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Shorr kan

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Tout ce qui a été posté par Shorr kan

  1. Je n’ai pas le temps de développer plus, mais disons que je pense moins à une destruction proprement dite qu’a une désarticulation du dispositif, provoquant un effondrement au ralenti. Rien d’absolu certes, mais une fois l’avant culbuté, la défaite devenant inéluctable pour les alliées incapable d’établir une défensive solide, de faire valoir leurs avantages là ou les russe arrive à multiplier leurs effets. Bref, un peu à l’image de la retraite allemande à l’Est : perte d’initiative = défaite à plus ou moins long terme…et l’espace dispo pour marcher à reculons reste faible en définitive que le terrain sur de telle étendu justement n’est qu’une faible protection. Et, non, je pense comme Akilla, Akileu, Aki..Euhhh……le macédonien ou le dieu celtique que les alliés restent insuffisamment préparé à faire une défense en profondeur : il faut comme une belle offensive du temps pour l’apprentissage comme les boches ou en 14-18, ce qu’ils n’ont pas en plus d’être inexpérimenté, surtout à cette échelle. Rien qui soit vraiment de leur faute, juste pas assez de tout….. Leur seule vraie alternative à porté est de faire un grand pas en arrière histoire d’inonder le terrain de bonnes troupes fraîches et corollairement user celles de l’ennemie, qui en effet sont certainement à la limite. C’est donc pour Staline une cartouche unique, mais une balle en argent quand même, un peu à l’image de la lance de verre d’Hitler en 40…Si ça réussie c’est le jackpot ! Une fois l’Europe sous ça botte mes d’avis que le prochain round se jouera en Alaska…. Pour les sturmoviks mystère et boulle de gomme. Mais le fait essentiel est que les deux aviations seraient plus ou moins neutralisé, ce qui est un handicape moindre pour les russes. A plus ;)
  2. Shorr kan

    M1-A3

    Je pense qu’ils auraient du faire l’inverse : développer à partir de cette plateforme un engin avec un calibre moindre et donnant la priorité au blindage pour le combat urbain et garder la V2 pour le combat plus conventionnel char contre char. Ils ne semblent pas avoir le sens correct des priorités.
  3. Pour se qui est de la force aérienne alliée, comme je l’ai dit, c’est un atout de taille pour empêcher POTENTIELEMENT – quoique d’après loki et Aki on peut toujours s’ébattre plus ou moins tranquillement dans l’herbe à condition de se couvrir…- une manœuvre correct des grandes masses sur lequel se fonde la technique soviétique mais en moyenne et basse altitude seulement –là ou ça compte vraiment, les frappes de haute altitudes malgré une méthodologie rodée n’est pas en encore assez mature et trop longue à préparer pour être efficaces sur des cibles en déplacement RELATIVEMENT rapide – et pour le coup ça se jouera avec l’aviation soviétique qui sera beaucoup plus présente que la Luftwaffe à son époque. Les russes on au surplus expérimenté de travailler sous un ciel noircie de croix prussienne, pas les alliés : qu’en sera-t-il sur leur moral et leur capacité à bouger, à l’inverse avec un ciel qui ne leur est pas complètement acquis… Et si on peut considérer l’artillerie supérieure à la force aérienne, c’est tout bonnement pour des raisons de technologies qui font que la première à plus d’impact que la seconde. Que les deux camps maîtrise à la perfection chacun de leur coté leur outil de prédilection ne change pas grand-chose à des limitation insurmontable pour la science de l’époque. Tout les deux, dans des genres différent, offres de remarquables spectacles sons et lumières mais les cocos sont à ce jeu de meilleur organisateur de divertissement armée, disons qu’il marque plus durablement le terrain et les esprits… Si j’offre la victoires à la glorieuse Armée Rouge de l’Union des Républiques socialiste soviétique c’est parce qu’il ont deux tout maître : Ils sont au GLOBAL plus mobile. Non que les captalisto-fachistes, n’est pas expérimenté la mobilité, loin de la ! Mais c’était face à un adversaire qui avait du mal à trouver ses marques, plus mou et ont fait la guerre de façon relativement statique et les percée véritablement en profondeur sont rare. Et dans les deux cas il faut une certaine préparation avant de se lancer joyeusement (ou à coup de pompe dans le train…) dans le massacre, et les russes on un cycle de préparation plus rapide, mieux rodé….et à une tout autre échelle. C’est leur second atout maître : préparer et exécuter une campagne à l’échelle opérative, ce que personne ne fait et reste certainement la facteur de la victoire contre les verts de gris, qui au-delà de l’insondable connerie de l’oncle Adolf, ce seraient fait aplatir tôt ou tard. Et justement je ne pense pas, que même en ayant tout ce qu’il faut point de vue réserve, les alliée est pu mettre en œuvre un dispositif d’une ampleur aussi colossal : non seulement doctrinalement ils ne sont pas assez bien dotés mais il faut du temps et beaucoup de perte pour apprendre et s’organiser en conséquence, malgré toutes la bonne volonté de tout le monde et la compétence de tous, en bout de chaîne faire travailler utilement tout ces moyens serait simplement d’un point de vue pratique, hors de porté. Et c’est là que ça bloque : jamais les popov n’aurait laissé une telle opportunité, et je sais que je me répète mais ils aurait recherché activement l’ANÉANTISSEMENT des forces alliés (*) ; c’est pour ça que je rejoint Loki dans l’idée que la seul manière d’en réchapper est d’éviter le contact des le début. Ça laisse du temps pour s’organiser, d’amener les fameuses troupes préparées, de jouer le nombre, l’étirement et l’épuisement de la logistique adverse ; même avec Anvers et les ports de nord perdu, il reste toujours ceux de méditerrané et même ceux de l’Espagne et du Portugal entrant –de gré ou de force- en guerre. Encore faut-il être capable de se replier en bon ordre, et au commandant suprême d’être réaliste et de faire accepter ça a ses subordonné, mais aussi à l’opinion/politicien… Si je devait imager tout ça, IVAN est un spécialiste des arts martiaux, plutôt costaud avec une musculature de bœuf….mais un peu courtaud et à l’allonge plutôt réduite et surtout s’essouffle vite, il a eu une enfance faite de privation, ça l’a marqué….. De l’autre coté on à MICKEY, jovial, plutôt normal, bien nourris, en bonne forme, qui pratique lui aussi des sports de combat, plutôt douée le p’tit, mais à un niveau plus amateur que son vis-à-vis et surtout à du mal à bien coordonner ses gestes. Le premier à toutes les chances de gagner s’il conclut rapidement et surtout sur un terrain cloisonné comme un ring, ou un tatamis, mais si l’autre décide de quitter le terrain forçant IVAN à lui courir après, lui tourne autour, observe pour trouver l’angle mort et laisse le temps à ses potes PLUTO et DONALD venir donner un coup de main matraque en main, le combat devient plus équilibré qui voie une défaite inéluctable pour le pauvre IVAN….. That’s all folks. Il faut bien comprendre que je fait la supposition que le cadre temporelle ou l’affaire serait plié reste court : moins d’un ans, ce qui me semble être un partie prie raisonnable. Surtout je raisonne en terme d’opportunité ponctuel dans un cadre limité dans le temps et l’espace, moins qu’en terme de capacité absolu : ici et maintenant les russes ont toutes leur chance si les alliée sont disposés à ce faire casser la tête des le début des hostilités. Avec suffisamment de force pour faire tomber le premier domino qui entraînera les autres. Et pas du tout en terme de possibilité absolu ; où oui, tout est imaginable et les rapports de forces balances dans une seule direction possible ; bref mon raisonnement est contingent à une situation et moments donnés, avec certaines données favorables et surtout comportement/bourde, et les probabilités sont plutôt en faveur de l’oncle Joe…… * : Si j’insiste -très lourdement- sur cet aspect de destruction des armées ennemies et que c’est les seuls à la rechercher –de façon consciente du moin-, et c’est la BONNE manière de procéder. Il suffit de se dire que si les allemands avait fait de même en pulvérisant l’Armée rouge, ils aurait vu leurs hésitations entre les cibles politiques (Moscou) ou les ressources économique (Ukraine et Caucase) sans objet. Il suffit aussi de se rappeler que l’effondrement adverse ouvre la porte à tout le reste avec pour exemples la défaite de 40 ou encore la guerre de 1870 : victoire décisives suivie d’une promenade jusqu’au vivifiant air de l’Océan.
  4. Je ne doute pas de l’immense capacité américaine à produire et mobiliser, de son potentiel tout aussi immense dans l’absolu et de la bonne qualité de la « denrée » humaine ; mais plutôt la capacité à déployer tout ça correctement et à temps. Globalement leur supériorité logistique indéniable mais contrebalancé par la « faiblesse morale » (toute relative : je pointe juste que même avec une puissante propagande faut un minimum se justifier en démocratie donc un démarrage plus long…un diesel quoi). Et la techniques a ses limites, couplé à la limitation qu’impose la bureaucratie, le flottement du choc, peu d’hommes aurait été vraiment disponible et les commandements ne sont pas habituée aux batailles dantesque de l’EST, non qu’il soit moins futé, plus lâche ou n’importe quoi d’autre ; mais n’ont simplement jamais eu le besoin ou l’opportunité d’engager de telles concentrations, de telles masses. Et le temps nécessaire avant d’avoir une machine qui fonctionnent au poil se comptent en années et ils n’ont jamais rien testé de la sorte, faire interagir et manœuvrer autant d’hommes et de moyen n’est pas à leur porté, même si comptablement parlant ils ont moyens et hommes, et c’est pour ça qu’ils ont mené une guerre de comptable/logisticien : on noie l’adversaire. À la limite une rotation rapide qui débouche sur une guerre d’attrition et tout ce qu’ils peuvent faire….que les soviétiques ne chercheront probablement pas. A l’inverse les soviétiques ont moins de ressources de grosses difficultés à tout acheminer mais une ressource humaine plus malléable : ce n’est pas sans dégât et il y a un point de rupture mais l’avantage est que l’ont peu, sur une très courte période, mener une action intensive…un pari en somme…un peu comme pousser sont cheval au bord de l’épuisement, jusqu'à la mort, on se retrouve sans monture à la fin, mais la manœuvre fait que le gars d’en face n’est plus… Autre atout : le combat interarmes est mieux pensée, et à la bonne échelle par les officiers de l’armée rouge, qui à plus de punch, de puissance et l’expérience qui va avec. Ils ont avec leur outil, malgré leur manque, erreur, finalement le meilleur outil de la guerre en termes d’efficacité, supérieur à la Wermarth même. Le soldat format Armé Rouge n’a rien de bien spécial, rien d’extraordinaire en soi, mais l’échelle la quelle est menée la bataille et qui plus est en mouvement surmontent les obstacles (à l’échelle soviétiques la foret noir c’est un buisson et le Rhin un ruisseau un peu sale…) et neutralisent la tactique ennemie qui est simplement débordé….non seulement il sont nombreux mais en plus savent user de cette avantage à plein. L’artillerie soviétiques et sont soleil de minuit artificiel n’est pas la martingale, mais de un, elle reste toujours plus efficace que l’aviation, de deux, elles est, une fois préparé et lancé, ininterrompue (plus besoin de boucle OODA Lol) et on peu raisonnablement penser que la proximité du commandement du front réduit la dite boucle, le manque de précision étant compensée par la puissance brut, donc paradoxalement plus rapide ; et tertio, elle s’intègre mieux à un ensemble : cela lui donne plus d’effet (la somme des partie à plus de poids que les dites parties ), plus rapide et disponible, dans des conditions difficile opérationnel ; bref, plus efficace sur TOUTE l’opération, pas forcement sur telle ou telle secteur particulier ou période…. Pour ce qui est des combats en Allemagne cela aurait pris certainement plus de temps mais déjà que contre les frisés les opérations ont été mené a des rythmes démentielle, même 2, 3 ou 10 plus de temps cloisonnent a quelques mois critique que leur donne leurs moyens les russes, ces dernier auraient cherché à anéantir les armées anglo-américains, une fois brisées le nombre aurait fait sont œuvre. Par la suite un rythme raisonnable de l’avancée aurait été suffisant pour empêcher les alliées d’établir une ligne de défense, leur situation devenant intenable. Comme je lai dit plus haut le problème est relativisé par la taille du front et leur usage des espaces, des trous ; pire ! de par cette manière de faire la guerre les occidentaux aurait pu voir se retourner contre eux un terrain qu’ils ne métrisaient pas beaucoup plus ou sommairement (une fois sur le pied de guerre…) Non, la seule manière de garder la main pour les soldats du bien aurait été de céder dans un premier temps une partie de l’Allemagne (du moins dans un premier temps), histoire de gagner du temps d’organiser une défense en profondeur, d’épuiser les russes, et dans un objectif plus immédiat d’étendre leur ligne logistique….une solution de bon sens mais politiquement inacceptable, en toutes probabilité, et mettant de coté la difficulté d’organiser une retraite en bonne ordre…. J’admets que la fenêtre dans laquelle les soviétiques aurait pu agir est réduite et limitée dans le temps, mais avait de bonne chance de réussir. Ils restent les maitres du combat terrestre continental et sont ceux qui ont poussée le plus loin l’art opératif, extraordinaire multiplicateur de puissance. De par la (supposé, et autour duquel tout tourne) limitation temporel de cette guerre, la mobilisation et l’organisation de force européennes dans un temps raisonnable est exclu, de même l’importance des zone périphériques comme le Moyen-Orient et la Sibérie. Une fois l’Europe tombée le reste suivra…… Plie toi Tancrède, abjure, soumet toi haha ha tu es finie, entre du coté obscure ou plutôt rouge. :oops:
  5. Shorr kan

    M1-A3

    Et moi qui milite pour le retour au 100mm avec missiles pour les trucs plus lourd ou lointain…. :P Ça ma l’air tellement délicat techniquement à mettre en oeuvre ce machin …..et au niveau opérationnel ? Ils vont faire comment pour le déployer ? Je suppose qu’il tire directement à partir de sa remorque histoire de conserver un peu de mobilité à l’échelle d’un champ de bataille, et qu’il ne doit pas trop s’éloigner du train logistique de sa maman…. Bon sang ! J’vous jure ! Non monsieur !! C’est pas parce que c’est gros et long que c’est meilleur……….. :-\
  6. Voyons messieurs ne soyez pas si prompt à accuser de trollage quiconque dévie de l’opinion général……peut être qu’il vit dans une dimension temporelle légèrement décalé avec la notre. Il faut comprendre sont inquiétude : dans sont « monde » Saddam Hussein a peut être gagné la 1er guerre du golfe, a conquis l’Eurasie et se prépare à envahir l’Amérique du Nord…….. :| Quoi ? Dans mon oreille ont me souffle que le staff du forum n’est pas loin de me considérer comme un troll moi aussi, et me recherche activement dans le but de m’interroger, voir plus :O…Vite fuyons !!!!!
  7. La boucle OODA de l’artillerie américaine restait il me semble trop longue pour ça (quelque chose comme 24H…ben oui ! les calculateurs IBM sont au States…c’est pour ça que Dieu inventa plus tard le Pc et fit descendre sont messie, notre sauveur, le seigneur Steve Jobs !) pour faire jouer à plein cette avantage de la précision, toute relative pour l’époque (le feu pardi ! le feu avant tout !), plus de la difficulté à coordonner une action efficace en plein mouvement (retraite !), bousculés qu’ils seraient par les Rouges. Je ne donnerais pas chère de la peau des flutes alliés face au concert offert par les orgues de Staline et leurs feu roulant….Rock’n’roll. Dans l’ensemble je suis plutôt de l’avis de Loki. Un point important sur lequel il faut appuyer c’est que les soviétiques ont dans l’ensemble une doctrine de destruction des armées adverse, qu’il recherche activement. Une fois les Alliés enfoncés et leurs forces désintégrées par le premier choc, la suite aurait coulé de source. Telle que je vois la chose la guerre aurait été courte, plusieurs mois un an, et l’essentielle des combats initiaux ou tout ce serait joué quelques semaines/mois, donc : . Exit les problèmes d’épuisement moral, encore amoindrie par de grandes victoires des le début. . Les Anglo-américain restent seuls. On oublie l’appoint que peut apporter les allemands remobilisés ou encore les français. Disposer d’hommes en nombres est une chose, les mobiliser une autre, et les entrainer et mettre en ordre de bataille et ce efficacement –si c’est pour ce trainer des boulets consommateur de ressources, inutile- en est encore une autre. Peut être quelques unités d’élites motivées et fanatiques reconstitué à la va vite mais qui sont loin d’être la masse. Et dans l’absolu il y a le chaos de la guerre qui ne permet pas d’organiser tout ça dans la période qui nous intéresse, surtout si les « capitalistes » sont en permanence obligé de bouger ; quant au résistant ils peuvent être ignoré dans un premier temps pour revenir leur régler leur compte plus tard. Les arguments avancés valent pour l’industrie allemande ou sa main d’œuvre, et personne ne peut en profiter. . La supériorité aérienne seul avantage marqué des alliés face à la Wermarth est là aussi minoré. L’aviation n’a pas un impact tellement important dans la destruction des unités au sol proprement dite, mais à une autre échelle, a un rôle important en gênant les manouvres de grande ampleur et leurs synchronisations, ce qui dans le cas présent est une capacité intéressante dans la mesure ou l’Armée rouge planifie ses mouvement à l’échelle opérative ; mais pas de bol les deux font à peu prés jeux égal là ou sa compte vraiment, c.à.d. en basse et moyenne altitude, les bombardements de hautes altitudes aurait eu un impact négligeable à mon avis tant en terme militaire que psychologique, en tout cas je soupçonne moindre que celui de l’absence d’avion plus proche du sol et de l’impression d’abandon éventuellement ressentie par la troupe……. Avec un pilonnage atomique peut être comme ultime recours. Le seul point vraiment délicat pour les popov est pour moi la logistique : vraiment important s’ils n’arrivent pas à vaincre de suite les forces du fachocapitalisme international, soit que ces dernier ne prêtent pas le flanc (ou la tête à fracasser…) ou arrive à organiser une défense en profondeur potable ; ou à l’inverse ils les plies façon papier de bonbon dans la phase initial de la campagne et la le problème devient bien moindre, et pourquoi pas profiter des réserves de ces salauds de bourgeois décadent qui font rien qu’a étouffer la révolution prolétarienne mondial. Les dits bourgeois en slips, laissant tout sur place et réembarquement général (généraux en tête :lol:) dans « Dunkerque, le retour » ou retraitant vers la péninsule ibérique, voir les deux… Au final je ne vois pas les Alliés résister là ou les allemands plus capables et qui ont eu l’honneur de fricoter un long moment avec la bête, ont vraiment morflé. Mickey et ses copain rosbif sont recalé : manque doctrinal et d’expérience de la guerre à cette échelle…avec du temps peut être ? Mais c’est justement ce qui manquera le plus dans la promenade à reculons et plutôt rapide entre l’Elbe et l’Atlantique. Ont me rétorquera qu’on peut voir venir. Je répondrais qu’importe : les Russes ont l’initiative, excelle dans se genre de préparation et seront probablement les plus rapide. En plus ils avaient l’air d’avoir de bonne capacité de dissimulation et même la découverte aurait été trop tardive pour organiser une défensive efficace –sauf à abandonner beaucoup de terrain-. Et si ça rate, pas grave. Ils finiront par trouver leur rythme et imposer leur tempo, la pression devenant insupportable à terme. Non que les Russe soit les cousins terrestres des Klingons, mais indéniablement pour mois, et dans cette affaire en particulier (un combat terrestre en Europe, et à ce moment …) ils ont belle est bien LA plus grosse et tape le plus fort avec sur la table….. Bahhhhhhhhhh ! Voila que je viens d’écrire encore un pavé indigeste et sans substance !! Vous voyez se que vous m’obligez à faire bandes de saligauds !!! J’ai surtout deux mots à dire au patron du topique et ces scénarii à la noix…….je sens que je vais péter un câble…….Gibbs ! Giiiiiiiiiibbs !!Giiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiibs!!!
  8. Comme c'est zoliiiiiiiiiiiiiiiiiii :O Quand je serais grand je veux devenir pilote papa. Pilote de Rafale (même si j'aurais préféré un F-22, mais bon on fait avec les moyens du bord…………………..)
  9. Comme quoi les diplômes délivrés par les universités de l’Ivy league sont très surcoté…………. Moi je dis Walt Disney criminel de guerre. Devant le TPI hop !
  10. Quelques questions et propositions : -En avant du diapositif de leur flotte il y a, il me semble, des frégates ASM qui sont de par leurs isolements des proies toutes désigné. Leurs éliminations faciliterais grandement l’approche d’un SNA, voir de toute une « meute ». À la limite ça rendrais le déplacement de leur groupe plus dangereux. Une marge de manœuvre réduite et une difficulté/menace mortel ce surajoutant à la difficulté de coordonner le déplacement/fonctionnement d’un groupe aéronaval. -Un raid avec 8 rafales ? C’est tout ce qui peut être envoyé ? -Qui est le plus rapide ? Le Cdg ou un CVN (avec et sans escorte)
  11. Je l’avais déjà lu il y a un moment. Conclusion : Des troupes de qualités au service d’un commandement ineptes………..toutes la tragédie de l’histoire militaire résumée jusqu'à la caricature dans cet épisode. Ça me conforte d’ailleurs dans l’idée qu’il y avait du potentiel dans cette armée. Un bon stratège et un bon outil aurait certainement pu faire tourner la situation autrement, déjà éviter l’anéantissement quasi complet, voir carrément d’engager cette guerre ou du moins reprendre ses billes avant que la situation ne soit désespéré. En même temps le bonhomme c’est venté de ne jamais avoir lu un livre de stratégie……. En effet, c’est pour ça que je suppose (sans préciser comment) que l’armée irakienne est mieux structuré et a tiré profit de sont aguerrissement suite au conflit avec les iraniens. Elle aurait probablement pu atteindre la masse critique lui permettant de faire face à un une force expéditionnaire obligatoirement réduite, empêchant les coalisés de s’installer et d’établir des bases. Elle aurait été la patronne de sa cour de récrée………. Un coup d’épée dans l’eau qui précipitera et débouchera sur l’implosion de l’URSS. Les russes ou plutôt les soviétiques étaient en pleine confusion et sous perfusion occidental (surtout du bon argent frais de la RFA), donc sensible aux pressions « amicales ». Saddam.H ne s’imaginait pas que ces copains du Kremlin le lâcheraient dans sont calcul. Comme je disais, mauvais timing…………. Mes d’avis que le gars a raté l’holdup du siècle. Qu’est ce que je raconte, du millénaire ! Avec plus de la moitié des réserves pétrole de la planète, vous vous en feriez quoi ? Ne me dite pas acheter une voiture de sport ou la dernière console :lol:.
  12. Y a un aspect qui, me semble-t-il, n’a pas été soulevé. Ces gars ont souvent un truc qu’on appelle « l’œil »………non, pas l’œil du tigre, ça c’est dans la bande son du 1er Rocky,……….pas le mauvaise œil non plus, c’est même tout le contraire………………non, je parle du coup d’œil, celui qui permet d’un seul regard d’appréhender les situations les plus complexes, de voir émerger une structure dans le chaos du champ de bataille, de voir à travers le brouillard de la guerre (je sais tout les poncifs y passe….). Ça nous amène à la façon de fonctionner de ces types et comme rappelé plus haut ce n’est pas forcement les meilleurs des meilleurs, avec mention, sorties majors de leur promotion, ce serait même plutôt le contraire : on à quoi ? Des très moyens, des insignifiants, des marginaux, des excentriques, des loufoques même ; de vrais anomalies dans les institutions militaires ou ils ne peuvent briller qu’a la faveur d’un conflit qui accélère les occasions de briller et sont corollaire le rythme des promotions. A mon sens, la valeur ajoutée qu’ils apportent, vient de leurs façons originales de traiter un problème donné, en le simplifiant, en générant des combinaisons inédites et bien sur faire le lien entre des domaines, des disciplines sans rapports ou échanges entre elles habituellement. La manière de procéder est souvent audacieuse, mais on peut constater qu’elle est souvent brouillonne, sommaire, voir frise l’inconscience pur est simple ; mais l’essentiel n’est pas là : malgré une maitrise parfois insuffisante de leur outil le résultat est brillant, grandiose même. La source doit être à chercher dans une puissante intuition, une capacité à anticiper (pour moi Napoléon et Hannibal excelles a cette exercices…) et une remarquable facilité à concentrer leur force de travail et de passer d’une échelle à l’autre (ça expliquerai pourquoi beaucoup sont bon capitaines et stratèges à la fois……). En somme un véritable art de la composition qui les habite. C’est ça : ce sont des artistes. Avec leurs manques, leur puissance créative, un instinct vital qui les emporte au sommet (pour le coup c’est moi qui m’emporte :lol:). C’est, selon mon opinion à ce niveau qu’il faut chercher la différence avec les simplement « bons généraux », qui ne démérite pas, sont plus méthodique mais sont plus conventionnel. C’est ce qui me laisse septique quant à l’émergence, de nos jours, de ce genre de profils. La faute est à trouver, avec l’arme nucléaire, à une sorte de défiance de la pluridisciplinarité qui n’est pas dans la norme d’une culture du « spécialiste », en plus de la difficulté à maitriser effectivement plusieurs discipline très pointu, une maitrise complète étant essentielle au fonctionnement au poil de nos société très « technicienne ». Pourtant, inverser la vapeur serait tellement fécond, il ya tellement de potentielle à cette démarche… Pour le coup peut-on considérer Arminius, le germain ancien auxiliaire des romains, qui a écrasé 3 légions, et Sylla, la version Beta de César, comme des génies militaires ? Des avis ?
  13. Je me suis souvent demandé aussi s’y avait pas moyen de tourner le résultat de ce conflit différemment. Mon penchant pour la spéculation facile et la sympathie que m’inspirent les perdants m’y poussent………. Justement, un alignement de matérielles ne fait pas une armée, et encore moins un outil efficace……. S’y on omet les manques de l’armée irakienne, qu’on suppose qu’on puisse la restructurer comme on le désir et que le RETEX de la guerre Iran-Iraq à été utile ; y certainement moyen de faire mieux. Mais tout de suite, comme dit plus haut, lancer une offensive à ce moment est un poil trop tard. Jamais je n’aurais laissé les forces de la coalition se concentrer aussi tranquillement, et puisque je suis un dictateur vicieux j’attends le moment ou ils sont pas loin d’être opérationnelle mais sont encore vulnérable. A condition d’accepter des pertes monstres y une bonne chance de mettre K.O l’armée adverse. L’inconnu est comment les américains réagiraient à l’encerclement ou pire à la destruction d’unités constituées de plusieurs milliers ou dizaines de milliers d’hommes, pratiquement en direct….. Y aura probablement du Nuke dans l’air soit comme soutient (recours ultime pour d’éviter un nouveau « Cane » ou un « Gaugameles » inversé), ou simplement en représailles et comme seul moyen de me faire plier….. L’avantage de ce scénario est que mes adversaires auront du mal à reconstituer des forces pour un match retour, et surtout du temps dont je me servirais pour me consolider d’une façon ou d’une autre, et y même de bonne chance pour qu’ils soit suffisamment dissuadés de prolonger le conflit, craignant pour l’avenir l’économie mondial (alors a peine sortie d’une crise à ce moment là). Ce qui m’amène a une possibilité : comme beaucoup d’intervenant du topique j’étends le conflit, et comme Gibbs je m’en prends à L’Arabie Saoudite voir à toutes les monarchies du Golfe. Ces Etats sont fragiles et l’opinion arabe ne les portes pas dans leurs cœurs ; un gain facile pour peu de frais en sommes. Si mes moyens ne le permettent pas je me « contente » d’envahir l’Est de la péninsule Arabique qui concentrent l’essentielle du pétrole, dont les champs sont plus à porté, la zone à occuper moins étendu et moins peuplée facilitant ma tache….tout en me dépêchant de piéger le tout (je vous l’ai dit, je suis un dictateur sournois). Mais l’idéal serait de verrouiller toutes la péninsule qui ne comptent pas beaucoup de ports en eau profonde. Ça n’empêchera pas une invasion mais la retardera énormément ou la forcera à passer par le nord ; c.à.d. la Turquie (à qui je propose un deal pour le coup….) terrain plus favorable à la défense. Mais quoiqu’on fasse il y le problème du temps et de timing : trop tard ou trop longtemps est c’est la défaite, même si sur le long terme le soutient populaire augmente…mais des spectateurs n’ont jamais gagné un match, et à quoi bon si on se retrouve en slip sans possibilité de capitaliser. A l’inverse une action décisive et rapide a de bonne chose réussir si les moments est bien choisi (surtout diplomatiquement, par exemple que l’URSS, sur le point de crever, soit moins vulnérable, « travailler » mes voisins quitte à les induire en erreur sur mes intentions, bref préparer le terrain et le sonder comme le triste sieur Hitler a procédé pour l’Anschluss. Surtout, surtout, j’attendrais d’avoir plusieurs bombe A à disposition, histoire de sanctuariser le Pays…) L’autre grand paramètre à prendre en cause est l’échelle de la crise, et là on est confronté au dilemme de l’alpiniste : monter c’est facile et grisant, redescendre c’est une autre pair de manche et rébarbatif en plus d’être dangereux. Contrairement à beaucoup ici, j’aurais tendance à ne pas être trop provocateur, voir conciliant et même à encaisser les coups sans broncher (une vrais lopette quoi…). Faut dire qu’en plus d’être «l’agresseur » je m’expose à une réplique terrible si je pousse le bouchon trop loin : les occidentaux risquant de me considérer comme tellement dangereux qu’ils en deviennent irrédentistes (Tyran brutal mais cultivé qui connait plein de jolis mots savants…même si l’orthographe c’est pas trop ça, sans parler des accords :-X) et mener la guerre jusqu’au bout, ou pire en venir aux frappes nucléaires, sans parler d’un blocus féroce et prolongé durement ressentie par la population et donc la stabilité de mon régime me forçant à dispatcher des ressources pour le service d’ordre (non que je rechigne à massacrer des innocents, mais j’aime pas le gaspillage…). J’éviterais par exemple de couler un GAN, à la limite juste le mettre hors de combat ou le harceler, C’est apparemment tout ce qui est à porté (voir le topique dédié et cousin de celui-ci), et il ne s’agirait pas de les faires sortir de leur gons ; en plus d’être trop aléatoire avec de faible chance de sucée hors coup de pot, stupidité du commandement adverse (genre s’enfermer dans le Golfe persique), je m’en tiendrais au minimum syndical. J’éviterais aussi, puisqu’on aborde le Golfe à proprement parler, de verrouiller d’emblé le détroit d’Ormuz, ce serait considéré comme un acte d’agression inacceptable et que je soupçonne (sans être spécialiste) ne pas forcement être possible à long terme, même si sa ne m’empêche pas de glisser de temps à autres, entre deux gémissement à l’endroit des méchant-capitaliste-bourgeois-décadent et colonisateur qui font rien qu’a m’embêter, des menaces à peine voilé. Je ne provoquerais pas non plus Israël, je serais même tenté de leur proposer –pas trop ostensiblement quand même- un accorde à long terme de reconnaissance mutuelle et promettre de pousser les Palestinien et Syrien de prendre se qu’on leur donne et d’une paix définitive. Non qu’il puisse intervenir militairement mais ils ont bien d’autre moyens d’interférer, et dans l’absolu je n’ai pas besoin de plus d’adversaire sur le dos… Je m’arrangerais avec L’Egypte et la Turquie, la Syrie, voir le Yémen (a qui je donnerais des morceaux d’Arabie…) et menacerais le cas échéant la Jordanie et sa monarchie de lui faire subir le sort des monarchies voisines que j’aurais éradiquées. C’est le point le plus délicat à négocier : faire disparaitre les Etas du golfe principal demandeurs d’une intervention c’est rendre celle-ci sans objet ou au minimum moins pressente, au minimum il en résultera un temps de flottement que j’utiliserais avec la liesse populaires pour faire pression et faire douter mes voisins au régime fragile. Pour conclure je ferais tout pour éviter d’affronter trop frontalement la coalition, que se soit ça composante naval et plus encore terrestre, je me contenterais de les tenir à distance, de les retarder dans leurs actions, et miserais à fond sur mes moyens non militaire ou semi-militaire –avec beaucoup de discernement- pour obtenir la victoire ou du moins si mon coup rate une porte de sortie honorable (je travaillerai particulièrement à un plan de retrait :P….tempi, j’aurais au moins tenté ma chance) Mon analyse est que l’Irak étant limité quant à ses possibilités tactique, elle aurait du porter ça à un niveau plus stratégique : dans cette perspective une diplomatie active et intelligente dans la foulé de l’invasion aurait eu de bonne chance de désamorcer la mise en branle de l’ONU. Aussi même si dans l’équation du rapport du faible au fort elle est le faible, elle garde l’initiative, avantage incalculable… Le point focal du problème est que mon action (c’est fou comme on s’habitue a son uniforme de dictateur…) transformerait radicalement les rapports de forces au niveau mondial. En premier lieu, si la communauté internationale laisse passer ça (et qu’elle est donc suffisamment désunie…), c’est réintroduire la guerre comme mode de régulation des conflits, voir réintroduire la loi de la jungle. Deuxièmes, dans le monde musulman, étant à la tête d’une féroce dictature Laïque et exclusive dans sont autorité, ça pousserais à une guerre ouverte avec le wahhabisme…ça ressemble à quoi un goulag dans le désert du Rub al khali ? Enfin j’aurais le doigt sur bouton « arrêt » de l’économie mondial, l’aspect le plus délicat du problème. Quelle gage pourrait rassurer les U.S.A et leur alliés européens et asiatiques, quelle degrés de menace les feraient plié ou au contraire renforceraient leur détermination, quelle actions commettre ou pas ? Si sa réussie, je me retrouve (y’a pas à dire, j’adore ce « moi »…) à la tète d’un puissant empire panarabe devenant de fait l’Hégémon du Moyen-Orient et le pivot autour du quel se rassemblerais les pays du tiers monde et de fait une aura à l’échelle mondial…renforcé par la chute de l’URSS. Un nouveau monde quoi, grisant au possible… Le problème est que dans les relations international on n’aime pas la nouveauté et encore moins, par principe, les nouvelles puissances. L’émergence d’un puissant Etat surtout dans une région aussi sensible et de façon si soudaine et violente, liguerais contre elle presque automatiquement le reste du monde. Pour conjurer la menace qui pèse sur « mon » (Arghhhhh –gémissement de plaisir-) projet il faudrait puissance (avec un appareille militaro-administratif efficace, ayant de la ressource et bien tenu…), doigté (surtout diplomatique), le sens du moment (bien choisir le timing) et de l’action décisive ; ajouter une duplicité infinie et une cruauté insensé, le tout mâtiné d’un cynisme éhonté, d’une absence de sens moral, d’honneur et tous ce qui fait de vous un humain. Saupoudrer le tout d’une vision grandiose et mégalomaniaque ; et vous pourriez éventuellement gagner. Ah oui ! Du charisme et une intelligence hors ligne aide un peu aussi, avec de l’entrainement au bluff. Beaucoup jouer au poker donc (sa devrait entrer dans la formation des écoles d’officier et diplomate même…) Si ma razzia dans le pur style bédouin échoue, ma fois, je refais mes valises et retour à la mère patrie. Je n’attends pas de me faire écraser la figure. Je concentre mon armée dans les villes, que j’instruis à la guerre de guérilla, disperse mon matos et menace/hurle d’utiliser tout se que j’ai sous la main pour cogner en cas d’invasion. Au pire mon pays est ruiné et revient au point de départ, mais je suis (et reste après purge et exécution sommaire des « responsables /boucs émissaires» de la débâcle…) toujours à la tête d’un riche état pétrolier encore plein de potentielle, je laisse passer la tempête, reconstruis…et me prépare au match retour avec l’Iran…………………….. Mmmmmm, le sujet m’inspire aujourd’hui et suis particulièrement en forme. Faut dire qu’il m’a longtemps travaillé. Une dernière chose, la taille du pavé peut prêter à confusion, mais c’est moi qui l’ai écris, Shorr kan, pas Tancrède. :lol:
  14. Merci, je vais tenter de m’y mettre dans la mesure de mes moyens en commençant par m’instruire sur les matérielles. D’un point de vue plus conceptuelle se que je trouve vraiment difficile c’est de s’imaginer comment tout ces dispositifs, matos, et force en présence vont interagir, déjà qu’un élément seul, évaluer sont impact dans une situation données est compliqué……mais bon c’est le but de l’exercice. Pouvoir à l’imagination. Retour au problème : je n’aime pas cette idée de position statique face une horde de rouge qui déferle sur vous, mais bon l’armée soviétique ne ma pas demandé mon opinion...et ma hiérarchie non plus. Quand même, l’impossibilité d’être mobile face à ce genre de force je la sens moyenne………………. D’ailleurs… Du peu que je sais de la doctrine popov, qu’ils restent fidele à leur approche opérative et évalue correctement la situation (c.à.d. peu importe les pertes, une fois ce nœud important entre leur main c’est la possibilité de tomber sur d’importante forces en cour de réorganisation si j’ai compris) y a aucune chance de passer la journée : ou ont se fait massacrer sur place ou bien déborder…je sais j’aide pas. :P Mon dispositif si je le pouvais serait établi pour engager l’adversaire le plus tôt possible et aménagé sur plusieurs ligne de défense (autant que possible, autant que le permet d’en établir le génie, autant que me le permet la géographie…c.à.d. pas grand chose), et ce de façon concentrique au village et orienté ? Ba euhhhhh il ou le Nord :-X? Pendant la bataille je retraiterais à chaque fois que la situation l’impose, la concentration de mes forces augmentant au fur et à mesure du repli (couvert par les fumigènes). Je suppose qu’à un moment l’ennemie cherchera à concentrer ses moyens et c’est pour les empêcher de se mettre en ordre de batailles que j’utiliserai surtout mes appuis ou contrer les leurs (si localisable), pas trop tôt donc… Voila se que je peux proposer en première approximation. Je voie la chose de la façon suivante : il faut jouer la montre, combattre donc le strict minimum, ménager ses forces, désorganiser l’adversaire, l’empêcher de mener une attaque efficace et de ce concentré, bref (comme dirais un certain Pépin de ma connaissance :lol:) le fixer. C’est pour ça que plus haut j’ai dit que n’aimais pas de ne pas pouvoir la jouer mobile ou avoir plus d’espace pour organiser ça en profondeur, l’alternative me semble être de faire du village une forteresse. C’est probablement du suicide, mais que ne ferait-on pas pour la patrie. Dite à ma femme et au p’tit que je les aime. :'( Ah oui ! Il me semble voir deux massifs forestiers, un grand au nord et plus petit au sud avec des haies à l’Est. Ce serait pas sympa pour cloisonner le terrain. Votre opinion ? Pour le coup c’est dans les abords de ces forets que je placerais mes stingers histoire de prendre de dos les assaillants qui débouleraient pour pilonner le village. C'était le Tacticien de Salon. ;)
  15. Les syndicats ont depuis toujours joué un rôle dans la politique tunisienne. Et même avec le grand manitou de l’UGTT dans la poche du Pouvoir, jamais les hiérarchies subalterne à cette organisation n'ont plié complètement et ont toujours gardé un certain pouvoir de négociation aussi bien face aux autorités qu’a leur propre direction central. C’est pas Solidarnosc mais ce syndicat a fortement participé à la construction de la Tunisie moderne et fait partie intégrante de son paysage politique depuis le début. Y aussi le très actif ou du moins visible mouvement des magistrats.
  16. Dommage j’en sais vraiment trop peu –surtout nivaux matérielles et leurs létalités- pour essayer d’établir un plan de bataille. Ce n’est pourtant pas l’envie de participer qui me manque. J’ai toujours tripé sur les conflits contemporains. C’est vraiment trop injuste « « mode Calimero » » :'(. Une question essentielle demeure : Obi Wan Kenobi sera t’il des nôtres dans la bataille :oops:………….pas la peine de se lever je connais la sortie (et la il marche sur la pointe des pieds, la tête enfoncé dans les épaules, rasant les murs fuyant fébrilement vers l’ombre...).
  17. En tout cas la très discrète armée tunisienne semble prendre du gallon…………
  18. Merci au pouvoir de l'atome avec la puissance et l'autonomie que ça permet! Je sais, je sais, mais j'ai vraiment du mal avec cette idée à l'heure de l'aviation, de l'électronique, des missiles supersoniques, des capteurs en tout genre et tout le tintouin. Je ne m'y résous pas, mais vraiment pas (et là il secoue lentement sa tête qu'il prend entre ses mains, complètement perdu :-[ :P…)
  19. Pour ce qui est de localiser un GAN, sa doit faire un boucan de malade, émettre dans tous les sens ou à minima signaler sa présence par des patrouilles… Si ce n’est pas le cas, des patrouilles armés doivent pouvoir leur tomber dessus en cas d’opportunité. C’est plus laborieux que simplement dresser ses oreilles électroniques en tout genre…mais bon je lâche ça comme ça (comme une bouteille à la mer :lol:) J’avoue avoir du mal avec l’idée qu’un truc aussi gros qu’une flotte entière en ordre de bataille puisse impunément passer inaperçu. C’est un scandale =(.
  20. C’est un peu comme certain système physique : on à beau changer de paramètres, chercher à le déstabiliser il ne ce passe rien, puis tout d’un coup il atteint le seuil ou on à un phénomène violemment non linéaire, et ou il change de régime (c’est le cas de le dire :lol:). Remarque ça me rappelle une étude qui portait sur les pays de l’Est, qui conclue que ce genre de système monolithique est en fait bien plus vulnérable que ne le laisse penser les apparences. Il suffit que quelques éléments de ces systèmes très pyramidaux se désiste pour provoquer un effondrement. La volonté de tout contrôler devient la source de fragilité, et finit par se retourner contre ceux qui sont aux manettes. Le fait que personnes ne fait confiance à personnes n’arrange rien…ils goûtent à leurs propres médecines en quelque sorte >:(. L’élément humain est tellement incontrôlable qu’ils ont intérêts à donner du mou en effet, histoire de voir venir et diluer les responsabilités...perdant pour perdant autant partager avec tout le monde les problèmes, lâcher des miettes, ils en restera toujours de quoi vivre :-[. Les « élections » sont proches, Pharaon Moubarak est sur le départ au profit de son rejeton, ce qui exaspère les égyptiens, et cette fois il y a un vrai challengeur avec Baradai.
  21. Ça demanderait un effort important et soutenu dans temps…sans garantie de réussite (malgré des retombés énormes). Après la folie des années 90, les recherches autour de la conception d’I.A c’est effondré, en plus c’est typiquement le genre de domaine ou c’est moins les moyens qu’une intuition géniale qui fait faire une percé. Bien sur y certainement moyen d’implémenter des automatismes, mais ça à ses limite.
  22. Quitte à choisir je dirais que la solution optimale pour eux est de se fondre à la Lybie, aussi riche que sous peuplé. Remarque ça à déjà été envisagé par le passé.
  23. Quoi! :O c’est tout ce qu’ils mettent sur la table !!! Vu ce que coutent l’équipement ioues les irakiens sont loin du comptes. A peine de quoi acheter des munitions ou juste des châssis sans rien dessus. :lol: Bah ! Ils finiront par apprendre de leurs voisins du golfe. :P
  24. Ça me rappelle un truc que j’ai lu y longtemps écrit par Hannah Arendt. Ça commentait la décolonisation et selon elle la possibilité qu’aurait eu la France de ce transformer en ce qu’il y avait de plus proche de Rome et son empire universel.
  25. Impressionnant quand même ! Mais mon petit doigt me dit que les tunisiens auront tôt fait d’être déçu par ce qu’on leur proposera… C’est pas pour jouer les rabat-joies (ou si un peu) mais ce n’est pas comme ci toutes leurs difficultés allaient s’envoler de jour ou lendemain. Bon tant que ça leur permet de respirer c’est toujours ça de pris. Pour ce qui est du Maghreb dans son ensemble et sa stabilité par le développement économique, ils n’ont pas trop de possibilité et les termes de l’équation sont les suivant : Fabriquer de la camelote à bas cout et l’exporter. Les chinois et l’Asie de l’est dans sont ensemble est déjà sur le créneau en plus d’avoir une sacré avance dans leurs industrialisations. A l’inverse le sud de là méditerrané est même handicapé par des couts trop élevé par exemple ne serais ce qu’au niveau de leur change par la rente, qu’elle soit touristique ou pétrolière (sous évaluation des changes, Parité de pouvoir d’achat et tout ça…). Devenir l’atelier de l’Europe c’est râpé. Vendre des tomates et des fraises hors saisons au pays du nord, et se transformer en potager géant ? Pourquoi pas : exporter des produits hors saison et spéculative à haute valeur ajouté (mais pas tant que ça) implique d’importer des denrées en sens inverse, notamment des céréales base de leur alimentation et de protéines animales, pour compenser le déséquilibre alimentaire provoqué par la monopolisation des terres par les cultures d’exportation. Car oui ils ont peu de terre et d’eau, et ça ne risque pas de s’arranger avec le réchauffement climatique, déjà que l’urbanisation à déjà le mauvais gout d’annexer se qu’il à de meilleur et enfin la désertification tant pour des cause naturel que par la négligence de l’homme… La aussi pas de nouveau Brésil. Et je mets de coté les inégalités inhérentes à ce genre d’économie avec les pépètes en devise qui ont la fâcheuse habitude de n’atterrir que dans les poches assez grosses, de la balance des paiements plongeant dans un cercle vicieux, du risque de voir ces produits refoulés et bloqué par des barrières protectionnistes (surtout dans le domaine agricole !) ou pire au chantage alimentaire ouvert ou plus subtile ; et j’en oublie. Difficile arbitrage. Les services ? Ont le voie en Tunisie et au Maroc (ça pétera aussi la bas un jour ou l’autre…) le tourisme low-cost est une impasse à moins d’embrayer sur autre chose. Peu de valeur ajoutée et des emplois faiblement rémunérés. L’économie de la connaissance ? Je ne sais pas ce que c’est ! Il y bien des exemples dans le coin comme Israël, mais même avec beaucoup de diplômés(avec des diplômes pas toujours en adéquation avec les besoins du marché du travail, aussi bien au niveau expérience pratique que spécialité proposé…) motivé et tout et tout c’est tout un environnement favorable qu’il faut, non que ce soit hors de porté, mais cela implique au préalable un Etat moderne, et donc sa modernisation, et donc du temps…et c’est maintenant que tout ces jeunes veulent des emplois, consommer, se marier, avoir une maison, la voiture et le chien qui va avec ; bref vivre. Pour bien noircir le tableau ajoutons une envie exacerbé par ce qu’ils voit de la vie de l’autre coté de la méditerranée, des pays ou personne ne crève de faim et qui à une certaine expérience du pluralisme mais ou la sédimentation de la vie publique avec des autorités qui n’arrive pas à satisfaire sa population (ce qui à la fois hors de leur porté malgré tout la bonne volonté du monde -y qu’a voir les projet de développement pharaonique- et inhérent à ce genre de demi-dictature qui à la fois génère ces problèmes et ne contrôle rien…) frustre et ne satisfait personne. Enfin données importante, non seulement se sont des pays jeunes, mais surtout en « transition démographique ». Pour vous donner une idée de ce que cela implique rappelez-vous la Révolution française, celle de 1917, l’Allemagne du IIIème Reich et la WWII, la Révolution culturel, Pol-pot ou le Rwanda. Ou est le lien entre tous ces événements ? Les pays concernés avaient aussi des jeunesses en proportion importante et revendicative politiquement. Je ne fais pas l’oiseau de mauvais augure (juste un chouia de pessimisme) mais il faut admettre que la situation est délicate. Pour moi la porte de sortie par le haut passe par une redistribution équitable (un minimum au moins) en arrosant les secteurs d’avenirs, moderniser les institutions et surtout que les pays du Maghreb trouvent à s’entendre : c’est la bonne échelle géopolitique pour à la fois peser concrètement, et penser leurs problèmes. Mais pour ça il faudrait que les deux poids lourds de la région, l’Algérie et le Maroc se réconcilient et mettent de coté leur différent ; ce qui avec les directions politiques actuelles, campés sur leurs positions et sans projets d’avenirs, est très peu probable. Avec d’autres responsables, d’autres gouvernements peut être…
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