Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

La Sélection SAS


grey
 Share

Messages recommandés

J'ai vu qu'il y avait eu trois décès en 2013 de candidats à la Sélection du SAS britannique. On pourrait dire que les accidents ça arrive, comme on a régulièrement des morts à des marches courses indépendamment du régiment ou de l'unité en France. Mais trois en une année n'est pas hasardeux. Il y eut au moins une douzaine de morts depuis que la Sélection fut mise en place.

 

http://www.dailymail.co.uk/debate/article-2364723/Tested-destruction-Ex-SAS-officer-reveals-terrifying-selection-process-special-forces.html

http://www.express.co.uk/news/uk/416309/SAS-course-that-has-killed-a-dozen-men

 

Je me demande donc, sans aucune fanboy attitude telles qu'on peut en voir sur les forums anglophones (assez peu sur les francophones d'ailleurs), si ceci, plus le taux de sélection TOUJOURS drastique depuis qu'elle existe, accrédite véritablement la Sélection SAS britannique d'être la plus sévère, au moins dans les démocraties occidentales ?

 

En cela, la définition de sélection la plus difficile peut être définie par l'addition dangerosité (exigences physiques et mentales avec des séquelles potentielles pour le corps humain) et exigences de performances/standards (voire les barèmes de la Sélection britannique lors de l'Endurance Phase).

 

Il y a bien des sélection vraiment dangereuses dans certains groupes d'Amérique Latine ou d'Asie, mais la dangerosité dans ce cas là n'est pas nécessairement due aux standards de la sélection mais simplement au fait que certains pays aient une culture militaire/FS plus "bourrine" où les candidats se mettent facilement en danger, sans pour autant que le niveau physique, psychologique, sportif et mental demandé ne soit excessivement élevé. La raison pour laquelle je restreints la Sélection britannique aux normes occidentales. 

 

Et si on peut vraiment accréditer la Sélection SAS (bon aujourd'hui ça englobe aussi le SBS) de cette réputation, comment cela se fait-il que ça reste l'apanage des britanniques de maintenir des standards aussi élevés ? 

 

Ou alors est-ce que la réputation de difficulté des FS britanniques est simplement mythifiée du fait qu'ils sont historiquement les pionniers en la matière ?

 

Je rappelle que ce n'est pas une discussion fanboy. Même si on s'accorde sur le niveau de Sélection plus ardu au 22 SAS qu'ailleurs, ça ne veut pas dire "meilleur" là non plus. Les brits semblent être un peu moins considérés qu'il y a quelques années en termes de réussites opérationnelles, et américains, polonais, français...ont pas mal gainé en terme de neutralisations de terroristes/pirates depuis. 

Modifié par grey
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai vu qu'il y avait eu trois décès en 2013 de candidats à la Sélection du SAS britannique. On pourrait dire que les accidents ça arrive, comme on a régulièrement des morts à des marches courses indépendamment du régiment ou de l'unité en France. Mais trois en une année n'est pas hasardeux. Il y eut au moins une douzaine de morts depuis que la Sélection fut mise en place.

 

http://www.dailymail.co.uk/debate/article-2364723/Tested-destruction-Ex-SAS-officer-reveals-terrifying-selection-process-special-forces.html

http://www.express.co.uk/news/uk/416309/SAS-course-that-has-killed-a-dozen-men

 

Je me demande donc, sans aucune fanboy attitude telles qu'on peut en voir sur les forums anglophones (assez peu sur les francophones d'ailleurs), si ceci, plus le taux de sélection TOUJOURS drastique depuis qu'elle existe, accrédite véritablement la Sélection SAS britannique d'être la plus sévère, au moins dans les démocraties occidentales.

 

En cela, la définition de sélection la plus difficile peut être définie par l'addition dangerosité (exigences physiques et mentales avec des séquelles potentielles pour le corps humain) et exigences de performances/standards (voire les barèmes de la Sélection britannique lors de l'Endurance Phase).

 

Il y a bien des sélection vraiment dangereuses dans certains groupes d'Amérique Latine ou d'Asie, mais la dangerosité dans ce cas là n'est pas nécessairement due aux standards de la sélection mais simplement au fait que certains pays aient une culture militaire/FS plus "bourrine" où les candidats se mettent facilement en danger, sans pour autant que le niveau physique, psychologique, sportif et mental demandé ne soit excessivement élevé. La raison pour laquelle je restreints la Sélection britannique aux normes occidentales. 

 

Et si on peut vraiment accréditer la Sélection SAS (bon aujourd'hui ça englobe aussi le SBS) de cette réputation, comment cela se fait-il que ça reste l'apanage des britanniques de maintenir des standards aussi élevés ? 

 

Ou alors est-ce que la réputation de difficulté des FS britanniques est simplement mythifiée du fait qu'ils sont historiquement les pionniers en la matière ?

 

Je rappelle que ce n'est pas une discussion fanboy. Même si on s'accorde sur le niveau de Sélection plus ardu au 22 SAS qu'ailleurs, ça ne veut pas dire "meilleur" là non plus. Les brits semblent être un peu moins considérés qu'il y a quelques années en termes de réussites opérationnelles, et américains, polonais, français...ont pas mal gainé en terme de neutralisations de terroristes/pirates depuis. 

 

 

 

sa vient peut-être du fait que les gens n'ont peut-être plus forcémment la même capacité mentale et physique par rapport aux fameux tests .

 

donc on commence à voir des mecs venir en se disant que s'est faisable ,que s'est à leur porté .

 

faut dire que depuis un bon moment ,même si le SAS bossent dans son coin , en Afghanistan  les mecs de la régulière les croisent plus que par le passé .donc le mythe est peut-être à leur porté .

 

 

il surestime leur propre capacité et on a des accidents .

 

vu que s'est une démarche personnelle ,le SAS est peut-être pas là pour faire une "pré sélection" .

 

enfin si sa peu donné quelques pistes de réflexion mon post .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La sélection des opérateurs du 1st SFOD-D est calquée sur celle des SAS britanniques. C'est justement une idée de Beckwith lors de son passage chez les Britanniques dans les années 70. La long marche de 60 km, ...

Ceci dit, la plupart des forces spéciales viennent arguer que leur programme de sélection est le plus rigoureux du monde. Les Navy SEALs le prétendent, sans compter les mecs du DevGru qui enchaînent deux processus de sélection. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un certains nombre d'unités sont calquées dans leur sélection sur le SAS mais j'ai envie de dire, toutes les unités n'ont pas forcément les Brecon Beacons comme cadre, ni forcément les mêmes standards et chronos. Ajouté à ça les décès dans ces sélections respectives. Les accidents arrivent partout mais en comparaison (et c'est là que je peux avoir tort) ils me semblent plus nombreux et réguliers chez les britanniques. Toutes les FS se vendent sur leur sélection mais pas toutes forcément en les mêmes termes. Les unités spéciales françaises semblent à ce titre plus modestes, ou bien reconnaissent ne pas présenter ce qu'il y a de plus redoutable (bien que le cours nageur français me semble vraiment être la formation de nageur de combat pure la plus rigoureuse existante). Je ne parle pas du nombre de sélection (auquel cas on peut parler des commandos marine français qui dans une carrière complète ont 4 stage commandos, donc sélections, avec éventuellement le cours nageur). Je parle bien de sélection unique.

 

Les Recce sudafs, avant la fin de l'apartheid, avaient une réputation de difficulté et dangerosité extrêmes, alliées à des succès opérationnels incontestables. Mais ça c'était avant. Et là aussi l'influence du SAS brit semble palpable... 

Modifié par grey
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il faut se méfier des incidents groupés. ça peut-être des anomalies statistiques, la faute à pas de chance, les températures descendent une fois en dessous de 0 au mauvais moment et ça peut tout de suite faire du bilan. Si je ne m'abuse, c'était arrivé à un groupe de St-Cyriens il y a quelques années dans les montagnes.

 

Ensuite, un autre élément peut-être pertinent, c'est le fait que certains de ces incidents impliquent des réservistes. De ce que j'ai compris, les épreuves sont les mêmes mais plus répartis dans le temps. Pas nécessairement étonnant que des reservistes se mettent dans une situation dangereuse et poussent trop loin.

 

Une 3ème chose, c'est qu'un processus de sélection qui pousse aussi loin, c'est probablement pas optimal. Pour chaque mort, il doit y avoir un paquet de blessés dont certains à vie. Dans son bouquin sur le SBS, Falconer le faisait remarquer au sujet d'un incident où un marine s'était pris un objet que le groupe transportait sur la rotule.

 

Maintenant la sélection type SAS est le grand classique du genre. Avec un minimum de moyen, sans que chacun sache vraiment pourquoi, les individus qui passe la hill phase/phase d’endurance/etc. sont en général le bon type d'individus. Après ça, il reste en général juste une dernière sélection par les pairs et éventuellement par des psychologues et c'est fini. 

Sur youtube,il y a deux bons reportages sur les sélections des SAS australiens et néo-zélandais qui doivent pas être sensiblement différentes de la sélection des brits.

 (par la chaine SBS  :cool: )
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En 2013, un capitaine est décédé lors de la Sélection hiver (froid), et les deux candidats de la TA en été. En tenant compte que ces accidents sont plus réguliers dans l'historiques de la formation que ponctuels.

Les deux stagiaires de St Cyr décédés à l'école de haute montagne étaient des élèves africains à priori peu préparés à ce type de rigueur. A mon sens pas tout à fait comparable.

Les liens que j'ai posté parlent aussi d'un grand nombre de blessés graves au fil des ans.

 

Les NZ SAS et SAS R sont certainement de très haute pointure dans leur Sélection, mais toujours est-il là encore que c'est l'original qui porte cette redoutable réputation.  

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En 2013, un capitaine est décédé lors de la Sélection hiver (froid), et les deux candidats de la TA en été. En tenant compte que ces accidents sont plus réguliers dans l'historiques de la formation que ponctuels.

Les deux stagiaires de St Cyr décédés à l'école de haute montagne étaient des élèves africains à priori peu préparés à ce type de rigueur. A mon sens pas tout à fait comparable.

Les liens que j'ai posté parlent aussi d'un grand nombre de blessés graves au fil des ans.

 

Les NZ SAS et SAS R sont certainement de très haute pointure dans leur Sélection, mais toujours est-il là encore que c'est l'original qui porte cette redoutable réputation.  

 

moi franchement à se niveau je pense que la comparaison entre FS française type 1°RPIMa voir US (seal ,béret vert etc ... ) avec le SAS n'est pas la bonne .

 

si je devais comparait s'est plutôt avec les mecs du service Action ,CPIS (11°Choc ) .

http://fr.wikipedia.org/wiki/Service_Action

 

si le SAS au vu des missions joue dans pas mal de domaine (ils peuvent bossé en civil contrairement au mec du 1°RPIMa ) ,ils participent aussi ,que se soit dans de la formation ou directement avec les service de renseignement .

comme le fait le CPIS .

 

là différence s'est que le SAS s'est mis en avant pour gardé de l'Aura et ne pas resté invisible auprès du grand public ,donc sa passe par les médias et donc des fuites occasionnel sur d'autres sujets (je ne parle pas de cet accident ) .

 

contrairement au service action .

le seul accident relaté fut la perte de 2 élèves suite à un cours sur le maniement d'explosif ,et le nom et le visage d'un des commandos tué en Somalie lors de la tentative de libération de Denis Alex .

 

après quid des décés lors de la phase de séléction ?

il n'y en a peut-être que rarement mais sa ne change rien .

 

j'ai un pote qui fit une bonne période au CPIS ,une fois en Yougo alors qu'il avait quitté le CPIS (suite à une blessure "accidentelle" ) et qui a rejoint la "verte" a reconnu des mecs du SAS qu'il avait connu avant ... sans rentré dans le détail sur sa avec moi .

 

et la formation peut-être différente en terme de séléction (que sait on vraiment de la selection d'entré au service action ?) mais reste néanmoins un truc de "fou" avec le service action (pour le peu que j'en sait ) .

 

 

on relate des opérations commune occasionnelle  entre service Action/SAS sur le lien que j'ai mit plus haut .

 

donc on part quand même sur une autre vision en prenant en compte cet état de fait .

 

pour moi je vois plutôt une comparaison possible comme cela :

 

service Action ,delta Force US ,SAS .

 

le point commun entre ses unités sont bien sûr le type de mission mais aussi une base .

 

le 11°Choc a sa formation a eu pas mal de personnels qui sont passé par le SOE  http://fr.wikipedia.org/wiki/Special_Operations_Executive ,et a eu aussi des anciens ayant fait parti des SAS français libre .

 

un truc intéressant ,après la guerre on a envoyé chez les RM (donc le SBS  ) car on allé crée un corps de nageur de combat .

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Morlane

 

il en résulte une sorte d'affiliation issue des personnels Français ayant servi avec l'armée Britannique .

 

donc je pense que la formation et la sélection doivent se faire dans le même état d'esprit et de dureté .

 

 

pour la Delta Force ,s'est un colonel qui copia le principe du SAS car ayant était affecté lors d'un programme d'échange .

http://fr.wikipedia.org/wiki/Delta_Force

 

et apparement la séléction est assez similaire avec celle du SAS .

 

 

donc je pense qu'on peu revoir qui sa touche exactement comme profil en faisant se constat de "bonne comparaison" .

 

 

 

 

 

 

 

 

moi je reste sur le principe que les mecs en règle général doivent surestimé leur capacité et se ... plante .

 

intéressant de voir la météo au pays de Galle .

http://www.metoffice.gov.uk/climate/uk/wl/print.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le SAS fait des missions FS et clandestines. Mais en ce qui concerne le clandestin, il y a de nombreux exemples où il s'avère être moins adéquatement formé (pour citer un mec du Det, "un soldat SAS en civil reste un soldat SAS" et avant tout une unité avec une culture de l'action militaire stratégique, dont Op spéciale.

 

Un grand nombre d'opé depuis 10 ans faites par le SAS en Irak et Afgha sont clairement des OP spéciales, comparables à ce que fait le COS français au Mali. 

 

Je crois même que depuis l'Irlande du Nord, les op clandestines sont vraiment rares.

 

Et peu importe la dimension clandestine du SAS, ma question porte sur la Sélection, qui dans son contenu est comparable à ce qui se fait ailleurs (ça reste son modèle de base).

 

Les décès au CPIS en 2009 sont dû à un accident sur un entrainement explo. Les décès dont je parle à la Sélection SAS sont directement liés à la dureté physique de la formation et ne datent pas d'hier, ça arrive de manière régulière depuis la mise en place de la Sélection, qui ne remonte pas aux tout débuts du SAS où il était lié de près ou de loin aux SAS français et autres par ailleurs.

 

J'ai l'impression simplement générale que dans les FS occidentales, il n'y a pas d'autre unité où des mecs meurent régulièrement dû au niveau physique exigé, peu importe l'époque.

Delta a basé son modèle sur le SAS mais la réputation de dureté extrême, avec des décès réguliers continue d'émaner du 22 SAS à ma connaissance.

Modifié par grey
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A part celui de le vétéran de Mirbat qui avait voulu parcourir l'épreuve en solo sans matos hivernal en 1979, je ne me souviens pas d'en avoir souvent entendu de morts dans la sélection SAS. Peut-on vraiment dire que les décès sont réguliers ?

 

Par contre j'ai entendu dire que de jeunes Rangers étaient morts de froid lors d'une sélection ou d'un exercice en hiver (années 80 ou début 90), et que deux candidats SEAL s'étaient noyés dans les années 70.

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A part celui de le vétéran de Mirbat qui avait voulu parcourir l'épreuve en solo sans matos hivernal en 1979, je ne me souviens pas d'en avoir souvent entendu de morts dans la sélection SAS. Peut-on vraiment dire que les décès sont réguliers ?

 

Par contre j'ai entendu dire que de jeunes Rangers étaient morts de froid lors d'une sélection ou d'un exercice en hiver (années 80 ou début 90), et que deux candidats SEAL s'étaient noyés dans les années 70.

Pour les Rangers, c'était début 80 voir même fin des années 70. Je crois que Haney y fait référence dans son livre. Une année, lors de phase en Floride de la Ranger School, ils ont eu une vingtaine de cas d'hypothermie et 4 morts. En réaction, l'encadrement a depuis autorisé les candidats à manger une bar chocolatée par jour.

Par contre, la ranger school est plus une école d’aguerrissement qu'un processus de sélection, mais il est impossible de vraiment faire carrière dans les fs sans.

 

 

 

ah tient une petite recherche google fait remonter un cas des année 90: http://www.nytimes.com/1995/02/18/us/army-opens-inquiries-into-ranger-deaths.html

D'après l'article, on arriverait à 8 morts depuis 77 et Hanney doit confondre le cas (4 morts) de 90 et de 77(2 morts) plus 2 morts encore entre 90 et 95.

 

http://www.arlingtoncemetery.net/mpalmer.htm

Before the February 15, 1995 incident, three soldiers had died in Ranger training since the 1977 tragedy. In 1985, a soldier participating in the swamp phase drowned while trying to cross a stream against a strong current. In March 1992, a soldier died during the mountain-training phase. Officials weren't aware at the time that he carried the sickle cell anemia trait, a condition that can be fatal if an individual is placed at high altitudes and under stress. In August 1992, a student fell to his death while participating in the "slide for life" on a cable about 50 meters above ground that slants downward over water. 

 

D'après celui là, il y en aurait eu 9 dans cet intervalle de temps. Et depuis 95, la durée totale de l'épreuve a été réduite, et je pas trouvé de nouveaux décès depuis.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le SAS fait des missions FS et clandestines. Mais en ce qui concerne le clandestin, il y a de nombreux exemples où il s'avère être moins adéquatement formé (pour citer un mec du Det, "un soldat SAS en civil reste un soldat SAS" et avant tout une unité avec une culture de l'action militaire stratégique, dont Op spéciale.

 

Un grand nombre d'opé depuis 10 ans faites par le SAS en Irak et Afgha sont clairement des OP spéciales, comparables à ce que fait le COS français au Mali. 

 

Je crois même que depuis l'Irlande du Nord, les op clandestines sont vraiment rares.

 

Et peu importe la dimension clandestine du SAS, ma question porte sur la Sélection, qui dans son contenu est comparable à ce qui se fait ailleurs (ça reste son modèle de base).

 

Les décès au CPIS en 2009 sont dû à un accident sur un entrainement explo. Les décès dont je parle à la Sélection SAS sont directement liés à la dureté physique de la formation et ne datent pas d'hier, ça arrive de manière régulière depuis la mise en place de la Sélection, qui ne remonte pas aux tout débuts du SAS où il était lié de près ou de loin aux SAS français et autres par ailleurs.

 

J'ai l'impression simplement générale que dans les FS occidentales, il n'y a pas d'autre unité où des mecs meurent régulièrement dû au niveau physique exigé, peu importe l'époque.

Delta a basé son modèle sur le SAS mais la réputation de dureté extrême, avec des décès réguliers continue d'émaner du 22 SAS à ma connaissance.

 

moi je vais plutôt posé la question autrement :

 

pourquoi voir forcément une séléction être la plus dure au monde parce qu'il y a des morts au test d'entrée ?

 

donc qu'il reste forcément les meilleurs par rapport à se critère .

 

se servir habilement de l' accident et aussi une manière de toujours laissé entendre qu'on est le top du top .

 

mais s'est surtout que s'est plus une source d'emmerde à justifié .

 

alors certains anciens font les gros bras avec des déclarations du style s'est pas le club med pour resté bien viril ,mais je ne pense pas que sa arrange les patrons du SAS ...

 

 

 

il y a tellement de monde qui se présente qu'automatiquement on aura des personnels qui penseront avoir le niveau .

 

et donc fatalement de la casse .

 

on se dit que s'est peut-être limite pour les réservistes sur se lien :

 

Environ un quart sont des personnes qui n'ont pas militaire connexion qui se joignent directe, dit le ministère de la Défense. Le processus de sélection est le même pour tout le monde, mais tout en elle est concentrée en cinq semaines pour les soldats réguliers, il est réparti sur de nombreux week-ends pendant plusieurs mois pour les réservistes.

Cela ne le rend pas plus facile , selon le major Nigel paix à la retraite "Yorkie" qui a servi en Irlande du Nord et la Bosnie entre autres hotspots et descendit avec l'exposition au cours de sa sélection SAS.

"Certains disent que les réservistes ont plus facile parce qu'ils obtiennent un repos entre les deux épreuves, mais vous pouvez dire que c'est plus difficile de maintenir votre condition physique et votre état d'esprit droit sur une longue période. Il faut plus de discipline."

 

http://www.express.co.uk/news/uk/415382/What-does-it-take-to-pass-the-SAS-test

 

 

et sur celui-là on parle de "dopage" :

http://www.dailymail.co.uk/news/article-2467919/Police-probe-doping-link-SAS-deaths-Were-soldiers-summer-endurance-march-ended-tragedy-fuelled-deadly-cocktail-drugs.html

 

 

moi je reste quand même dubitatif surtout avec ses informations ,qui même si elle ne sont pas sûre font posé plus de questions sur les capacités des participants réservistes ( surestime de ses capacités ,ou simplement abus de produit  si s'est prouvé ) plutôt que le test par lui même .

 

d'ailleurs ,on aborde peu d'autres choses ,comme un encadrement qui dépasse les limites en poussant encore + .

 

un strike de 3 mecs sa fait beaucoup en une seul fois ,et sans oublié les "blessés" qui ont pas continué le crapahut ...

 

 

A part celui de le vétéran de Mirbat qui avait voulu parcourir l'épreuve en solo sans matos hivernal en 1979, je ne me souviens pas d'en avoir souvent entendu de morts dans la sélection SAS. Peut-on vraiment dire que les décès sont réguliers ?

 

 

exactement  =)

 

 

 

 

et puis une chose importante j'ai eu l'occase de connaître des mecs du 1°RPIMa ,et un pote qui avait passé pas mal de  temps chez la "panthère" .

que se soit mentalement ,dans la façon de voir les choses , physiquement mon pote avait plus de point communs avec les mecs du SAS (d'après se que j'ai pu lire sur eux ) que ceux du 1°RPIMa ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Sans compter un trait particulier du SAS, même si certaines unités ricaines (SEALs en tête) commencent à les rattraper: y'a aucune autre FS au monde qui fasse autant de marketing. Z'écrivent des bouquins en sortant du service (on leur aurait dit de se calmer là-dessus), et tout est fait pour augmenter la "légende" du service qui bénéficie d'un buzz, et en conséquence d'un niveau d'attention, sans comparaison avec les autres unités de même type.

 

S'il y avait des statistiques dessus, le bilan médical des épreuves de sélection serait déjà un peu plus indicatif du niveau de difficulté (pas vraiment un déterminant absolu, mais mis dans le bon contexte, ça peut révéler des trucs), du moins si on le pondérait par le profilage qualité des candidats (si 30-40% des candidats n'ont rien à faire là, tout est faussé); les morts sont la partie accidentelle de ce bilan médical, des exceptions dues à de mauvaises circonstances réunies à un endroit et à un moment donné, voire à un problème dans le suivi des candidats sur le terrain (laxisme, trop faible effectif de suivi....), pas vraiment à un niveau de difficulté du genre "c'est pas pour les pédés". S'il y avait 3 morts tous les ans, ce serait peut-être plus indicatif (mais d'une difficulté exagérée, d'une vision idéologique de la sélection -type "si y'a pas de morts, ça vaut rien"- et/ou d'un je m'en foutisme terrible), mais j'ai là aussi des doutes.

 

Au final, l'ensemble des épreuves, aussi imposant soit-il, ne sert qu'à déterminer quels sujets ont la bonne combinaison de quelques capacités clés à un niveau suffisant pour justifier l'investissement ultérieur dans leur formation. Mais ces capacités clés ne sont pas très nombreuses, dans l'absolu: elles sont dures à détecter, au niveau auquel on les demande, et il faut pousser loin pour que les recruteurs soient raisonnablement sûrs de les trouver.

Mais si on veut inverser le paradigme, on peut poser la question de savoir combien de candidats qui échouent ont ces capacités et feraient de bons opérateurs FS, mais ont juste eu un coup de malbol au jour J (et combien ont passé le cap avec un peu de bol). Le filtre est avant tout fait par des humains pour sélectionner d'autres humains: il n'a rien de parfait, et c'est au final un truc issu de méthodes artisanales/empiriques empreintes de conservatisme tâtillon dans les critères et méthodes. Ca a ses avantages et ses défauts.

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Justement, la réputation de la Sélection des SAS est-elle due avant tout au buzz ou vraiment à son niveau d'excellence ?

 

Le fait que deux des mecs aient été réservistes et se soient dopés fait également relativiser ça.

 

Un autre point : le fait que les candidats au SAS soient seuls et sans surveillance durant les marches augmente également le risque d'un accident à l'issue fatale ? Alors que dans d'autres sélections, les mecs sont souvent surveillés de près et au moins en binôme ?

 

Je me souviens d'un reportage sur le stage de sélection des commandos marine français où l'infirmier repérait et récupérait presque immédiatement un gars mal en point (saignement de nez) lors d'une "marche".

 

Moins de surveillance/plus d'autonomie=plus d'accidents tragiques=/=sélection plus difficile ?

 

 

Par contre Tancrède, sur le fait que 30-40 % des candidats puissent ne rien avoir à faire là à un moment donné et qu'il y ait le facteur coup de bol/pas de bol au moment déterminant peut également en tout état de cause s'appliquer à toute autre sélection pointue. Dans mon analyse, j'en fais abstraction du fait que la grande globalité des FS occidentales souffrent des mêmes problèmes au recrutement. Ca se relativise donc sur le cas d'une unité mais ça peut être appliqué à un degré égal à peu près partout ailleurs.

 

 

et puis une chose importante j'ai eu l'occase de connaître des mecs du 1°RPIMa ,et un pote qui avait passé pas mal de  temps chez la "panthère" .

que se soit mentalement ,dans la façon de voir les choses , physiquement mon pote avait plus de point communs avec les mecs du SAS (d'après se que j'ai pu lire sur eux ) que ceux du 1°RPIMa ...

 

 

 

Gibbs, par rapport à quoi plus proches panthères/SAS que Bayonne/SAS

Et puis il faut voir ça remonte à quand aussi. Le 1er RPIMa a pas toujours garder la même culture d'action spéciale, à une époque où le Choc était effectivement LA force spéciale de l'armée de terre, en un sens très similaire au SAS.

Modifié par grey
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

 

Un autre point : le fait que les candidats au SAS soient seuls et sans surveillance durant les marches augmente également le risque d'un accident à l'issue fatale ? Alors que dans d'autres sélections, les mecs sont souvent surveillés de près et au moins en binôme ?

 

Je me souviens d'un reportage sur le stage de sélection des commandos marine français où l'infirmier repérait et récupérait presque immédiatement un gars mal en point (saignement de nez) lors d'une "marche".

 

Moins de surveillance/plus d'autonomie=plus d'accidents tragiques=/=sélection plus difficile ?

 

ça peut être un point intéressant. La vrai sélection type SAS, l'individu est seule face à ce qu'il pense être ces limites. Alors que d'autres FS mettent peut être plus l'accent sur la capacité à travailler en petit groupe. Ce qui est peut être "moins difficile" mais tout aussi primordiale. 

Pour le reportage sur les commandos marine, si je ne m'abuse c'était justement lors du début de la sélection pendant les épreuves qui permettent de faire un premier tri non ? A la rigueur, avoir des morts serait un signe de mauvaise qualité de la phase de tri préliminaire.

 

La réputation des SAS est très certainement due à un certain buzz (le même genre que pour les SEAL et le BUD/S dont on parlait sur un autre sujet) mais ce sont eux qui ont donné le LA de ce que doit être un régiment d'opération spéciale multi-rôle. Si on s'amusait à compter le nombre d'unité qui revendique cet héritage en utilisant par exemple leur devise, on y serait encore demain.

 

et puis une chose importante j'ai eu l'occase de connaître des mecs du 1°RPIMa ,et un pote qui avait passé pas mal de  temps chez la "panthère" .

 

Tient petite question Gibbs à tout hasard, saurais-tu s'ils utilisent toujours l’appellation de "centaine" pour leurs compagnies ou sections ? Je sais que c'était toujours utilisé au moment de la guerre d'Algérie et de Suez, je trouverais sympa s'il y avait toujours cet héritage des GCMA dans l'armée française.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

ça peut être un point intéressant. La vrai sélection type SAS, l'individu est seule face à ce qu'il pense être ces limites. Alors que d'autres FS mettent peut être plus l'accent sur la capacité à travailler en petit groupe. Ce qui est peut être "moins difficile" mais tout aussi primordiale. 

Pour le reportage sur les commandos marine, si je ne m'abuse c'était justement lors du début de la sélection pendant les épreuves qui permettent de faire un premier tri non ? A la rigueur, avoir des morts serait un signe de mauvaise qualité de la phase de tri préliminaire.

 

La réputation des SAS est très certainement due à un certain buzz (le même genre que pour les SEAL et le BUD/S dont on parlait sur un autre sujet) mais ce sont eux qui ont donné le LA de ce que doit être un régiment d'opération spéciale multi-rôle. Si on s'amusait à compter le nombre d'unité qui revendique cet héritage en utilisant par exemple leur devise, on y serait encore demain.

 

Tient petite question Gibbs à tout hasard, saurais-tu s'ils utilisent toujours l’appellation de "centaine" pour leurs compagnies ou sections ? Je sais que c'était toujours utilisé au moment de la guerre d'Algérie et de Suez, je trouverais sympa s'il y avait toujours cet héritage des GCMA dans l'armée française.

 

Le reportage en question était le très mauvais diffusé sur Fr3 à l'époque, celui où les instructeurs faisaient bizarrement du social, avec un montage bizarre...c'est simple on aurait cru que c'était une sélection différente que le reportage plus ancien avec Marius. Mais oui c'était celui-là. D'ailleurs, je l'ai revisionné à la va-vite (j'aime voir des images de Lorient mais celui-ci m'énerve vraiment) et on voit quand même pas mal de gars mal en points, pour qui ça se finirait peut-être mal si un passage de la sélection se faisait seul.

De ce qu'on voit, la cohésion au stage apparaît pas comme plus importante, les candidats sont seuls face à l'obstacle. Mais les instructeurs ne sont jamais loin. Le RAID Ops de 100 en moins de 36 h se fait en binôme apparemment, peut-être aussi par soucis de sécurité.

 

Maintenant, oui d'autres ont repris la devise, voire le nom même de SAS, mais malgré ces autres versions de l'unité brit, elle continue de clamer régulièrement sa réputation d'avoir LA Sélection la plus hardcore. Exagération ou spécificité des Breacon Becons ?

 

Mais je dois admettre que le nombre de décès est à relativiser..

 

Je crois savoir par ailleurs qu'en France, le stage commando de la Marine (deux par an) ne se fait plus durant les périodes les plus froides (décembre) à cause du trop grand nombre de cassés (un stage fin 90 aurait vu un seul rescapé)...

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

 

Gibbs, par rapport à quoi plus proches panthères/SAS que Bayonne/SAS

Et puis il faut voir ça remonte à quand aussi. Le 1er RPIMa a pas toujours garder la même culture d'action spéciale, à une époque où le Choc était effectivement LA force spéciale de l'armée de terre, en un sens très similaire au SAS.

la période date de fin des années 80 au années 90 .

 

en se qui concerne le rapport panthères /SAS , une certaine proximité dans le caractère ,mentalité .

tout les moyens sont bon ,il trouvera toujours la faille chez une personne par exemple .

il sait directement sur qui il peut compté .

 

le côté pas de quartier , pas de place pour la "morale" si la mission l'exige .

 

un sens de l'observation incroyable .

 

par contre dur d'avoir des commandos au complet (je parle des "cies" ) ,vu le niveau demandé ,chose que ne rencontre pas les unités du COS .

certes il y a moins de "pub" pour les panthères .

 

travaillé seul ou en groupe ,sa posé aucun problème .

 

sa l'amusé d'observé des mecs d'une unité de FS ,qui arrivait en sachant qu'ils fairaient le "buzz" au sein des "réguliers" ,jusqu'à se qu'il discute pas longtemps avec en glissant 2 ou trois truc (j'écoutais sans avoir la moindre idée de se dont ils s'agissaient ) et le gars faisait une tête du genre surpris de voir un "régulier " connaître .enfin il finissait par deviné que mon pote avait pas fait sa carrière dans la régulière .

l'ami s'amusé à laissé le mec dans son jus en s'étalant pas trop non plus ,juste un "Perpigan"  .

 

il m'a confié des choses ,enfin quelques une et sans rentré dans le détail .

juste se qu'il fallait et moi je ne posais pas plus de question .

 

il s'entendait avec tout le monde ,mais il se confiait à très peu de gens (en fait on était 2 ) .

 

quand il est arrivé au régiment (il a su mené sa barque en rejoignant la verte jusqu' à son départ dans le civil ,trop fort mon pote :happy: ) ,j'ai remarqué qu'il était différent ,alors que dans le reste du régiment personne n'avait capté .

bien entendu il n'y avait que les cadres en haut qui connaissait son "parcours" avant d'arrivé dans la régulière suite à un accident de "jet ski" ...

lui m'a vite calculé aussi et s'est comme sa qu'on est devenu pote .

 

 

j'en parle ici  car il n'y a rien de secret dans se que je rapporte ,mais plutôt parlé d'une "rencontre" réelle avec un monde que je ne connaissais que par les livres (et donc pas forcément grand chose ).

 

 

je sais qu'on est super bien protégé avec nos "panthères" .

 

 

 

 

 

avec le 1°RPIMa ,qui sont des supers mecs j'ai toujours eu la sensation qu'ils étaient trop visible auprès des autres unités "classique" ,et ils le savent .

s'est pas une critique mais ils savent qu'ils ne passent pas inaperçus .

on sent plus le côté groupe que mec en isolé .on sent qu'ils sont "spéciaux" mais sans le petit "truc" que j'avais ressenti avec mon pote .

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tient petite question Gibbs à tout hasard, saurais-tu s'ils utilisent toujours l’appellation de "centaine" pour leurs compagnies ou sections ? Je sais que c'était toujours utilisé au moment de la guerre d'Algérie et de Suez, je trouverais sympa s'il y avait toujours cet héritage des GCMA dans l'armée française.

non je ne sais pas si s'est toujours un terme employé ,il ne parlé que du commando .

  • Upvote (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Gibbs, une remarque cependant. Les unités du COS sont toutes en sous-effectif chronique depuis des années. Fin 80, début 90, le COS n'existait pas encore ou était en cours de formation. A moins que ta comparaison se fasse justement dans les années 90.

 

Quant à dire que le niveau demandé est différent...De ce que j'ai compris c'est surtout la dimension clandestine qui est contraignante et exigeante par rapport au COS, mais j'ai pas l'impression que le niveau à la sélection du SA (pour le boulot de commando au CPIS et CPEOM) soit plus exigeant qu'au sein du COS.

 

A mon sens, bien que le SAS fasse à la fois le boulot du COS que du SA, ils sont avant tout des FS militaires, la formation de base (marches, jungle, combat...) m'apparaît comme une formation OP spéciale avant tout. Ce qu'on fait les SAS en Irak et Afgha en dix ans s'apparente avant tout à ce que fait le COS au Mali.

 

Ce qui était vrai en 80 (SAS/Choc) ne l'est plus forcément aujourd'hui (SAS/COS).

Modifié par grey
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

effectivement ,s'est lors de la monté en puissance du COS .

 

de se que j'en sais s'était très dur ,et tout les coups sont permit ,pas vu pas prit .

 

j'ai une anecdote que m'avait relaté mon pote ,je pense pas que sa serait pas passé au COS  :happy:  .par MP  si vous voulez la connaître  ;)

rien de secret mais bon .

 

maintenant en se basant sur une égalité dans les tests physiques pour les tests d'entrés entre COS et Panthère ,ne doit-on pas plutôt voir la façon de les faire gérer aux élèves par l'encadrement ?

 

l'ambiance de l'encadrement fait surtout la différence sur la "dureté" du test physique par lui même .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 965
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aure-Asia
    Membre le plus récent
    Aure-Asia
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...