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gianks

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Messages posté(e)s par gianks

  1. Revenant à l'hypothèse de l'A400M de l'OTAN géré par AMI, voici quelques indications supplémentaires sur l'utilisation possible : le quadrimoteur AIRBUS couvrirait le besoin d'AMI de transporter des charges lourdes (non transportables avec le C-130) dans des zones permissives. Par conséquent, seules les capacités de transport stratégiques devraient être exploitées.

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  2. Il y a 7 heures, ftami a dit :

    Un contrat ? Un contrat ? C'est pas "un" contrat ! C'est "le" contrat. Le contrat FMS. Standardisé, public, cadré, connu. Aucune mention formelle de pénalités dues aux client d'un contrat FMS. Alors Viola a dit ci, Viola a dit ça, Viola a surtout jamais lu elle-même le contrat FMS, probablement (et je la comprends, c'est chiant. puthym j'ai pas de vie).

     

    On va reprendre les bases en utilisant les terms & conditions de la LOA du contrat FMS. C'est assez clairement exprimé, et les notions qui apparaissent sont reprises partout (Defense Security Cooperation Agency, Office of the Under Secretary of Defense, etc..).

    "No loss"

    "Interdit de se plaindre"

    Les prix qui augmentent font l'objet d'une modification unilatérale par le gouvernement US. Le client n'a pas besoin d'accepter, il a déjà accepté en signant la LOA.

    C'est bon ? La moindre source inverse qui dit le contraire ? Un document officiel, quelque chose ? Quelqu'un qui sait ? Pas un journaliste-perroquet, hein...  Donc là on a réglé le cas Viola. Je m'en fous, de toute façon le meilleur choix Suisse ça aurait été le Gripen, je l'ai toujours pensé. On peut arrêter de s'acharner sur eux, SVP ?

    Maintenant, pour nos amis finlandais, en les relisant (les terms & conditions) je suis tombé sur le truc savoureux que j'avais oublié et qui pourrait (pourrait, je ne suis qu'un quidam, pas un expert juridique de négo avec le gouv US) bien la leur mettre à un endroit inconfortable. Ils ont semble-t-il obtenu l'assemblage de (400? mouais...) avants de fuselage? C'est ce qu'on appelle un offset, non ? Alors les offsets en terme de rigolade c'est une belle tranche aussi, côté FMS.

    Déja, la toutouille des offset c'est pas le problème de l'USgov, par contre le recouvrement des couts des offsets par le fournisseur dans le contrat FMS est possible. J'ose à peine lier ce point à celui de l'obligation de paiement.

    Quand je dis que je suis triste et inquiet, c'est pas parce que je suis un incorrigible sentimental, mais parce que je suis allé voir à quoi ils s'exposaient. Y'a tous les outils contractuels dans le FMS pour asservir le pige.. client. Tous. Source ici : Letter of Offer and Acceptance (LOA) Standard Terms and Conditions . Débrouillez vous avec. mais arrêtez de me dire que jean trucmuche, journaliste politique au Registre Grolandais du Soir, dit qu'on lui a dit que Viola a dit qu'Armasuisse a dit....  Et trouvez moi où il est fait mention de pénalités. Ne serait-ce que l'hypothèse de l'éventualité du soupçon de possibilité que peut-être, je m'excuse de demander pardon, la notion de pénalités puisse exister.

     

    Très intéressant.
    Mais nous devons nous mettre d'accord une fois pour toutes.
    Les Finlandais  (et les Suisses) ont donc un système d'acquisition enviable et sérieux, (et donc il faut supposer qu'ils ont au moins un fonctionnaire qui connaît l'anglais et qui est allé lire ce document et a signalé l'affaire aux responsables, qui étant une personne sérieuse, en tiendra certainement compte) ?

    ou l'on découvre maintenant que les Finlandais (et les Suisses) ont un anneau dans le nez et qu'ils peuvent être trompés malgré le fait qu'il existe des documents qui les protégeraient.?(Documents tellement secrets qu'ils peuvent même être retrouvés par un forumiste français).
    Dans ce deuxième cas, je suggérerais aux vendeurs de réfrigérateurs de se rendre dans le nord de la Finlande, il y a un air d'affaires là-haut.

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  3. Une nouvelle récente rapportée par Repubblica, le principal journal généraliste italien: Fincantieri qui avait fait une proposition d'achat d'OTO Melara WAS de 400 millions (250 millions de moins que celle de KNDS) étudierait une relance pour rapprocher la proposition franco-allemande 

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  4. Il y a 3 heures, DEFA550 a dit :

    On peut argumenter avec des photos et néanmoins biaiser le discours. Exemple : l'histoire des sondes anémométriques sur l'A400M. On a une photo qui montre des capteurs proches les uns des autres, mais pas de réponse à au moins deux questions subsidiaires : Quels sont ces capteurs, et comment ça se présente sur le C-17 ou le C-2 (parce que là, pas de photo pour "prouver" que c'est mieux") ?

    Sur ce sujet, Tancredi me propose sa conclusion. J'en prend note, mais ça ne forge pas mon avis parce qu'un argument d'autorité ne suffit pas.

    Encore une fois on continue à juger l'écrivain et non l'écrit

    Concernant le lobbying, j'ai eu un échange de mail avec Tancredi qui a des doutes sur la possibilité que le  C-2 puisse avoir un marché (je pense qu'il lui reproche plus l'incapacité des japonais à commercialiser l'avion que les caractéristiques du produit, mais est ma lecture de ses paroles). Compte tenu du fait que le C-17 n'est plus en production et que le C-130 n'est pas comparable en raison du champ d'utilisation limité au fond par rapport aux autres avions, je ne vois pas pour qui Tancredi pourrait faire du lobbying.
    Cela dit, je pense que les critiques de Tancredi sont cohérentes avec ce qu'il a déjà écrit : son œil militaire n'accepte pas les solutions dérivées de la conception « civile » de l'A400.

    Au sujet des capteurs, il n'a écrit ni explicitement ni implicitement que le C17 ou le C2 sont meilleurs que l'A400.

    Sur la base de son expérience, il suggère que peut-être pour un avion de ce type et avec une utilisation possible dans des environnements conflictuels, ce n'est pas la meilleure solution d'avoir les capteurs si proches les uns des autres, et que la meilleure maintenabilité de ces capteurs ne vaut pas le plus grand risque de dommages importants pour l'avion en raison d'une seule balle à bord.
    La comparaison a donc été faite avec le C130 dont le développement s'appuie sur une expérience opérationnelle sans équivalent.

    Compte tenu de la durée de l'Hercules et de son évolution continue dans le temps, souhaitant une durée de vie tout aussi longue à l'A400 (et la nécessité d'un développement tout aussi important) peut-être que ces suggestions ne sont pas à écarter simplement parce qu'elles viennent d'un ancien pilote de C130

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  5. Je ne pense pas, il reste un ancien pilote de C130 et déclare ouvertement que c'est sa référence pour les questions les plus opérationnelles. De plus, les critiques qu'il a portées à cet article semblent bien argumentées par les photos et en tout cas opérationnellement significatives, quelle que soit la nationalité de ceux qui les ont déplacées.

  6. Il y a 9 heures, Patrick a dit :

    Est-ce que ça veut dire que l'Italie acquiert un début de capacité auparavant réservée aux turcs? (qui devaient originellement assurer la maintenance des moteurs pour les F-35 européens) Et qu'il est possible que la maintenance des moteurs soit désormais assurée par l'Italie?

     

    il y a 13 minutes, DEFA550 a dit :

    Pour moi ça veut dire que c'est LM qui se chargeait de ce genre de contrôle, sur site. Traduction Google :

    "Un record à haute valeur pédagogique qui permettra non seulement d'augmenter la  cadence  de vol du F-35  grâce à l'exécution d'inspections baroscopiques boroscopiques, mais qui permettra également d'effectuer des contrôles spécifiques au niveau du Gruppo Volo, favorisant les économies de coûts à programmer niveau en raison de l'intervention inutile de la « maison mère ». Une telle action de maintenance réalisée  en interne,  sans nécessiter l'intervention de l'entreprise manufacturière, permettra d'obtenir une extrême flexibilité en termes d'accompagnement, notamment en cas de redéploiement hors frontières nationales ou d'événements d'exercices étrangers."

    Je pense que DEFA550 a la bonne interprétation, aussi parce que l'article précise que sont les techniciens d'AMI qui ont acquis ces compétences de vérification, il ne parle pas d'une industrie des moteurs.

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  7. Et donc la Royal Navy serait d'accord pour admettre qu'ils ont fait une erreur si stupide pour protéger le F35.

    Cela me semble honnêtement peu probable.
    Et puis de quoi la RN doit-elle protéger le F35 ? de l'accusation d'avoir eu un dysfonctionnement ?
    Comme si tous les autres avions, dont le Rafale, étaient à l'abri des dysfonctionnements.

    On écrit F-35 mais ici il se lit F-666 :biggrin:

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  8. AMI a acquis la capacité d'inspection de la turbine haute pression du F-35

    https://aresdifesa.it/la-aeronautica-militare-ha-acquisito-la-competenza-adi-ispezionare-della-turbina-ad-alta-pressione-del-motore-del-f35/

    "L'Italie, dans le cadre du programme Joint Strike Fighter, est le premier pays partenaire à avoir acquis la capacité d'inspection des turbines haute pression du moteur F135-PW100 installé à bord du chasseur-bombardier Lockheed Martin F-35 Lightning II.

    .......il permettra également d'effectuer des contrôles spécifiques au niveau du Gruppo Volo, favorisant les économies de coûts au niveau du programme en raison de l'intervention inutile de la « maison mère »"

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  9. Il y a 6 heures, Patrick a dit :

    Presque, 24 en moins d'ici 2025, et apparemment il y a plus d'un an il y en avait déjà 16 en moins.
    La RAF a perçu 53 T1. Que vont devenir les 29 autres restants et dans quel état sont-ils? Mystère.
    https://ukdefencejournal.org.uk/24-typhoon-aircraft-to-be-retired-by-2025/

    En allemagne il y a 33 T1 qui partent à la benne remplacés par 38 du contrat Quadriga (5 perdus sur accidents sont aussi remplacés)
    https://www.janes.com/defence-news/news-detail/germany-signs-for-quadriga-eurofighters
    Ça devrait suffire à alimenter la chaîne jusqu'en 2030 (à 4 avions par an)

    Il y a aussi la question en suspens de 90 nouveaux avions pour remplacer les Tornados, qui devraient être partagés entre 45 F18SH (30 F-18E/F + 15 F-18G) + 45 autres Eurofighters Quadriga. 110 radar AESA seraient au passage commandés chez Hensoldt pour équiper les plus vieux des Eurofighters.
    On terminerait à 193 Eurofigthters allemands + 45 F-18!
    Comment vont-ils maintenir et faire voler tout ça? Ah bah mystère...

    Et puis il y a encore et toujours la question de la B61 et du F-35 qui est loin d'être disparu, j'en suis absolument persuadé.

    En Espagne il y aura 20 nouveaux avions et ils ont perçu 19 T1. Mais officiellement c'est pour remplacer les plus vieux des F/A-18... Mouais.

    Et pour l'Italie je ne sais plus.

    Donc il n'est pas insensé de penser que la totalité des T1 anglais vont également quitter ce monde pour être soit cannibalisés, soit ferraillés. Il resterait alors 107-2 perdus sur accidents, soit 105 Typhoon T2/T3A. Pas d'indication sur d'éventuels T3B/Quadriga-like, et avec le Tempest à financer ça me semble spécieux de parier là-dessus.

    Si j'étais britannique allemand espagnol ou italien je trouverais intolérable qu'une telle situation survienne avec les T1, mais je suis français donc ça me consterne et ça me fait marrer en même temps.

    Bref.

    Qui a dit "second best"?

    AMI semble satisfait de ses Tr1 Block5 qui sont utilisés de manière intensive dans leur rôle "original" de défense et de supériorité aérienne, rôle pour lequel leur radar non-AESA est considéré comme approprié.
    Raisonnablement, le Tr1s sera utilisé avec AMRAAM et IRIS-T jusqu'à la fin de la décennie lorsque les cellules auront atteint la limite

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  10. Il y a 6 heures, cicsers a dit :

    Je ne trouve pas que tu parles trop. Je me demande à quel moment tu risques de perdre ta santé mentale en répondant de façons argumentées à une bande de français traumatisés. Et pour nous à quel moment on va enfin s’en remettre et passer à autre chose.

    En effet, certains messages ont poussé la discussion à des sommets d'absurdité remarquables, surtout lorsqu'on veut apprendre à un Suisse à être Citoyen Suisse.
     :biggrin:

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  11. Ceci est le lien pour télécharger la version italienne du traité

    https://www.governo.it/sites/governo.it/files/Trattato_del_Quirinale.pdf

    Article 2 Sécurité et défense
    paragraphe 3
    Les parties développent une coopération dans le domaine de l'augmentation de la capacité d'intérêt commun, notamment pour
    concernant la conception, le développement, la construction et le soutien en service, afin d'améliorer l'efficacité
    et la compétitivité de leurs systèmes industriels respectifs et de contribuer au développement et au renforcement de la base industrielle
    et la technologie de défense européenne.

    paragraphe 4
    Les parties s'engagent également à renforcer la coopération entre leurs industries de défense et de sécurité respectives,
    promouvoir des alliances structurelles. En particulier, ils facilitent la mise en œuvre d'accords conjoints, bilatéraux ou
    plurilatéral, en lien avec la mise en place de partenariats industriels dans des secteurs militaires spécifiques, ainsi que des projets
    joint-ventures dans le cadre de la coopération structurée permanente (PESCO), avec le soutien du Fonds européen pour la
    la défense.

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  12. Il y a 6 heures, DEFA550 a dit :

    Et c'est là qu'est l'erreur de casting.

    Le principe est que chacun paye pour la partie qu'il développe, donc sa technologie et son marché du travail. L'économie vient du fait qu'il n'est plus nécessaire de TOUT développer soi-même. Il en découle qu'il devient possible de concentrer ses efforts sur certaines technologies ou savoir-faire, en renonçant à d'autres domaines de compétences.

    Le problème est posé par ceux qui veulent tout et ne renoncent à rien.

     

    Il y a 5 heures, Alberas a dit :

    A condition que chacun développe sa partie en partant d'un niveau de compétence au moins égal à celui du pays qui a abandonné cette partie. Ca suppose que chacun démontre sa compétence sur les parties qu'il veut développer. Sinon, c'est frustration d'un coté, dépassement de budget de l'autre et retard pour tous.

     

    Il y a 5 heures, DEFA550 a dit :

    Ca, c'est le prix à payer pour ne pas se faire déclasser. Le problème de base, c'est que soit tu investis tes ressources sur des technologies stratégiques ciblées, en laissant à d'autre le soin de développer le reste (coopération), soit tu dilues tes moyens pour tout développer en solo en rabotant la hauteur des marches franchies, ce qui implique à terme un déclassement technologique dans TOUS les secteurs.

    La coopération n'est pas le problème. C'est la solution d'un problème. L'autre solution c'est l'augmentation des moyens (humains, techniques et financiers), ce qui pose un nouveau problème : l'accord des contribuables.

    Merci pour ces réponses, mais je me rends compte que j'ai écrit la partie à laquelle vous avez répondu trop hâtivement. Disons que c'était une introduction à la question suivante, et je voulais juste souligner le fait que, certainement en Italie, mais je crois aussi en Allemagne et en Espagne, pour la France je m'en remets à votre jugement, les hommes politiques ne gagnent pas les élections ou ne gagnent pas en popularité en se disputer sur des programmes liés à la défense et des discours complexes et glissants tels que la coopération internationale

    Cependant nous sommes vraiment très HS

     

  13. Il y a 3 heures, pascal a dit :

    Sur le fond de ton post je suis d'accord avec toi. Mais à propos de cette phrase je pense que ton argumentation est incomplète. La France a insisté pour conclure des accords de coopération AUSSI pour asseoir la coopération politique et la rationalisation de l'industrie de défense au sein de l'Europe. Le volet financier n'est pas absent bien évidemment mais le volet politique est primordial.

    D'autre part sur les programmes stratégique la France n'hésitera pas a y aller seule car déjà elle en dispose de la capacité industrielle et scientifique mais aussi parce que chez nous la notion d'indépendance nationale héritée du Gaullisme a encore la vie dure. Tant que cette notion et la composante aéroportée de la dissuasion ne seront pas remises en cause je peux te garantir que nous n'hésiterons pas à concevoir seul le successeur du Rafale en cas de blocage avéré.

    Autre cas emblématique, l'avion de patrouille maritime ...

     

    Il y a 2 heures, emixam a dit :

    La subtilité c'est que la France cherche à faire des coopérations basé sur les compétences (ex: neuron), alors que beaucoup (pour ne pas dire tous) de pays européens base les coopérations sur un partage a la hache juste basé sur les financements. Et tu te retrouves avec des entreprises sans expérience sur des éléments critiques avec tous ce qui en découlent (pb de conception, surcoût etc...).

    Les USA prennent des "partenaires" (lol) pour faire baisser la facture peut-être être mais surtout pour tuer la concurrence (plus aucun crédit en Europe pour Airbus, Dassault etc.), quand a comparé le développement du USA ce n'est pas comparable, pour 40-45 milliards d'euros (coût du programme Rafale) aux USA tu fais rien du tout. Donc ce n'est pas par ce que le programme F-35 a coûté des centaines de milliards de dollars que la prochaine génération européenne sera du même ordre de grandeur.

    Ces interventions sont très intéressantes car pour moi elles cadrent le problème.
    Etant donné que le développement des futurs programmes d'armement coûtera très très cher, par exemple sans entrer dans la diatribe SCAF-TEMPEST, le nombre de F22 achetés par l'USAF nous dit qu'ils le seront, et que donc les collaborations internationales seront quasiment inévitables.
    Comme nous le dit Emixam, l'approche française est davantage basée sur les compétences, pour les autres pays européens il s'agit plus d'un problème financier et il est donc clair que d'un point de vue politique l'aspect financier va devenir de plus en plus prédominant sur l'aspect technique :  lequel électorat accepterait de payer pour que la technologie et le marché du travail d'un autre pays se développent « seulement » parce que ce deuxième pays a de plus grandes capacités technologiques ?
    (S'il vous plaît ne le renvoyez pas sur "mais alors pourquoi l'Italie a-t-elle acquis le F35 des États-Unis?", J'aurais des arguments à répondre mais nous ouvririons une autre bataille sans fin avec peu de sens et encore une fois sur le F35.)
    Pascal écrit que la France sur certains aspects stratégiques continuera seule, disposant de capacités techniques et industrielles.

    Excusant l'extrême simplification de la question, je vous demande si à votre avis il n'y a pas de risque que l'approche française (plus technique et compte tenu des conditions environnantes plus « solitaire ») conduise à terme la France à devoir faire un choix entre « la notion d'indépendance nationale acquise du gaullisme » ou le risque d'un « cauchemar » de ce qu'a vécu l'Union soviétique lorsqu'elle s'est évanouie pour courir après le développement technologique  (évidemment avec toutes les différences des sutuations des deux pays).
    Par choix dramatique j'entends le risque de devoir accepter des compromis beaucoup plus durs que ceux négociables dans des situations "normales"
    Merci à qui voudra répondre

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