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+ de régiment ou plutôt de "gros" régiment ?


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voilà ,avec se qui se dit en se moment ,on voit qu'on veut réduire le format de l'armée de terre .

on veut faire des économies ,mais on a besoin d'une masse de combattants .

avec le rififi à la 11°BP ,ou chacun tente de sauvé les meubles j'ai l'impression ,je me demandais si à court terme on va avoir pas mal de dissolution de régiments au niveau de la BP à terme ,le côté aéroporté ayant ses limites .

pour le moment ,les chefs de corps veulent sauver les meubles en proposant "leur" régiment pour passé à la BFST ...sauf qu'il faut-être réaliste le 1°RHP à plus de proximité avec un régiment de cavalerie légère sur blindé que le 2°RH qui est passé en mode renseignement depuis longtemps ...

du point de vue proximité avec les FS ,les GCP sont pas seulement issu du RHP ,donc j'ai un gros doute sur la mutation du RHP à la BFST ...

perso je pense que sa finira en régiment appui de la BFST ,un régiment inter-arme type rangers qui aura les traditions et spécificité dans chaque compagnie des anciens régiments de la BP ...

car pour avoir le niveau ,va y avoir de la sélection au sein de ses régiments qui n'auront plus que l'effectif d'une compagnie au final ...

donc on va se retrouvé avec une masse de soldats non "apte" au job de FS .

on veut réduire le nombre de régiments "classique" dans l'armée de terre ,mais peut-être pas forcément le nombres de combattants .

avec les effectifs restant de la 11°BP ,on peu peut-être pensé que sa pourrait fournir une compagnie supplémentaire dans pas mal de régiment .

car il ne faut pas se leurré ,physiquement chez les MDR de la 11°BP s'est pareil que pour un régiment non TAP ,enfin en terme des sélections au recrutement (perso je trouve les chasseurs Alpin plus "physique" ) ...

donc si on gonfle les régiments classique d'une compagnie supplémentaire ,on gagne en terme de pions tactique .

du point de vue économie on réduit pas mal de choses ,car plusieurs régiment s'est tout une organisation et de moyens à mettre en place ,que se soit dans le soutien de l'hommes (RH ,nourriture ,gestions des matériels ,etc ,casernement et se qui tourne autour en terme de dépense  ...) .

pour la gestion humaine ,sa réduit de facto un nombres important de poste "bureau" par exemple .

je pense qu'une compagnie de plus par régiment et moins de régiments (vous allez croire que j'ai une dent contre la 11°BP ,mais je ne fais que constaté que sa sent le chant du cygne pour cette Brigade au vu des infos qui tombent ...) ,s'est pas disons une anomalie .

enfin voilà en espérant ne pas être confus  :P

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donc si on gonfle les régiments classique d'une compagnie supplémentaire ,on gagne en terme de pions tactique .

Mais sont-ce des pions tactiques pertinents? Y'a t-il en dehors de l'infanterie suffisamment de moyens soutien/appui pour accompagner un nombre de "pions tactiques" accru? Y'en a t-il déjà assez pour aujourd'hui?

On souffre avant tout justement de ne pas avoir de "pions tactiques" de référence à partir desquels on pourrait réfléchir et dimensionner l'armée pour un nombre réduit de grands scénaris génériques représentant les "familles" ou types d'interventions probables avec la capacité pertinente pour les réaliser. A part le schéma le plus irréaliste, à savoir la "grande" intervention avec un corps d'armée, auquel on pourrait plus ou moins répondre en sortant le ban et l'arrière ban des grattages de fonds de tiroirs, en achetant en urgence les mille et un petits trucs (et moins petits) qui manquent.... On a pas vraiment de cahier des charges en fonction desquels on fait plus que réfléchir et à partir desquels on dimensionne des volumes de forces "complets", des pions tactiques réellement disponibles avec tout leur environnement.

Rien que sur ce sujet de l'infanterie, sait-on même ce qu'il faudrait pour disposer de compagnies interarmes et bataillons interarmes (3 ou 4 CC sur le terrain?) à format pertinent, et combien devraient être disponibles sans préavis ou sur court préavis? Combien d'hommes par groupe de combat, combien de groupes de combat par section, combien de sections par compagnies seraient pertinents (vu que là ce sont les trucs les plus incompressibles et moins susceptibles d'être convertis en legos pour OPEX bricolées)? Faut-il une seule structure administrative de RI par brigade (géographiquement l'échelon de gestion de référence) avec plusieurs bataillons eux totalement dédiés à l'opérationnel?

J'ai souvent l'impression qu'on n'est pas foutus de définir ce qui est pertinent, à tel point que seul l'Afghanistan semble avoir créé un début de RETEX d'un niveau un peu conséquent, mais qu'il s'agit d'une expérience unique qui sera mise à l'écart par les organisateurs empressés de retourner à leurs habitudes et conforts personnels plus liés aux soucis internes de chapelles.

vous allez croire que j'ai une dent contre la 11°BP

Du tout, mais alors si les guéguerres de drapeaux sont un facteur réel, il faut d'abord supprimer le 3ème ou le 8ème RPIMA (pourquoi la colo aurait-elle un truc en double :lol:?) pour n'avoir qu'un seul RPIMA "conventionnel" ;) et préserver la variété des couleurs de bérets :-[. Et les hommes de l'unité victime sont disséminés ailleurs.... Je déconne, mais de toute façon, la BP telle qu'elle est ne sert à rien et coûte cher: autant en faire une brigade d'infanterie légère qui dit son nom, et en sortir un ou deux petits (genre 2 CC chacuns) bataillons interarmes "complets" qui seraient eux paras et "air assaut" (façon air cav), voire pleinement intégrés avec un RHC dédié.

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Mais sont-ce des pions tactiques pertinents? Y'a t-il en dehors de l'infanterie suffisamment de moyens soutien/appui pour accompagner un nombre de "pions tactiques" accru? Y'en a t-il déjà assez pour aujourd'hui?

On souffre avant tout justement de ne pas avoir de "pions tactiques" de référence à partir desquels on pourrait réfléchir et dimensionner l'armée pour un nombre réduit de grands scénaris génériques représentant les "familles" ou types d'interventions probables avec la capacité pertinente pour les réaliser. A part le schéma le plus irréaliste, à savoir la "grande" intervention avec un corps d'armée, auquel on pourrait plus ou moins répondre en sortant le ban et l'arrière ban des grattages de fonds de tiroirs, en achetant en urgence les mille et un petits trucs (et moins petits) qui manquent.... On a pas vraiment de cahier des charges en fonction desquels on fait plus que réfléchir et à partir desquels on dimensionne des volumes de forces "complets", des pions tactiques réellement disponibles avec tout leur environnement.

Rien que sur ce sujet de l'infanterie, sait-on même ce qu'il faudrait pour disposer de compagnies interarmes et bataillons interarmes (3 ou 4 CC sur le terrain?) à format pertinent, et combien devraient être disponibles sans préavis ou sur court préavis? Combien d'hommes par groupe de combat, combien de groupes de combat par section, combien de sections par compagnies seraient pertinents (vu que là ce sont les trucs les plus incompressibles et moins susceptibles d'être convertis en legos pour OPEX bricolées)? Faut-il une seule structure administrative de RI par brigade (géographiquement l'échelon de gestion de référence) avec plusieurs bataillons eux totalement dédiés à l'opérationnel?

J'ai souvent l'impression qu'on n'est pas foutus de définir ce qui est pertinent, à tel point que seul l'Afghanistan semble avoir créé un début de RETEX d'un niveau un peu conséquent, mais qu'il s'agit d'une expérience unique qui sera mise à l'écart par les organisateurs empressés de retourner à leurs habitudes et conforts personnels plus liés aux soucis internes de chapelles.

s'est intéressant .

perso ,je pense que l'on peu réduire les chapelle .

on arrive à faire de l'inter-arme avec les battle group en Afgha ,et sa avec des unités issu d'une même brigade donc s'est que l'on peu le faire à plus grande échelle s'est à dire avec une Brigade complète (se qui n'est pas le cas en Afgha vu les effectifs des GTIA ) .

pour les chapelles ,je pense qu'avec la mécanisation,donc le terme de cavalerie n'est plus de mise ,et donc que celle-ci n'est plus une Arme mais une spécialité .

je redéfinirais les Armes comme ceux-ci :

un Corps qui a des spécialités cavalerie ,infanterie ,génie et artillerie et cela sous le même insigne .

chaque insigne à sa particularité :

ancre pour l'amphibie .

grenadier blindé ( insigne à définir ) .*

infanterie de ligne (insigne à définir ).*

troupe de montagne .

*au sein de ses armes ,les artilleurs et sapeur ,cavalier  aurait le même insigne que les fantassins dans se brigades infanterie de "ligne" .

Du tout, mais alors si les guéguerres de drapeaux sont un facteur réel, il faut d'abord supprimer le 3ème ou le 8ème RPIMA (pourquoi la colo aurait-elle un truc en double :lol:?) pour n'avoir qu'un seul RPIMA "conventionnel" ;) et préserver la variété des couleurs de bérets :-[. Et les hommes de l'unité victime sont disséminés ailleurs.... Je déconne, mais de toute façon, la BP telle qu'elle est ne sert à rien et coûte cher: autant en faire une brigade d'infanterie légère qui dit son nom, et en sortir un ou deux petits (genre 2 CC chacuns) bataillons interarmes "complets" qui seraient eux paras et "air assaut" (façon air cav), voire pleinement intégrés avec un RHC dédié.

+1

perso ,je suis assez du même avis en se qui concerne les RPIMa et ,et en se qui concerne les TDM je serais plutôt partisan de revenir à la source ,l'amphibie (donc plus de Paras ).

car avec une armée professionnelle qui tourne en OM ,le côté Colo qui était la marque des TDM n'est plus forcément de mise .

donc étant de Marine" à la source ,on est passé Colonial avec l'histoire de la France (et donc avec un autres esprit ),mais à l'heure actuel on doit revenir sur le "de Marine" .

personnellement ,je pense que la rationalisation serait pour moi très simple en se qui concerne les TDM :

une seul Brigade amphibie ,la 9°BLBMa ,fermeture de la 6°BLB mais on récupère le 21°RIMa et le 3°RAMa ,et création d'un régiment génie TDM basé pas loin de ses deux régiments (ou comme pour le 6°RG qui est devenu "sapeur de Marine " car très bien intégré à la 9°BLBMa ) .on y intègre le 1°RIMa comme cavalier et mutation sur la façade méditerranéenne .

comme sa on garde des unités IM sur chaque façade maritime .

on se met au travail dans le domaine amphibie de manière sérieuse ,avec se côté médian par rapport aux US et Brits .

donc je vois aussi la fin de la Légion ,qui il me semble n'a plus sa "place" dans une armée professionnelle .

pour les brigades blindés ,et bien on passe en format "panzer grenadier" .

dans ma vision des choses ,on a une capacité amphibie via les TDM ,une capacité montagne avec nos chasseurs Alpin ,une capacité lourde avec l'optique brigade de "grenadier Blindé" (char lourd et VBCI) ,et les brigades infanterie (sur VBMR ) et un régiment appui (gardant les savoir-faire aéroporté ) des forces spéciales remplaçant une 11°BP sur dimensionné .

je pense que s'est sa le truc ,il faut définir les obstacles naturel que l'on va rencontré et qui peu le géré en étant en pointe ,et la nature de l'ennemi qui permettra d'avoir un format cohérent .

je reviens  ,un truc à faire  =)

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J'ai souvent l'impression qu'on n'est pas foutus de définir ce qui est pertinent, à tel point que seul l'Afghanistan semble avoir créé un début de RETEX d'un niveau un peu conséquent, mais qu'il s'agit d'une expérience unique qui sera mise à l'écart par les organisateurs empressés de retourner à leurs habitudes et conforts personnels plus liés aux soucis internes de chapelles.

L'Afghanistan est la première vrai guerre que nous menons depuis 1962.

Pour le reste, je te suis complètement. Très vite, il sera dit que c'est un cas particulier.

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Avec un GTIA du type de celui de la Kapisa, je crois qu'on a un concept réutilisable pour toutes sortes de conflits. Il vaut mieux multiplier le nombre de GTIA du volume d'un bataillon plutôt que de créer une structure plus grande qui serait au final moins mobile.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupement_tactique_interarmes_de_Kapisa

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Et oui, un échelon interarme organique pertinent serait celui-là (quoique la compagnie interarme aussi), mais ça impliquerait des structures différentes, sans doute aussi un volume de forces différents, une densité de moyens "chers" et dimensionnants accrue (12 bataillons interarmes en réclament plus que 4 brigades interarmes à 3 bataillons d'infanterie, par exemple).... Et beaucoup de chapelles qui devraient se remettre en question, sans même parler de l'organisation territoriale et de la valse des unités qui va avec (obligeant à certaines concentrations, donc moins de communes avec leur petite unité qui rapporte quelques dizaines de millions d'euros par an).... Autant dire qu'il faudrait un gouvernement qui s'intéresse aux questions de défense :-[.

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donc je vois aussi la fin de la Légion ,qui il me semble n'a plus sa "place" dans une armée professionnelle .

Hum. Si au fond. Son recrutement étranger est un plus dans un pays en crise de vocation par absence de perspective de carrière militaire valorisante. La basculer dans l'infanterie de marine que tu envisages et étendre son recrutement étranger à l'IM justement ? Un peu sur le modèle de l'USMC pour le coup.

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Hum. Si au fond. Son recrutement étranger est un plus dans un pays en crise de vocation par absence de perspective de carrière militaire valorisante. La basculer dans l'infanterie de marine que tu envisages et étendre son recrutement étranger à l'IM justement ? Un peu sur le modèle de l'USMC pour le coup.

disons que recruter des étrangers chez les US sa se fait aussi dans l'Army ,mais ses étrangers sont noyé dans la masse ,donc sa reste une goutte d'eau je pense .

pour l'IM en France ,je pense que sa ne le ferait pas car il y a toujours eu du monde (Français ) au portail pour servir dans se type d'unité .

pas quel fasse + que d'autres unités de l'armée de Terre ,mais il y a toujours un reste de "prestige" dans l'imaginaire populaire je dirais en se qui concerne l'IM.

et puis avec une remise en question ,en partant dans une spécificité amphibie + sérieuse il pourrait y avoir une évolution  "moderne" de l'image je pense pour l'IM .

et puis en terme de vocation ,à l'heure actuel il y a du monde au portail pour le recrutement dans l'armée de Terre (apparemment les unités d'infanterie sont très sollicité ) ,sans compté qu'avec la crise ,même si on le ressent moins en France ,sa pousse quand même des personnes à rejoindre l'armée .

à la rigueur un système commonwealth qui permet de recruté comme le font les Brits ,mais aussi les Espagnols qui autorise aux citoyens des ex colonie d'Amérique latine à servir dans toute l'armée Espagnole (la Légion Espagnole n'a jamais disons eu beaucoup d'étranger dans ses rangs ,s'est surtout des nationaux qui y servait ) .

quoi que avec la crise en Espagne ,je pense qu'on doit moins recruté les anciens "colonisés" je pense ,car en Espagne tant que tout allé bien ,s'était dur pour trouvé des volontaires pour une armée se professionnalisant ,à se jour je pense que non au vu de la crise .

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"Ha non pas touche au 1er RHP c'est la moitié du PIB de ma ville natale"  (l'autre moitié étant le 35e RAP)

Entendu par un camarade de ma ville  ;)

ça devrait répondre à la question. La carte militaire actuelle sert à l'aménagement du territoire. Pas à sa défense.

Déjà des régiments qui comptent 1000 péquins ça fait doucement rigoler mais bon. Plus de régiments permet de distribuer à plus d'endroits que de tout "centraliser" (forcément sur une grosse métropole déjà avantagée par rapport au bled moyen d'à coté.

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Juste comme ça rapidement.

Je trouve au contraire que l’expérience afghane montre que même les GTIA comme celle déployés en Afghanistan sont beaucoup trop réduite pour faire autre chose que « tenir » une zone, et son incapable de remplir un nombre plus varié de missions. A la limite, ça pourrait être supplée en l’intégrant comme unité élémentaire d’un ensemble plus grand ou elles seraient articulé avec  2,3 ou 4 unités autres du même genre.

Et encore, même dans cette configuration, je trouve que les effectifs sont un peu justes pour des rotations potables sans sur-sollicité les hommes sur la longue durée et faire fonctionner l’organisation en flux tendue, sans marge de manœuvre, sans réserve.

Il faudrait plus d’hommes, à la louche quelque chose comme le double, quitte à réduire le nombre d’unité.

C’est en tout comme ça qu’un béotien de la chose « sens » le problème.

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Il faudrait plus d’hommes, à la louche quelque chose comme le double, quitte à réduire le nombre d’unité.

Le problème est qu'il faut aussi plus d'unités prêtes à l'emploi, sous peine d'être la Hollande en plus grand (ou le Danemark, ou la Norvège, ou le Canada....), fournissant des battlegroups comme les USA les aiment, mais très peu (et encore, ce sont quand même de petits battlegroups). Si ce sont des pions géopolitiques, qui permettent de peser, en même temps que des pions opératifs, qui permettent de mener des campagnes, il en faut quand même un certain nombre. Réduire le nombre d'unités pour avoir les groupements tip tops (et encore rien n'est moins sûr, vu l'incapacité occidentale à gérer ces conflits et à les penser) qui collent aux normes OTAN, ça gagne quoi, à part un susucre des Américains et une tatape sur la tête? C'est pas comme ça qu'on peut peser, même dans une campagne aux ambitions réduites.

les GTIA comme celle déployés en Afghanistan sont beaucoup trop réduite pour faire autre chose que « tenir » une zone

En même temps, c'est pas justement ce qui leur est demandé, et ce pourquoi ils ont été composés :lol:?

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Le problème est qu'il faut aussi plus d'unités prêtes à l'emploi, sous peine d'être la Hollande en plus grand (ou le Danemark, ou la Norvège, ou le Canada....), fournissant des battlegroups comme les USA les aiment, mais très peu (et encore, ce sont quand même de petits battlegroups). Si ce sont des pions géopolitiques, qui permettent de peser, en même temps que des pions opératifs, qui permettent de mener des campagnes, il en faut quand même un certain nombre. Réduire le nombre d'unités pour avoir les groupements tip tops (et encore rien n'est moins sûr, vu l'incapacité occidentale à gérer ces conflits et à les penser) qui collent aux normes OTAN, ça gagne quoi, à part un susucre des Américains et une tatape sur la tête? C'est pas comme ça qu'on peut peser, même dans une campagne aux ambitions réduites.

...

Il faut en effet une masse de manœuvre minimal, et dans la manipulation des termes de l’équation la solution s’imposent d’elle-même pour avoir des unités « lourde » en effectif et assez desdites unités : plus d’hommes, des hommes et encore des hommes au global; un nombre significatif de personnel combattant.

Il est certainement possible d’atteindre partiellement ce but en changeant la proportion « masse/muscle », en allégeant train logistique/empreinte au sol et les appuies mais ça a ses limites et là encore un arbitrage s’impose en faveur du nombre de soldats au détriment de l’équipement –les gros programmes s’entend-. Il n’est pas vraiment possible de couper la poire en deux, ou plutôt  seulement en deux morceaux de tailles très inégales ; et c’est ceux a quoi je suis favorable.

Pour peser il faut moins résonner en termes de nombre au risque de tourner en rond et finir par faire des choix par défaut, qu’intégrer ce paramètre dans la question fondamental : « une armée pour quelle mission ?», et au-delà du savoir faire à proposer aux décideurs politique .

Un exemple : avoir été capable de faire de Kaboul et ses environs, et éventuellement pour les autres grandes villes d’authentiques sanctuaire, même après le départ de l’OTAN n’est pas une façon de peser de façon beaucoup plus forte dans ses relations transatlantique avec le tonton d’Amérique pour le multiple de sont poids réelle que de pacifier le temps de sa présence une province ?

J’estime que les armées qui font du COIN n’ont pas besoin de matérielles plus sophistiqués que nécessaire face à un adversaire qui n’en n’a pas lui non plus, si la dite capacité ne génère pas de gap important  voir à son lot d’inconvénient comme par exemple les bombardements ; cela  peut constituer une perte capacitaire face aux autres armée conventionnelle par comparaison, voir faire un peu « clodo » sur les bords ; mais si un équipements quel qu’il soit ne sert pas la mission global et ne s’insère pas harmonieusement dans la méthodologie choisie, peut et doit être négligé.

En fait on en revient a nos multiples discutions sur le méta sujet  d’une force armée centré sur le renforcement du rôle, missions, et capacités de l’infanterie.

A titre plus personnelle, à force de fréquenter AD et d’approfondir mes connaissances sur le sujet j’en suis venue à virer de bord pour passer du fanboy qui ne jurais que par le SR-71, les F-15 et les Mig-29 au  traditionaliste « la bite et du couteau » et  adepte du « à la louche depuis 1780 ». J’avoue même d’avoir acquis des opinions assez radicales sur le sujet.

En même temps, c'est pas justement ce qui leur est demandé, et ce pourquoi ils ont été composés :lol:?

Et c’est le fond du problème : c’est insuffisant. Insuffisant là ou plus que « tenir » il faudrait « maitriser ». La facilité d’une posture fondamentale qui se condamne à la pure défensive se prive d’un levier plus  fondamental encore qui est celui d’être un belligérant avec laquelle il faut compter. D’ailleurs les meilleurs défensive sont toujours actives, dynamiques, offensives !

S’Il n’est pas possible de gagner, au minimum imposer un statuquo durable, ou encore moins que certaines de ses exigences soit prise en compte ; mais éviter la défaite totale, ou l’engloutissement démesuré et durable de ressources par rapport à l’objectif.

De moins point de vue, plus que la limite de l’outil –toujours réformable- il y surtout un vraie défaut de raisonnement. Comprendre qu’une guerre n’est pas seulement « total » par l’ampleur des moyens mobilisés mais bien par ses multiplies dimensions. A la limite je dirais que les Talibans sont ceux qui ont le mieux compris Clausewitz dans la lettre. 

Pour en revenir à l’aspect plus technique du thread je pense que les régiments comme structure d’encadrement (administration, entrainement, promotions, ventilation des spécialités*, attribution organiques de matériel lourd – très important pour moi*-, soutient et logistique) pour les bataillons/compagnies/sections.

Ces dernières n’auraient pas forcement vocation à être utilisé comme unités combattantes par cet échelon mais plutôt par les GTIA ; les régiments servant plutôt de « support », d’échelons de rationalisation….j’avoue ne pas savoir comment mieux présenter la chose et être plus clair.

Je précise que je considère implicitement l’effectif dans mon esprit des régiments comme nettement plus lourd qu’aujourd’hui, au pif les 2/3 ou ¾ des GTIA  actuelle.

* :je considère qu’il n’est pas beaucoup possible d’attribuer matérielles complexes et spécialistes beaucoup plus bas : la polyvalence à ses limites, et un minimum de besoin d’homogénéité doit être maintenue, en sus de garder une souplesse dans l’affectation des ressource et le fait que l’échelons régimentaire est une bonne échelle pour l’initiation à l’interarmes -sans être complète toutefois-.

Si un moment vous trouvez que je délire, n’ayez aucune crainte, c’est même de un devoir pour vous d’aider un ami, votre camarade de forum. :oops:  je résisterais, vous filerais des gnons, mais si la camisole est la meilleur solution, faut pas hésiter…

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titre plus personnelle, à force de fréquenter AD et d’approfondir mes connaissances sur le sujet j’en suis venue à virer de bord pour passer du fanboy qui ne jurais que par le SR-71, les F-15 et les Mig-29 au  traditionaliste « la bite et du couteau » et  adepte du « à la louche depuis 1780 ». J’avoue même d’avoir acquis des opinions assez radicales sur le sujet.

Bienvenue au club :lol:. Ceci dit, on peut être radical dans ce courant, mais il ne faut pas être absolutiste en la matière: la logique fanboy techno a sa légitimité dans certains configurations stratégiques, notamment la guerre "symétrique" face à un adversaire concentré, étatique et d'un certain niveau de cohérence politique, de population et de développement économique. Bref, la "grande" guerre conventionnelle. L'importance de l'approche plus technocentrée (et notamment de l'arme aérienne) y reprend plus de droits. Evidemment, la probabilité de tels affrontements, surtout contre des clients réellement sérieux, est assez limitée pour ne pas dire très réduite.

Pour en revenir à l’aspect plus technique du thread je pense que les régiments comme structure d’encadrement (administration, entrainement, promotions, ventilation des spécialités*, attribution organiques de matériel lourd – très important pour moi*-, soutient et logistique) pour les bataillons/compagnies/sections.

Ces dernières n’auraient pas forcement vocation à être utilisé comme unités combattantes par cet échelon mais plutôt par les GTIA ; les régiments servant plutôt de « support », d’échelons de rationalisation….j’avoue ne pas savoir comment mieux présenter la chose et être plus clair.

La question va même plus loin pour moi puisque je suis de plus en plus fanboy d'unités interarmes organiques permanentes, ou à défaut, d'un niveau de préparation/battle-readiness infiniment plus grand d'unités d'infanterie avec des entraînements interarmes nettement plus fréquents avec des unités de manoeuvre (cavalerie), appui et soutien dimensionnées sur 2 ou 3 formats-types d'unités de déploiement. Dans les 2 cas, cela implique entre autres choses une proximité géographique accrue, une réorganisation dde nombre de types d'unités.... Autant dire que c'est un rêve, à moins que de grandes baffes dans la gueule soient prises et/ou que la nécessité financière conduise à des réflexions profondes sur la manière de faire mieux et plus avec autant ou moins, pas de faire seulement la même chose avec moins.

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Bienvenue au club :lol:. Ceci dit, on peut être radical dans ce courant, mais il ne faut pas être absolutiste en la matière: la logique fanboy techno a sa légitimité dans certains configurations stratégiques, notamment la guerre "symétrique" face à un adversaire concentré, étatique et d'un certain niveau de cohérence politique, de population et de développement économique. Bref, la "grande" guerre conventionnelle. L'importance de l'approche plus technocentrée (et notamment de l'arme aérienne) y reprend plus de droits. Evidemment, la probabilité de tels affrontements, surtout contre des clients réellement sérieux, est assez limitée pour ne pas dire très réduite.

Je plussoie camarade. Je me qualifierais moi-même de fanatique tiède, situé sur l’extrême centre de l’échiquier politique, et généralement aux idées biens arrêtés particulièrement mouvantes :lol: tant qu’une position est intelligemment argumentée je n’ai pas de grosse difficulté à me laisser convaincre et à changer d’opinion, ou à minima ça peu m’amener à douter et modérer mon avis ;)  .

La question va même plus loin pour moi puisque je suis de plus en plus fanboy d'unités interarmes organiques permanentes, ou à défaut, d'un niveau de préparation/battle-readiness infiniment plus grand d'unités d'infanterie avec des entraînements interarmes nettement plus fréquents avec des unités de manoeuvre (cavalerie), appui et soutien dimensionnées sur 2 ou 3 formats-types d'unités de déploiement    . Dans les 2 cas, cela implique entre autres choses une proximité géographique accrue, une réorganisation dde nombre de types d'unités.... Autant dire que c'est un rêve, à moins que de grandes baffes dans la gueule soient prises et/ou que la nécessité financière conduise à des réflexions profondes sur la manière de faire mieux et plus avec autant ou moins, pas de faire seulement la même chose avec moins.

Ah ! un nostalgique du Camp de Boulogne.

Tu dois penser a un model  fondé sur des « bases de défenses » regroupant plusieurs GTIA autour d’un pole spécialisé dans tel ou tel mission –assaut amphibie, désert/montagne..etc-, c’est ça ?

Ce que je pointe de mon coté est que des échelons comme l’échelons régimentaire  est peut être obsolète, voir certainement comme pion combattant, mais demeure utile pour encadrer les unités subalternes –typiquement les bataillons-  qui elle serait réellement engagé pour le combat. Un peu à l’image du lien légion-cohorte au milieu de l’Empire. Le régiment comme réservoir, structure de soutient et dépendance d’échelons peut être autonome à l’usage sur le champ de bataille, mais pas assez pour prétendre à l’autodétermination à l’échelle opérationnelle.

Idem dans mon esprit pour la division qui peut être recyclé comme un regroupement de brigades, ces derniers véritables pions élémentaires interarmes serait regroupé dans le système divisionnaire sorte de corps d’armée indépendant du XXIème  siècle.

A relire le post initial, je me sens comme légèrement hors sujet :-X 

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"Ha non pas touche au 1er RHP c'est la moitié du PIB de ma ville natale"  (l'autre moitié étant le 35e RAP)

Entendu par un camarade de ma ville  ;)

ça devrait répondre à la question. La carte militaire actuelle sert à l'aménagement du territoire. Pas à sa défense.

Déjà des régiments qui comptent 1000 péquins ça fait doucement rigoler mais bon. Plus de régiments permet de distribuer à plus d'endroits que de tout "centraliser" (forcément sur une grosse métropole déjà avantagée par rapport au bled moyen d'à coté.

ben perso ,vu se que l'on a démonté comme régiment par chez moi (y a plus rien en unité de combat ),je me dis quand même que le Sud est bien loti ...

maintenant ,le côté carte militaire et amménagement du territoire je suis d'accord ,et s'est pas le top ,enfin quand s'est pas équitable ...

après le choix de ville ,au lieu de la campagne sa dépend de la taille des villes car si on fait le point ,on a quand même pas mal de régiment en périphèrie de ville ,limite isolé en campagne dans l'Est ou ailleurs .

perso ,à terme la 11°BP n'existera plus ,les supers bons sélectionnaient rejoignant la brigade  FS (sur toute la BP ben l'équivalent d'un régiment "interarme" ,et le reste ben ira dans les régiments classique ).

si on regarde bien ,les brigades sont disposés de manière pas trop idiote ,la 9°BLBMa sur la côte atlantique ,la 6°BLB côté méditerrannée ,et se sont les deux brigades "amphibie" .

la brigade de montagne le long des Alpes (normal) .

les brigades mécanisés et blindée sur l'EST .avec des terrains de manoeuvre pas lointain pour le mécanisé .

une brigade dans le centre .

une brigade dans le sud avec la 11°BP (sont quand même bien en nombre les régiments ) .

dans le nord ben reste pas grand chose ...

donc que l'on est une posture en postionnant les brigades le long des frontières ou accès à la mer (avec des possibilités de s'entraîner près du milieu pour certaines brigades "spécialisé " ) juste par principe de souveraineté sa se tient ,enfin dans l'esprit même si menace il n'y a pas .

mais je trouve quand même qu'on a sacrifié beaucoups au nord si le concept est celui-ci ...

en se qui concerne l'afghanistan ,le principe de GTIA fourni par une Brigade est très bon ,sauf que le régiment qui était leader partait avec seulement 2 compagnies de combat ...

la s'est plus une affaire de choix politique ,car un régiment d'infanterie complet ,avec les appuis tel qu'il l'était (suaf avoir un peu plus de génie et de peloton sur 10 RC ) auraient permit de ne pas mettre à flux tendu les 2 compagnies d'infanterie qui devaient disons opéré sur le terrain .

donc j'en reste persuadé ,on a eu droit à un test en Afghanistan à petit échelle (les militaires en ont profité avec le peu de monde que leur octroyé les politiques ).

d'ailleurs faut pas croire ,mais lors de l'opération Daguet dans le golfe en 1991 ,les deux patrons des "2 battles group" ont adapté en terme tactique .

le patron du REC et du REI ont adapté en concertation totale ,et sa ne ressemblais pas au format classique de combat .idem pour le battle group TDM du colonel thorette avec les spahis .

perso ,si on arrive à travaillé le côté inter-arme avec un minimum comme ils l'ont fait en Afgha ,je me dit que le faire en mode régiment infanterie leader mais avec effectif complet ben s'est faisable .

de plus on laisse une certaines latitudes au niveau des sections ,et en Afgha ils ont souvent démonté l'organisation structurel de la section et des groupes .

perso ,je pense qu'avec une compagnie en plus dans un régiment d'infanterie ,sa permet de pouvoir avoir une sérenité avec un appoint d'hommes pas négligeable .

après il faut laissé au chef de corps la liberté d'organisé ,voir désorganisé ses compagnies en fonction .

mais le principale je pense pour l'inter-arme s'est pas forcémment d'avoir tout le monde au même endroit ,mais de faire des exercices brigade ,voir plus petit (jusqu'au niveau compagnie )mais à chaque fois dans l'esprit inter-armes .

en gros faire le training pour l'Afgha (en terme d'inter-arme )la norme en terme d'entraînement .

je sent que j'ai compliqué mes explications  :P

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La BP est dans le sud car pour intervenir, elle n'avait pas besoin d'être dans l'est. De plus, dans le sud le taux d'ensoleillement est supérieur. C'est important pour s'entraîner.

s'est pas le fait qu'elle soit dans le sud qui me faisait cogiter  ;)

mais au finale ,combien d'intervention avec parachutage sur l'Afrique en partant du sud de la France ?

d'autres ont prit le guépard en étant pas dans le sud pour intervenir (à l'époque de la FAR et avant dans les années 70 ) donc bon je reste perplexe au jour d'aujourd'huis avec la BP ...

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Ce n'est pas ce que j'ai écrit.

La BP est dans le sud, comme l'ETAP, pour deux raisons:

- le nombre de journée pour sauter est élevé en comparaison avec d'autre région.

- le véritable ennemi était à l'est. Donc, les forces parachutistes se tenant conceptuellement loin du front où on privilégie les forces lourdes, peuvent être dans le sud.

La seul exception fut le 13ieme RDP, projet secret et assez particulier à sa création.

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Ce n'est pas ce que j'ai écrit.

La BP est dans le sud, comme l'ETAP, pour deux raisons:

- le nombre de journée pour sauter est élevé en comparaison avec d'autre région.

- le véritable ennemi était à l'est. Donc, les forces parachutistes se tenant conceptuellement loin du front où on privilégie les forces lourdes, peuvent être dans le sud.

La seul exception fut le 13ieme RDP, projet secret et assez particulier à sa création.

oui Serge ,j'avais bien saisi dans se sens en se qui concerne le climat pour la 11°BP et que l'ennemi à l'époque était à l'Est  (donc qu'effectivement s'était le lourd qui avait sa place dans l'Est ) .

j'ai un peu de mal en se moment  :P

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Ce que je pointe de mon coté est que des échelons comme l’échelons régimentaire  est peut être obsolète, voir certainement comme pion combattant, mais demeure utile pour encadrer les unités subalternes –typiquement les bataillons-  qui elle serait réellement engagé pour le combat. Un peu à l’image du lien légion-cohorte au milieu de l’Empire. Le régiment comme réservoir, structure de soutient et dépendance d’échelons peut être autonome à l’usage sur le champ de bataille, mais pas assez pour prétendre à l’autodétermination à l’échelle opérationnelle.

J'ai bien pigé, un réservoir et le lieu de formation/entraînement de la spécialité infanterie, on est d'accord. Mais en fait si tu crois que tu délire, attends de voir:

- en fait l'échelon régiment est utilisé un peu trop indifféremment dans nos échanges sans être réellement différencié de l'échelon bataillon qui est la formation "opérationnelle" de référence par opposition à la fonction "régiment" qui est le réservoir.

- Faudrait préciser 2-3 échelons-types de déploiements interarme qu'un régiment d'infanterie (dans le cadre d'une brigade interarme) doit être capable de fournir: essentiellement selon mes délires et moi (oui, mes délires sont des personnes :-[, donc par politesse, je les place avant "moi" dans la phrase :rolleyes:) une grosse section à 3 groupes de combat de 13h (façon USMC), 2 fireteams de réserve et un groupe commandement de 6h (encore une fois façon USMC; total 53h); une grosse compagnie fondée sur 3 sections analogues (mais sans leurs fireteams de réserve), 1 section appui et un groupe EM fourni qui comporte aussi 2 GC de réserve (total dans les 230h); enfin un bataillon new look à 3 compagnies sur ce modèle sans leurs GC de réserve (environs 630h), avec une compagnie "lourde" d'appui, un EM fourni et ses spécialités infanterie "rares et chères" (reco, snipers, "commandos") et 2 sections de réserve (90h). Total d'un bataillon en mode déploiement autour de 1000h et des cacahuètes.

- le RI unique de chaque brigade interarme doit armer des bataillons permanents, les compagnies et sections étant prélevées: 3 bataillons semblent correct. Mais avec du volant dans des groupements "de réserve", notamment en spécialités, pour armer simultanément plusieurs formations autonomes susceptibles de former le noyau d'un groupement interarme d'un des formats voulus (mettons au pif sur un cahier des charges 1/1/1: un de chaque -bataillon, compagnie, section- dispo en permanence en temps normal). Ca porte l'effectif combattant/projetable d'infanterie à un équivalent de 3500h dans chaque brigade, peu ou prou.

Moi aussi j'ai le droit de délirer ;)....

Tu dois penser a un model  fondé sur des « bases de défenses » regroupant plusieurs GTIA autour d’un pole spécialisé dans tel ou tel mission –assaut amphibie, désert/montagne..etc-, c’est ça ?

Yep, et à défaut d'un rassemblement de brigades sur des grandes bases, un rapprochement géographique rendant les distances pour entraînement interarme négligeables serait impératif. Quelle que soit l'idée qu'on se fait des unités souhaitées, le rapprochement géographique est impératif vu que s'il est un facteur absolu, incontournable et conditionnant, c'est la fréquence de l'exercice (de même que l'ancienneté des soldats.

Ca c'est l'amateur d'histoire qui parle: plus une force est entraînée et expérimentée, plus on peut avoir des sous-unités fournies en hommes qui ne requièrent pas plus d'encadrement (gradé s'entend) et qui savent se coordonner en gardant une haute vitesse d'exécution. C'est du niveau du fil à couper le beurre, mais apparemment c'est fréquemment "oublié".

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