Akilius G. Posté(e) le 30 avril Share Posté(e) le 30 avril oui des sols-air portés à l'épaule - manpads - je me suis mal exprimé. Ce sont des matériels dangereux et faciles à cacher d'où l'étude. Et aussi le parallèle que j'ai fait avec les missiles anti-char qui ne sont pas l'objet de l'étude ciblant la zone sahel-proche et moyen orient. Les sources photos de l'étude (pour identification des armes) datent un peu pour intégrer de potentiels effets de la guerre en Ukraine. L'Ukraine a reçu 10 000 + Javelin des Etats-Unis et de nombreuses autres armes anti-char... Ce sont des armes de fantassins en ligne de front. Des milliers ont probablement été utilisées - souvent avec succès - auquel cas l'EM ukrainien a en probablement connaissance (merci d'un réassort). Mais dans de nombreux cas, le groupe de fantassin est décimé dans sa tranchée par des tirs d'artillerie ou par un assaut russe d'infanterie et on ne sait rien du devenir de l'arme - peut être enterrée, détruite ou capturée. Donc ce n'est peut être pas absurde de dire qu'il y a des centaines d'armes non tracées dans la nature. A l'inverse de l'équipement russe tombe entre les mains ukrainiennes. Nécessité faisant loi, une arme capturée peut être utilisée si on connait le mode d'emploi, mais sa traçabilité est sans doute moindre. Les russes ont indiqués de mémoire avoir fourni des javelins à l'Iran pour étude. Sur les manpads, je suis moins inquiet d'équipements dans la nature, car l'arme est moins susceptible de se perdre dans les combats et l'on doit garder ses dotations précieusement contre certains types de drones ou missiles pénibles. Pour Polybe : l'étude signale des manpads d'époque et de modèles différents. Dans certains cas, il doit bien y a voir une part d'exhibition. Et en 2006 au Liban c'etait sans doute des Milan ma mémoire me fait défaut. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 6 mai Share Posté(e) le 6 mai https://fr.timesofisrael.com/la-chine-affirme-que-le-hamas-et-le-fatah-ont-mene-des-discussions-a-pekin/ (1er mai 2024) La Chine affirme que le Hamas et le Fatah ont mené des discussions à Pékin Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures Je laisse les implications sur la conduite de la guerre à l'autre fil. Deux questions : Suite à la demande du Procureur du TPI, si le les juges lancent un mandat d'arrêt contre BN et son ministre, je ne comprends pas un truc : partout les experts nous disent que la France et autres pays ayant signé la convention de Rome auraient obligation de l'arrêter et de le déférer à Lahaye. Toutefois, si celui ci est premier ministre en fonction, n'est il pas couvert lors de ses déplacements par une immunité diplomatique ? (ou est-ce que cette immunité ne couvre que les diplomates ?). Pour l'instant les différents courants politiques semblent faire bloc autour des deux personnes visées, mais qu'en est il réellement, de la société civile à la classe politique nationale, le voisinage et plus loin à l'international (les USA on a déjà des réactions... intéressantes) ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) il y a 6 heures Auteur Share Posté(e) il y a 6 heures Je crois que l'immunité dépend du droit interne de chaque état, la CPI ne reconnaît aucune immunité liée à la fonction mais laisse chaque état décider en fonction de son droit interne selon l'article wiki. 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 5 heures Share Posté(e) il y a 5 heures il y a 39 minutes, rendbo a dit : Toutefois, si celui ci est premier ministre en fonction, n'est il pas couvert lors de ses déplacements par une immunité diplomatique ? (ou est-ce que cette immunité ne couvre que les diplomates ?). Cf la jurisprudence Al-Bashir : Le 26/04/2023 à 13:28, Wallaby a dit : https://www.hrw.org/news/2019/05/06/icc-jordan-was-required-arrest-sudans-bashir (6 mai 2019) La Cour pénale internationale (CPI) a statué le 6 mai 2019 que la Jordanie n'avait pas respecté ses obligations juridiques internationales d'arrêter le président soudanais de l'époque, Omar el-Béchir, lors d'une visite en 2017, a déclaré Human Rights Watch aujourd'hui. La chambre d'appel de la CPI a déclaré qu'un chef d'État en exercice ne bénéficie pas de l'immunité d'arrestation pour des crimes graves présumés, même lorsque le dirigeant est originaire d'un pays qui n'a pas adhéré à la CPI. 4 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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