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  1. Il y a 1 heure, Alexis a dit :

    [...] Voici 50 secondes de glorification des frappes au missile et de réjouissances triomphalistes, sur fond de cris de civils, d'explosions en zone urbaine, de parc pour enfants dévastés et de secours aux blessés. C'est ici, directement sur le site de la chaîne - aucune fabrication possible.

    On notera l'ajout de bruitages (des hurlements, bruits d'explosions) et accentuations (sifflements de missiles) sur certaines séquences vidéo. On pouvait trouver déplorable sur ce conflit, et ce des deux côtés, le traitement de l'image sur certains canaux twitter/telegramme. Mais les chaines TV traditionnelles semblent avoir de la réserve...

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  2. il y a 8 minutes, g4lly a dit :

    La grande question c'est surtout à quoi sert un drone si on ne peut pas l'exposer parce qu'on craint de le perdre...

    Oui. J'ai l'impression que l'on a accepté d'intégrer le drone dans l'idée qu'il pouvait offrir une certaine permanence sur zone et une certaine discrétion dans des milieux contestés. Mais pas encore dans l'idée que ce puisse être un consommable.

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  3. il y a 2 minutes, clem200 a dit :

    Il y a un paradoxe dans cette phrase pour moi. D'un côté tout le monde veut un TB2, c'est exactement ce qu'est le Patroller (en un poil plus chère car meilleur qualité). D'un autre côté on dit que le Patroller ne tiendra pas en haute intensité

    On avait eu cette réponse de Joël Barre : https://twitter.com/VincentLamigeon/status/1531237538106597376

    "Le drone Patroller peut-il être une sorte de TB2 français, du nom du drone turc très utilisé en UKR ? Joël Barre ne semble pas trop y croire. "Le coût du Patroller est de 6 millions d'euros. Il s'agit d'un drone de surveillance, non d'un drone d'attaque au sol comme le TB2"

    Soit dit en passant, je suis plutôt agréablement surpris par ce prix de 6 millions d'euros. J'avais pu trouver des chiffres beaucoup plus élevés. Mais peut-être ceux-là intégraient ils les coûts de développement dans le prix unitaire... ou toujours cette fichue différence entre coût du système avec station au sol et drone versus drone seul. Le TB2 est affiché à environ 5 millions de $ US. L'écart ne semble pas vraiment significatif. Mais peut-être compare-t-on ici des pommes avec des poires.

    Par ailleurs, sait-on quelle solution technique a été retenue sur le Patroller ? Il me semblait que l'AdT souhaitait voir celui-ci intégrer les équipements de Thalès (perdant de l'appel d'offres avec son watchkeeper) en ce qui concerne le radar et le comint.

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  4. Un article intéressant signé Cabirol. Cela fait d'une certaine manière écho à la problématique Exxelia évoquée par ailleurs sur ce forum. On a ici une entreprise française, stratégique pour la défense nationale... et pour laquelle on a la chance de trouver des repreneurs nationaux. Mais la réglementation antitrust de l'UE pourrait passer par là...

    Citation

    Antitrust : CILAS va-t-il être racheté par Safran et MBDA ?

    La Commission européenne examine l'opération de rachat de CILAS par Safran et MBDA. Elle doit rendre une décision le 14 octobre. Mais d'ores et déjà, les concurrents de Safran et de MBDA ont exprimé des inquiétudes vis-à-vis de cette opération.

    Safran et MBDA vont-ils mettre la main sur CILAS ? L'acquisition de la PME spécialisée dans les lasers (ArianeGroup) par l'équipementier aéronautique et de défense Safran et le missilier MBDA fait l'objet d'une enquête préliminaire de la part de la Commission européenne dans le cadre d'une procédure normale de concentration pour cerner l'impact potentiel de cette opération sur l'écosystème concerné par cette opération (fournisseurs, concurrents, clients). Et selon MLex, journal spécialisé dans les aspects réglementaires, l'offre de Safran et de MBDA sur CILAS menacerait la concurrence.

    Décision le 14 octobre

    Ainsi, certaines entreprises interrogées par la Commission européenne ont fait part de leurs inquiétudes vis-à-vis de cette opération, a révélé MLex. La commission voulait ainsi savoir s'il existait des freins à des équipements sensibles pouvant provenir d'un autre pays. Selon ces entreprises, l'opération aurait des conséquences importantes sur leur capacité à s'approvisionner si Safran et MBDA mettaient la main sur ce fournisseur d'équipements spécialisés, qui vend des composants pour des systèmes de désignation de cibles laser, des nacelles gyro-stabilisées ou encore des viseurs optroniques. La commission européenne doit rendre vendredi sa décision : soit elle autorise cette acquisition, soit elle ouvre une enquête approfondie.

    En attendant, CILAS est au plus mal économiquement et financièrement. La filiale d'ArianeGroup a vu son chiffre plonger de près de 19% entre 2020 et 2021, passant 33,6 millions à 27,25 millions d'euros, dont 13,4 millions dans la défense et la sécurité. Elle réalisait en 2018 un chiffre d'affaires de 47 millions d'euros. Soit une perte de plus de 40% du chiffre d'affaires en quatre ans. Le résultat net est également très inquiétant (- 11,3 millions d'euros en 2021). La PME s'enfonce très dangereusement sur le plan financier après avoir déjà enregistré des pertes en 2020 et 2019 (respectivement 5,9 millions et 5,6 millions). Résultat, le montant des dettes grimpe pour culminer à 50,5 millions d'euros en 2021 (contre 43,5 millions en 2020). Il n'est que temps que CILAS, convoité aussi par Lumibird, retrouve un ou des actionnaires qui lui redonne de l'oxygène, puis de l'ambition.

    Michel Cabirol

    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/antitrust-cilas-va-t-il-etre-rachete-par-safran-et-mbda-935924.html

    En lien avec ce dossier, un article plus ancien : https://www.challenges.fr/entreprise/defense/la-pepite-des-lasers-cilas-passe-chez-safran-et-mbda_793621

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  5. On songe à relancer la production de M777 côté US et chez BAE :

    Citation

    BAE et les États-Unis en pourparlers pour relancer la production de l'obusier M777 après le succès en Ukraine

    La résurrection potentielle d'un gros canon montre comment la guerre en Ukraine pourrait remodeler l'industrie mondiale de l'armement

    Par Alistair MacDonald et Daniel Michaels 9 octobre 2022 5 h 30 HE

    ____________

    Le fabricant d'armes britannique BAE Systems BAESY -1,02% PLC a déclaré qu'il envisageait de redémarrer la production de l'obusier M777, car les performances du gros canon sur les champs de bataille ukrainiens ravivent l'intérêt pour l'arme.

    BAE a déclaré que plusieurs pays avaient exprimé leur intérêt pour l'achat de M777, dont la production est actuellement en cours d'arrêt. Les enquêtes interviennent après que les forces ukrainiennes ont utilisé la pièce d'artillerie à des fins meurtrières contre les troupes russes ces derniers mois.

    La société a déclaré qu'elle était maintenant en pourparlers concernant le redémarrage avec l'armée américaine, qui gère le programme d'armes. Le gouvernement américain doit approuver toute vente à l'étranger. L'armée américaine a refusé de commenter, renvoyant les questions à ce sujet à BAE.

    La résurrection potentielle du M777 illustre comment la guerre en Ukraine pourrait remodeler l'industrie mondiale de l'armement. Des armes de haut niveau, notamment le système américain de roquettes d'artillerie à haute mobilité M142, ou Himars, et le missile antichar portable anglo-suédois NLAW, qui se sont avérés très efficaces contre les forces russes, devraient remporter de nouvelles commandes, selon les analystes. Pendant ce temps, les mauvaises performances de nombreuses armes russes devraient nuire à leurs ventes sur les marchés mondiaux.

    L'obusier, une classe de canons de champ de bataille mobiles à long canon, est depuis longtemps la pierre angulaire de l'artillerie moderne. Cependant, il a joué un rôle plus important dans la guerre en Ukraine que dans d'autres conflits récents comme celui en Afghanistan ou la seconde guerre en Irak.

    Les performances du M777 en particulier ont été améliorées par l'utilisation croissante d'obus de précision guidés par GPS, plutôt que d'obus traditionnels non guidés. Le M777 est également l'une des pièces les plus abondantes de l'artillerie ukrainienne fournie par l'Occident, qui comprend au moins 170 des canons reçus des États-Unis, de l'Australie et du Canada.

    Facile à utiliser pour les troupes et moins coûteux que de nombreux autres types similaires d'artillerie occidentale, la fiabilité et la polyvalence du M777 ont attiré l'attention des spécialistes et des analystes militaires.

    "La démonstration de l'efficacité et de l'utilité d'une grande variété de systèmes d'artillerie est ce qui ressort du conflit ukrainien", a déclaré Mark Signorelli, vice-président du développement commercial chez BAE, l'une des plus grandes sociétés de défense au monde.

    BAE a déclaré que si les demandes d'acheteurs potentiels de M777, qui incluent des pays d'Europe centrale, se transformaient en commandes réelles, cela pourrait conduire à jusqu'à 500 nouveaux obusiers.

    "Les demandes de renseignements ne se transforment pas toujours en contrats", a déclaré M. Signorelli. Pour redémarrer la chaîne de production M777 de manière rentable, la société a besoin d'au moins 150 commandes unitaires, a-t-il ajouté.

    L'armée américaine ne devrait pas augmenter son stock de M777. L'armée et les marines ont acheté plus de 1 000 canons, qui sont entrés en service en 2005.

    Le M777 a été principalement fabriqué au Royaume-Uni mais souvent assemblé aux États-Unis, et le programme est actuellement dans les dernières étapes de production de ses dernières commandes, pour l'Inde.

    Phillips O'Brien, professeur d'études stratégiques à l'Université de St. Andrews en Écosse, a déclaré que les Himars et d'autres systèmes de lancement de fusées occidentaux ont probablement joué un rôle plus important dans la destruction des centres de logistique et de contrôle russes.

    "Mais lorsqu'il s'agit d'engager les forces militaires russes directement sur le terrain, on suppose que les M777 jouent un rôle plus important", a-t-il déclaré. Le M777 a des avantages et des inconvénients par rapport aux armes concurrentes. Contrairement à l'obusier allemand Panzerhaubitze 2000 et français Caesar, qui sont également utilisés en Ukraine, le M777 doit être remorqué. Il a également une cadence de tir inférieure à celle des autres armes européennes, selon un officier du renseignement militaire ukrainien.

    Cependant, le M777 a trouvé la faveur des forces ukrainiennes pour sa plus grande précision et sa facilité d'utilisation, a-t-il déclaré. Le M777 tire des munitions occidentales standard, ce qui signifie que l'Ukraine dépend moins de la diminution des approvisionnements en obus de fabrication russe, a déclaré Mark Cancian, conseiller principal du programme de sécurité internationale du SCRS et ancien officier d'artillerie du Corps des Marines des États-Unis. Le M777 peut également tirer une plus grande variété de projectiles, y compris des obus guidés, que l'artillerie soviétique qui se trouvait dans l'arsenal ukrainien, a-t-il ajouté.

    Les États-Unis, le Royaume-Uni et la Suède ont donné à l'obusier de nouvelles capacités en créant des obus guidés par GPS qui sont beaucoup plus précis que les projectiles non guidés de la génération précédente.

    Les obus Excalibur de 155 mm, développés par Raytheon Technologies Corp. et BAE, peuvent frapper à moins de 10 pieds d'une cible, même à leur portée maximale d'environ 30 miles, selon la documentation du Pentagone et de l'entreprise. Le ciblage des obus d'artillerie traditionnels devient de plus en plus imprécis avec la distance de tir en raison du vent et d'autres facteurs. Même les obus d'artillerie modernes non guidés de fabrication occidentale peuvent atterrir jusqu'à 500 pieds d'une cible située à 15 miles de distance.

    Ce type de précision, auparavant réalisable uniquement avec des projectiles à guidage laser ou des explosifs air-sol coûteux, change le combat. Les lance-roquettes américains Himars et les plus grands systèmes de fusées à lancement multiple M270 utilisent des missiles guidés par GPS similaires qui ont causé des dommages paralysants aux forces russes.

    Alors que les roquettes utilisées dans les systèmes de missiles guidés américains coûtent 150 000 dollars chacune, le type d'obus standard utilisé dans un M777 coûte 800 dollars, a déclaré M. Cancian, citant des documents budgétaires du ministère de la Défense. Un obus Excalibur guidé coûte environ 68 000 $, a-t-il déclaré.

    Mais à mesure que les États-Unis et leurs alliés approvisionnent l'Ukraine, ils épuisent leurs propres stocks. La guerre a, par exemple, épuisé les stocks américains de munitions utilisées dans les obusiers, et le Pentagone a mis du temps à reconstituer son arsenal.

    Les lignes d'approvisionnement dormantes ne peuvent souvent pas être allumées du jour au lendemain, et la production croissante de lignes actives peut prendre du temps.

    BAE estime qu'il faudrait environ 30 à 36 mois pour redémarrer la production complète du M777, notamment parce que l'entreprise a besoin d'un nouveau fournisseur de matériaux en titane et de fournisseurs pour produire les composants légers de l'arme.

    Gordon Lubold a contribué à cet article.

    Traduction automatique : Google Translate

    https://www.wsj.com/articles/bae-u-s-in-talks-to-restart-m777-howitzer-production-after-ukraine-success-11665307803

     

  6. Il y a 8 heures, JeanPierre a dit :

    C'est un peu HS, mais sur les volumes de missiles, la France a effectivement commandé 250 MDCN (https://lefauteuildecolbert.blogspot.com/2020/02/sna-ng-combien-de-mdcn.html) et environ 500 SCALP (https://lefauteuildecolbert.blogspot.com/2020/02/marine-nationale-du-scalp-naval-au-mdcn.html), soit un total de 750 missiles de croisière. Plus que la plupart des armées de la planète.

    Toujours étonné que ce genre de données ne soit pas classifié. J'ai bien en tête que ces munitions doivent être budgétées d'une manière ou d'une autre. Mais il y aurait sans doute moyen de faire plus discret.

     

     

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  7. Je ne sais pas quelle crédibilité portée à ce twittos (pro-russe) ainsi qu'à la vidéo (d'autant plus qu'elle est montée):

    A vrai dire, difficile de dire si c'est un caesar ou même des pièces d'artillerie qui ont été touchées. Bien que l'on puisse deviner le camouflage des caesar 6X6 français sur certaines images. Difficile de faire le lien évident entre ces images et les images de cibles fumantes.

    La date peut correspondre aux derniers jours des frappes opérées par les forces ukrainiennes sur l'Île aux serpents et la géographie peut correspondre à la Réserve de Biosphère du Danube (chercher Vylkove sur Google Map pour avoir une idée du contexte géographique) ou au Parc National des Lagunes de Tuzlovski (chercher Rasseyka sur Google Map pour avoir une idée du contexte géographique). En fonction des munitions utilisées, on peut imaginer que c'est depuis ces côtes que les pièces d'artillerie ukrainiennes ont tiré sur l'île aux serpents.

    Au-delà de la vidéo, à laquelle je ne sais pas quelle crédibilité accorder, je serais intéressé de savoir quel site les Ukrainiens ont privilégié pour positionner leurs pièces d'artillerie en vue de frapper l'île aux serpents. Parce qu'on est vraiment en limite de portée - avec plus ou moins de marge si l'on prend du M982 Excalibur - et que les littoraux les plus proches n'ont pas l'air très simples d'accès et ne permettent pas vraiment un repli rapide. Je crois d'ailleurs me rappeler que les Russes avaient affirmé au cours des derniers jours de juin avoir frappé dans le cadre de cette bataille de l'Île aux serpents des pièces d'artillerie sur l'Oblast d'Odessa (qui est certes assez vaste) avec leur aviation.

  8. il y a 31 minutes, CortoMaltese a dit :

    [...] Mais oui, beaucoup de ces frappes n'ont absolument aucun sens (à part peut-être en politique intérieure).

    Beaucoup des orientations prises semblent être largement dictées, depuis le début du conflit, par des aspects de politique intérieure russe. Cela ramène d'une certaine manière à la réalité un président russe qui voyait non seulement dans l'Occident un monde en déclin, mais aussi dans leurs gouvernants des dirigeants affaiblis par une population leur imposant des choix pesants et trop peu stratégiques. C'est du moins souvent l'impression que j'ai eue chez Poutine : un sentiment de supériorité à l'égard de gouvernants européens qui jouissent de trop peu d'autorité et donc de latitude.

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  9. Il y a 2 heures, Manuel77 a dit :

    En ce qui concerne les PH2000, je n'en entends presque plus parler dans les médias (mais je ne suis pas sur Twitter, etc.). Je pars du principe qu'ils fonctionnent. Mais il y a deux jours, on a appris qu'un centre de réparation pour les armes allemandes en Pologne avait échoué, et maintenant on parle de la Slovaquie comme alternative. https://www.spiegel.de/politik/deutschland/ukraine-krieg-reparaturzentrum-fuer-panzerhaubitzen-soll-in-der-slowakei-statt-in-polen-aufgebaut-werden-a-5c0fbd5f-d35c-4ff9-b80d-8a58596d6ef6

    Si cela est vrai, on peut comprendre la position allemande... ou du moins de KMW. Et l'image des Polonais qui demandent au monde entier de faire front face à la Russie en prendrait un coup. Dérouler le fil twitter pour en apprendre plus sur le sujet :

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  10. il y a 12 minutes, Yorys a dit :

    J'ai cité l'hypothèse vue sur le forum chinois où le camion aurait eu un chargement d'engrais sans aucun système de mise à feu ce qui lui aurait permis de passer le contrôle, et où le SUV aurait servi de "détonateur". Le point difficile à avaler dans cette théorie c'est qu'elle implique 3 kamikazes ce qui n'est pas trop dans les mœurs européennes.

    L'autre option possible, c'est un renseignement amont ultra poussé permettant de connaître la teneur de la cargaison et son parcours... avec tir sur le camion ou déclenchement à distance, pourquoi pas depuis un drone naval, une fois le véhicule présent sur le pont. Mais c'est une opération demandant une réelle expertise.

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  11. Il y a 7 heures, Poivre62 a dit :

    En image arrêtée avec les moyens du bord j'ai obtenu ça. On voit "quelque chose" au niveau du premier pilier (au dessus du chrono 0.03), quelque chose qui n'était pas là une seconde avant, quelque chose qu'on ne voit pas au niveau des autres piliers et juste après l'arrivée sur les images de ce quelque chose survient l'explosion...
    https://ibb.co/6gZ1nxB

    On voit effectivement quelque chose apparaître. Néanmoins, au visionnage de la vidéo, il semble que le pont ne cède pas exactement à la verticale de cette possible embarcation. Mais un peu plus à gauche. Cela n'invalide pas forcément la thèse d'une explosion depuis un drone naval... mais il faut alors pouvoir expliquer pourquoi le pont cède un peu plus à gauche sur l'image. Pour des raisons structurelles ?

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  12. il y a 14 minutes, gustave a dit :

    Motivé ou en guerre, quelqu'un qui dort deux heures par nuit fait des erreurs, c'est tout. Et que leur chef dise que c'est le cadet de ses soucis n'y change rien.

    Deux heures pas nuit... c'est peut-être faisable une nuit, deux si le mécano est quelque peu shooté et qu'on le cantonne à des tâches peu exigeantes. Mais cela devient vite intenable. S'ils parviennent à tenir un rythme de 16 heures de travail quotidien... c'est déjà énorme.

  13. Il y a 23 heures, herciv a dit :

    Oui, il y avait notamment une opposition politique verte à cette construction dont nos bons amis allemands et espagnols ne parlent pas beaucoup ... http://www.pyrenees-parcnational.fr/fr/le-parc-national-des-pyrenees/le-territoire-du-parc-national

    L'opposition pour raison environnementale n'est pas que politique. Au sens, opposition portée par des partis politiques. Pour un tel projet, il y a évaluation d'impact environnemental (il semblerait que les atteintes identifiées soient relativement nombreuses et conséquentes), avis de l'autorité environnementale (quand bien même celle-ci n'émet que des recommandations) puis de très probables recours juridiques (avec possibilité de s'appuyer notamment sur l'avis de l'autorité environnementale pour argumenter la plainte). Sans compter les multiples oppositions locales (particulièrement fortes sur ce genre de dossiers dans certains coins pyrénéens) et un probable cortège de zadistes (qui ne sont d'ailleurs eux-mêmes pas toujours de tout repos pour la faune environnante). Bref, les partisans du projet ne seraient sûrement pas au bout de leur peine si celui-ci se voyait validé aux plus hauts échelons.

    PS : Et, disons-le clairement, ce serait assez casse-gueule politiquement parlant pour un exécutif que de valider ce genre de projets... surtout si la population française n'y voit pas d'intérêt direct et suffisant.

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  14. il y a 8 minutes, MIC_A a dit :

    @banzinou, merci pour toutes les précisions apportés sur ce conflit et honnêtement, je focalise rarement sur les avatars mais pour celui là tu as un œil de lynx pour arriver à mettre un nom sur ce sale type ! De plus, la physionomie n'est pas mon fort !

    L'homme jouit pourtant d'une belle popularité post mortem, pour ne pas dire plus... chez un certain public.

    Par exemple : https://www.lorientlejour.com/article/1079193/hommage-darslane-a-la-memoire-du-general-syrien-zahreddine.html

    Mais aussi :

     

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  15. il y a 12 minutes, Clairon a dit :

    plusieurs explications [...]

    J'imagine que lorsque l'on souhaite transporter ces véhicules en BPC/TCD ou par avions, le côté perpendiculaire doit également permettre des emports accrus. On ne perd pas des volumes inutiles entre véhicules parce qu'une forme particulière empêche de les serrer davantage. Sur le VAB, on voit bien à l'inverse que de la tôle sort de l'aplomb des roues :

    Révélation

    1280px-54th_Signal_Regiment_Bastille_Day

     

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  16. à l’instant, Fusilier a dit :

    War monitor signale des convois d'artillerie, se dirigeant de Melitopol vers Kherson.  Logique de vouloir établir des bases feu, rive gauche?  

    Peut-être faut-il seulement comprendre - mais il est vrai que le to est employé et non pas toward - que des pièces d'artillerie ont été aperçues se déplaçant depuis Melitopol en direction de la ligne de front située autour de Kherson.

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