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Le système de combat Humain 2.0


Tancrède
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Bonjour à tous. Je lance ce sujet qui évoquera mes marottes et fixations personnelles, et ce dans la section uchronie pour ce qu'il me semble plus adapté que la section Histoire à faire une évolution prévisionnelle, soit à partir d'un point donné de l'histoire soit en pure projection futuriste.

Pour faire court, je m'interroge sur la façon récurrente à travers l'histoire de sous-valoriser, tant par commodité que par a priori ou intérêt bien senti, la valeur d'un soldat en tant qu'outil militaire, que système d'arme. Expérience personnelle, formation, équipement, hébergement et entretien, qualité du recrutement.... Tout a souvent eu tendance à être payé au rabais, ou à le redevenir après une brève période d'embellie.

Le point est discutable en général, les systèmes nombreux (la féodalité fut même le système inverse), mais l'idée de départ (qui peut être complétée par d'autres uchronies) est de voir ce qui pourrait advenir si, par exemple, demain, le coût d'une unité combattante (bataillon....) était non plus considérée de façon comptable dans la case "coût salarial" et l'était dans la case "investissement", l'unité combattante étant après tout un système d'arme en soi et un pion géopolitique. Quelles tendances d'évolution politiques, d'investissement, tactiques.... Pourraient advenir?

Le point est que la façon que nous avons actuellement de comptabiliser les dépenses n'est pas une chose neutre et tend à former des moules de pensées, et la prééminence du hardware dans les esprits, surtout occidentaux, a tendance à atteindre des proportions assez alarmantes jusqu'au niveau le plus abstrait de la pensée militaire. Décider de comptabiliser les unités et sous-unités combattantes, si possible telles qu'elles sont employées, comme unité de compte, base de référence et "objet" de répartition de l'investissement (et non dans une bête case "salaire/traitement/solde".... Limite considérée comme pestiférée et à diminuer quoiqu'il arrive comme quelque chose de non productif) pourrait-il concourir à changer la donne selon vous (sur une durée donnée)? Outre le changement d'optique qui pourrait en découler, il s'agit aussi de trouver/retrouver une place pour la valorisation de l'élément humain comme actif déterminant dans la qualité d'un outil militaire et la prise en compte (voir une mesure un peu précise) de la variété des capacités et de la qualité de réalisation qui peut en être obtenue, ne serait-ce que par rapport à la façon dont est (peu) valorisé et utilisé le potentiel humain dans la vision actuelle, managériale, comptable et mécaniste. L'élément humain a ses logiques, dont beaucoup ne sont pas -ou très peu, ou pas facilement- quantifiables, et requiert une autre approche que ce qui est fait actuellement, et ce encore plus pour des armées de petite taille où l'élément de base compte nettement plus en proportion, et à une époque où la variété des missions est énorme.

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Réflexion que l'on peut élargir au monde de l'entreprise, quand on voit l'effort  :'( qui est porté sur la formation...

Non seulement, ce n'est pas quantifiable, mais en plus ce n'est pas durable... Mon char, personne va me le piquer, par contre mon gus, y'en a bien qui vont essayer de le débaucher... Ce serait con de perdre un tel investissement, n'investissons pas.

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Sauf si:

- tu fais de la sélection (qui suppose une attractivité en amont)

- tu donnes une formation initiale réellement revue depuis la base

- tu opères un deuxième sas de sélection après un temps donné dans l'armée (qui est aussi une perspective de carrière), avec là un contrat réel qui donne une visibilité sur un certain nombre d'années, avec valorisation constante du "produit" (le vrai produit pour l'armée étant l'unité de combat, plus encore que l'individu, mais l'un passe par l'autre). Là, tu peux, si et seulement si le rôle des soldats/unités est reconsidéré à l'aune de sa réelle efficacité (versatilité, caractère décisif arme par arme, spécialité par spécialité, usage le plus fréquent et courant....), tu peux donc commencer à estimer à la louche des "seuils de rentabilité" correspondant à des durées en-deçà desquelles il n'est pas question de laisser le troufion formé quitter l'armée (durée minimum des contrats, prolongations, attractivité, reconversion....).

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Réflexion que l'on peut élargir au monde de l'entreprise, quand on voit l'effort  :'( qui est porté sur la formation...

Non seulement, ce n'est pas quantifiable, mais en plus ce n'est pas durable... Mon char, personne va me le piquer, par contre mon gus, y'en a bien qui vont essayer de le débaucher... Ce serait con de perdre un tel investissement, n'investissons pas.

C'est même pire que cela

Le gus (fantassin, biffin trouffion, mange boue, crapouillot, poilu) c'est du jetable depuis l’avènement des levées de masses et ce depuis la nuit des temps

Donc on a du jetable et de l'élite (formée, équipée et valorisée), entre les 2 deux c'est souvent le vide sidéral

Et avec l'effet com habituel, le jetable est pas cher, nombreux et disposable (on en perd 10 on en trouvera 10 autres)

l'elite doit elle etre preservée pour le coté flamboyant (ah les zoli zuniformes) et encadrer/inspirer/motiver/diriger ces va nu pieds de jetables

C'etait deja marqué jusqu'aux guerres de l'Empire (ou cependant le système de formation  puis l'aguerissemenet continu a pu compenser un peu ce gap entre unités). Une fois passé au stade industriel de la guerre la question a été : pourquoi perdre plus que quelques semaines à former des soldats quand un obus tombé de nulle part va anéantir l'investissement

Laissons faire la selection naturelle : les plus malins, rapides, chanceux, habiles s'en sortiront

Et on est toujours dans cette optique (d'autant plus avec la standardisation, manuel TTA et toussa) avec un petit retour de l'elite cependant mais par la petite porte militaire (et la grande porte médiatique) les FS.

Ca reste donc très lié à la pensée Ie GM, IIe GM et guerre froide ou un bataillon pouvait etre detruit en 50sec par une batterie de LRM

Tant qu'on aura pas passer cette chapelle on ne pourra pas former de façon plus poussée ou plus spécialisée nos unités de soldats (AdT essentiellement)

Ou alors il va falloir créer un corps spécial séparé avec son propre manuel de formation différent du TTA (nos super gendarmes du fil l'airpower  :lol:)

Donc se mettre à dos toutes les autres chapelles a qui on prendra des cadres, des infrastructures et des moyens

Un peu comme les Marines aux USA qui survivent tant bien que mal grace à la constitution alors que c'est pas l'envie ni à l'Army, ni à la Navy d'enterrer le corps qui manque

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C'est ce qui est aujourd'hui terriblement frustrant quand on considère que c'est précisément d'effectifs dont le besoin se fait sentir, de même que de versatilité, de solidité.... Le tout pour porter et utiliser des équipements poussés ET en tirer le maximum, répondre à des situations qui n'ont jamais été aussi diverses. Mais la culture techniciste, l'absence de réflexion sur les logiques qui font que les choses militaires (et la considération du facteur humain en tête) sont ce qu'elles sont (culture, résistance au changement) et sans doute beaucoup de commodité politique/gestionnaire à la petite semaine et d'intérêts de lobbies pesant lourd.... Se cumulent pour sous considérer sans même trop y penser le rôle des individus et groupes, et ce qu'il pourrait être possible d'en tirer. Quelque part, pour le fantassin, FELIN est l'incarnation de cette réponse systématique du gadget avant la tactique et la réflexion. Mais multiplier quelques capacités de fantassins peu considérés et moyennement formés, et surtout forcer la mentalité de spécialisation et les enfermer dans un système avec ses handicaps à compenser, c'est quelque part se couper de beaucoup de choses et de possibilités. Avec en outre le désavantage de réduire encore la masse de manoeuvre.... Si tant est qu'on puisse encore l'appeler une masse.

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un truc bête ,avant dans les premier régiments pro il y avait des examens (normal )et un concours qui permettaient à un un capo-chef d'allé à la retraite ,le hic s'est que même si le gus tapé une super note ,s'était des postes budgétaire ,donc on a eu des gus hyper qualifié se retrouver dans le civil ,et des gus pas forcément les meilleurs dans le travail mais être bon au niveau passage de concours ben resté  ...

comme à une époque ,les gus qui étaient pilote de Leclerc ,certes ils bossaient mais ils savaient qu'ils auraient le concours vu leurs degrés de spécialité (pilote de Leclerc ,sa coûté à former ) .

faut savoir un truc ,on propose des contrats de 10 ans dès le départ aux jeunes engagés (je suis au courant mon gamin va s'engager ) .se qui laisse entendre qu'on veut du retour sur investissement quelque part ,et je pense qu'ils ont du améliorer leur système de repérage sur les capacités d'une potentiel recrue .

d'un autres côté ,même si le gus ne monte pas les échelons ,on aura toujours un gus qui aura l'ancienneté au sein d'un groupe ,permettant de garder un peu plus longtemps des soldats  qui ont cumulé de l'expérience .

faut pas croire ,mais des soldats n'ayant pas l'envie de vouloir monter au niveau hiérarchique ,il y en a ,le gus du moment qu'il est avec  ses potes ,et qu'on ne lui demande pas la lune (il y a des gars qui n'ont pas besoin d'avoir le galon pour aimer le boulot ) en se disant que pendant 10 ans il à de quoi voir venir (pas facile de trouver un job à l'heure actuelle dans le civil ou on fera carrière dans la même boite ) .

même si tout le monde ne signe pas dix ans ,sa permet de garder un potentiel de "vétérans" au niveau militaire du rang .

avant un caporal-chef qui n'avait pas le concours partait à 9 ou 11 ans ,un caporal s'était sept ans ou 9 ans et un 1°classe 6 ou 7 ans il me semble ,maintenant on simple soldat peut allé jusqu'à 10 ans .

quelques part ,on arrive à un niveau de spécialisation assez important du simple soldat .

je me demande si se système n'est pas une sorte de contrôle permanent ,qui permettra à un militaire du rang de passé le cap des dix ans ,gravira les échelons et pourra finir sous-off .genre adjoint d'un chef de section par exemple .

enfin voilà ,je balance sa à la grenade à fusil comme d'hab'  :lol:

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Heureusement, les principes de ce qu'il y a à faire en la matière -certains d'entre eux en tout cas- ne sont pas totalement étrangers à l'armée française ou aux armées occidentales en général. Mais c'est l'approche générale qui est à revoir de l'amont, et les proportions qui en résultent: proportion de soldats "anciens" dans la troupe, planification des formations dans un parcours de carrière long, reconversion des personnels issus des spécialités de combat en particulier (les hyper spécialistes techniques ont rarement des problèmes en la matière), mais aussi des mutilés/blessés (je renvoie à la capitalisation de l'expérience chez les SAS qui gardent leurs blessés dans des "desk jobs" et boulots de formation).... Quelle proportion de la troupe bénéficie de formations, de propositions de contrats longs, d'une véritable valorisation? Quand on regarde l'évolution sociale/sociétale de la figure de l'officier, il y a de quoi s'inquiéter à mon sens.

Le point est que penser l'approche "humaine" de l'amont permettrait aussi d'envisager, à la lumière des conflits récents (et moins récents) et prévisibles, de réenvisager tout ce à quoi pourraient servir les troupes au sol (et les autres), tant les individus que les équipes formées, les sous-unités et les unités élémentaires, surtout à l'aune d'une vision cherchant à mettre en valeur le potentiel maximum du capital humain.

Et plus encore, j'ai déjà pas mal déblatéré dessus, mais améliorer l'attractivité dans des proportions autres qu'anecdotiques et ponctuelles, revoir le métier en général, pour attirer de meilleures recrues et avoir plus de choix afin précisément d'étendre le champ des capacités des unités et l'aptitude moyenne à capitaliser l'expérience et recevoir des formations nombreuses, diverses et systématiques pour un certain nombre d'entre elles.

On mesure mal, sur le temps un peu long, l'immense impact de l'arrêt de la conscription (qui permet de sélectionner, de disposer d'une masse donnée....), de l'effondrement de l'esprit "national/citoyen" et de l'individualisme (sens du collectif, patriotisme....), et sans doute aussi celui de la fin de grandes menaces directes -et perceptibles facilement par tous- sur le territoire. Tout comme on a mal mesuré d'ailleurs pendant longtemps l'impact de la conscription universelle. C'est un peu le but de ce topic et la raison pour laquelle je l'ai mis dans la section "uchronie", afin de "décréter" quelques changements survenant dans la vision et la gestion du capital humain et d'essayer de voir les conséquences immédiates et de moyen terme sur l'armée -avantages, progrès et risques.

Donc le point de départ est cette idée selon laquelle il faut une armée considérant le capital humain précisément comme cela, un capital à valoriser au même titre que les investissements en matériels nouveaux. Ce capital humain -individus et groupes- bénéficie dans ce cas de figure, comme le matériel, de l'apport de sciences et de savoirs transmis pour optimiser sa gestion et son développement qualitatif. La question ne peut pas être d'avoir 100% de la troupe dans un tel cas de figure: ce serait trop systématiser évidemment, et de fait créer une "fonctionnarisation" de la carrière qui perdrait le luxe d'évacuer les corniauds, les polios, ceux qui cherchent une planque ou ceux qui n'ont qu'une demi-envie. Mais une proportion nettement plus importante qu'actuellement me semble une urgence dont l'évidence devrait être plus criante dans une armée à 20 RI et, au final, moins de 27 "pions de manoeuvre" théoriques (environs 3 GTIA par brigade) et plus vraisemblablement 16 en pratique, lesquels ne sont pas vraiment opexables en même temps, loin de là.

L'idée n'est pas d'avoir l'équivalent des FS dans les 2/3 de l'armée mais y'a un peu de ça quand même (dans le principe, pas au même niveau) étant donné qu'on ne peut se servir de théories militaires et de modes de pensée opérationnels issus de l'époque des armées très nmbreuses avec des forces expéditionnaires très réduites.

Donc quelles évolutions pourraient arriver, selon vous, à court et moyen terme, dans une armée qui viserait ainsi une plus grande sélection initiale (avec un développement corollaire de l'attractivité), un meilleur repérage (considéré comme une priorité d'investissement), un intense travail de valorisation et de développement du capital humain revu et corrigé depuis l'amont? Quelles pourraient être les dites réformes, et comment cela se traduirait:

- sur l'organisation de la troupe?

- sur le panel des capacités tactiques et opérationnelles?

- sur le coût de "l'outil" humain?

- sur la stratification des forces? Entendez par là: cela créerait-il une armée à plusieurs vitesses? Une certaine différenciation (nettement plus affirmée) entre ceux qui sont dans une première phase de sas/sélection et ceux qui sont en carrière longue?

- sur les chapelles et lobbies gagnant en importance avec cette nouvelle approche? Tant les chapelles internes à l'armée (GRH),  que les entreprises contractantes impliquées dans la formation, la réflexion sur l'organisation/la GRH en général....

- sur le rapport aux pertes (moins dans l'opinion publique que dans les forces)?

C'est précisément la raison du titre de ce sujet: partons du principe que le capital humain est soudain culturellement considéré comme aussi crucial que le matos et raison d'une priorité d'investissement. Quelles sont les voies diverses que peut prendre cette nouvelle approche? Quels sont les risques d'impasses et de dérives? Quel "retour sur investissement"?

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ben moi je dirais qu'un cursus pour un MDR ,serait de savoir qu'il va pouvoir servir dans un truc qui bouge ,et qu'il aura la possibilité d'avoir une carrière dans une arme de soutien ,se qui permet d'y passé d'autres spécialités non combat mais du domaine logistique soutien etc ...

spécialités qui permette de préparé un retour dans le civil moins douloureux car on se rapproche de métiers que l'on trouvera dans le civil .de plus on garde un côté "guerrier au repos" ,un gars qui connait l'ambiance compagnie de combat ou autres (escadrons ou batteries ) ,et sait que sa nouvelle tâche n'est pas inutile ,car il voit l'autres côté du décor ,soutenir ceux qui vont au feu (le soutien ,boulot pas si cool que sa ).

on peu même permettre à des gars plus trop en forme pour rester dans unités de combat arrivé dans des unités de soutien (attention ,il y a un pas mal de monde ayant servit toute une carrière dans une arme se soutien qui tienne largement la route côté physique ) .

un truc qui pourrait motiver ,s'est de créer un régiment de soutien combat au FS ,un peu dans le style Brits ,ou les Australiens avec le régiment Commando ,ou les rangers chez les US .

une sorte de sas qui permettrait aux mordus de combat de passé à un niveau au dessus .bon d'un côté ,sa pourrait privé des unités classique de bons éléments .

faut peut-être justement insister sur les différentes cursus ,qui permettent de caser au mieux des gars méritant .

on peu avoir un super gars qui a toujours fait de la compagnie de combat ,mais qui physiquement ne suivra plus ,autant le dirigé sur un job plus "cool" ou il se spécialisera dans un domaine différent et qui facilite aussi la reconversion dans le civil et évitera les problèmes du genre :

-"vous faisiez quoi à l'armée ?"

-"ben j'était pointeur sur mortier de 120 ",

-"et bien ici vous serez pointeur au chômage ..."

le gars ne perd pas on statut de gars de compagnie (il y a une fierté de servir dans se genre de spécialité ) au niveau fierté ,car il sait qu'on le recase et qu'on ne le jette pas .on suit son cursus et on le réoriente .

pareil pour le gars qui disons finit par s'ennuyer en compagnie de combat ,il aime le boulot mais pense pouvoir servir dans un truc plus péchu et ou il pourra disons mettre plus en valeur ses capacités ,être plus autonome .un régiment de soutien combat aux FS seraient une bonne solution .

sa pourrait même lui ouvrir une possible entré dans le monde FS .et si il ne peu pas il pourra mettre ses qualités dans à un truc moins pointus que les FS que serait le régiment de soutien combat aux FS  .

en gros on recalibre le cursus en fonction du gars ,tout en gardant bien en tête qu'il faut que le gars sente qu'il n'est pas mis au rencart du fait d'une faiblesse physique ,ou dégoûté un gars qui est très péchu ,qu'on veut garder à tout prix au sein de la compagnie de combat et qui finira par partir au bout de son contrat .

en espérant ne pas être confus  :P

en gros pour éviter les crevards ,"cas soc" engagé gamelle ,etc (il y en aura toujours mais qu'on peu quand pas mal limité ) ,faudrait un système simple pour les jeter (j'ai une idée mais bon ,sa ne serait plus trop bien vu à l'heure actuelle  :lol: ) ...

perso ,je préfère un gus qui dénonce son contrat car il trouve que que se n'est pas fait pour lui ,plutôt qu'un morpion qui s'accroche ...

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Le titre etait plutot allechant...mais c'est plutôt une version 1.5.7 que vous envisagez là...

Pour du 2.0, j'aurais au moins espéré un peu de modifications des capacités physiques par modification du DNA et donc des synthèses des protéines musculaires qui en résulteraient , via les techniques de biologie cellulaire ou l'utilisation de technique d' optogénétique ou peut-être moins ardu d'un point de vue bioéthique, une "brain computer interface" évoluée permettant de gérer un exosquelette...

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Tu jouerais pas un peu sur les mots là...  :lol:

Interface homme-ordinateur, amélioration des capacités physiques, ...

Moyens différents, parce qu'époque différente, mais les mêmes fins! Une transformation scientifique et technique de l'homme.

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