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Pleiades 1&2 - Spot 6&7


aviapics
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J'ai cherche et je n'ai pas trouve de fil dedie.

Puisque maintenant il y en a un en l'air, il meritait d'avoir sa propre maison.

Voici le communique officiel d'Astrium :

http://www.astrium-geo.com/pleiades-launch-success-fr/

et la video du lancement :

http://www.dailymotion.com/video/xn1w89_decollage-de-soyouz-le-17-decembre-2011_tech#from=embediframe

et une presentation du programme :

http://www.dailymotion.com/video/xmvcc7_pleiades-une-nouvelle-generation-d-images-satellites_tech#rel-page-1

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Because the French defense ministry financed Pleiades through CNES, it has rights to 50 images per day from the two-satellite system. Pleiades managers estimate the two satellites together will produce 900 images per day.

Of the 850 remaining images, 40% are reserved for the French government for civil research programs and mapping. The other 60% are set aside for Astrium Geo-Information Services for global commercial sales.

The government has vowed it will not add value to the 40% of the 850 images reserved for government users in a way that would compete with Astrium’s ability to market images.

AW

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C'est dommage qu'ils n'ont pas intégrer le guidage pour des missiles de croisière

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/12/17/la-france-premier-pays-europeen-a-se-doter-d-une-capacite-d-ecoute-spatiale_1620052_651865.html#ens_id=1596700

http://ead-minerve.fr/WordPress3/?p=763

Un essaim de quatre petits satellites, Elisa, pour Electronic Intelligence by Satellite, doit permettre de tester une nouvelle capacité, celle du renseignement d’origine électromagnétique. Ensemble, les quatre engins, mis en orbite à 700 km d’altitude, seront capables de cartographier de façon précise les émissions radars au sol, en particulier les radars antiaériens. Le système aura une couverture mondiale.

Il s’agit d’un pas important, souligne Xavier Pasco, expert à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) : « Les systèmes antimissiles se développent, avec des radars adaptés. Tous les grands pays ont besoin de capteurs supplémentaires pour connaître la défense des autres et, ainsi, bien calibrer leurs moyens d’attaque, mesurer leur pertinence, indique-t-il. C’est donc pour la France une étape importante en matière de crédibilisation de la dissuasion. »

Seuls les Etats-Unis, la Russie et, peut-être, la Chine possèdent une telle capacité d’écoute spatiale. Celle-ci participe, selon M. Pasco, d’une démonstration politique : « Elle confirme une posture générale de grande puissance. »

Réalisé par Astrium et Thales, Elisa n’est qu’un démonstrateur technologique – un outil expérimental. Il aura cependant déjà une vocation opérationnelle, laisse entendre le ministère de la défense. Le système sera exploité au sol par la direction générale de l’armement (DGA) et la direction du renseignement militaire (DRM).

A terme, le système opérationnel complet, Ceres, couvrira les émissions radar et télécom. « Il permettra de reconstituer l’architecture d’un réseau de téléphonie ou de radio, donc d’établir l’organisation d’un état-major, mais aussi de mesurer son niveau d’activité, c’est-à-dire d’anticiper l’action d’un adversaire », illustre le général Yves Arnaud, qui dirige le commandement français interarmées de l’espace.

« Nous aurons une carte des menaces, en particulier des radars associés aux menaces sol-air », ajoute le général. La cartographie des émetteurs d’une armée au sol pourra ainsi à terme être intégrée dans la « bibliothèque » de bord des avions de chasse Rafale.

Des aléas pèsent néanmoins sur ce projet. Ceres devait être opérationnel en 2016. Or il a été repoussé à 2020, pour des raisons budgétaires. La France cherche des partenaires européens.

Globalement, les crédits promis aux armées pour le spatial (650 millions d’euros par an de 2015 à 2020) sont loin d’être à portée. L’effort a diminué depuis 2002. La loi de finances pour 2012 a inscrit 355 millions d’euros. Rapporteur de cette partie du budget de la défense, le député (UMP) Yves Fromion avait alerté, fin octobre, les parlementaires : « La baisse des crédits a été significative (…). Dans le domaine du renseignement d’origine électromagnétique, la relève des démonstrateurs n’est pas assurée. »

Le ministère espère faire vivre Elisa jusqu’en 2017 et anticiper la mise en oeuvre de Ceres à 2019. Dans ces conditions, le « trou capacitaire » pourrait être évité, se rassure la défense, car les renseignements d’origine électromagnétique ont une certaine durée de vie.

Le 17 décembre, Soyouz a également lancé un satellite d’observation civil et militaire, Pleiades 1. Qualifié de « très agile », capable de prendre des images précises (50 cm de résolution) et surtout en couleur – ce qui rend leur exploitation beaucoup plus facile, notamment en cas de présence de végétation -, il sera lui aussi « utile pour les forces en opérations », indiquent les responsables militaires.

Avec les autres moyens d’optique récents, comme Helios 2, il permettra de progresser, par exemple sur la modélisation du terrain pour les missiles de croisière. Ces systèmes d’observation seront, eux, intégrés au programme européen Musis, complémentaire de Ceres. D’autres aléas pèsent sur Musis. L’accord de coopération n’a pas été encore finalisé.

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Qu'est ce que tu veux dire?

« Nous aurons une carte des menaces, en particulier des radars associés aux menaces sol-air », ajoute le général. La cartographie des émetteurs d’une armée au sol pourra ainsi à terme être intégrée dans la « bibliothèque » de bord des avions de chasse Rafale.

Je pensai à une information en temps réel pour balancer du scalp avec le raffy ou à partir d'un navire avec un scalp naval, mais je suppose que la cible doit être identifier

avant.

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Ce sont des satellites a défilement, il n'y a donc pas persistance sur zone et donc il n'est pas possible de faire du temps réel.

Leur objectif est de faire de la cartographie. Ensuite avec cette carto rien ne t'empeche de programmer des missiles de croisiere sur les positions reperees.

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Ce sont des satellites a défilement, il n'y a donc pas persistance sur zone et donc il n'est pas possible de faire du temps réel.

Leur objectif est de faire de la cartographie. Ensuite avec cette carto rien ne t'empeche de programmer des missiles de croisiere sur les positions reperees.

Ce serait possible mais il faudrait une constellation complète.
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Ce serait possible mais il faudrait une constellation complète.

Même pas. Les satellite pléiade ne dispose pas de caméra qui permettrait de filmer durablement un même champ. Il fonctionne comme un scanner a plat sous lequel défile la terre, il ne voit donc qu'une très fine bande a un instant, et la bande suivant l'instant suivant etc.

Le capateur principale intégre 5 barette de 6000 point ... le systeme produisant donc des lignes de 30 000 points, une par une - équivalent 20km sol, d’où une résolution monochrome de 70cm, voire 50cm apres traitement -.

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Même pas. Les satellite pléiade ne dispose pas de caméra qui permettrait de filmer durablement un même champ. Il fonctionne comme un scanner a plat sous lequel défile la terre, il ne voit donc qu'une très fine bande a un instant, et la bande suivant l'instant suivant etc.

Le capateur principale intégre 5 barette de 6000 point ... le systeme produisant donc des lignes de 30 000 points, une par une - équivalent 20km sol, d’où une résolution monochrome de 70cm, voire 50cm apres traitement -.

C'est équivalent au Key Hole?

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C'est équivalent au Key Hole?

Absolument pas ... Les Keyhole on des capteur matriciel qui produise une image complète chaque instant, et un énorme miroir, ce ne sont pas des satellite de cartographie mais de surveillance en temps réel - mais pas de la vidéo tout de meme, c'est plus des rafale d'image, on parle d'une images toutes les quelques secondes -.

Les derniers Keyhole doivent peser 20 fois plus lourd que les satellite de pleiades :lol:

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Même pas. Les satellite pléiade ne dispose pas de caméra qui permettrait de filmer durablement un même champ. Il fonctionne comme un scanner a plat sous lequel défile la terre, il ne voit donc qu'une très fine bande a un instant, et la bande suivant l'instant suivant etc.

En fait grace a l'agilite du capteur on peut avoir plusieurs images du meme endroit en une passe, mais seulement 3...

C'est un detournement du mode tri-stereo qui permet de faire une image "en regardant vers l'avant", une au nadir (a la verticale), puis une autre "vers l'arriere", ca permettrait d'evaluer la direction et la vitesse de deplacement de vehicule par exemple, mais il faut deja savoir ou regarder, surtout lorsque la defense n'a acces qu'a un nombre "limite" d'images par jour.

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  • 3 months later...

Quelques news de Pleiades dont la recette se termine.

Ces dernieres semaines des operations "amusantes" ont ete faites pour tester l'agilite du satellite mais aussi a des fins de claibration et de com.

Le sat a ete retourne pour regarder vers le haut, au cours de cette operation, des photos de la Lune, de Mars et de... SPOT-5 ont ete realisees.

La Lune a ete prise depuis les deux points les plus extremes de l'orbite de Pleiades-1 pour pouvoir realiser une anaglyphe :

Image IPB

Pour SPOT-5, le resultat est moins impressionant, mais il faut se rendre compte que les deux satellites se croisent sur des orbites proches tout en passant a 27000km/h... la photo n'est pas nette a cause de cette vitesse mais surtout car la mise au point de la camera n'est pas faite pour de si courtes distances.

Image IPB

La galerie Pleiades de la page Flickr du CNES se rempli doucement :

http://www.flickr.com/photos/pkpro/sets/72157628743311535/with/6832641616/

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  • 1 month later...
  • 3 months later...

Spot6 est maintenant lance... Je le rajoute dans ce fil en raison de sa complementarite et de son exploitant commun.

La video du lancement :

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=dD7Ka5Bve7w&feature=youtube_gdata_player

Un tres bel article

http://regard-sur-la-terre.over-blog.com/article-en-inde-lancement-imminent-du-satellite-spot-6-par-la-fusee-pslv-c21-109879682.html

Au chapitre des news fraiches, tout se passe bien, les systemes sont allumes et controles les uns apres les autres et la situation est nominale.

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Le communique de presse Astrium Geo :

SPOT 6 rejoint Pléiades 1A en orbite

- Le satellite d’observation de la Terre SPOT 6, réalisé par Astrium, vient d’être lancé avec succès.

- SPOT 6 va rejoindre Pléiades 1A en orbite et formera dans un second temps, avec Pléiades 1B et SPOT 7, une constellation optique cohérente et intelligente qui fournira des images distribuées par Astrium Services.

- Cette nouvelle constellation, dont Astrium Services sera le distributeur exclusif des produits de géo-information, offrira aux utilisateurs des applications inédites et un délai de livraison sans précédent

Le 09 septembre 2012 – Le satellite d’observation de la Terre SPOT 6, réalisé par Astrium, numéro un européen de l’industrie spatiale, vient d’être lancé par un lanceur PSLV depuis le Satish Dhawan Space Center, en Inde. Il va rejoindre en orbite Pléiades 1A, le satellite d’observation de la Terre en très haute résolution dont les produits d’imagerie sont distribués par Astrium Services. Les deux satellites vont travailler ensemble et formeront, dès 2014, une constellation complète avec Pléiades 1B et SPOT 7, les prochains satellites d’observation de la Terre qui formeront la constellation d’observation optique d’Astrium Services.

Dès que chacun aura été validé en orbite, SPOT 6 et SPOT 7 seront opérés par Astrium Satellites et exploités par Astrium Services en constellation avec les deux satellites Pléiades, sur la même orbite. Cette constellation offrira aux clients d’Astrium Services des possibilités d’applications inédites, en livrant des produits d’imagerie dans des délais inégalés. Chaque jour, chaque point du Globe sera vu à la fois en haute et en très haute résolution. Ainsi, quand SPOT 6 & 7 produiront des images d’une zone large, les Pléiades seront capables de livrer des produits de la même zone, avec un champ de vue plus restreint mais offrant un niveau de détails beaucoup plus élevé (50cm).

« Avec quatre satellites qui se suivront avec 90° d’écart sur la même orbite héliosynchrone, nous pourrons proposer à nos clients des produits de géo-information en un temps record, jusqu’à six heures », explique Eric Beranger, CEO d’Astrium Services. « Avec quatre satellites au lieu d’un, nous sommes évidemment moins contraints par le délai de revisite et nous pourrons mieux détecter les changements et bénéficier d’une couverture de zones bien plus rapide. Nos utilisateurs pourront choisir entre une saisie en très haute résolution sur un point précis et une saisie en haute résolution sur une zone plus large. Nous pouvons bien sûr aussi combiner les deux. Par exemple, dans le cas d’inondations, SPOT 6 pourra fournir une image large de la zone tandis que Pléiades se focalisera sur les zones les plus peuplées ou les plus touchées».

La géo-information joue un rôle crucial, en transformant les informations géospatiales les plus récentes en informations économiques fiables. Spot 6 sera l’un des capteurs grâce auxquels Astrium Services proposera la plus large gamme de produits d’observation de la Terre et de services à valeur ajoutée pour répondre aux besoins de ses clients, notamment en matière de cartographie pour les clients gouvernementaux et de Défense, pour l’agriculture, la lutte contre la déforestation et la surveillance de l’Environnement, comme pour la surveillance maritime et côtière, l’ingénierie civile, et pour des industries minières, pétrolières et gazières.

SPOT 6 est un satellite optique d’observation de la Terre en haute résolution. Comme son frère jumeau SPOT 7, prévu pour être lancé début 2014, SPOT 6 disposera d’une fauchée de 60 km et livrera des produits d’imagerie d’une résolution égale à 1,5 mètre. SPOT 6 et SPOT 7 vont relayer les capacités des satellites SPOT 4 et SPOT 5, qui opèrent respectivement depuis 1998 et 2002. Et plus encore : les performances du segment sol et du segment spatial ont été largement améliorées par rapport aux précédentes missions SPOT, particulièrement en termes de réactivité –de l’assignation des missions au satellite à la livraison de produits d’imagerie- et de capacité à collecter des images. La constellation formée par SPOT 6 et SPOT 7 permettra une revisite quotidienne de n’importe quel point de la Terre avec une capacité d’acquisition quotidienne de six millions de km².

SPOT 6 et 7 disposeront d’une durée de vie spécifiée de 10 ans.

Une Station Spot 6&7 au Mexique :

Astrium installe un nouveau terminal au Mexique pour recevoir SPOT 6 & 7

La station de réception ERMEX recevra les images des satellites SPOT 6 et SPOT 7

Elle sera l’une des premières stations à recevoir SPOT 6 dès le démarrage commercial

Toulouse, France – 04 septembre 2012 – Astrium Services et le ministère de l’Agriculture mexicain (SAGARPA) ont signé, au printemps 2012, un accord qui prévoit la mise à jour de la station de réception ERMEX située au sud de Mexico. Cette station entrera en service dès septembre 2012. Equipée d’une antenne haute-technologie et d’un terminal SPOT de nouvelle génération, elle recevra les images SPOT 5 dans un premier temps puis SPOT 6 dès le démarrage commercial et SPOT 7 en 2014.

Responsable opérationnel de la station ERMEX, le Service d’Information pour l’Agriculture et la Pêche (SIAP) traite chaque année, plus de 70 000 images pour le compte du ministère de l’Agriculture et partage les données, par le biais du contrat multi-licences, avec différents services : centres publics de recherche, services gouvernementaux et organismes internationaux.

À ce jour, le SIAP a couvert huit fois le territoire mexicain avec les images satellites reçues par la station ERMEX. Il dispose à présent d’une mosaïque d’informations permettant d’effectuer des analyses comparatives des phénomènes influant sur la production d’aliments, de fibres textiles et d’énergie. Cette tâche hautement spécialisée est assurée par un réseau d’experts, présents en 33 points stratégiques du Mexique, sous la houlette du tout nouveau Centre de Commandement Géospatial du SAGARPA inauguré en mai 2012.

Avec ces nouveaux satellites, ERMEX augmentera ses capacités d’observation du territoire ainsi que la rapidité, la précision et la résolution spatiale de ses produits, sans compter toutes les nouvelles fonctionnalités liées aux capteurs nouvelle génération.

Le Mexique dispose des technologies et des experts qualifiés pour la réception, le traitement et l’analyse d’images satellites appliquées aux statistiques agricoles, à la gestion des risques climatiques et à d’autres aspects stratégiques de l’agriculture et de la pêche.

La station reçoit depuis 2003 les images des satellites SPOT 2, SPOT 4 et SPOT 5. Pour assurer la continuité de l’imagerie SPOT, le SIAP a passé un accord avec Astrium et, dans le même temps, investi les fonds nécessaires à la mise à niveau de ces équipements de pointe.

A travers sa branche GEO-Information, Astrium Services est reconnue comme l’un des principaux leaders sur le marché de l’information géospatiale, notamment grâce aux ressources et compétences totalement intégrées de Spot Image et Infoterra. Elle offre aux décisionnaires des solutions complètes destinées à accroître la sécurité, améliorer les performances agricoles, maximiser l’efficacité des opérations pétrolières ou minières, mieux gérer les ressources naturelles et protéger l’environnement. GEO-Information Services d’Astrium offre notamment un accès exclusif aux données des satellites SPOT, TerraSAR-X & TanDEM-X, et Pléiades, et a également recours à une palette complète d’autres sources de données, tant spatiales qu’aériennes, lui permettant de proposer une gamme incomparable de services et de produits d'observation de la Terre. Cette offre couvre l’ensemble de la chaîne de la géo-information, de la production d’images à la fourniture d’informations directement exploitables par l’utilisateur final.

Bénéficiant des synergies de compétences et de savoir-faire disponibles au sein d’Astrium Services, les équipes de GEO-Information développent des solutions innovantes et compétitives combinant observation de la Terre, navigation et télécommunications de haute performance.

Et enfin, la premiere image de Spot 6 : Bora-Bora

http://www.astrium-geo.com/galerie-images-satellite/?img=12518

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