La tranchée est creusée au bord du chemin pavé, donc les marées ne vont pas jusque là.
  11. Les russes craignent une opération amphibie en Crimée :
  12. Apparemment, à la demande des américains, le Maroc livre des pièces détachées pour les T-72 ukrainiens : https://lejournaldelafrique.com/larmement-de-lukraine-par-les-americains-passe-par-le-maroc/ Le Maroc, sur recommandation des États-Unis, va livrer des pièces détachées de chars T-72 à l’Ukraine. Le royaume prend de plus en plus position dans le conflit entre Kiev et Moscou. En avril dernier, les États-Unis cherchaient des chars T-72 pour les livrer aux forces ukrainiennes, dans la guerre qui oppose Kiev à Moscou. Ces chars sont devenus une denrée rare en Occident… Le New York Times indiquait, le 1er avril, que Washington négociait avec ses alliés de l’OTAN pour fournir des T-72 à l’Ukraine après la demande formulée par le président Volodymyr Zelinski, qui cherchait notamment à solidifier sa défense dans le Donbass. Quelques jours plus tard, on apprenait que la Pologne était en train de livrer 200 chars T-72 à Kiev. Outre les chars, Paris était également entré dans la danse pour livrer des canons Caesar et des missiles antichars Milan à l’Ukraine. Une opération indirecte, prélevée sur les commandes d’autres pays. Les Caesar, par exemple, ont été prélevés sur une commande passée par le Maroc avant d’être envoyés en Ukraine fin avril dernier. Une opération que Washington semble prendre comme modèle. Selon Africa Intelligence, la diplomatie américaine étend en effet ses opérations d’armement de l’Ukraine à l’Afrique. « Dans le plus grand secret, elle est parvenue à convaincre Rabat de livrer des pièces détachées de blindés T-72 à Kiev », précise ainsi le journal français. De la neutralité à la prise de position Les forces armées royales marocaines disposent plusieurs dizaines de chars de type T-72B/BK, acquis entre 1999 et 2001 auprès de la Biélorussie. En juillet 2015, l’entreprise publique ukrainienne Ukroboronservice avait demandé au Maroc des pièces de rechange pour ses chars T-72. Kiev est donc habitué à travailler avec Rabat sur ce sujet. Mais la demande américaine faite au Maroc place, de fait, le Maroc du côté de l’Ukraine. Lors du scrutin à l’Assemblée générale de l’ONU en mars dernier concernant la résolution « condamnant l’agression russe en Ukraine », le Maroc s’était abstenu de voter, préférant être absent que de prendre position. En mars et en avril, le royaume avait fait de même pour éviter de se positionner contre la Russie. Après un communiqué pour rappeler que le Maroc prônait le « respect de l’intégrité territoriale, de la souveraineté et de l’unité nationale de tous les États membres des Nations unies », le royaume avait pris part à une réunion, avec 40 alliés des États-Unis, tous membres de l’OTAN et plusieurs pays invités, en Allemagne pour parler de l’augmentation de l’aide militaire au gouvernement de Zelenski. Un alignement sur la position américaine, donc, dont le point d’orgue est cet accord sur la livraison de pièces détachées de chars T-72 à l’Ukraine.
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