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[SpaceX] Programme Starship et autres innovations


alexandreVBCI
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E. Musk vient de faire une réponse sur les cibles en matière de capacité cargo du Starship, à terme.


" La charge utile maximale du Starship V1 en mode consommable (comme les autres fusées) est d'environ 200 tonnes.
Le V3 devrait avoir une charge utile d’environ 200 tonnes avec une réutilisabilité totale, et d’environ 400 tonnes en version "consommable". La longueur augmentera de 20 à 30 mètres et la poussée atteindra environ 10 000 tonnes."
 


 

Bien évidemment, la V3 n’est pas pour tout de suite, mais si l’on considère que le prototype de la V2 sera raisonnablement disponible entre mi- / fin d’année prochaine, alors la V3 est un objectif à 4 à 5 ans.

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… Quel vision, quel expression de la puissance !

Sinon, je suis étonné qu’il n’y ait pas d’images de la « rentrée » du B10 et de son bisou à la surface du golfe du Mexique  … Théorie du complot « on » ; il n’est jamais redescendu, il a explosé après la séparation et c’est une IA qui a généré les image de sa - soit disante - redescente ! :laugh:

 

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B10 , a été complétement détruit a environ 500m d altitude de la surface. Si la télémétrie est exacte, il n avait plus de carburant pour effectuer un amerrissage "doux" a la surface .

 

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Je vais pour une fois faire un constat qui va peut-être passer pour de la provocation pour certains, mais c’est histoire de re-situer ce troisième vol dans son contexte :

- le 1er étage a poussé de façon nominale jusqu’à séparation propre du second étage, et ce pour la seconde fois : le booster est donc opérationnel, et sa performance équivaut à ce que réalise n’importe quel premier étage non-réutilisable de fusée actuellement.

- le second étage vient d’atteindre la quasi-orbite, et ce n’est qu’une question de paramètres de ce vol de test de l’avoir laissé en sub-orbital, non de performance intrinsèque.
Il s’agit donc d’un 1er vol de qualification, et peut-être dès le prochain il démontrera sa capacité à mettre en orbite des satellites => il sera donc factuellement opérationnel lors du 5ième vol réalisé (normalement, si l’envoi du Starship Tanker ne se fait pas entre temps), peu importe qu’il soit récupéré ou non derrière : il agira juste comme un second étage non-réutilisable, comme pour toutes les fusées en service actuellement.

- Même sans récupération du 1er ou du second étage, la capacité de mise en orbite est de 100 tonnes à court terme.
[source : Eric Berger / Ars Technica] L’ensemble Booster + Starship coûte environ 100 millions de $ à produire actuellement (et vive l’acier. Booster étant ce qui coûte le plus cher, avec ses 33 Raptor)
En comparaison :
    
Nasa SLS (non récupérable) : 2,2 milliards par lancement, 95 tonnes en orbite basse, et 1 vol par an maximum.
    Vega C (quand elle n’explosera plus…) : 37 millions de $ à produire, 1,5 tonnes en orbite basse
 

Je vous laisse faire les ratio, sachant qu’on en discute sur la base d’une version Booster + Starship totalement non-récupérable pour le moment.
 

Voilà, c’est ça l’état actuel de la performance effective de SpaceX avec ce troisième vol. (1)

 

- En terme de cadence, SpaceX a d’ores et déjà 4 autres couples Booster + Starship assemblés et prêts à voler, ce qui se réalisera sur cette année normalement.
(je pense quand même que le prochain Starship distributeur de satellites va repasser au bricolage, je ne suis pas certain que la porte pez ait réellement donné satisfaction lors de ce test. Et des protections du Starship pour la séparation devront être rajoutées ou les existantes revues)
Et avec Falcon 9 qui dépassera les 140 vols cette année, quasiment qu’avec des Boosters ayant déjà été récupérés et donc reconditionnés, SpaceX a déjà prouvé sa capacité à monter en cadence.
 

Pour la suite, d’ici 2025, c’est la récupération du Booster qui fera économiquement la différence dans l’exploitation du Starship, en permettant d’économiser encore (au moins) 30 millions de $ par vol.
 


 

(1) ça signifie aussi qu’à partir du second vol ou le Starship aura mis en orbite des satellites, ces réalisations basculeront dans la section des réalisations opérationnelles.
On gardera ici tout ce qui a trait aux essais de récupération, mais surtout aux développements liés au programme Artemis (ravitaillements, développement de l’ascenseur, posé sur la Lune) et aux extensions vers Mars.
Oui, c’est une menace :laugh:

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Je pense qu' IFT 4 reprendrat le même programme, il manque un jalon par élément :

 

1) Le rallumage final pour le booster (sauf si c'est un manque de carbu , mais la sauce des grid fin, me dit que ça dois être autre chose en plus).

2) la maitrise d orientation du starship pour la phase de désorbitation.

 

(Ce qui empêche pas SpaceX, de rajouter des surprises a valider ...)

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il y a 36 minutes, anthoemt a dit :

2) la maitrise d orientation du starship pour la phase de désorbitation.


Même en amont, lors de la mise en orbite elle-même, pour ce que l’on a constaté lors de ce vol.
 

J’ai déjà dit ici qu’à mon avis, il y avait eu un souci à l’arrêt des Raptor du Starship, avec fuite de carburant, ce qui a créé ce roulis intempestif (mais encore une fois, je peux me tromper).
Après avoir revu les vidéos, ce roulis s’est considérablement accentué par la suite. On peut donc poser l’hypothèse que le test de transfert de carburant (qui devait transférer 10 tonnes de carburant, quand même) et/ou les tests d’ouverture et de fermeture de la porte pez ont accru significativement le roulis.

Une fois ce mouvement trop important, les Raptor ne pouvaient être rallumés avec la précision nécessaire et l’orientation en phase de désorbitation en a souffert fortement.

 

Cela m’amène à 2 points de réflexion, en attente de confirmation ou d’infirmation de la réalité des phénomènes :

- le roulis provoqué par le transfert de carburant et l’ouverture de la porte pez seront vite compensés, s’il y a eu un impact effectif : ce n’est jamais que de l’anticipation de la part du calculateur pour compenser ces effets avec les thrusters, et maintenant que le mouvement a été observé et mesuré, la prochaine itération de l’algorithme sera capable de le prendre en compte sans trop de soucis

- l’orientation lors de la désorbitation pourrait être plus compliquée à maintenir : on est là sur un engin significativement plus grand que la Navette Spatiale, avec également un poids à l’arrière plus conséquent du fait des Raptor. Si les Raptor en poussant peuvent aider à maintenir le Starship dans la bonne position, avec une aide accrue et très conséquente des thrusters en début de désorbitation, peut-être que la stabilisation de l’engin sera facilitée.
Mais ça ne sera pas nécessairement simple, et peut-être que l’on verra des ailerons redessinés pour améliorer leur efficacité en haute atmosphère et éviter un passage sur la tranche ou cul par dessus tête.

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https://www.reuters.com/technology/space/musks-spacex-is-building-spy-satellite-network-us-intelligence-agency-sources-2024-03-16/

SpaceX construit un réseau de centaines de satellites espions dans le cadre d'un contrat classifié avec une agence de renseignement américaine, ont déclaré cinq sources familières avec le programme, démontrant l'approfondissement des liens entre la société spatiale de l'entrepreneur milliardaire Elon Musk et les agences de sécurité nationale.

Le réseau est construit par l'unité commerciale Starshield de SpaceX dans le cadre d'un contrat de 1,8 milliard de dollars signé en 2021 avec le National Reconnaissance Office (NRO), une agence de renseignement qui gère des satellites d'espionnage, ont indiqué les sources.

Le rapport de Reuters révèle pour la première fois que le contrat de SpaceX porte sur un nouveau système d'espionnage puissant comprenant des centaines de satellites dotés de capacités d'imagerie de la Terre et pouvant fonctionner en essaim sur des orbites basses, et que l'agence d'espionnage avec laquelle l'entreprise de Musk travaille est le NRO.
Reuters n'a pas été en mesure de déterminer quand le nouveau réseau de satellites entrerait en service et n'a pas pu établir quelles autres entreprises font partie du programme avec leurs propres contrats.

SpaceX, le plus grand opérateur de satellites au monde, n'a pas répondu à plusieurs demandes de commentaires sur le contrat, son rôle dans celui-ci et les détails sur les lancements de satellites. Le Pentagone a transmis une demande de commentaire au NRO et à SpaceX.
Dans un communiqué, le NRO a reconnu sa mission de développer un système satellitaire sophistiqué et ses partenariats avec d'autres agences gouvernementales, des entreprises, des institutions de recherche et des nations, mais a refusé de commenter les conclusions de Reuters sur l'étendue de l'implication de SpaceX dans l'effort.

"Le National Reconnaissance Office développe le système spatial de renseignement, de surveillance et de reconnaissance le plus performant, le plus diversifié et le plus résistant que le monde ait jamais connu", a déclaré un porte-parole.
Les satellites peuvent suivre des cibles au sol et partager ces données avec les services de renseignement et les responsables militaires américains, ont indiqué les sources. En principe, cela permettrait au gouvernement américain de capturer rapidement des images continues d'activités au sol presque partout dans le monde, afin d'aider les services de renseignement et les opérations militaires, ont-elles ajouté.

Une douzaine de prototypes ont été lancés depuis 2020, parmi d'autres satellites sur les fusées Falcon 9 de SpaceX, ont indiqué trois des sources.
Une base de données du gouvernement américain sur les objets en orbite montre que plusieurs missions de SpaceX ont déployé des satellites que ni l'entreprise ni le gouvernement n'ont jamais reconnus. Deux sources ont confirmé qu'il s'agissait de prototypes pour le réseau Starshield.

Toutes les sources ont demandé à rester anonymes car elles n'étaient pas autorisées à discuter du programme du gouvernement américain.
Le Pentagone est déjà un gros client de SpaceX, qui utilise ses fusées Falcon 9 pour lancer des charges utiles militaires dans l'espace. Le premier prototype de satellite Starshield, lancé en 2020, faisait partie d'un contrat distinct d'environ 200 millions de dollars qui a aidé SpaceX à se positionner pour le contrat ultérieur de 1,8 milliard de dollars, a déclaré l'une des sources.
Le réseau Starshield prévu est distinct de Starlink, la constellation commerciale à large bande de SpaceX, qui compte environ 5 500 satellites dans l'espace pour fournir un accès Internet quasi mondial aux consommateurs, aux entreprises et aux agences gouvernementales.
La constellation classifiée de satellites espions représente l'une des capacités spatiales les plus recherchées par le gouvernement américain, car elle est conçue pour offrir la couverture la plus persistante, la plus omniprésente et la plus rapide des activités sur Terre.
"Personne ne peut se cacher", a déclaré l'une des sources au sujet de la capacité potentielle du système, en décrivant la portée du réseau.

Le réseau est également destiné à étendre considérablement les capacités de télédétection du gouvernement américain et sera composé de grands satellites dotés de capteurs d'imagerie, ainsi que d'un plus grand nombre de satellites relais qui transmettent les données d'imagerie et d'autres communications à travers le réseau à l'aide de lasers intersatellites, ont indiqué deux des sources.
Le NRO comprend du personnel de l'US Space Force et de la CIA et fournit des images satellites classifiées au Pentagone et à d'autres agences de renseignement.
Les satellites espions abriteront des capteurs fournis par une autre société, ont indiqué trois des sources.

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Sous toute réserve.
Plusieurs simulations des mouvements du Starship lors de sa rentrée atmosphérique circulent actuellement, sur la base des images vues en temps réel.


J’en poste une ci-dessous pour sa valeur illustrative. Notons quand même qu’aucune n’est officielle ni n’émane de SpaceX actuellement.


 

Je rajoute une courbe comparative des 3 Boosters, étant entendu que pour le 1er vol, B7 était mal en point avant même son lancement… et ça ne s’est pas arrangé, évidemment :

 

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Quelques informations significatives parues ce jour :

 

Lorq d’une conférence, la Présidente de SpaceX a déclaré que SpaceX serait prêt pour réaliser le quatrième vol de test d’ici 6 semaines.
Par ailleurs, aucun satellite ne serait déployé lors de celui-ci.
SpaceX continue de revoir les datas du troisième vol.

 

Les objectifs pour 2024 concernant Starship sont :
- d’atteindre l’orbite
- déployer des satellites
- récupérer les 2 étages


 

Une des conclusions premières à en tirer est que le fonctionnement de la porte pez n’a effectivement pas été nominal, et peut-être que le roulis constaté nécessitera plus de travail pour être proprement contré.
 

 

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… Vraiment étonnant le dysfonctionnement de cette porte « PEZ ». A priori, il y a juste deux vérins (hydreau ou élec) avec une cinématique assez « simple » et mis à part le roulis engendré par la fuite de gaz, j’avoue ne pas comprendre le problème. 

Par contre, effectivement, la maîtrise de la conduite du Starship lors de sa prochaine rentrée devra être aux petits oignons … Là, c’était carnage !

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il y a 32 minutes, Ardachès a dit :

… Vraiment étonnant le dysfonctionnement de cette porte « PEZ ». A priori, il y a juste deux vérins (hydreau ou élec) avec une cinématique assez « simple » et mis à part le roulis engendré par la fuite de gaz, j’avoue ne pas comprendre le problème. 

Par contre, effectivement, la maîtrise de la conduite du Starship lors de sa prochaine rentrée devra être aux petits oignons … Là, c’était carnage !

Peut etre que la porte a subit des contraintes structurelles dut aux efforts mécanique et thermodynamiques lors du vol...

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Il y a 9 heures, Ronfly a dit :

Peut etre que la porte a subit des contraintes structurelles dut aux efforts mécanique et thermodynamiques lors du vol...

… Oui, tu as vraisemblablement raison … Figure-toi que j’y ai pensé ce matin, en me levant, et en y rajoutant le roulis on a sans doute une bonne combinaison pour empêcher le système de fonctionner nominalement.

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Il y a 7 heures, Ardachès a dit :

… Oui, tu as vraisemblablement raison … Figure-toi que j’y ai pensé ce matin, en me levant, et en y rajoutant le roulis on a sans doute une bonne combinaison pour empêcher le système de fonctionner nominalement.

Ça va jusqu'à te travailler la nuit... Fait gaffe ;). Sinon ça semble une raison plutôt valable surtout pour une première mission sans retex. A voir.

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Passons un peu de temps sur la porte.
J’’avais vu cette synthèse de TheRingWatchers, mais je n’avais pas repris les informations ici.
Je le fais maintenant puisque vous avez des questions sur le sujet https://ringwatchers.com/article/pez-door-flight-3

Séquence :
"

T+00:11:58 - "La porte Pez s'ouvre" est annoncé.
T+00:16:09 - La porte s'ouvre visiblement en direct.
T+00:17:00 environ - La porte s'arrête peut-être de bouger, elle n'est pas complètement ouverte.
T+00:26:50 - Nous voyons à nouveau la porte, toujours dans la même position, mais une longue période s'est écoulée.
T+00:28:10 - La porte n'a manifestement pas bougé.
T+00:28:30 - "Test Pez réalisé, la porte se referme" est annoncé, et commence visiblement à se fermer.
T+00:28:54 - La porte se referme à nouveau.
T+00:30:18 - Un événement inconnu se produit, faisant trembler la porte de manière agressive, et les images en direct de l'intérieur sont coupées pour la dernière fois.


Lorsque la porte a commencé à s'ouvrir, il était très intéressant de voir les vapeurs à l'intérieur de la soute commencer immédiatement à s'échapper dans le vide de l'espace, tandis que la lumière extérieure brillante révélait que la porte se déplaçait lentement.

En faisant défiler le webcast, on peut observer les pistons qui tirent la porte vers le haut très lentement, jusqu'à ce qu'ils s'arrêtent brusquement. On ne sait pas si la porte se déplace au-delà de ce point avant que la séquence de fermeture ne commence, car il s'écoule près de 10 minutes sans que l'on voie la porte après ce point.
"

=> la porte semble ne s'être ouverte qu'à moitié.
 

À T+00:30:18 :
"Nous ne savons pas vraiment ce qui s'est passé, mais il semble qu'un actionneur se soit déplacé d'un côté avant l'autre, de sorte qu'il y a pu y avoir un problème, que la porte a pu se bloquer ou se détacher."

Bref, on se sait même pas si elle était réellement fermée lors de la tentative de rentrée atmosphérique.

Ce que l’on a pu constater : les renforts abondants de la porte et autour ont permis à Starship de passer MaxQ sans encombre.
La cinématique des vérins a posé problème, qu’il s’agisse du système lui-même, de la gestion de la pression interne du vaisseau en sub-orbital, ou bien de la solution mise en oeuvre pour éviter un défaut structurel à MaxQ qui s’est finalement révélée problématique une fois en micro-gravité.
Dans tous les cas, le système sera a minima ajusté maintenant que SpaceX a des datas pour cela, et peut-être (sans doute) que le prochain Starship devra recevoir quelques modifications avant le quatrième vol.
SpaceX est suffisamment peu satisfait de son système pour le moment qu’il en a purement exclu une tentative de distribution de satellites pour celui-ci.


 

En attendant, vous reprendrez bien un peu de télémétrie du Booster ?

 

Sinon, visiblement, SpaceX en a eu assez de sa protection temporaire du QDArm. Allez hop, déshabillage complet !


Et à part ça, le système de déluge d’eau, on (n’) en parle (plus) ?
Encore une fois, SpaceX vient de répondre de façon innovante à un problème, et ça fonctionne tellement bien qu’au second essai en conditions réelles de celui-ci, ce n’est déjà même plus un sujet…

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Le S29 semble devoir être le prochain Starship à prendre les airs, lors du quatrième vol de test.
 

Il vient d’être amené sur le pad suborbital B pour des tests notamment de tir statique la semaine prochaine.
 

 

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Et 1 premier tir statique du S29, 1.
Pleine puissance des 6 Raptor, pendant toute la durée attendue, en prévision du quatrième test de vol intégré du Starship.

 

 

Pour revenir sur le S28 et sa claire détermination à ne pas se stabiliser, il semblerait qu’un des thrusters de nez du Starship n’ait pas fonctionné. Si cela est confirmé par SpaceX, cela n’aura forcément pas aidé même si ce n’est qu‘un facteur parmi d’autres au final.
Ce ne serait de toutes façons manifestement pas un souci insurmontable, ni même une réelle inquiétude en soi a priori.

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Il devrait y avoir un autre tir statique aujourd’hui pour S29.
Certains rêvent d’un test avec ré-allumage dans la foulée.

Au-delà de ça, un tir statique d’un Starship, ça devient trop banal et plus assez impressionnant pour encore intéresser qui que ce soit (moi le 1er).
On va bientôt les ranger dans la case routinière “tir statique Falcon 9“ pré-vol.

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Ce test-ci aura en soi été un peu plus intéressant, parce qu’il représente la configuration de rallumage d’un Raptor en orbite.
 

Il n’y a donc eu qu’un seul Raptor allumé, alimenté par le réservoir de tête du Starship.

 

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… Après avoir visionné quelques vidéos on comprend pourquoi SpaceX ne se « presse » pas trop pour ériger ses 2 autres tours de lancement.

Effectivement, encore beaucoup d’interventions, vérifications et de réparations sur Mechazilla. On peu aisément le comprendre, les 33 Raptor ne sont pas avare en son et lumière.

Il s’agit bien, pour cette tour, d’un prototype et à chaque lancement, les ingénieurs engrangent des enseignements et doivent corriger « en temps réel » le design des petites sœurs.

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Lors d’un long reportage de présentation des essais des nouvelles combinaisons de la Nasa, notamment en bassin d’entraînement, quelques images sont apparues des maquettes du HLS, qui permettent de se rendre un petit peu mieux compte des dimensions relativement démesurées du Starship lunaire, comparativement aux précédents atterrisseurs.
 

La plateforme en demi-cercle représente une bonne partie du HLS, tandis que l’endroit où se trouvent les astronautes représente le sas :

 

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Il y a 3 heures, TarpTent a dit :

Lors d’un long reportage de présentation des essais des nouvelles combinaisons de la Nasa, notamment en bassin d’entraînement, quelques images sont apparues des maquettes du HLS, qui permettent de se rendre un petit peu mieux compte des dimensions relativement démesurées du Starship lunaire, comparativement aux précédents atterrisseurs.
 

La plateforme en demi-cercle représente une bonne partie du HLS, tandis que l’endroit où se trouvent les astronautes représente le sas :

 

Clairement, on est dans Star Wars avec ce HLS... Impressionnant le volume utile. Quant on pense qu'il fera 1300T sur la balance contre 14,5T pour un LEM... délirant l'engin et ce monsieur Musk, mais kiffant. Vivement.

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