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Héliphas

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Tout ce qui a été posté par Héliphas

  1. Vus le nombres de casserole qu'il a, est ce que vraiment, un livre va modifier le regards qu'on ses élécteurs de lui ?
  2. Ils doivent avoir les même cartographe que les soldats polonais en République Tchèque ?
  3. En fait le meilleurs allier de la construction européenne c'est D.Trump.
  4. Si c'est ironique je suis d'accord, quand on connait un peu les problématiques militantes et la capacité de certains groupe bien identifié (d'ou le fait que de plus en plus de mouvement s'enferme sur eux) je suis pas étonné de voir ça. Genre dans la sphère qui me concerne (handicape invisible) ben les personnes valide sont les bienvenus que si ils la ferment, car systématiquement ils vont fagocité se mettre en avant etc. Donc quand je vois ça a mon échelle je suis pas étonné. Par contre est ce que c'est bien ? Est ce juste ? Ça chacun a sa vision et je ne donnerai pas la mienne.
  5. Dites, vous voulez pas allez dans la partie histoire du form et faire un topic : "La guerre de sécession, début déroulement et mémoire" Ca serait interssant et arrêterais le flood ici.
  6. Pour être bien certains de comprendre, à part le service juridique de la plateforme, personne n'a demandé aucune action contre cette épisode ? On est dans une logique d'autocensure là, limite d'image genre "regardez on fait bien attention, on est de votre cotés". Pas vraiment dans une logique de compréhension du sujet ou quoi que ce soit là...
  7. Pour faire un suivis dans un protocole d'étude, c'est totalement insuffisant. Pas pour rien que c'est une spécialité et que les comités / équipes assurant le suivis sont des spécialistes. C'est un biais assez classique, le travail de recherche, et de suivis de la recherche est très mal connu, y a une fausse impression de simplicité, combiné à l'image d'épinal du chercheur seul dans son labo faisant une découverte révolutionnant le monde. En réalité, c'est très différents, y a beaucoup de procédure, la recherche se fait en équipe ou le travail est fractionné puis combiné etc. Un protocole de recherche c'est pas juste une liste sur un coin de table, c'est un truc assez complexe à mettre en place. Et en médecine / science du vivant (j'ai pas de terme plus générique sous la main) c'est encore plus précis, encore plus pointu, car la moindre variable peut tout changer. Donc non un type sans formation n'a pas le recul pour appréhender cela.
  8. On avait 4 semaines nous (version d'essai d'un nouveaux format) je doute pas que l'on est pas le temps, c'est même une evidence. Ce qui m'étonne c'est les deux discours.
  9. Oui. Et le second instructeur lui demandé si d'autre unités avait le droit et il a eu cette réponse.
  10. Ayant eu récemment une formation gendarmerie, le moniteur nous a indiqué que les techniquement d'étrangement étaient interdites, sauf pour la sureté ferroviaire dans le cas d'une interpellation/sortie d'une personnes assise sur un siège dans un train. Voilà pour ma contribution à ce sujet.
  11. C'est bien qu'il y est une contextualisation, ça devrait être le cas pour les monuments, quelqu'il soit, même ceux non problématiques, juste indiqué le contexte de l'oeuvre, les tenants et aboutissants, permettant ainsi : - garder la mémoire - pas tout saccager
  12. En plus dans les faits on ne sait pas bien qui a vandalisé le monument, il y avait plusieurs cortèges dans les environs, c'est expliqué sur l'autre fil.
  13. hop un peut de contexte pour ce meme simpliste : https://www.truthorfiction.com/this-is-the-54th-regiment-memorial-defaced-this-week-claim/
  14. Okay, on va tenter de prendre de la hauteur, qu'est ce que gagne le président de ce pays à jeter de l'huile sur le feu de cette façon ? - visé électoral ? - un plan de sortie de crise ? - bêtise sans nom ?
  15. Je suis étonné que la modération est pas juste passé le topic au lance flamme...
  16. Au niveau légal, ce genre de document est pas protéger ? Au moins jusqu'au procès et la présentation des pièces ? C'est la norme de diffusé ce genre de pièce au niveau public ?
  17. Euh j'ai pas souvenir qu'ils disent que c'est illégal (on parle bien de l'action de l'église), juste stupide, ce qui est une nuance assez importante. Ce qui est considéré illégal, c'est d'envoyer les forces fédéral (si j'ai bien compris) sans invitation des gouvernements locaux. Ce qu'il n'a pas fait, il a juste dit qu'il allait le faire. C'est une grosse nuance, mais qui au niveau légal est assez importante.
  18. Mon message était ironique, je n'aime pas les catégories, d'ou le fait que je grossis le trait dans les deux sens, d'ou ma recherche de sources contradictoire.
  19. Ce topic est totalement parti en vrille en fait. Toujours les vilains gauchos et leurs projets fou. En vrai si vous avez des journaux / sources en anglais / français de l'autre coté de l'échiquier politique ça m'interesse, car c'est un peu trop centré sur un bord... Finances. Réduire le train de vie de la police ? L’idée fait son chemin aux États-Unis Courrier international - Publié le 04/06/2020 - 21:20 https://www.courrierinternational.com/article/finances-reduire-le-train-de-vie-de-la-police-lidee-fait-son-chemin-aux-etats-unis?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1591298612&fbclid=IwAR0SUajPQDZznhfFRnHVQjnCDKhi2vgGQCjoL3FwMYtW9AsCEwLDNFgWQcQ La baisse des budgets consacrés au maintien de l’ordre a longtemps été rejetée aux États-Unis, mais les images de policiers “suréquipés” lors de manifestations liées à la mort de George Floyd semblent avoir changé la donne. Au milieu des manifestations contre les violences policières liées à la mort de George Floyd à Minneapolis, un slogan “autrefois obscur” selon Vox gagne en popularité aux États-Unis : “Defund the police” (“coupez les vivres à la police”). Le Parti des familles travailleuses et le Sunrise Movement, deux organisations de gauche, “ont tweeté un appel en ce sens le 31 mai”, indique le site américain : Pour Vox, “Defund the police” est un slogan de trois mots et ne constitue pas “un programme politique détaillé”. L’idée de base, assure le site, n’est pas de réduire les budgets de la police américaine “à zéro” mais de revoir “l’ordre de priorité des dépenses publiques”. Et d’après le Guardian, cet appel semble être en passe d’être entendu : les images “frappantes” de forces de l’ordre “militarisées et parfois violentes” ont en effet conduit certains politiciens à se demander si la police américaine a vraiment besoin “d’autant d’argent et d’armes”. Pendant des années, certains militants ont poussé les villes et les États américains à “réduire les budgets consacrés aux forces de l’ordre”, indique le quotidien. L’idée a longtemps été rejetée “comme un fantasme de gauche”, mais les troubles récents et les déficits budgétaires massifs causés par la crise de Covid-19 semblent avoir changé la donne. Selon le Guardian, La question est actuellement débattue à New York, où la municipalité cherche à “garder intact le budget de près de 6 milliards de dollars de la police tout en réduisant les programmes d’éducation et de jeunesse”, et à Philadelphie, où une augmentation de budget de 14 millions de dollars pour la police est prévue alors que la ville “réduit les fonds pour la prévention de la violence chez les jeunes, pour les arts et la culture” et “licencie le personnel des centres de loisirs et des bibliothèques”. Des coupes de 150 millions de dollars à Los Angeles ? À Los Angeles, le mouvement “Defund the police” semble plus avancé. Eric Garcetti, maire démocrate de Los Angeles, a ainsi annoncé mercredi 3 juin qu’il préparait des coupes “allant jusqu’à 150 millions de dollars” dans le budget de la police de la cité californienne. Selon le quotidien britannique, il souhaiterait redéployer certains fonds “au profit des communautés noires”. Pour Kelly Lytle Hernández, historienne de l’université de Californie à Los Angeles citée par le Guardian, les États-Unis pourraient se trouver à un moment charnière : Nous avons créé au cours des 30 à 40 dernières années le sentiment que notre sécurité et notre bien-être proviennent d’un investissement toujours plus important dans la police.” Mais selon Lytle Hernández, il semble que les Américains “reconnaissent de plus en plus cet échec”.
  20. Personnellement j'ai pas lus le livre donc j'ai pas d'avis, il serait intéressant de le lire et voir.
  21. Y a t'il une différence au niveau de la loi entre ce que l'on appel l'armée et la garde nationale ? J'ai personnellement du mal à les distingués. De ce que je vois, l'armée à tout a fait le droit d'intervenir, si le président utilise le "inserrection Act" à partir de ce moment là, il est légal d'intervenir, mais pas avant.
  22. Qu'il soit positif à certaines substance change quoi au problème ? Vrai question c'est pas pour coller de l'huile sur le feu, je veux dire, ça change quoi ? Il a quand même eu un genou sur le cou, il a quand même indiqué sa détresse ? A part décrédibilisé la victime qu'est ce que ça apporte ?
  23. Courrier international Publié le 04/06/2020 - 15:32 https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/le-mot-du-jour-la-fragilite-blanche-une-notion-qui-fait-reflechir-les-americains?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1591277785&fbclid=IwAR2sXeMrsResKkIcNGD0s8LZDKLe9Ot3gMLZ_zKD9ztJNHHQqePRlPeExms Le mot du jour. La “fragilité blanche”, une notion qui fait réfléchir les Américains Depuis le meurtre de George Floyd le 25 mai et le début des protestations contre les violences policières aux États-Unis, “les ouvrages sur le racisme se vendent comme des petits pains – et bon nombre sont en rupture de stock – sur Amazon et d’autres librairies en ligne”, constate l’édition américaine de Slate. Parmi ceux-là, le livre de Robin DiAngelo White Fragility : Why It’s So Hard for White People to Talk About Racism (“Fragilité blanche : pourquoi il est si difficile pour les Blancs de parler de racisme”, dont traduction française est annoncée pour janvier 2021 aux éditions Les Arènes) retient particulièrement l’attention. Jeudi 4 juin, il se trouvait en tête des ventes toutes catégories sur Amazon. Des œillères systématiques Paru aux États-Unis en 2018, cet essai affine un concept que l’auteure – une sociologue spécialiste des questions de racisme – avait forgé dès 2011 : la “fragilité blanche”, qui décrit “l’attitude défensive et la défiance des Blancs lorsque leurs idées sur les questions de racisme sont mises en cause – notamment lorsqu’ils ont le sentiment d’être associés à l’idéologie des suprémacistes blancs”, expliquait The New Yorker dans sa recension. Comme le souligne le magazine, DiAngelo organise depuis plus de vingt ans des formations et séminaires destinés à lutter contre le racisme et les stéréotypes au sein des entreprises américaines. Or elle a pu constater au cours de ces sessions que les personnes blanches, même celles qui considèrent comme progressistes, se montraient dans l’ensemble “incroyablement, voire dramatiquement, incapables de parler de racisme”. Leurs réactions suivent des schémas désormais bien connus : ils affirment qu’on leur a ‘appris à traiter tout le monde de la même manière’, ils martèlent qu’ils ‘ne font pas attention à la couleur de peau’ et qu’ils se ‘contrefichent que vous soyez rose, mauve ou à pois vert’. Ils vous disent qu’ils ont des amis et des membres de leur famille non blancs. […] Ils tempêtent, ils fulminent. Ils se mettent à pleurer.” Menaces de mort contre l’auteure Pour DiAngelo, cet éventail de réactions défensives s’explique par une société américaine “où la ségrégation est encore profondément ancrée” et “où les Blancs sont tellement protégés de tout inconfort lié aux questions raciales qu’ils s’effondrent au moindre choc. Par exemple quand quelqu’un leur fait remarquer que ‘couleur chair’ n’est peut-être pas un qualificatif approprié pour désigner un crayon beige.” Ainsi, “les hiérarchies raciales font croire aux Blancs qu’ils ont un droit absolu à la paix et au respect”, ce qui les conduit à réagir avec “des sentiments de colère, de peur et de culpabilité” lorsqu’on met en évidence leurs propres comportements ou biais inconscients, écrit DiAngelo dans ce livre resté plusieurs mois après sa parution dans la liste des best-sellers du New York Times. Au moment de sa publication au Royaume-Uni, début 2019, The Observer notait que l’essai avait valu à son auteure (elle-même blanche) “des critiques et des insultes” allant jusqu’à des menaces de mort.
  24. Si vous voulez vous arrachez les cheveux le grand druide est sur BFM à l'heure ou je vous écris. Perso j'ai zappé, mais ça montre bien à quel point il prend de la place dans les médias et que l'on a pas fini d'en entendre parler.
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