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VICTOR a écrit 12 juillet : Israël lance une opération de grande envergure contre le Liban, par air et par mer, à la suite d’une embuscade du Hezbollah, qui a tué 8 soldats israéliens et en a capturé deux autres T'en ai sur, personne ne sait ce qui s'est passé, (le hez dit qu'ils etaient (une patrouille)en territoire libanais, et israel dit en territoire israelien).

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http://www.monde-diplomatique.fr/cahier/proche-orient/a12323

sukhoi33

T'en ai sur

non je n'y étais pas

Akhilleus

je suis d'accord avec toi

la diference (mes propos n'engage que moi sur tous mes poste)

en israel a chaque guerre il y a des anti guerre qui ce manifestes et qui demandent l'arrêt des hostilités

dans les pays autour tu entend beaucoup de manifestant demandé a leurs gouvernement d'arrêter la guerre ?

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en israel a chaque guerre il y a des anti guerre qui ce manifestes et qui demandent l'arrêt des hostilités

dans les pays autour tu entend beaucoup de manifestant demandé a leurs gouvernement d'arrêter la guerre ?

la dessus je te rejoins

MAIS (et attention je veux pas passer pour une blanche colombe......ou un doux utopiste.....)

ne pas les entendre ne veut pas dire qu'ils n'existent pas

Je suis persuadés qu'il existe des intelectuels egyptiens, jordaniens, syriens.........qui seraient pour un réglement pacifique du conflit

Simplement on les entends pas primo .... paceque la liberté d'expression dans ces pays est effectivement moindre ca c'est un fait

.......parceque le journalisme en France et ailleurs fonctionne sur le sensationnalisme

Même les mvts pacifistes israéliens passent souvent à la trappe par rapport aux "BELLES" images guerrières tellemnt plus markéting.....

On pourrais d'ailleurs largement discuter du traitement de l'image par les médias depuis 1991 et la 1ere Guerre du Golfe (et puis en remontant plus loin 1989, la révoltion roumaine et ses fameux charniers bidons !!!!)

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tu voie des facistes partout

moi je suis pour un liban débarasser des terroristes islamistes qui pourrait alors vivre en pays avec son voisin israel

je n'ai pas besoins d'étayer avec des documents qui viennent soit de pour ou de contre mais toujours soumis a caution [11]

t'as pas besoin d'étayer !! tu devrais plutôt dire que tu en es incapable vu que tu n'as jamais lu un livre le sujet ( ah oui, wikipédia n'est pas une source scientifique en ce qui concerne des recherches historiques ).

d'autre part : "je n'ai pas besoins d'étayer avec des documents qui viennent soit de pour ou de contre mais toujours soumis a caution" : as tu entendu parler de l'historiographie ? ( il s'agit de faire le point des acquis historiques et des points restant en suspens sur un problème historique donné , ça permet de dépasser la stérile opposition des pour et des contres )

"moi je suis pour un liban débarasser des terroristes islamistes qui pourrait alors vivre en pays avec son voisin israel"

si tu connaissais un peu l'histoire de cette région tu saurais que le conflit israélo-arabe a commencé bien avant l'émergence des mouvements islamiques ( sauf les frêres musulmans ) et que israél a refusé de nombreuses propositions de PAIX qui reconnaissaient son existence.

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Bah moi je trouves que c'est plutot bon signe que les deux idéologies se confrontent sur ce forum.Un forum ca sert avant tous a donner son opinion et écouter l'opinion des autres.Et ca serais bien pire qu'on évite ce sujet et que tous le monde rumines dans son coin. Ou autrement ont fais un forum completement stérile ou on supprime tous ce qui plait pas.Et la c'est le discours et le dialogue qui en prennent un sacre coup . Fin du HS

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et si ma tante non je n'ai pas les mêmes lectures qu'un intellectuel comme toi loki scuse d'un ignare je croyait que ça remontait a loin [57] les pharaons je croie mais comme je ne lis que SAS et OSS117 tu vas m'expliquer et que la guerre existe depuis que l'homme est sur terre ?? loki si tu as quelques extraits de bouquin a poster n'hésite pas j'apprendrais a lire

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et si ma tante

non je n'ai pas les mêmes lectures qu'un intellectuel comme toi loki

scuse d'un ignare je croyait que

ça remontait a loin [57] les pharaons je croie

mais comme je ne lis que SAS et OSS117 tu vas m'expliquer

et que la guerre existe depuis que l'homme est sur terre ??

ben tu vois que tu réussis à admettre que tu as tort [08]
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ou es que j'ai tord

explique moi [57] c'est bien SAS

il me faut des exemples simples comme ceux la

http://www.dailymotion.com/Tazda/video/202782

impossible de s'entendre, tu m'envoies des vidéos que mon PC ( socialo je suppose ) ne veut pas lire !! et je te cite des livres que tu ne veux pas lire !!

c'est une moderne tour de babel [08]

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c'est une moderne tour de babel tu veux dire babibel [57] PC c'est pas communiste [08] 13h52 Israël dit avoir répondu à une "violation" de la résolution 1701 de l'Onu interdisant l'acheminement d'armes au Hezbollah pour justifier son opération commando au Liban

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moi je suis indigner par l'attaque israelienne d'aujourd'hui [21][01][01][01][01] vraiment les israeliens veulent la guerre et par les 2 poids 2 mesure de la "communaute international" si le hezboallah avait tiree une seule roquette contre israel la on verre bush blair anan et chirac sirtir de leurs silence pour s'indigner de cette attaque terroristes lache et qui vise a destabiliser le liban mais vu que c'est israel qui a mene cetet attaque c'est le silence radio total c'est ca l'egalite international

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moi je suis indigner par l'attaque israelienne d'aujourd'hui [21][01][01][01][01] vraiment les israeliens veulent la guerre et par les 2 poids 2 mesure de la "communaute international" si le hezboallah avait tiree une seule roquette contre israel la on verre bush blair anan et chirac sirtir de leurs silence pour s'indigner de cette attaque terroristes lache et qui vise a destabiliser le liban mais vu que c'est israel qui a mene cetet attaque c'est le silence radio total c'est ca l'egalite international

et oui c'est ça le systéme international : tout le monde espère que le hezbollah ne va pas répondre à cette provocation sinon c'est reparti pour un tour ........
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Le monde ,c'est le monde du plus fort c'est tout.L'injustice est présente partout et c'est dommage.tous le monde a peur des américains et Israel et le fils des états unis.Donc si Israel fais n'importe koa et que c'est cautoinné par les états unis ,le monde se taitet baisse la tete.VAE VICTIS.

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à propos du raid de ce matin, le compte rendu du Monde : Le village de Boudaï, dans la Békaa, cible d'une opération commando de Tsahal LEMONDE.FR | 19.08.06 | 17h03 • Mis à jour le 19.08.06 | 17h14 Que s'est-il passé, samedi 18 août, dans ce secteur isolé de la plaine de la Békaa cible d'une opération héliportée de Tsahal ? A Boudaï, où des commandos israéliens ont eu un tué et deux blessés, les sympathisants du Hezbollah sont persuadés qu'ils recherchaient le trésorier national du parti chiite, cheikh Mohammad Yazbeck. Cheikh Yazbeck est originaire de ce village chiite dans la vallée de la Békaa, à 15 km à l'ouest de Baalbeck. Il y a fait construire un imposant complexe - école, mosquée et salles de réunion - qui détonne dans une région de pauvres bâtiments de ciment et de béton. Cet ensemble se dresse à quelques centaines de mètres du champ de bataille. Vendredi, il avait été vu dans les villages voisins, aux funérailles de combattants du Hezbollah tombés lors de l'offensive israélienne qui a pris fin lundi. Un fonctionnaire du ministère libanais de l'intérieur posté dans ce village pavoisé aux couleurs du Hezbollah ne trouvait qu'une explication à cette opération de commando : "ils étaient venus capturer cheikh Yazbeck". Une fois qu'il a lâché le morceau, sous le couvert de l'anonymat, les langues se délient. Oui, c'est bien lui qui était là la veille, indique-t-on. C'est d'ailleurs le seul dignitaire important du Hezbollah de la région. La version que reprennent les habitants de Boudaï et des hameaux environnants, et que tous disent tenir de "combattants du Hezbollah", est celle d'un raid extrêmement audacieux, et qui aurait mal tourné. Des hélicoptères ont déposé les commandos israéliens vendredi soir dans la montagne, à une vingtaine de kilomètres de Boudaï. En uniforme libanais et à bord de véhicules, notamment un Humvee, peints comme ceux de l'armée libanaise, ils ont pu opérer impunément plusieurs heures durant. AUDACIEUX, LE RAID A MAL TOURNÉ Mais, aux abords de Boudaï, toujours bien gardée, une sentinelle du Hezbollah a arrêté le convoi. Les "soldats libanais" lui ont répondu en arabe qu'ils étaient du même bord, mais leur accent les a trahis. Le guetteur a donné l'alerte et la bataille a commencé. Des combattants sont venus de tous les villages environnants, raconte Souheil Qanaa, 37 ans, qui a passé la nuit, Kalachnikov en main, pour être prêt à défendre sa famille. Cet éleveur de poulets dit avoir été réveillé à 3 heures 40 par le fracas des explosions. Il a entendu les passages des avions F-16 et des drones israéliens, et les hélicoptères Apache tirer des missiles et ouvrir le feu à la mitrailleuse pour couvrir le commando. A 6 heures, tout était fini. Il ne restait plus que des taches de sang dans les blés, il n'y avait pas de corps sur le terrain, raconte Souheil. Des habitants de Boudaï montrent les taches de sang dans le champ de blé d'où les hélicoptères ont décollé en emportant le commando et ses véhicules, raconte Haj Machouri Mcheikh, employé de la municipalité. D'énormes cratères coupent les routes qui convergent vers la zone d'atterrissage. Des éclats d'obus jonchent les chemins et les champs, un canal d'irrigation porte les traces d'impacts de balles et d'explosions. Finalement, deux hommes corpulents, pistolet et walkie-talkie à la ceinture, viennent vérifier l'identité des journalistes. Ils sortent d'un sac quelques trophées : pansements ensanglantés, douilles d'obus de canon, une page couverte d'inscriptions en hébreu, apparemment un mode d'emploi. "Les Israéliens étaient au moins trente. Ils sont tombés dans une embuscade", affirme un barbu qui refuse d'en dire plus. Veut-il décliner son nom : "c'est impossible", répond-t-il en français avant de remonter en voiture. Par précaution, les cadres du Hezbollah ont reçu l'ordre de quitter le secteur, disent les habitants. Le 2 août, un commando israélien avait capturé cinq personnes lors d'une opération héliportée à Baalbeck, apparemment afin de pouvoir les échanger contre ses deux soldats capturés le 12 juillet par le Hezbollah sur la frontière avec le Liban.

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la guerre vue par ses victimes : Notre famille a perdu la guerre" LE MONDE | 19.08.06 | 14h17 • Mis à jour le 19.08.06 | 14h29 Mon cher Uri, Voilà trois jours que presque chacune de nos pensées commence par une négation. Il ne viendra plus, nous ne parlerons plus, nous ne rirons plus. Il ne sera plus là, ce garçon au regard ironique et à l'extraordinaire sens de l'humour. Il ne sera plus là, le jeune homme à la sagesse bien plus profonde qu'elle ne l'est à cet âge, au sourire chaleureux, à l'appétit plein de santé. Elle ne sera plus, cette rare combinaison de détermination et de délicatesse. Absents désormais, son bon sens et son bon coeur. Né à Jérusalem en 1954, il s'est rendu célèbre avec sa première oeuvre, Le Vent jaune, dans laquelle il décrivait les souffrances imposées par l'occupation militaire israélienne aux Palestiniens. Quelques jours avant la mort de son fils, il avait lancé, avec les écrivains Amos Oz et A. B. Yehoshua, d'abord dans une tribune publiée par Haaretz, puis lors d'une conférence de presse, un appel au gouvernement israélien pour qu'il mette fin aux opérations militaires au Liban. Les trois hommes de lettres, considérés comme proches du "camp de la paix", avaient soutenu la riposte à l'attaque du Hezbollah, mais estimaient inutile l'extension de l'offensive décidée le 9 août. Principaux ouvrages de David Grossman en français (tous publiés au Seuil) : J'écoute mon corps (2005) ; L'Enfant zigzag (2004) ; Quelqu'un avec qui courir (2003) ; Chroniques d'une paix différée (avec Jean-Luc Allouche, 2003) ; Tu seras mon couteau (2000) ; Voir ci-dessous amour (1991) ; Le Vent jaune (1988). [-] fermer Nous n'aurons plus l'infinie tendresse d'Uri, et la tranquillité avec laquelle il apaisait toutes les tempêtes. Nous ne regarderons plus ensemble les Simpson ou Seinfeld, nous n'écouterons plus avec toi Johnny Cash et nous ne sentirons plus ton étreinte forte. Nous ne te verrons plus marcher et parler avec ton frère aîné Yonatan en gesticulant avec fougue, et nous ne te verrons plus embrasser ta petite soeur Ruti que tu aimais tant. Uri, mon amour, pendant toute ta brève existence, nous avons tous appris de toi. De ta force et de ta détermination à suivre ta voie, même sans possibilité de réussite. Nous avons suivi, stupéfaits, ta lutte pour être admis à la formation des chefs de char. Tu n'as pas cédé à l'avis de tes supérieurs, car tu savais pouvoir faire un bon chef et tu n'étais pas disposé à donner moins que ce dont tu étais capable. Et quand tu y es arrivé, j'ai pensé : voilà un garçon qui connaît de manière si simple et si lucide ses possibilités. Sans prétention, sans arrogance. Qui ne se laisse pas influencer par ce que les autres disent de lui. Qui trouve la force en lui-même. Depuis ton enfance, tu étais déjà comme ça. Tu vivais en harmonie avec toi-même et avec ceux qui t'entouraient. Tu savais quelle était ta place, tu étais conscient d'être aimé, tu connaissais tes limites et tes vertus. Et en vérité, après avoir fait plier toute l'armée et avoir été nommé chef de char, il est apparu clairement quel type de chef et d'homme tu étais. Et aujourd'hui, nous écoutons tes amis et tes soldats parler du chef et de l'ami, celui qui se levait le premier pour tout organiser et qui n'allait se coucher que quand les autres dormaient déjà. Et hier, à minuit, j'ai contemplé la maison, qui était plutôt en désordre après que des centaines de personnes étaient venues nous rendre visite pour nous consoler, et j'ai dit : il faudrait qu'Uri soit là pour nous aider à ranger. Tu étais le gauchiste de ton bataillon, mais tu étais respecté, parce que tu restais sur tes positions sans renoncer à aucun de tes devoirs militaires. Je me souviens que tu m'avais expliqué ta "politique des barrages militaires", parce que toi aussi, tu y avais passé pas mal de temps, sur ces barrages. Tu disais que s'il y avait un enfant dans la voiture que tu venais d'arrêter, tu cherchais avant tout à le tranquilliser et à le faire rire. Et tu te rappelais ce garçonnet plus ou moins de l'âge de Ruti, et la peur que tu lui faisais, et combien il te détestait, avec raison. Pourtant tu faisais ton possible pour lui rendre plus facile ce moment terrible, tout en accomplissant ton devoir, sans compromis. Quand tu es parti pour le Liban, ta mère a dit que la chose qu'elle redoutait le plus c'était ton "syndrome d'Elifelet". Nous avions très peur que, comme l'Elifelet de la chanson, tu te précipites au milieu de la mitraille pour sauver un blessé, que tu sois le premier à te porter volontaire pour le réapprovisionnement-des-munitions-épuisées-depuis-longtemps. Et que là-haut, au Liban, dans cette guerre si dure, tu ne te comportes comme tu l'avais fait toute ta vie, à la maison, à l'école et au service militaire, proposant de renoncer à une permission parce qu'un autre soldat en avait plus besoin que toi, ou parce que tel autre avait chez lui une situation plus difficile. Tu étais pour moi un fils et un ami. Et c'était la même chose pour ta maman. Notre âme est liée à la tienne. Tu vivais en paix avec toi-même, tu étais de ces personnes auprès de qui il fait bon être. Je ne suis même pas capable de dire à haute voix à quel point tu étais pour moi "quelqu'un avec qui courir" (titre d'un des derniers romans de ). Chaque fois que tu rentrais en permission, tu disais : viens, papa, qu'on parle. Habituellement, nous allions nous asseoir et discuter dans un restaurant. Tu me racontais tellement de choses, Uri, et j'étais fier d'avoir l'honneur d'être ton confident, que quelqu'un comme toi m'ait choisi. Je me souviens de ton incertitude, une fois, à l'idée de punir un soldat qui avait enfreint la discipline. Combien tu as souffert parce que cette décision allait mettre en rage ceux qui étaient sous tes ordres et les autres chefs, bien plus indulgents que toi devant certaines infractions. Punir ce soldat t'a effectivement coûté beaucoup du point de vue des rapports humains, mais cet épisode précis s'est ensuite transformé en l'une des histoires cardinales de l'ensemble du bataillon, établissant certaines normes de comportement et de respect des règles. Et lors de ta dernière permission, tu m'as raconté, avec une fierté timide, que le commandant du bataillon, pendant une conversation avec quelques officiers nouvellement arrivés, avait cité ta décision en exemple de comportement juste de la part d'un chef. Tu as illuminé notre vie, Uri. Ta mère et moi, nous t'avons élevé avec amour. C'était si facile de t'aimer de tout notre coeur, et je sais que toi aussi tu étais bien. Que ta courte vie a été belle. J'espère avoir été un père digne d'un fils tel que toi. Mais je sais qu'être le fils de Michal l'épouse de veut dire grandir avec une générosité, une grâce et un amour infini, et tu as reçu tout cela. Tu l'as reçu en abondance et tu as su l'apprécier, tu as su remercier, et rien de ce que tu as reçu n'était un dû à tes yeux. En ces moments, je ne dirai rien de la guerre dans laquelle tu as été tué. Nous, notre famille, nous l'avons déjà perdue. Israël, à présent, va faire son examen de conscience, et nous nous renfermerons dans notre douleur, entourés de nos bons amis, abrités par l'amour immense de tant de gens que pour la plupart nous ne connaissons pas, et que je remercie pour leur soutien illimité. Je voudrais tant que nous sachions nous donner les uns aux autres cet amour et cette solidarité à d'autres moments aussi. Telle est peut-être notre ressource nationale la plus particulière. C'est là notre grande richesse naturelle. Je voudrais tant que nous puissions nous montrer plus sensibles les uns envers les autres. Que nous puissions nous délivrer de la violence et de l'inimitié qui se sont infiltrées si profondément dans tous les aspects de nos vies. Que nous sachions nous raviser et nous sauver maintenant, juste au dernier moment, car des temps très durs nous attendent. Je voudrais dire encore quelques mots. Uri était un garçon très israélien. Son nom même est très israélien et hébreu. Uri était un condensé de l'israélianité telle que j'aimerais la voir. Celle qui est désormais presque oubliée. Qui est souvent considérée comme une sorte de curiosité. Parfois, en le regardant, je pensais que c'était un jeune homme un peu anachronique. Lui, Yonatan et Ruti. Des enfants des années 1950. Uri, avec son honnêteté totale et sa façon d'assumer la responsabilité de tout ce qui se passait autour de lui. Uri, toujours "en première ligne", sur qui on pouvait compter. Uri avec sa profonde sensibilité envers toutes les souffrances, tous les torts. Et capable de compassion. Ce mot me faisait penser à lui chaque fois qu'il me venait à l'esprit. C'était un garçon qui avait des valeurs, terme tant galvaudé et tourné en dérision ces dernières années. Car dans notre monde dément, cruel et cynique, il n'est pas "cool" d'avoir des valeurs. Ou d'être humaniste. Ou sensible à la détresse d'autrui, même si autrui est ton ennemi sur le champ de bataille. Mais j'ai appris d'Uri que l'on peut et l'on doit être tout cela à la fois. Que nous devons certes nous défendre. Mais ceci dans les deux sens : défendre nos vies, mais aussi s'obstiner à protéger notre âme, s'obstiner à la préserver de la tentation de la force et des pensées simplistes, de la défiguration du cynisme, de la contamination du coeur et du mépris de l'individu qui sont la vraie, grande malédiction de ceux qui vivent dans une zone de tragédie comme la nôtre. Uri avait simplement le courage d'être lui-même, toujours, quelle que soit la situation, de trouver sa voix précise en tout ce qu'il disait et faisait, et c'est ce qui le protégeait de la contamination, de la défiguration et de la dégradation de l'âme. Uri était aussi un garçon amusant, d'une drôlerie et d'une sagacité incroyables, et il est impossible de parler de lui sans raconter certaines de ses "trouvailles". Par exemple, quand il avait 13 ans, je lui dis : imagine que toi et tes enfants puissiez un jour aller dans l'espace comme aujourd'hui nous allons en Europe. Il me répondit en souriant : "L'espace ne m'attire pas tellement, on trouve tout sur la Terre." Une autre fois, en voiture, Michal et moi parlions d'un nouveau livre qui avait suscité un grand intérêt et nous citions des écrivains et des critiques. Uri, qui devait avoir neuf ans, nous interpella de la banquette arrière : "Eh les élitistes, je vous prie de noter que vous avez derrière vous un simplet qui ne comprend rien à ce que vous dites !" Ou par exemple, Uri qui aimait beaucoup les figues, tenant une figue sèche à la main : "Dis papa, les figues sèches c'est celles qui ont commis un péché dans leur vie antérieure ?" Ou encore, une fois que j'hésitais à accepter une invitation au Japon : "Comment pourrais-tu refuser ? Tu sais ce que ça veut dire d'habiter le seul pays où il n'y a pas de touristes japonais ?" Chers amis, dans la nuit de samedi à dimanche à trois heures moins vingt, on a sonné à notre porte et dans l'interphone et un officier s'est annoncé. Je suis allé ouvrir et j'ai pensé ça y est : la vie est finie. Mais cinq heures après, quand Michal et moi sommes rentrés dans la chambre de Ruti et l'avons réveillée pour lui donner la terrible nouvelle, Ruti, après les premières larmes, a dit : "Mais nous vivrons n'est-ce pas ? Nous vivrons et nous nous promènerons comme avant. Je veux continuer à chanter dans la chorale, à rire comme toujours, à apprendre à jouer de la guitare." Nous l'avons étreinte et nous lui avons dit que nous allions vivre et Ruti a dit aussi : "Quel trio extraordinaire nous étions Yonatan, Uri et moi." Et c'est vrai que vous êtes extraordinaires. Yonatan, toi et Uri vous n'étiez pas seulement frères, mais amis de coeur et d'âme. Vous aviez un monde à vous, un langage à vous et un humour à vous. Ruti, Uri t'aimait de toute son âme. Avec quelle tendresse il s'adressait à toi. Je me rappelle son dernier coup de téléphone, après avoir exprimé son bonheur qu'un cessez-le-feu ait été proclamé par l'ONU, il a insisté pour te parler. Et tu as pleuré, après. Comme si tu savais déjà. Notre vie n'est pas finie. Nous avons seulement subi un coup très dur. Nous trouverons la force pour le supporter, en nous-mêmes, dans le fait d'être ensemble, moi, Michal et nos enfants et aussi le grand-père et les grands-mères qui aimaient Uri de tout leur coeur - ils l'appelaient Neshumeh (ma petite âme) - et les oncles, tantes et cousins, et ses nombreux amis de l'école et de l'armée qui nous suivent avec appréhension et affection. Et nous trouverons la force aussi dans Uri. Il possédait des forces qui nous suffiront pour de nombreuses années. La lumière qu'il projetait - de vie, de vigueur, d'innocence et d'amour - était si intense qu'elle continuera à nous éclairer même après que l'astre qui la produisait s'est éteint. Notre amour, nous avons eu le grand privilège d'être avec toi, merci pour chaque moment où tu as été avec nous. Papa, maman, Yonatan et Ruti. Auteur d'une douzaine de romans traduits dans le monde entier, David Grossman est l'une des figures les plus marquantes de la littérature israélienne. Né à Jérusalem en 1954, il s'est rendu célèbre avec sa première oeuvre, Le Vent jaune, dans laquelle il décrivait les souffrances imposées par l'occupation militaire israélienne aux Palestiniens. Quelques jours avant la mort de son fils, il avait lancé, avec les écrivains Amos Oz et A. B. Yehoshua, d'abord dans une tribune publiée par Haaretz, puis lors d'une conférence de presse, un appel au gouvernement israélien pour qu'il mette fin aux opérations militaires au Liban. Les trois hommes de lettres, considérés comme proches du "camp de la paix", avaient soutenu la riposte à l'attaque du Hezbollah, mais estimaient inutile l'extension de l'offensive décidée le 9 août. Principaux ouvrages de David Grossman en français (tous publiés au Seuil) : J'écoute mon corps (2005) ; L'Enfant zigzag (2004) ; Quelqu'un avec qui courir (2003) ; Chroniques d'une paix différée (avec Jean-Luc Allouche, 2003) ; Tu seras mon couteau (2000) ; Voir ci-dessous amour (1991) ; Le Vent jaune (1988). et des familles comme ça , il y en a plus d'un millier !!

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13h52 Israël dit avoir répondu à une "violation" de la résolution 1701 de l'Onu interdisant l'acheminement d'armes au Hezbollah pour justifier son opération commando au Liban

ils ont une preuve ?

si je me souviens bien de la résolution, la surveillance de ses frontière c'est la tache de l'armée libanaise ( éventuellement aidée de la FINUL ).

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à propos de chebaa : Chebaa, l'"oubliée", fête le retour de l'armée au Liban sud LE MONDE | 19.08.06 | 14h10 CHEBAA, KHIAM ENVOYÉ SPECIAL Les soldats libanais étaient partis depuis si longtemps de Chebaa, bourgade de fond de vallée d'une région de chèvres et de terre brûlée, que l'on avait peut-être désespéré pour de bon de leur retour. A vrai dire, c'était l'Etat libanais tout entier qui brillait ici par son absence, depuis les années 1970. Vendredi 18 août, l'armée libanaise a poursuivi son déploiement au sud du pays, près de quarante ans après en avoir été chassée par les Israéliens. A Chebaa, la joie des habitants et l'ambiance de kermesse populaire ont été à la mesure de la durée de cette absence. D'abord, dix vieux véhicules blindés se sont faufilés à travers la foule, dans les étroites ruelles de cette ville de montagne soudainement assourdie par une musique à plein régime diffusant des chants patriotiques. Les soldats ont aussitôt été couverts de grains de riz et de pétales de rose lancés de toutes parts. Des hommes ont entamé la danse traditionnelle du dabké face aux blindés conduits par des soldats hilares. Une jeune fille tournoyait devant un joueur de flûte qui s'essoufflait pour dominer la montée des youyous poussés par les femmes. Un autre hymne sort ensuite des haut-parleurs, celui d'une chanteuse qui crie la "tristesse" d'avoir habité dans un pays "oublié" durant tant d'années. Des bouchers amènent alors deux moutons qu'ils égorgent séance tenante, les remettant en signe de bienvenue aux officiers coiffés de casques d'acier. Les chenilles des véhicules roulent sur le sang des animaux coulant dans la rue en pente et les militaires juchés sur leurs chars font le "V" de la victoire en agitant des fusils d'assaut. Si l'histoire du Proche-Orient n'avait pas été ce qu'elle fut, Chebaa aurait été vouée à l'oubli. Mais la bourgade a la malchance d'être située tout près des "fermes de Chebaa" portant son nom, cette tête d'épingle de territoire qu'Israël occupe depuis la guerre de six jours, en 1967. Une terre de raisins et de fruits revendiquée par le Liban et dont le destin mauvais sert au Hezbollah pour justifier, entre autres, sa croisade contre l'Etat juif. Au nom de la "souveraineté" du pays du Cèdre. Il suffit de tordre le cou vers le ciel : là-haut sur le mont Hermont, à l'aplomb de Chebaa, des antennes se dressent. C'est l'ultime avancée d'Israël. On l'appelle ici la " position du radar". Derrière, c'est le Golan qui est, lui, occupé depuis la guerre du Kippour, en 1974. "A vol d'oiseau, remarque le maire en se faisant servir le café dans son salon, ça ne fait qu'une centaine de mètres." Les gens de Chebaa en ont vu beaucoup. Ils ont connu le "Fatahland", du nom du parti de Yasser Arafat majoritaire au sein de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), qui avait mis la région en coupe réglée. Ils ont vu arriver les miliciens du Hezbollah, après l'invasion israélienne de 1982, quand les combattants islamistes libanais multipliaient les escarmouches contre les soldats de Tsahal. Le pouvoir changea de main. Omar Al-Zouhery, le maire, affiche une joie sans mélange : "La présence de nos soldats ramène l'apaisement, la sérénité, la sécurité." Il poursuit en une rhétorique plus convenue : "Dans l'esprit de mes concitoyens, l'arrivée de l'armée libanaise symbolise notre résistance face à l'agresseur sioniste et donne l'espoir d'un retour des fermes de Chebaa à la souveraineté de mon pays." Mais que se passerait-il au cas où le Hezbollah attaquerait Israël ? "L'armée ne pourra que prendre position pour la résistance !" Pourquoi ? "Mais parce que les gens du parti de Dieu sont des Libanais et parce que l'armée libanaise est une armée nationale ! Je pense de toute façon que si (les gens du Hezbollah) ont accepté le déploiement de l'armée, ils ne vont pas mettre la sécurité de cette dernière en péril..." Plus tard, plus haut dans la ruelle, Ismaïl Hestem le mokhtar, équivalent local du notaire, est plus précis et plus circonspect à l'égard des "Hezbollahis" : Chebba est une ville sunnite qui, en dépit du discours obligé sur l'"héroïsme" de la "résistance" chiite, pourrait bien avoir des réserves sur le parti. "Le retour des soldats est pour nous la promesse qu'il n'y aura désormais plus d'autre autorité que celle de l'Etat." Sous-entendu : les "résistants", même adulés pour leur "courage" face à Tsahal, n'ont pas à se substituer à l'autorité de Beyrouth. "Si le Hezbollah est conséquent avec ses promesses de respecter le retour de l'armée, poursuit-il, il ne devrait y avoir aucun problème." A une heure de route de là, une ville en partie détruite dresse ses ruines. Changement de décor : Hiam est chiite, c'est une redoute du Hezbollah, Israël lui a fait payer le prix du sang. Dans les gravats, Radah, la soixantaine, qui a fait fortune au Koweït, médite devant sa Mercedes et sa maison ravagées. Pour lui, la question du choix entre l'armée et le Hezbollah ne se pose pas : "L'Etat, évidemment, c'est mieux que les résistants du parti de Dieu..." Mais pas question de "désarmer le Hezbollah !" D'abord, "c'est impossible." Ensuite, "tant qu'Israël constitue une menace, la résistance doit avoir les moyens de se défendre ! Rendez-vous compte qu'Israël peut nous attaquer de nouveau à tout moment !". Plus loin dans les ruines, un groupe d'hommes est attablé dans un hangar. Ils préparent une cérémonie de condoléances pour un "martyr" tué durant la guerre. Plusieurs hommes dans l'assistance, barbus, vêtus de noir, ne disent rien, écoutent, surveillent, se glissent à l'oreille d'inaudibles commentaires à l'arrivée d'un journaliste étranger : jamais les combattants de cette armée de l'ombre rivée à son culte du secret n'avoueront en cette fin d'après-midi leur appartenance à l'"Organisation". En dépit d'une apparente cordialité, l'ambiance est lourde, les regards sont aigus. Un "civil" en chemise bleue, qui refuse de dire son nom ni de donner le moindre détail sur la personnalité du chahid (martyr) aujourd'hui célébré, commente l'arrivée de l'armée libanaise, installée depuis le matin à l'entrée de la ville : "Je souhaite que les soldats nous protègent et ne se dressent pas contre nous." Le "nous" est transparent. De même, la référence à un éventuel désarmement des "résistants". Un homme en noir s'interroge avec aigreur : "Pourquoi la France a-t-elle lâché le Liban ?" Un débat s'amorce autour des petites tasses de café turc. Installés dans les débris d'une ville détruite, soutenant qu'il s'agit de "se réjouir quand périt un martyr", les militants d'une "résistance" pétrie de ses convictions et sourde à tout dialogue imposent encore leur loi.

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moi je suis indigner par l'attaque israelienne d'aujourd'hui [21][01][01][01][01] vraiment les israeliens veulent la guerre et par les 2 poids 2 mesure de la "communaute international" si le hezboallah avait tiree une seule roquette contre israel la on verre bush blair anan et chirac sirtir de leurs silence pour s'indigner de cette attaque terroristes lache et qui vise a destabiliser le liban mais vu que c'est israel qui a mene cetet attaque c'est le silence radio total c'est ca l'egalite international

Israël a tout les droits au Moyen-Orient.
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si seulement les faucons israeliens ecoutaient pour une fois les intelctuels et les ecrivains israeliens au lieu de se lancer dans des guerres et de balancer des bombes sur les gens et detruire des pays sinon quelque chifre de cette guerre l'artillerie israeliennes a tiree durant ce conflit plus de 130000 obus de 155mm sur le liban l'IAF a mené plus de 10000 raid aeriens et lancer plus de 24000 tonnes de bombes sur le liban tout ce deluge de feu et de sang pour rien l'entetement des israeliens a vouloir casser les hezboallah n'as pas reussi au contraire ils ne lui ont pratiquement rien fait et autre mauvaise nouvelle pour les israeliens le hezboallah a reussi a metre la mains sur de nombreux missiles anti-char SPIKE je vous parie qu'ils sont deja en iran et dans 2 ou 3 ans ils fabriqueront des copie de ces missiles [08][29] voila ce qu'a eu israel si elle negocier une bonne fois pour toutes avec ses ennemis la elle aurait definitivement la paix

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si tu est énervé parce que israel a perdu lamentablement la guerre ce n 'est pas de ma faute , les responsable de cette, défaite les generaux et le patron de l ' armée qui passait son temps a vendre ses actions , donc tes nerfs tu les deversse sur d' autre personne quelle propagande? la vérité qui va a l' encontre de tes désirs se sera toujours de la propagande a tes yeux

c' est les israeliens et l' armée qui disent avoir échoué pas moi et quand j' affirme que le hezbollah est un parti politique libanais je ne l' invente pas ensuite ses sources de financement c' est une autre histoire , il faut bien trouver des armes et de l' argent quelque part non? le fait que des intervenants ont des avis differents des miens ne me dérange pas c' est cela un débat sinon il y' a des forums de potins ou la tu n 'aura pas de debat

A ce cher why not

Enervé parceque Israel a perdu la guerre .....arf arf arf mais alors la je suis MORT DE RIRE !!!!

Les nerfs je les ais envers ceux qui se pointent sur ce topic en balançant des contre vérités de PROPAGANDE et oui c'est le mot exact et quelque soit leur bord....D'autant plus qu'en te parachutant ici tu aurais pus avoir la descence de lire les posts plus haut pour bien comprendre que des phrases du genre "Le Hezbollah c'est le Liban" ou "le véritable gouvernement libanais c'est Nasrallah" ou "les sionistes ont perdus 200 tanks" ou "des soldats US ont participés aux opérations..." blablabla....

Ca c'est de la propagande ce n'est au mieux étayé par aucune source au pire ca n'engage que toi. Si tu veux débattre débattons....Que le Hezbollah soit un partie politique personne ne le conteste, que tu en face le partie dominant au Liban voir le seul acteur politique au Liban montre que tu n'as pas vraiment pris la peine de te renseigner par ailleurs et la c'est pas mon avis personnel, c'est les faits, le Hezbollah est loin d'etre majoritaire a ce que je sache mais encore UNE FOIS ca deja été largement discuté sur ce topic....alors pourquoi en rajouter une couche...Ou alors tu aimes peut etre la provocation gratuite

Que les Israéliens aient echoués du point de vue de leur état major la encore pas vraiment contestable, ce qui est contestable c'est de balancer des prétendues interventions de militaires US par exemple sans sources fiables. D'ailleurs j'attends toujours de savoir ce qu'es CPI comme agence de presse !!!

Et ce qui me conforte c'est que ce que j'ai ressenti par rapport a tes poss je suis loin d'etre le seul

ALORS mon désir comme tu dis ce n'est pas que le débat colle a ce que je veux (d'ailleurs perso le moyen orient j'en ferais une grande place de parking vitrifiée et radioactive comme ca plus d'emmerdes...provo gratuite...[16]) mais effectivement un débat de fond et pas des posts sans queues ni tete qui sont de la propagande je repersiste et je signe

et pour revenir sur mon eclat de rire arf arf arf, j'en connais un ou deux qui auraient pu retourner tes arguments dans le genre "Akhilleus si t'es enervé c'est pas de ma faute si l'armée israélienne a fièrement gagnée cette guerre". Et ben ceux la jlais attends et pour les mêmes raisons

j'ajouterais arf arf arf......................

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