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NASA Advances Single-Pilot Operations Concepts


zx
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si on envoit les copilotes au chomage , on aboutit à un des phantasmes de JC/Stratège :

virer le second copilote du Rafale B pour obtenir un espace unique avc siège inclinable qui permettrait d'envisager ds missions de très longue durée, où l'unique pilote pourrait dormir allongé, alors que son appareil serait contrôlé via le MRTT.

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Perso je vois pour l'avion de ligne, un IA pilote,  un copilote pour éventuellement palier aux défaillances de l'IA.

 

Mais il n y a pas que le pilotage  qui entre en ligne de compte, il y a la gestion de l'équipage et des passagers, des crises, des situations extrêmes.

 

Pour le rafale, le nosa pilote le systeme d'arme, son role peut évoluer pour donner des directives tactique aux drones de type neuron pour le AA ou l'AS 

qui l'accompagnera, le facteur de validation par l'humain reste pour moi incontournable. mais un jour il n y aura plus que des drones

Modifié par zx
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Peut être que l'homme est le défaut majeur dans la boucle de commande?

Sauf que la boucle de commande dans le cas présent s'était arrété sur un défaut non récupérable et le systeme est passé en mode dégradé ce qui a justement obligé l'équipage a piloter.

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tout le problème est qu'ils ne savaient pas si l'avion volait ou tombait. c'est la que devant tous les systèmes informatiques automatisés de l'avion, l'humain était en échec et ne savez plus à quoi se fier par manque d'autres références. j'espère qu'ils réfléchissent au problème. Parce que cela peut se reproduire.

 

Perso, il faudrait avoir un moyen indépendant de secours a activer en cas d'urgence pour revenir aux instruments de base,  

cap, taux descente, vitesse. pour avoir une autre référence, mais c'est que mon avis.

 

Un logiciel ou une machine, quand elle est prise en défaut pour un bug, une altération de données mémoire,disque,bus, un composant qui déraille,capteurs défaillant,..., ça fait n'importe quoi, les cas passants marchent toujours mais les cas d'erreurs ou l'activation de paramètres, informations erronées, sont parfois très très mal gérés.

 

IA/Système expert ou humain, aucun des deux n'est infaillible, 

Modifié par zx
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Non mais ils se complètent très bien. L'un gérant plus de systèmes et capteurs que le cerveau humain et l'autre comprenant bien plus facilement la situation grâce à l'expérience et ses 5 sens.

D'un point de vue psychologique je ne suis pas sur que beaucoup de personnes soit près à monter dans un avion sans humains aux commandes ...

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Non mais ils se complètent très bien. L'un gérant plus de systèmes et capteurs que le cerveau humain et l'autre comprenant bien plus facilement la situation grâce à l'expérience et ses 5 sens.

D'un point de vue psychologique je ne suis pas sur que beaucoup de personnes soit près à monter dans un avion sans humains aux commandes ...

 

Humf, a l'heure actuelle, les pilotes de compagnie aerienne sont des gestionnaires du systeme qui gere les systemes et capteurs de l'avion, ceux qui ont l'experience et la science du vol, ce qui savent interpreter correctement les parametres d'une situation de vol problematique et savent correctement reagir pour rattraper le coup ne sont plus tres nombreux dans ces cockpits. L'humain reste toutefois indispensable, il reste le seul a avoir cette liberte de manoeuvre pour rattraper l'appareil quand la situation ou les systemes partent en sucette.

Il faudrait juste redonner des credits de pilotage reel aux pilotes, le vol a voile est une tres bonne ecole, et pour les compagnies aeriennes, ce serait un investissement avec potentiellement un retour colossal.

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Mouais ... Je suis sur d'avoir déjà eu une conversation sur la sujet ici (je chercherai ce soir) mais à mes yeux de profane le côté "les pilotes ne savent pas voler" est juste un stéréotype, une grosse exagération.

Même si l'accident Rio Paris ne le montre pas trop ...

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Globalement les pilotes savent voler, faut pas deconner non plus, ils n'ont juste pas suffisamment l'experience du vol autrement que dans les conditions ou ils sont assistes par les systemes de l'appareil, et ce ne sont pas les heures de simulateurs qui peuvent les mettre en condition de savoir interpreter ce qu'il se passe quand les sytemes ne leur donnent plus des infos coherentes. Malheureusement les compagnies aeriennes etant devenues des machines financieres ou la course au rendement est primordiale, elles n'investissent pas/plus dans les formations pratiques qui pourraient permettre aux pilotes de se rafraichir les mecanismes ad-hoc quand on chatouille les marges de manoeuvres aerodynamiques de l'appareil et que les systemes partent en saucisse.

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