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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. https://www.ojim.fr/covington-mensonges-et-manipulations/ (4 février 2019) résumé de l'affaire Covington
  2. https://www.ft.com/content/f0a23660-4918-11e6-b387-64ab0a67014c Japan’s ex-prime minister, Yukio Hatoyama, answers his critics (20 juillet 2016) Yukio Hatoyama a grandi dans un palais avec un jardin plein de roses, une façade pleine d'élégantes portes-fenêtres et un rez-de-chaussée plein de politiciens. C'était tout à fait naturel. Le grand-père du garçon était premier ministre, son père ministre des affaires étrangères et Yukio a grandi pour devenir, en 2009, un premier ministre japonais de renom. L'ex-premier ministre a construit sa propre maison il y a 35 ans, après être revenu des États-Unis avec un doctorat en génie industriel de Stanford et son épouse Miyuki, une ancienne choriste du théâtre Takarazuka, qui travaillait dans un restaurant à San Francisco quand ils se sont rencontrés. Le couple est très proche. La mère de Hatoyama, héritière de la fortune des pneus Bridgestone, a acheté le terrain pour la maison et a parrainé sa carrière politique. Il continue d'alimenter la controverse - il s'est rendu dans la péninsule de Crimée l'année dernière, où il a approuvé l'annexion de la Russie comme étant "démocratique". Le mécontentement de Hatoyama dans le bocal à poissons rouges officiel (la résidence du premier ministre) fait allusion aux problèmes qui assaillent son administration. Son parti démocrate n'avait aucune expérience du gouvernement et sa politique étrangère centrée sur l'Asie était étrangère à une bureaucratie nourrie et éduquée dans l'alliance Etats-Unis-Japon. Hatoyama a été contraint de rompre une promesse de relocalisation d'une base de la marine américaine à Okinawa et son mandat de premier ministre s'est rapidement défait. Rétrospectivement, Hatoyama se sent trahi par ses fonctionnaires et aurait aimé avoir parlé directement au président américain, Barack Obama. "Le message qu'ils envoyaient aux Américains était : "N'écoutez pas ce que Hatoyama dit." Son autre regret est l'absence de progrès avec la Russie sur le différend territorial de longue date concernant les îles Kouriles. C'est une affaire de famille pour Hatoyama, comme pour Abe ; leurs deux pères ont essayé, sans succès, de régler la question avec Moscou. Hatoyama exhorte son successeur à reprendre les négociations avec Vladimir Poutine. "C'est pourquoi je pense qu'il est temps de lever les sanctions [à l'encontre de la Russie] ", dit-il. Les sanctions découlent de l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014. Cependant, Hatoyama considère l'annexion comme légitime et, en 2015, il est devenu l'un des rares dirigeants mondiaux à visiter ce que la plupart considèrent encore comme une partie de l'Ukraine saisie en violation du droit international. "La Crimée est gouvernée par le peuple de Crimée ", dit-il, insistant sur le fait que ce peuple a exprimé son désir de faire partie de la Russie dans un référendum démocratique. "Ils disent que si vous voulez un autre référendum, nous en aurons un, et ça montrera encore plus de soutien pour faire partie de la Russie." La Crimée n'est pas le seul endroit où Hatoyama a bouleversé le gouvernement Abe. En 2013, il a présenté des excuses pour les crimes de guerre japonais commis dans la ville chinoise de Nankin, tandis que l'année dernière, il s'est agenouillé et s'est excusé devant un mémorial sud-coréen aux prisonniers politiques torturés et exécutés par l'armée impériale japonaise. "Qu'il s'agisse de 300 000 ou de dizaines de milliers de personnes, il ne fait aucun doute que beaucoup ont été tuées à Nankin, alors je pense qu'il est tout à fait naturel qu'un ancien Premier ministre - qui représente en quelque sorte la nation - aille s'excuser ", dit-il.
  3. https://mainichi.jp/english/articles/20190208/p2a/00m/0na/017000c (8 février 2019) Des liens plus étroits avec la Russie, qui produit beaucoup de gaz naturel, permettraient d'améliorer la sécurité énergétique du Japon. Si le Japon se rapproche de la Russie, [alors] l'Europe et les États-Unis, qui ont vu leurs liens avec Moscou se détériorer en raison de l'annexion de la Crimée par la Russie, remettraient en question la position diplomatique du Japon.
  4. Sondages : rouge=psoe ; bleu=pp ; orange=ciudadanos ; violet=podemos ; vert=vox. source : https://en.wikipedia.org/wiki/Opinion_polling_for_the_2019_Spanish_general_election
  5. http://www.lefigaro.fr/international/2019/02/20/01003-20190220ARTFIG00077-le-bras-de-fer-se-poursuit-entre-les-militaires-venezueliens-et-les-anti-maduro.php (20 février 2019) Les militaires ont réaffirmé mardi leur « loyauté sans faille » envers Nicolas Maduro. Ils rejettent obstinément les appels à désavouer le dirigeant socialiste lancés par Juan Guaido et le président américain Donald Trump. Le ministre de la Défense, Vladimir Padrino, entouré du haut-commandement militaire, a assuré que l'armée ne céderait pas au « chantage ».
  6. Les socialistes d'Allemagne de l'Ouest, donc les membres du SPD, ont rompu définitivement avec l'Allemagne de l'Est, avec l'URSS et avec le marxisme lors du congrès de Bad Godesberg en 1959 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Programme_de_Bad_Godesberg
  7. https://www.eurotopics.net/fr/215175/il-y-a-cinq-ans-maidan-se-soulevait (17-20 février 2019) Dans Ukraïnska Pravda, le journaliste Pavlo Kasarine écrit que Maïdan a cristallisé des visions diamétralement opposées de la société : « Deux conceptions du monde s'y affrontaient. Deux systèmes inconciliables. Ceux qui soutenaient la contestation et ceux qui rêvaient de sa dissolution avaient trop peu en commun. Ils avaient certes le même passeport, mais leurs points communs s'arrêtaient là, tout le reste était des différences. Ils faisaient une lecture différente du passé et rêvaient chacun d'un avenir bien différent. Pour les uns, l'Europe était une terre bénie, pour les autres un lieu de perdition. Pour les uns, la Russie était une prison des peuples, pour les autres une nouvelle URSS en mieux ». [La radio russe] Kommersant FM fait valoir que tout le monde en Russie s'est trompé quant au tour que prendraient les évènements en Ukraine : « Les libéraux russes, qui voyaient dans l'Ukraine un genre de 'belle Russie de l'avenir', étaient à côté de la plaque. Une tentative de justifier les décisions maladroites et souvent tout simplement sottes de l'exécutif ukrainien. De même que le vœu pieux de voir dans des habitants normaux de l'espace post-soviétique des citoyens soi-disant responsables et dans des politiques corrompus des hommes d'Etat d'une envergue nouvelle. Les conservateurs, de leur côté, se sont tout autant fourvoyés. Ils tablaient que l'Ukraine éclaterait en plusieurs parties, dont certaines seraient ravies de se rattacher à la Russie. Et que les républiques autoproclamées se transformeraient en un mystérieux 'monde russe', et non en un territoire entretenu financièrement par la Russie et dirigé par des individus de réputation discutable ».
  8. https://www.telos-eu.com/fr/alstom-siemens-politique-de-la-concurrence-ou-poli.html (5 février 2019) La non-fusion Alstom-Siemens : Parce que des politiques de gestion de marchés ont pris une valeur constitutionnelle, les variations des marchés et les poussées technologiques ne peuvent faire l’objet de politiques réactives. Comme de surcroît la Commission a un intérêt organisationnel à préserver ses pouvoirs par rapport aux États et qu’elle se pense au service de l’intérêt public communautaire, elle peut d’autant plus facilement persévérer dans la mise en œuvre de politiques inadaptées.
  9. https://www.telos-eu.com/fr/france-italie-une-confrontation-continue.html (13 février 2019) Un récent sondage de la société Demos a montré qu’actuellement seulement 24% des Italiens ont confiance en la France contre 41% il y a 5 ans. Par ailleurs, nos deux pays demeurent les deuxièmes partenaires commerciaux. Les relations économiques, technologiques, universitaires et culturelles se poursuivent et se renforcent. Des initiatives communes, à l’instar de l’action menée par les organisations patronales Confindustria et MEDEF en faveur de l’Europe, se multiplient. De même, les Universités Sciences Po et Luiss ont conçu les « Dialogues franco-italiens pour l’Europe ».
  10. https://www.telos-eu.com/fr/quand-sigmar-segare.html (12 février 2019) Sigmar Gabriel est l’ancien patron du SPD et l’ancien chef de la diplomatie allemande. Son propos n’est donc pas dépourvu d’intérêt. Surtout lorsque ce responsable considéré comme pro-européen et très proche de la France décide de lancer une charge sans précédent contre le traité franco-allemand d’Aix-la-Chapelle signé en janvier dernier par Emmanuel Macron et la chancelière Angela Merkel. La critique principale de Sigmar Gabriel est de dire que le nouveau traité franco-allemand éloignera l’Allemagne de l’Alliance atlantique. Il insiste d’ailleurs beaucoup pour rappeler qu’en 1963 le précédent traité avait été amendé par le Bundestag pour bien signifier l’attachement allemand à la garantie américaine, provoquant la fureur du général de Gaulle. Gabriel reproche donc à ce traité de rejouer celui de 1963 pour couper son pays des États-Unis. Sigmar Gabriel cherche à revenir sur la scène politique pour reprendre le leadership au sein du SPD et cela avec le soutien ouvert de Gérard Schroeder. Le fait intéressant est que pour tenter de réussir cette opération il croit pouvoir le faire en flattant le vieux pacifisme allemand qui préférera toujours le confort de la garantie américaine (pourtant de plus en plus fragile) à l’autonomie graduelle de l’Europe. C’est donc un très mauvais procès qu’il fait au traité franco-allemand. Et en l’instruisant à charge il ne rend service ni à l’Allemagne ni à l’Europe.
  11. http://www.iris-france.org/wp-content/uploads/2019/02/Asia-Focus-103.pdf (février 2019) La question tibétaine : « génocide culturel » ? [Durant la révolution culturelle] le Tibet perd la quasi-totalité de son patrimoine ; les textes sacrés bouddhiques sont brûlés, les drapeaux de prières sont retirés, plus de 6000 monastères sont détruits par les « gardes rouges », unités spéciales destinées à éradiquer tout ce qui n’est pas « moderne » pour le régime. Le Jokhang, temple le plus sacré des Tibétains, est détruit, et évidemment il était proscrit de s’adonner à toute pratique religieuse. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les gardes rouges n’étaient pas spécifiquement des Hans mais majoritairement des jeunes Tibétains qui avaient étudié à l’université de Pékin, ou dans des universités chinoises implantées au Tibet. Une foi aveugle en Mao leur était enseignée. Après la mort de Mao, ce patrimoine fut en partie reconstruit et remis en valeur. Un exemple parmi d’autres : le campement monastique de Larung Gar, haut lieu du bouddhisme perché à 4200 mètres d’altitude dans la vallée de Sertar. Ce dernier fut fondé en 1980 et attire chaque année des milliers de [moines] et nonnes bouddhistes. Depuis mi-2016, Pékin a entrepris des travaux destinant selon elle à régler le problème de surpopulation dans le campement et de rénover les bâtiments. Ainsi, les populations sont déplacées, et les typiques maisons pourpres passent sous les bulldozers. Le but est de réduire la population du campement à 5000 personnes, sachant qu’en 2016, la communauté était comprise entre 10 000 et 20 000 bouddhistes. Début 2016, Tashi Wangchuk, homme d’affaires tibétain, se fait arrêter par les autorités chinoises pour cause d’« incitation au séparatisme ». Deux mois plus tôt, Tashi défendait la langue tibétaine via une vidéo et un article du New York Times. Pour cela, il a écopé de 5 ans de prison. La langue tibétaine n’est aujourd’hui connue en Chine que par un Tibétain sur six (soit un million de locuteurs), elle est donc minoritaire au sein même du Tibet. La disparition de cette langue serait une tragédie pour la littérature bouddhique, étant donné que la plupart des textes sont rédigés en tibétain. Bientôt, les nouvelles générations de Tibétains n’auront plus aucune connaissance de leur propre langue. Enfin, les Tibétains ont un argument imparable pour se démarquer de la population han : la biologie. Le Tibet est inscrit dans leur ADN même. En effet, la plupart des Tibétains (9 sur 10) présentent une variation du gène EGLN1 sur leur chromosome 1, celle-ci permet à une personne de vivre à plus de 4000 m d’altitude sans souffrir du mal des montagnes.
  12. https://fr.express.live/laustralie-va-planter-un-milliard-darbres/ (20 février 2019) L’Australie envisage de planter un milliard d’arbres d’ici 2050.
  13. http://www.iris-france.org/130783-elections-generales-anticipees-en-espagne-entre-compromis-et-crispation-democratiques/ (18 février 2019) Le 28 avril 2019, un scénario possible, sinon probable, est celui d’un résultat électoral, ouvrant la voie à une majorité à l’andalouse, associant les trois droites – PP, Ciudadanos et Vox. Enterrant toute perspective de budget social et réactivant les provocations à l’égard de la Catalogne, qui ont été de 2012 à 2018 à l’origine de la détérioration structurelle de la question catalane. Le président du gouvernement basque, Mikel Aizpuru (PNV) a regretté l’absence de « réalisme politique » des indépendantistes catalans. « On doit, a-t-il déclaré, (en démocratie), assumer la réalité (...) pour commencer à offrir des réponses constructives. Regrettant l’oubli, hors du Pays basque, de l’esprit de la transition démocratique. Au Pays basque, a-t-il déclaré, « Gouvernement comme opposition ont un comportement responsable, les portes du dialogue et donc du débat, restent ouvertes facilitant l’adoption de mesures constructives ».
  14. Piégé par le calendrier, parce qu'il y avait une décision de la cour suprême américaine sur le sujet ce jour-là, Obama avait dû aborder la question en conférence de presse au Sénégal en 2013 : https://www.jeuneafrique.com/169948/politique/homosexualit-dakar-obama-tente-le-panier-mais-se-fait-contrer/ (28 juin 2013) « Je ne crois pas à la discrimination, quelle qu’elle soit, c’est mon point de vue personnel, a répliqué Barack Obama. Je viens d’un pays où les gens n’ont pas été traités de manière égale, et il a fallu le combat pour les droits civiques pour atteindre l’égalité.» La politique américaine dans ce domaine date donc de bien avant Trump : [Dans une lettre ouverte, l’ancien ministre sénégalais Amadou Tidiane Wone] se basait pour cela sur un article publié en décembre 2012 par Samantha Power, alors conseillère spéciale du président Obama, dans lequel celle-ci affirmait la place centrale, dans l’agenda américain en matière de droits humains, des droits des LGBT à travers le monde. Elle y indiquait en outre que l’un des critères d’appréciation en vue de l’éligibilité d’un pays au programme du Millenium challenge corporation reposerait sur la réforme de sa législation lorsque celle-ci réprime l’homosexualité. Je serais curieux de savoir si ce même essayiste condamnait cette même politique lorsqu'elle était signée Obama. En tout cas il risque d'être assez tortueux d'expliquer que l'intervention de la ministre française Rama Yade en faveur d'homosexuels sénégalais emprisonnés en 2009 était du "racisme" : https://www.courrierinternational.com/article/2009/04/30/l-homosexualite-fait-debat-a-dakar
  15. https://www.franceculture.fr/emissions/concordance-des-temps/taiwan-toujours-fragile (16 février 2019) Émission avec Victor Louzon sur l'histoire de Taiwan.
  16. https://www.independent.co.uk/news/world/europe/jeremy-hunt-saudi-arabia-arms-sales-germany-yemen-war-crimes-nato-a8787866.html (20 février 2019) Le ministre anglais Jeremy Hunt demande à l'Allemagne de lever l'embargo sur les ventes d'armes à l'Arabie Saoudite à cause "de l'impact sur l'industrie de défense britannique et européenne".
  17. Tout à fait. Il y a une grande honnêteté chez cet homme : https://en.wikipedia.org/wiki/Walter_B._Jones_Jr.#Foreign_wars Jones a d'abord été un fervent partisan du conflit en Irak, mais il est ensuite devenu l'un des principaux républicains opposés à la poursuite de l'engagement en Irak. Jones est devenu bien connu pour avoir dirigé les efforts, avec le représentant du GOP Bob Ney, pour que les frites (French fries) soient renommées "frites libres" sur les menus des cafétérias de la Maison en signe de protestation contre l'opposition française à l'invasion française en 2003. Jones a modifié considérablement sa position sur la guerre. En 2005, il a déclaré qu'il en était venu à penser qu'il n'y avait guère eu de raisons d'aller en guerre, malgré son soutien antérieur, qui reposait sur des renseignements sélectifs fournis au Congrès. En juillet 2006, les noms [des frites] ont été discrètement rechangés. Le 17 mars 2005, il a parrainé un projet de loi approuvant la conduite de son électeur de Camp Lejeune, le controversé lieutenant Ilario Pantano du Marine Corps, qui a fait face à des accusations (abandonnées par la suite) pour avoir tiré sur deux Irakiens (des civils présumés non armés) le 15 avril 2004. Jones a demandé au président George W. Bush de s'excuser d'avoir mal informé le Congrès pour obtenir l'autorisation de faire la guerre. Jones a dit : "Si j'avais su alors ce que je sais aujourd'hui, je n'aurais pas voté pour cette résolution". Jones affirme que les États-Unis sont entrés en guerre " sans justification ". À ce sujet, il a dit : " J'ai juste l'impression que la raison donnée d'y aller pour y chercher des armes de destruction massive, la capacité des Irakiens à fabriquer une arme nucléaire, tout cela a été prouvé qu'elle n'a jamais existé ". Il a ajouté qu'il avait changé d'avis après avoir assisté aux funérailles d'un sergent tué en Irak, alors qu'on lisait sa dernière lettre à sa famille. Le 16 juin 2005, il s'est joint à trois autres membres du Congrès (Neil Abercrombie, Dennis Kucinich et Ron Paul) pour présenter une résolution demandant le début du retrait des forces américaines d'Irak d'ici octobre 2006. Jones a couvert le corridor devant son bureau de photographies de soldats morts en Irak. Il a déclaré : " Si des membres de ce gouvernement nous ont donné de fausses informations, de manière intentionnelle, pour engager les autorités à envoyer des garçons, et dans certains cas de filles, à aller en Irak, alors c'est une faute. Il faut dire la vérité au Congrès". En 2007, il a présenté avec le Républicain William Delahunt (D-MA) la Résolution sur les pouvoirs constitutionnels de guerre, qui vise à " interdire au président d'ordonner une action militaire sans l'approbation du Congrès, sauf lorsque les troupes américaines ou américaines sont attaquées ou lorsque des citoyens américains doivent être évacués ". Le 12 janvier 2007, il a présenté H. J. Res. 14 : Concernant l'usage de la force militaire par les États-Unis contre l'Iran lors du 110e Congrès. Selon Jones sur son site Web, la résolution exige que - en l'absence d'une urgence nationale créée par une attaque, ou une attaque manifestement imminente, de l'Iran contre les États-Unis ou ses forces armées - le Président doit consulter le Congrès et recevoir une autorisation spécifique avant de commencer tout usage de la force militaire contre l'Iran. Cette résolution a été retirée d'un projet de loi de dépenses militaires pour la guerre en Irak par la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi (D-CA), le 13 mars 2007.
  18. Ce qui me choque, dans un journal prétendument conservateur comme Le Figaro, c'est qu'on puisse y affirmer que pour être un plat national français, la pomme de terre frite se doive d'être accompagnée de ... beurk... ketchup.
  19. Requiescat in pacem, Walter Jones, représentant républicain de la troisième circonscription de Caroline du Nord, ce grand ami de la France : https://frenchmorning.com/mort-de-walter-jones-lelu-derriere-freedom-fries/ (11 février 2019) En mars 2003, en réponse à l’opposition française à l’intervention militaire américaine en Irak, il avait fait remplacer, avec le représentant républicain de l’Ohio Robert Ney, tous les mots “French” qui apparaissaient au sein des trois cafétarias de la Chambre. Les “French Fries” (qui ne sont pas vraiment françaises d’ailleurs) et les “French toast” sont ainsi devenues “Freedom Fries” et “Freedom Toast”. À l’époque, il avait déclaré avoir été “découragé plus que je ne peux le dire” par la position française d'”agression passive“.
  20. Ce que le gouvernement polonais veut empêcher c'est que la shoah soit attribuée en bloc à la nation polonaise. Voir la déclaration conjointe Netanyahou- Morawiecki du 28 juin 2018 qui stipule : http://www.air-defense.net/forum/topic/19693-pologne/?page=20&tab=comments#comment-1151910 Nous rejetons les actions visant à attribuer la responsabilité à la Pologne ou à la nation polonaise entière pour les atrocités commises par les Nazis et leurs collaborateurs des différents pays. Cela veut bien dire qu'il y a des collaborateurs. Et d'autre part, la même déclaration affirme : Nous soutenons la liberté d’expression sur l’histoire et de recherche historique concernant tous les aspects de l’Holocauste pour qu’ils puissent être conduites sans peur des obstacles légales, entre autres par les étudiants, les enseignants, les chercheurs, les journalistes et – sûrement par les survivants et leurs familles, qui ne seront pas soumis aux poursuites judiciaires au titre de l’exercice du droit à la liberté d’expression et la liberté académique concernant la Shoah. Aucune loi ne peut le changer et ne le changera pas. Donc les historiens ont parfaitement le droit de mettre au jour les liens entre des exécutants polonais et la shoah.
  21. Oui mais est-ce cela que contenait le projet de loi controversé ?
  22. Qu'est-ce qui te fais dire que le gouvernement polonais est "ouvertement révisionniste" ? Vouloir interdire que des gens comme Obama parlent de "camps de la mort polonais" c'est être "ouvertement révisionniste" ?
  23. https://www.liberation.fr/planete/2019/02/03/venezuela-a-caracas-deux-marches-ont-oppose-pro-et-anti-maduro_1707110 (3 février 2019) À l’ouest, c’est tout de rouge que se colore l’avenue Bolívar. Le peuple chaviste se rassemble pour célébrer les vingt ans de l’arrivée au pouvoir d’Hugo Chávez. «Sans Chávez, nous ne sommes rien !», hurle un vieux monsieur, béret militaire vissé sur le crâne, un immense portrait du Comandante dans les bras. Son cri est vite étouffé par la salsa qui fait danser l’avenue. Il y a du monde mais l’avenue est loin d’être pleine.
  24. Entre 120 000 et 200 000, il y a une différence de 80 000. Autrement dit, par rapport à 120 000, 200 000 est un chiffre de 66% trop grand. Si le nombre de victimes de la chasse aux Juifs est égal exactement à la soustraction du nombre de survivants finaux du nombre des échappés du ghetto, on aboutit à un nombre égal à zéro de morts de maladie ou de malnutrition après s'être échappés du ghetto. Est-ce bien logique comme raisonnement ? Et si par "chasse aux Juifs" on entend "tués sans la participation des Allemands", on aboutit aussi à un nombre de zéro arrestations par les troupes d'occupation allemandes.
  25. Un malaise qui s'est transformé en critiques virulentes, lorsque Viktor Orban a qualifié d'« homme d'État exceptionnel » Miklos Horthy, le régent de la Hongrie, allié des nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Quelque 600 000 des 800 000 Juifs hongrois sont morts durant la Shoah. Dit comme ça, cela donne l'impression qu'Horthy a approuvé la shoah. https://fr.wikipedia.org/wiki/Miklós_Horthy Cependant, au vu des réticences d’Horthy à contribuer à l'effort de guerre de l’Axe ainsi qu’à livrer les juifs hongrois aux autorités allemandes, et après plusieurs tentatives infructueuses du régent de négocier avec les Alliés une sortie du conflit pour son pays, les troupes allemandes prennent le contrôle du royaume en mars 1944 dans le cadre de l’opération Margarethe. Miklós Horthy s’oppose ensuite à ces déportations en opposant son veto début juillet 1944, sans réel succès puisqu’elles reprennent le 15 octobre lorsque ce dernier déclare avoir demandé l’armistice avec l’URSS. Il ne suffit pas d'affirmer péremptoirement un chiffre pour qu'il ait de la valeur sur le plan historique. Il faut pouvoir indiquer la méthode utilisée pour ce chiffrage, de façon à ce que d'autres historiens puissent refaire le calcul et le vérifier, ou encore pour qu'ils puissent critiquer cette méthode et en proposer une autre.
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