Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Clemor

Members
  • Compteur de contenus

    2 303
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par Clemor

  1. Salutation, Quelques chiffres pour l'aéronautique. L'investissement du gouvernement a réellement commencé et a été croissant à partir de 1936, malgré les projets du plan I qui debuta fin 1933 début 1934. - En 1935 : 480 millions de francs (ancien francs bien sur :) ). - En août 1936, 550 millions de francs. - En 1937, 900 millions de francs. - De 1938 au printemps 1939, les investissements aux profits de l'industrie aéronautique et à l'acquisition d'avion se chiffraient à 2.344 milliards de francs :? (Source : - "L'aviation de chasse française 1918-1940"; - " L'aviation française de bombardement et de renseignement 1918-1940"; de Raymond Danel et Jean Cuny )
  2. Salutation, Comme la precisé RT58, le front populaire a redemarré les budgets militaires et en particulier dans le domaine aeronautique. En 1933, Hitler est arrivé au pouvoir. C’est dans ce contexte tendu que fut lancée en juin 1933, le plan I, qui devait reconstituait une force aérienne française moderne et puissante. Ce plan devait s’étendre de 1934 à 1935. Il portait sur la constitution d’une aviation forte d’environ 1350 avions (480 chasseurs, 470 bombardiers et 415 avions de renseignement). Malheureusement, à la fin de l’année 1935, seul 500 avions étaient sortis des usines, sur les 1350 prévus. Ce retard était dû à l’incapacité de l’industrie aéronautique d’absorber une aussi grosse commande. Il faut savoir qu’en 1935, l’industrie aéronautique française était encore artisanale, et n’était capable de produire que 300 avions par an. :? Ce fut un gros echec :?
  3. Clemor

    bonjours tout le monde

    Salutation Galag, bienvenue parmis nous :D
  4. Clemor

    un Mirage en moins ?

    Salutation, Des etudes ont prouvé que la plus part des accidents sont liés a des causes humaines. Essentiellement au pilotage ou a l'entretien.
  5. Salutation, Super video. Tres impressionant :D .
  6. Clemor

    Jean Monnet

    Salutation, Les pays europeens ont beaucoup en commun rien que par leur histoire. Tu prend par exemple la France et l'Allemagne : ces nations ont beaucoup en commun, ne serait que par les deux grandes guerres qu'elles se sont faites. Cela a eu de grande concequence. Même si la langue n'est pas la même. L' Union Europeene est toute jeune. Il faut laisser le temps au temps.
  7. Salutation, On pourrais même dire plus precisement 2916 km/h ;)
  8. Ok y a pas de soucis :D Le ridicule ne tue pas :D
  9. Salutation, Es-ce-qu'il est couplé à un radar? Tout seul comme ça, il peut rien faire contre une attaque aerienne :?
  10. Salutation, Tres interessant ces articles. L'eau sera la cause des prochaines guerres, c'est sure :?
  11. Clemor

    VCI japonais

    Salutation, Ok merci jeanmi :D . Interressant ces sortes de meutrieres :D
  12. Clemor

    VCI japonais

    Salutation, Curieux les trois protuberances arrondies sur le cotés de la caisses, au dessus des galets 2, 5 et 6. On dirait des detecteurs laser. Es-ce-que s'est le cas?
  13. Salutation, En plus vieux, il y a eu aussi le Me 323 Gigante utilisé par les allemands, pendant la deuxieme guerre mondiale. Il était équipé de six moteurs :D Au fait, quelqu'un pourrait-il m'expliquer comment on fait pour mettre des photos dans un message :oops:
  14. Clemor

    Radare dangereux

    Salutation, En effet, les radars sont normalement coupés au sol même les radars meteo (du moins dans le domaine civil) :D . Comme l'a déjà expliqué Azaazel, les ondes radars sont dangereuses.
  15. Clemor

    Bataille en règle à Sao Paulo

    Salutation, Effectivement, les forces de l'ordre ont de quoi s'occuper :?
  16. Salutation, Le Hawker Typhoon et son etonant moteur Napier Sabre II, 24 cylindres en H, compresseur à deux vitesses, puissance de 2.400 CV :D . Mais aussi le Fieseler Storch ;)
  17. Salutation, Merci pour tes reponses Philippe. D'accord pour les remplacements futur, mais aujourd'hui pour les appareils perdues, ils sont remplacé par quoi? C'est maintenant que les forces US deployés en Irak en ont le plus besoin. Es-ce-que les Americains ont suffisamment de materiel pour en transferer en Irak? La question était mal formulé :? .
  18. Salut, Par quoi ils vont remplacer les OH-58 kiowas, les CH-47Chinooks et les CH-46? Ces machines sont censées ne plus être fabiqué.
  19. Clemor

    Abrams et plongeons ...

    Salut, Si le char est tombé sur la tourelle ils n'avaient aucune chance de s'en sortir. Auncune info sur une eventuelle trappe ventrale. De toute manniére, le pilote n'avait aucune chance de s'en sortir. En effet, le pilote est isoler, tout seul à l'avant, coucher sur le dos. De plus, pour ouvrir la trappe pilote, il faut que le canon soit alligné en position 12H :cry: Pauvre bougre :(
  20. Les raisons de la défaite de la France en 1940 sont difficiles à cerner. Elle est due à divers facteurs, complexe, qui mis bout à bout explique la débâcle. Il y a eu la victoire de la France en 14/18, qui lui avait coûté très cher, tant en homme qu’en matériel. Les Français n’étaient pas près à ce relancer dans une autre guerre. La conférence de Genève sur le désarmement a longtemps bercé la France dans une sécurité illusoire. La France se relevait aussi de la crise financière de 1929. La crise n’avait atteint le pays qu’au début des années 30. L’état général du pays n’était pas terrible. Les politiciens prirent beaucoup décisions « à la va vite », sans réel réflexion. Les doctrines militaires en 1940, étaient complètement dépassées. Prenons, par exemple l’aviation. Pour comprendre les raisons des déboires de l’aviation en 1940, il faut revenir en arrière. Pendant la première guerre mondiale, l’aviation française dépendait directement de l’armée de terre et était divisé en deux catégories : - L’aviation réservée : sous le commandement d’un seul chef (issue du commandement terrestre), utilisait dans une doctrine offensive, sur le territoire ennemis. Cela comprenais la chasse, la reconnaissance et le bombardement stratégique. - L’aviation organique : composé d’avions de chasse, de bombardement et d’observation, diluée au sein même des différentes armées terrestre, dans lesquels ils sont destiné à les soutenir. Avant la fin de la Grande Guerre, deux doctrines commencèrent à s’affronter. Fort de leurs expériences, les aviateurs pensaient que les guerres à venir commenceraient par des attaques massive et brutale. Ils prônaient une armée de l’air unifier, puissante et indépendante, avec une aviation offensive, capable d’attaquer et de détruire, non seulement l’aviation ennemis, mais aussi ces bases aériennes, des objectifs stratégiques terrestre et navales. Les chefs de l’armée de terrestre n’étaient pas du tout du même avis. Leur doctrine était purement défensive. Ils n’étaient pas convaincus qu’une guerre commencerait par une offensive aérienne. Ils pensaient même se passait d’aviation. Ce débat s’envenima et dura jusqu’en 1933. Le 01 avril de cette année là, le Parlement vota pour la création d’une armée de l’air. Cela ne se fit pas sans sacrifice pour cette dernière. En effet, les chefs de l’état major terrestre, qui étaient puissant, obtinrent de pouvoir disposer d’une force aérienne suffisamment large, et dont les rôles seraient définis par eux seuls. De ce fait, en 1934, seul 16 des 134 escadrilles de l’armée de l’air, pourtant indépendante, étaient laissées aux mains de l’état major aérien, pour assurer les missions offensives. La même année, Hitler arriva au pouvoir, et la situation politique internationale connu une nette dégradation. C’est dans ce contexte tendu que fut lancée en juin 1933, le plan I, qui devait reconstituait une force aérienne française moderne et puissante. Ce plan devait s’étendre de 1934 à 1935. Il portait sur la constitution d’une aviation forte d’environ 1350 avions (480 chasseurs, 470 bombardiers et 415 avions de renseignement). Malheureusement, à la fin de l’année 1935, seul 500 avions étaient sortis des usines, sur les 1350 prévus. Ce retard était dû à l’incapacité de l’industrie aéronautique d’absorber une aussi grosse commande. Il faut savoir qu’en 1935, l’industrie aéronautique française était encore artisanale, et n’était capable de produire que 300 avions par an. Le 07 mars 1936, l’Allemagne dénonça les traités de Versailles et Locarno, et réoccupa militairement la Rhénanie, sans que les gouvernements victorieux de 14/18 ne réagissent diplomatiquement ou militairement. En fait, la France venait enfin de se rendre compte de sa situation militaire catastrophique face à l’Allemagne, et en particulier celle de son aviation. C’est dans ce contexte que le gouvernement du Front Populaire, alors au pouvoir, lança un nouveau plan quinquennal, à la fin août 1936, qui portait sur un renouvellement total des dotations en matériel aérien, et qui devait durait jusqu’en 1941. En fin de compte ce plan fut modifié cinq mois après son lancement. La même année, le Parlement vota la loi du 11 août 1936, autorisant l’expropriation, totale ou partielle, et la nationalisation de tout établissement fabriquant du matériel de guerre. Une modernisation accélérée des modes de fabrication fut entreprise avec succès. En effet, en 1934, l’industrie aéronautique qui n’arrivait à produire que 300 avions par an, en produisait désormais environs 500 en 1935, 600 en 1936, 900 en 1938 et plus de 2000 en 1939. Néanmoins, n’ayant pas une capacité financière suffisante pour tout nationalisé, certaines entreprises lier à l’aéronautique restèrent indépendantes. Ce fut le cas des motoristes et des équipementiers (radio, armement, hélices, etc.…). Ceci eu des répercutions grave. La moitié des avions étaient en attente pour recevoir leur hélice, leur train d’atterrissage ou leur moteur. Il y a eu, aussi, de grave problème de livraison des matériels. En effet, une fois l’avion assemblait, il devait passer par un centre de réception où on vérifiait l’avion à la recherche d’éventuel défaut, et des testes et des réglages étaient effectués. Ensuite, l’avion passait par l’entrepôt de l’armée où il recevait son armement, ces équipements radios. De là, l’appareil était livré à l’armée, où il était stocké jusqu’à son affectation. Ce type de cloisonnement provoqua des retards graves. Sans parler du manque de personnel pour traité un nombre croissant d’avion. Ceci provoqua des retards de livraisons qui allèrent jusqu’à un an. En octobre 1936, le plan II fut mis en place. Ce plan prévoyait le renforcement par 1500 avions supplémentaire (dont 1350 bombardiers), la première ligne, en plus des 1500 du plan I. En décembre de la même année, les plans III et IV étaient votés. Le plan III prévoyait un renforcement de l’artillerie contre les avions (DCA), qui était alors, pour la plus part dépassé, et datant de 14/18. Le plan IV était destiné au renforcement de la chasse. En mars 1938, Hitler annexa l’Autriche. La France savait que dorénavant il était urgent pour elle, de ce préparer à la guerre. Le plan V fut voté en urgence. Il supplantait les plans III et IV. Il donnait priorité à l’aviation de chasse. Il devait permettre jusqu’en 1940, l’entré en service de plus de 3000 chasseurs moderne du type D520, Bloch152, et d’environ 2000 avions de réserve à. L’industrie n’étant pas capable de fournir une aussi grosse commande, la France se tourna vers l’étranger pour compléter son équipement. Près de 800 Curtiss H-75A (300 furent livré), environ 500 bombardiers (des DB-7, des Glenn Martin 167F) et des avions d’entraînement furent commandé aux Etats Unis. Lorsque la guerre éclata, la France disposait d’une aviation forte d’environs 4800 avions, mais seul 1300 étaient réellement opérationnel (plus 400 avions de la Royal Air Force). Jusqu’à l’armistice des nouvelles unités continuaient à arriver. Des divergences entre l’armée de terre et l’armée de l’air subsistaient sur la tactique à employer. Face à la France, l’Allemagne alignait environs 3500 avions, dont 1000 chasseurs, 340 Stuka et 1000 de bombardiers horizontaux. Les jeux étaient faits. Dans de telles conditions, la France ne pouvait pas gagner. (Mes sources : - « L’aviation Française de bombardement et de renseignement 1918/1940 » de Raymond Danel et Jean Cuny ; - « L’aviation de chasse Française 1918/1940 » de Raymond Danel et Jean Cuny ; - Fana de l’aviation Hors série n 7 « L’armée de l’air en 1939-1940 »)
  21. Il y a eu aussi un redoutable blindé Suedois qui s'apparente au Jagdpanzer Allemand: le STRV 103 dit char type "S". Ce char fut conçue à la fin des années 50 et est entré en service en 1966. Les derniers blindés ont commençé à être retiré du service , avec l'entrée du Leopard 2 A5 (ou STRV 122 pour les Suedois), en 1995. Ce char sans tourelle, avait une silhouette base et un blindage trés incliné. La grosse difference avec les Jagdpanzers, était la mise en oeuvre du canon. En effet, pour pointer le canon vers la cible, les blindés du type Hetzer ou Jagdpanther, allignés le vehicule grossierement. Puis la visé finale se faisait avec le canon. Ce dernier avait un faible debattement qui permettait d'ajuster la cible. Pour STRV 103, toute la visé se faisait en faisant ripé le char sur lui même :D . Pour le pointage en site, le char avait la particularité d'affaisser ou de rehausser son train de roulement :D . A ma connaissance, ce fut le seul char de ce type à avoir été conçue et entré en service depuis la fin de la deuxiéme guerre mondiale. Pendant la guerre froide, face à la Russie, la Suéde a employé une doctrine proche de celle des Allemands à la fin de la guerre.
  22. Salut, Dans les années qui ont suivies la fin de la guerre, le concepte a été essayé. Les Français avaient fabriqué un char dans les années cinquante, appellé le Foch et qui avait des caracteristiques proche des Jagdpanzer.
  23. Après 14/18, le Français n'avait plus envie de se battre. Il y avait eu des signes avant coureur ( guerre civile d'Espagne, annexion de la Tchécoslovaquie et de l'Autriche). C'était l'époque des grands syndicats et des "congés payés". Même après la declaration de guerre contre l'Allemagne et la mobilisation, la vie a continué comme si de rien n'était. Les Français ne croyaient pas à une invasion de leur pays :? . Quand à l'armée, elle était encore dans une doctrine où toutes les phases de mouvement étaient basé sur le seule mouvement des régiments d'infanterie à pied :? Avec un concepte pareil, la France ne pouvait pas gagner, même avec un materiel moderne :?
  24. Salut, on est sur la même longueur d'onde :D Pourrais-tu étayer ton affirmation, s'il te plait. :)
×
×
  • Créer...