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Shorr kan

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Tout ce qui a été posté par Shorr kan

  1. Comme tu le pointe la cible la plus logique des soviets est la péninsule européenne quoi qui l’en coute. Donc, pour avoir des scénarii autres que la submersion du monde par les rouge d’entré de jeux on peut, et même l’on doit miser sur la "rationalité limitée" d'un Staline méfiant, intoxiqué, mal informé sur la réalité du rapport de force et qui ne tente rien en 45 laissant le temps aux américains de renforcer leur présence sur le Continent au point d’en être dissuasif et de figer les positions dans ce secteur. De là je vois deux directions possibles à une conflagration mondial : . Une grande guerre en Asie pour la maitrise de la Chine ; soit que la Corée est dégénéré, ou avant ça les américains soutienne bien plus massivement et directement tchang kai chek. . Le maintien des empires coloniaux qui bien que n’ayant pas de sympathie pour eux, les américains toujours et ne pouvant négliger aucun soutient s’abstienne de vexer même les plus petits de ses alliés. De ce fait, les guerres d’indépendances –avec des mouvements nationalistes bien plus proche des soviétiques, polarisation extrême du monde oblige- prennent la forme de véritables guerres de partisans bien sanglantes, très longues et particulièrement pénible. elle est pas jolie ma guerre mondial ? :oops:
  2. Juste comme ça rapidement. Je trouve au contraire que l’expérience afghane montre que même les GTIA comme celle déployés en Afghanistan sont beaucoup trop réduite pour faire autre chose que « tenir » une zone, et son incapable de remplir un nombre plus varié de missions. A la limite, ça pourrait être supplée en l’intégrant comme unité élémentaire d’un ensemble plus grand ou elles seraient articulé avec 2,3 ou 4 unités autres du même genre. Et encore, même dans cette configuration, je trouve que les effectifs sont un peu justes pour des rotations potables sans sur-sollicité les hommes sur la longue durée et faire fonctionner l’organisation en flux tendue, sans marge de manœuvre, sans réserve. Il faudrait plus d’hommes, à la louche quelque chose comme le double, quitte à réduire le nombre d’unité. C’est en tout comme ça qu’un béotien de la chose « sens » le problème.
  3. >:( Combien de fois il faut le dire et le répéter : tout les spécialistes le répètent, ce n’est pas la taille qui importe. :-X Inutile, je suis déjà dehors… O0
  4. Les Shadocks étaient visionnaire en fin de compte :lol:. Le solaire thermique pour se genre d’utilisation a certainement un grand avenir dans ce genre d’application dans la mesure ou presque toute l’énergie est utilisé sans subir d’autres transformations dans des cycles à l’origine de perte de rendement, et surtout il n’y a pas besoin de construire a coté de capacité de stockage et de connexion à un réseau vu qu’il n’est pas nécessaire d’avoir une production continue. C’est vraie que faire pousser du blé dans le désert est une grosse connerie, par contre ça le ferait plutôt pour des cultures maraichères/spéculatives sous serres, et pour toutes production a haut rendement (par opposition a celle a faible rendement comme les céréales). ;)
  5. En définitive on en revient à ma pas si vielle idée que ça d’invasion de l’Allemagne comme seul façon de clore cette crise. Tu à raison Jojo, mieux que l’attaque frontale il y a l’infiltration ; les charges à la baïonnette c’est passé de mode, il faut retourner les méthodes des sturmtrupper contre les Bosch. Commencer par leur prendre leurs emplois d’abord, demain leurs terres, après-demain leurs femmes et ainsi de suite jusqu'à à la latinisation complète des germains pour réussir là ou les romains eux même ont échoué.
  6. Ma position est entre celle de Tancrède et Berezech. Je te suis sur la nature global du régime soviétique à un bémol près : Staline, quoique criminel, ne souffre pas de délire messianique comme son défunt collègue moustachu, ce qui exclu toutes prises de risques exagérés et le coté visionnaire qu’implique l’occupation par ses armée de l’Europe occidental. Tu a raison c’est le seul moyen de s’assurer à long terme une tranquillité définitive, et même plus que ça ; la seul occasion tout court malgré des moyens très juste –voir nos discutions sur le sujet-. Mais l’homme est beaucoup trop conservateur pour chercher à s’assurer autre chose qu’un glacis en Europe de l’Est. Il y a quand même une continuité, je dirais « bolcheviques» dans l’analyse de la situation stratégique, quelque soi le dirigeant, qui elle-même n’est pas si différente que ça de l’empire tsariste : celle d’une nation eurasienne. D’ailleurs, il en découle que pour moi le front occidental serait plutôt tranquille au profit d’un basculement de l’intérêts, des ressources et des forces vers la sécurisation de l’Asie. Je pense en effet, q’une hostilité plus franche amènerait les américains à s’ingérer plus massivement dans cette région, en particulier au coté des nationalistes chinois. Je ne pense pas que l’économie soviétique était si condamné que ça. L’économie de guerre soviétique qui est une conséquence de la guerre civil et qui faisait au début la fierté des bolchevique a vite finie par être considérée en définitive comme intenable par ces derniers, et ses principaux apparatchiks ont très tôt proposé des réformes en l’occurrence Lénine lui-même avec la NPE et surtout Trotski qui l’a conceptualisé ; sauf que « l’accident » Staline est arrivé : il a pris en main le système et poussé à ses extrémité là ou ses prédécesseurs avaient des scrupules à mener la machine aussi loin. Mais, des la mort de celui-ci les candidats en lisse à sa succession avaient tous leur petite idée sur la façon de réorienter l’économie. Kroutchev a échoué par ce qu’il a été trop timide, pensait pouvoir faire moitié moitié en maintenant l’essentiel des acquis socialistes, là ou Beria aurait probablement mieux réussie selon moi avec une libéralisation bien plus massive. Ce qui a tué le régime soviétique c’est surtout la destruction de toutes formes de démocraties et de débat au sein des instances dirigeantes. Et plus concrètement le maintient par la direction du PC des orientations prises par Staline comme un choix par défaut au profit de la production d’armes.
  7. J’étais juste intrigué par l’existence ou non d’un lien entre ces prestigieuses successions d’empereurs qui trouvent leurs origines dans des régions particulièrement séditieuses, donc théoriquement pas très fiables politiquement à première vu. J’ai supposé qu’un un moment ou à un autre les romains avec leur capacité d’intégration culturel unique en son genre doublé d’un investissement, d’un intérêt particulier avait « fiabilisé » la zone et ses habitants. Mais tu réponds à ma curiosité ici, merci, je comprends mieux le processus ;). Autre chose, Il n’y a jamais de solidarité entre les deux parties de l’empire ? Un envoi de troupes par exemple –d’argent, je sais qu’il y en a eu- autrement que quand c’est la fin des haricots : je pense très fort aux difficultés de l’empire d’occident qui n’a pu compter sur l’orient que très tard pour sauver les meubles italiens il me semble, et c’était plus un patronage qu’un rapport entre égaux ? Les deux entités étaient à ce point autonome l’une de l’autre, indifférentes surtout ? Enfin, y a –t-il eu rivalité entre eux ? Si oui, jusqu’à quelle point. Des unités pouvaient se friter sur la frontière par exemple ?
  8. Est-ce qu’il y a un lien de causalité quelconque entre ces événements et les « Illyriens » et les « pannoniens ». Ces empereurs à poignes « à la main plus râpeuse que le gant qui la protège » ? Au pif, un effort de romanisation particulier, une mise à profit des aptitudes militaires apparemment exceptionnelles de ces peuples ?
  9. Comme quoi monsieur le marché n’est pas si déraisonnable que ça…
  10. Voilà un billet qui plaira a Roland http://www.objectifliberte.fr/2008/02/departements.html Et d’une manière général je le suis sur l’inutilité d’ajouter de nouveaux échelons administratifs. Il y a un problème de taille critique et des économies d’échelle possibles par augmentation de la taille ? Que les intercommunalités actuelle deviennent les communes et que les départements ce callent sur les régions actuelles, point. Non seulement tout revoir de fond en comble se heurterait à l’inertie, serait une perte de temps terrible, mais surtout irait à contremploi : la France a été pensé pour être un état puissant, qui centralise l’essentiel des pouvoirs. Et vous voulez défaire tout ça ? Et dans un pays qui n’en pas vraiment la culture –gage de catastrophe- ? Richelieu se serait cassé le cul pour rien ? Et surtout, un remaniement administratif ne règle pas les vrais problèmes et les mauvaises habitudes profondément ancré. Il n’y a pas d’alternative à les traiter de façon direct, que ce soit l’attribution selon des critères clairs des compétences/missions et l’argent qui va avec, ou le manque de démocratie direct., ecetera.
  11. Shorr kan

    Failed State en Europe

    Contesté, mais qui tient bon, et surtout garde la haute main sur une portion significative de l’économie comme ressource en propre et l'appareil d'état. C’est cette stabilité, cette solidité relative qui est la garantie, à mesure que le désordre se perpétue, de voir s’agréger d’autres factions pour former un pôle hégémonique sur la vie politique du pays ; et même l’opinion sans adhérer peut finir par démissionner tant la situation la lassent, et « qui ne dit mot consent ». Donc -dans les deux cas d’ailleurs- ça ne me semble pas impossible avec le bon marketing politique et le soutient à l’international dans la mesure ou celle-ci trop heureuse de pouvoir le faire, peut se contenter de sous-traiter moyennant un peu d’argent.
  12. Shorr kan

    [Femmes soldats]

    Ah ! Mon cœur soupir……Amanda Taping, alias Samantha Carter dans Stargate SG.1. J’avoue qu’elle a souvent été la seule raison pour laquelle j’ai suivie des épisodes sans aucun intérêt scénaristiques…..souvenir, souvenir. ahmm….
  13. Shorr kan

    Failed State en Europe

    Je ne pense pas qu’il faille s’inquiéter outre mesure de voir l’armée grecque se déliter. Après tout, ce pays fait partie de l’OTAN et peut de ce fait compter, du moins un certain temps, sur la solidarité de l’alliance, qui peut être en nature (pièces détachés, carburants, rations…etc.) ce que permet l’interopérabilité, voir financière tout court. Les américains en particuliers ne peuvent laisser l’armée grecque livrée à elle-même, ne serais-ce que pour éviter la dispersion dans la nature d’armes sophistiqués qui alimenteraient des filières clandestines et tomberaient entre les mains de terroristes. Ces même américains n’hésiteraient probablement pas à tirer les européens par les oreilles pour les mettre face à leur responsabilité et éviter la réédition du fiasco des Balkans. Enfin, ladite armée, de par les ressource qu’elle draines, et son efficacité relative en tant qu’institution, en fait l’un des rares, voir l’unique interlocuteur crédible à l’international, et celle qui aura le plus de moyens de maintenir un control relatif du pays. Tout le monde dans l’U.E et au-delà aura intérêt à son maintient prioritaire.
  14. Shorr kan

    Failed State en Europe

    Donc si je comprends bien, des accrochages seraient possibles entre la Grèce et la Turquie, et même une guerre. Donc un impact sur tout le bassin Est de la méditerrané, dont l’extension du conflit a Chypre, et soyons fou, a Israël, ce qui complique le conflit israélo-palestinien, la Syrie en profite pour pousser ses pions au Liban. Les pays du golfe ne sont pas contents, l’Egypte s’en mêle et se coalisent contre la Syrie, soutenue par l’Iran, ce qui énerve encore plus les américains qui bombardent l’Iran qui déstabilisent toutes la région ; l’Afghanistan tombe aux mains des Talibans, qui renversent le pouvoir pakistanais au profit d’une coalition d’intégriste et de l’ISI. Les indiens répliquent à la flambé d’attentats perpétré dans la partie indienne du Cachemire et le reste de sont territoire, et déclare une guerre limité au Pakistan, en sus ils soutient la résistance anti-talibans en leur faisant parvenir des armes au coté de leur alliés russe ; mais les chinois inquiets de la position difficilement tenable de leur allié pakistanais décide leur prêter main forte en faisant pression sur les république d’Asie central histoire de couper les approvisionnements de leur ennemie et conter l’influence russo-indiennes. Les pays de l’Asean inquiets commence à se concerter et envisagent d’établir un cordon sanitaire autour de la Chine. Cette dernière décide de prendre alors les devants et prévenir tout encerclement : elle encouragent les coréens du nord a procéder à une réunification de la péninsule par la force en lui garantissant sont soutient, et en préparent elle-même l’invasion de Taiwan. Ceci était ma version du tour du monde en 80 jours………..THE END.
  15. Mais si j’ai bien compris, et si les grecques s’y refuse, nul ne peut les contraindre à quitter l’union. Et sans une contrepartie conséquente ça ne me semble pas très jouable à court terme. La situation me semble avoir le potentiel pour pourrir longtemps.
  16. Mais a quoi pourrait ressembler un plan de sortie de la Grèce de la zone euro, vu que rien ne peut les y contraindre légalement ? Leur donner du pognon en échange ? je ne vois que ça…
  17. Je vois deux familles de risques. La première consisterait de la part de la force qui prendrait l’initiative de la bataille à « taper dans le vide ». Et je ne parle pas seulement d’un adversaire qui éviterait la bataille, mais bien d’une neutralisation des effets de celle-ci si elle a quand même lieu ; soi qu’elle ne débouche pas sur la mise hors combat de l’ennemi – et pour moi, plus qu’une temporalité très courte et la concentration de moyen, elle définie mieux que tout la bataille par ce but intangible- ou même n’arrive même pas à réduire de façon significative la capacité à combattre/la combativité de l’ennemie. Des exemples:Même si Koursk avait réussie coté allemand ça n’aurait pas fait vraiment avancer le schmilblick, ou plus contemporain Cao-Bang, Den-Bien-Phu même si ils avaient atteints leurs objectifs ; enfin le Plan Challe qui a parfaitement atteint les siens. Certes dans ce dernier cas c’est une campagne mais le propos peut avoir une valeur général , et l’on voie que même un plan opérationnel rondement mené ne peut être un substitut a une stratégie cohérente, ici un nationalisme algérien qui a réussie à définitivement s’implanter dans la population malgré la destruction de la branche militaire du FLN, en Indochine l’impossibilité de défendre efficacement contre la pression/infiltration tant du Vietminh que de la menace chinoise autres chose que la Cocochine et de faire de l’Annam une zone grise, enfin un ost-front définitivement intenable. Ou dit plus sobrement, de mal calibrer son action, diluer son effet. Ça peut avoir l’air élémentaire dit comme ça, mais force est de constater que les forces occidentales échouent de façon presque systématique dans les conflits asymétriques ou a gérer l’après guerre comme elles l’auraient souhaité. Pourquoi ces armées là en particulier sont si vulnérables ? Je mets ça sur le dos d'une définition trop restreinte de la guerre –et notre hôte en parle abondamment dans ses autres topics ;)-, et la très grande spécialisation des fonctions avec des spécialistes obnubilé par leur savoir-faire, « du travaille bien fait » au détriment du but général. Deuxième risque majeur, plus physique celui-là : la destruction pur est simple. L’ennemie peut décider de ne pas s’exposer en concentrant lui aussi ses ressources alors que celui qui recherche activement la bataille y est contraint. On en revient au coup d’épée dans l’eau du précédent, mais une version plus agressive de la part d’un adversaire organisé consisterait à chercher au surplus à compenser l’asymétrie par une autre dans d’autres domaines et rééquilibrer le jeu au global, typiquement en jouant la montre, ce qui est une contrainte énorme quand par définition une bataille ne peut être qu’une concentration ponctuelle, ou opposer la masse qu’apporte la supériorité numérique pour conter la mobilité d’une force supérieurement coordonné et neutraliser sont ubiquité en la débordant de plusieurs axes – voir les chinois en Corée face aux Yiouess-. PS : je sais que mes interventions de ces derniers temps sont particulièrement alambiquées, et qu’a la réflexion même, il en a toujours été ainsi, mais c’est l’exact reflet de la confusion mental qui règne dans mon esprit. voila avez le résultat brut de décoffrage. Mesdames –sait-on jamais- et messieurs, merci de votre attention.
  18. Ça reste quand même étonnant que la France n‘est jamais pu, ou vraiment cherché à s’aménager une profondeur stratégique dès lors qu’il devenait évident que son adversaire principal se révèle être l’empire allemand. Soit en délocalisant sont industrie plus à l’Ouest, vers les côtes, et/ou en industrialisant l’Afrique du nord, ainsi que son commandement, au moins militaire comme le préconisait jadis R.Aron et R.Castex ; quoique un pôle de pouvoir militaire loin de Paris sous la III et IVème, n’est pas sûr d’être très vendable comme idée… Au minimum, recentrer l’Empire sur l’Atlantique pour en tirer quelque chose de potable.
  19. Pourquoi pas comme dit Serge, en sus tu a le cas des « daubasses », ou une société dont la liquidation rapporterait plus que la valeur du stock d’action du fait de sont réalisable. Mais à l’air du trading en nanoseconde, ce genre d’occasion est rarissime.
  20. Je comprend mieux ou tu veux en venir : pour toi une opération de ratissage dans une vallée au main ou au minimum sous influence de talisurgés, par exemple est une bataille ? ;) C’est vrai que j’ai d’instinct pensé aux conflits contemporains, aussi bien ceux du COIN faites surtout d’accrochages et des guerres mondiales gagnées par attrition ; faisant de la bataille un fait marginal tant en quantité qu’en efficacité. De là j’ai sauté le pas en la considérant comme obsolète, voir un objet conceptuel flou – d’autant que dans mon esprit la notion de concentration « très » massive de moyens a pris le pas- donc sans objet car inutilisable/inutile. Et force est de reconnaître que cette « marginalité » de la bataille aujourd’hui ne la rend pas forcement obsolète. L’idée –bien comprise- d’une précipitation de l’action – pour moi mieux encore que la concentration en quantité/ponctuellement de moyens c’est ça temporalité qui là défini- visant à faire basculer une situation aussi bien comme point de départ ou conclusion d’une campagne; reste valide ou du moins a ne pas disqualifier à la légère.
  21. Arf ! Autemps pour moi, j’ai mal lu ! Je faisais le lien entre croissance des recettes publiques et taux d’emprunts sur les marchés supérieur aux premiers ; ce qui n’est pas soutenable a terme. Et pas forcement l’économie dans son ensemble. ;)
  22. Tstststsss…qu’est-ce que je vois là ? N’est-ce pas encore une Crise Compulsive de Tancrèdite Aigu ou CCTA ?…mmmh… Pour coller au sujet, moi ce que j’aurais tendance à récuser c’est le concept même de bataille que je trouve aujourd’hui sans objet, pour lui préférer celui de « campagne ».
  23. Effectivement, c’est intenable. Mais il n’y a pas 36 milles solutions dans le cas présent : que la BCE change ses statuts pour prêter directement aux États .
  24. Le fond du problème – c’est l’impression que ça me fait en lisant ton post- n’est pas au fond à la fois un problème de lisibilité, de publicisation et de coordination de tout ces dispositifs, et du control tant de leur efficacité, que du respect des règles tant par les prestataires de services que les bénéficiaires ; alors que la quotte part sur l’économie des moyens mobilisé, l’effort consentie par la collectivité est très important ? L’absence de cohérence en somme ?
  25. Comme mode de locomotion du futur tu as ça, très commode aux dires des usagers. Ou ce model. Quelques ratés au démarrage certes mais compte un antivol intégré de série. Et plus largement, et en ce qui concerne d’éventuelle nouvelles sources d’énergie les chercheurs caribéens semblent avoir fait une percé prometteuse, reste encore à industrialiser le procédé. Juge en toi-même. http-~~-//www.youtube.com/watch?v=Z8yW5cyXXRc C’est là un aspect très étonnant de la chose : que la France n’est pas pu profiter de l’aubaine du photovoltaïque à l'export avec l’énergie ci peu chère du nucléaire?
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