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rendbo

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Tout ce qui a été posté par rendbo

  1. rendbo

    Le JSF menacé au Canada !!!!

    soyons honnête, si l'amitié américaine est importante, l'amitié est une relation de confiance qui se travaille au quotidien, et dans la durée. à l'heure actuelle, les US ne sont pas particulièrement amicaux. ils mentent à leurs alliés pour les emmener dans des guerres inutiles, facturent leurs prestations, refusent certains upgrades,... et les pigeonnent sur le matos vendu. à titre personnel, un ami comme ça, j'appelle ça un "presque ennemi". ensuite pour ce qui est de la géostratégie, le US ne laisseront JAMAIS une puissance ennemie mettre le pied au Canada ou menacer leur sécurité (supérieure à toute). donc même si à la surprise générale (et improbable) le rafale était choisi, les US feront avec et protègeront leur espace comme il se doit en collaboration avec le Canada
  2. une explication sur les différents groupes en présence au Nord Mali est parue sur rue89, avec cartes et vidéos (http://www.rue89.com/2013/02/12/coup-detat-touaregs-salafistes-la-crise-au-mali-pour-les-nuls-231070) : Coup d’Etat, Touaregs, salafistes : la crise au Mali pour les nuls Deux semaines après son coup d’Etat, la junte militaire malienne a rendu les armes. Le président de l’Assemblée nationale, Dioncounda Traoré, doit prendre la tête du pays le 12 avril et organiser un scrutin présidentiel dans les quarante jours. Sa tâche sera ardue : le pays est toujours coupé en deux. Le 22 mars dernier, une junte militaire menée par Amadou Aya Sanogo, un lieutenant, a renversé le Président du pays Amadou Toumani Touré (ATT) ; les putchistes reprochaient au Président son laxisme dans le règlement de la crise qui secoue le Nord du Mali depuis la mi-janvier. Depuis le 17 janvier, le Mouvement national de lutte pour la libération de l’Azawad (MNLA), un groupe armé de Touaregs, a en effet entrepris de conquérir le Nord du pays. Les Touaregs, peuple nomade implanté dans cette région avant l’arrivée des Français en Afrique de l’Ouest, ont toujours regretté que leur territoire ait été intégré au Mali lors de sa création en 1960. Ils rêvent de créer un nouveau pays. Le but du MNLA était donc de contrôler les garnisons et villes du Nord du pays, qui réunit les villes de Gao, Tombouctou et Kidal. Face à cette offensive, les soldats maliens, mal équipés et peu soutenus par Bamako, ont fui leur position. C’est à cette débâcle que la junte militaire voulait mettre un terme en renversant ATT. Elle l’a en fait encouragée. Le chaos qui suit la chute du président malien a permis au MNLA de maîtriser tout le Nord du pays une dizaine de jours plus tard. Mais les rebelles touaregs ont été dépassés sur le terrain par un autre groupe de Touaregs : Ansar Dine. Ce dernier a contribué à la libération de certaines villes du Nord du pays depuis janvier. Les vrais objectifs d’Ansar Dine, très différents de ceux du MNLA, ont fini par apparaître au grand jour. Ansar Dine, mouvement salafiste, veut instaurer la charia sur l’ensemble du Mali : il n’est pas question pour lui d’accepter la scission du pays en deux Etats indépendants. Ansar Dine a depuis pris le contrôle de certaines villes du Nord, comme Tombouctou, délogeant le MNLA de ses positions. Les salafistes semblent depuis en position de force dans cette partie du pays : un groupe dissident d’Aqmi (Al Qaeda au Maghreb islamique), mouvement avec qui le chef d’Ansar Dine, Iyad ag-Ghali, a des liens, a enlevé le consul et sept membres consulaires algériens. Des membres de Boko Haram, groupe islamiste nigérian proche d’Al Qaeda, ont aussi été aperçus dans le Nord du Mali. Coup d’Etat, révolte touarègue dans le Nord, coup de force des islamistes : la crise que traverse le Mali est complexe, ses acteurs nombreux. Rue89 vous aide à y voir plus clair. 1 - La junte militaire : Une prise de pouvoir éphémère Lorsque, le 22 mars, le Mali attire l’attention des médias étrangers, il est trop tard : le Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l’Etat (CNRDRE), un groupe de militaires en colère, vient de renverser ATT. Amadou Aya Sanogo, le lieutenant à la tête de cette junte, a pour premier réflexe de suspendre la Constitution « jusqu’à nouvel ordre », ainsi que toutes les institutions du pays. L’ORTM, la télévision nationale, diffuse la déclaration de la junte, représentée par son porte-parole Amadou Konaré. La principale raison de son opposition au chef de l’Etat se trouve au Nord du pays : depuis le 17 janvier, villes et garnisons sont attaquées par une rébellion touarègue, dont les membres cherchent à obtenir l’indépendance de la région. Le CNRDE reproche au pouvoir en place à Bamako sa mauvaise gestion de la crise. Interviewé le 27 mars par un journal malien, Amadou Aya Sonago justifie son geste : « Les militaires meurent et les attaques continuent, mais personne n’est informé à temps réel. [...] En plus, les troupes confrontées à l’ennemi n’ont pas souvent de secours. [...] Plus grave, nos hommes ne recevaient pas le matériel dont ils devaient disposer pour faire leur travail. » 2 - Le MNLA : Pour l’indépendance des Touaregs du Mali L’armée malienne connaît en effet depuis le 17 janvier de grandes difficultés dans le Nord du pays. Le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), au sein duquel différents groupes armés touaregs ont fusionné, a entrepris la conquête de cette partie du pays. Le mouvement, créé en octobre 2011, a profité des retombées de la révolution libyenne. Après la chute de Kadhafi, des milliers de Touaregs auparavant enrôlés dans l’armée libyenne depuis les années 1990 se sont réfugiés dans le Sahel. Ils ne sont pas rentrés chez eux les mains vides : les armes et munitions dont ils disposent ont rendu possible une offensive de grande ampleur dans le Nord du pays. Le but du MNLA est de conquérir l’Azawad, un territoire qui réunit les régions maliennes de Gao, Kidal et Tombouctou. Masin Ferkal, de l’association Tamazgha en faveur de l’Azawad, précise : « Avant la colonisation, l’Azawad était plus vaste, il recouvrait tout le territoire des Touaregs, au Mali, mais aussi au Niger et en Libye... Il comprenait aussi à l’Est le territoire des Toubous, un autre peuple autochtone. » Une revendication vieille de plusieurs dizaines d’années Le peuple nomade des Touaregs s’étend sur cinq pays du Sahel : Mali, Algérie, Libye, Niger et Burkina Faso. Il fait partie de la famille des Amazighs. Ces derniers sont les habitants du Nord de l’Afrique présents avant l’arrivée des Arabes au VIIe siècle. Des îles Canaries à l’oasis de Siwa, en Egypte, il réunit Kabyles, Chaouis, Rifains ou encore Chleuhs, autant de peuples revendiquant leur différence culturelle en Afrique du Nord. Amadou Aya Sonago ne s’attendait pas à ce que son coup d’état donne un coup de pouce à la rébellion touarègue qu’il souhaitait combattre. Et pourtant, il est tombé à pic pour le MNLA. L’attaque lancée en janvier s’est accélérée début avril. En trois jours, les principales villes du Nord, Gao, Tombouctou et Kidal sont tombées entre ses mains, parfois sans grande résistance. Le 6 avril, le MNLA a déclaré l’indépendance de l’Azawad. Mosa ag-Attaher, porte-parole du MNLA, explique à Rue89 : « Ce n’est pas une rébellion, c’est une révolution qui s’inscrit dans un mouvement commencé dès 1958 lors de l’indépendance du Mali : nous avions demandé à la France de ne pas être rattaché à ce pays. » Les revendications touarègues sur l’Azawad sont en effet anciennes. En 1958, lorsque le mouvement de décolonisation est amorcé, les Touaregs adressent une lettre à Charles de Gaulle, lui demandant que leur territoire ne soit ni divisé, ni intégré à des pays dans lesquels ils ne se reconnaissent pas. La France, pendant un temps, avait envisagé la création d’un pays sahélien : en 1957 voit le jour l’Organisation commune des régions sahariennes (OCRS), une entité politico-économique autonome allant de l’Algérie au Tchad, sur laquelle la souveraineté française était accentuée. Le but de la France, qui venait de découvrir la présence de pétrole dans le Sud de l’Algérie, était de contrôler le Sahara, qu’elle considérait comme une zone riche en ressources naturelles. En 1963, le projet a été abandonné, en partie à cause de l’opposition du président Modibo Keita, premier président du mali indépendant. Une rébellion touarègue plus solide que les précédentes L’indépendance du Mali n’a cependant pas découragé les Touaregs, qui se sont soulevés à plusieurs reprises contre l’incorporation de leur territoire à ce nouveau pays. En 1963, 1990 et 2006, ils ont pris les armes, accusant le pouvoir central de marginaliser leur peuple. Alors qu’ils militent pour l’amélioration de leurs conditions de vie, en-deçà de celles du Sud du pays, ils ne demandent pas l’indépendance du territoire où ils vivent. Apparue en 2012, cette velléité est une première : les moyens militaires et humains du MNLA lui permettent aujourd’hui de défendre une position qui lui était avant hors de portée. Le rétablissement des institutions dissoutes par le coup d’Etat du 22 mars n’a pas amoindri les revendication du MNLA. Mosa ag-Attaher, affirme que toute arrivée de troupes dans l’Etat proclamé de l’Azawad sera considéré comme une agression, et que des combats ne sont pas à exclure. 3 - Ansar Dine : Un mouvement salafiste dirigé par un Touareg La conquête des villes du Nord ne s’est cependant pas faite par les seuls membres du MNLA. Elles ont souvent été prises, en parallèle, par Ansar Dine, un groupuscule armé salafiste créé en décembre 2011. Le MNLA explique que durant les premiers mois de la révolte touarègue, les deux mouvements « sans avoir d’alliance », libéraient simultanément les villes du pouvoir malien. Depuis, la « rupture » est consommée. Mosa ag-Attaher : « En mars, nous avons rencontré les leaders d’Ansar Dine. Alors qu’avant ils proclamaient vouloir l’indépendance de l’Azawad, nous nous sommes rendu compte que leurs objectifs étaient très différents des nôtres. » Si le MNLA veut un Etat indépendant à tendance laïque, Ansar Dine entend imposer les préceptes d’un islam dur sur l’intégralité du territoire malien. Interviewé par Jeune Afrique, l’intermédiaire d’Iyad ag-Ghali affirme : « Il n’y a pas de problème entre nous et le MNLA, ils suivent leur chemin et nous suivons le nôtre. Ansar Dine ne connaît que le Mali et la charia. » Le MNLA dépassé par Ansar Dine sur le terrain ? Faute de nombreux journalistes présents dans le Nord du Mali depuis la rébellion, le rapport de force entre le MNLA et Ansar Dine est difficile à évaluer. Plusieurs sources rapportent que le groupe islamiste contrôle plusieurs villes du Nord. Selon Al Jazeera, il a par exemple délogé le MNLA du centre de Tombouctou. Soucieux de ne pas voir son mouvement assimilé aux islamistes, le MNLA a envoyé début avril un ultimatum aux combattants d’Ansar Dine. Ceux-ci devaient avoir quitté la ville avant le 6 avril s’ils ne voulaient pas être attaqués. Les menaces n’ont jusqu’à présent pas été mises à exécution. Le MNLA déclare que la lutte contre Ansar Dine n’est « pas une priorité », qui est davantage la défense des nouvelles frontières de l’Azawad (non reconnues par la communauté internationale). Iyad ag-Ghali, un chef historique de la lutte touarègue Il est surtout difficile pour le MNLA d’attaquer Iyad ag-Ghali. Le chef d’Ansar Dine est lui aussi touareg, proche de la chefferie des Ifoghas, tribu dont une partie des membres du MNLA est issue. Une attaque contre ce chef serait d’autant plus mal acceptée d’une partie des Touaregs qu’Iyad ag-Ghali est encore respecté parmi ces derniers : c’est lui qui a mené la révolte touarègue de 1990 et signé les accords de Tamanrasset avec le gouvernement en 1991. Il demeure un symbole de la lutte touarègue, même si le sentiment de la population est partagé à son égard depuis qu’il a adhéré au salafisme dans les années 1990. Son discours a en effet mué au fil des ans. Envoyé en Arabie saoudite en 2007 pour y être conseiller consulaire, il sera expulsé du pays en 2010, accusé d’entretenir des liens avec Al Qaeda. Les Occidentaux ont depuis fait appel à lui à diverses reprises lors des prises d’otages afin qu’il serve d’intermédiaire avec Aqmi. 4 - Aqmi : Une idéologie proche d’Ansa Dine La présence d’Aqmi dans le Nord du pays est un autre défi qui attend le MNLA et le Mali. La branche africaine d’Al Qaeda, implantée dans cette zone depuis 2003, n’a jamais été combattue avec acharnement par le Mali, ni les pays alentours, comme l’Algérie, dont sont originaires la plupart de ses membres. Sa mission est la même que celle d’Ansar Dine, mais ses moyens divergent : le groupe islamiste malien ne capture pas d’otage, ne décapite pas ses prisonniers. Bien que la présence d’Aqmi soit à relativiser, elle doit être observée avec attention. Le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), groupe dissident d’Aqmi, a revendiqué l’enlèvement du consul d’Algérie et de six membres de sa mission enlevés à Gao le 5 avril. RFI relate également la présence de combattants de Boko Haram, mouvement islamiste du Nigeria auteur de plusieurs attentats ces dernières années : « Boko Haram-Aqmi, les relations se renforcent chaque jour. Certes, contrairement à Aqmi, Boko Haram n’a toujours pas fait allégeance à Al Qaeda, mais une branche de cette secte séjourne aisément sur les terres des islamistes dans le Sahel. Ils reçoivent une formation militaire dans le maniement des explosifs. Ils reçoivent aussi une formation idéologique. » Ses liens avaient avec Al Qaeda avaient déjà été évoqués en juin 2011, lors de l’attaque d’une église au Nigeria revendiquée par Boko Haram. Le MNLA, repoussoir d’Aqmi dans le Nord du Mali Le MNLA réfute tout lien avec ces différents groupes. Les Touaregs avaient en effet combattu Aqmi en 2006, après qu’Ibrahim Ag-Bahanga, leader d’une petite rébellion touarègue à la frontière algérienne, a demandé à l’organisation islamiste de quitter le Nord du Mali. Mokhtar ben Mokhtar, un des leaders d’Aqmi, avait été déclaré mort, bien qu’il ait en réalité survécu. Aqmi a rencontré des difficultés pour s’étendre dans le nord du Mali : les Touaregs qui y vivent ont une pratique de l’Islam beaucoup plus modérée et voient d’un mauvais œil l’arrivée de ses combattants qui sèment le trouble et font fuire les touristes. Le MNLA refuse de devoir porter la responsabilité du coup de force des islamistes survenu après le coup d’Etat. Mosa ag-Attaher souligne : « Aqmi existait avant la proclamation de l’Etat de l’Azawad. Le Mali a laissé tous ces groupes terroristes, narcotrafiquants s’installer dans cette région. On ne va pas réussir à les chasser du jour au lendemain. » Le MNLA souhaite être intégré à la lutte antiterroriste menée par les différents pays de la région. Une proposition qui n’a pas intéressé ces derniers. Dans un communiqué publié le 6 avril, la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) a sous-entendu ne pas faire de différence entre le MNLA et les autres groupes armés présents dans l’Azawad : « La Commission rappelle à tous les groupes armés du Nord du Mali que le Mali est “un et indivisible” et qu’elle usera de tous les moyens, y compris le recours à la force, pour assurer l’intégrité territoriale du pays. »
  3. rendbo

    Le F-35

    où l'avion peut il tenir le temps entier du discours sans défaillance (suivi d'un crash lamentable sur la foule et le speaker) ?
  4. Les politiciens sont des gens pragmatiques. soyons honnête, s'il ne faut pas perdre la face/l'honneur, ce genre de débat s'est sans doute lancé avec un feu vert entériné des américains. au même titre qu'il fallait un OTAN fort pour les épauler contre le communisme/Russie, il faut un Japon fort pour préparer les enjeux de demain dans le Pacifique et en mer de Chine...
  5. à un moment donné, il faut e demander si à force de jouer au con, il n'y a pas quelqu'un qui poussera le bouchon trop loin, et l'autre partie qui appuiera sur un bouton en se sentant réellement en danger. est ce que vous connaissez les règles d'engagement des chinois et des japonais ? imaginons que si l'un des navires illumine et tire à coté pour impressionner (une sorte de coup de semonce), que se passe t'il ? un navire japonais peut il riposter (sur un malentendu) sans attendre l'accord de son EM/gouvernement ? même question pour les chinois, même si j'imagine moins les jap' lancer les "hostilités".
  6. une partie de la classe politique américaine pense que la Russie est l'ennemi d'hier et de demain, l'autre voit cet ennemi de demain dans la Chine...
  7. malheureusement non : les jihadistes sont des combattants, la convention de Genève s'applique (troisième révision, celle de 1949), définition du terme combattant... c'est la négation des américains sous GW Bush (entre autre sur la torture, et le traitement des prisonniers en général) qui nous met cette fausse idée en tête.
  8. même si l'Irak n'est pas une super puissance (pas plus que la Chine d'ailleurs), c'est ce que disait Saddam lors de la première guerre du golfe... on voit où ça l'a mené.
  9. je ne pense pas qu'il parle d'exécution de personnes qui se seraient rendues. l'esprit serait plutôt de monter à l'assaut en ne cherchant pas à minimiser les dégats dans le camps d'en face au risque la vie de nos soldats
  10. je ne sais pas si notre fafa national déconne mais on peut lire ça sur les agrégateurs de news : je ne vois pas dans ce cas pourquoi on serait encore en train de charger des km de matos dans le ferry, et je ne pense pas que la situation soit encore assez stable pour qu'on s'en aille après s'être fait une petite bise. de plus, avec ce genre de déclaration, les adversaires doivent se dirent que le gros de la tempête est passé, et qu'encore quelques mauvais jours à faire le dos rond avant que ce ne soit de nouveau la fête du slip...
  11. rendbo

    Attaque E.T

    partant du postulat que + les pilotes de F22 semblent avoir des soucis en altitude, + le F35 ne peut voler que s'il fait beau, + les anglais ne développent toujours pas les capacités du Typhon + le gripen est asthmatique de naissance + le T50 n'est pas encore prêt j'ouvre en urgence les point d'emport du rafale pour des gros missiles anti satelites (américain, la France a des lacunes qu'elle ne peut pas combler en 40 jours), que je fais équiper avec des têtes nucléaires. au premier signe d'agressivité des aliens, les rafales contre attaquent et détruisent le gros de la flotte ennemie. le monde applaudit, sauf les allemands qui nous félicitent du bout des lèvres en nous rappelant que c'est pas tout ça, mais il faudrait (surtout) trouver une solution politique avec les aliens.... (au vu du postulat de départ, toute ressemblance avec la réalité est bien sûr impossible dans cette réponse)
  12. je commence à me poser la question d'un "allié" tel que le MNLA : ils ne remplissent que des vides, comme des vautours qui ne s'attaquent qu'à la charogne. plutôt que de "prendre" des villes sans défenses, il me semble qu'ils devraient oeuvrer plus directement au travail en cours pour paraitre crédible. Or pour l'instant, il ne me semble pas qu'ils aient donné une seule bonne raison à l'état malien d'ouvrir des négociations, ou de proposer des solutions gagnant-gagnant
  13. même info un peu plus développée sur opx 360 ( http://www.opex360.com/2013/02/05/le-radar-de-controle-de-tir-dune-fregate-chinoise-verrouille-un-navire-japonais/ ) : [...] Cette fois, le dernier incident en date a eu lieu le 30 janvier dernier, en mer de Chine orientale, semble plus sérieux. Selon Itsunori Onodera, le ministre nippon de la Défense, le radar de contrôle de tir d’une frégate chinoise s’est verrouillé sur un navire d’escorte des Forces d’autodéfense japonaise, situé à 3 km de distance, ainsi que, quelques jours plus tôt, sur un hélicoptère. “Se servir de ce type de radar est tout à fait anormal (…) et cela pourrait créer une situation très dangereuse à la moindre erreur”, a affirmé, ce 5 février, Itsunori Onodera, qui a aussi ajouter que le gouvernement japonais allait demander à la Chine de “s’abstenir de ce genre d’actions dangereuses”. Le navire chinois impliqué dans cet incident serait une frégate de type 053H3 (code Otan : Jiangwei II) notamment armée de 8 missiles antinavires YJ-83. En attendant, l’ambassadeur chinois à Tokyo a été convoqué, une fois de plus, au ministère japonais des Affaires étrangères pour une incursion de navires gouvernementaux chinois dans les eaux de l’archipel Senkaku/Diaoyu. Ce différend territorial a conduit le Japon à augmenter ses dépenses militaires pour la première fois depuis 11 ans et à revoir sa politique de défense. Il est également question d’une modification de la Constitution pacifiste du pays.
  14. rendbo

    VBCI

    que le VBCI soit neuf ou vieux, tu auras du mal a laissé entrer en premier une femme ET la laisser sortir (en premier). je pense qu'il faudrait réaménager ce véhicule pour que l'on ait la french touch jusu'au bout :oops:
  15. rendbo

    Le JSF menacé au Canada !!!!

    ce qui serait bon pour notre industrie de la défense... et nous permettrait de développer les prochaines générations de bombes et de missiles !
  16. rendbo

    [Rafale]

    Pour rebondir : je relisais le "air & cosmos" sur le rafale, en particulier sur le point 3 qui est encore fermé. mais qu'est ce qu'exactement que l'ouverture d'un point sur le rafale ? je supposais que tout a déjà été simulé, et que les fils (ou les transmetteurs) étaient déjà en place... en gros il ne restait qu'à monter un bouzin, à faire décoller l'oiseau (différentes altitudes et différentes vitesses), et qu'on finissait par un test de tir dans le polygone (séparation et précision), et basta ! bon après il faut peut être faire le test pour chaque matériel : mica, roquettes,... mais rien qui ne me semble très couteux et compliqué vu que l'appareil connait déjà le matériel, et sait déjà l'utiliser.
  17. /hs on tu peux commencer par ce site : http://counterterrorismblog.org/2008/10/how_gaddafi_survived_operation.php
  18. je suis d'accord avec toi sur l'ensemble de ton analyse, mais je pense qu'il faut tempérer un point : un allié que tu tiens par la peur n'est pas un allié. dans le cas des groupes les plus extrémistes qui avaient pris le pouvoir et l'ascendant sur les autres, ils n'ont laissé au début que le choix de s'allier ou disparaitre, et quand ils se sont sentis forts et sûr d'eux, ils ont attaqué et chassé ces anciens alliés qu'ils jugeaient peu (pas assez) fiable. c'est d'ailleurs le problème et l'histoire normale de tout régime autoritaire : s'allier pour arriver au pouvoir, puis faire disparaitre les éléments mous. au final, une grande partie des groupes alliés s'est détachée, dès qu'il l'a pu, de ce noyaux fanatisé pour reprendre leur rhétorique et leurs revendications d'origines. quand aux hommes, il ne faut pas je pense sous estimer la volonté de vouloir survivre : on rejoint le fort plutôt que de se faire massacrer (inutilement). actuellement le fort n'est plus ansar dine, c'est normal qu'il y ait des défections dans les rangs. ensuite c'est un cercle vertueux qui s'enclanhe : moins on est nombreux, plus on est faible, plus on parait faible, moins on est nombreux. si quelqu'un a des infos : j'aimerai bien connaitre les actuelles positions des trafiquants en tout poils d'amérique latine : un nord mali instable, sous la coupe de chefs de guerre qui protégeaient les convois en échange d'un droit de passage, les arrangeaient énormément. Si l'état de droit regagne le nord du territoire, c'est une des plaques tournantes du trafic international qui va disparaitre. et ça c'est mauvais pour leur business... à l'heure actuelle, il ne semble pas y avoir de réaction de leurs parts. par exemple est ce que c'est parce que des circuits alternatifs sont déjà prêt, ou est ce qu'ils ont déjà réussi à s'infiltrer dans les rouages du futur système (n le corrompant, on peut être sûr que les problèmes renaitront, aussi surement que si on laissait après notre départ des nids de fanatiques)
  19. à titre personnel, je trouve la réaction des démocrates très mauvaise, car elle donne beaucoup de cartes à jouer aux républicains : aujourd'hui, suite au désistement du leader ship américain, celui ci est assuré par un pays amis (oui, on est amis tout de même), mais qu'en sera t'il d'après demain ? la chine comme la russie, qui sont tout de même des ennemis naturels deviennent encore plus menaçante dans le futur qui se prépare. à terme, je pense qu'il y aura une augmentation des dépenses militaires, du nombre d'opex,...
  20. rendbo

    Le F-35

    pourquoi une telle différence entre le A et le C ? le C est juste un A renforcé avec une crosse non ? au regard des chiffres, que le B soit un veau, j'aurai pu le concevoir, mais le C, j'en reste sur le cul
  21. j'ai acheté celui sur le Mali il y a deux semaines en me demandant quelles info croustillante il aura glissé dedans...
  22. rendbo

    Le F-35

    si je résume les pages d'auparavant, en zappant les vannes et le bashing : la physique n'est pas de la magie : les specs étaient ambitieuses, peut être trop, au point de vouloir pondre un chameau à 3 bosses. A cause de cela, l'avion est trop complexe et trop lourd. Ensuite commence les cercles vicieux : on essaie de réduire le poids en jouant sur les matériaux, l'avion est plus fragile, et plus il est fragile, plus il casse rapidement ; si on essaie de lui donner plus de pêche avec un moteur plus puissant, il sera plus lourd et consommera plus de carburant, et... ; on essaie de miniaturiser et de créer des composants multifonctions, on a plus de complexité, plus de risques de pannes ; .... à cela s'ajoute des erreurs grossières (comme la crosse d'appontage) et autres et ainsi de suite. l'appareil ne pouvant pas atteindre les specs, il faut les baisser pour qu'il passe le test. et une fois qu'il sera arrivé à maturité, ce sera sans doute un très bon avion, mais beaucoup moins bon qu'annoncé sur le papier. quant à savoir s'il vaudra son prix, c'est une autre question. mais il aura au moins réussi trois choses : siphonner le budget de recherche de l'Europe (hors France), la mettant hors jeu pour le futur (il manquera demain une tuile technologique permettant de créer la prochaine génération d'avions) / participer à la guerre médiatico commerciale du 5G sinon rien (qui ne repose sur rien de probant) et qui place les US à la pointe de la technologie / nous faire rire depuis quelques années
  23. rendbo

    Eurofighter

    il me semble que les ennuis avec le sentier lumineux sont terminés depuis longtemps, et que les voisins n'ont pas besoin d'ambitions territoriales sur le Pérou... dans l'absolu, même si l'on ne sait pas de quoi demain sera fait, ils n'auraient donc que besoin de faire de la police du ciel... par contre, est ce que le typhon fonctionne correctement sur des aéroports d'altitude ? il me semblait qu'il avait eu ces soucis sur ce plan lors de l'évaluation indienne... et si jamais ils voulaient voir grand et construit pour durer longtemps, je connais un avion omnirole qui neuf coute un peu plus cher que 45 Millions pièce... les choses étant bien faites, avec moins de cet avion, ils auront plus de capacités opérationnelles qu'avec les typhoons... :oops:
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