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Serge

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Messages posté(e)s par Serge

  1. Le 24 juin 2016 à 10:20, g4lly a dit :

    J'imagine le délire a chaque fois qu'un pays voudra faire pression sur une décision de l'union il brandira le risque de référendum ...

    Vous comprenez chers voisins européens, mes concitoyen insiste lourdement pour que j'organise un referendum ... alors il va falloir etre gentil avec moi et me donner ce que je veux pour que je puisse les calmer :bloblaugh:

    Que la grece quitte l'UE tout le monde s'en fout dorénavant, il n'y a plus de précédent a inaugurer. Donc c'est un levier pourri.

    Si un pays de l'Union monétaire quitte, c'est la fin de l'Euro avec ce qui va avec. Dont un choc majeur pour la France à cause de son endettement. 

    Le 24 juin 2016 à 10:20, g4lly a dit :

    Par contre je vois bien les pays bas se servir de cette épée de Damoclès.

    Ce pourrait être le cas le plus probable. Il est très souvent évoqué parmis les cercles financiers. 

    Le 25 juin 2016 à 13:47, gerole a dit :

    Le départ de la Gb va avoir des répercutions à mon avis sur la structure de l'UE. il faudrait attendre de savoir dans quelle direction va aller l'UE avant que de grands pays genre Italie ou France pensent à la quitter ou non.

    Le départ britannique est une mauvaise nouvelle. Mais la France ne partira pas. Ce serait même le dernier pays à vouloir le faire. 

  2. il y a 55 minutes, Scarabé a dit :

    Si par exemple on déploie en 2030 un GTIA a dominance infanterie:

    On se retrouverez avec 12 VBCI et 12 Griffon  + 4 Jaguars 40 CTA + 4 Griffons Mortier 120 + 4 Cesar . Sans parler d'un escadron de reconnaissance et d'investigation sur VBRM light avec des MMP et des AT4 NG. Le tout appuyés par une Section du génie NG et des drones Patrolleurs dans le ciel en avant des équipes de renseignements dans la profondeur qui seraient intégrés au GTIA. Le tout reliez au PC par un SIC unique. Et qui pourraient bien sur être appuyer par d'autres SGTIA comme par exemple un SG aéromobile qui interviendra en fonction des demandes. Ou un SGTIA logistique.  Avec bien sur au dessus de tout ça des Rafounés au ordres des JTAC du Groupement.   

    C'est ça scorpion un ensemble de systèmes intégrés les un aux autres et qui travail ensemble.  

    Pourquoi 4 Jaguar dans un GTIA Infanterie ?

    Des canons de 155 dans un GTIA mêlée ?

    il y a 55 minutes, Scarabé a dit :

    Même si votre Jaguar venez à débusquer au coin d'une dune ou d'un bois une colonne de T72 et de BTR en mois de temps que vous l'imaginer elle détournerait sur elle l'ensemble des moyens d'appui du GTIA. Sans parler des Tigres qui rappliquerez dar dar avec pleins de missiles Helifir. :chirolp_iei:Mia miam .  Je sais même pas si il restera quelque chose pour l'armée de l'air.     

    Et là, les Pantsir ouvrirent le feu. 

  3. Il y a 8 heures, Sovngard a dit :

    Mais quelle a été la raison qui a justifié leur choix d'opter pour des conteneurs de 3 x 2 au lieu de 3 x 3 ? La hauteur du lance-roquettes ?

    Il doit y avoir de cela. D'autant que c'est le lanceur qui récupère le conteneur. Cela fait une épaisseur à prendre en compte pour ne pas dépasser la hauteur de la cabine. 

  4. Le 11 octobre 2016 à 04:31, Seal a dit :

    Bonjour,

     

    Est-ce que ce matériel appartient à une armée Européenne ?
     

     

    Allemagne.

    il y a aussi l'Indonesie ou la Malaisie. 

    Le 13 octobre 2016 à 21:16, TimTR a dit :

    On dirait le Millenium de Rheinmettal. En service sur l'Absalon Danoise si je ne m'abuse.

    C'est lui. 

  5. Un programme immobilier carcérale, c'est presque 10 ans entre l'expression du besoin et l'ouverture de l'établissement. 

    Les communes ne veulent pas de prison car ce sont des lieux très bruyants et toute construction entraîne à la baisse la valeur de l'immobilier à proximité. 

    Autre difficulté, en fait la plus importante, l'administration pénitentiaire a été délaissée depuis des années. Elle est dans un état de délabrement avancé. Aussi, améliorer la situation carcérale doit débuter par une remise à niveau de ce qui existe. Toute hausse des crédits est donc absorbée par ces réfections avant que le parc n'augmente.

    Le besoin en France tourne vers les 40000 nouvelles cellules. S'il y en avait 4000 nouvelles par an, il faudrait donc 10 ans. Maintenant, ce n'est pas parceque c'est long qu'il ne fait rien amorcer. 

    De mon côté, je suis très fan, parmis d'autres solutions, de la mise en place d'établissement de fin de peine. Les détenus (certains) en fin de peine y seraient affectés. Comme ils ne sont plus sujet aux évasions, les mesures de sécurité peuvent être plus faibles. Le coût est donc bien moindre. Commencer par le moins cher peut être une solution de "délestage" des structures traditionnelles. 

    Une fois que l'on sait ce que l'on veut, il faut définir le financement. Actuellement, l'état est dans un état de déficits qui lui interdit un financement autonome des infrastructures. Il y a un recours au PPP pour lancer des programmes. Si c'est séduisant au long terme, on se rend compte que les locations sont chers et emputent la souplesse budgétaire du ministère. Le coût d'incarcération varie du simple au double selon le statu de l'établissement mais aussi sa taille. La mode a été aux petits établissements mais c'est très cher. 

    Or, comme ce dossier n'est pas prioritaire, il n'est pas prêt de s'améliorer. La Justice, c'est 7 milliards €. Comme la Culture ou le budget de Paris. 

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  6. Pour l'intérêt logistique nous sommes d'accord. Plusieurs fabriquants ont de telles solutions. Denel fait des tourelles de ce genre pour simplifier la maintenance. 

    En revanche, on ne change pas de calibre comme cela. En effet, au moment du choix du calibre initial, l'armée acquéreur a une analyse. Elle sait quel calibre elle veut et pour combien de temps. 

    Passer à un calibre supérieur prend du temps. Ainsi, actuellement, plus personne ne veut de 25mm sinon pour des raisons de coût. Il est donc probable que le choix initial soit définitif. Tout changement serait un coût élevé même si la modularité est prévue. Changer l'artillerie et l'alimentation représentent une part élevée de la tourelle. 

    Enfin, il existe des modernisations possible. Les Bradley ont été testés avec du 30 et du 35mm. C'est faisable. Et si la hausse en calibre pose problème, il y a le choix de changer de forme de munition. Dans ce cadre, l'usage de canon Supershot paraît plus rentable. 

  7. Le 4 octobre 2016 à 20:40, Tancrède a dit :

    Plutôt de la bande des fanboys de matos allemand au Pentagone: crois-le ou non, il y en a toujours qui ont cet énorme préjugé favorable à l'armée allemande, complètement imprégnés qu'ils sont par la mystique qui a été créée sur elle dans les années 60-70. Il y a un prisme déformant dans leurs yeux à l'égard de tout matériel blindé allemand. Si on joint cela aux partisans du "tout lourd/ultra-lourd", on a le lobby susmentionné. Je ne doute pas qu'à côté de cela, l'industrie allemande finance un certain niveau de lobbying, évidemment.

    Jusqu'au Bradley, les US n'avaient pas grand chose. 

    Les lobbies sont très actifs car un véhicule lourd est une grosse chaîne de production donc de l'emploi et des revenus pour les industriels. A cela, il faut rajouter que le SPz-Puma a une image de modernité donc de technologie. Et sur ce créneau, il est le seul disponible. 

    Les hommes politiques aiment les forces armées sous deux angles : la technologie et le renseignement (n'essayez jamais de leur monter autre chose.). Le premier volet signifie des emplois donc des électeurs, le second est l'outil d'aide à la décision. Et l'homme politique aime savoir par nature. 

    Actuellement, il ressort surtout que l'US-Army ne sait pas ce qu'elle veut. 

    Je serais curieux de voir pour qui ce think-tank travail. Un concurrent de BAE ? Car ce dernier propose un nouveau standard de Bradley, le Next Generation. 

    Le 4 octobre 2016 à 20:40, Tancrède a dit :

    Pour la nouvelle organisation des BCT, y'a foncièrement rien de vraiment changé dans l'orga, si ce n'est que les brigades blindées et d'infanterie ont été redimensionnées pour s'aligner sur la conception des Stryker Brigades, soit 3 bataillons de manoeuvre interarmes au lieu de 2, avec tout le soutien et l'appui augmenté de la même façon pour maintenir les proportions établies (1 troop de reco, 1 batterie d'artillerie et 1 Cie log par bataillon, plus un effectif donné dans les autres unités de soutien et appui). La réduction du nombre de brigades a été le corollaire de cette densification, globalement à iso-effectifs (ou pas loin s'en faut): le nombre de BCT d'active est passé de 45 à 32, puis 30 (9 blindées, 7 Stryker, 14 Infanterie -dont 4 aéroportées et 3 air-assault). 

    Ainsi, les Infantry Brigades sont passées de 3300 à 4413h, et les Armoured de 3900 à 4743h, les Stryker Brigades augmentant peu, à 4500h; en plus de l'augmentation capacitaire des deux premiers types, il y a eu, pour toutes, un renforcement du soutien par petits incréments ici et là. J'ai pas cherché le détail de la chose, mais un des principaux points de développement, avec la modernisation engagée en 2010 et la grande réforme de 2013 qui a défini le format actuel, le domaine C4ISR a vu beaucoup d'efforts et d'augmentations d'effectifs. 

    Arrivent-ils à avoir le ratio 1 groupe porté/Bradley ?

  8. Je pencherai pour la première photo. Elle est cohérente avec la planche. 

    Pourquoi ce choix à deux barillets ? Je dirais : centre de gravité plus bas pour facilité le tir. 

  9. Personne n'en a parlé :

    Citation

    Rebuilding the M2 Bradley: same A4 turret but most is new 

    By Sydney J. Freedberg Jr. 

    on October 07, 2016 at 2:43 PM

    IMG_8308-768x576.jpg
    BAE Next Generation Bradley demonstrator at AUSA

    WASHINGTON: More horsepower. Higher suspension. A blast-resistant underbody. Safer fuel tanks. A*larger hull.*Take it all together and this may not just be another upgrade but more like a complete rebuild. The goal is allow the 1980s-vintage M2 Bradley to survive on the battlefields of the 2030s, contractor BAE Systems said. Since there is*no money in the budget for an all-new vehicle, the Army is listening.

    “I’d love to have replacement programs today for Abrams and Bradley,” said Brig. Gen. David Bassett, the Army’s head of heavy vehicle modernization. “It doesn’t fit in this portfolio and this budget.”

    So, just one floor up from the room where Bassett briefed reporters at the annual Association of the US Army conference, BAE showcased its Next-Generation Bradley. The concept vehicle certainly looks like the current Bradley to the untrained eye. The one obvious difference is the armored triangles jutting from the back, which hold the fuel tanks — relocated from inside the hull so a fuel explosion blasts outward, away from the crew. But there are so many other changes that, listening to BAE, I recalled the old parable of Lincoln’s axe. If you replace the handle and replace the blade, what’s left of what you started with?

    IMG_8306-768x576.jpg
    The back of the Next Generation Bradley, showing the triangular reconfigured fuel tanks.

    Plenty, said Deepak Bazaz, BAE’s director of Bradley programs. Most notably, he said, “we didn’t touch the turret.” The Next-Gen Bradley uses the latest-model A4 Bradley turret, complete with its expensive electronics, 25 mm cannon, and TOW anti-tank missiles. (That said, most currently Bradleys aren’t fully upgraded to the A4 standard). Other, less visible components carry over as well. Overall, rebuilding a current Bradley into a Next-Gen one should cost significantly less than buying an entirely new vehicle.

    But how can it be the same vehicle when it has an all-new hull? I asked incredulously. Hulls aren’t actually a huge component of vehicle cost, Bazaz replied. They cost about the same as the transmission, and we don’t say we’re getting a new vehicle when we just get the transmission rebuilt.

    The new hull is one piece of a ground-up redesign for survivability. The Bradley’s already being upgraded with a higher suspension, which both improves off-road mobility and gives more distance from a mine or roadside bomb. On top of this, the Next-Gen hull is thicker on the bottom and adds seven inches more headroom at the top: Headroom matters not just for comfort but because underbody blasts tend to slam soldiers’ skulls into the ceiling.

    Inside the vehicle, the torsion-bar suspension has been redesigned so the bars don’t come loose in an explosion and rip upward through the floor of the troop compartment like oversized shrapnel. That troop-compartment floor is attached only at the sides instead of resting on the hull below it, so the bone-shattering shockwave travels up the walls instead of through the floor and into soldiers’ legs.

    The redesign also relocates the fuel tanks — into those projecting triangles I mentioned above — and the spare TOW missiles, so a hit on either won’t cause an explosion in the crew compartment. Overall, BAE claims the upgraded protection against mines and roadside bombs is better than an MRAP, the Mine-Resistant Ambush-Protected vehicles built for Afghanistan and Iraq.

    These upgrades do add weight. A typical modern Bradley — itself considerably uparmored over the 1981 original — weighs about 40 tons, Bazzaz said. A Next-Gen Bradley weighs 45 tons, a 20 percent increase. But whereas the current Bradleys have no automotive or electrical power to spare, limiting future upgrades, the Next-Gen has a superior engine, transmission, and generator, Bazzaz says, allowing it to grow to 50 tons with no loss in performance.

    The extra electrical power is particularly important. Modern sensors, targeting systems and communications take a lot of power. Radio jammers to prevent roadside bombs from detonating take even more. Bradleys in Iraq sometimes experienced brown-outs, forcing them to shut off one system to free up power for another.

    Then there’s the next wave in survivability, so-called Active Protection Systems (APS), which use radars to detect incoming rounds and mini-rockets to shoot them down. APS adds a lot of protection, but it draws a lot of power — which the current Bradley doesn’t have to spare. The Army is testing off-the-shelf APS in 2017 and 2018, said Col. Glenn Dean, but it’ll test it on Bradley last because of the vehicle’s limits on available size, weight, and power.

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    Armored Multi-Purpose Vehicle at AUSA. AMPV pioneered the hull and many other components used for the Next-Generation Bradley.

    The Army does have a program to upgrade the Bradley’s electrical power, suspension, engine, and turret, but its current plans don’t include any overhaul as radical as the Next-Gen Bradley. “What BAE has down there right now is basically an example of what you could do if you wanted to do an incremental improvement to the Bradley and incorporate some greater force protection,” said Col. Mike Milner, who manages the Armored Multi-Purpose Vehicle program.

    AMPV is essentially an upgraded turretless Bradley — to be used as an armored transport, ambulance, and command post — and it pioneered many of the improvements used on Next-Gen Bradley. “The demonstrator they have down there is pretty much the AMPV hull with the Bradley turret on it, with the new drive train (and) a new transmission on the inside that offers a little better efficiency,” Milner told me.

    So could you rebuild existing Bradleys as Next-Gen? “it’s something that could be done,” Milner said. As we go forward and look at the Bradley and where does the Army want to go in terms of its next generation fighting vehicle — does it want to do a clean-sheet design or does it want to do a major modification to the Bradley? — BAE has proposed one solution down there.”

    Practically speaking, though, an all-new vehicle — that “clean-sheet design” — is something the Army can’t afford. Having canceled two previous attempts to replace the Bradley, the Future Combat Systems and the Ground Combat Vehicle, the Pentagon has pushed what’s now called the Future Fighting Vehicle out past 2030. Even if FFV materializes on time — and an Army-commissioned RAND study said there wasn’t enough money for it — it won’t be fielded fast enough to replace all the Bradleys until well into the 2040s.

    “The way we’re affording all the things we’re affording is by producing things at really low rates,” said Brig. Gen. Bassett. It’s economically inefficient but at least gives the Army the option to ramp up if a crisis strikes and money starts to flow.

    Basset-BG-PEO-GCS-@-AUSA-IMG_2437-300x22
    Brig. Gen. David Bassett

    The Army is buying some new tracked vehicles, albeit ones built with largely off-the-shelf technology. It’s replacing its Vietnam-era M113 utility vehicles with those Armored Multi-Purpose Vehicles (AMPVs), and it’s buying light-tank-like Mobile Protected Firepower (MPF) vehicles to reinforce light infantry. But it’s buying AMPV and MPF at low rates, Bassett emphasized. Likewise, the Bradley, M1 Abrams tank, M109 Paladin howitzer, and 8×8 Stryker are getting upgrades, , but at a rate of “certainly less than a brigade a year,” Bassett told reporters AUSA. Stryker upgrades “could be as little as one every three years.”

    Today is “the only time since World War II when the Army hasn’t had a combat vehicle under development, a new combat vehicle,” said Lt. Gen. H.R. McMaster, the Army’s top futurist, during a press call before AUSA. “You can only hang so much stuff on our existing tanks and Bradleys,” he warned. “If we don’t do something soon… the vehicles we have are going to be overmatched.”

     

  10. A propos du marché des chars, ce VT5 me renforce encore sur le manque de chars neufs qu'un pays européen peut proposer.

    Le parc de Leopard-2 va devenir tendu très vite avec les tensions du côté de l'Est. Aussi, si un pays cherche des chars, l'Europe n'aura plus rien à proposer. On trouvera la Russie, les USA, la Turquie et la Chine. 

    Le point clef n'est pas tant le regret de nos limites industriels mais la faiblesse diplomatique qui s'en suivra. La vente d'un char par un industriel, c'est un lien diplomatique qui se raffermi entre les deux pays. 

    C'est pour cela que je crois dure comme fer à un char moyen sur châssis Puma et tourelle T21.

    d'ailleurs, la proposition MMWT turc pour le char médian indonésien est un châssis Kaplan rabaissé. 

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