mudrets

Tiens, là un détail du massif avec les tubes lance-missiles https://colonelcassad.livejournal.com/8621719.html A+

En fait, ce n'est plus à proprement parler un 633 Romeo, mais sa version chinoise 033 dont la Corée du Nord a reçu en son temps sept exemplaires https://soumarsov.eu/Sous-marins/Post45/633/633.htm A+

Si c'est une coque de 633 Romeo retravaillée, elle trouve son origine dans les Uboat du type 23 de la 2ème guerre mondiale pour la partie propulsion

On a bien vu l'histoire des missiles non ITAR-free en France ...

Oui, mais au prix de l'heure de vol du F-35 ! Faut pas pousser, hein!

Vieille tradition, puisque de mémoire c'est en Pologne que les Coréens ont implanté leur première usine de montage d'automobiles ...

Un membre du forum a évoqué la disponibilité des sous-marins soviétiques. Avant même de s’intéresser aux chiffres, il convient de se pencher sur la philosophie du système étatique qui a présidé à ces errements. L’Union Soviétique fonctionnait selon un système très rigide qui se dénommait le Plan. Plusieurs durées ont été définies, le plus connu étant le plan quinquennal. Puis il était décliné en objectifs annuels. L’administration du plan, le Gosplan, définissait pour chaque entreprise son plan de production, tout comme la liste des fournisseurs auxquels une entreprise devait s’adresser pour obtenir des composants. Le système a engendré plusieurs situations catastrophiques : la première étant celle de la quantité versus la qualité, la seconde la porte ouverte aux mafias. Deux exemples caricaturaux pour expliquer cela : il était plus facile d’obtenir des chaussures d’été en hiver à Moscou que des chaussures d’hiver plus longues à fabriquer. Pour la mafia, les industriels se sont vite trouvés devant un dilemme : comment remplir leurs objectifs du plan si les composants nécessaires venant de l’autre bout de l’union n’arrivaient pas ? Les mafias l’ont très vite compris en établissant des sortes de marchés d’échange où les industriels pouvaient trouver ce qui leur faisait défaut, contre espèces sonnantes et trébuchantes. Ce qui ne faisait qu’aggraver la corruption. Le dernier facteur à prendre en compte était celui de la période de production. Par exemple pour acheter de l’électro-ménager qui fonctionne, il fallait choisir la bonne période dans laquelle l’impératif de la réalisation du plan ne se faisait pas encore sentir, les composants étaient disponibles … et les ouvriers sobres. Pour en venir aux sous-marins, il va de soi que la sécurité y est fondamentale, comme en aéronautique par ailleurs. Comment ne pas s’étonner alors de voir tant de sous-marins admis au service actif dans la dernière semaine de décembre, sinon le dernier jour de ce mois. Par exemple pour les 13 classe 877 Kilo produits, j’en trouve 10 mis en service en décembre, dont 1 le 31 et 7 le 30 ! Souvent, ces sous-marins n’étaient pas en état de remplir leur mission, et ils restaient ou retournaient au chantier pour «travaux de complément ». Leur facturation devait être assez complexe. Ce phénomène s’est aggravé avec les sous-marins nucléaires de 1ère génération. Pour ne prendre que l’exemple de la classe 658 Hotel I, dès 1962 les premiers subissent un arrêt technique majeur… alors que la périodicité est de dix ans. La fiabilité des générateurs de vapeur est souvent mise en cause, et les ruptures de collecteurs de circuit primaire ne sont pas rares. Plus gênant encore, les trois derniers ne sont pas encore achevés que les premiers sont envoyés dans un chantier d'entretien pour être modifiés en classe 658M Hotel II. La pression politique n’est pas non plus à écarter, comme le montre justement le cas du K-19, le premier 658. Le résultat est que les chantiers d’entretien, visiblement pas dans la bonne boucle de décision, ne sont pas en mesure d’absorber un tel volume de travail. Les sous-marins sont alors mis « en attente », en réserve de 2ème catégorie et joyeusement pillés soit par nécessité (cannibalisme) du fait du manque de rechanges, soit par corruption. A cela il convient aussi d’ajouter des choix technologiques ou des décisions qui peuvent laisser pantois un ingénieur occidental. L’affaire des classes 615 / A615 Quebeck (alias « inflammables) est révélatrice : depuis la marine impériale l’expérience a montré avec le Pochtoviy que les moteurs Diesel en circuit fermé sont extrêmement bruyants en plongée, et que dès les années 30 avec la classe 95 que ce fonctionnement est d’une dangerosité extrême. La présence en ligne de cette classe n’a pas dépassé 56 % et ces unités ont été désarmées au bout de 16 ans. Sans évoquer les torpilles et les missiles à ergols liquides. Mais c’est là un autre sujet.

Ah non, le pâté Henaff c'est le pâté qui rend paf le mataf !

PS au précédent: j'aime bien la barque avec le pavillon australien qui tente de s'écarter

Et là, on sent une désillusion certaine, sinon un agacement https://gentleseas.blogspot.com/2023/09/unavailable-uk-ssns-osborne-spruikers.html A+

Le vol de tous les aéronefs d'état ou affrétés par un état. C'est plus général

Ils avaient déjà du faire appel à un Patmar français il y a quelque temps, puisque plus de Nimrod !

Les Espagnols utilisent des torpilles allemandes ce me semble

Quid des armes utilisées par les S-80 qui ne sont pas espagnoles ?

Reste à savoir ce que contiennent réellement les deux offres...

J'ai délaissé pendant quelques jours mes recherches sur les ordres de bataille des sous-marins russes entre 45 et 92 pour mettre à jour les nouvelles Le Generalissimus Suvorov, deuxième Borey-A pour la flotte du Pacifique aurait entamé son transit sous la banquise le 1er septembre. Le Mozhaysk, 5ème unité de la classe06363 pour cette même flotte a entamé ses essais constructeurs à la mer et effectué une première plongée à 50 m. Le Kronstadt de la classe 677 Lada poursuit toujours ses essais officiels en plongeant à 100 m. D'un autre côté, le B-491 Krasnokamensk de la classe 877M est rayé du service Rubin a présenté un nouveau drone dénommé Argus destiné à la surveillance des oléoducs et gazoducs (et pourquoi pas des câbles sous-marins?). Rubin a aussi présenté un projet de drones de recherche sismique avec un drone émetteur et un nuage de plus d'une centaine de drones récepteurs. Une reprise en main semble avoir touché le consortium de constructions navales OSK puisque l'état russe a confié la totalité des actions à la Banque du Commerce Extérieur russe, et en corollaire c'est le président du conseil d'administration de cette banque qui a été nommé directeur général d'OSK.. Et d'autres encore sur https://soumarsov.eu/Entrée/nouvelles.htm A+

A quoi ils jouent les outre-rhin ? https://tass.ru/mezhdunarodnaya-panorama/18643213

On avait déjà du mal avec les officiers catapulte à l'époque du conventionnel

fraisedesbois a déjà répondu dimanche

Le gros ,hic était le SPS-39

Bien avant, les allemands au CEM avec un SM-1. Pour l'époque, ce n'était possible qu'avec des opérateurs "alertés"

Je vous laisse le choix

Je dirais quelque chose qui commence avec un b

Une superbe Mercedes E500 immatriculée en Russie hier chez moi, près d'Alicante PS: armons nous et partez ?

Ah ah ah A quoi ça sert d'avoir toutes ces liaisons intelligentes, si ce n'est pour masquer telle ou telle unité en lui faisant éteindre son radar de temps à autre, histoire d'empêcher l'adversaire d'établir une situation précise de la force adverse. Dans un groupe j'ai pu shooter un Patmar parce que le SPS-39 qui signait beaucoup était éteint, mais que les cordonnées de la cible m'étaient données sur un plateau en L11... Hier dans le début des années 80