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Shorr kan

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Tout ce qui a été posté par Shorr kan

  1. Quand elle veut je viens avec elle. J’apprendrais à me contorsionner pour rentrer facilement dans ses bagages :-X Depuis le temps tu devrais le savoir: les interdits religieux valent pour les autres pas pour les saoudiens eux-mêmes >:D O0
  2. L’imprimante 3D ou plutôt les méthodes additives ou stéréo-lithographiques ont les avantages suivant : 1-Rendement intéressant pour la production de petites séries, idéal pour faire du sur-mesure à la demande du client soit que ses critères sont particuliers soit que le marché est réduit comme celui de l’armement ; au surplus on se passe du maintien d’une longue chaine de production qu’il faut absolument tenir ouverte malgré le nombre restreint de commandes ; idéal aussi pour une logique de maquette et de prototypage rapide, c’est déjà d’ailleurs le cas dans l’automobile. 2-La production de formes complexes d’un seul tenant, surtout les pièces creuses inaccessibles aux machines-outils traditionnelles qui ont généralement besoin d’axes directs et de gros trous. Un exemple que j’ai en tête c’est la génération de chambre de combustion de turboréacteur et de buses d’injections de carburant. Un bémol pour ce qui est de la métallurgie : même si certain problème de tenu d’alliage on de bonne chance d’être surmonté sous peu, le facteur limitant sera certainement le cout des poudres métalliques qui ne sont pas donnés. L’industrie de pointe, d’armement et d’aérospatial seront les premières bénéficiaires. Mais je doute qu’elle surclasse les méthodes traditionnelles de fonderies et d’usinages autrement qu’à la marge et pour autre chose que des pièces onéreuses. Mon propos vaut surtout pour la métallurgie. La plasturgie et ces babioles même s’il y a des progrès à faire, c’est autre chose encore et plus accessible.
  3. C'est vrai, c'est vrai camarade : tout le monde c'est bien foutu de la geule des voitures plaqués de cartons de Guderian, qui s'en servait pour simuler des manoeuvres de blindés. La suite on la connait...
  4. Si la surface est réfléchissante et bien elle sera particulièrement bien visible au radar. C’est le dilemme : soit être furtif soit se prémunir des radars par une surface réfléchissante facile à repérer pour les radars et à leur suite les missiles.
  5. Shorr kan

    Dream Chaser

    Moi je continuerais à te lire, juste pour me payer une bonne tranche de rigolade. Quant aux preuves j’ai quand même l’histoire de l’astronautique derrière moi et la mécanique spatiale ; mais bon Tsiolkovski, Godard, Koroliev, Von Braun.et les autres était des p’ites bites par rapport à toi. Juste comme ça, je te mets au défi de fournir autre chose qu’un lien Wikipédia qui explicitement dit qu’à une certaine altitude la gravité accélèrent un laceur jusqu’à la vitesse de satellisation. J’ai écumé le net, juste pour en avoir le cœur net, passer en revue un certain nombre d’équations en me disant que peut être que tu avais raison, un truc m’avais échappé ; bref, une attitude au fondement de la démarche scientifique : le doute ; mais in fine, je n’ai strictement rien trouvé. Un autre casse-tête : si comme tu le suggères il suffit de mettre des boosters de la taille de missiles AA à un avion-fusée suborbitale pourquoi ça n’a pas déjà été fait ? Quelques chose me dit que tu n’as plus de réserves et que le roi est nue. Mais t’a raison de battre en retraite, y a pas d’honneur à être suicidaire, meme si c’est moin distrayant. En tout cas merci, ça m’aura permis de passer utilement le weekend en révisant ma mécanique rationnelle. PS: Attention! tu m'appelle toujour Shor Khan alors que c'est Shorr kan...teuteteuteu O0
  6. Y avait pas un projet de F-35 australien sans radar qui avait d'ailleurs fait hurler - de rires et d'indignations?
  7. Shorr kan

    Dream Chaser

    alpacks, j’ai compris ton problème. Tu lis mal ce que tu a sous les yeux, mais on va corriger ça. Déjà moi c’est Shorr Kan et pas Shor Khan, et heureusement pour toi je ne suis pas « Khan ». Et d’un De deux quand tu dis : J’ai pourtant précisé texto : « 9-11 km/s est une « vitesse caractéristique » et c’est la somme des dépenses en énergies nécessaire pour atteindre la vitesse de satellisation. L’usage d’une unité de vitesse est la plus commode à utiliser. A aucun moment le mobile n’atteint véritablement cette vitesse mais c’est l’application correcte de l’équation de Tsiolkovski. » C’est bien la preuve que t’a un problème dans l’assimilation de l’information, et ce n’est pas finie. Je n’ai jamais dit qu’il n’y avait pas d’accélération centripète, c’est juste toi qui n’a pas encore compris le truc et t’emmêle un peu les pinceaux entre les différentes accélérations. On va y aller pas à pas… Mais avant ça une mise au point : dans ton expérience de pensé, s’il n’y avait pas application d’une force centripète en gros de gravité, la Terre pour reprendre ton exemple, ne perdrait pas de vitesse ; elle continuerait juste sur son inertie dans un mouvement rectiligne uniforme et irait simplement se balader dans l’espace interstellaire comme l’indique le principe d’inertie de Newton. Je ne vois pas d’où tu tires qu’elle – la Terre – décélérerait en l’absence de pesanteur ? L’accélération centripète est ce qui permet à ton mobile de tourner, mais intrinsèquement ne modifie pas le module de la vitesse, c’est impossible. Ce qui fait varier la vitesse c’est l’accélération tangentielle qui est nul quand la vitesse est constante et la trajectoire circulaire ou elliptique quand la vitesse est variable, donc avec une composante d’accélération tangentielle. Dans le cas qui nous intéresse, la gravité n’a pas d’effet moteur sur un mobile que l’on veut mettre en orbite. Il n’y a pas de magie, il faut contrebalancer la « force centripète » par une impulsion communicant une énergie cinétique suffisante. Comme le demande hadriel, gratifie-nous d'une application numérique, juste un exemple qui démontre que la gravité "s'inverse" pour "attraper la fusée par le nez" et l'accélérer... Sinon, j’ai bien saisi qu’en plus d’être bouché tu te torchais volontiers avec l’opinion d’autrui ; ça doit être bien commode pour essuyer les diarrhée dont tu gratifie le forum maintenant quotidiennement. Mais tu es tout pardonné ; quand ça vous prend ces choses-là, c’est irrépressible. C’est juste que tu en laisses trainer un peu partout ces derniers temps et c’est de plus en plus voyant. Fait juste gaffe à tes fesses : il ne s’agirait pas qu’on te surprenne pantalon baissé et accroupie ; c’est des choses qui pardonnent pas. Et le conseil du jour : prends les autres pour des cons ils te prendront pour un con. C’est une sorte de loi de conservation intimement lié au fonctionnement de la nature ; je te laisse le loisir de la mettre en équation.
  8. Shorr kan

    Dream Chaser

    Alors ouvre bien tes mirettes. Non, la pesanteur n’accélère pas le mobile, en tout cas pas dans le sens où tu l’entends. Ce qu’on appelle force centripète induit sur le mobile une accélération centripète qui contrebalance l’inertie dudit mobile. Un objet en orbite est un objet en chute libre, mais dont la vitesse tangentielle/horizontale est telle qu'il tombe constamment au-delà de l'horizon, et donc ne peut se rapprocher de la Terre. Voilà comment tienne les astres, qu’il soit naturels ou artificiels. Et cette accélération, contrairement à ce que tu prêtends n’accélèrent pas le mobile dans le sens du changement de valeur du vecteur vitesse, et pour cause : l’accélération subit par le satellite est toujours perpendiculaire au vecteur vitesse ; il en résulte qu’il n’y a pas de changement de valeur de ladite vitesse, d’ailleurs il n’y a aucun travail fourni. Ce que cette accélération modifie à chaque instant c’est la direction du support du vecteur vitesse, la preuve : elle tourne et décrit une trajéctoire circulaire. L’accélération est dite centrale. Autre chose, cette force centripète ne « devient » pas, mais elle « est » présente en permanence et pointe invariablement vers le centre de masse: elle n’est ni intermittente –comme tu m’en faussement accusé – ni elle s’inverse. Conclusion : Elle permet de faire orbiter les objets, mais ne les y amène pas et c’est même tout le contraire : elle s’oppose à l’inertie des objets à qui on est obligé d’imprimer une impulsion suffisamment grande pour les faire atteindre l’orbite voulu. C’est le principe de la fusée ! fusée qui en s’éloignant de la Terre perd de la vitesse à cause de l'attraction gravitationnelle. Donc, encore une fois, la pesanteur ne participe pas à la mise en orbite d’une quelconque façon. Idéalement une fusé devait démarrer à l’horizontale pour être d’emblée parallèle à la terre et avoir la pesanteur à la perpendiculaire de la propulsion ; mais voilà, il y a l’atmosphère. On a donc un 1er étage qui emmène le plus vite possible, mais pas trop à cause du frottement, les 2 et 3ème étage au-delà de la stratosphère. Et c’est au-delà de cette couche maudite que la fusée prend une trajectoire optimisé en passant à l’horizontal mais aussi à une vitesse proche des gaz éjectés, car c’est à ce moment que la fusée accélère vraiment vite, car contrairement à ce que tu crois, Ariane V par exemple est à 5400km/h à 40km, 10.000 à 74km et +14000 à + 120 km d’altitude. La mise en orbite est uniquement le fait de l’énergie potentielle stocké sous forme chimique dans la fusée propulsé sur une trajectoire adapté, et rien d’autre. Et encore une fois, le problème ce n’est pas l’altitude (les V2 pouvait aller à 200 Km) c’est la vitesse. Soit dit en passant, tu manques singulièrement de modestie et un peu de savoir-vivre ne gâterait en rien tes échanges avec autrui. Ravi d’avoir pu t’aider et bon weekend.
  9. Shorr kan

    Dream Chaser

    La pesanteur ne participe pas à l’accélération du satellite. L’orbite de ce dernier est une parabole résultante d’un déplacement horizontal et d’une chute, Mais une parabole qui est en fait une ellipse, où le mobile n’en finit pas de chuter du fait d’une impulsion sur le plan horizontale suffisamment forte qui la déporte sans arrêt et lui fait rater sa cible : la terre, en contrebalançant le champ de gravité qui pointe vers le bas. Et encore une fois, le fait que la fusée monte en altitude n’est pas dû à un vol vertical, ou juste en partie le temps de sortir de la stratosphère puis s'horizontalise, mais du fait de la courbure de la terre. La satellisation vient de la vitesse communiqué par la fusée est rien d'autre. Un dessin illustre ces faits
  10. De quel ordre est cette durée de vie ? et qu'elle est l'élement qui impacte celle-ci : l'électronique, la poudre...?
  11. Shorr kan

    Dream Chaser

    9-11 km/s est une « vitesse caractéristique » et c’est la somme des dépenses en énergies nécessaire pour atteindre la vitesse de satellisation. L’usage d’une unité de vitesse est la plus commode à utiliser. A aucun moment le mobile n’atteint véritablement cette vitesse mais c’est l’application correcte de l’équation de Tsiolkovski. Et en effet il faut ajouter à 7.8 km/s + au minimum 1km/s, si ce n’est plus, du fait du frottement de l’atmosphère + la vitesse que fait perdre la pesanteur multiplié par le temps passé à la verticale; la somme de toutes ses vitesses donne généralement de 9 à 11 km/s.
  12. Shorr kan

    Dream Chaser

    La mécanique spatiale est formelle : pour atteindre la vitesse de satellisation, soit 7.8 km/s à partir d’une vitesse par exemple 5 fois moindre environ, l’énergie équivalente varie comme la vitesse au carré, soit bien 25 fois d’énergie. Le 1er étage est volumineux car il sert à amener au-delà de la stratosphère un second et troisième étage dans des conditions optimale permetant une trajectoire optimisé et qui restent encore assez volumineux, mais moins que ta navette, qui si elle devait être redimensionné serait bien plus lourde si tu tiens à faire un vol orbitale non fractionné et en récupérant les réservoirs, augmentation de masse qui est géométrique et non pas linéaire. Pour te donner une idée, voilà deux dessins qui montre la version original russe dont est inspiré le modèle américain. Note la taille du réservoir. Et encore, celui-ci est largable, Ce qui réduit considérablement la masse à satelliser. Tout est bon à prendre pour améliorer le rapport de masse ergols/structure. Ton résonnement comporte un biais car tu considères l’altitude là où c’est la vitesse qui est déterminante. Si ce que tu disais était vrai il aurait suffi de coller des missiles au SR-71 et de recouvrir d’un matériau ablatif, et le tour aurait été joué. Mais ce n’est pas le cas Sinon, oui, tu peux monter haut malgré des vitesses très inférieures à celle de satellisation, mais à l’issue de la phase balistique tu fine par retomber. C’est ce que font les ICBM dont l’apogé est à plusieurs centaines de kilomètres. Tu a eu des fusées sondes qui ont même atteint 1000 Km d’altitude…mais sans pouvoir se satelliser.
  13. Shorr kan

    Dream Chaser

    Il faudra juste des pichnettes 25 fois plus énérgétique qu'actuelement pour passer du suborbital à l'orbital O0 C'est pas vraiment un hasard si la plupart des projets privés de tourisme spatial se concentre sur des vol parabolique : c'est qu'il n'y a pas moyen de faire autrement en l'état actuelle de la téchnologie, de ses couts et des lois de la physique.
  14. un article qui résume le parcoure d'Hitller durant la WWI. J'aurais deux trois truc à ajouter personnellement mais dans l'ensemble c'est une bonne synthèse du peu que l'on sait sur cette période de sa vie : http://valeursactuelles.com/leur-grande-guerre-3/5-caporal-hitler-l%E2%80%99abri-front20131203.html
  15. Il faut distinguer entre la naissance de son antisémitisme et le moment de sa transformation en volonté meurtrière. Pour la première rien n’indique son existence avant 1919. Beaucoup avance que c’est en 1916-18 quand l’Allemagne s’enlise et perd la guerre, ce qui est alors commun à beaucoup en Allemagne qui commence à accuser les juifs de cette situation ; certes il pointe du doigt des ennemies de l’intérieur dont il faudra se débarrasser après-guerre, mais cela semble désigner les socialistes et les syndicats qu’il abhorre très tôt. Pour d’autre c’est même encore avant vers 1908 jusqu’à 1914 : c’est vrai qu’à ce moment-là il découvre Vienne, ex-capital impériale de l’empire austro-hongrois et son cosmopolitisme qui le dégoute tant, ainsi que Wagner qu’il idolâtre et dont on peut penser qu’il a emprunté ses idées antisémites, enfin qu’il fréquente les meetings politiques d’extrême droite et lit leurs tracts ; mais force est de constater que ni la guerre, ni la période viennoise ne sont assez documenté pour l’affirmer, à l’inverse les indices montre qu’il n’a pas l’air d’être touché par ce sentiment. Il -Hitler- affirme lui-même qu’il n’a longtemps pas été ne serait-ce qu’effleuré par ce genre d’idée xénophobe ; c’est un menteur professionnel, mais sur ce point j’ai tendance à le croire. C’est 1919 qui voit naitre l’antisémitisme violent et sous une forme qui lui est propre, d’Hitler. C’est aussi à ce moment que son caractère change et s’affirme, qu’il se politise en devenant actif et se radicalise, qu’il se découvre des talents d’orateur, enfin il a digéré tout son vécu et ce qu’il a appris pour accoucher d’une vision du monde définitive de nature paranoïaque et se donne pour mission de relever l’Allemagne. Donc, on peut penser qu'il en est arrivé à l'élaboration d'une idéologie antisémite sans vraiment avoir été foncièrement antisémite auparavant -en tout cas pas plus que le quidam moyen, même si ça devait le travailler un peu. ça me semble très plausible. Maintenant, a-t-il eu une volonté d’extermination précoce ou c’est née avec la radicalisation de la 2ème guerre, en tout cas tardivement ? C’est en 1919 qu’il élabore l’idée qu’il faut se débarrasser des juifs de manière « scientifique » et pas juste des pogromes erratiques. Donc l’on peut penser que le réveil de l’antisémitisme chez Hitler coïncide avec le désir génocidaire ; mais au-delà de son idéologie fabriqué en 1919 l’élaboration de son projet politique, de sa mise en ordre devra attendre son séjour en prison et l’écriture de Mein Kampf. Il y élabore un programme qui se décline en plusieurs actions et étapes, et l’une d’elles est l’éradication des juifs. Il fait souvent référence de façon explicite à la manière radicale de mener sa future politique qui se devait d’être cruelle et barbare ; il a conscience de la nature criminelle de ses idées et les a élaborés comme telle. Je doute qu’il est eu une idée précise de comment procéder (même s’il devait avoir sa petite idée, genre les déporter quelque part et les laisser crever de faim), mais comme on dit « c’est l’intention qui compte » :-[ Je suis persuadé pour ma part qu’il a projeté bien avant la guerre le sort des juifs qui devait disparaitre d’une façon ou d’une autre et il n’y a pas 36milles façon de se débarrasser de millions de personnes. Autre chose : l’on fait souvent l’erreur de chercher la source de son antisémitisme chez un juif en particulier ; que ce soit un ancien camarade de classe au primaire qui lui filait des baignes, un officier pendant la guerre qui l’aurait violé, un médecin qui n’a pas réussie à soigner sa maman voir éventuellement un grand père juif et procède donc de la haine de soi…etc. Mais le « Juif » d’Hitler n’existe pas, c’est un juif métaphysique qui n’a aucune réalité qui ne représente personne en particulier, ou peut être quelqu’un : lui :lol: il faut dire que les termes infamant qu’il utilisait recoupait beaucoup ce qu’il était lui-même. Mais là on entre dans la psychologie de bazar et je m’abstiendrais d’aller plus loin. Il s’est objectivement mis à dos les populations de l’Est, en particulier ceux des territoires soviétiques avec des ukrainiens qui avaient pourtant accueilli la Wehrmacht en libératrice, mais : D’un il s’en fout, c’est une race inférieur voué à l’esclavage et pour partie à l’extermination. Cela tient à la folie du régime pour une part. Folie, qui rend aveugle et irrationnelle dès qu’il est question de "races", les dirigeants nazis. De deux, je croie profondément que l’équilibre du régime et le contrôle de la société passait aussi par une criminalisation toujours plus poussé de cette dernière et une escalade dans la barbarie. Il y’a donc un mélange de raisons objectives (tenir la société et l’appareil d’Etat) et de déraisons (un racisme pathologiques et de l’impulsivité). En plus de sa croix de Fer il a quand mêmes eux six citations, et tout estafette de QG qu’il est été, ça ne devait pas spécialement un boulot facile durant les batailles de la Somme et de Bapaume auxquelles il a participé…à moins qu’à l’inverse sa longévité dans ses conditions montre qu’il était bien loti ? Faudrait comparer avec d’autres estafettes de QG et comparer avec la norme pour se faire une idée, et surtout savoir quand il a reçu ses récompense/citations.
  16. Dinng Dinnng Dinnngg Dinnnngggg.... bonne et heureuse année 2014* à tous. Longue vie au forum...au fait il a quel age maintenant ? *j'ai pas osé dire pleine de conflits à commenter au vue de se qui se profile Encore une fois bonne année !!!!
  17. La question devrait être formulé comme suit : laquelle des deux solutions (à capacité égale) reviens le moins cher entre la construction d’un/de frappeur(s) d’une part et l’ajout de silos sur des frégates ? Et dans ce cout, qu’elle est la part dans ces deux solutions entre l’investissement en capital et les charges d’exploitations ? Personnellement je soupçonne la solution frappeur d’être la moins cher…mais ce n’est qu’une estimation au doigt mouillé O0 .
  18. Donc j'ai dis une grosse bêtise :-X Alors tu va pouvoir confirmer : c'est vrai que Goering n'arrivait pas à refermer le dernier bouton de son pantalon ? Sinon je t'imaginais plutôt en FW190 ;)
  19. Ah Speer! j'ai vu un documentaire il y à peu sur son destin après guerre, et cet enfant de salaud esclavagiste à quand même eu une belle carrière, sans trop de bobo, et en plus blindé de tune, ET EN PLUS à eu une belle mort dans les bras de sa maitresse...les enfoirés gagne toujours. C'est même l'objet de cette guerre coté allemand: ce constituer un Lebensraum, un hinterland regorgeants de réserves alimentaire et de matières premières. Et c'est la qu'on se rend compte que si le projet nazi reste particulier, cet aspect de la constitution d'un arrière pays impérial travail beaucoup les élites allemande civils et militaires depuis la WWI, et est largement partagé. Mais aurait-ils été capable d'escorter les bombardiers jusqu'au cœur industrielle de l’Allemagne ? il me semble bien que les 1er avions à réaction manquaient d'autonomie de vol et il n'y avait pas de projet de bombardier à réaction coté alliés, toujours si je ne dit pas de bétise. Je sais, je sais, mais j'ai du mal avec cette idée qu'on peut blouser un anglais qui fait du sentiment...c'est pas naturel...c'est comme un papou végétarien...ça crée même chez moi un certain malaise O0 ... Tu prétend savoir tout ça en ayant lu tout ces livres, mais je dit que tu affabule. tu n'est pas crédible et ça se voie de plus en plus, tu n'arrive plus à le dissimuler : la vérité c'est que tu est un vétéran de la Wehrmacht qui se cache !!! allez avoue !! n'est pas peur, on te jugera pas ! Dans quel corps tu à servis servis ? Je suis sur que t'a bossé à l'OKH. Tu à connu Halder ? c'était quel genre de type ?
  20. Deux points : Les réseaux de guerre info-centré existe déjà, et est au service de la flotte ; il n’y a donc qu’a considérer le frappeur en plus sans avoir à déranger tout le réseau. Deuxièmement, je suis d’accord pour dire que si son usage se limite à porter des centaines de missiles de croisières à lancer en une salve, c’est « too much » tant en terme de coût que d’utilité (ce qui ne veut pas dire inutile!). Mais il peut servir à autre chose, et c’est ce que j’aime dans ce concept : c’est une plateforme d’appuis feu intensive pouvant aussi bien servir à la haute que basse intensité. Je pense aussi qu’il faut prendre la comparaison de cette façon de flottes dans leurs ensembles. Et je pense qu’un model avec frappeur serait moins cher à la longue. Mon raisonnement se déploie comme ceci : ajouter des tubes à des frégates, les refondre en sus du coût de la refonte c’est ajouter du poids donc augmenter la consommation de carburant et des charges d’entretien supplémentaire et éventuellement du personnels, tout ça pour cause de navire plus lourd ; c’est des surcoûts de quelques pour-cent en plus mais à la longue c’est des tombereaux d’argent, le tout pour une capacité supplémentaire qui n’aura qu’un usage épisodique, voir ne le sera jamais. Je pense qu’un frappeur (ou plusieurs plus petit) acheté puis stocké coûteraient moins cher comme alternative si l’on considère les frégates renforcé sur l’étendue de leur durée de vie opérationnelle ; et même en considérant l’appuie côtier, je pense aussi qu’un frappeur d’artillerie le fera plus puissamment pour moins cher sans prendre le risque de perdre ou d’endommager une frégate. Je précise que mon analyse est fondée et calibré sur une méthodologie statistico-pifométrique :lol: Rien ne force à mettre 300 Mdc, on peut en mettre 100 ou 50 ou 20, ou construire un plus petit frappeur ; il ne faut pas focaliser sur cette capacité qui n’est qu’une capacité parmi d’autres permise par la modularité du concept, concept lui-même déclinable : ça peut être une barge tracté par une frégate ou autopropulsé, un module ajouté à un cargo, un container porté par un sous-marins… Quant à l’exposer, cela peut être dû à une situation imposé ou recherché par le commandement dans la mesure où l’on ne s’interdit pas une manœuvre risqué ; c’est un choix tactique, encore faut-il que ce choix est un cout raisonnable. Perdre un frappeur poussé loin en avant avec deux ou trois douzaines de missiles est potentiellement regrettable mais très supportable comparé à d’autres navires de même tonnage/puissance de feu. Une frégate océanique perdu ou gravement endommagé, c’est non seulement un équipement cher mis hors combat mais surtout du personnel très qualifiés qui mirent longtemps à être formé et rodé, et un navire océanique c’est aussi un outil diplomatique et politique majeur d’autant plus précieux qu’ils sont peu nombreux. On ne peut réduire les risques sous un certain seuil, mais l’on peut en minimiser certains par exemple en les soustrayant aux menaces côtières de plus en plus répandu par exemple ; je trouve que le risque de se prendre un missile antinavire bas de gamme dans un conflit basse intensité pour une frégate qui se rapprocherais de la côte, même faible reste exorbitant au vue de l’enjeu. Ça signifie simplement que c’est une technologie maîtrisé dérivant de l’offshore dont le créateur du concept, René Loire, était issue. Le frappeur a été pensé comme un pétrolier, pétroliers qui se sont montré étonnamment résistant au tir d’Exocets durant la guerre irako-iranienne ; c’est ce qui a inspiré le concept pensé comme robuste, mais aussi peu coûteux. L’un des points étant justement de comprimer les coûts en transférant les savoirs faire civile directement inspiré du naval pétrolier sans modification majeurs ; ce sont des designs maîtrisés et il n’y a pas de superstructure importante portant des équipements coûteux. la/les fonction(s) est/sont spéciale(s) pas le navire lui même. Bien entendu, s'il s’agit de le construire à "l’américaine" , c'est-à-dire avec de lasers d'auto-défense alimentés par un réacteur nucléaire, portant 1500Mdc et servi par 1000 hommes d'équipage, le projet n'a pas mon soutient. Hors de l'idée initiale point de salue. En parlant de lui faire faire des ronds dans l’eau je pensais surtout à l’entrainement de l’équipage et son maintien à niveau opérationnelle plus qu’à la machinerie, ma phrase était mal formulé. L’équipage est réduit semblable à celui nécessaire à un transporteur civil, les armes étant stockés et leurs maniement hautement automatisés. Ce n’est qu’un transporteur, pas un système d’arme complet comme une frégate ou un sous-marin avec tout son personnel. Personnel qui est une charge importante de l’exploitation d’un navire de guerre. Les coûts et l’entrainement lié à l’équipage doivent d’être du même ordre que des cargos ravitailleurs de flottes. Le même ordre de prix qu’un porte container/pétrolier de même taille, ou un peu plus. Plus ce qu’on met dessus et là : Soit l’on a un stock de Mdc déjà existant ou on en construit en plus, mais qui reste interopérable avec le reste de la flotte. Les missiles n’ont pas vocation à être affectés définitivement à ce navire qui n’est que l’une des modalités d’utilisation. Soit l’on y met de l’artillerie lourde, du 155 mm ou LRM qu’ils faut donc navaliser, et il y’a un surcoût compensé par une nouvelle capacité utile qu'est le bombardement côtier persistant (je l’aurais bien vu au large de Beyrouth, la Somalie ou la Libye) ; et indirectement réduit le coût d’opportunité du reste de la flotte en permettant aux frégates de se concentrer sur leur mission de protection des routes maritimes internationales. Je suppose que d’autre usage sont possible comme celui de FOB maritime en appuie d’un débarquement ou pour le ravitaillement de petites embarcations de patrouille anti-piraterie, même si ça devrait être plus anecdotique/exotique que les deux précédent. Donc il y a un surplus de dépenses potentiellement important non par le navire lui-même mais ce qu’on lui adjoint ; mais je dis que : - D’un, l’on gagne des capacités renforcé voir nouvelle, pour un prix « relativement » modeste. - De deux, le soulagement de matérielles utilisé pour des taches pour laquelle il n’est pas optimisé, ce qui induit des coûts d’exploitation moindre qui à la longue devrait compenser la dépense en capital initial. j’ai imagé plus haut. - Enfin la réduction des coûts indirects : un coup d'opportunité réduit du fait que les frégate peuvent se consacrer à leurs missions principales de protection du commerce mondiale et de guerre symétrique contre les autres flottes; et un autre, celui potentiellement induit par la perte d'un navire cher et son équipage qui l'est encore plus. Plus qu’en coût absolu il faut penser en rapport qualité/prix et coût marginale. Des misions différentes des modules différents, dans un cadre standardisé bien sûr. Le ciblage se fait par des capteurs déportés sur d’autres navires/aéronefs, il n’en a pas en propre. Comme je l’ai dit, ce n’est qu’une plateforme avec une instrumentation minimale juste nécessaire à la navigation. le réseaux lui existe déjà. C’est de l’interarmes, ce qui est très bon. J’en conviens techniquement, mais moi ce que j’ai compris sur le topic des frégates c’est que leurs allongement est possible qu’au prix d’un remaniement lourd et cher, et contenu dans certaines limites auquel cas il vaut mieux dessiner un autre navire. Mes arguments sont de natures économique et opérationnelle (du point de vue de l’action contre la terre). L’on peut adjoindre à une flottille de frégates une puissance de feu supplémentaire mais c’est cher payé pour une capacité qui n’aura peut-être qu’un usage unique, voir aucun, mais qu’elles devrons probablement se traîner tout le temps.
  21. Il peut très bien bénéficier d’une défense de zones assuré par ses escorteurs ou ceux du PA ou tout simplement de tout navire de guerre pour lui-même dans le cadre d'une flotte. Il est même plus protégé qu’un PA par son profil très bas/a demi immergé ou faiblement immergé. Dans la configuration où il est sacrifiable, c’est-à-dire exposé, inutile de le charger jusqu’à la gueule : il peut très bien être envoyé seul dans une zone dangereuse avec juste ce qu’il faut de munitions, protégé par sa capacité à encaisser les couts et sa furtivité intrinsèque. Et si il est définitivement perdu, tant pis, en reconstruire rapidement un autre prendra quelques mois tout au plus ; c’est une technologie dérivé du civil. la flotte restant en arrière. c'est un pion de faible valeur seul, mais qui montre toutes sa valeur avec d'autre pièce ou en étant sacrifié/exposé. Mais pas de 155 et de LRM, et pour quel persistance (temps de présence et munitions). Je le répète, je ne suis pas spécialiste, mais vouloir adjoindre ce genre de capacité à une frégate la transformerait certainement en croiseur, si tant est qu’une modification de cette ampleur soit possible. Plus d’arme c’est des navire plus lourds, des couts d’exploitations supérieurs , alors qu’un frappeur c’est juste une barge à qui ont fait des tours de temps en temps pour s’assurer qu’elle tient bien la mer. Un frappeur est une prothèse. Ce n’est pas le navire qui est révolutionnaire, mais son usage au seins d’un réseaux et sa capacité a supporter l’attrition et sa puissance de feu, instantané en particulier. Les deux derniers point étant plutôt négligé dans les armées modernes. Pour ce qui est de concentrer la puissance de feu sur un navire je répondrais: * Que concentrer les moyens offensifs sur un navire c'est ce qui ce fait déjà, c'est le PA; on me rétorquera qu'un PA nucléaire c'est très bien protégé par sa vitesse, je répondrais que le frappeur aussi par le fait d’être à demi- immergé/bas sur l'eau. * On est pas obligé de confiner le frappeur à cette seul tache: il peut servir de plateforme d’appuis feu côtier/amphibie, de FOB maritime pour le ravitaillement de petites embarcations, de navires suicides, d'appoint de puissance de feu pour une flotille/flotte. L'on peut imaginer mille est un trucs. le concept lui même est déclinable de ravitailleurs convertible en frappeurs à des barges tractés en passant par des conteneurs déposé par des sous-marins sur le fond de l'océan. le concept est moins spécialisé qu'il n'en à l'air Mon propos est qu'il manque des moyens chaps pour faire face au missions côtière qui non seulement est une part essentielle des missions d'une marine mais aussi une zones de plus en plus dangereuse pour elle. Ce serait "bateau" qu'une frégate à je ne sais combien de milliards se prenne un silkworm dans un conflit face à une puissance mineur par exemple ; c'est un risque bien trop élevé pour des plateformes non seulement cher, mais comme le rappelle BPC à déjà une mission tourné vers l'océan de sécurisations des lignes maritimes internationales et de préparation à une guerre symétrique. Désolé d’être un peu confus et j'oublie des trucs, mais je suis crevé et n'arrive pas à articuler mon raisonnement mieux que ça: c'est présenté en vrac.
  22. J'ai du mal à visualiser la cinématique? le chargement est manuel, qu'est ce que ça change ? il n'y a pas plus de mains ? il y a des actions simultanés : l'un charge, l'autre tir ? l’intérêt n'est pas plutôt de tirer une première salve double, 1er salve qui est la plus meurtrière ?
  23. Au fait, pourquoi l'obusier de 120 AMOS compte deux tubes ?
  24. Non raté, mais c’était pas loin : le secret c’est le calvados franco-normand dans lequel on a laissé masserer des testicules de moules, elles bien bretonnes. Bien essayé quand même… tu vois ça recommence, quand je te disais que j’avais plus de jus :-[ . Ouuuch. Pour moi les vacances c’est fini pour….pffff ? …les 10 ans avenir vu mon programme... Mais j’apprécie quand même vos conseils maitre Tancrède sur la route à douze voies de la sagesse éternelle au mille félicités. Ton Kung-fu est fort l'ami. Dieu merci, il me reste la guimauve et les marrons glacés pour me réchauffer le cœur.
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