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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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D'ailleurs vu le niveau des titres on devrait voir des OPA et autres hostilité pourtant il n'en est rien.

C'est ça que je ne comprends pas.

Pourquoi ceux qui ont du cash (notamment les fonds émergeants) n'achètent-ils pas à bon compte ces banques ?

i je te suis, c'est parceque au bout de plusieurs achats les titres vont reprendre de la valeur et donc l'achat ne serait plus à si bon compte que ça ?

Comment être sur que c'est le moment "d'acheter à bon compte" et que dans deux mois les titres n'auront pas encore perdu 30% tels que tablent les prévisions pour le CAC ?

Ceux qui ont de l'argent attendent la fin de la descente, c'est à dire le moment où des indicateurs suffisamment puissants passeront au vert. Là, on aura une fièvre acheteuse. ça va durer un moment avant que ce moment arrive, il me semble ...

Par ailleurs, pour réussir une OPA, il faut qu'il y ait suffisamment de titres "accessibles" sur le marché. Les entreprises, elles-mêmes, les états et quelques gros actionnaires identifiés (et souvent nationaux) détiennent une quantité d'actions de blocage ayant pour but d'éviter des OPA.

Le nombre d'actions "libres" sur le marché est souvent de moins de 30% pour une entreprise.

Le scénario qui pourrait arriver serait que des entreprises nécessitant du cash fassent des augmentations de capital. Dans ce cas, la dilution peut impliquer une exposition accrue à des OPA.

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arffff olivier delamarche le tarik ramadan de la finance ....extremiste !  un habitué de BFM TV seule chaine qui l'accepte ...j'ai de serieux doutes sur ses competences reel !!

d'aiileur il parle tres bien des problemes, le mieux serait qu'il parle des solutions !!

En l'état actuel des choses, il parle bien des solutions.

A ceci près que personne ne connait exactement l'exposition banquaire au défaut de paiement de la Grèce. Des lors, l'effet de choc de la sortie de la zone Euro de la Grèce, comme d'autres pays, est difficilement prévisible.

Que propose-t-il?:

1) Une sortie en urgence des pays "sans économie" de la zone Euro.

2) La nomination aux postes de décision de personnels politiques formés en économie.

3) La neutralisation des actifs toxiques dans le compte des banques.

4) le retour au couplage des investisseurs à l'évolution réelle de l'économie (fin de la financiarisation).

5) La mise en place d'un nouveau système monétaire international.

Voilà les cinq points que l'on observe dans son intervention.

Pour ce qui est de ses compétences, il faut se tourner vers les clients de Platinium.

Pour la télé et la radio, en effet, quand on a DSK (le "sauveur de la Grèce" tel qu'il est présenté) pdant 20min pour des histoires de zigounettes, on n'a plus le temps pour d'autres intervenant. Surtout que M Delamarche n'est pas un orateur tant par sa diction que par la non linéarité de ses réponses.  

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C'est ça que je ne comprends pas.

Pourquoi ceux qui ont du cash (notamment les fonds émergeants) n'achètent-ils pas à bon compte ces banques ?

Pour compléter Tac-Tac, acheter une banque, soit. Mais quelle est la qualité de son bilan? Quelle est son exposition réelle?
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c'est ce que je dis, je doutes des competences d'olivier delamarche en économie ! aucune des solutions qu'il propose ne tiens la route ou n'est envisageable a court terme

il existe des solutions pour sortir la Grece de l'orniere sans arrivé au solution extreme de ce monsieur ...

quand a son rdv pour le CAC a 2300/2400 p'tet ben qu'oui, p'tet ben qu'non .....a la vitesse que ça descend en ce moment c'est possible ..mais si les politiques se sortent les doigts et un plan style l'eureca des allemands Roland Berger Consultants il peut remonter tres vite !!

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Exact.

Pour les OPAs. On achète pas un cheval mort pour courir le prix de Diane... Quelle est l'exposition réelle aux CDS des banques Crédit Agricole, Société Générale et BNP ?

A 0,90 centimes l'action, pourquoi personne n'achète Dexia ? Ah oui, elle va être démantelée... Je croyais que les banques ne pouvaient pas faire faillite ?

Effectivement, seules les banques rachètent leur propres titres sur les marchés. Nombres d'entre elles pourraient très bien être nationalisées. Du moins partiellement. Pour les petits porteurs : catastrophe. Pour les banques, banques de dépôts séparées aux forceps des "bad banks", leur contrepartie "d'investissement".  

Quand à Delamarche, voir ses précédentes interventions dans le passé. Comparer avec la situation au jour d'aujourd'hui :

Décembre 2010 : "Ils prévoient + 20% pour 2011... Ils vont se planter !".

Une croissance américaine de 4% ?!? Mais vous ne l'aurez PAS !

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=wtxBhxeEij8

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Tant que nous n'avons pas de vu transparente de la situation, il est impossible de jauger l'intensité du problème.

A la sortie de son bouquin, J.J. Rosa estimait à deux ans de troubles pour la France en cas de sortie de l'Euro. M Delamarche parle de 10 ans en cas d'implosion. En gros, c'est la fourchette.

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Ce que propose Arnaud Montebourg pour l'Europe..les EU vireraient ils a gauche toute ??

de plus ce genres de taxes feraient rentré de l'argent dans les caisses des etats, qui en ont bien besoin et en meme temps remettrait les produits chinois a leurs vrais valeurs ! les chinois crient au scandale pour la bonne et simple raison, que leurs taux de croissance prendrait du coup une grosse claque et cela pourrait créé des problemes sociaux ! ce dont le pouvoir chinois a une peur bleu  

Les U.S.A ont amorcé la mondialisation il est fort possible que ce soit les U.S.A qui sifflent la fin de la mondialisation. C'est un pays qui a gardé un certain sens de l'initiative et si ils le font c'est pas parce qu'ils ont viré a gauche ce sera par pragmatisme.

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arffff olivier delamarche le tarik ramadan de la finance ....extremiste !  un habitué de BFM TV seule chaine qui l'accepte ...j'ai de serieux doutes sur ses competences reel !!

d'aiileur il parle tres bien des problemes, le mieux serait qu'il parle des solutions !!

Les solutions, il les commercialisent, c'est un gérant de fonds.

C'est un bear, un baissier et il a le mérite que ses théories se trouvent validées actuellement.

Aprés je trouve sa description des causes de la crise assez justes.

Le CAC à 2400? et alors il a plongé à 2500 en 2008, pourquoi à 2400 aujourd'hui surtout que c'est pire qu'en 2008.

Effectivement, seules les banques rachètent leur propres titres sur les marchés. Nombres d'entre elles pourraient très bien être nationalisées. Du moins partiellement. Pour les petits porteurs : catastrophe. Pour les banques, banques de dépôts séparées aux forceps des "bad banks", leur contrepartie "d'investissement".  

La bad bank c'est juste avant la fin des haricots, mais qui va purger la bad bank?

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> Et en ce qui concerne le Glass-Steagall Act, regardons exactement les livres d'histoire. Voyons en détail ce qui c'est passé en 1933.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Glass-Steagall_Act

Fin XIXe siècle et début XXe siècle, des faillites bancaires retentissantes avaient déjà soulevé la question du risque de liquidité pour les établissements financiers. La « doctrine Germain » – du nom du banquier français Henri Germain, directeur à l'époque du Crédit lyonnais – est formulée une première fois en 1882, puis en 1904. Elle préconise clairement l'idée qu'il faut séparer les activités de banque de dépôt de celles de banque d'affaires.

Aux États-Unis, la crise boursière d'octobre 1929 déclenche l'inquiétude chez les déposants qui craignent que la banque de dépôt qui abrite leur compte, ait pu subir de lourdes pertes suite à l'effondrement du marché des actions. Or beaucoup d'établissements ont engagé leurs avoirs dans des investissements à moyen ou long terme. Ne pouvant faire face aux demandes de retrait des déposants, ils se retrouvent en situation de non-liquidité. Comme l'industrie bancaire est très morcelée, ces retraits massifs de déposants craignant la banqueroute, acculent les banques à la faillite et finissent par causer une réaction en chaîne proprement dévastatrice.

Pour remettre la situation d'aplomb, deux grandes options s'offrent schématiquement au législateur :

    * ou bien forcer une concentration des banques en quelques grands groupes solides et diversifiés ;

    * ou au contraire, organiser la protection de l'industrie bancaire en l'état, en la laissant morcelée.

Le contexte politique va trancher assez vite. En 1933, un jeune procureur, conseiller auprès de la Commission des Affaires monétaires et Finances du Sénat américain, Ferdinand Pecora, conduit devant ladite Commission des auditions très violentes et spectaculaires de dirigeants de banques sur leur rôle détestable dans le krach. Il fait enfin basculer l'opinion en faveur d'une limitation du rôle des banques.

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Pourquoi pas?

http://www.atlantico.fr/decryptage/fin-salariat-eric-veraeghe-crise-ancien-regime-195147.html

Bien-sûr, il y a cette crise financière qui n’en finit pas de ricocher, et qui empoisonne la vie des démocraties occidentales. Bien-sûr, il y a cette décomposition fulgurante de l’esprit républicain, dans un climat d’affaires et d’outrance verbale qui inquiète les gens de bonne volonté. Bien-sûr, il y a cette crispation qui traverse la société française, et cette hantise qui exacerbe l’agressivité et l’immobilisme au moment où il faudrait confiance et innovation.

Mais si l’on pensait aux lendemains de toute cette épouvante ? Et si nous passions un peu de temps à nous concentrer sur les vrais sujets : la reconstruction d’une cohésion sociale, l’apaisement des tensions, et la recherche d’une organisation de la production qui garantisse à tous prospérité et plein emploi ?

C’est dans cet esprit que je propose, dans mon livre Au coeur du MEDEF, de réfléchir à la fin du salariat, héritage de l’Ancien Régime complètement obsolète. L’idée peut paraître provocatrice, et appelle quelques commentaires en réponse aux incompréhensions qu’elle peut susciter.

Le salariat, forme obsolète de la production

Consciemment ou non, plus personne aujourd’hui ne se satisfait du salariat. Les employeurs considèrent que le coût du travail salarié est trop élevé et le jugent contraire à la compétitivité de leur entreprise en situation de mondialisation. Les salariés sont écrasés par des charges grandissantes, leur rémunération stagne, et ils n’ont pas accès à une part suffisante de la richesse qu’ils produisent.

Ce malaise est exacerbé en phase d’hyper-financiarisation comme nous la connaissons aujourd’hui. L’exigence de rentabilité imposée par les actionnaires conduit à sacrifier peu à peu toutes les marges de valeur ajoutée dégagées par les entreprises à la rémunération du capital.

En fait, le travail tel qu’il fut inventé à la fin du XVIIIe siècle, sous forme de contrat de louage à durée indéterminée, ne répond plus aux exigences contemporaines. On notera d’ailleurs qu’il fut dès l’origine conçu comme une façon de préserver le lien d’Ancien Régime entre le paysan et le domaine où il produisait. Il est l’expression moderne et implicite de cet attachement obligé de l’individu à un maître, qu’on l’appelle seigneur ou patron.

Mettre en place une vraie sécurité sociale professionnelle

D’une certaine façon, le bon sens consisterait aujourd’hui à briser le carcan juridique qui empêche le salarié de négocier la part de la valeur ajoutée qui lui revient, et qui s’appelle le contrat de travail. En instaurant une prime obligatoire liée aux bénéfices de l’entreprise, Nicolas Sarkozy n’a d’ailleurs pas l’intuition d’autre chose : rendre au salarié la richesse qui lui revient.

Remplacer le contrat de travail par un contrat de service négocié au cas par cas, avec des formes juridiques encadrées, constituerait une façon plus directe, et plus souple, d’obtenir le même résultat.

Cette idée est évidemment anxiogène, dans la mesure où elle exposerait les salariés devenus contractants libres à de très fortes fluctuations. Pour juguler ce phénomène, il serait donc impératif de mettre en place une véritable sécurité sociale professionnelle, qui mutualiserait le coût de cette exposition aux risques. Cette sécurité sociale professionnelle, fondée sur une mise à disposition gratuite d’outils destinés à favoriser l’insertion sur le marché du travail, serait un acteur majeur de lutte contre le chômage. Elle regrouperait à la fois les fonctions d’indemnisation, de placement, et de formation ou reconversion professionnelle.

Sa mise en place rapide permettrait d’ailleurs de dégonfler l’angoisse des salariés français et d’apaiser des inquiétudes grandissantes qui sont mauvaises pour la démocratie.

Mettre en place l’allocation universelle

L’idée de l’allocation universelle gagne progressivement du terrain, à droite comme à gauche, et elle constitue probablement l’idée centrale de notre reconstruction sociale future.

Elle repose sur un principe élémentaire: il faut verser mensuellement à chacun la part de produit intérieur brut dont il est le producteur naturel tout au long de sa vie. Le PIB agrège en effet l’ensemble de la valeur produite chaque année dans un pays, sans se soucier de la répartir entre ses auteurs. Cette valeur produite annuellement comporte pourtant une forte part d’externalités positives dues à la société elle-même.

L’exemple le plus simple à comprendre est celui de la gastronomie française. Qui peut nier que chaque Français est porteur d’une part de la valeur patrimoniale de cette gastronomie ? Sans la protection que chacun d’entre nous apporte à l’art de la table, au bien manger, sans le respect immense dont chaque Français témoigne pour le vin, pour la terre, pour la tradition culinaire, notre gastronomie n’existerait pas, la France n’aurait pas la notoriété mondiale qui lui vaut d’être la première destination touristique de la planète, et la marque «France», liée au luxe et à l’art de vivre, se vendrait moins bien.

Quoi de plus normal, dès lors, que de faire bénéficier chaque Français d’une part du PIB qu’il génère par sa participation individuelle à la prospérité collective? Les économistes estiment que cette part s’élève à environ 15% du PIB, soit près de 5.000 euros par Français chaque année.

Avec la crise, il y a urgence

Ces quelques éléments futuristes entreront probablement dans la perception commune dans les années à venir. Il est salutaire de les aborder aujourd’hui, car survivre à la crise ne peut tenir lieu de projet collectif.

http://www.atlantico.fr/decryptage/fin-salariat-eric-veraeghe-crise-ancien-regime-195147.html
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Comment être sur que c'est le moment "d'acheter à bon compte" et que dans deux mois les titres n'auront pas encore perdu 30% tels que tablent les prévisions pour le CAC ?

Ceux qui ont de l'argent attendent la fin de la descente, c'est à dire le moment où des indicateurs suffisamment puissants passeront au vert. Là, on aura une fièvre acheteuse. ça va durer un moment avant que ce moment arrive, il me semble ...

Le tassement de l'or semble se confirmer.

En conséquence, je ne pense pas que les marchés actions iront beaucoup plus bas qu'en ce moment...

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Le tassement de l'or semble se confirmer.

En conséquence, je ne pense pas que les marchés actions iront beaucoup plus bas qu'en ce moment...

Méfie toi il y a un GROOOOS risque que l'or remonte brutalement a 2000 voir 2500$ l'once ... on est toujours dans le dénie politique ... les cours de bourses n'ont pas beaucoup de sens, mais la peur de perdre son épargne n'est probablement pas a son paroxysme.

Pour le moment le tassement de l'or est probablement lié a des ventes nécessaires pour dégager du cash de maniere a couvrir d'autres positions.

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A voir. N'oublions pas qu'il y a de l'or "papier" et de l'or physique. Acheter aujourd'hui un Napoléon à 265 alors qu'il valait 83 il y a quelques mois a t'il du sens ? N'oublions pas la taxe de 8% sur la revente + les commissions. Il faut donc que la hausse ait absorbé les pertes sur revente. On parle ici d'or physique bien sûr, puisque les banques et brokers vous proposent de vous vendre de l'or "papier" (un certificat). En cas de crise, si vous voulez échanger ce certificat contre "votre" or : bon courage ! Premier arrivé, premier servi ?

A voir aussi les rendements sur l'argent physique. Bien moins cher à l'achat, le rendement a été excellent pour ceux qui ont acheté au bon moment.

..."plan secret" est en effet la création d'une société holding reprenant les actifs de l'Etat grec (ports, aéroports, banques, autoroutes, téléphonie, immobilier...). Au total, la valeur de ces actifs est estimée à 125 milliards d'euros par l'influent cabinet allemand. Ce holding serait ensuite vendu à une institution européenne "financée par les Etats, dont le siège pourrait être situé au Luxembourg, proche de celui du Fonds européen de stabilisation financière"...

Waouw ! Je sais bien qu'on ne peut pas faire confiance aux Grecs mais là c'est le meilleur moyen de voir la population Grecque déjà chauffée à blanc se révolter, voter pour une nouvelle clique de Généraux ou un petit Hitler local qui renationalisera par la force tous ces actifs. Ils ne vont pas se laisser dépouiller sans rien dire.

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Méfie toi il y a un GROOOOS risque que l'or remonte brutalement a 2000 voir 2500$ l'once ... on est toujours dans le dénie politique ... les cours de bourses n'ont pas beaucoup de sens, mais la peur de perdre son épargne n'est probablement pas a son paroxysme.

Pour le moment le tassement de l'or est probablement lié a des ventes nécessaires pour dégager du cash de maniere a couvrir d'autres positions.

Se méfier, oui, bien sûr, mais comme on dit, "les arbres ne montent pas jusqu'au ciel et les racines ne descendent pas jusqu'au centre de la terre".

Le déni semble, par ailleurs, moins affirmé, voire derrière nous.

Le défaut partiel (à hauteur de 50 à 60% quand même) de la Grèce semble enfin admis.

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