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Israël accepterait de rendre le Golan


Invité barbaros pacha
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le Golan n'est pas syrien mais israélien.

Se qui te derange le plus est le fait de rendre le golan ou que la syrie ait des contact avec l'Iran et le Hezbollah?

Pour le Hezbollah à la limite je peux comprendre que cela soit demandé par le gouvernement Israelien, en se qui conscerne l'Iran, ils n'ont pas a dicter avec quel etat la Syrie doit ou ne doit pas avoir de relations.

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Se qui te derange le plus est le fait de rendre le golan ou que la syrie ait des contact avec l'Iran et le Hezbollah?

Surtout les contacts pour moi.

Sinon, j'admets que le golan est syrien, mais se retirer est pour moi une erreur stratégique monumentale. Sauf si on en fait une zone réellement démilitarisée avec une présence massive de casques bleus.

Mais malheureusement en étant objectif, ni les syriens, ni les israéliens respecteront ça.

Personellement, je ne considère pas la Syrie aussi "fiable" que les jordaniens ou les égyptiens.

Et il y a une chose qui me gène. La Syrie n'a rien foutu quand elle possédait le Golan. Israël a fait plein d'aménagements.

Et comme par hasard, la Syrie dit maintenant qu'elle a des projets touristiques.

Et il y a aussi la question de l'eau, ce qui est à mon sens le plus important.

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Le fait que la Syrie ne mérite pas qu'on lui donne un tel territoire.

On ne lui donne pas, etant donné qu'il lui appartien, on lui le rend.

Sezen, si Israël ou les USA attaquent l'Iran, que penses-tu de la réaction syrienne ? (Et pas uniquement la réaction directe).

Si les USA sont dans le "coup", les syriens ne fairont rien a mon avis; le Hezbollah oui, fort possible, mais surement pas le Syriens, je pense que l'exemple de saddam a calmé un peu tout le monde.

Mais malheureusement en étant objectif, ni les syriens, ni les israéliens respecteront ça.

Le plus important seront les termes du "contrat", si des l'evacuation( ou méme avant) Israelienne une force de maintien de la paix est mise en place, par exemple ou tout autre conditions j'imagine que les uns comme les autre sont capable de trouver un moyen d'eviter la casse.

La Syrie n'a rien foutu quand elle possédait le Golan. Israël a fait plein d'aménagements.

La question n'est pas là, si demain un pays  s'aproprie une region qui ne lui appartient pas, méme s'il y fait du devellopement, il n'en aurat pas pour autan plus de legitimité.
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La question n'est pas là, si demain un pays  s'aproprie une region qui ne lui appartient pas, méme s'il y fait du devellopement, il n'en aurat pas pour autan plus de legitimité.

Je suis d'accord, mais l'excuse syrienne du tourisme, c'est du foutage de gueule, de mon point de vue.

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L'Israel a raison d'avoir peur des relations de l'Iran et la Syrie et de vouloir rendre le Golan en contre partie de quelque chose...

Stratège avait fait un beau poste sur un des topics sur l'Iran. Il disait que l'Israel n'a pas le choix que de faire la paix avec ses voisins à moyens termes car à long terme l'Iran pourrait fournir des armements de pointes aux différents protagoniste et avoir l'Israel a l'usure. (Ce qui s'est confirmé avec la dernière guerre du Liban Sud).et là,survient le malaise, sans contre partie un peu à la manière de la première guerre de Liban. Avec un Iran quasi sanctuarisé aujourd'hui (le fait qu'il n'y a pas eu d'attaque alors que la fenêtre de tire vient de se fermer,tend vers cette théorie),je ne pense pas que l'État d'Israël sous sa forme actuelle avec la même politique,puisse rester viable.

D'accord ou pas,le Golan ne peut rester éternellement israélien

Edite: j'ai oublier de préciser que le temps joue en défaveur d'Israël. La croissance démographique arabe est beaucoup plus grande et les seules concessions arabes peuvent être obtenues à court/moyen terme. Si d'ici 20-30 ans,l'Israel n' pas fait la paix avec ses voisins (Syrie et un état palestinien viable), les négociations vont êtres très douloureuses

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Israel ne doit pas rendre le golan, jamais les israeliens ne le toléreront.

Ne doit pas le rendre, je sais pas.

Mais ne pas le tolérer, ç'est déjà le cas. Ils sont plus partagés sur le partage de Jerusalem que sur le Golan.

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L'Israel a raison d'avoir peur des relations de l'Iran et la Syrie et de vouloir rendre le Golan en contre partie de quelque chose...

Stratège avait fait un beau poste sur un des topics sur l'Iran. Il disait que l'Israel n'a pas le choix que de faire la paix avec ses voisins à moyens termes car à long terme l'Iran pourrait fournir des armements de pointes aux différents protagoniste et avoir l'Israel a l'usure. (Ce qui s'est confirmé avec la dernière guerre du Liban Sud).et là,survient le malaise, sans contre partie un peu à la manière de la première guerre de Liban. Avec un Iran quasi sanctuarisé aujourd'hui (le fait qu'il n'y a pas eu d'attaque alors que la fenêtre de tire vient de se fermer,tend vers cette théorie),je ne pense pas que l'État d'Israël sous sa forme actuelle avec la même politique,puisse rester viable.

D'accord ou pas,le Golan ne peut rester éternellement israélien

Edite: j'ai oublier de préciser que le temps joue en défaveur d'Israël. La croissance démographique arabe est beaucoup plus grande et les seules concessions arabes peuvent être obtenues à court/moyen terme. Si d'ici 20-30 ans,l'Israel n' pas fait la paix avec ses voisins (Syrie et un état palestinien viable), les négociations vont êtres très douloureuses

Le fossé technologique entre Israël les pays arabes ne fera que s'agrandir. L'Iran peut fournir des armements modernes, mais en quantité limité et sans passer un seuil technologique important, sachant que sa situation économique est deja compromise et qu'il jouira de sanctions de plus en plus sévères.

La Syrie doit jouer avec Israël ou contre Israël, mais ne peut obtenir la paix tout en continuant ses relations douteuses avec le Hamas, le Hezbollah et l'Iran. D'ici 20-30-40 ans, l'influence des pays arabes grandira, grâce au pétrole. Cependant, passé ce stade, leur importance stratégique sera des moindres.

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D'ici 20-30-40 ans, l'influence des pays arabes grandira, grâce au pétrole. Cependant, passé ce stade, leur importance stratégique sera des moindres.

Je tablerai plutôt sur 10 - 15 ans, c'est vrai que l'hésitation des pays européens à revenir au nucléaire malheureusement amplifie cette influence.

Sur 15 ans l'europe peut faire passer son système de transport au sol au tout électrique évidemment il faut une volonté politique pour le faire...

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D'ici 20-30-40 ans, l'influence des pays arabes grandira, grâce au pétrole. Cependant, passé ce stade, leur importance stratégique sera des moindres.

Je ne sais pas si leurs influance grandira, mais ils ont deja(depuis un certain nombre années) commencé a prevoir l'apres petrole en investissant massivement a l'etranger (zone d'influance US, Chinoise,Russe,Euro..etc...), la future influance des pays du golf se faira sur l'economie de maniere generale, et de moins en moins concentrée sur le petrole( ou energie) a mon avis.

En tout cas, c'est hallucinant de vouloir pactiser avec des gens ou peuples qui ne vous aiment pas !!!

Oui d'ailleur  on aurait du achever la guerre froide par un superbe feu d'artifice nucléair.  :-[
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Ne compare pas Gorbatchev à Bachar c'est-à-dire l'ange et le diable !  :|

penses tu serieusement que les predecesseurs de gorbatchev, vivaient en otarcie totale sans etablir de contacts avec les dirigeant du block de l'ouest?

Les pays du moyen/proche orient n'ont pas d'autre choix que le dialogue, si la force avait suffit cela ferai longtemps qu'un des deux camps aurait abdiqué.

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Ne compare pas Gorbatchev à Bachar c'est-à-dire l'ange et le diable !  :|

Il n'y a pas d'anges ni de diables, seulement des hommes.

Dès qu'on parle de "monstres", de "diables", on prépare les massacres au nom de la morale en justifiant par avance tout et n'importe quoi. Même le pire assassin est un homme, rien qu'un homme. Hitler et Staline étaient des hommes. Ce n'est pas flatteur pour l'espèce humaine mais c'est ainsi. On peut se consoler en se disant qu'on a produit aussi le Christ, le Bouddha, Lao Tseu, etc.

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qui ne vous aiment pas me semble trop faible qui vous haissent mortellement me semble plus correcte

Le problème c'est l'idéologie islamiste du dar-al-islam et les conquêtes qui vont avec. Et ça ne concerne pas Israël seulement.

La majorité des conflits dans le monde viennent de là.

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Invité barbaros pacha

Turquie : une diplomatie tous azimuts


Ankara veut renforcer son rôle au Proche-Orient. Cet intérêt n’est pas nouveau mais la Turquie entend désormais jouer pleinement le rôle que lui confère dans la région son poids économique, sa puissance militaire et son passé historique. Une nouvelle orientation qui risque de froisser Washington mais qui ne remet pas en cause son alliance stratégique avec l’Etat hébreu.

Le ministre turc des Affaires étrangères Ali Babacan (g) avec le ministre israélien de la Défense Ehud Barak à Charm el-Cheikh, 19 mai 2008.

Image IPB


Les diplomates turcs sont formels : « il ne faut pas considérer la Syrie comme une annexe de l’Iran car Téhéran et Damas divergent sur les questions régionales ». Ankara estime que les deux pays sont en désaccords sur le dossier palestinien, le Liban et les pourparlers avec Israël. C’est sur la base de cette analyse que les Turcs ont entamé leur mission de bons offices auprès des Syriens et des Israéliens. Pour eux, le règlement du volet israélo-syrien du processus de paix semble aujourd’hui plus réaliste qu’un accord israélo-palestinien puisque le conflit n’a qu’une dimension territoriale. Un raisonnement que ne partagent pas les Américains. Washington a salué, mercredi, du bout des lèvres, l’annonce de négociations israélo-syriennes mais la secrétaire d’Etat américaine, Condoleezza Rice, a rappelé que les pourparlers israélo-palestiniens sont aujourd’hui « les plus matures ».

La Turquie laisse parler les Américains et poursuit inlassablement sa stratégie de conciliation qui semble aujourd’hui porter ses fruits. Le dialogue était interrompu depuis l’année 2000 entre Israéliens et Syriens. Mais en coulisses, depuis un an, Ankara mène des discussions secrètes.

Une nouvelle orientation signée AKP

Les Turcs sont aujourd’hui persuadés qu’une discussion israélo-syrienne ne peut pas se limiter au plateau du Golan. Cette revendication syrienne est historique et fondamentale mais d’autres éléments peuvent entrer dans la « corbeille » de négociations. En effet, la Syrie entretient de bonnes relations avec le Hamas puisque Damas accueille les bureaux de l’organisation palestinienne. Le régime de Bachar al-Assad soutient par ailleurs le Hezbollah libanais qui menace la frontière d’Israël au Nord et espère parallèlement réaffirmer son influence au Liban, le tout sur fond de liens étroits entre Damas et Téhéran. La diplomatie turque a donc fait le pari d’un dialogue israélo-syrien pour stabiliser la région. La médiation turque est loin d’être terminée mais Ankara espère bien tirer les bénéfices de ce travail de longue haleine. Les turcs exigent en effet d’être les seuls intermédiaires dans cette affaire, brandissant la menace d’un échec si cette condition n’est pas respectée.

Depuis l’arrivée au pouvoir en Turquie, en 2002, du Parti de la justice et du développement (AKP) la politique étrangère turque a pris un nouvel élan. Théorisée par Ahmet Davutoglu (le conseiller du président Abdallah Gül), cette doctrine consiste à développer autant d’alliances avec le monde musulman qu’avec les puissances occidentales. Objectif final : la stabilité et la sécurité dans la région. Cette diplomatie multidimensionnelle s’est traduite au Moyen-Orient par des prises de positions parfois étonnantes. En 2002, le Premier ministre turc Ecevit n’avait pas hésité à qualifier ce qui se passait dans les territoires palestiniens de « génocide », assumant de déplaire à l’Etat hébreux, un allié pourtant solide et traditionnel. Ces dernières années, Ankara a renoué le dialogue avec l’Iran, a invité en 2006 des représentants du Hamas et a tenté un rapprochement avec le régime de Bachar al-Assad. Pour autant, les Turcs n’ont jamais remis en cause le traité de coopération militaire signé avec Israël en 1996. Ils ont également ouvert, en septembre 2007, leur espace aérien aux Israéliens lorsque ces derniers ont bombardé un site syrien suspecté d’abriter des installations nucléaires. Lorsque Yitzhak Mordechai était ministre de la Défense en Israël, en 1993,  il proclamait au sujet de la Turquie : « Quand nous nous donnons la main, cela forme un poing puissant… notre relation est stratégique ».

Le président Bachar al-Assad (d) rencontre le Premier ministre turc Tayyip Erdogan à Damas, le 26 avril 2008.

Image IPB



Une diplomatie ajustable aux circonstances


La nouvelle diplomatie d’Ankara évolue donc selon les circonstances et en fonction d’évaluations pragmatiques. La Turquie peut se le permettre : le pays est musulman mais laïc, oriental mais pas arabe. Ankara semble vouloir développer une diplomatie inter-arabe. Cette orientation s’est renforcée avec la confirmation du pouvoir de l’AKP en Turquie lors des législatives de 2007. L’électorat du Parti de la justice et du développement est par exemple très sensible à la cause palestinienne. Ankara affiche aujourd’hui sa solidarité avec le peuple palestinien, reçoit les représentants du Hamas, apporte son soutien économique en finançant une zone franche à Erez… Dans le même temps, les Turcs demandent aux islamistes au pouvoir à Gaza d’abandonner leur politique basée sur la division inter-palestinienne et la violence.

A Beyrouth, la Turquie est en contact étroit avec le gouvernement de Fouad Siniora mais ne néglige pas de parler avec le Hezbollah. Côté Syrien, le président Bachar al-Assad s’est rendu en visite officielle à Ankara en octobre 2007. L’objectif était de briser l’isolement de Damas sur la scène internationale puisque les Syriens appartiennent à l’« axe du mal », selon la rhétorique américaine. Ils sont également boycottés par les pays arabes comme l’Egypte, la Jordanie et l’Arabie Saoudite. La Syrie avait besoin du soutien turc. En échange, le président Abdallah Gül a fortement conseillé à son homologue syrien de participer à la conférence d’Annapolis, aux Etats-Unis. Des avancées diplomatiques qu’il faut replacer dans le contexte de la crise kurde. La Syrie a en effet obtenu la confiance des Turcs en soutenant le principe d’une intervention armée dans le nord de l’Irak contre les bases-arrières du PKK. Un revirement notable puisque, pendant des années, Damas a accueilli des séparatistes kurdes.

Les nouveaux dirigeants turcs, culturellement plus accessibles au monde arabe, semblent aujourd’hui plus aptes à jouer les médiateurs que leurs prédécesseurs laïcs. Certains y voient un risque de renversement d’alliances dans la région mais les Turcs misent surtout sur un jeu de conciliation dans des aires stratégiques différentes. Aujourd’hui, ils sont les seuls dans la région à discuter avec tout le monde ou presque, une position inhabituelle au Proche-Orient.
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On a pu voir les mêmes discoures sur la restitution du Sinai et la bande de Gaza

Si non,avec un peu plus d'argument,ça donne quoi?

Tu cherches quoi? Tu veux des arguments peut etre? Mon seul arguement est Israel appartient au juifs voila mon argument , on a pas chercher a etre detesté dans cette region, on a voulu la paix, la guerre y'a eu et la faut assumer les egyptiens sont serieux on leur a rendu le sinai ce sont de vrai partenaires de paix, et il faut la paix avec la palestine et gaza je considere que ca leur appartient donc de ce coté la ok mais jamais on ne rendra rien au syriens tu m'as compris? c'est assez clair?

Mais le Golan est a Israel tu me comprends? Faudra tuer pour le prendre.

Voila mes arguments si t'en veux d'autres prend mon msn je serai ravis de te les exposer

PS: CVS je te demande rien, ne m'adresse pas la parole.

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