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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. g4lly

    AASM

    http://www.sagem-ds.com/fra/site.php?spage=03019900&idpress=61 Succès du premier tir de l’AASM 125,nouvelle version de l’Armement Air Sol Modulaire de Sagem Paris, le 12 Février 2009 Sagem et la Délégation Générale pour l’Armement (DGA) ont effectué avec succès, le 27 janvier 2009, le 1er tir d’essai d’une nouvelle version de l’Armement Air-Sol Modulaire (AASM) en configuration 125 kg. Ce tir réussi constitue une étape importante dans le développement de la famille AASM. L’AASM 125 est constitué d’un corps de bombe de 125 kg (de type Mk81) sur lequel sont fixés des kits de guidage inertiel / GPS et d’augmentation de portée identiques à ceux de l’AASM 250 (munitions de 250 kg) en service opérationnel sur les Rafale des forces aériennes françaises. L’AASM 125 apporte de nouvelles capacités opérationnelles : associés à la grande précision du guidage, les effets limités et la portée accrue permettent d’élargir la flexibilité opérationnelle du AASM et son spectre d’utilisation, notamment à des missions d’appui feu au plus près des troupes au sol, en limitant les risques de dommages collatéraux. Le tir a été effectué au Centre d’Essais de Lancement de Missiles (CELM) de la DGA à Biscarosse, depuis un Mirage 2000 N du Centre d’Essais en Vol (CEV) de la DGA. Il a été réalisé en haute d’altitude sur une cible située à plusieurs dizaines de kilomètres. Le guidage de l’AASM vers la cible s’est effectué à partir de son seul système inertiel. La trajectoire et la précision à l’impact ont été conformes aux performances attendues. Développé par Sagem (Groupe SAFRAN), l’AASM est une famille d’armements guidés de précision de dernière génération, constitués d’un kit de guidage et d’un kit d’augmentation de portée apportant des capacités inédites aux corps de bombes utilisés dans les forces. L’AASM est également commercialisé par MDBA France dans le cadre de son offre globale visant à répondre aux besoins des forces aériennes à l’international. *** Sagem, société de haute technologie du Groupe SAFRAN, est un leader mondial de solutions et de services en optronique, avionique, électronique et logiciels critiques, pour les marchés civils et de défense. N°1 européen et n°3 mondial des systèmes de navigation inertielle pour les applications aéronautiques, marines et terrestres, Sagem est également n°1 mondial des commandes de vol pour hélicoptères et n°1 européen des systèmes optroniques et des systèmes de drones tactiques. Présents sur tous les continents via le réseau international du Groupe SAFRAN, Sagem et ses filiales emploient 6600 personnes en Europe, en Amérique du Nord et en Asie. Pour plus d’information : www.sagem-ds.com
  2. http://www.defense.gouv.fr/ema/operations_exterieures/afghanistan/breves/afghanistan_ceremonie_de_levee_du_corps_du_capitaine_patrice_sonzogni La cérémonie de levée du corps du capitaine Patrice Sonzogni, décédé le mercredi 11 février 2009, a eu lieu ce jeudi 12 février 2009 sur la place d’armes du camp de Warehouse. Le capitaine Sonzogni, du 35ème régiment d’artillerie parachutiste de Tarbes, avait rejoint le théâtre afghan le 23 novembre dernier. Volontaire pour faire partie des OMLT(operational mentoring and liaison team), il avait, après une longue préparation, rejoint le kandak appui de la 1ère brigade du 201ème corps de l'ANA au Sud de Kaboul dans la province du Logar, qui opère en étroite relation avec les troupes de l’ISAF du RC-Est. Présidée par le général Stollsteiner, commandant le RC-C et REPFRANCE, la cérémonie a réuni pour un dernier hommage une délégation de plusieurs centaines de militaires français, ainsi que de nombreux militaires d’autres nations, dont une délégation américaine, avec à sa tête le général Huber, représentant le commandement américain. Le colonel Guttierez, commandant des OMLT françaises sur le théâtre, a ouvert la cérémonie en ces termes : " votre décès, celui de votre interprète, et les blessures graves du brigadier-chef Trevor Rodriguez, nous rappellent de façon tragique que notre mission est dangereuse, et notre engagement des plus exigeants. Nous savions combien vous étiez engagé dans votre mission. Le sacrifice de votre vie en est le témoignage ultime ". Avant que le corps du capitaine ne soit emporté vers la chapelle du camp pour une veillée funèbre, le général Stollsteiner a déclaré : " mort pour la France dans l’accomplissement de votre devoir, vous avez ainsi rejoint les 25 soldats français qui ont donné leur vie en Afghanistan au service de la France […]. En cet instant, nous associons dans nos pensées vos proches qui sont dans la peine. Au nom de tous les militaires présents sur le théâtre afghan, et de tous ceux qui se sont associés à cette cérémonie, nous vous disons adieu ". Dès demain, le corps du capitaine Patrice Sonzogni sera rapatrié en France. Le brigadier-chef Trevor Rodriguez a quitté le théâtre ce jour par un avion militaire médicalisé.
  3. "Coyote Brown" c'est juste la couleur du CIRAS filé aux troupes en Afghanistan lors des achats en urgence.
  4. g4lly

    Air quiz

    EA-6B effectivement :) tout bon.
  5. g4lly

    Air quiz

    Sur un blog coréen je crois. Celle la est plus facile
  6. Sur le TCD Foudre qui va etre remplacé par le BPC3 -> 3 canon Sur le TCD Orage -> 1 canon Ca permet d'équiper 2 BPC. Y a pas une frégate a canibaliser pour le BPC3 ?
  7. g4lly

    Air quiz

    Nope ce n'est pas un avions chinois. Non vous ne semblez pas sur la bonne voie ... Un indice la proximité des réacteur et la position de l'empennage ...
  8. Le capitaine Sonzogni, un officier exemplaire Le parcours du capitaine Patrice Sonzogni, 46 ans, qui a été tué le 11 février lors d’une attaque d’insurgés en Afghanistan, aura été exemplaire. Engagé en qualité de sous-officier à l’âge de 21 ans, il gravit tous les échelons avant de réussir le concours des majors. En 2001, il accède à l’épaulette, puis il est promu au grade de capitaine en juillet 2005. De par sa conduite et sa façon d’être, le capitaine Sonzogni était l’officier le plus décoré de son régiment. Selon différents témoignages, il était un homme “enthousiaste au caractère entier” qui commandait ses hommes par l’exemple. Son expérience et ses qualités humaines firent de lui une référence pour les artilleurs du quartier Soult. Au cours de sa carrière, cet ancien commando de recherche et d’action en profondeur (CRAP) a participé à la plupart des opérations extérieures menées par la France, que ce soit en Afrique ou encore dans les Balkans. En 1991, lors de la première guerre du Golfe, il est grièvement blessé par l’explosion d’une mine lors d’un assaut donné contre un fortin d’As-Alman. Le capitaine Sonzogni ne connaissait pas l’Afghanistan avant de rejoindre, en novembre dernier, l’équipe OMLT (Operational monitoring liaison team), commandée par le lieutenant-colonel Smagghe et chargée d’encadrer et de conseiller la 1ere Brigade du 201e Corps de l’armée nationale aghane, dont la mission consiste à sécuriser les deux principaux axes logistiques menant à Kaboul. Plusieurs militaires du 35e RAP ont été blessés en Afghanistan dernièrement. Le médecin du régiment, le commandant Boniface, ainsi que son auxiliaire, le brigadier-chef Stéphane Rouffet, avaient été blessés au cours d’un accrochage, le 27 septembre dernier. Il y a quelques semaines, le brigadier-chef Valens avait été touché à un oeil dans des circonstances similaires. Et sans oublier le brigadier-chef Trévor Rodrigues, gravement atteint aux jambes et au thorax lors de l’attaque qui a coûté la vie au capitaine Sonzogni. Décoré de la Légion d’honneur, cet officier au parcours exemplaire était marié et père de deux enfants. http://www.lasemainedespyrenees.fr/actualite/viewArticle.php?idArticle=1128 Tarbes - Un officier du 35ème RAP tué en Afghanistan Le 35ème RAP de Tarbes est en deuil. Un officier du 35ème RAP, Patrice Sonzogni, a été tué ce mercredi 11 février en Afghanistan. Un brigadier chef a été également blessé. Mercredi 11 février en début d'après-midi, une patrouille militaire motorisée franco-afghane a été touchée par l'explosion d'un Engin Explosif de Circonstance (EEC) dans la province du Logar, près du village de Deh-e-Manakah (30 km au sud de Kaboul), puis a été visée par des tirs insurgés. La patrouille était conduite par des éléments du 4ème bataillon d'appui de la 1ère brigade du 201ème corps de l'armée nationale afghane accompagnés d'une cinquantaine de militaires français. Le véhicule français touché par un engin explosif Un véhicule français a été touché par l'explosion de l'engin explosif. Deux avions A10 et des hélicoptères Apache ont immédiatement fourni un appui aérien. Des moyens importants ont été engagés pour sécuriser la zone, mettant un terme à l'accrochage qui a suivi l'explosion. Un soldat français a été tué, Patrice Sonzogni, 45 ans, et un autre très gravement blessé, Trévor Rodrigues. Le blessé a été évacué par hélicoptère médicalisé américain vers l'hôpital militaire de Bagram. L'interprète afghan qui se trouvait également dans le véhicule est décédé, aucun blessé n'est à signaler du côté de l'armée afghane. L'officier était capitaine au 35ème RAP de Tarbes Le soldat qui a été tué au cours de cette patrouille motorisée était officier du 35e Régiment d'artillerie parachutiste de Tarbes. Il s'agit du capitaine Patrice Sonzogni. Il était marié et père de deux filles. Il demeurait à Laloubère. Il était titulaire de la Légion d'Honneur au titre des Décorés au péril de leur vie. Le brigadier-chef qui a été grièvement blessé appartient à la même unité, il s'agit de Trévor Rodrigues. Hervé Morin, ministre de la Défense, a réagi à cette nouvelle. « Je m'incline avec émotion devant le sacrifice de cet officier et de son interprète morts au combat et m'associe pleinement à la douleur de leurs familles et de leurs proches. » Il leur adresse ses condoléances attristées. Le ministre de la Défense a salué l'engagement des soldats français auprès de l'armée nationale afghane pour que la sécurité et la paix progressent en Afghanistan et leur renouvelle toute sa confiance. Nicolas Sarkozy a aussitôt fait part de sa « vive émotion ». « Un officier a payé de sa vie l'engagement de la France », explique-t-il dans un communiqué. Le chef de l'Etat a « condamné avec force cette violence aveugle » et « exprimé la détermination de la France à continuer d'oeuvrer au rétablissement de la paix en Afghanistan ». La réaction de Gérard Trémège, maire de Tarbes et président du Grand Tarbes "La Ville de Tarbes vient de perdre en Afghanistan un de ses soldats du 35ème Régiment d'Artillerie Parachutiste. C'est avec beaucoup d'émotion que je m'incline devant cet officier, Capitaine. Je pense aussi au Caporal-Chef qui l'accompagnait, gravement blessé dans cette embuscade. Je veux rendre hommage à tous nos militaires qui sur de nombreux théâtres d'opérations portent avec honneur le drapeau Français et représentent dignement notre Ville. J'ai pu le vérifier lors de mon déplacement au Tchad au début de ce mois. Je tiens à dire aux familles qui vivent là une terrible épreuve que le Maire de Tarbes et toute la Ville, affectés, sont à leur côté. Nos pensées vont aussi vers leurs camarades de Régiment et le Colonel Pellerin, Chef de Corps, touchés par ce drame". La réaction de Martin Malvy, président de la région Midi-Pyrénées Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées, a adressé mercredi le message suivant au colonel Jean-Jacques Pellerin, chef de corps. « Le 35e Régiment d'artillerie parachutiste de Tarbes est durement touché par le décès d'un officier français et la grave blessure reçue par un brigadier-chef au cours de la même opération. Nos concitoyens savent que ces hommes accomplissent en Afghanistan leur devoir au service de la France et pour la défense de la liberté. Je tiens, dans cette tragique circonstance, à vous assurer de la solidarité et de la compassion de toute la population de Midi-Pyrénées qui garde toujours en mémoire le sacrifice des huit soldats du 8è RPIMa de Castres tombés en août dernier. Nous espérons tous le retour rapide du soldat blessé auprès des siens et son rétablissement. En mon nom personnel et au nom de l'ensemble du Conseil régional, je vous prie de transmettre à la famille de l'officier décédé le témoignage de notre sympathie et de nos plus sincères condoléances. » La réaction de Chantal Robin-Rodrigo, députée. Chantal Robin-Rodrigo, députée des Hautes-Pyrénées, a tenu a manifesté son soutien au Colonel Pellerin et aux Militaires du 35ème RAP suite aux évènements dramatiques survenus en Afghanistan ce 11 février. « Je tiens en cet instant à vous exprimer ma vive émotion suite aux évènements dramatiques dont ont été victimes des soldats du 35ème Régiment d'Artillerie Parachutiste en mission en Afghanistan. Nos soldats et plus particulièrement ceux du 35ème RAP participent avec courage, au péril de leur vie, aux missions de rétablissement de la paix en Afghanistan. Pays en proie à une violence intense entretenue par des groupes terroristes. La paix et la sécurité du monde se joue aussi dans cette région. En cet instant douloureux, mes pensées vont d'abord à la famille du Capitaine Sonzogni, décédé au cours d'une mission de formation de militaires afghans ; à qui je présente mes très sincères condoléances et les assure de toute ma sympathie ainsi qu'à ses frères d'arme. Mes pensées vont aussi vers le Brigadier Chef Rodriguez, gravement blessé à qui je transmets mes voeux de total rétablissement. La grande famille de l'Armée et la nation toute entière porte ce deuil. Pour ce qui me concerne, soyez assuré de mon soutien dans ces instants difficiles et douloureux. Je partage votre peine ». Jean Glavany, député des Hautes-Pyrénées " Dès l'annonce du décès du capitaine Sonzogni, j'ai appelé le Colonel commandant le 35 ème RAP pour lui transmettre, à destination de la famille et de l'ensemble du régiment mes pensées personnelles émus et solidaires. Travaillant depuis plusieurs mois pour le compte de la Commission des Affaires Etrangères de l'Assemblée Nationale sur l'évolution du conflit afghan, j'ai eu l'occasion il y a quelques semaines de me rendre à Kaboul et d'y rencontrer, dans une rencontre informelle et chaleureuse, des militaires du 1er RHP et du 35 ème RAP tarbais. J'avais pu mesurer à la fois le caractère extrêmement difficile de la mission, « la plus difficile de notre carrière » m'ont dit plusieurs d'entre eux, et, en même temps, l'engagement professionnel et passionné de nos soldats. Ce tragique épisode en est une preuve supplémentaire. En m'inclinant devant le décès du capitaine Sonzogni, en renouvelant mes condoléances sincères pour sa famille, je veux redire ma confiance et mon soutien aux militaires de nos deux régiments tarbais, durement affectés en ce douloureux moment. "
  9. http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=109499 Autoprotection des BPC : La marine fait une croix sur le VL Mica et le Tetral Faute de crédits suffisants, la Marine nationale aurait retenu une solution « à minima » pour le programme d'amélioration de l'autoprotection des Bâtiments de Projection et de Commandement (BPC). Livrés en 2006 et 2007 par DCNS, les Mistral et Tonnerre ne disposent, actuellement, que de deux systèmes surface-air à très courte portée Simbad (2 missiles Mistral en batterie avec servant) et quatre mitrailleuses de 12.7 mm. Il s'agit donc d'un armement particulièrement léger pour des unités de 199 mètres et 21.500 tonnes, bâtiments particulièrement volumineux dont le pont d'envol est plus haut d'un mètre que celui du Charles de Gaulle. Ne pouvant, dès la construction, ajouter des matériels supplémentaires (là encore faute d'argent), la marine avait dans un premier temps estimé que les BPC pourraient être correctement protégés par des navires d'escorte. L'expérience de la crise au Liban, à l'été 2006, a néanmoins montré que ce concept de protection par des frégates n'était pas optimal. Le Mistral, chargé d'évacuer les ressortissants à Beyrouth et de débarquer des véhicules et matériels dans la région de Naqoura, a en effet évolué dans des zones littorales où il devait faire face à des menaces asymétriques mais, aussi, à d'éventuels tirs de missiles depuis la côte (ce fut le cas pour une corvette israélienne, gravement endommagée par un missile du Hezbollah). Canons de 30mm, conduites de tir et veille panoramique infrarouge Dès la fin de l'opération Baliste, la marine a donc lancé une étude visant à améliorer l'autoprotection des BPC. Des dispositions conservatoires avaient été prises pour pouvoir installer des canons de 30 mm automatiques, ainsi que des lanceurs de missiles sur les plateformes disposées aux quatre coins des navires. Il était, par exemple, possible d'installer des lanceurs verticaux pour missiles VL Mica ou des systèmes Tetral (batterie automatique dotée de quatre missiles Mistral). L'installation de ces systèmes modernes n'a, toutefois, pas été retenue, faute de crédits. Les BPC devront donc se contenter, pour le moment, de leurs actuels Simbad. En revanche, deux canons de 30 mm Breda-Mauser (et leurs conduites de tir associées) seront montés à tribord arrière et bâbord avant. Ces matériels proviennent d'un lot de canons acquis il y a quelques années par la marine, lorsque celle-ci en a doté certaines de ses frégates du type F70, les transports de chalands de débarquement du type Foudre et le TCD Orage. Avant d'être embarqués sur le BPC, les 30 mm devraient bénéficier d'une remise à niveau. Enfin, afin d'améliorer les moyens de détection, les Mistral et Tonnerre devraient être dotés d'une veille panoramique infrarouge. Aucune date encore fixée Pour l'heure, la marine ne donne pas de date quant à l'installation des nouveaux matériels. Mais cette première amélioration de l'autoprotection des BPC pourrait se poursuivre au cours de la prochaine décennie. Des réflexions sont, par exemple, actuellement en cours pour associer un canon de 30 mm et des missiles Mistral, système autonome permettant d'assurer une solide protection contre les menaces asymétriques, y compris lorsque les navires sont à quai.
  10. C'était dans le cadre d'une OMLT ... un groupe de soldat qui fourni une assistance a l'encadrement et a la formation des régiment "afghan" sur le terrain. En gros ca mélange les spécialité de l'armée de terre pour des missions surtout typé infanterie. A priori la plupart des régiments de l'armée de terre dispose d'élément d'infanterie "classique" comme des groupe de reconnaissance dans l'artillerie etc d'ailleurs normalement toutes les troupes de l'armée de terre sont formées au combat d'infanterie meme si ce n'est pas forcément leur spécialité. De toute facon lors d'une embuscade sur un convoi ... ca peut tomber sur n'importe qu'elle personnel, tous sont amené a prendre un jour ou l'autre part a un convoi.
  11. http://www.defense.gouv.fr/terre/breves/afghanistan_l_armee_de_terre_endeuillee Afghanistan : l’armée de Terre endeuillée Le mercredi 11 février 2009, dans la province du Logar au sud-est de Kaboul, une patrouille motorisée française accompagnant une section de l’armée nationale afghane (ANA) a été touchée par l’explosion d’un engin explosif improvisé (EEI). Un officier du 35e régiment d’artillerie parachutiste (35e RAP) de Tarbes , appartenant à une « operational mentoring and liaison team » (OMLT), est décédé au cours de l’accrochage qui a suivi l’explosion. Un brigadier-chef de cette unité, gravement blessé, a été évacué par hélicoptère médicalisé américain vers l’hôpital militaire de Bagram. L’interprète afghan, à bord du même véhicule, est décédé. L’armée de Terre rend hommage au sacrifice de cet officier et de son interprète morts au combat et s’associe pleinement à la douleur de leurs familles et de leurs proches.
  12. Nouvelle arme anti satellite ... le satellite kamikaze :lol: http://blog.wired.com/defense/2009/02/satellites-coll.html Satellites Collide in First-Ever Mid-Space Crash Yikes! A commercial Iridium communications satellite and a "presumably-defunct" Russian Cosmos spacecraft smashed into one another on Tuesday, more than 490 miles above northern Siberia. It's the first ever sat-on-sat collision, SpaceFlightNow.com reports. "The U.S. space surveillance network detected a large number of debris from both objects," NASA's Nicholas Johnson says. For now, the International Space Station appears to be okay. But it's not yet clear whether that debris "poses a risk to any other military or civilian satellites," the website adds. http://spaceflightnow.com/news/n0902/11iridium/ Two satellites collide in orbit In an unprecedented space collision, a commercial Iridium communications satellite and a defunct Russian satellite ran into each other Tuesday above northern Siberia, creating a cloud of wreckage, officials said today. The international space station does not appear to be threatened by the debris, they said, but it's not yet clear whether it poses a risk to any other military or civilian satellites. "They collided at an altitude of 790 kilometers (491 miles) over northern Siberia Tuesday about noon Washington time," said Nicholas Johnson, NASA's chief scientist for orbital debris at the Johnson Space Center in Houston. "The U.S. space surveillance network detected a large number of debris from both objects." Air Force Brig. Gen. Michael Carey, deputy director of global operations with U.S. Strategic Command, the agency responsible for space surveillance, said initial radar tracking detected some 600 pieces of debris. He identified the Russian spacecraft as Cosmos 2251, a communications relay station launched in June 1993, and said the satellite is believed to have been non-operational for the past 10 years or so. "As of about 12 hours ago, I think the head count was up (to around) 600 pieces," Carey told CBS News late today. "It's going to take about two days before we get a solid picture of what the debris fields look like. But you, I think, can imply that the majority of that should be probably along the same line as the original orbits." He said U.S. STRATCOM routinely tracks about 18,000 objects in space, including satellites and debris, that are 3.9 inches across or larger. Tracking priority and "conjunction analysis" - identifying which objects may pose a threat to manned spacecraft - is the first priority. "It's going to take a while" to get an accurate count of the debris fragments, Johnson said. "It's very, very difficult to discriminate all those objects when they're really close together. And so, over the next couple of days, we'll have a much better understanding." Asked which satellite was at fault, Johnson said "they ran into each other. Nothing has the right of way up there. We don't have an air traffic controller in space. There is no universal way of knowing what's coming in your direction." Iridium Satellite LLC operates a constellation of some 66 satellites, along with orbital spares, to support satellite telephone operations around the world. The spacecraft, which weigh about 1,485 pounds when fully fueled, are in orbits tilted 86.4 degrees to the equator at an altitude of about 485 miles. Ninety-five Iridium satellites were launched between 1997 and 2002 and several have failed over the years. "Yesterday, Iridium Satellite LLC lost an operational satellite," the company said in a statement. "According to information shared with the company by various U.S. government organizations that monitor satellites and other space objects (such as debris), it appears that the satellite loss is the result of a collision with a non-operational Russian satellite. "Although this event has minimal impact on Iridium's service, the company is taking immediate action to address the loss. The Iridium constellation is healthy, and this event is not the result of a failure on the part of Iridium or its technology. While this is an extremely unusual, very low-probability event, the Iridium constellation is uniquely designed to withstand such an event, and the company is taking the necessary steps to replace the lost satellite with one of its in-orbit spare satellites." Johnson said the collision was unprecedented. "Nothing to this extent (has happened before)," he said. "We've had three other accidental collisions between what we call catalog objects, but they were all much smaller than this and always a moderate sized objects and a very small object. And these are two relatively big objects. So this is a first, unfortunately." As for the threat posed by the debris, Johnson said NASA carried out an immediate analysis to determine whether the space station faced any increased risk. The station, carrying three crew members, circles the globe at an altitude of about 220 miles in an orbit tilted 51.6 degrees to the equator. "There are two issues: the immediate threat and a longer-term threat," he said. "It turns out, when you have a collision like this the debris is thrown very energetically both to higher orbits and to lower orbits. So there are actually debris from this event which we believe are going through the space station's altitude already. Most of it is not, most of it is still clustered up where the event took place. But a small number are going through station's altitude. "Yesterday, we did an assessment of what the risk might be to station and we found it's going to be very, very small. As time goes on, those debris will (come down) some over months, most over years and decades and as the big ones come down they'll be tracked, we'll see them and the worst-case scenario, we'll just dodge them if we have to. It's the small things you can't see are the ones that can do you harm." Asked if other satellites might be at risk, Johnson said "technically, yes. What we're doing now is trying to quantify that risk. That's a work in progress. It's only been 24 hours. We put first things first, which is station and preparing for the next shuttle mission." Most, if not all, of the debris is expected to eventually burn up in Earth's atmosphere.
  13. http://www.francesoir.fr/societe/2009/02/10/afghanistan-les-drones-francais-attaquent-le-15-fevrier.html Paris n’enverra pas plus de troupes au front mais, comme prévu, renforce l’équipement militaire. Hier en fin d’après-midi, le ministre de la Défense, Hervé Morin, devait s’entretenir avec le très influent général américain David Petraeus, commandant des opérations militaires en Irak et en Afghanistan. Sans surprise, le haut gradé devait de nouveau plaider pour que ses alliés -dont la France- envoient vers Kaboul des renforts de troupes pour lutter contre les insurgés talibans. La réponse de l’Elysée est connue : c’est « non », la France ayant déjà consenti un « effort considérable ». Pour autant, l’armée tricolore s’apprête à déployer en Afghanistan de nouveaux matériels. Au premier rang figurent des drones, avions pilotés à distance. L’armée de l’air nous a confirmé, hier, que trois de ces engins hyper-perfectionnés sont arrivés dans la province de Bagram. Selon le lieutenant-colonel Sébastien Mazoyer, commandant en second de l’escadron d’expérimentation drones (EED) basé à Mont-de-Marsan, ces anges gardiens du ciel afghan commenceront à entrer en opération le 15 février, au plus tard le 20. Un détachement de 25 hommes Il s’agit, pour l’état-major, d’une première d’importance. Certes l’armée de terre dispose déjà sur place de drones tactiques (SDTI), mais ceux-ci ne présentent ni les capacités ni l’autonomie des appareils qui vont prendre leur envol dans quelques jours. « Sur les 1.200 types de drone existant, seuls trois, dont le nôtre, bénéficie d’une liaison satellite », explique le colonel Mazoyer. En clair, l’engin peut diffuser des images en temps réel tant sur le théâtre d’opération qu’à l’état-major parisien. Surtout, ce drone, baptisé SIDM (système intérimaire de drone MALE – moyenne altitude longue endurance) peut rester dans les airs durant près de 24 heures. Son altitude, entre 5 et 7.000 mètres, le met à l’abri des tirs ennemis, tout en garantissant une image d’une résolution très précise. Les SDTI vont fournir des images vidéo, de jour comme de nuit via l’infrarouge. Par ailleurs, leur système de radar permet de distinguer le moindre mouvement métallique : de la mobylette au pick-up chargé de taliban partant au combat. Si Paris n’envoie pas de troupes, ce déploiement nécessite tout de même la présence sur place d’un détachement de 25 hommes qui resteront en Afghanistan de six à huit mois. Aux drones maintenant de faire leurs preuves. Autre particularité, ils ont été testés grandeur nature lors de la venue du pape à Lourdes, mi-septembre, pour créer une « bulle de protection aérienne ». Mais de là à miser sur un miracle au pays des talibans…
  14. http://www.internetactu.net/2009/02/11/rfid-20-des-puces-ou-des-ordinateurs/ RFiD 2.0 : des puces ou des ordinateurs ? Et si les étiquettes intelligentes (les puces RFiD) se mettaient en mode “2.0“, et devenaient plus participatives et ouvertes aux usages des gens - selon la définition du web 2.0 qu’on en retient ? Plusieurs projets en revendiquent l’épithète. La question reste de savoir ce que cette “RFID 2.0” exprime au juste. Et ce qui sera réellement fait, au-delà des propositions. Pour certains, la RFiD “2.0” consiste à rajouter les données de traçabilité issues de la lecture des puces à des applications ou process existants, ou à les partager avec d’autres sociétés. D’autres y voient un moyen d’aller plus loin dans la fouille de la réalité (”reality mining“, en anglais), à l’instar de cesservices de géolocalisation, dans l’espace et en 3D, capables de repérer des étiquettes RFiD à plusieurs dizaines de mètres de distance, au beau milieu d’un container truffé d’objets, de métaux et de liquides faisant écran par exemple. Le dernier en date à avoir utilisé l’expression “RFiD 2.0“, S3Edge, y voit pour sa part une façon d’optimiser la relation client, et d’accélérer le temps de réaction des fournisseurs, et se sert surtout du terme pour faire la promotion de la nouvelle plateforme Microsoft BizTalk RFiD Mobile. Mais la vision de la RFiD 2.0 que propose Henrik Granau, de la société de sécurité RFiDSec est autrement plus stimulante. Elle a d’ailleurs été reprise (.ppt), telle que, par le projet Casagras qui, financé par l’UE, a pour objectif d’aider la Commission européenne à envisager l’évolution de la RFiD et de l’internet des objets. ... La suite http://www.internetactu.net/2009/02/11/rfid-20-des-puces-ou-des-ordinateurs/ A qui profite la puce ? Le modèle proposé par Granau est séduisant, mais il ne résoudra pas les problèmes de confidentialité posés par les sites de réseaux sociaux et du “web 2.0“, que certains qualifient d’”esclavage 2.0” dans la mesure où leur modèle économique repose en tout ou partie sur la commercialisation des informations et données personnelles que nous leur confions sans contrepartie financière, et bénévolement. On le sait, les utilisateurs du web 2.0 et des sites sociaux se fichent” (à tous les sens du terme) de ces questions de vie privée, ne serait-ce que parce que les services offerts en échange leur donnent l’impression de valoir ces libertés qu’ils acceptent de concéder, et les risques associés. Mais la question ne se pose pas de la même manière avec l’internet des objets. L’internet, qui n’a pas été conçu pour être sécurisé, s’est développé grâce aux usages et contenus créés par ses utilisateurs. A l’inverse, l’internet des objets et la RFiD ne se développent pour le moment qu’au profit de l’industrie, et ne pourront faire l’économie de la sécurité -ne serait-ce que pour éviter l’espionnage industriel. Des conditions de leur rencontre, et de leur interconnexion, dépendra notre future vie numérique. Mais il n’est pas certain que des outils permettant des usages aussi différents arrivent facilement à trouver des points d’entente, d’accroche qui ne soient pas des points de frictions. Sans compter que d’un côté, nous avons des industriels, qui veulent fluidifier leurs flux et process, et en assurer une meilleure traçabilité. De l’autre, nous avons des professionnels de la sécurité informatique qui démontrent que les puces sont piratables, et en appellent à plus de respect de la vie privée de ceux qui, indirectement, seront pucés. Entre les deux, nous avons des instances de régulation qui en appellent au “silence des puces“. Pour l’instant, les usages de la RFiD sont essentiellement industriels, mais touchent de plus en plus les consommateurs. Alors que Benjamin Bayard, président de FDN (French Data Network), le plus vieux fournisseur d’accès Internet français, tirait récemment la sonnette d’alarme en déclarant que les principaux acteurs industriels des réseaux ont “intérêt à transformer l’internet en Minitel” (question qui se pose également en matière de téléphonie mobile), la question reste de savoir si l’internet des objets sera “au service” de ses utilisateurs, considérés comme coproducteurs, à l’instar de ce que propose Granau, ou bien au seul profit des prestataires de service (et sans réelle valeur ajoutée dont ils pourraient profiter). Dans le premier cas, nous aurons des puces fonctionnant comme autant de briques informatiques (logicielles et/ou matérielles) et dont les usages seront définis par la communauté. Dans le second, une infrastructure “top-down” pour qui les clients finaux ne seront que des consommateurs ou usagers etiquetés, à la manière de ce qui se passe, par exemple et pour l’instant, avec le passe Navigo. Dans les deux cas, les problèmes de surveillance et de traçabilité posés par la RFiD restent entiers, nos objets seront pucés, et nos activités tracées. Il faudra donc, non seulement sécuriser l’infrastructure, mais aussi en rassurer les utilisateurs, ce qui n’est pas tout à fait la même chose.
  15. http://www.rtbf.be/info/la-commission-europeenne-sinquiete-des-risques-despionnage-79505 La Commission européenne redoute les jolies espionnes blondes La Commission européenne vient d'adresser à l'ensemble de ses cadres supérieurs une note interne les mettant en garde contre les tentatives d'espionnage de plus en plus nombreuses visant l'institution. "Nous ne sommes pas candides au point de croire que l'on vit dans le meilleur des mondes", a indiqué mercredi la porte-parole de la Commission en charge des questions administratives, Valérie Rampi, confirmant une information parue le matin même dans la presse allemande. "Le risque d'espionnage grandit de jour en jour", a-t-elle ajouté, citant notamment les craintes formulées récemment dans la presse par les responsables belges de la sécurité. Selon l'exécutif européen, cette politique de prudence vise à "protéger les informations sensibles, mais aussi le personnel et les biens de la Commission", a souligné Mme Rampi. La note interne invite notamment les cadres à faire preuve de vigilance particulière envers les lobbyistes, les stagiaires, les experts extérieurs, certains représentants d'Etat membre, ainsi que les journalistes qui pourraient chercher à obtenir des informations confidentielles. Interrogée par un journaliste qui s'inquiétait de la suspicion ainsi jetée sur l'ensemble de la presse, Valérie Rampi a précisé que la note ne visait pas spécifiquement les journalistes, mais un éventail plus large d'espions potentiels. "Ce pourrait aussi être une jeune et jolie stagiaire blonde aux longues jambes", a-t-elle ainsi ironisé.
  16. Déjà que les braquages se montent pendant les intemperries pour éviter le tracking helico ... si les russes s'y mettent aussi :lol:
  17. La version sur la photo n'est visiblement pas blindé ... suffit de voir les vitres. Peut etre qu'ils propose une gamme non blindé pour la DA. Les Sherpa 2 existe en version non blindé "gamme tactique" qui ressemblent furieusement a la photo.
  18. Le VBL c'est du Stanag 1 ... donc forcément le Sherpa 3A c'est plus ... probablement 3 dans la version standard avec certainement tout un tas d'option de blidage supplémentaire. Le bidule fait 10t quand mm :) Mois je suis pas du tout fan des hummer-like, ca sent un peu trop la conception oldschool j'ai l'impression. Je serais plus tenté pas des PVP XL pour du transport sous blindage... et par les VBR pour la reco. D'ailleurs RTD a sortie des variantes plus "moderne" typée cargo pour la version "grand volume" et combat pour la version haut "intensité"
  19. Il semble en recoupant les sources que lmes gars du 35RAP soit tombés pendant les combat qui ont suivis l'IED ...
  20. euh disons plutot que la meme tourelle téléopéré peut supporter soit un kit milan, soit un kit mistral ...
  21. La plupart des patrouilles se vont exclusivement en VAB pourtant, le VBL est a la fois trop petit et trop légerement blindé pour l'usage qu'on fait la bas... pas sur que les victime ne l'est pas été dans le tir qui ont suivis. http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2009/02/11/afghansitan-un-officier-francais-tue-dans-un-accrochage-avec-des-insurges_1153906_3216.html Un officier français du 35e régiment d'artillerie parachutiste de Tarbes a été tué, mercredi 11 février en Afghanistan. Le militaire est mort dans un accrochage avec des insurgés qui a suivi l'explosion d'une mine artisanale, a indiqué le ministère de la défense. Un interprète afghan a également été tué dans cet incident et un brigadier chef appartenant à la même unité a été gravement blessé, a précisé le ministère dans un communiqué. Tous trois participaient à une "patrouille motorisée avec une section de l'armée nationale afghane" dont ils assuraient la formation dans la province du Logar, au sud-est de Kaboul. "Un des véhicules a sauté, probablement sur un engin explosif improvisé (IED)", a expliqué le porte-parole des forces françaises en Afghanistan, le lieutenant-colonel Jérôme Salle. "Puis la patrouille a été prise sous le feu des insurgés", a-t-il ajouté. "VIVE ÉMOTION" Deux avions A10 de l'armée américaine, spécialisés dans l'appui aérien des troupes au sol, et un hélicoptère d'attaque Appache sont intervenus, tout comme deux forces de réaction rapide terrestre, américaine et afghane, et leur intervention a mis fin à l'embuscade, a précisé l'état-major des armées à Paris. Le président Nicolas Sarkozy a aussitôt fait part de sa "vive émotion". "Je m'associe à la douleur de la famille", a déclaré M. Sarkozy, au cours d'une conférence de presse au Koweït où il est en visite. Plus tôt, dans un communiqué, le chef de l'Etat avait "condamné avec force cette violence aveugle et a exprimé la détermination de la France à continuer d'œuvrer au rétablissement de la paix en Afghanistan". Un drame qui survient au pire moment pour l'Elysée, qui a confirmé mercredi l'échéance du 4 avril pour l'achèvement de la normalisation des relations entre la France et l'OTAN. Le retour dans l'OTAN pose la question de la présence des forces militaires françaises à l'étranger, une présence largement remise en cause l'été dernier, quand dix parachutistes français de la force de l'OTAN en Afghanistan avaient été tués dans une embuscade tendue par des talibans. 25 SOLDATS FRANÇAIS TUÉS DEPUIS 2002 Fin septembre, l'Assemblée nationale avait été amenée à se prononcer sur la prolongation du mandat français dans le pays. Le maintien des troupes avait alors été approuvé par trois cent quarante-trois voix contre deux cent dix. Dans la foulée, les sénateurs avaient imité leurs collègues députés et donné leur feu vert à la prolongation du mandat des soldats français. En juin, le ministre de la défense, Hervé Morin, avait affirmé que les soldats français "n'ont pas vocation à rester éternellement" en Afghanistan. Le décès de mercredi porte à 25 le nombre de militaires français morts en Afghanistan depuis l'arrivée des premiers contingents en janvier 2002. La France entretient quelque 2 800 soldats en Afghanistan au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité de l'OTAN. Près de 300 d'entre eux participent à la formation de l'armée afghane. AFP http://actualite.aol.fr/afghanistan-un-officier-francais-tue-dans/article/20090211072110155028913 Un officier français et son interprète afghan ont été tués mercredi par des insurgés islamistes qui les ont attaqués à l'arme légère après avoir fait exploser un de leurs véhicules au passage de leur convoi, ont annoncé l'armée française et des responsables afghans. Un autre militaire français, un caporal-chef, a été grièvement blessé dans l'embuscade, qui a eu lieu dans la province de Logar, à une trentaine de km au sud de Kaboul, a déclaré à l'AFP le porte-parole des forces françaises en Afghanistan, le lieutenant-colonel Jérôme Salle. L'officier tué, un capitaine, appartenait au 35e régiment d'artillerie parachutiste de Tarbes (sud-ouest de la France), a annoncé le ministère de la Défense à Paris. "Un brigadier-chef appartenant à la même unité a été gravement blessé et un interprète afghan a également trouvé la mort dans cet incident", a précisé le ministère dans un communiqué. Tous trois participaient à une "patrouille motorisée avec une section de l'armée nationale afghane" dont ils assuraient la formation. "Un des véhicules a sauté, probablement sur un engin explosif improvisé (IED)", a expliqué le lieutenant-colonel Salle à Kaboul. "Puis la patrouille a été prise sous le feu des insurgés", a-t-il ajouté. Le chef de la police locale, Mostafa Muhsini, a assuré à l'AFP que l'explosion de l'engin avait été commandée à distance au passage du convoi par un homme qui se cachait derrière un mur. Deux avions A 10 de l'armée américaine, spécialisés dans l'appui aérien des troupes au sol, et un hélicoptère d'attaque américain Appache sont intervenus, tout comme deux forces de réaction rapide terrestre, américaine et afghane, et leur intervention a mis fin à l'embuscade, a précisé l'état-major des armées à Paris. Le président français Nicolas Sarkozy a aussitôt fait part de sa "vive émotion", réaffirmé son "soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes". Lors d'une conférence de presse à Koweit, où il est en visite, il a dit "la très vive émotion de la France" et s'est associé "à la douleur de la famille". Dans un autre communiqué, le ministre de la Défense Hervé Morin "s'incline avec émotion devant le sacrifice de cet officier et de son interprète morts au combat". Le 22 novembre 2008, un adjudant de 32 ans avait été tué par l'explosion d'une mine à une dizaine de kilomètres au sud de Kaboul. Il s'agissait du premier mort français en Afghanistan depuis l'embuscade d'Uzbeen, dans laquelle dix militaires avaient été tués le 18 août. Le décès de mercredi porte à 25 le nombre de militaires français morts en Afghanistan depuis l'arrivée des premiers contingents en janvier 2002. La France entretient quelque 2.800 soldats en Afghanistan au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf) de l'Otan. Quelque 300 d'entre eux participent à la formation de l'armée afghane. Les talibans, chassés du pouvoir fin 2001 par une coalition internationale emmenée par les Etats-Unis, ont intensifié leur insurrection ces deux dernières années, frappant jusqu'au coeur de la capitale Kaboul pourtant très protégée par les forces afghanes et étrangères. Mercredi, trois attaques lancées en deux minutes dans la capitale par des kamikazes talibans contre des bâtiments officiels, dont deux ministères, ont fait au moins 26 morts, des civils pour l'essentiel, et 55 blessés. http://www.pyreneesinfo.fr/actualit%E9/200902/20090211TarbesMortSoldatTarbesAfghanistan.htm Un militaire officier du 35e RAP de Tarbes a été tué lors d'un attentat en Afghanistan. Un brigadier-chef a été gravement blessé. Mercredi 11 février 2009, un nouvel attentat a endeuillé l'Armée française. L'Armée française est de nouveau en deuil. Un attentat a coûté la vie à un officier du 35e Régiment d'artillerie parachutiste de Tarbes, ce mercredi 11 février 2009, en Afghanistan. Un autre a été grièvement blessé. Une mine artisanale a explosé lors du passage de la patrouille motorisée, qui était accompagnée d'une section de l'armée nationale afghane. Un accrochage a alors suivi entre les militaires, entraînant la mort de l'officier tarbais, ainsi que d'un interprète afghan. Dans un communiqué, le président de la République Nicolas Sarkozy a fait part de sa vive émotion, réaffirmant son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes. Il "condamne avec force cette violence aveugle et exprime la détermination de la France à continuer d'oeuvrer au rétablissement de la paix en Afghanistan. Vingt-cinq militaires français sont morts en Afghanistan depuis janvier 2002. Le dernier était un adjudant de 32 ans tué par l'explosion d'une mine le 22 novembre dernier.
  22. http://www.defense.gouv.fr/terre/breves/afghanistan_reconnaissance_et_accrochage_en_vallee_d_alasai_video La 4e compagnie du groupement tactique interarmes (GTIA) Kapisa, armé par des éléments de la 27e brigade d’infanterie de montagne (27e BIM) , a mené une opération de reconnaissance conjointe avec deux sections de l’armée nationale afghane (ANA) le vendredi 6 février 2009, dans la vallée d’Alasaï. Des combats contre des insurgés ont fait au moins sept morts dans leurs rangs et un mort parmi les soldats afghans. Les soldats français n’ont subi aucune perte. Des armes, des munitions, des gilets de combat et divers documents ont été saisis dans le village de Khalikhel par les policiers afghans. Pendant l’opération de fouilles du village par le détachement afghan et français, une quarantaine d’hommes armés a pris à partie le détachement afghan à l’arme légère et à la roquette. Grâce au dispositif français mis en place sur les flancs nord et au sud de la vallée, les insurgés n’ont pas pu manœuvrer et ont été durement touchés. Les deux sections de l’ANA, chargées d’assurer la garde du flanc est du dispositif, ont pu se désengager sous les tirs d’appui des mortiers français et des avions de la coalition. Plus tôt dans la matinée, la 2e compagnie du GTIA Kapisa a mené avec la police nationale afghane une opération de reconnaissance dans le village de Sheh Kot. Appuyés par la compagnie française, les policiers afghans ont interpellé un suspect et saisi de l’armement et du matériel nécessaire à la fabrication d’explosifs. La video http://www.defense.gouv.fr/ema/operations_exterieures/afghanistan/videos/11_02_09_afghanistan_reconnaissance_et_accrochage_en_vallee_d_alasai Le vendredi 6 février 2009 en fin de matinée dans la vallée d’Alasaï lors d’une opération de reconnaissance menée par la 4ème compagnie du GTIA Kapisa avec deux sections de l’ANA à la recherche d’objectifs suspects, des combats contre les insurgés ont fait au moins 7 morts dans leurs rangs et 1 mort parmi les soldats afghans, les soldats français n’ont subi aucune perte. [dailymotion=425,350]x8c52v[/dailymotion]
  23. Afghanistan : un officier français tué et un soldat très grièvement blessé dans une embuscade Un capitaine français, appartenant au 35ème régiment d'artillerie parachutiste (35ème RAP), a été tué ce matin en Afghanistan, au cours d'une embuscade tendue par les insurgés. Son interpète afghan a également été tué et un militaire du rang du 35ème RAP est "très grièvement blessé". L'embuscade a eu lieu sur la route qui mène de Kaboul à Gardez, au sud de la capitale, au cours d'une patrouille motorisée. Les militaires français appartiennent à une Operationnal Mentoring Liaison Team (OMLT), qui encadre l'armée nationale afghane. L'embuscade s'est produite vers 8h30 heure française (12h30 heure locale). Le convoi a d'bord été stoppé par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) posé sur la route, puis un engagement, avec des armes d'infanterie, a eu lieu. L'état-major ignore encore les causes exactes de la mort et des blessures des soldats touchés. Des forces américaines et afghanes ont été appelés en renfort. Les Américains ont notamment engagés deux avions d'attaque au sol A-10. Les combats avaient cessé en milieu de journée. Cette nouvelle embuscade porte à 26 le nombre de militaires français tués en Afghanistan. http://www.defense.gouv.fr/ema/operations_exterieures/afghanistan/breves/afghanistan_un_soldat_francais_des_omlt_tue_et_un_autre_blesse Mercredi 11 février en début d’après-midi, une patrouille militaire motorisée franco-afghane a été touchée par l’explosion d’un IED dans la province du Logar, près du village de Deh-e-Manakah (30 km au sud de Kaboul) en RC-Est, puis a été visée par des tirs insurgés. La patrouille était conduite par des éléments du 4ème bataillon d’appui de la 1ère brigade du 201ème corps de l’armée nationale afghane accompagnés de leur OMLT française (soit une cinquantaine de militaires en tout). Un véhicule français a été touché par l’explosion de l’IED. 2 avions A10 et des hélicoptères Apache ont immédiatement fourni un appui aérien. Deux QRF, une américaine et une afghane soutenue par une OMLT française, ont été engagées pour sécuriser la zone, mettant un terme à l’accrochage qui a suivi l’explosion de l’IED. Un soldat français a été tué et un autre très gravement blessé. Le blessé a été évacué par hélicoptère médicalisé américain vers l’hôpital militaire de Bagram. L’interprète afghan qui se trouvait également dans le véhicule est décédé, aucun blessé n’est à signaler du côté de l’armée afghane. Ca laisse poenser que les victimes ont été touché dans le véhicule donc probablement par l'IED ...
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