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futur grand emprunt d'Etat


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oui ça s'est sur mais le truc si tu nous dit qu'un prof est absent ou c'est férié mais on devient fous de joie rare voire inexistant sont les lycéens content d'aller au lycée... :|

Et alors ?

Tu serais pas content de pas aller bosser un jour sans que ça n'ait de réelle conséquence sur ton salaire à la fin du mois ?

T'es pas content des jours fériés ?

Quand les Lycées se bloquent car les Professeurs mentent aux Eleves pour sauver leurs petits avantages , et toucher leur salaire tout en ne travaillant pas , nombreux sont les éleves qui au bout d'une semaine râle et veulent reprendre les cours .

Après , aujourd'hui si tu veux un métier sur , il faut être en Ssi , en STI , les filières industrielles ..

Seulement dès qu'il y a un T (technique) on met les ânes, car le programme (il faut le dire) est nul .

STG , ST2S , STL , bref, toutes les sections merdiques , j'ai regardé et je suis capable de me taper tout le programme des BTS gestion sur deux ans .. Tout en ayant pas mon bac , youhou , imaginez le niveau .

Il faudra réformer l'éducation , mais pour ça il faudra changer les profs .

Je m'explique , un S au jour d'aujourd'hui , doit être aussi bon que les L et ES en Histoire Géo , et en langue (exactement le même sujet au bac, pas le même coeff) , aussi capable que les STI spécialité Méca, et Spécialité Elec (pour les Ssi) en ayant deux fois moins d'heures .. Et laminer les ES et L en philo (même sujet .. ) . Par contre , en math , en physique , et en chimie personne n'a le même sujet (même pour un coeff différent) de celui des S .

Bref , on a pas une filière industrielle et scientifique , on a une filière omnisciente, enfin censée l'être, être la meilleure en tout . Et puis plusieurs filières peu capable .

Hormis les ES , au Lycée tout est bon à réformer .

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Et alors ?

Tu serais pas content de pas aller bosser un jour sans que ça n'ait de réelle conséquence sur ton salaire à la fin du mois ?

T'es pas content des jours fériés ?

Oh oui ! Je me souviens plus du nombre de fois que quand je travaillais dans mon ancienne boîte, la première chose que disais deux employés qui venaient d'arriver s'était : "Dans 8 heures elle est faite". Le lundi matin en plus ! Il y a plus de démotivés dans la population active que parmis les lycéens. A la base ce système de filière n'est pas mauvais, mais maintenant c'est vrai que certaines n'offrent plus vraiment de débouchés. L'argent de cet emprunt devrait en partie être investit dans l'enseignement. C'est la base de tout.

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Il faudra réformer l'éducation , mais pour ça il faudra changer les profs

Ouaiiiiih les profs a l'assedic - oooops personne n'a cotisé pour euh zut - donnons l'argent aux éléves, pour des lycées autogérés :lol:

C'est tellement un métier de merde prof a l'EN que personne veut plus le faire ... le programme change tous les six mois, y a des nouvelles directives de l'espace tout le temps, plus de place ouvertes aux concours, et un ministre qui a changé les couches de ses momes jusqu'a 5 ans :lol: Forcément ca risque pas de marcher :)

Qu'on redeveloppe les internats publics, qu'on embauche des prof de talents - avec la quasi disparition de l'IUFM ca va pas  etre facile :lol: -, et qu'on arret de tailler n'importe comment dans les programmes juste pour faire des économies a la mord moi le noeud. C'est pas tres compliqué suffit d'aller voir comment font les finlandais.

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STG , ST2S , STL , bref, toutes les sections merdiques , j'ai regardé et je suis capable de me taper tout le programme des BTS gestion sur deux ans .. Tout en ayant pas mon bac , youhou , imaginez le niveau

Etant donné qu'un BTS ne dure que deux ans, je vois pas où c'est exceptionnel ...Tout comme, boucler tout le programme STG ou STL de la première à la terminal en deux ans, là encore rien de bien transcendantale. (Car deux année d'étude avec en plus le BTS, c'est justement la durée normale de des sections technologiques ...)

Là, ou je rejoins G4lly

C'est que justement l'Education Nationale est le ministère qui a le plus subi au niveau des réformes. A croire que c'est devenu une tradition pour chaque gouvernement de mettre sa reforme ... du coup, ni les prof et l'administration ne si retrouvent dans ce schmilblick.

J'ajouterai même, que nos politiques sont complètement perdus ! Prenons par exemple le débat sur la méthode globale, cela faisait des années qu'une bonne partie des instituteurs n'enseignaient plus la méthode globale, mais la mixer avec la méthode syllabique. Mais cela nos politiques le savaient même pas ...

En revanche, copier bêtement les finlandais ou autre pays du nord n'est pas le combo qui résoudra à nos problèmes, cela ne pas fonctionne comme le Kameha de SanGoku. il faut prendre en compte de nombreuse différence entre nos pays, comme : la mentalité, la densité dans les villes, l'espaces, le type d'immigration etc ...

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Le problème du ministère de l'éducation c'est que comme n'importe quel politicard a déjà été à l'école, ils s'imaginent tous connaître le sujet et connaître les solutions. Même si ça fait 40 ans qu'ils n'y ont plus mis les pieds, n'ont jamais donnés cours ou pas compris que le monde avait changé. C'est aussi pour laisser une petite marque dans l'histoire, en créant un décret ou une loi qui porte leur nom.

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Etant donné qu'un BTS ne dure que deux ans, je vois pas où c'est exceptionnel ...Tout comme, boucler tout le programme STG ou STL de la première à la terminal en deux ans, là encore rien de bien transcendantale. (Car deux année d'étude avec en plus le BTS, c'est justement la durée normale de des sections technologiques ...)

Là, ou je rejoins G4lly

C'est que justement l'Education Nationale est le ministère qui a le plus subi au niveau des réformes. A croire que c'est devenu une tradition pour chaque gouvernement de mettre sa reforme ... du coup, ni les prof et l'administration ne si retrouvent dans ce schmilblick.

J'ajouterai même, que nos politiques sont complètement perdus ! Prenons par exemple le débat sur la méthode globale, cela faisait des années qu'une bonne partie des instituteurs n'enseignaient plus la méthode globale, mais la mixer avec la méthode syllabique. Mais cela nos politiques le savaient même pas ...

En revanche, copier bêtement les finlandais ou autre pays du nord n'est pas le combo qui résoudra à nos problèmes, cela ne pas fonctionne comme le Kameha de SanGoku. il faut prendre en compte de nombreuse différence entre nos pays, comme : la mentalité, la densité dans les villes, l'espaces, le type d'immigration etc ...

Tu ne m'as pas compris (au passage je rejoins Gally sur la merde dans laquelle sont les profs, mais justement, ce n'est pas de ce côté là que je parle, je te vois sous un nouveau jour mon cher, et je suis , au passage toujours , totalement d'accord avec toi , on ne peut pas copier les autres bêtement, ça ne marche pas . A la rigueur l'Italie, l'Allemagne, l'Angleterre ont des points communs et sont extrêmement difficilement assimilables , alors la Finlande ..)

Quand je parle des BTS, je veux dire que moi ,au jour d'aujourd'hui , en étant loin d'être un génie et sans avoir le bac, je saurais faire leurs deux ans de programme, hormis les choses très spécifique , comme la compréhension (je te promet , c'est veridique) des consignes du Manager !

Non , tout les BTS ne sont pas pourris, mais il y a de sacrés sections poubelles où le niveau , en plus d'être faible, est fier de s'incrire dans "Nous , on est des pro, pas des putains de théoriciens" .

Et vous défendez tout de même beaucoup nos chers profs j'ai l'impression ?

Vous n'avez pas du mettre les pattes dans un lycée public depuis longtemps j'ai l'impression .

Il y a les convaincus, les excellents profs (au moins majoritaire), bien sur, mais il y a aussi une bonne bande de connards qui n'ont rien à foutre de leurs élèves , et qui leur mentent même effrontément pour s'assurer qu'ils bloqueront le Lycée , qu'ils mettront un petit bordel ,et qu'eux seront tranquillement payés .Je ne parle même pas de ceux qui sont là par défaut car ils n'ont pas pu faire autre chose , et qui déversent leur fiel contre tout ce qui est étatique . Comme l'image de la France, le tricolore ..

Qui laissent leurs élèves exprimer des idées racistes en cours "parce que vous voyez, on ne peut pas non plus les empêcher de s'exprimer" .

Vous généralisez un peu facilement .

Les politicards ne sont pas des génies, les élèves j'en parle même pas , mais les profs sont bien loin d'être des colombes .

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Pas si longtemps que j'ai quitté l'école secondaire moi et bon, on retrouve partiellement ce que tu dis mais j'ai plus vu énormément de résignés chez les plus vieux et âges moyen. Les plus jeunes profs sont soit extrêmement motivés et gèrent bien (et ont parfois un cour creux, ben ouais), soit ils n'ont pas la carrure pour endiguer une classe et ils finissent par perdre pied et ne savent concrètement plus quoi faire (j'ai déjà vu le cas d'un qui a fondu en larmes pour une broutille). Les pseudo révolutionnaires j'en n'a pas vu beaucoup et quand ils ont lancés de piques leur propre classe allait plus loin.

Sinon il y avait aussi des vieux de la vieille avec un cours creux, fatiguant et inintéressant.

'fin cela dit c'est pas la France.

Reste le problème des filières techniques (perçu comme une poubelle, même par les ministères) et ceux qui s'y trouvent qui ont, avouons-le, bien peu de raisons d'être motivés...

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Bon ca y est 35 milliards levé sur les marché, dont le gros doit aller a l'enseignement supérieur. Super on a avait vraiment besoin d'un commission mon cul pour en venir a c'est conclusion.

Donc de la dette en plus et un investissement flou ... comme d'habitude :) Seul point positif ... des incitation au co-investissement avec le privé. Un euros état plus un euros privé pour des structure a controle mixte privé état ... ca permettra si les investisseurs privés investissent d'avoir un petit effet levier, tout en gardant un bon controle sur l'usage des invest'.

Le probleme restant le meme ... financer l'éducation par la dette c'est bien joli mais ca n'avance pas grand chose pour le reste, a savoir sur quoi il va falloir rogner pour la payer cette dette.

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Quelques infos en plus : il est dit que 22 milliards sur ces 35 irraient à l'éducation.

dans les 7 (?) projets il y a aussi les "transports du futures" (donc sans doute l'aviation/les helicoptères aussi peut être).

Il faut attendre la réponse du gouvernement et de sarkozy au final pour savoir si il suit le rapport ou non.

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A une époque pas si lointaine, BTS en comptabilité et gestion des organisations permettait de continué (avec un dossier correcte) pour ce que l'on appelle actuellement le DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion) avec les équivalences. Et avec quelqu'un de très motivé de continué et visé l'expertise.

Au sujet de l'emprunt et de son ampleur, cela ne représenterai que ce que la France emprunte mensuellement pour se financer.

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A une époque pas si lointaine, BTS en comptabilité et gestion des organisations permettait de continué (avec un dossier correcte) pour ce que l'on appelle actuellement le DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion) avec les équivalences. Et avec quelqu'un de très motivé de continué et visé l'expertise.

Au sujet de l'emprunt et de son ampleur, cela ne représenterai que ce que la France emprunte mensuellement pour se financer.

DECF ? ... simplement le BTS prend deux ans la ou le DPECF prend un an puis 4 pour le DESCF.

M'enfin IUT et BTS meme si le contenu est pas forcément de tres bon niveau - ca dépend beaucoup de diplome, certain sont de tres bon niveau et d'autre c'est le néant - son des diplome pratique parce qu'il permettent facilement de poursuivre, meme si y des lacune sur les formation de base.

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Pas si longtemps que j'ai quitté l'école secondaire moi et bon, on retrouve partiellement ce que tu dis mais j'ai plus vu énormément de résignés chez les plus vieux et âges moyen. Les plus jeunes profs sont soit extrêmement motivés et gèrent bien (et ont parfois un cour creux, ben ouais), soit ils n'ont pas la carrure pour endiguer une classe et ils finissent par perdre pied et ne savent concrètement plus quoi faire (j'ai déjà vu le cas d'un qui a fondu en larmes pour une broutille). Les pseudo révolutionnaires j'en n'a pas vu beaucoup et quand ils ont lancés de piques leur propre classe allait plus loin.

Sinon il y avait aussi des vieux de la vieille avec un cours creux, fatiguant et inintéressant.

'fin cela dit c'est pas la France.

Reste le problème des filières techniques (perçu comme une poubelle, même par les ministères) et ceux qui s'y trouvent qui ont, avouons-le, bien peu de raisons d'être motivés...

Faudrait un sujet pour en débattre , car il y a une discussion très intéressante à avoir, surtout autour des ST , et de la section chômage par excellence "L" . Si vous en creez une prévenez moi .

Pour le grand emprunt et ses 35 milliards, j'ai entendu "qu'uniquement" 20 seraient réservés à l'education ce qui est logique, car , soyons honnête, la seule vraie richesse de la France est l'intelligence de sa population . Dans le secteur primaire on ne peut pas rivaliser . Si les fonds sont biens investis c'est une très bonne idée . J'ajouterais que c'est un immense bon point pour le gouvernement parce que c'est du moyen terme .. Et qu'en démocratie on privilégie d'habitude le court terme pour être réélu . Là est le défaut .

Pour les moyens de transport du futur, plutôt que l'aviation , je pense au train et au tramway ..Enfin , y a t'il un document qui nous dit où va quoi ? (ne serait ce que par secteur) .

Combien dans l'Espace par exemple ? Combien dans la recherche fondamentale ?

Image IPB

Un milliard pour l'espace .

Bon , c'est déjà ça . Enfin , si vous avez une analyse ?

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La fourchette de l'enseignement c'est surtout le supérieur (universitaire vu qu'on parle de campus).

Y a-t-il une hausse (et réorganisation autant que faire ce peut car ça m'a l'air irréformable ; une revalorisation du métier d'enseignant serait déjà une bonne voie) hors emprunt de l'enseignement fondamental de prévue ? Parce que financer les universités c'est bien mais les jeunes universitaires ne seront pas bien nombreux si la base n'est pas acquise préalablement.

La modernisation des villes sur fond écolo permettra de réduire certaines dépenses (et donc de rembourser l'emprunt plus vite).

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La fourchette de l'enseignement c'est surtout le supérieur (universitaire vu qu'on parle de campus).

Y a-t-il une hausse (et réorganisation autant que faire ce peut car ça m'a l'air irréformable ; une revalorisation du métier d'enseignant serait déjà une bonne voie) hors emprunt de l'enseignement fondamental de prévue ? Parce que financer les universités c'est bien mais les jeunes universitaires ne seront pas bien nombreux si la base n'est pas acquise préalablement.

La modernisation des villes sur fond écolo permettra de réduire certaines dépenses (et donc de rembourser l'emprunt plus vite).

La formation a été liquidé sur l'autel des économie de bout de chandelle ... les 3 année d'IUFM - post License - ont été remplacé par un recrutement niveau Master puis un an de formation IUFM.

Le fond du probleme de la recherche c'est le perspective professionnel. Les entreprises francaises misent tout sur ce qui rapporte, le service commercial. Résultat les poste de RD au sens large, locaux, sont tres réduit. Les bons éléments sont attirés vers les pays qui payent et fournissent des conditions avantageuse de travail, et le bas du spectre RD est délocalisé dans les pays a bas cout, comme l'Inde, qui ont aussi de tres bons ingénieurs.

Au milieu de ca a par la recherche publique qui rame faute de crédit et de partenariat épais pour la valorisation indutrielle des travaux, la recherche privé c'est proche du néant.

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Ca permettra au moins à ceux qui sortent du cursus Education Nationale et qui sont brillant (parce qu'il y en a quand même quelques milliers chaque année) , d'avoir de meilleures infrastructures, et probablement , pour ceux qui iront dans le public d'avoir un métier mieux "valorisé" . C'est toujours un mieux . C'est surtout sur le rattrappage du retard, et , je trouve que vous ne le relevez pas assez (peut être que je me trompe) , les campus de niveau international qui me semblent bien être destiné à attirer en priorité des étrangers .

En gros, le but serait de mieux former dans un premier temps, et "d'importer" plus de cerveaux d'ici peu , ce qui est la base . On sait tous qu'il faudra réformer en profondeur l'éducation Nationale, mais ça sera plus facile s'il y a une sortie de la boîte qui est plus intéressante .

Non en fait, après lecture attentive, je trouve ça plutôt intelligent . Pour les villes vertes, c'est écolo , c'est sympa , et ça sera probablement moins consommateur (et peut être fiscalement aménagé qui sait) pour les particuliers . Donc oui ça c'est indiscutablement intéressant .

Je suis cependant surpris que les trajets intervilles en train (ou le ferroutage) ne soient pas aidés par le financement, parce que comme développement durable facilement mettable en place , ca figure en tête de liste pour moi ..

Déjà relier Marseille à Lyon en train pour tout les camions, c'est matériellement faisable aujourd'hui , et ça décongestionnerait beaucoup les autoroutes . Enfin bon, je rêve un peu à haute voix .

Par contre je ne comprend pas vraiment l'intérêt supérieur pour le Très haut débit ?(et on parle de quelle vitesse par THD ?)

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Ca permettra au moins à ceux qui sortent du cursus Education Nationale et qui sont brillant (parce qu'il y en a quand même quelques milliers chaque année) , d'avoir de meilleures infrastructures, et probablement , pour ceux qui iront dans le public d'avoir un métier mieux "valorisé" . C'est toujours un mieux . C'est surtout sur le rattrappage du retard, et , je trouve que vous ne le relevez pas assez (peut être que je me trompe) , les campus de niveau international qui me semblent bien être destiné à attirer en priorité des étrangers .

En gros, le but serait de mieux former dans un premier temps, et "d'importer" plus de cerveaux d'ici peu , ce qui est la base . On sait tous qu'il faudra réformer en profondeur l'éducation Nationale, mais ça sera plus facile s'il y a une sortie de la boîte qui est plus intéressante .

Non en fait, après lecture attentive, je trouve ça plutôt intelligent . Pour les villes vertes, c'est écolo , c'est sympa , et ça sera probablement moins consommateur (et peut être fiscalement aménagé qui sait) pour les particuliers . Donc oui ça c'est indiscutablement intéressant .

Juppé et Rocard sont pas les derniers des imbéciles non plus hein ;)

Je suis cependant surpris que les trajets intervilles en train (ou le ferroutage) ne soient pas aidés par le financement, parce que comme développement durable facilement mettable en place , ca figure en tête de liste pour moi ..

Les liaisons "inter cité" ont été abandonnée par la SNCF - du moins par la branche qui commercialise les liason aupres des particuliers - se "privatisant" car elle ne sont pas rentable pour un opérateur privé, les voies étant vieille et couteuse a entretenir et donc le loyer RTF étant a leur gout trop élevé -. Le bébé a été refilé aux régions qui sont désormais en charge du transport régionnal et inter-régionnal. Pour le ferroutage, c'est pas du tout facile a mettre en place pour plein de raison. Les lignes interressante sont saturée par le traffic voyageurs en journée, les train la nuit ca dérange les riverains, enfin sans législation contraignante, comme c'est le cas en suisse, la route reste souvent plus interessante financierement. Pour le transport fluviale les aménagement sont pharaonique vu le retard accumulé sur lkes ouvrage. On a des écluses/ponts aux gabarit du début du siecle :lol:

Déjà relier Marseille à Lyon en train pour tout les camions, c'est matériellement faisable aujourd'hui , et ça décongestionnerait beaucoup les autoroutes . Enfin bon, je rêve un peu à haute voix .

La ligne Paris Lyon Marseille est dejà sur-saturé par le traffic voyageur ... pour faire passer du traffic fret il faudrait construire une nouvelle double voie et c'est tres tres tres cher.

Par contre je ne comprend pas vraiment l'intérêt supérieur pour le Très haut débit ?(et on parle de quelle vitesse par THD ?)

Plus de 100Mb dans les deux sens... l'interet c'est de développer des application interactive tel que les visio conférence haute qualité, permettant de s'affranchir des déplacement réel par exemple. Favoriser le télé-travail permet de réduire le temps "perdu" dans les transport et donc d'améliorer la productivité.

Un travailleur américain moyen passe plus de deux heures dans les transport chaque jours, deux heure perdu pour la plupart. Pendant longtemps les américains ont essayé de mettre a profit c'est deux heures, en libérant le transporté de la conduite, avec les autoroute automatique. Ca a accouché d'une souris. PArallement les transport en commun s'il permette de finir sa nuit, n'augmente pas vraiment la productivité, sauf le train ou on peu bosser un peu. Permettre au gens de limiter leur déplacement physique tout en gardant un contact de qualité permettrait de dégager des marge de productivité rapidement.

Une autre application pratique ce sont les télédiagnostique médicaux. Avec un matériel adpaté, un urgentiste classique d'un CHR de Lozere, pourrait demander un diagnistique immédiat a un ponte du CHU de Lyon par exemple en lui permettant de voir, voire meme de piloter, des examens a distance, echographie, radigraphie, scanner etc. Mieux ... il est possible de téléopérer via des bras robotique ... a distance, et donc on peut imaginer une opération urgente se faire par un spacialiste installé tres loin du bloc, évitant le transport du patient qui est couteux et délicat.

Pour la difficulter d'enseigner a des branleurs http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/11/21/operation-zappe-ton-prof-dans-un-lycee-parisien_1270172_3224.html#ens_id=1229424

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Une autre application pratique ce sont les télédiagnostique médicaux. Avec un matériel adpaté, un urgentiste classique d'un CHR de Lozere, pourrait demander un diagnistique immédiat a un ponte du CHU de Lyon par exemple en lui permettant de voir, voire meme de piloter, des examens a distance, echographie, radigraphie, scanner etc. Mieux ... il est possible de téléopérer via des bras robotique ... a distance, et donc on peut imaginer une opération urgente se faire par un spacialiste installé tres loin du bloc, évitant le transport du patient qui est couteux et délicat.

et cela demande de la ressource en bande passante. Des études ont été effectués par l'institut Montsouris par ex. Des projets sont en cours avec des sociétés françaises pour promouvoir la télémédecine, la robotique avec pour objectifs d'éviter de se faire distancer par les US.

En plus, d'opérer en corèze, dans le larzac, des opportunités d'utilisation sont réelles pour la marine et pour l'Adt.

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Grand emprunt : Sarkozy valide les orientations de la commission

Le chef de l'Etat se donne quinze jours pour annoncer ses décisions sur les investissements d'avenir. Selon Alain Juppé et Michel Rocard, le grand emprunt pourrait assez vite s'autofinancer. Un surcroît de 0,5 point de PIB est espéré.

Nicolas Sarkozy veut aller vite. Recevant hier le rapport de la commission Juppé-Rocard sur le grand emprunt, le chef de l'Etat a indiqué qu'il annoncerait ses décisions sur l'utilisation et les modalités de cet emprunt « dans les premiers jours de décembre ». Il consultera les partenaires sociaux « dès la semaine prochai-ne », tandis que le Premier ministre, François Fillon, fera de même avec les partis politiques. Une fois fixé, le grand emprunt donnera lieu à une loi de Finances rectificative début 2010.« Nicolas Sarkozy a été approbateur sur les grandes orientations du rapport », a déclaré Alain Juppé dans la foulée de la remise du document de 128 pages.

Sept grandes priorités

Ce rapport a identifié 17 domaines d'action répartis dans sept grandes priorités stratégiques ciblées sur l'enseignement supérieur, la recherche, l'innovation et la croissance verte, et correspondant à un investissement public de 35 milliards d'euros. Par effet de levier vis-à-vis des financements privés, l'effort public « devrait finalement correspondre à un investissement total de plus de 60 milliards d'euros », espère la commission (« Les Echos » d'hier). Pour atteindre ce but, « le versement des fonds publics sera conditionné au versement de fonds privés »,dans plusieurs domaines, a précisé Alain Juppé. Exemples : le démonstrateur pour l'avion du futur, les campus d'innovation ou les fonds d'amorçage pour les PME innovantes.

Alors qu'il devrait alourdir le programme d'émission de dette d'un peu plus de 20 milliards d'euros en 2010, Nicolas Sarkozy a souligné que l'emprunt« devra s'inscrire dans une stratégie de consolidation des finances publiques »,qui sera mise en oeuvre « dès que la reprise sera installée ». En contrepartie des investissements d'avenir, sera ainsi engagée « une forte maîtrise des dépenses courantes ». La commission propose de réduire ces dernières à hauteur de la charge d'intérêt généré par l'emprunt, ce que souhaite aussi le ministre du Budget, Eric Woerth.« Dans leur majorité, les investissements devront donner lieu à la constitution d'un actif à mettre en regard de l'emprunt »,ajoute l'Elysée, qui ne veut pas donner l'impression de laisser filer la dette. La commission Juppé-Rocard évalue cette part d'actifs récupérables à 20 milliards d'euros.

Premiers calculs

« Dans tous les cas, les dépenses choisies sont porteuses d'une rentabilité directe ou indirecte pour l'Etat », poursuit le rapport. La commission attend des estimations détaillées de Bercy, mais estime d'ores et déjà que les investissements d'avenir s'autofinanceront rapidement. Les premiers calculs font état d'un surcroît durable de l'ordre de 0,5 point de PIB à un horizon de cinq ans (élasticité du PIB par rapport aux dépenses de recherche et développement). En y appliquant 40 % de prélèvements obligatoires, cela signifierait 0,2 point de PIB de recettes fiscales et sociales de plus, soit quelque 4 milliards d'euros par an.

« Dans un horizon relativement proche, l'opération est autofinancée », souligne-t-on dans l'entourage d'Alain Juppé. Alors pourquoi ne pas avoir proposé 100 milliards d'investissements ? « Pour deux raisons : d'abord, les agences se seraient transformées en guichets et nous aurions financé des investissements qui, de toute façon, se seraient faits ; ensuite, il y aurait eu une remontée des taux d'intérêt avec un effet récessif sur l'activité. »

Anticipant un déficit public de 8,5 % de PIB en France l'an prochain, l'OCDE a néanmoins fustigé hier le grand emprunt, estimant qu'il « interviendra trop tard pour contribuer à la reprise et rendra encore plus difficile l'indispensable assainissement des finances publiques ».

La nécessité « d'agir vite »

Tout en reconnaissant que la montée de la dette est « porteuse de risques sérieux », la commission justifie l'emprunt par la nécessité « d'agir vite » pour préparer la croissance de l'après-crise : « Il y a deux façons de mal préparer l'avenir : accumuler les dettes pour financer les dépenses courantes, mais aussi, et peut-être surtout, oublier d'investir dans les domaines moteurs. » Si « tous les Etats sont fauchés et gèrent leur budget à l'économie », Michel Rocard a estimé que l'emprunt doit profiter du fait que « c'est encore la France et l'Allemagne qui ont le moins dérapé et qui ont gardé sur les marchés financiers la signature qui est la plus crédible actuellement ».

Source :

http://www.lesechos.fr/journal20091120/lec1_france/020228231122-grand-emprunt-sarkozy-valide-les-orientations-de-la-commission.htm

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Juppé et Rocard sont pas les derniers des imbéciles non plus hein ;)

Les liaisons "inter cité" ont été abandonnée par la SNCF - du moins par la branche qui commercialise les liason aupres des particuliers - se "privatisant" car elle ne sont pas rentable pour un opérateur privé, les voies étant vieille et couteuse a entretenir et donc le loyer RTF étant a leur gout trop élevé -. Le bébé a été refilé aux régions qui sont désormais en charge du transport régionnal et inter-régionnal. Pour le ferroutage, c'est pas du tout facile a mettre en place pour plein de raison. Les lignes interressante sont saturée par le traffic voyageurs en journée, les train la nuit ca dérange les riverains, enfin sans législation contraignante, comme c'est le cas en suisse, la route reste souvent plus interessante financierement. Pour le transport fluviale les aménagement sont pharaonique vu le retard accumulé sur lkes ouvrage. On a des écluses/ponts aux gabarit du début du siecle :lol:

C'est comme construire un stade, ça coute cher, mais ça offre des centaines de milliers d'heure de travail . Après c'est un pari à prendre, je suis conscient qu'il faudrait mettre une (ou plusieurs) voies de plus, mais j'ai pris cette exemple car j'y passe souvent, il n'y a pas de problème de places, de Montâgnes à surmonter, ni d'énormes infrastructures nécessaire .

Disons que c'est le plus petit, après oui , c'est très très cher, j'en suis conscient, mais combien est ce qu'on économiserait de tonne de CO2 ?

Je pense encore aux millions de camions qui traversent la France de part en part pour livrer en Espagne, ou pour éviter la Suisse .

Enfin bon .

Pour l'Intercité et le TER oui , et justement c'est de ça que je parle, combien de vieilles rames restent encore ? Ces trains sont utilisés (les plus modernes) à flux ultra tendu , et les pannes sont courantes, les retards énormes . Travailler dessus , ne couterait pas forcément immensément cher, mais fournirait une (meilleure, bien qu'elle soit déjà , très , très bonne, je suis un pro TER) possibilité plus écologique, et ne diminuerait pas trop facilement le rendement .

Et je suis certain que le nombre de voies en France est trop restreint, très utilisé , et plutôt mal entretenu vu le peu d'agent d'entretien . Un jour ou l'autre il faudra bien en construire plus . Et dans le cadre d'un plan de relance pourquoi pas .. Vu qu'on avait même soulevé l'hypothèse d'adjoindre la liaison Marseille Nice (en partie) à ce plan .

La ligne Paris Lyon Marseille est dejà sur-saturé par le traffic voyageur ... pour faire passer du traffic fret il faudrait construire une nouvelle double voie et c'est tres tres tres cher.

Plus de 100Mb dans les deux sens... l'interet c'est de développer des application interactive tel que les visio conférence haute qualité, permettant de s'affranchir des déplacement réel par exemple. Favoriser le télé-travail permet de réduire le temps "perdu" dans les transport et donc d'améliorer la productivité.

Un travailleur américain moyen passe plus de deux heures dans les transport chaque jours, deux heure perdu pour la plupart. Pendant longtemps les américains ont essayé de mettre a profit c'est deux heures, en libérant le transporté de la conduite, avec les autoroute automatique. Ca a accouché d'une souris. PArallement les transport en commun s'il permette de finir sa nuit, n'augmente pas vraiment la productivité, sauf le train ou on peu bosser un peu. Permettre au gens de limiter leur déplacement physique tout en gardant un contact de qualité permettrait de dégager des marge de productivité rapidement.

Une autre application pratique ce sont les télédiagnostique médicaux. Avec un matériel adpaté, un urgentiste classique d'un CHR de Lozere, pourrait demander un diagnistique immédiat a un ponte du CHU de Lyon par exemple en lui permettant de voir, voire meme de piloter, des examens a distance, echographie, radigraphie, scanner etc. Mieux ... il est possible de téléopérer via des bras robotique ... a distance, et donc on peut imaginer une opération urgente se faire par un spacialiste installé tres loin du bloc, évitant le transport du patient qui est couteux et délicat.

Merci bien , je ne saisissais pas l'intérêt dans ce sens ,et c'est vrai que c'est encore une fois très brillant comme initiative . J'imagine que les transferts de données (je parle d'envoie de modèles ) qui font souvent un sacré poid en serait accéléré , et donc encore une fois du temps gagné .

J'imagine sans soucis ça en fait .

La seule chose que je relève dans cet article, c'est le "TSTG2" , autrement dit, une classe d'STG Co , bref, une des sections poubelles que je dénonçais ci dessus .

Aux profs on dit " Ecoutez, eux , ils feront rien de leurs vies" , le problème c'est qu'on dit la même chose aux élèves, qui en sont conscient de toute façon . Ca entraîne une frustration forcée . Surtout pour les mecs qui sont dans cette section par choix, car ils trouvent intéressant les débouchés . Aujourd'hui pour réussir un cursus de Communication , il vaut mieux faire ES, et basculer en Co ,après le bac, que faire deux ans de spécialité communication . Vous trouvez ça logique ?

Je me permet de parler de cette façon car je les connais sur le bout des doigts les STG, le niveau est bas, même un élève d'un piètre niveau parvient facilement à taper dans les 14/15 de moyenne (c'est dire, quand la moyenne habituelle en S pour des élèves d'un autre niveau tourne plutôt autour des 9)  , ca ne les incite pas à travailler plus, voir même à bosser moins .

Une des solutions serait d'élever le niveau , mais on mettrait où l'inévitable "rebut" si j'ose dire ? On pourrirait encore plus les BEP ? Mais à ce moment là on ne laisserait même pas une chance de se rattrapper aux jeunes qui n'ont pas fait un super collège, alors qu'en ayant la filière STG, ça permet de repêcher les meilleurs en seconde, et de les dispatcher vers des sections moins pourries .

Enfin oui , ça aussi faudrait en parler dans l'avenir, redéfinir les sections, car il y a d'énormes pertes de matières grises . Les élèves d'aujourd'hui potentiellement sont bien supérieurs à leurs aînés (connaissant je pense en grande partie grâce au net) bien plus de chose à un plus jeune âge, ayant tous la possibilité d'accéder à la plupart des options (et donc pas de se limiter à celles pratiquées pas trop loin) , bref, quel gâchis .

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Pour les voies ... l'objectif idéologique est de refiler le bébé au privé ... Les anciennes voies sont géré par RFF, émanation de l'ancienne SNCF, morceau qui reste publique, et qui loue les voie aux distributeur des prestation transport.

Le probleme c'est qu'on a pas particulierement l'intention d'augmenter les investissement publique dans RFF, et qu'on attend des investissement hypothétique privé dans l'infrastructure ferroviaire, investissement qui ne viendra pas vu les risques. Le seul investissement tres largement subventionné qui marche encore c'est les voie grande vitesse, tres largement payer par les collétivité local, l'europe, et les pays desservie - le luxembourg a particulierement contribué au financement tu TGV est paris-metz-luxembourg par exemple, alors que l'Alsace et l'Allemagne ont réfusées jusqu'a récement de participer a la ligne Paris Metz-Strabourg-Allemagne -

Ce probleme d'investissement publique dans une économie privé, pose pas mal de probleme. Une solution c'est les subvention, en gros on donne de l'argent sans contrepartie épaisse avec l'assurance se se faire mettre, l'autre solution est l'investissement directe dans une entreprise publique, mais qui est idéologiquement problématique, meme si légalement y a absolument aucun probleme. La SNCF, en voie de privatisation, par exemple n'a aucun interet a payer outre mesure l'entretien de voies qui vont servir a ses concurrent ... et tant que l'incertitude perdure sur le comment sera organisé la privatisation du transport demain, les gros investissement sont a exclure.

La clef de l'investissement privé c'est la visibilité financiere et juridique ... il faut assurer les investisseur que les regle du jeu ne changeront pas en leur défaveur le temps de rentabiliser l'investissement ... comme on parle d'investissement sur 30 ans ou plus et qu'on change la loi tout les WE c'est mal barré.

Idem pour le transport fluvial, les ligne réguliere maritime cotiere - genre Calais/Bilbao/LaCorogne - le transport aérien régional etc. Visibilité et stabilité ... sont les bases.

Pour le paquet économie d'énergie meme combat ... on a aucune visibilité sur les tarif de rachat, et les avantage fiscaux et autres incitation, ca change tous les six mois ... forcément ca donne le tourni meme aux professionnels.

Enfin y a le probleme de simplicité. Au Danmark pour installer une éolienne ... il y aun guicher unique au ministere de l'énergie... délai entre la demande et l'autorisation ... 6 mois ... en France la procédure dure 6 ans !!! et il y a une dizaine d'intervenant, meme l'armée de l'air ... Ajoute a ca les loi récente rendant encore plus difficile les implantations, tout les investisseurs se sont barré mettre leur ronds dans des projets éoliens ailleurs, en Espagne, Allemagne notament.

Si on rend la vie impossible aux investisseurs par démagogie a la con ou pour préserver l'écomie nulcéaire, on pourra mettre des milliards on arrivera a rien. C'est pas le tout d'avoir des rond a mettre, faut il encore que le business soit intéressant et de le ROI soit assez rapide et sûr.

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  • 1 month later...

En parlant de éolienne, un article intéressant qui confirme mon scepticisme envers cette source d'énergie.

Cinq éoliennes aux pieds du massif du Mézenc, c'est Beaubourg au milieu des champs !

L'éolien industriel génère de l'iniquité territoriale, c'est ce qu'affirme Yves Verilhac un écologiste, professionnel de la nature marqué notamment par 10 ans à la direction de la FRAPNA et la lutte contre le cloisonnement du Rhône par des barrages. Aujourd'hui, il demande un moratoire pour les projets éoliens.

AE : La demande de moratoire sur l'implantation d'éoliennes en France (1) que vous avez initié il y a quatre mois compte près de 6 000 signataires. Pourquoi cette démarche ?

Yves Verilhac : Ma prise de fonction de directeur du Parc Naturel Régional (PNR) des Monts d'Ardèche, dont j'avais préalablement coordonné l'élaboration de la charte, a coïncidé avec l'adoption du premier arrêté (du 8 juin 2001) fixant les conditions d'achat de l'électricité produite par les installations utilisant l'énergie mécanique du vent. L'éolien véhiculant l'image d'un développement durable, et les Parcs naturels étant des outils conçus pour, j'étais a priori favorable. C'est la pratique de ce dossier qui m'a ouvert les yeux. Très vite nous avons vu les limites des soit disant « vertus » de cette industrie. Et comme tout le monde nous avons dit, grâce à un schéma de développement éolien, que nous étions favorables mais qu'il serait préférable d'ériger ces machines encombrantes de 120 mètres de haut... en limite ou mieux à l'extérieur du Parc, chez les voisins. C'est ce que font trois-quart des collectivités ou territoires qui essayent tant bien que mal de s'organiser. Une sorte de force centrifuge, appelée autrement Nimby (not in my back yard). Dès 2008, 65 mâts avaient été érigés dans le seul département de l'Ardèche la plupart en dehors du Parc. Mais ça continue et la pression augmente dans le parc naturel ! Dans la vallée de l'Eyrieux, sur les contreforts du Massif Central, un projet envisage l'implantation d'une dizaine d'éoliennes sur les crêtes, entre Gluiras et Saint-Genest-Lachamp. Un projet inconcevable, en ce haut-lieu de résistance des Huguenots (assemblées du désert) où une route sommitale donne à voir toute la Chaîne des Alpes ! Heureusement, le préfet vient d'en refuser le permis de construire. Mais il n'est pas rare que les promoteurs fassent appel, et les Préfets sont relativement désarmés, ou peu enclins à résister. Sur l'ensemble du territoire français, nous en sommes déjà à près de 2.300 pylônes. Aux vues de l'objectif du « Grenelle de l'environnement » d'atteindre une capacité de 25 000 MW électriques éoliens en 2020, 8 à 12.000 autres sont à venir. Et nous sommes de plus en plus nombreux à dire « ça suffit ! ».

AE : D'où vient ce terme ''éolien industriel'', utilisé pour désigner ce qui est communément dénommé ''ferme éolienne'' ?

YV : ''Ferme éolienne'' est un anglicisme de « wind farmer », mais c'est surtout un véritable oxymore car ces projets n'ont rien de rural. Au contraire et c'est bien ce que je leur reproche, ils signent la mort de la campagne ! Cinq éoliennes aux pieds du massif du Mézenc, c'est Beaubourg au milieu des champs ! Sur les grands plateaux bocagers agricoles du Massif Central, on vient poser là des mats de 120 m de haut qui occasionnent mouvement, bruit et pollution lumineuse. Finis les ciels étoilés ! C'est un viol du territoire. Certains n'ont pas d'autre argument que « oui, mais c'est beau ». La plupart de ces donneurs de leçons ne les ont pas sous les yeux. Qu'est-ce qui leur permet de dire ça ! Je leur impose mon goût du beau, moi ? J'ai vu des gens pleurer, parce qu'on avait détruit leur environnement immédiat. L'éolien industriel ne respecte même pas l'histoire des lieux. En Ardèche, l'industrie est dans les fonds de vallée, les villages sont à mi-pente, et les pâturages au sommet. Là, où l'agriculture recule, ils érigent ces éoliennes industrielles comme les croix d'un vaste cimetière rural ! Au Puy en Velay, la FRSEA (Fédération Régionale des Syndicats d'Exploitants Agricoles) Auvergne a même constitué une société spécialisée dans les énergies renouvelables, Agréole Développement, pour hypothéquer des terres agricoles à des fins de développement de panneaux photovoltaïques et d'éolien industriel. Est-ce la vocation des exploitants agricoles ?! Et puis, dans l'éolien industriel, il y a un côté colonisateur : le développement se fait sans logique, sans planification. On jette les dés sur le tapis vert. On discute d'un projet de 20 mats et cinq ans après, 30 autres se dressent au même endroit sans que ça n'ait été annoncé au départ. En écologie, on ne peut pas soutenir un projet dont on ne connaît la réalité donc l'impact final. En ce moment il n'y a de nouveaux permis déposés à Cros de Géorand (07) pour un parc pré existant. Qui va se déplacer pour l'enquête publique en plein hiver là-haut sur le plateau ardéchois, une énième fois ?

AE : Etes vous satisfait de la perspective de classement des parcs éoliens en Installations Classées pour la Protection de l'Environnement (ICPE), comme le prévoit la loi Grenelle 2 ?

YV : Peu m'importe, car avec l'éolien, on est plus dans une problématique urbanistique ou paysagère que de risque ou de pollution. On est plus dans une logique de cohérence, de greffe, de tolérance avec le monde agricole en milieu rural. En France, on a pourtant construit des systèmes de protection des milieux naturels et des paysages. Une quinzaine de garde-fous ont des conséquences très concrètes et très contraignantes, qui s'imposent à tout le monde. Ainsi, on a évité le mitage, construit des paysages agréables à l'oeil. Dans le Massif central, la loi Montagne interdit de construire une maison neuve à plus de 100 m d'un village ou d'un hameau. Sur les côtes, la loi Littoral s'applique. Et partout ailleurs, tous les nouveaux projets doivent respecter les plans d'occupation des sols, les plans locaux d'urbanisme. Mais pas pour l'éolien industriel : on est en pleine iniquité ! Et on détruit des paysages extraordinaires comme ceux des PNR, dont le malheur avait pourtant fait la force : c'est parce qu'ils ont loupé les trente glorieuses, qu'ils se retrouvent aujourd'hui détenteurs de patrimoines naturels, culturels et paysagers qui sont leurs meilleurs atouts pour un développement intelligent. Sauf si on coupe la branche sur laquelle ils sont assis. Le développement anarchique de l'éolien industriel pose cruellement la question du devenir de nos campagnes en général, et de l'agriculture extensive en particulier.

AE : En tant qu'écologiste convaincu, qu'est ce qui fait que vous ne vous reconnaissez pas dans l'attitude actuelle des associations de défense de l'environnement à l'égard du développement de l'éolien ?

YV : Comme elles, je suis ''pour'' le développement des énergies renouvelables, mais à condition qu'il soit réalisé localement, à l'échelle humaine, des familles, des hameaux et conduit en même temps qu'un plan national d'économie. C'est à cette échelle qu'il prend tout son intérêt. On ment aux gens en prenant des exemples de consommation dans les villages avoisinants pour justifier des installations puisqu'il n'y a pas d'utilisation locale. Instaurons des incitations fiscales pour installer des panneaux photovoltaïques sur les maisons neuves et réhabilitées, du solaire thermique, de la biomasse. Et considérons ces éléments comme constitutifs d'une ressource énergétique à domicile : quand ça marche, vous vous en servez ; quand ça ne marche pas, vous accédez au réseau ; quand vous en avez trop produit, vous vendez à EDF. Et cessons de développer des centaines de parcs éoliens et des milliers d'hectares photovoltaïques industriels (dont l'emprise au sol gèle des terres agricoles, et le développement pollue les prix du foncier) qui nécessitent le raccord au réseau électrique et de nouvelles lignes à THT ! Avec les pertes d'énergie qui en découlent... Je ne me reconnais pas dans les associations de défense de l'environnement favorables au développement de l'éolien industriel. Le fait que nombre d'entre elles réalisent les volets écologiques des études d'impact (trop souvent d'ailleurs de simples inventaires) contre rémunération m'interroge sur leur capacité à être de véritables contre pouvoirs... Comment ces associations dites de « protection de l'environnement » peuvent-elles encourager des projets qui portent dommage à l'avifaune, aux chiroptères ? Si on m'avait dit un jour que je verrai des Préfets ou des ingénieurs de l'équipement donner des avis défavorables à des équipements aussi impactant et ce pour protéger les patrimoines, tandis qu'en face des associations dites de protection de l'environnement les cautionnent, je ne l'aurais pas cru ! Si on m'avait dit que France Nature Environnement publierait des communiqués de presse pour s'offusquer de ce que le Sénat veuille planifier et encadrer un développement industriel (alors que nous poursuivions ensemble des promoteurs moins « impactants » devant les tribunaux administratifs) j'aurais pensé à un canular. Les naturalistes semblent avoir fondu comme neige au soleil dans les associations au profit d'environnementalistes. Les associations elles-mêmes ne connaissent pas l'effet cumulé à terme de tous ces aérogénérateurs ! Sans parler des milliers de tonnes de béton à jamais enfouies dans le sous-sol puisqu'on n'enlève que le tiers supérieur quand on démantèle.

AE : Le débat ''pour ou contre l'éolien'' semble dévier vers le débat ''pour ou contre le nucléaire'', un sujet écarté des discussions du Grenelle de l'environnement. Comment expliquez-vous cela ?

YV : Pour le mouvement écologiste français, la principale motivation dans la défense du développement de l'éolien industriel semble être de ''sortir du nucléaire''. Or l'éolien industriel est structuré comme le nucléaire, d'une manière centralisée. Comme pour le nucléaire, mais en pire compte tenu de la dispersion des sources de production, il faudrait pouvoir compenser le manque de production éolienne (lors des périodes d'absence de vent) par des centrales thermiques. Et cet objectif de 10% de production électrique d'origine éolienne en 2020 fixé lors du Grenelle de l'environnement, c'est l'histoire du tonneau percé... Globalement, la consommation électrique française est exponentielle : plus 5,8 TWh entre 2007 et 2008. Alors qu'on pourrait se fixer un objectif de 30 à 40 % d'économies d'énergie sans plus attendre. Mais on ne peut se fixer un pourcentage de capacité de production sur une courbe de consommation qu'on ne maîtrise pas ! Au résultat, la part des énergies renouvelables dans le bouquet énergétique sera proportionnellement forcément plus faible qu'elle ne l'est aujourd'hui. Et le reste, ce sera quoi ? Du nucléaire. Alors arrêtons l'hypocrisie pour les uns et la politique de l'autruche pour les autres : si on ne change pas les règles du jeu de la centralisation et du gaspillage représentatifs de l'éolien industriel, on aura à la fois le nucléaire et nos plus beaux paysages balafrés.

AE : Ce qui vous dérange, c'est donc la politique publique qui entoure le développement de l'éolien ?

YV : Oui ou plutôt l'absence de politique publique : depuis cet objectif de 10 % en 2020 qui dope le développement de l'éolien industriel, on court derrière pour encadrer un développement anarchique. C'est une course à l'échalote ! C'est comme la prime à la casse : on n'a jamais autant vendu de voitures ! Et puis pour faire une voiture il faut beaucoup de pétrole... Une démarche écologique serait de faire en sorte qu'une voiture dure le plus longtemps possible... Et puis le développement de l'éolien industriel est confié à des sociétés privées qui n'ont pas d'agrément et qui de plus ne garantissent pas le ré investissement dans l'environnement. Certaines collectivités auraient voulu créer une société d'économie mixte (SEM) pour gérer un parc éolien mais très peu y arrivent. Par contre, je connais une collectivité qui en a eu la volonté mais qui, devant la complexité de l'affaire, a dû confier l'exploitation du parc à une entreprise locale, bien vite rachetée par une société canadienne... Alors d'un côté, on oblige EDF à acheter l'électricité produite par les éoliennes à un coût fixe et supérieur à celui du marché de gros de l'électricité ; une opération que l'opérateur historique mène grâce à une taxe inclue dans la facture d'électricité que le citoyen paye. De l'autre côté, n'importe qui peut investir dans des équipements industriels, jusqu'au particulier fortuné dans son jardin sous les yeux du voisin ! Et rien n'oblige ces investisseurs en herbe à s'inscrire dans un cercle vertueux, à réinvestir les bénéfices engendrés par l'exploitation du parc dans la protection de l'environnement ou les économies d'énergie. Aussi, le tarif de rachat imposé à EDF s'apparente à un dopage, qui permet de raccourcir le taux d'amortissement de ces investisseurs. Le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est une branche qui rapporte, y compris pour les exploitants nucléaires.

Propos recueillis par Camille Saïsset

Source :

http://www.actu-environnement.com/ae/news/eolien_moratoire_9344.php4

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En parlant de éolienne, un article intéressant qui confirme mon scepticisme envers cette source d'énergie.

Le développement éolien industriel est quasiment stoppé en France ... suite aux changement réglementaire sur les conditions d'installation. La plupart des entrepreneur éolien sont partis faire leur beurre ailleurs. L'éolien n'est d'ailleurs absolument pas encouragé - sauf les petit modèle pour les particuliers isolés -, la France a raté le coche de l'éolien, industriellement ca ne nous arrange pas. On est en train de rater aussi le coche du solaire ... même si là on a un peu plus d'atout. Par contre on essaye de pas trop rater le coche de l'hydrolien, m'enfin c'est pas gagné. C'est dommage, ce genre d'activité pourrait fournir plein d'emploi pas trop délocalisable.

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Je ne comprends aps pourquoi on essaye de faire a chaque fois un rassemblement des capacités.

On prend un beau plateau et PAF on mets 40 éoliennes qui font que ca ressemble plus du tout à un plateau.

Pourquoi ne pas devellopé au contraire des petites stations?

Qu'est qui nous empeche de mettre des éollienne sur le toit des immeubles ( pas des grosses non plus), des panneau photovoltaiques, des pompes a chaleur ou toutes autres possibilité de crére de l'énergie.

Si on fait ca grande échelle dans des zones urbaines tels paris, lyon marseille bordeaux, ca serai deja mieux et ca éviterai de balafré la nature.

Pour en revenir au grand emprunt, je trouve tout de meme qu'il est trés trés générale et que ca ne mise vraiment pas assez sur els energie renouvelables.

On va encore se retrouver à la masse dans ce genre d'énergie parce que on aura pas misé sur le bon cheval (sacré syndrome A400m)

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Je ne comprends aps pourquoi on essaye de faire a chaque fois un rassemblement des capacités.

On prend un beau plateau et PAF on mets 40 éoliennes qui font que ca ressemble plus du tout à un plateau.

Pourquoi ne pas devellopé au contraire des petites stations?

Les petite structure éolienne c'était la coutume avant. Mais les élu de droite "ruraux" ont crié au scandale du "mitage". Donc le gouvernement a changé la régle. La nouvelle rend impossible, économiquement, ou presque l'installation de petite structure - a peu pret de 6 éoliennes -, pour soit disant favoriser les grande centrale éolienne de plusieurs dizaine de mat.

Le probleme c'est qu'une partie de la pertinence de l'éolien est basé sur le foisonnement, et que la concentration de grosse centrale éolienne fait perdre du rendement au systeme - perturbation dans les flux d'air, distance producteur consommateur, peu de disponibilité de site etc. -

Personne ne veut de grand champ de dizaine d'éolienne chez lui ... encore moins que des petite structure. Donc plus d'éolien en France. Les solution d'éolien en mer ne voit pas plus le jour pour tout un tas de raison lié entre autre a la cohabitation avec les autres usagers du littoral.

Qu'est qui nous empeche de mettre des éollienne sur le toit des immeubles ( pas des grosses non plus), des panneau photovoltaiques, des pompes a chaleur ou toutes autres possibilité de crére de l'énergie.

Le code de l'urbanisme ... les moments historique, les reglementation de lotissement, etc. Tout est tres compliqué en France, et y a toujours quelqu'un a qui sa ne plait pas et qui a des recourt en justice qui durent des années. De quoi décourager les plus ambitieux.

Ailleurs y a un guichet unique qui gere les autorisation d'implantation, en 3 semaines tu a une décision définitive, et donc une sécurité juridique et financiere. En France un changement de mairie et on te fait démonter ton truc ! forcément ca échaude.

Seule les construction "neuve" incluant structurellement des dispositf solaire - thermique ou voltaique - dispose de certaine facilité. Mais par exemple couvrir un parking de supermarché de pare-soleil solaire-électrique et quasi impossible en l'état du code de l'urbanisme. Transformer son toit terrasse en toit végétal est réglementairement difficile ... etc.

Si on fait ca grande échelle dans des zones urbaines tels paris, lyon marseille bordeaux, ca serai deja mieux et ca éviterai de balafré la nature.

Pour en revenir au grand emprunt, je trouve tout de meme qu'il est trés trés générale et que ca ne mise vraiment pas assez sur els energie renouvelables.

On va encore se retrouver à la masse dans ce genre d'énergie parce que on aura pas misé sur le bon cheval (sacré syndrome A400m)

On a notre boulet nucléaire a tirer... avec une logique de tout ou rien. C'est terrible mais chez nous la nuance n'existe pas.

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Le développement éolien industriel est quasiment stoppé en France ... suite aux changement réglementaire sur les conditions d'installation. La plupart des entrepreneur éolien sont partis faire leur beurre ailleurs. L'éolien n'est d'ailleurs absolument pas encouragé - sauf les petit modèle pour les particuliers isolés -, la France a raté le coche de l'éolien, industriellement ca ne nous arrange pas. On est en train de rater aussi le coche du solaire ... même si là on a un peu plus d'atout. Par contre on essaye de pas trop rater le coche de l'hydrolien, m'enfin c'est pas gagné. C'est dommage, ce genre d'activité pourrait fournir plein d'emploi pas trop délocalisable.

Pour ma part, ce n'est pas une grande perte que "éolienne industriel" vise d'autre contrée. J'ai toujours trouvé celle-ci encombrante, peu productive et moche. D'ailleurs, je pense la même chose pour les central solaire. Attention, je ne suis pas contre l'énergie renouvelable ; mais mon opinion est plus favorable aux modèle d'éolienne plus petite, panneaux photovoltaïque (sur les habitations) et l'utilisation de la façade maritime (et fluviale).

Malheureusement, on peut toujours fantasmer sur un plan cohérent pour le développement des énergies renouvelables ou propres.

En faite, vous parlez des RER dans les banlieues mais il avait le fameux "plan banlieue" qui prévoyait un développement des transports publiques, que devient-il ?

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