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AIR-DEFENSE.NET

g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. http://art-ds.blogspot.com/2009/02/un-tu-160-russe-aurait-survole-le.html Un Tu-160 Russe aurait survolé le canada Le Ministre de la Défense canadien a fait l'annonce hier du survol près de la frontière canadienne d'un Tu-160 (bombardier stratégique supersonique) à proximité de la frontière aérienne canadienne. Rappelons que des Tu-160 sont au Vénézuela depuis qu'une coopération a été conclue entre la Russie et le Vénézuela. Rappelons aussi accesoirement que la Russie a aussi désormais une coopération militaire avec la Bolivie. Le ministre de la Défense canadien a aussi déclaré que le 18 février, des F-18 canadiens ont décollé pour aller signifier au bombardier stratégique qu'il était trop proche de la frontière aérienne canadienne. Les Canadiens qui ne trouvent pas cela de bon ton alors que le président obama devait se déplacer au canada deux jours après. Les russes de leur côté parlent d'une plaisanterie. Mais le problème est que les actions de se genre sont fréquents côté russe. Et bien souvent, ils annoncent qu'ils ne sont pas en tort! Selon les Russes, cette fois-ci l'itinéraire respectait les conventions internationales en matière d'espace aérien et les pays à proximité des quels l'avion passait avait été prévenus. Bref, une intimidation de plus au compte des russes.
  2. T'es acheteur chez BlackWater ?! :lol:
  3. g4lly

    au suivant !!!

    Bienvenue Jethro !!!
  4. http://www.lorient.maville.com/actu/actudet_-Le-navire-anti-pirates-est-invente-a-Lorient-_dep-842256_actu.Htm Le navire anti-pirates est inventé à Lorient À l'arrière du navire, deux pneumatiques rigides sont prêts à être mis à l'eau pour intervenir sur un bateau pirate. : DCNS Quinze personnes y consacrent tout leur temps, depuis fin 2008, dans les bureaux de DCNS. Les attaques terroristes, prises d'otages, narcotrafics de ces derniers mois ont incité le constructeur naval DCNS à s'intéresser à la conception d'un navire dédié à la lutte de ces nouvelles menaces. « Les États visés sont preneurs », affirme Jean-Pierre Cruciani. Il travaille au sein de la cellule, créée spécialement à Lorient, depuis début janvier. Elle est composée d'une quinzaine d'ingénieurs et d'architectes. Ils ont conçu le bateau. C'est la version « simplifiée » d'un bateau militaire de la famille des corvettes Gowind. Longue de 90 m, cette unité peut embarquer un équipage de 60 personnes et dispose d'une autonomie suffisante pour effectuer de très longues opérations en mer. L'équipe lorientaise, dirigée par Marc Maynard, s'est rapprochée des commandos, basés dans le port morbihannais. « Leur expérience a été très importante. Les pirates ont un mode opératoire particulier. Il faut aussi tenir compte de la réglementation, quand on veut intervenir sur un bateau suspect. » Grâce à des drones aériens ou marins (engins espions, sans personne à bord), largués du bateau, l'ennemi présumé peut être approché sans prendre de risques humains. À l'arrière du navire, deux pneumatiques rigides sont prêts à être mis à l'eau. « Notre technique de largage est la plus rapide du monde. » D'autres constructeurs se sont aussi positionnés. Mais DCNS affirme que sur le marché international, son bateau est le moins cher et le plus innovant en terme de technologies. Combien coûte une telle unité ? Secret Défense. Les contacts avec les clients étrangers sont avancés. À DCNS-Lorient, on promet que si commande il y a, la construction pourra démarrer dans la foulée. Françoise ROSSI. Ouest-France
  5. http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-400-victimes-en-mer-c-est-trop-pour-le-sauveteur-P-_8619-842431_actu.Htm 400 victimes en mer, c'est trop, pour le sauveteur La Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) organise un grand forum, à Paris, le 3 mars, sur la sécurité. Son président veut rendre la navigation encore plus sûre. Amiral Yves Lagane, président de la SNSM. La SNSM organise un forum « Mer en sécurité » à la Villette, mardi. Peut-on encore réduire le nombre des victimes en mer ? 400 décès par an, c'est encore trop. Sur une évaluation de 2006, nous observons, par exemple, que les sports nautiques (82 décès) ou le motonautisme (60) font autant de victimes que la pêche (60). La voile (8) est, par contre, beaucoup plus sûre. Le développement d'activités (tourisme, énergies nouvelles, etc) qui devront maintenant cohabiter toute l'année, à moyenne distance du littoral, interpelle également en matière d'organisation de la sécurité. À La Villette, nous invitons donc des institutionnels, des professionnels, des sauveteurs et des skippers de la course au large qui peuvent témoigner, pour réfléchir à la façon d'améliorer les choses. Il y aura même des industriels fabricants d'équipements. Les nouvelles balises individuelles par exemple ? À Audierne et à Etaples, nous participons à des essais d'équipements des pêcheurs en balises donnant l'alerte en cas de chute à la mer. Les dispositifs actuels ne conviennent pas parce que trop fragiles ou encombrants. Et pour en abaisser le coût par des grandes séries, il faudrait en adapter l'usage à un public plus nombreux, comme les plaisanciers. Nous nous interrogeons aussi sur la protection contre les traumatismes, les hypothermies. Et les moyens de la SNSM ? La flotte de nos 240 stations a été considérablement modernisée. En métropole, cela va bien grâce au plan de financement (État, régions, départements). Nous allons maintenant nous pencher sur la conception d'un nouveau type de canot tous types de temps. Il ne devra pas seulement être un excellent bateau, mais aussi une véritable ambulance marine. Nos efforts concerneront aussi nos 7 000 bénévoles, dont 4 000 membres d'équipage. Les conditions modernes d'intervention nécessitent des compétences quasi-professionnelles. J'imagine un système de formation permanente dans différents domaines (secourisme, navigation, etc). Il faut sécuriser le secours aux victimes, comme les conditions d'intervention de nos hommes. Enfin, un seul pépin, à une époque où les sinistres sont très vite judiciarisés, pourrait être désastreux pour notre recrutement. Les sauveteurs doivent prendre la mer l'esprit tranquille. Les pêcheurs ne vous manquent pas trop ? Ils représentent toujours 15 à 20 % de nos effectifs. Et contrairement à ce qu'on avait craint un temps, dans des stations isolées comme Sein ou Molène, on ne manque pas d'équipages. Nous recrutons aussi beaucoup de gens motivés parmi les professionnels de la plaisance. Mais nous avons aussi parmi nos patrons de canot... un agriculteur normand.
  6. [dailymotion=425,350]x8iowe[/dailymotion] http://www.defense.gouv.fr/ema/operations_exterieures/afghanistan/breves/afghanistan_operation_grand_duc_en_surobi_video Le 21 février 2009 s’est déroulée la première opération d’envergure du bataillon français (BATFRA) depuis sa prise de responsabilité dans la région de Surobi le 7 février 2009. 550 soldats et plus de 60 véhicules blindés ont été mobilisés pour cette opération de reconnaissance en soutien des forces de l’armée nationale afghane (ANA) dans la vallée de Jegdalay (Sud de la région). Le déploiement du BATFRA a débuté par l’héliportage de nuit d’une section d’infanterie. Elle avait pour mission de tenir un point haut afin d’assurer la sécurité de l’engagement de deux compagnies d’infanterie et de l’escadron de reconnaissance dans la vallée en bénéficiant de l’appui permanent de moyens aériens de la coalition et de mortiers. Cette opération a permis d’établir des contacts précieux avec la population et d’appuyer l’ANA dans une opération d’assistance aux populations. Les Français ont reçu un premier accueil favorable par les habitants de la vallée qui ont insisté sur la sécurité que doivent apporter les forces de sécurité afghanes et la FIAS. " Il s’agissait pour nous d’appuyer les forces de sécurité afghanes dans leur mission de contact avec la population. Le bilan est très positif car, outre une meilleure connaissance du terrain, cette opération nous a permis de prendre contact avec les différents villages et de bien expliquer notre mission à leur profit avec nos amis de l’Armée afghane " explique le colonel Franck Chatelus, chef de corps du BATFRA. Le BATFRA est l’un des trois bataillons du Régional Command Capital, aux côtés des bataillons turc et italien. Ses unités BATFRA mènent des actions à la fois préventives et dissuasives, effectuent des patrouilles quotidiennes, à pied et en véhicules, au contact des Afghans, et contribuent à la sécurité de la population.
  7. http://www.defense.gouv.fr/ema/operations_exterieures/afghanistan/breves/afghanistan_aide_medicale_aux_populations_en_vallee_d_alasai_video Jeudi 16 février dernier, lors d’une action civilo-militaire menée dans la vallée d’Alasaï, une équipe médicale du groupement tactique interarmes français a apporté des soins à près de 70 civils afghans. "La population afghane souffre de maladies infectieuses, notamment au niveau des voies respiratoires, à cause des conditions d’hygiène et de santé très précaires ", explique le médecin chargé de cette opération dans le village de Dawaltkhel. Les médecins militaires ont pour mission principale et prioritaire de soigner les soldats français. A cet effet, chaque compagnie du bataillon français dispose de son propre médecin qui l’accompagne, avec son équipe, lors de chaque opération sur le terrain. Mais leur action ne s’arrête pas au seul soutien de la force. Ils déploient des équipes médicales auprès de la population pour assurer des soins et distribuer des médicaments. Ces équipes sont toujours composées de médecins et d’infirmiers militaires français parfois accompagnées de leurs confrères américains et afghans. Une infirmière explique sa mission ce matin en vallée d’Alasaï : " mon rôle est de m’occuper des femmes afghanes. Pour qu’il n’y ait aucune ambigüité, je retire mon casque et laisse apparaître mes cheveux. Le contact personnel est primordial. Nous sommes attachés au respect de la culture et des traditions. Ici, je me sens très utile et je pratique des gestes paramédicaux tous les jours, notamment avec les enfants ". La population afghane peut également venir consulter les médecins français aux postes de secours des bases avancées de Nijrab et de Tagab. Tous les matins, les équipes se préparent à recevoir une quinzaine de consultants. " Nous sommes leur dernier rempart ", commente le médecin principal du poste de secours de Nijrab. " Dans la région, les médecins civils sont rares. Nous apportons nos moyens et nos compétences à la population ". Depuis l’arrivée de la 27e brigade d’infanterie de montagne en novembre 2008, plus de 600 personnes ont été soignées par les équipes médicales du GTIA Kapisa. Certains arrivent parfois sur les bases militaires dans un état critique. Des vies ont déjà été sauvées, notamment des enfants victimes d’accidents domestiques ou de mines anti-personnel. Depuis le mois d’août 2008, date d’arrivée des militaires français en Kapisa, 1700 civils afghans ont reçu des soins médicaux dispensés par les médecins de la Task Force. Le poste de secours de Nijrab
  8. C'est assez étonnant la trajectoire de la pointe des pales qui "descend" si bas qu'elle vient scalper la perche. En pratique c'est la pointe de la perche qui est montée plus vite que l'helice n'a rerpis sont assiette normal suite a la manoeuvre brule piqué cabré piqué, et seule l'extreme pointe de la perche touche l'helice meme si un gros bout s'arrache. M'enfin on voit que le ravito en vol c'est pas simple en avion et encore moins en helico.
  9. Tres délicat... http-~~-//www.youtube.com/watch?v=ckOaHGMEQ68
  10. GDM – Gunshot Detection Module Enabling precise sensor to shooter capability Main characteristics - Detects & locates gunshot muzzle-flash - Reports azimuth & elevation with respect to mechanical interface axis - Specifications: - Field of View: 360°/6×24° - Accuracy: <0.3° - Urban and open field - Day/night - Stationary or on the move - Weight: <1Kg (<0.4kg without enclosure) - Power consumption: <9Watts Applications - With RCWS - Situation awareness for vehicles - On tripod - In stationary posts - With vision systems Optigo's GDM is the most cost effective Gunshot Detection product with sensor-to-shooter capability, offered in the market today 17:05 GMT, February 27, 2009 Lod, Israel -- December 2008 -- Optigo Systems Ltd., leading developer and manufacturer of electro-optical technologies and products, launched its main gunshot detection module (GDM) and conducted a successful live demonstration of the system’s capabilities in front of potential customers from various armies and defense organizations from around the world. GDM is an electro-optical device with sensor-to shooter capability (i.e shooting back at the shooter) provided through accuracy of the bearing towards the muzzle flash. Optigo’s GDM is priced at a fraction of the price of other optical gunshot detection systems, and is the only optical gunshot detection product offered at the price range of acoustic gunshot detection products. The GDM adds precise gunshot detection and locating capabilities to a variety of systems, such as hand-held night vision devices, vehicle-mounted RCWS (Remote Controlled Weapon Station) and helicopters. The GDM detects gunshot muzzle-flashes within a nominal field of view of about 60? x 24?, transmitting the azimuth and elevation (with respect to its mechanical interface) and time-tag of the detected gunshot events back to the system. The accuracy of the azimuth and elevation is higher than 0.3 degrees, enabling precise sensor-to-shooter capability. The detection range of the GDM is approximately the effective range of respective light-arms, 0.5” and 20mm projectiles. The GDM can detect RPG launches as well. GDM works equally well in open and urban battlefields, with no miss-distance limitations. GDM performance was demonstrated to potential customers through a GDM-based demonstration concept of gunshot detection for the dismounted soldier (TED). TED was demonstrated against widely spread assault rifles. The TED live fire demonstration showed a quick response, closing the circle of fire within 4-5 seconds. “TED is capable of automatically detecting the enemy's gunshot location within a wide field of view, enabling fast and accurate response directly at the gunshot source.” Said Ori Aphek, CEO of Optigo Systems. “The live demonstration confirmed TED’s high potential in enhancing the mission effectiveness of combat soldiers or security officers, both in urban and in open battlefield environments.” Applications for Optigo’s Gunshot Detection System are mainly land-based ones, including: dismounted soldier (either helmet-mounted, included in hand-held night vision devices, or tripod-mounted) and light vehicles, especially if equipped with RCWS, which the GDM can automatically feed targets to. Nevertheless, Optigo pointed out the possibility of using the technology as a Hostile Fire Indicator (HFI) for helicopters. Six GDMs can cover 360? around the platform and alert the pilot that it is being shot at. The company indicated that it can cover even a wider vertical field of view, if needed. Although the demonstration of the GDM was stationary, the company claims that the system works equally well when in motion.
  11. http://blogs.lexpress.fr/afghanistan/2009/02/en-afghanistan-2009-risque-det.php "En Afghanistan, 2009 risque d'être aussi difficile que 2008" Comme promis, voici un petit condensé d’environ 5 heures de briefings, dont un déjeuner, avec des responsables de l’Otan, ce jeudi. Nous avons d’abord abordé l’aspect militaire de l’action de l’Alliance transatlantique en Afghanistan, à Shape (Mons), puis son aspect plus politique, au QG de l’Otan (Bruxelles). Comme la plupart des entrevues étaient seulement on background (interdit de citer les noms), je me permets d’en extraire la substantifique moelle, estampillée de "sources proches du dossier afghan à l’Otan". Verbatim. "2008 a été une année difficile en Afghanistan, en termes d’attaques ou de pertes civiles. La situation est critique mais pas désespérée. Elle ne devrait pas s’améliorer beaucoup en 2009, année électorale en Afghanistan... Elle devrait même devenir plus difficile avant que la tendance ne s’inverse. Car il y a un cap à franchir. Jusqu’à présent, l’Isaf fait des progrès mais ne parvient pas à les maintenir. C’est comme si on grimpait un flanc de montagne avant de glisser puis de remonter et de glisser à nouveau: il faut passer le sommet pour que les progrès soient irréversibles. Et que l’insurrection ne profite plus de ces moments où les forces de l’Isaf et l’armée afghane reculent, par manque de moyens." Voir la carte du déploiement des troupes et du partage de leur commandement selon les régions. Une nouvelle stratégie? "Non, pas de nouvelle stratégie. Celle qui est employée, l’approche globale qui mêle intervention armée, reconstruction, aide au développement et installation d’une nouvelle gouvernance, est jugée bonne. C’est sa mise en œuvre complexe qui pose problème. La solution n’est pas purement militaire. Mais pour pouvoir installer de nouvelles infrastructures, faire grandir de jeunes institutions et, donc, faire gagner le gouvernement afghan en légitimité en fournissant des services indispensables (éducation, santé, transports, justice…), il faut créer une bulle de sécurité." Comment créer cette bulle de sécurité? "En envoyant plus de troupes. Et les Etats-Unis ne peuvent pas le faire seuls. C’est l’un des enjeux du prochain sommet de l’Otan, à Strasbourg, début avril, et sans doute d’une réunion portant sur l’Isaf qui devrait le précéder (sans précision de lieu ni de date pour le moment). A cette occasion, il ne faudra pas trop stigmatiser les pays qui hésiteront sur le chapitre des troupes. Car ces pays peuvent contribuer autrement à l’effort, en finançant des projets de reconstruction, par exemple." Le sud du pays concentre les handicaps… "La culture du pavot et la production de drogue, source de financement pour les taliban, y sont très répandues. Les filles ne vont presque pas à l’école alors que, dans d’autres régions, des progrès sont observés. C’est aussi dans cette partie du pays que la violence se concentre et que les insurgés ont repris des forces alors que l’Isaf ne regardait pas trop dans cette direction. 75% des attaques sont menées dans 10% des districts où vit 6% de la population." Comment la population perçoit-elle le conflit… "Les taliban ne sont pas populaires. Les gens ont peur d’eux, alors qu’ils prennent des civils pour boucliers humains régulièrement. D’ailleurs, lorsque nous faisons des victimes civiles lors de bombardements aériens, c’est parce que nous ignorions qu’il y avait des civils, nous visions des insurgés. bruxelles 020.jpg Ce sont des erreurs malheureuses qui sapent le soutien que nous porte la population, pour qui l’Isaf est un mal nécessaire… mais il n’y a pas de guerre propre et celle-ci est particulièrement laide." … et le président Karzai? "Les gens sont déçus parce que leurs attentes étaient grandes. Les Afghans, malgré 30 années de guerre, ont encore de l’espoir. Hamid Karzai, très critiqué en ce moment, a fait ce qu’il pouvait, il était sans doute le meilleur pour prendre la tête du pays, pour commencer. Les autorités sont corrompues? C’est un problème qui ne touche pas que l’Afghanistan!" Lire l'édito du Guardian pour qui le gouvernement perd du terrain. Quel changement apporte la nouvelle administration Obama? "Elle dit tout haut ce que nous savions depuis longtemps, comme le fait que l'Irak faisait de l'ombre à l'Afghanistan. Ou veut que nous fassions ce que nous faisons déjà: l'approche globale. Mais Obama apporte tout de même beaucoup de bien au dossier afghan. Notamment parce qu'il a une approche régionale, qui inclut notamment la question pakistanaise, cruciale: pour les taliban, il n'y a pas vraiment de frontière entre les zones tribales afghanes et pakistanaises, à vrai dire." "Afghanisation" "Il faut insister sur le rôle des Afghans dans tout ce qui est entrepris. Les PRT, les projets de reconstructions menés dans les provinces du pays, sont conduits main dans la main avec les Afghans, par exemple. Mais il faut aussi former, entraîner et responsabiliser l’armée afghane, ce qui est un succès jusqu’à présent, et la police afghane. Là, le défi est de taille: pour l’heure la police, corrompue et peu entraînée, est le maillon faible en Afghanistan. Il est d’ailleurs dommage que les Etats-Unis n’aient pas investi plus dans la police et la justice et se soient concentrés sur l’armée." Combien de temps la guerre durera-t-elle? "Aussi longtemps que nécessaire. Et aussi longtemps que les Afghans le souhaiteront. Mais sans doute pas au même niveau d’engagement. Il se peut qu’il reste des hommes sur place dans 20 ans, même si le chiffre fait peur, mais ce seront peut-être simplement 5000 conseillers politiques… Il est important de ne pas fixer de date de départ tant que l’insurrection n’est pas défaite. Car elle redémarrerait et s’en prendrait à la population dès que nous aurions quitté les lieux." Comment gagner la guerre? "On ne la perdra qu'en se retirant trop tôt. Si le job n'est pas terminé et si nous laissons un vide que les taliban rempliront."
  12. Je parlais pas d'une disparition mais d'une réduction ... du moins dans la flotte B52 et B1.
  13. g4lly

    Ici on cause fusil

    Les 249SPW ou Mk46Mod0 - canon 16.5" - font 5.7kg ou 13lbs ... soit pas significativement plus lourd que les concurrent IAR sauf l'HK. Visiblement le but est vraiment d'abandonner la bande contre le chargeur pour tirer a l'économie.
  14. http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/02/27/l-hyperpresidence-de-nicolas-sarkozy-suscite-des-critiques-grandissantes-dans-son-camp_1161149_823448.html#ens_id=1136794 Les ministres doutent de la méthode Sarkozy C'est off." Ministres ou conseillers, ils ne veulent pas être cités. Mais le constat est sur toutes les lèvres : le système de gouvernance de Nicolas Sarkozy s'essouffle. L'hyperprésidence atteint ses limites. La méthode devait permettre d'aller plus vite, en menant de front toutes les réformes à partir de l'Elysée. Au bout de deux ans, la machine semble se gripper. En attestent la multiplication des reculs (réforme des lycées, enseignement supérieur, travail du dimanche) et la chute de la cote du président dans les sondages. L'Elysée ne parvient pas à assurer la mise en oeuvre effective des mille et une réformes annoncées à grand renfort médiatique. L'intendance ne suit pas. "Une fois qu'on a décidé, on n'est pas capable de suivre les réformes. C'est humainement, administrativement, impossible", affirme un conseiller de l'Elysée. Enfin, l'équipe gouvernementale est laminée, inaudible. Plusieurs ministres appellent à un changement d'équipe et de méthode, alors que le chef de l'Etat s'expose à tout propos, sans parvenir à montrer un cap. "Il faut reconstituer un gouvernement, un vrai, et placer un écran entre le président et les événements", exhorte un ministre. "Nicolas Sarkozy doit faire ce qu'il ne sait pas faire : travailler en équipe et valoriser ses ministres. La question est de savoir s'il est capable de se remettre en question après deux ans de pouvoir", estime un second. " Il faut accepter d'avoir des ministres qui soient des personnalités et qui peuvent dans une certaine limite mener une politique autonome", demande une troisième. Le chef de l'Etat, qui attribue son impopularité et sa prudence accrue à la seule crise économique, dit ne rien vouloir changer. "Il est d'une sérénité absolue", estime un conseiller. Tout juste ce dernier concède-t-il qu'"il lui manque un Dominique Strauss-Kahn, qui occuperait le ministère de la parole économique avec talent". Il lui manque aussi une Martine Aubry, une Elisabeth Guigou, un Jean-Pierre Chevènement, bref l'équipe qui avait fait le succès des débuts du gouvernement de Lionel Jospin. Mais à écouter l'entourage du président, aucune personnalité de poids ne serait à l'extérieur. Jean-Pierre Raffarin ? Il ne s'entend pas avec le président. Alain Juppé ? C'est un "vieux monsieur", ose-t-on. Le manque de personnalités s'explique en partie par l'évolution des institutions. M. Jospin gouvernait sous un régime parlementaire, celui de la cohabitation, tandis que M. Sarkozy tire les conséquences d'institutions devenues quasi présidentielles avec l'introduction du quinquennat. "Un ministre m'a dit : "si tu revenais au gouvernement, tu ne reconnaîtrais par le job", raconte Jean-François Copé, président du groupe UMP de l'Assemblée nationale. Le système est déséquilibré par la faiblesse des contre-pouvoirs : les ministres sont en bail précaire alors que la désignation des secrétaires américains est confirmée par le Sénat, en général pour quatre ans, tandis que le Parlement n'exerce pas encore les pouvoirs dévolus par la Constitution révisée. "Le défi, c'est d'avoir en face de l'"hyperprésident" un "hyperparlement" sur lequel les ministres doivent s'appuyer", estime M. Copé. M. Sarkozy bloque le système par son activisme et sa propension à s'entourer de personnalités qui lui doivent tout, comme l'analyse l'eurodéputé UMP Alain Lamassoure, grand déçu du sarkozysme : les fidèles historiques (Patrick Devedjian, Brice Hortefeux), ceux qu'il a tirés de l'anonymat (Rachida Dati, Rama Yade) et les transfuges, qui n'ont pas de possibilité de retour en arrière (Eric Besson, Bernard Kouchner). "Le seul type non humilié, c'est l'"ami" du président, Brice Hortefeux. Sinon, vous n'êtes rien. Ce système détruit l'idée de gouvernement", tranche l'ancien eurodéputé centriste Jean-Louis Bourlanges. M. Sarkozy malmène ses ministres, les fait recadrer par Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée : la ministre des finances, Christine Lagarde, en a fait les frais à l'automne 2007, puis ce fut le tour, fin 2008, de la secrétaire d'Etat aux droits l'homme, Rama Yade. Mais la colère présidentielle vaut thérapie. "Sarkozy ne vire pas", constate une ministre. Les remaniements au fil de l'eau sont anxiogènes et ne permettent pas de se débarrasser des maillons faibles. "Ce n'est pas très bon pour l'ambiance gouvernementale. On attend toujours le coup d'après", confie un secrétaire d'Etat qui, comme tous les secrétaires d'Etat, rêve de devenir ministre. "Ce ne sont pas les gens qui sont faibles, c'est l'organisation", résume-t-il. Les membres du gouvernement sont soumis aux grands féodaux que sont les conseillers de l'Elysée (Raymond Soubie pour le social ; François Pérol, hier, Xavier Musca demain pour les finances ; Jean-David Levitte pour les affaires étrangères). "Les conseillers sont infiniment plus importants que les ministres", poursuit M. Copé. La situation est compliquée pour Michèle Alliot-Marie (intérieur), Bernard Kouchner (affaires étrangères), Rachida Dati (justice), dont la mésentente avec leurs interlocuteurs respectifs (Claude Guéant, Jean-David Levitte, Patrick Ouart) est de notoriété publique. Quant aux ministres dont le "référent" n'est pas présent à la réunion décisive de 8 h 30, présidée par M. Guéant, ils se retrouvent sans relais fiable à l'Elysée. C'est le cas des pôles environnement (Jean-Louis Borloo, Chantal Jouanno) et éducation (Xavier Darcos, Valérie Pécresse). Leur seul recours est le lien direct avec M. Sarkozy, vers qui tout ramène. Les annonces incessantes du président donnent l'illusion d'une équipe de choc qui ferait bouger la France. Mais l'administration résiste. Plutôt que de repenser leur propre organisation, l'Elysée mais aussi Matignon s'en prennent au conservatisme de la haute fonction publique. "Elle a du mal à changer rapidement de politique, suivre le train des réformes qu'on lui impose. Régulièrement, il faut rappeler à l'ensemble des structures que la volonté politique doit primer", déclarait le premier ministre François Fillon dans un entretien au Monde du 3 février. Les esprits critiques n'osent pas aborder ces sujets avec le chef de l'Etat. "Les ministres ne disent rien, ils s'occupent de rester ministre", affirme un conseiller mécontent de la situation. On chuchote, on fait passer un message, en espérant que l'information remontera. Les réunions dites du G7, qui rassemblaient les ministres les mieux à même de vendre l'action du gouvernement, ne sont plus ce qu'elles étaient. "La dernière fois, nous avons été reçus par Claude Guéant", pour accorder la communication sur le sommet social, se lamente un participant. Et les réunions de travail ne prêtent pas à la critique. "Sarkozy ne s'exprime pas sur ses difficultés, confie une ministre. Les débats sont assez francs, mais tournés vers l'action."
  15. http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2009/02/27/le-pib-americain-a-chute-de-6-2-au-4e-trimestre_1161371_3222.html#ens_id=863164&xtor=RSS-3208 Le PIB américain s'est écroulé à la fin 2008 Le produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis a chuté au quatrième trimestre de 6,2 % en rythme annuel par rapport au précédent, contre 3,8 % initialement annoncé, selon les chiffres publiés vendredi 27 février par le département du commerce. Ce chiffre est bien pire que celui prévu par les analystes, qui tablaient sur un recul de 5,4 %. Après le recul de 0,5 % au troisième trimestre, c'est le deuxième trimestre consécutif de baisse du PIB, ce qui n'était pas arrivé depuis la récession de l'automne-hiver 1990-1991. Sur l'année 2008, la croissance a été de 1,1 %, contre 1,3 % précédemment annoncé. Cette croissance est la plus faible depuis 2001, où elle était tombée à 0,8 %. En 2007, elle avait été de 2 %. "Les sources de faiblesse de l'activité ont été les mêmes que celles indiquées lors de la première estimation", a expliqué le département du commerce, qui cite "un ralentissement net des exportations, une poursuite de la baisse des dépenses des ménages, une réduction encore plus forte de l'investissement des entreprises, et un baisse continue du marché immobilier". Les dépenses de consommation, qui représentent les deux tiers de l'activité économique, sont en berne. Au quatrième trimestre 2008, elles ont reculé de 4,3 %, leur plus forte chute depuis le deuxième trimestre de 1980, après avoir déjà enregistré un recul de 3,8 % au troisième trimestre. L'investissement des entreprises est lui aussi en chute, de 20,8 %, le plus fort recul depuis 2001. Il contribue à faire baisser le PIB de 3,11 points. L'investissement privé dans le logement pèse aussi lourdement, ayant reculé de 22,2 %.
  16. g4lly

    [Quizz] Char / Archive

    L'upgrade RAM/RS avec le train roulant des BFV n'a pas fait l'objet d'une nouvelle appelation?! c'est tjrs des 7a1 ...
  17. g4lly

    Aéronavale US

    http://www.corlobe.tk/article12884.html DARPA a lancé une étude sur un programme de lutte anti-sous-marine. Il s’agit du programme Interrogative Anti-Submarine Warfare (IASW) et l’agence de recherche de la défense américaine prévoit une journée pour recevoir des propositions le 13 mars prochain à San Diego. Comme beaucoup de choses dans la lutte anti-sous-marine, tout sera classifié. On pourrait grossièrement traduire le nom du programme par “Interrogations sur la lutte anti-sous-marine”. Selon le DARPA, le programme est destiné à "réduire fortement l’écart de temps entre la détection et l’engagement pour les systèmes de détection tactique anti-sous-marine de l’US Navy". Apparemment, les avions et hélicoptères avec équipage sont beaucoup trop lents. Lorsqu’on chasse des sous-marins, explique le DARPA, le passage de la détection à l’engagement nécessite actuellement d’envoyer un aéronef avec équipage sur la possible position du contact pour réacquérir (c’est à dire déterminer à nouveau la position du contact) la cible. Pour des navires, cela veut dire un hélicoptère. Pour un avion de patrouille maritime, cela signifie d’interrompre la recherche et de descendre en altitude pour valider le contact et engager la cible. Comme les contacts doivent être confirmés séquentiellement, explique l’agence, cela entraîne une faible tolérance pour les fausses alarmes et une capacité limitée à gérer des cibles multiples. Donc le programme IASW va examiner des technologies et des concepts "qui permettent une investigation rapide et presque simultanée de contacts à longue-distance sans les coûts de mission des aéronefs avec équipage". Le DARPA cherche une classification rapide, une détection très fiable et des communications robustes de positions multiples à longue-distance. DARPA on ASW - More, Faster and Further DARPA has its eye on another new program - and I'm not sure quite what it involves. It's called the Interrogative Anti-Submarine Warfare (IASW) program, and the research agency plans a proposers' day on March 13, in San Diego, but it will be classified, as is a lot of ASW stuff. According to DARPA, the program aims to "dramatically close detect-to-engage timelines for Navy tactical ASW search systems". Apparently manned aircraft are way too slow. When hunting submarines, says DARPA, the step between detect and engage currently involves sending a manned aircraft to the possible contact position to re-acquire the target. For ships, that means a helicopter. For a maritime patrol aircraft, it means breaking off the search and dropping down to validate and engage the target. As contacts must be investigated sequentially, the agency says, there is little tolerance for false alarms and limited ability to handle multiple targets. So the IASW program will look for technologies and concepts "that permit rapid and near simultaneous interrogation of long-range alerts without the mission costs of manned aircraft". DARPA is looking for fast delivery, highly reliable detection and classification, and robust communications from multiple locations at long range. Any ideas? Sounds like a high-speed unmanned aircraft to me. Maybe one that can dash to a target area, scurry around sowing sonobuoys in multiple locations then climb and loiter to relay the results back to the ASW platform. Or a supersonic missile that can deploy multiple mini-buoys. Or something completely different...
  18. http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3acb90e6a0-97e3-44a3-a1ed-6f1e84c9c441 The British Defense Ministry has been forced to delay deploying the Tornado GR4 to Afghanistan to replace the Harrier GR9. Due to go at the start of April, the GR4 deployment will now occur during the “summer.” Completing the integration of several urgent operational requirements to bring the GR4 to theater entry standard, and pouring concrete at Kandahar have resulted in the date being shifted. Bob Ainsworth, the British minister for the armed forces says: “. Delays in construction of the necessary supporting infrastructure and our current estimate of the time required to complete the Tornado Urgent Operational Requirement (UOR) enhancements means that the Tornado GR4s will now deploy in summer 2009. We expect delivery of the UORs in advance of completion of the infrastructure project and will keep both programs under constant review to ensure completion as quickly as possible.” Ainsworth adds that as a result of the GR4 delay that 1 Squadron will replace IV Squadron in mid April to continue to provide air support with the Harrier GR9.
  19. http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3acb90e6a0-97e3-44a3-a1ed-6f1e84c9c441 Bell's OH-58D Kiowa Warrior has been described as the US Army's hardest working helicopter. There are around 90 aircraft deployed in Iraq and some 30 in Afghanistan and of the Kiowa Warrior fleet's total of more than 1.55 million flight hours, over 360,000 have been logged in combat. With cancellation of the Army's ARH-70A Arapaho Armed Reconnaissance Helicopter (ARH), it looks like the OH-58D will have to keep working a while longer. But the Kiowa Warrior isn't going to soldier on without some significant upgrades, and the Army's Aviation Applied Technology Directorate i(AATD) is working on a couple of new ones: small guided munitions and unmanned air vehicle connectivity. The latter is an extension of the VUIT-2 program, under which the AH-64D Apache has been equipped with the ability to receive video from UAVs and transmit its own sensor imagery to the ground - to great effect in Iraq. AATD plans to award L-3 Communications a contract to demonstrate VUIT-2 on the OH-58D using its Vortex TCDL datalink radios. These will allow the Kiowa to receive video from Army UAVs and VUIT-2 Apaches, and transmit imagery from its own mast-mounted sensor to the AH-64Ds and remote video terminals on the ground. AATD, meanwhile, plans a quick demonstration of a number of guided munitions on the Kiowa Warrior - some time between July and September. The directorate is planning discussions with five providers of suitable weapons - one of which we have not heard of before. Three of the five are laser-guided 2.75in (70mm) rockets: Alliant Techsystems GATR, BAE Systems APKWS, and Lockheed Martin's DAGR. One is Raytheon's Griffin tube-launched, laser-guided, 5.5in-diameter mini-missile, which has been deployed on the Predator UAV. The unknown one is Textron Defense Systems' Sharpshooter, which the company says has not been publicly revealed yet.
  20. Ca permet de disposer du radier pour faire manoeuvrer les vehicule, ou les charger/décharger avec des matériel personnel... si les hangar dédié son plein bourré ca peut etre super pratique cet espace supplémentaire. Il est envisageable de charger deux L-cat simultanément ou c'est vraiment trop délicat? Ca se trouve si les L-cat sont collé serré a couple c'est peut etre meme plus simple? Derniere question bete, avec deux L-cat dans le radier des BPC est que on peut ouvrir les trois portes qui vont bien pour charger les deux L-cat en passant dans l'un pour aller dans l'autre. En gros est-ce que y a la place pour ouvrir la porte avant du l-cat avant sous la porte arriere du L-cat arriere? C'est pas clair hein ? :lol: on suppose deux l-cat dans un BPC ... a l'envers du sens de la marche. est il possible de passer en vehicule dans le l-cat avant puis dans le l-cat arriere. Vu d'ici c'est possible mais en vrai y a la marge de place pour que la grande rampe d'un se déploie sur la porte avant de l'autre tout en passant sous la poutre?
  21. Je suppose que des bombardiers stratégiques vont passer a la trappe par exemple.
  22. C'est toujours plus simple de s'occuper des morts d'ailleurs que d'aller fouiller les fosses communes franquiste :lol: Hypocrisie quand tu nous tiens. Sinon pour le message précédent, Israel est issu d'un fait accompli ... l'accaparation par divers moyen de territoire au détriment du colonisateur anglais puis du péone palestinien. Achat, prise de guerre, expropriation etc. En pratique c'est un fait accompli qui n'est pas particulierement légitimé et surtout pas dans ses frontiere actuelle. D'ailleurs Israel n'applique aucunes des directives de l'ONU... sauf la reconnaissance de l'état d'Israel :lol: Mais cette loigique du fait accompli ... des colonisations prise de guerre et autre accaparation de ressource de toute sorte, eau, gaz, terre agricole... n'est pas forcément a sens unique, et si pour le moment Israel est en paix avec les gouvernement voisin rien ne dis qu'ils ne changent pas, et deviennent hostile. Il ne serait pas alors tres compliqué de rendre invivable israel ... juste en refilant au palestinien des rocket un peu pechu.
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