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Guyane Française : base de lancement de Soyouz


alexandreVBCI
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Guyane Française : la fusée russe Soyouz décollera en 2011.

Le pas de tir de la navette russe Soyouz vient d'être achevé en Guyane Française. Les premiers tests ont déjà eu lieu en attendant un lancement prévu à l'été 2011.   

C'est après six années de travaux et de multiples retards que le chantier de la navette russe Soyouz voit se profiler la fin du périple. Issu d'un accord franco-russe signé en 2003, ce chantier de 350 millions d'euros arrive bientôt à son terme. Le PDG d'Arianespace, Jean-Yves Le Gall, indique que "le pas de tir sera disponible en avril-mai avec l'objectif de faire un premier lancement dans la foulée".  Celui-ci est situé à dix kilomètres du centre spatial d'Ariane 5, à Sinnamary, en Guyane Française.

http://fr.news.yahoo.com/68/20101129/tsc-guyane-franaise-la-fuse-russe-soyouz-04aaa9b.html

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  • 10 months later...

Bon on peut arreter de poluer le topic Galileo, il existe celui la pour Soyouz en Guyane.

Reprenons donc, pour l'archive, quelques infos precedement citees la-bas...

La bete d'abord :

Image IPB

Ensuite une grande question : Pourquoi Soyouz peut lancer plus depuis la Guyane que depuis Baikonour?

La Terre tourne sur son axe en 24h,

La circonference de la Terre a l'Equateur est de 40000 km soit une vitesse de 1667km/h,

La circonference de la Terre a la latitude de Baikonour est de 27837km soit une vitesse de 1159 km/h,

Il faut donc consommer beaucoup plus de carburant pour atteindre la meme vitesse, c'est l'effet de fronde.

Par ailleurs, pour lancer des satellites géostationnaires il faut rejopindre le plan de l'equateur, et c'est beaucoup plus simple lorsqu'on est juste a cote, c'est l'effet d'inclinaison.

En combinant ces deux effets la charge utile dispo passe de 1,7t a 3t pour l'orbite de transfert geostationnaire.

Les missions :

Lancement (succes) de Galileo 1 et 2 le 21 octobre à 7h30 heure locale apres un repport de 24h suite a un probleme de vanne de remplissage du 3eme etage.

Le lancement :

http://youtu.be/VTM0aottnsY

Mise en place des satellites :

Image IPB

Le topic Galileo sur le forum : Galileo

Prochain tir avant la fin de l'annee pour le Lancement de Pleiades-1 (observation de la Terre).

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Le tir réussi, vendredi 21 octobre, d'une fusée russe Soyouz depuis Kourou, le "port spatial de l'Europe" en Guyane traduit des évolutions stratégiques importantes.

1) La Russie fait partie de l'Europe. Soyouz n'est pas un concurrent d'Ariane 5 - c'est un engin complémentaire permettant de mettre en orbite des charges plus légères (6 tonnes) à moindre coût. Ce qui est vrai pour l'espace pourrait l'être demain dans d'autres domaines, de l'aéronautique notamment. L'achat par la Russie de BPC Mistral de construction française montre que la coopération peut s'étendre à l'industrie d'armement.

2) L'accord entre la Russie et Arianespace témoigne du succès européen en matière spatiale. C'est désormais chez nous que cela se passe. Ariane 5 est aujourd'hui l'un des principaux vecteurs commerciaux. Les Européens ont réussi un exploit aussi important dans ce domaine que dans celui de l'aviation civile avec Airbus. Lorsqu'on veut, on peut. Il faut s'en donner les moyens. Rappelons que sans le programme français de dissuasion nucléaire - et des missiles stratégiques développés pour l'occasion - jamais l'Europe n'aurait pu faire aussi bien.

3) La fusée Soyouz a mis en orbite les deux premiers satellites du futur système Galileo. Il s'agit d'un concurrent, civil et européen, du GPS américain. Le programme est très couteux, mais il offrira une alternative au monopole du GPS. Un GPS à l'origine purement militaire.

4) Depuis juillet 2011, et le mise à la retraite de leur dernière navette spatiale, les Américains n'ont plus la capacité d'envoyer des hommes dans l'espace. Une première depuis un demi-siècle et les débuts de l'ère spatiale. Seuls les Russes disposent aujourd'hui de cette capacité dont ils sont une grande expérience.

5) Les Chinois sont aujourd'hui dans la course du spatial habité, avec leurs taikonautes du programme Shenzhou.

http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Soyouz-a-Kourou-un-nouveau-paysage-spatial_a414.html

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  • 2 weeks later...

Et voila le programme de ce prochain tir :

6 satellites d’Astrium sur le deuxième vol Soyouz depuis Kourou

Toulouse,  03 novembre 2011

Le satellite d’observation de la Terre très haute résolution Pléiades 1 vient de quitter le site Astrium de Toulouse pour Kourou en vue de son lancement prévu mi-décembre

Les 4 satellites de la formation Elisa et le satellite chilien SSOT prévus sur le même vol sont arrivés à Kourou le 21 octobre dernier

Astrium, numéro un de l’industrie spatiale européenne, est le maître d’œuvre des six satellites qui doivent être lancés mi-décembre par le 2ème lanceur Soyouz depuis Kourou.

Ces six satellites sont :

Pléiades 1 est le premier des deux satellites Pléiades à usage dual et à très haute résolution, tous deux réalisés dans les locaux Astrium Satellites à Toulouse pour le compte du CNES (l’agence spatiale française). Pléiades 1 sera rejoint par son frère jumeau Pléiades 2 d’ici un an environ.

Une fois en orbite, chaque satellite fournira aux ministères de la Défense français et espagnol et aux utilisateurs civils des images d’une résolution exceptionnelle dans le domaine de l’imagerie optique satellitaire. Ils présentent par ailleurs une avancée opérationnelle majeure de par leur capacité incomparable de prise d’images, alliée à une agilité remarquable (pointage rapide sur zone) qui autorisera des modes de prise de vues multiples (stéréo, mosaïques, corridor, cible) avec une grande flexibilité.

Positionnée à 700km d’altitude, la constellation Pléiades fournira, après traitement, des produits de 50 cm de résolution sur une largeur d’image de 20km.

Les 4 satellites du démonstrateur ELISA, objets d’une coopération entre la Direction Générale de l’Armement (DGA) et le CNES, sont réalisés en partenariat entre Astrium Satellites et Thales Systèmes Aéroportés. ELISA est destiné à démontrer les capacités de cartographie et de caractérisation des émetteurs radars en tout point du globe terrestre. Ces quatre satellites sont également basés sur la plate-forme Myriade.

SSOT, pour « Sistema Satelital para la Observación de la Tierra », est le plus récent système spatial d’observation, exporté par Astrium Satellites, leader mondial de l’exportation en observation de la Terre. Il a été commandé par le gouvernement chilien fin 2008. Le satellite est basé sur deux familles de produits, l’une étant la plate-forme Myriade développée en commun avec le CNES et l’autre la famille d’instruments optiques Naomi en Carbure de Silicium utilisée par Astrium pour de nombreuses autres missions d’imagerie optique.

Le lancement de ces 6 satellites est possible grâce à une structure d’emport satellites, réalisée sur le site Astrium de Barajas près de Madrid.

La séquence de lancement de ce second vol d’un lanceur Soyouz depuis Kourou permettra ainsi de successivement mettre en orbite Pléiades 1, puis les 4 satellites ELISA et enfin SSOT.

Ce sera la première fois que 6 satellites réalisés par Astrium sont lancés en même temps.

Source : http://www.eads.com/eads/france/fr/presse/press.ae6b1538-44bf-47bc-86df-bd3c86e42b82.html

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  • 4 weeks later...

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/le-deuxieme-lancement-de-soyouz-st-en-guyane-se-prepare_34672/#xtor=RSS-19

Pour son deuxième lancement depuis la Guyane, prévu mi-décembre, Soyouz mettra en orbite 6 satellites, dont Pléiades, un satellite d’imagerie optique à très haute résolution qui ravira autant ses utilisateurs civils que militaires.

Le Centre spatial guyanais est en pleine effervescence avec pas moins de trois campagnes de lancement en cours. Il y a celle du premier lancement de Vega, de l’ATV numéro 3 Edoardo Amaldi à destination de la Station spatiale et du deuxième tir d’un Soyouz depuis son Ensemble de lancement. Quant au prochain lancement commercial d’une Ariane 5, il n’est pas prévu avant le mois d’avril 2012 en raison de l’indisponibilité d’un des deux satellites qui doivent être lancés lors de cette mission.

Pour sa deuxième mission guyanaise, Soyouz mettra en orbite 6 satellites, tous construits par Astrium. Son lancement est prévu vers la mi-décembre. Cette mission a nécessité la fabrication d’une structure spéciale d’emport satellite pour mettre en orbite successivement les satellites Pléiades 1, les 4 satellites Elisa et enfin le chilien SSOT.

Pléiades 1 est sans conteste le passager le plus précieux. Il s’agit d’un satellite d’imagerie optique à très haute résolution qui prendra des clichés de la Terre de 70 centimètres de résolution sur une largeur de 20 kilomètres (Après traitement, ces images prises donnent des produits à 50 centimètres de résolution). Il sera rejoint en orbite par le second Pléiades un an plus tard.

Ce système d’observation de la Terre est dit dual car ses données seront utilisées à la fois par les forces armées des pays européens participant au programme (France, Espagne et Italie) et à des fins civiles. Il répondra aux besoins de nombreuses applications liées à l'observation de la Terre.

À terme, les satellites Spot 6 et 7, conçus pour prendre le relais de Spot 5 dans la famille des produits de 1,5 m de résolution, viendront compléter cette constellation. Enfin, Pléiades 1 et 2 font également partie du programme Orfeo, un système dual d'observation de la Terre à résolution métrique, dont Pléiades (France) est la composante optique et Cosmo-Skymed (Italie) est la composante radar.

Quant aux autres passagers, il s'agit des quatre satellites du démonstrateur Elisa, objets d’une coopération entre la Direction générale de l’armement (DGA) et le Cnes. Ils sont destinés à démontrer les capacités de cartographie et de caractérisation des émetteurs radar en tout point du globe terrestre. Le sixième étant le satellite chilien SSOT (Sistema Satelital para la Observación de la Tierra) d'observation de la Terre.

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  • 2 weeks later...

ELISA: quatre satellites de renseignement militaire mis sur orbite le 16 décembre par une fusée Soyouz.

ELISA ou ELectronic Intelligence by SAtellite. Les quatre petits satellites (135 kg chacun) du projet Elisa (construits par Astrium et Thales Systèmes Aéroportés) seront mis en orbite, vendredi, par une fusée Soyouz qui doit décoller de Kourou.

Démonstrateur. Elisa est un démonstrateur technologique lancé par la DGA et constitué de quatre satellites volant en formation à 700 km d'altitude capables de localiser et caractériser des radars au sol.

CERES pour 2020. Selon la DGA, pendant au moins trois ans, "les équipes de la DGA installées à Bruz (près de Rennes), en collaboration avec la Direction du renseignement militaire (DRM), vont explorer les moyens d'améliorer la précision et la qualité des informations recueillies (...) L'ensemble des enseignements tirés de ces démonstrateurs vise à préparer le programme CERES dont la mise en orbite est prévue d'ici la fin de la décennie. CERES permettra par exemple de préciser le danger que représentent les radars ennemis afin de garantir la suprématie des avions français, ou encore de déterminer l'architecture des réseaux de communication adverses".

La France entend ainsi "conforter sa place parmi les pays maîtrisant le recueil de Renseignement d'Origine Electromagnétique (ROEM) depuis l'espace et de leader européen en ce domaine".

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2011/12/12/elisa-quatre-satellites-de-renseignement-militaire-mis-sur-o.html

J'espères que les russes ne vont pas jeter un coup d'oeil à ces satellites avant de les lancer....  :rolleyes:

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ben si mais la photocopieuse chinoise qu'ils ont achetés est en panne  =) =)

Il y a une étanchéité totale entre la partie lanceur et la partie payload ... c'était bien expliqué par les responsable de l'ESA. C'est tellement étanche que les russes et les autres se mélange quasiment pas, ils bossent pas ensemble, pas au meme endroit, et n'ont quasiment aucun droit de regarde sur la charge utile, a part les vérification des specs indispensable au bon lancement. A priori les russes ne souhaite pas plus que les francais laisser filtrer quoique se soit de leur savoir faire chez le voisin ;)

Accessoirement faire lancer un satellite y compris militaire pas un autre pays est un classique et les regle confidentialité et de sécurité semble assez bien définie et exécutée chez la grande majorité des opérateurs. D'un autre coté s'il y a un doute sur le respect du secret de la charge utile par un opérateur ... il y a fort a parier qu'ils n'aient rapidement plus de client, meme les opérateur de TV souhaite conserver leurs petits secrets.

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http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/12/17/la-france-premier-pays-europeen-a-se-doter-d-une-capacite-d-ecoute-spatiale_1620052_651865.html

Avec le lancement réussi, dans la nuit du vendredi 16 au samedi 17 décembre, de cinq satellites militaires par une fusée russe Soyouz, depuis Kourou (Guyane), la France escompte accroître son indépendance en matière de renseignement. Les armées visent l'acquisition de nouveaux moyens complets dans le domaine de l'écoute spatiale. Ils ont, notamment, fait défaut dans l'opération en Libye.

Un essaim de quatre petits satellites, Elisa, pour Electronic Intelligence by Satellite, doit permettre de tester une nouvelle capacité, celle du renseignement d'origine électromagnétique. Ensemble, les quatre engins, mis en orbite à 700 km d'altitude, seront capables de cartographier de façon précise les émissions radars au sol, en particulier les radars antiaériens. Le système aura une couverture mondiale.

Il s'agit d'un pas important, souligne Xavier Pasco, expert à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) : "Les systèmes antimissiles se développent, avec des radars adaptés. Tous les grands pays ont besoin de capteurs supplémentaires pour connaître la défense des autres et, ainsi, bien calibrer leurs moyens d'attaque, mesurer leur pertinence, indique-t-il. C'est donc pour la France une étape importante en matière de crédibilisation de la dissuasion."

Seuls les Etats-Unis, la Russie et, peut-être, la Chine possèdent une telle capacité d'écoute spatiale. Celle-ci participe, selon M. Pasco, d'une démonstration politique : "Elle confirme une posture générale de grande puissance."

Réalisé par Astrium et Thales, Elisa n'est qu'un démonstrateur technologique - un outil expérimental. Il aura cependant déjà une vocation opérationnelle, laisse entendre le ministère de la défense. Le système sera exploité au sol par la direction générale de l'armement (DGA) et la direction du renseignement militaire (DRM).

A terme, le système opérationnel complet, Ceres, couvrira les émissions radar et télécom. "Il permettra de reconstituer l'architecture d'un réseau de téléphonie ou de radio, donc d'établir l'organisation d'un état-major, mais aussi de mesurer son niveau d'activité, c'est-à-dire d'anticiper l'action d'un adversaire", illustre le général Yves Arnaud, qui dirige le commandement français interarmées de l'espace.

"Nous aurons une carte des menaces, en particulier des radars associés aux menaces sol-air", ajoute le général. La cartographie des émetteurs d'une armée au sol pourra ainsi à terme être intégrée dans la "bibliothèque" de bord des avions de chasse Rafale.

Des aléas pèsent néanmoins sur ce projet. Ceres devait être opérationnel en 2016. Or il a été repoussé à 2020, pour des raisons budgétaires. La France cherche des partenaires européens.

Globalement, les crédits promis aux armées pour le spatial (650 millions d'euros par an de 2015 à 2020) sont loin d'être à portée. L'effort a diminué depuis 2002. La loi de finances pour 2012 a inscrit 355 millions d'euros. Rapporteur de cette partie du budget de la défense, le député (UMP) Yves Fromion avait alerté, fin octobre, les parlementaires : "La baisse des crédits a été significative (...). Dans le domaine du renseignement d'origine électromagnétique, la relève des démonstrateurs n'est pas assurée."

Le ministère espère faire vivre Elisa jusqu'en 2017 et anticiper la mise en oeuvre de Ceres à 2019. Dans ces conditions, le "trou capacitaire" pourrait être évité, se rassure la défense, car les renseignements d'origine électromagnétique ont une certaine durée de vie.

Le 17 décembre, Soyouz a également lancé un satellite d'observation civil et militaire, Pleiades 1. Qualifié de "très agile", capable de prendre des images précises (50 cm de résolution) et surtout en couleur - ce qui rend leur exploitation beaucoup plus facile, notamment en cas de présence de végétation -, il sera lui aussi "utile pour les forces en opérations", indiquent les responsables militaires.

Avec les autres moyens d'optique récents, comme Helios 2, il permettra de progresser, par exemple sur la modélisation du terrain pour les missiles de croisière. Ces systèmes d'observation seront, eux, intégrés au programme européen Musis, complémentaire de Ceres. D'autres aléas pèsent sur Musis. L'accord de coopération n'a pas été encore finalisé. p

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Mais je me demande si Ariane n'est pas trop chère.....

Tout dépend avec quoi tu la compares. Par rapport aux fusées américaines, non Ariane n'est pas trop chère. Par rapport aux fusées russes (et surtout aux Soyouz lancés depuis Kourou) oui Ariane est chère. Par rapport aux autres fusées (japonaises, chinoises ...) Ariane est peut-être chère mais si tu comptes aussi le prix de l'assurance de ta charge utile (qui peut parfois coûter bien plus chère que le lanceur) Ariane redevient parfaitement compétitive.
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On ne devient pas le leader mondiale des lancements de satellites commerciaux en étant trop chère de toute façon.

Ce qu'il fut avant tout c'est comparer le prix aux lanceurs ayant les mêmes capacités de lancement. Je n'y connais pas grand chose en domaine spatial mais je ne pense pas que Soyouz lance la même masse à la même altitude.

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