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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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L'UNASUR ne veut plus du dollars comme monnaie d'échange.

La secrétaire générale de l’union des pays d’amérique du sud (UNASUR), la colombienne María Emma Mejía a déclaré que la région « avait fait preuve de plus d’imagination et d’audace dans les mesures appliquées que les pays du G7 », incapables de se mettre d’accord pour sortir de la crise économique actuelle.

Mejia ajoute que les pays membres de l’UNASUR ont mis en place des actions discutés par les présidents lors du dernier sommet, « des décisions communes qui protègent nos citoyens de la crise. » Mejia met en avant la décision de la Colombie de se rapprocher du Brésil au niveau commercial tout en privilégiant sa monnaie locale au détriment du dollar.

Ces échanges commerciaux, utilisant la monnaie du pays « sont les résultats des exemples réussis au Brésil et en Argentine. »

Mejia ajoute que le continent latino-américain possède plus de 600 milliards de dollars en réserve et « il est temps que nous fonctionnons et opérons avec nos propres monnaies. » La secrétaire générale se veut confiante par rapport à la crise touchant l’occident : « je suis optimiste car nous avons fait ce qu’il faut pour éviter une nouvelle décennie perdue comme dans les années 80 ou les années 90. L’amérique latine a retenu les leçons du passé. »

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La Banque centrale européenne (BCE) a ouvert jeudi le robinet des liquidités en faveur des banques de la zone euro mais s'est refusé à baisser son taux directeur, malgré les craintes d'un retour de la récession.

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-economie/la-bce-va-aider-les-banques-europeennes-mais-laisse-son-taux-inchange-06-10-2011-1642281.php

C'est du J.C Trichet tout craché. Il était deja dans le ministere des finances puis la Banque de France a l'époque ou le franc a été surévalué et des centaines de milliers d'emplois on été detruits.

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A l’occasion du départ de Jean-Claude Trichet de la présidence de la Banque Centrale Européenne, il est de nouveau de bon ton de s’attaquer à lui et de refaire son procès en « sado-monétarisme ».  Carmignac vient de le faire avec des arguments parfois intéressants mais souvent polémiques et véhiculant une pensée économique vaguement keynésienne, à mon sens aujourd’hui bien dépassée. Cette vision de l’économie qui voudrait que la croissance repose sur des taux d’intérêt bas - 0% - et  une dévaluation de la monnaie fleure bon les années 1960 et son keynésianisme hydraulique. Quelle que structurée qu’elle puisse paraître, je ne pense pas qu’elle corresponde aux besoins du temps présent.

Dans les critiques de Carmignac à Trichet, je partage l’idée qu’il est indispensable, naturel et conforme au rôle d’une banque centrale que la BCE achète la dette des États membres de la zone euro. Que certains commentateurs aient oublié que les banques centrales ont été créées comme prêteurs en dernier ressort est de fait affligeant. Que certains pensent qu’en achetant de la dette publique aux banques la banque centrale créé de la monnaie alors qu’elle se contente de changer la nature de la monnaie déjà créée par les banques de second rang lors de leur acquisition de dette publique est surprenant.  Que certains tirent de cette erreur d’appréciation sur qui crée effectivement de la monnaie la vision d’une invraisemblable menace inflationniste est déroutant. Mais Trichet en la matière est plus une digue face aux visions de certains milieux allemands que le responsable de l’incroyable aberration intellectuelle sur le statut des dettes publiques qui ébranlent la zone euro. Ce n’est pas Trichet qui appelle au défaut grec mais son collègue le gouverneur de la banque centrale des Pays Bas, histoire de punir les Grecs et surtout les banquiers qui leur ont prêté sans réaliser qu’in fine ce sont tous les Européens qui seraient punis par un défaut grec.

En revanche, croire, après les dégâts de la gestion Greenspan, que les taux zéro font de la croissance ; croire après les dégâts politiques et économiques des dévaluations compétitives des années 1930 que dévaluer apporte de la croissance ; tout cela paraît étrange. L’appréciation de l’euro améliore les termes de l’échange de la zone. Jusqu’à preuve du contraire, une amélioration des termes de l’échange signifie plus de pouvoir d’achat, un allègement de la facture pétrolière, une pression sur les entreprises pour faire de la productivité. Et la croissance économique repose non sur la captation en pirate de parts de marché par des dévaluations brutales dont les impacts s’effacent en inflation et en effet « Stolper-Samuelson » mais sur un accroissement permanent de la productivité poussée par la concurrence nationale et internationale et par l’incorporation régulière d’innovation. Si Trichet dévaluait à tout va notre euro, il aurait injecté de l’inflation dans la zone euro plus que de la croissance et cela aurait encore davantage nui à la pérennité de l’euro.

Pour revenir à la lettre de Carmignac, je signe des deux mains son propos quand il manifeste sa déception face au cafouillage des dirigeants européens. On parle de défaut grec, mais ce qui fait défaut en ce moment, c’est moins la Grèce que la volonté. Néanmoins, le spectacle affligeant des sommets qui s’enchaînent et s’enferrent  ne doit pas masquer l’œuvre accomplie qui est, elle, loin d’être pathétique. L’Europe avance, mais dans la douleur, la tension et l’angoisse qui génèrent une incertitude dommageable. On ne saurait l'imputer à Jean-Claude Trichet.

http://www.atlantico.fr/decryptage/jean-claude-trichet-carmignac-bce-banque-centrale-europenne-est-pas-sado-monetariste-jean-marc-daniel-197232.html

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Quels sont les points de vue défendus par l’Allemagne et la France ?

Il semble que l'opinion et le gouvernement en Allemagne aient été constamment beaucoup plus réticents à "sauver la Grèce" ou "sauver les banques" que cela n'est le cas en France. Et pour ma part je comprends ces réticences. Or, il semble aussi qu'Angela Merkel finit toujours par accepter ce qu'elle refusait initialement. C'est peut-être – malheureusement – ce qui risque de se passer ce dimanche.

Comment Nicolas Sarkozy et Angela Merkel vont-ils concilier leurs différents points de vue pour s'entendre ?

Je n'ai pas la prétention de savoir ce qu'il y a dans leur tête et de prévoir l'évolution de leur négociation. Mais je n'ai pas non plus la naïveté de croire qu'ils prendront les décisions qui s'imposent puisque l'expérience prouve que les gouvernements en général – et les leurs en particulier – ont toujours choisi les plus mauvaises réponses à la crise. Ceci n'est d'ailleurs pas surprenant puisqu'ils ne comprennent rien aux phénomènes économiques et que leur seul souci consiste à faire croire à l'opinion qu'ils contrôlent tout et qu'ils agissent pour le bien des peuples et pour la prétendue défense de l'Europe. On peut donc prévoir qu'un accord sera réalisé sans qu'on puisse en prévoir les modalités.

Les questions devraient notamment tourner autour du rôle du nouveau FESF et ses directives d'application. Que peut-on en penser ?

On parle d'une crise grecque, on parle de la nécessité d'une solidarité européenne (dont le FESF -le Fonds européen de stabilité financière- serait l'expression la plus visible). Mais essayons d'utiliser des mots justes : il ne s'agit pas d'une crise de la Grèce, mais de la mauvaise gestion du gouvernement grec, ce qui n'est pas du tout la même chose. Et il ne s'agit pas de solidarité européenne, mais de la complicité qui existe entre des gouvernements qui utilisent leurs pouvoirs de contrainte afin de cacher la sanction de cette mauvaise gestion par les marchés. Lorsqu'une entreprise est mal gérée, les marchés jouent leur rôle régulateur en durcissant les conditions de financement ou en sanctionnant cette mauvaise gestion par la faillite. Tel est le fondement moral fondamental du fonctionnement des marchés : on est responsable de ses décisions et on ne peut pas faire supporter ses erreurs par autrui. Malheureusement cette discipline morale de la responsabilité est totalement absente des préoccupations gouvernementales : le gouvernement grec a dépensé par démagogie de manière irresponsable. Ce devrait être à lui et à lui seul de rechercher les solutions à ce qui devrait être considéré comme une faillite. Et il est immoral que d'autres gouvernements prélèvent des ressources sur leurs citoyens pour empêcher la sanction de l'irresponsabilité. Le problème en question n'est donc pas un problème de l'Europe et encore moins de l'euro. En prenant pour fondement une prétendue solidarité au profit des plus mal gérés, l'Europe que les gouvernements nous construisent est bien mal partie. Si l'on veut être fidèle à la grande tradition humaniste de la civilisation européenne, fondée sur les valeurs individualistes et sur la responsabilité, c'est une voie absolument inverse qu'il conviendrait de prendre, celle qui permettrait l'épanouissement de la liberté individuelle, du respect du contrat et de la responsabilité.

L'Allemagne reproche à la France de vouloir refinancer ses banques par le biais des mécanismes de secours européens, alors que ses banques seraient assez solides. Que faut-il en penser ?

Il est certain que le gouvernement français essaie d'éviter à certaines banques françaises les pertes qui proviendraient d'une incapacité du gouvernement grec à rembourser les prêts qu'elles lui ont faits, même si un défaut grec ne suffirait sans doute pas pour les conduire à la faillite. Mais ici aussi il conviendrait de laisser fonctionner la règle de la responsabilité. Il est temps que les banques apprennent que les titres émis par les gouvernements ne sont pas nécessairement des actifs sans risque et qu'elles soient donc sanctionnées de leurs mauvaises décisions de prêt par des pertes ou même des faillites. L'un des grands mérites de la régulation par les marchés tient à ce que l'on apprend de ses erreurs, ce que les gouvernements sont incapables de faire, car ils cachent les conséquences de leurs erreurs et ils les font payer par autrui.

Est-ce aux États, et donc aux épargnants et contribuables, de venir en aide aux banques ?

Certainement pas, pour les raisons qui viennent d'être indiquées.

M. Trichet a rappelé jeudi que les banques avaient d'autres moyens de se renflouer. En utilisant notamment leurs propres bénéfices, en pratiquant la modération salariale et en s'adressant au marché des capitaux privés, par exemple en vendant des nouvelles actions en Bourse. Est-ce réaliste ?

Il y a, bien sûr, d'autres moyens de renflouer les banques que de recourir à des aides étatiques. Utiliser ses propres bénéfices constitue une solution peu réaliste, puisque, précisément, les banques en question sont censées être en difficulté, c'est-à-dire avoir des bénéfices nuls ou négatifs. La modération salariale ne peut pas être une solution pour une situation d'urgence. Par contre, une augmentation de capital constitue la solution normale si on estime que, malgré les difficultés de court terme dues aux pertes spécifiques sur les créances publiques (par exemple grecques), la bonne santé d'une banque semble garantie dans le plus long terme. Et si jamais la faillite constitue la seule solution, il faut bien voir que toutes les banques ne courent pas toutes en même temps ce même risque. Certaines, mieux gérées, peuvent alors racheter la banque défaillante : la faillite ne signifie pas la disparition des actifs, de la clientèle, des processus d'activité et ceux-ci sont donc rachetés par ceux qui sont plus aptes à bien les utiliser.

http://www.atlantico.fr/decryptage/rencontre-divergences-sarkozy-merkel-grece-faut-vraiment-opposer-aux-marches-198608.html

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Le monsieur condamne la devaluation comme si c'était mauvais en toutes circonstances. On demande juste de suivre le dollar quand il baisse c'est tout. Pourquoi aller de suite dans la caricature ? Ca nous coute des centaines de milliers d'emplois cette histoire.

Quand à la référence sur la crise de 29 c'est le point godwin de l'economie, on s'en sert comme on veut. Il aurait pu aussi rappeler que la France a empeché la devaluation de sa monnaie avec le franc fort de Pierre Laval. Le chomage et la misere a augmenté. Le Front Populaire de 1936 est arrivé en reaction a cette aggravation de la crise par la deflation.

La par contre il y'a beaucoup de choses justes  ;) .

Pour info la Belgique va probablement nationaliser Dexia. On va être les seuls a avoir des politicards aussi serviles face aux banques.

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Nicolas Doze :

"Le choc c'est que la reprise est derrière nous - Il ya de moins en moins d'espoirs palpables - on a des premiers signes de baisse dans les carnets de commandes - On a une multiplication des signes récessifs - L'heure de vérité a clairement sonné - La dette publique de la France approche des 90%, c'est le seuil technique de non retour de l'endettement - Jamais on a vu un tel chiffre du déficit du commerce extérieur - 2012 c'est la fin du keynésianisme dévoyé..."

Dégradation de la note de la France en cours...

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Les riches Britanniques sont plus nombreux à envisager de quitter le Royaume-Uni à la suite des émeutes du mois d’août, et la France serait dans ce cas leur destination préférée pour leur nouvelle vie, selon une étude publiée lundi par la banque Lloyds TSB.

La première raison citée pour fuir le pays est la criminalité - un motif qui a bondi de 43% à 61% en six mois -, des émeutes ayant embrasé plusieurs villes anglaises du 6 au 10 août.

«Les émeutes du mois d’août, les augmentations d’impôts et la hausse du coût de la vie ont entaché la vie au Royaume-Uni pour une partie des riches», a jugé Nicholas Boys Smith, directeur général de Lloyds TSB International Wealth.

Parmi les candidats au départ, le France est la destination préférée (21%), devant l’Espagne (15%) et les Etats-Unis (11%).

Ils pensent, pour les trois-quarts d’entre eux (73%), que la criminalité est un problème plus grave au Royaume-Uni que dans les autres pays développés.

L’étude précise que la notion de richesse y a été déterminée par le montant des économies ou des investissements des personnes interrogées, celui-ci devant être supérieur à 250.000 livres (290.000 euros).

:rolleyes:  on va avoir plein de nouveaux riches à taxer !  :lol:

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Ce n'est pas une incantation. J'aimerai beaucoup que cela aille mieux.

La semaine dernière, dégradation en cascade : Espagne, Italie par Fitch.

Le Portugal en surveillance négative.

http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20111007trib000655047/fitch-degrade-la-note-de-l-espagne-et-de-l-italie.html

Par contre, rien sur les Etats-Unis qui sont en train de se noyer dans une m.... noire. Mais bon les US ce sont les patrons. On ne dit pas du mal de son patron.

Jusqu'ici tout va bien...

Effectivement ce matin 10/10, il y a un peu de mouvement sur les spreads de l'Allemagne mais rien pour le moment sur la France.

Merkel et Sarkozy semblent avoir trouvé une feuille de route. Bonne, très bonne chose.

Pour la Grèce : 60% de la dette devra être effacé. 60% ! C’est énorme. Cela veut dire que effectivement un pays peut faire défaut. Un pays peut faire faillite.

Jusqu’ici on arrivait à emprunter alors même que l’on était ultra endettés jusqu’aux dents.

Parce que un état « ne fait pas faillite ». C’était un dogme.

Ce dogme vient de tomber. L’Argentine aurait dû nous inspirer la prudence pourtant.

Donc un pays d’Europe fait faillite. Que va t’il se passer pour les CDS des autres pays Européens ?

L’Allemagne et la France auront t’il trouvé la botte secrète ?

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Humour :

"Le prix Nobel d’économie 2011 a été décerné lundi aux Américains Thomas J. Sargent et Christopher A. Sims pour leurs travaux en macro-économie, a annoncé le comité Nobel. Ces deux chercheurs, âgés de 68 ans, sont récompensés «pour leur recherche empirique sur la cause et l’effet en macro-économie», précise le comité.

Thomas Sargent, né en 1943 à Pasadena (Californie), professeur à l’Université de New York, «nous a d’abord aidé à comprendre les effets de variations systématiques de politiques», précise le comité. Christopher Sims, né en 1942 à Washington, professeur à l’Université de Princeton, «s’est concentré sur la façon dont les chocs réagissent sur toute l’économie», ajoute le comité. (AFP)"

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S'il y a une crise, c'est parce que les traders se droguent :

http://www.slate.fr/lien/44883/drogue-bouc-emissaire-crise-bourse-financiere-giovanardi

«L’idée d’un test de drogues pour des personnes avec de grandes responsabilités est acceptable. Je douterais qu’un investisseur confie son épargne à un alcoolique. Et le raisonnement tient aussi pour les cocaïnomanes.»

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C'est pas moi c'est l'autre...

Pierre Mariani : "j'ai été trop naïf, trop obéissant"

Notre partenaire L'Echo (de Bruxelles) relève les propos de Pierre Mariani, administrateur délégué de Dexia, qui charge, sans la nommer, Christine Lagarde, alors ministre des Finances, qui avait supervisé la recapitalisation de la banque en 2008.

"A l'issue d'un conseil d'administration de près de douze heures, la banque Dexia a approuvé ce matin la nationalisation des activités belges, ainsi que le principe d'une vente de la filiale luxembourgeoise et de l'adossement des activités de financement des collectivités locales françaises à la Caisse des dépôts (CDC).

Pour l'administateur délégué Pierre Mariani

, ce sont les besoins de financement à court terme de Dexia, hérités de l'ancienne direction, qui ont conduit le groupe dans le mur quand la crise de la dette souveraine s'est accélérée.

Pierre Mariani est revenu sur la recapitalisation de 2008. "Cette recapitalisation était une réponse inappropriée aux besoins réels de liquidités" de Dexia. La solvabilité du groupe, qu'assurait cette recapitalisation, n'était en effet pas menacée, comme l'ont confirmé les tests de résistance, a-t-il ajouté. Défendant son action - "notre portefeuille obligataire est passé de 220 à 125 milliards d'euros en trois ans "-, Pierre Mariani a critiqué les gouvernements qui avaient appelé les banques à ne pas se défaire de leurs obligations afin d'éviter d'aggraver le cas grec. "Peut-être notre naïveté a-t-elle été d'être trop obéissants vis-à-vis de ces recommandations gouvernementales, venant notamment d'une personne qui est aujourd'hui à la tête du FMI", a-t-il ajouté, visant sa compatriote Christine Lagarde."

Lien : http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/banque/20111010trib000655456/pierre-mariani-j-ai-ete-trop-naif-trop-obeissant.html

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La slovaquie dit non.

Les députés slovaques ont rejeté mardi le renforcement du Fonds de secours financier de la zone euro (FESF), une décision qui risque d'aggraver la crise de la dette dans l'Union monétaire. Ce vote peut conduire à la chute du gouvernement slovaque d'Iveta Radicova qui l'avait associé à une motion de confiance pour son cabinet. Mais les dirigeants slovaques ont annoncé auparavant la possibilité d'un nouveau vote, dans lequel l'opposition social-démocrate pourrait soutenir le renforcement du FESF. Aucune date n'a encore été fixée pour ce second vote.

>:(

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