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Israël et voisinage.


Messages recommandés

suite du feuilleton..

http://www.20minutes.fr/ledirect/824544/consul-blesse-gaza-paris-convoque-ambassadeur-israel

d'ici que çà finisse pas "à la Turc"

souvenez-vous de l'ambassadeur assis dans un petit fauteuil pour bien lui signifier le dédain.

il est urgent de se parler clairement et pas au travers de petites phrases type "Obama/sarkozy" .faut arrêter les gaminerie on est entre alliés normalement.

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Je te dirai mon avis en apres en Janvier, apres l'avoir essaye. ;)

L'unite de mon frere est passee sur tar-21, mais on n'a pas eu l'occasion d'en discuter.

merci  =) ;)

question peut-être indiscrète ,mais si tu peux y répondre merci  :-[

les brigades Golani et Givati ont été les première à le percevoir ,ton frangin sert dans une de ses unités ?

ou d'autres unités ont déjà commencé à le percevoir ?

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Israël pourrait exiger de l'Inde in catimini un soutien militaire comme des bases militaires secrètes pour ses avions et sous-marins par exemple ?!

Par ailleurs, l'Inde a eu des soucis financiers relatifs au pétrole iranien des mollahs. Le régime terroriste et intégriste chiite iranien est au courant depuis des décennies des relations indo-israël importantes ce qui ne l'apprécie guère.

Sans parler d'une connivence secrète ou d'une approbation tacite des pétro-monarchies arabes du golfe principalement sunnites !

L’Iran vient de voir l’allié secret le plus connu d’Israël, l’Arabie Saoudite, appointer l’ancien chef du renseignement égyptien et ami très proche de Nethanyahou, Omar Suleiman, comme conseiller de l’héritier apparent du trône des Saouds, le prince Nayef bin Abdul Aziz al-Saud, qui est aussi le ministre de l’intérieur.

Enfin, ne pourrait-on pas songer à un démembrement de l'Iran qui satisferait tout le monde dans la région ?! =| Après frappes militaires.

Exemples :

- Baloutchistan iranien irait au Pakistan lui qui souhaite une profondeur stratégique contre l'Inde et qui a une population baloutche.

- le nord de l'Iran irait au Turkménistan

- la minorité azérie à l’Azerbaïdjan

- une partie kurde à l'Irak ou à la Turquie ou au deux ce qui glorifierait leur lustre passé d'empire ...

Toute la région seraient satisfaite d'une menace de leaderschip perse et chiite disparue !  =)

Enfin, plus de soutien financier à divers mouvements ou partis terroristes extérieurs (hezbollah et hamas). Ils se retrouveraient isolés et seuls !!!  =D

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Mani, les conférences diplomatiques de Westphalie (1648), Vienne (1815), Berlin (1884) et Versailles (1918) ont passé un coup de fil; elles veulent te récupérer ;) :lol:. Découper des pays comme ça, sur carte d'Etat-Major, je sais pas trop si c'est encore à la mode :-[.

L'Iran est quand même un truc assez solide par lui-même, régime des mollahs ou pas: leur question politique n'est pas de maintenir l'ensemble territorial, mais de savoir qui le dirige et peut se partager le gâteau. Sans compter qu'il faudrait d'abord aller poutrer le dit pays avant de commencer à s'en couper des tranches :-[.

EDIT: oups, t'as retiré ton découpage :rolleyes:?

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Ouaif, enfin l'histoire libyenne vient quand même de démontrer la grande limite des armées expéditionnaires occidentales: même si elles y allaient sérieux et toutes ensembles, les frappes aériennes auraient des effets très limités sur un pays comme ça (outre le fait de souder la population, encore avant tout très patriote), et la masse de manoeuvre au sol manquerait. Comme si on était, tous ensembles, l'Angleterre de l'ère napoléonienne, mais sans la Russie et l'Autriche pour fournir les gros bataillons faisant le travail de fond. Et là-dedans, Tsahal, c'est un peu comme l'armée prussienne ou piémontaise de cette époque: un bon outil (et encore, le côté conventionnel au sol a baissé), mais sans la masse nécessaire ni l'allonge qu'il faut pour peser lourd.

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Ouaif, enfin l'histoire libyenne vient quand même de démontrer la grande limite des armées expéditionnaires occidentales: même si elles y allaient sérieux et toutes ensembles, les frappes aériennes auraient des effets très limités sur un pays comme ça (outre le fait de souder la population, encore avant tout très patriote), et la masse de manœuvre au sol manquerait. Comme si on était, tous ensembles, l'Angleterre de l'ère napoléonienne, mais sans la Russie et l'Autriche pour fournir les gros bataillons faisant le travail de fond. Et là-dedans, Tsahal, c'est un peu comme l'armée prussienne ou piémontaise de cette époque: un bon outil (et encore, le côté conventionnel au sol a baissé), mais sans la masse nécessaire ni l'allonge qu'il faut pour peser lourd.

Tsahal pourrait essayer de compter sur des pays extérieurs pour déstabiliser l'Iran avantageusement que des assassinats ciblés ou autres cibles militaires.

Pour des frappes aériennes, il faudrait qu’Israël possède assez de bombes !

Or, la guerre du Liban a montré leurs limites et qu'il ne possède pas de gros bombardiers comme ceci, je crois ?!

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Mis à part des pilotes chirurgicaux avec cela  :P

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Pas terribles pour faire de gros dégâts ... sans parler de sorties multiples, à moins qu'ils ne fassent le ravitaillement en Iran sur un champ pétrolier mais question munitions  :rolleyes: 

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Ce n'est pas forcement ce qu'il y a de plus sage que de jouer avec les questions identitaires pour affaiblir les etats, ca peut se retourner contre tout le monde dans la region. Et meme si Israel le voulait, je ne vois pas comment. Aider des populations separatistes est une chose, creer un separatisme la ou il n'y a que des revendiquations d'autonomie ou de plus grosse part du gateau (partage du pouvoir ou revenu de la rente petroliere) est autre chose.

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Israël n'a pas de capacité de bombardement stratégique (hors nucléaire), sauf pour des raids ponctuels limités en capacité, type Osirak, qui nécessitent une concentration de ressources pas ou peu renouvelables dans le cadre d'une guerre où le tempo nécessaire et le nombre de cibles sont bien au-delà de ses moyens, surtout quand on regarde les distances entre Israël et les cibles de valeur en Iran. Quand aux capacités terrestres, là c'est complètement hors des capacités de Tsahal, et ce d'autant plus que ses unités de manoeuvre (très peu nombreuses pour ce qui est de l'active) sont calibrées, entraînées et équipées désormais pour des opérations dans le voisinage.

Le problème est que la seule menace crédible d'Israël est le nucléaire, qui n'est pas vraiment un outil diplomatique aisé d'emploi, étant donné que ses retombées -et les radiations sont les moindres d'entre elles :lol:- ont tendance à faire très mal. Donc Israël et Iran sont 2 pays qui peuvent juste se cracher dessus et se faire des petits coups de pute qui égratignent et irritent, mais sans plus. En fait, avec le Hezbollah, l'Iran a un outil de projection :rolleyes: plus conséquent en terme de dommages infligés et de mobilisation de ressources israéliennes pour le contrer.

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Un démembrement, ça donne moins de conflits ouverts et plus localisé (style Balkans).

Regardez la version européenne :

Anciennement :

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Actuellement :

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+/- 66 ans de paix sauf les Balkans (200.000 morts).

Il faudrait imaginer cela pour le Proche-Orient et Moyen-Orient ?!  :|

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Un ancien soldat israélien raconte les violences dont il a été témoin et qu'il a lui-même commises durant son service militaire à Hébron. En tant que membre de Breaking The Silence (Briser Le Silence), l'ex-soldat espère aider l'opinion publique israélienne en montrant le prix que payent tant de palestiniens et d'israéliens à cause de l'occupation.

L'article :

http://www.lepost.fr/article/2011/11/24/2645640_le-temoignage-d-un-ex-soldat-israelien.html

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Réconciliation Fatah/Hamas: Israël met en garde et espère son échec

Israël menace de poursuivre le gel des fonds dus à l'Autorité palestinienne après l'annonce au Caire d'un «partenariat» entre le président Mahmoud Abbas et le chef du Hamas, Khaled Mechaal, tout en exprimant des doutes sur la concrétisation d'un tel accord.

«Si les Palestiniens avaient signé un accord sur un gouvernement d'union (entre les mouvements rivaux Fatah et Hamas), cela aurait rendu un transfert de fonds impossible», a déclaré vendredi à l'AFP un haut responsable gouvernemental israélien sous couvert de l'anonymat.

Ce constat s'est accompagné d'une mise en garde sans ambiguïté du ministre du Développement régional, Sylvan Shalom, suppléant du Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui a estimé que le sommet interpalestinien du Caire «constitue un développement négatif et dangereux».

«Nous allons demander à la communauté internationale de ne pas parler à un gouvernement dont le Hamas serait une composante essentielle alors que cette organisation terroriste continue de prôner la destruction d'Israël», a affirmé M. Shalom dans une interview à la radio militaire.

Les médias israéliens, citant des sources gouvernementales, affirment qu'un cabinet restreint israélien, composé des principaux ministres et convoqué tard jeudi soir par le Premier ministre, a opté pour l'heure contre un dégel des fonds qui sont indispensables au bon fonctionnement de l'Autorité palestinienne. (AFP)

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Tensions inter-israéliennes

Une guerre intestine fait rage entre le Mossad et le ministère israélien des Affaires étrangères. La tension a atteint un tel point qu’Avigdor Lieberman, le chef de la diplomatie, connu pour son tempérament impé­tueux, a ordonné à ses services de rompre toutes relations avec les agents du service de renseignements à l’étranger. Les diplomates israéliens accusent en effet les agents du Mossad de «piétiner leurs plates-bandes». Plusieurs pays étrangers, notamment en Europe, refusent de dialoguer avec les diplomates nommés par Avigdor Lieberman, le chef du parti d’extrême-droite Israel Beiteinou, et préfèrent s’adresser aux représentants du Mossad, jugés plus “responsables”, pour faire passer leurs messages. De plus, les diplomates israéliens n’apprécient pas que leurs télégrammes secrets envoyés au ministère des Affaires étrangères soient mis à la disposition du Mossad, alors que ce dernier refuse de partager ses informa­tions. La tension n’a cessé de monter ces derniers mois. Une goutte d’eau a fait déborder le vase récemment, lorsque David Meidan, un respon­sable du Mossad, s’est rendu à Ankara pour tenter de renouer le dialogue politique avec la Turquie, dont les relations avec Israël sont en crise aiguë. Les Affaires étrangères ont été tenues totalement à l’écart de ce dossier consi­déré comme très sensible. En guise de représailles, Avigdor Lieberman a ordonné aux diplomates de rompre les relations avec le Mossad et de ne plus transmettre la teneur de leurs messages. Or le service des rensei­gnements a besoin du ministère des Affaires étrangères, ne serait-ce que pour fournir aux agents des passeports diplomatiques qui peuvent s’avérer très utiles en cas “d’incident”. Ce conflit entre ces deux institutions n’a cessé de s’envenimer depuis le départ à la retraite, au début de l’année, de Meïr Dagan, patron du Mossad pendant huit ans, avec lequel Avigdor Lieberman entretenait de très bonnes relations, ce qui n’est pas le cas avec son successeur, Tamir Pardo. La tension a atteint un tel point que Benjamin Netanyahu, le Premier ministre (dont dépend directement le Mossad) a organisé, ces derniers jours, une réunion de “récon­ciliation” entre Tamir Pardo et Avigdor Lieberman. Chacun des protagoniste a fait en apparence assaut de bonne volonté, tout en campant sur ses positions.

http://www.ttu.fr/tensions-inter-israeliennes

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  • 2 weeks later...

Israël veut ériger un mur contre les clandestins africains

A l’image de plusieurs pays européens tels la France, l’immigration clandestine est un sujet qui cristallise les passions. En Israël, le gouvernement semble excédé par la situation. A tel point que selon The Jerusalem Post, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou entend intensifier sa lutte contre l’immigration clandestine venue d’Afrique, notamment les travailleurs illégaux.

A l’ouverture du Conseil des ministres du 11 décembre, le Premier ministre israélien s’est montré très ferme et a émis une critique acerbe contre cette immigration. Selon la police israélienne, entre 100 et 200 ressortissants africains pénètrent chaque semaine en Israël en provenance d'Egypte, apprend-on sur RFI:

«C'est une véritable plaie pour le pays. Nous ne sommes pas obligés de les recevoir. Pour la plupart, il ne s'agit pas de réfugiés politiques que nous continuerions à accueillir comme il se doit.».

Nombre de mesures ont été adoptées par le Conseil des ministres pour lutter contre ce phénomène. Ainsi, le gouvernement compte étendre le camp de rétention de Ketziot. Un autre centre capable d'accueillir 10.000 individus sera construit dans le désert du Negev.

Dorénavant, les entreprises qui emploient des clandestins peuvent être fermées.  La construction d’un mur long de 120 kilomètres à la frontière avec l’Egypte doit également être construit. Le gouvernement prévoit un budget de 130 millions d’euros pour financer le programme. Le Premier ministre souhaite même se rendre en Afrique pour examiner les modalités de retour de des immigrés clandestins.

Président du Likoud, parti israélien, Benyamin Netanyahou a toujours mené une politique de droite conservatrice. Premier ministre de 1996 à 1999, il retrouve ce poste en 2009 et n’hésite pas à composer son gouvernement avec l'extrême droite (Avigdor Liberman, leader du parti Israel Beytenou, est ministre des Affaires Etrangères) et des partis ultra-orthodoxes.

D’après l'Autorité de la population et de l'immigration d'Israël, environ 27.000 Africains résident dans le pays, rapporte République du Togo. Ils sont, en grande partie, originaires du Soudan et d'Erythrée. Les autres viennent du Nigeria, d'Ethiopie et de Côte d'Ivoire.

http://www.slateafrique.com/79331/israel-declare-la-guerre-aux-clandestins-africains

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