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Crise financière mondiale [info only]


debonneguerre
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La majeure partie des résidence non principale ne sont pas des logement de vacance!!! C'est d'ailleurs une des causes de la crise du logement en France, le volume des logements "secondaires" - tout ce qui n'est pas résidence principale - inoccupé.

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Et peux tu me détailler cette subtile nuance, avant que je pense que tu sophismes.. ;)

Si tu possèdes 10 bien immobilier par définition tu dispose d'une résidence principale et de 9 résidences secondaires. Ces résidence secondaire peuvent être de n'importe quelle nature. L'exemple classique c'est la conversion de logement a vocation résidence principale en résidence secondaire par désintérêt. Tu hérites de 3 baraques que tes aïeux utilisait comme résidence principale, ça t'emmerde de les louer, c'est pas intéressant de les vendre, peut être qu'un jour tu comptes les donner a tes enfants ... et pendant ce temps elle sont inoccupée, résultat 3 résidences secondaires.

La France dispose du record du monde de ses résidences dites secondaire ... 3 millions de logement - auquel il faut ajouter une partie des 2.5 million de logement dit vacant au sens de l'INSEE mais qui sont fiscalement secondaire - ! plus de 10% du parc habitation.

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Si tu possèdes 10 bien immobilier par définition tu dispose d'une résidence principale et de 9 résidences secondaires. Ces résidence secondaire peuvent être de n'importe quelle nature. L'exemple classique c'est la conversion de logement a vocation résidence principale en résidence secondaire par désintérêt. Tu hérites de 3 baraques que tes aïeux utilisait comme résidence principale, ça t'emmerde de les louer, c'est pas intéressant de les vendre, peut être qu'un jour tu comptes les donner a tes enfants ... et pendant ce temps elle sont inoccupée, résultat 3 résidences secondaires.

La France dispose du record du monde de ses résidences dites secondaire ... 3 millions de logement - auquel il faut ajouter une partie des 2.5 million de logement dit vacant au sens de l'INSEE mais qui sont fiscalement secondaire - ! plus de 10% du parc habitation.

Ok pour la définition. Mais ça me parait marginal comme situation.  Je reste sur l'idée que les biens concernés par la mesure le sont dans les zones peu ou pas sous tensions. Utilité sociale très relative.

On est encore dans la mesurette technique qui doit surement avoir comme ambition d'améliorer les statistiques sans régler le problème au fond.

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Accord de "Libre-Echange" avec les Etats-Unis : Les Anglais et les Allemands prêts à brader les intérêts Français pour gagner quelques parts de marché dans leurs secteurs propres :

En même temps, difficile d'en vouloir trop aux Anglais ou aux Allemands. Ce sont les intérêts de leurs pays respectifs dont ils doivent s'occuper. Pas ceux des voisins.

Si le gouvernement français, dont c'est la responsabilité première, néglige et brade les intérêts français en permettant que démarre une négociation qui leur est défavorable

... ce serait un peu trop demander à Berlin ou à Londres que de s'attendre qu'elles défendent les intérêts français à sa place, non ?

  =)

L'Angleterre et l'Allemagne sont nos partenaires. Pas nos amis. L'amitié ça a un sens au niveau personnel et individuel. Ca n'en a aucun au sens international.

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Tu hérites de 3 baraques que tes aïeux utilisait comme résidence principale, ça t'emmerde de les louer, c'est pas intéressant de les vendre, peut être qu'un jour tu comptes les donner a tes enfants ... et pendant ce temps elle sont inoccupée, résultat 3 résidences secondaires.

La France dispose du record du monde de ses résidences dites secondaire ... 3 millions de logement - auquel il faut ajouter une partie des 2.5 million de logement dit vacant au sens de l'INSEE mais qui sont fiscalement secondaire - ! plus de 10% du parc habitation.

La question c'est pourquoi les "petits" proprio ne souhaitent pas louer. Il semble que la surprotection des locataires explique celà, au moins en partie.
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Zut le QE ne paye pas pour le moment. :P

Le déficit commercial du Japon a empiré de 9,5% en mai sur un an, à 993,9 milliards de yens (7,8 milliards d'euros), malgré une augmentation de la valeur des exportations, à cause du renchérissement des importations provoqué par la hausse des devises étrangères face au yen japonais, a annoncé aujourd'hui le ministère des Finances.

Les importations ont augmenté de 10% en valeur, avec des hausses marquées des factures d'hydrocarbures, de semi-conducteurs et de mobiles. Les exportations ont pour leur part crû de 10,1% en valeur, avec des progressions des livraisons de composants électroniques, de produits chimiques et métallurgiques.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/06/19/97002-20130619FILWWW00256-japon-le-deficit-commercial-s-aggrave.php

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Zut le QE ne paye pas pour le moment. :P

Un article assez intéressant sur le Japon et sa politique monétaire d'attaque à outrance contre la déflation (en anglais)

Banzai! Banzai! Banzai!

If the central bankers of the world think they're hearing a battle cry of “Banzai!” from the lips of their Japanese brethren, they may not be far from wrong, because the Japanese are indeed on a mad charge to fight deflation at all costs. As with all good suicidal charges, at least in legend and lore, once the cry has gone up and the thundering charge has begun, there can be no turning back.

(...)

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Les francais ont le complexe de la défaite glorieuse, les japs c'est le complexe de l'attaque suicide débile  :oops:

Faudra économiser un peu pour renflouer les meilleurs d'entre nous, qui ne s'arrêtent pas pour autant de se gaver.

« Bad Banks » : une bombe de 1.000 milliards d’euros pour les contribuables européens

eclipsée par la crise des dettes souveraines et par la récession des économies réelles, la crise des « subprimes » n’est pas une affaire classée. Détonateur de la bombe financière européenne, elle laisse une facture que les banques et les Etats européens ne sont pas près de régler. Pour se sauver, de grands établissements de crédit, paralysés par les créances douteuses et les actifs illiquides accumulés au fil des ans depuis 2007, ont constitué des « bad banks ». Bilan, six ans après le début de la crise financière : plus de 1.000 milliards d’euros d’actifs restent encore stockés dans ces structures de défaisance en Europe.

En amont, la création de ces dernières répond toujours à la nécessité de tirer un trait arbitraire sur les actifs toxiques et non stratégiques, pour que les activités cœur de métier restent attractives aux yeux des investisseurs. Mais les « bad banks » peuvent prendre différentes formes : une structure nationale rachetant des actifs aux banques privées, comme l’a fait l’Irlande avec la Nama (National Asset Management Agency) ; une banque insolvable nationalisée et séparée en « good bank » et « bad bank » ; et enfin une structure de cantonnement à l’intérieur d’un établissement privé.

Partie émergée de l’iceberg

C’est le schéma retenu par plusieurs banques françaises. Dont, en tête, Dexia. La « bad bank » de l’établissement franco-belge recensait fin mars 266 milliards d’euros d’actifs douteux gérés en extinction. Un record en Europe. Mais deux des poids lourds du secteur ont également eu recours à une « bad bank » interne. Natixis, la banque de financement et d’investissement du groupe coopératif BPCE, s’est doté en 2009 d’une GAPC (gestion active des portefeuilles cantonnés), regroupant 35 milliards d’actifs toxiques ou illiquides. Quatre ans plus tard, à la fin mars 2013, la banque n’en gérait plus « que » 13,5 milliards, misant sur la fermeture de sa GAPC à la mi-2014. La Société Générale suit une trajectoire analogue : sa « bad bank » Inter Europe Conseil, constituée début 2010 avec 35,5 milliards d’euros d’actifs douteux, en rassemblait 8,8 milliards à la fin de 2012.

Les plus de 1.000 milliards logés au sein des « bad banks » européennes ne constituent toutefois que la partie émergée de l’iceberg. Des centaines de milliards de créances douteuses et de fonds communs de créance, dont la valeur de marché s’est brutalement dégradée, figurent dans les livres des banques européennes. La banque de financement et d’investissement du Crédit Agricole, Cacib, n’a pas créé de « bad bank » et ne détenait plus, à la fin 2012, que 1,15 milliard d’actifs douteux en cours de cession.

Ces actifs dégradés, que les Etats, les banques et les marchés savent si mal évaluer, constituent-ils une bombe financière à retardement ? Une gestion à très long terme, en extinction ou au gré des opportunités de marché, permettra aux banques de digérer leurs erreurs. Mais elle pèse sur le dynamisme du secteur financier.

On retombe sur le paradigme du temps, prendre le temps d'effacer les erreurs passées.

Après faut voir qui en paye le prix et si on a vraiment le temps de prendre le temps  :P

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0202834793278-une-bombe-de-1-000-milliards-d-euros-pour-les-contribuables-europeens-576506.php

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Faudra économiser un peu pour renflouer les meilleurs d'entre nous, qui ne s'arrêtent pas pour autant de se gaver.

« Bad Banks » : une bombe de 1.000 milliards d’euros pour les contribuables européens

Faut appeler un spécialiste... Victor. Nettoyeur.

[dailymotion=640,390]x3wp0g_victor-nettoyeur_shortfilms[/dailymotion]

Dans le domaine financier, l'équivalent de Victor s'appelle Olafur... le président islandais.

Voici ses leçons de nettoyage.

Ólafur Ragnar Grímsson : Si vous comparez avec ce qui s’est passé dans d’autres pays d’Europe, l’expérience réussie de l’Islande s’est avérée différente sur deux aspects fondamentaux.

Le premier, c’est que nous n’avons pas suivi les politiques orthodoxes qui se sont imposées depuis trente ans en Europe et dans le monde occidental. Nous avons laissé les banques faire faillite, nous ne les avons pas renflouées, nous les avons traitées comme d’autres entreprises. Nous avons instauré des contrôles des changes. Nous avons essayé de protéger l’Etat providence, refusant d’appliquer l’austérité de façon brutale.

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Oui, sauf que les banques les plus exposées étaient pour la plupart étrangères, anglaises en particulier et que c'est le gouvernement anglais qui a renfloué les banques anglaises de leurs pertes sur l'islande par exemple.

Les banques continentales pèsent bien plus lourds que les petites islandaises.

Mettre en faillite une banque n'est pas une chose impossible, y compris pour les banques dites systémiques, mais il me semble que ca devrait passer par une harmonisation des règles européennes, ce à quoi se refusent les anglais, encore eux.

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Les malheurs de la City.

Capitale européenne de la finance, la City a été la première touchée par la crise des subprimes en 2007. Malgré sa dose de pragmatisme et de volontarisme, elle pourrait être la dernière à en tourner la page. Aux Etats-Unis, l'ardoise a été lourde, mais les regards sont désormais tournés vers l'avenir.

La Banque d'Angleterre a dévoilé, jeudi 20 juin, que cinq banques britanniques devaient renforcer leurs fonds propres de 13,7 milliards de livres (16 milliards d'euros) d'ici la fin de l'année. Face à leurs engagements et autres actifs pourris, le trou est même chiffré à 27,1 milliards de livres, mais des plans de recapitalisation, insuffisants donc, ont déjà été annoncés.

La situation la plus critique est celle de Royal Bank of Scotland (RBS), qui est responsable de près de 50 % du "trou". Cette même banque que l'Etat a sauvée en 2008 en apportant 45 milliards de livres. David Cameron souhaitait la privatiser au plus vite, mais le premier ministre risque fort d'être démenti par les faits. L'Etat, actionnaire à 81 %, doit même s'impliquer de plus en plus dans cette affaire qui prend des airs de puits sans fond.

Suite :

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/06/20/les-malheurs-de-la-city_3433471_3234.html

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Rhoo, la fin de la fête du slip monétaire?

Après six ans de politique ultra accommodante, la Fed a annoncé un changement de régime d’ici à la fin de l’année. Les Bourses accusent le coup, le dollar remonte.

Les analystes pensaient que le patron de la Fed allait apaiser les inquiétudes des marchés. C’est le contraire qui s’est produit. Hier, suite à une réunion de deux jours entre membres de la Réserve fédérale américaine, Ben Bernanke a clairement indiqué que l’institution monétaire était engagée sur la voie de la normalisation . Première étape : une réduction des achats de titres (QE) d’ici à la fin de l’année. Pour les investisseurs, cela signe la fin d’une longue période de liquidité ultra-abondante, qui a soutenu toutes les classes d’actifs et mené les Bourses vers des sommets.

Depuis hier soir, les marchés digèrent ces mauvaises nouvelles. A Wall Street, l’indice S&P 500 a perdu 1,39% en clôture . Le rendement des emprunts américains à 10 ans s’est tendu jusqu’à 2,38% en séance (il était de seulement 1,6% début mai). Quant au dollar, il s’apprécie contre toutes les devises : l’euro perd ce matin plus de 1% , le yen 2,8% contre le billet vert. Les devises émergentes affichent les plus fortes baisses contre la devise américaine.

Ouvertures dans le rouge en Europe

Dans le sillage de Wall Street, les Bourses européennes ont ouvert dans le rouge. L’Euro Stoxx 50 recule de 2,11%, annulant tous ses gains de l’année. Le CAC 40 perd 2,1%,sous les 3800 points, portant à 7%, son recul depuis le 22 mai, date à laquelle Ben Bernanke, le président de la Fed, avait déjà évoqué la possibilité d’une réduction des achats d’actifs . Le Dax, à Francfort, cède 2,31%.

La suite :

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0202841716591-les-marches-vacillent-apres-la-fed-577768.php

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Oui, sauf que les banques les plus exposées étaient pour la plupart étrangères, anglaises en particulier et que c'est le gouvernement anglais qui a renfloué les banques anglaises de leurs pertes sur l'islande par exemple.

Le gouvernement islandais s'est assuré de deux choses :

- que les contribuables n'étaient pas appelés à payer pour des pertes subies par des entreprises privées, en l'occurrence des banques

- que les déposants n'étaient pas appelés à payer pour les pertes subies par leurs banques, alors qu'ils n'auraient pas été appelés à participer aux bénéfices si les paris hasardeux des financiers ne leur avaient pas explosé à la figure

Ces deux points sont des impératifs pour tout plan de résolution de crise financière qui ne soit pas massivement injuste.

Et tout plan injuste :

- d'une part est du vol pur et simple commis par des gens riches et souvent improductifs sur des gens moyens ou pauvres dont le travail est réellement utile

- d'autre part crée un risque moral gigantesque : si la finance c'est vraiment "pile je gagne, face l'Etat perd", alors les comportements à risque deviennent encore plus courants, préparant de nouvelles crises encore plus graves

La conséquence obligée de ces deux impératifs est qu'une grande partie des pertes est subie par les établissements financiers qui ont imprudemment prêté à des banques dont il était de leur responsabilité de vérifier qu'elles étaient saines et solides. Caveat emptor, comme disaient les Romains.

Le fait que les gouvernements britanniques et néerlandais aient choisi de voler leur populations respectives pour compenser les pertes subies par ces institutions privées n'avait pas à concerner le gouvernement islandais, dont la responsabilité était de ne pas voler sa population -il est à ce jour le seul à ne pas l'avoir fait- et non pas de s'assurer que d'autres gouvernements ne volent pas la leur. Pour les vols commis par le gouvernement français voir "Dexia" par exemple

Les banques continentales pèsent bien plus lourds que les petites islandaises.

Mettre en faillite une banque n'est pas une chose impossible, y compris pour les banques dites systémiques, mais il me semble que ca devrait passer par une harmonisation des règles européennes, ce à quoi se refusent les anglais, encore eux.

1) Oui, les banques continentales pèsent beaucoup plus lourd.

A titre d'exemple, la France a l'honneur et l'avantage d'héberger 4 des 28 banques identifiées comme systémiques au sens mondial du terme. Le total du bilan de ces 4 banques (BNP Paribas, Crédit Agricole, BPCE et Société Générale) atteint trois fois la taille du PIB français.

Naturellement, en cas de problème sur l'une ou plusieurs de ces banques, le gouvernement français serait sous pression maximale de la part de tous les dirigeants mondiaux pour faire prendre en charge les pertes par les Français. Tout comme le gouvernement islandais était sous pression internationale en 2009... et il a certes fallu du nerf pour résister, quand on est à la tête d'un pays de 320 000 habitants !

Si dans ces circonstances le gouvernement français décidait de remplir ses devoirs à l'égard de la France, la conséquence serait naturellement soit un vol massif de la part d'autres gouvernements à l'égard de leurs propres populations, soit un effondrement financier mondial réalisant à grande échelle le genre de purge qu'a subi l'Islande en 2009, désagréable sur le moment, mais ô combien salutaire à moyen terme !

2) L'Islande n'a pas eu besoin de l'autorisation préalable de Pierre, Paul ou Jacques pour refuser vol gigantesque et risque moral massif. Bien au contraire, elle a résisté et fait front devant la pression de toutes les institutions mondiales (FMI...), de l'UE, le gouvernement britannique allant jusqu'à utiliser la loi antiterroriste contre l'Islande !

Si Reykjavik a pu résister, alors à plus forte raison Paris, à la tête de la cinquième ou sixième économie mondiale, avec deux cents fois la population de l'Islande, et protégé par des armes nucléaires, pourrait évidemment résister, et beaucoup plus facilement encore !

La question est morale, et morale seulement : le peuple que je sers, et l'avenir, ou bien les profiteurs qui me proposent des avantages, et le court terme ?

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Le Premier ministre islandais Sigmundur David Gunnlaugsson a prévenu lundi qu'il s'affranchirait des conseils du Fonds monétaire international, critique face à ses projets pour réduire la dette immobilière des ménages.

"Nous ne laisserons pas une institution internationale nous dire qu'on ne peut rien faire de plus pour les ménages d'Islande en même temps qu'elle nous rappelle l'importance d'aboutir à une liquidation de la crise économique", a-t-il affirmé lors d'une allocution à l'occasion de la fête nationale.

M. Gunnlaugsson semblait faire référence à un communiqué publié vendredi par le FMI à l'issue d'une mission en Islande.

L'institution de Washington avait prévenu le gouvernement qu'il y avait "peu de place au niveau budgétaire pour un allégement supplémentaire de la dette des ménages".

Le parti de M. Gunnlaugsson, vainqueur des élections législatives fin avril, a fait campagne pour alléger ce fardeau via une ponction sur les créanciers étrangers des banques islandaises.

De nombreux Islandais remboursent des prêts immobiliers indexés sur l'inflation, les seuls qui leur étaient proposés avant la crise financière de 2008, pour un montant beaucoup plus élevé que la valeur actuelle de leur logement.

Le plan détaillé du gouvernement pour résoudre ce problème doit être rendu public durant l'été.

Pour sa part, le FMI a appelé à utiliser les programmes d'allégement de la dette existants, qui ont touché relativement peu de ménages à cause de leur complexité administrative.

http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/afp-00529123-islande-le-premier-ministre-compte-s-affranchir-des-conseils-du-fmi-576421.php

L'Islande, qui a réussi à sortir de la crise économique sans précédent qui l'a frappée en 2008, s’apprête à démarrer la recherche du pétrole dans son sous-sol, rapporte le quotidien norvégien Aftenposten. Le gouvernement souhaite explorer la partie du socle continental autour de l’île Jan Mayen (située à 550 km au nord du pays).

Mais, comme l'Islande manque d’expertise dans le domaine, il a ouvert le marché des licences aux entreprises étrangères. Deux se sont déjà manifestées : la compagnie norvégienne Petoro et la société chinoise Cnooc. Néanmoins, cela ne suffit pas, selon Geir Haarde, l’ancien Premier ministre, aujourd’hui conseiller d’une société d’avocats : "Il nous manque encore Statoil [la plus grande entreprise pétrolière en Norvège], et d'autres grandes sociétés internationales", a-t-il expliqué à Aftenposten.

L’Islande avait déjà commencé les démarches d’exploitation de son socle continental il y a quelques années. Cependant, à cause de la crise économique, tout avait été arrêté en 2008.

http://www.courrierinternational.com/breve/2013/06/18/l-islande-veut-se-lancer-dans-l-aventure-petroliere

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Rhoo, la fin de la fête du slip monétaire?

Je ne peux m'empêcher de noter que le brave Benjamin :

- ne réduit pas pour l'instant le rythme de la planche à billets, actuellement de 3 milliards de $ par jour

- ne le réduira quand il s'y décidera que très progressivement, sur 6 ou 8 mois entre automne et mi-2014

- n'exclut pas bien loin de là de marquer une pause dans cette réduction si les conditions économiques se détériorent

On verra quelle direction prend tout cela.

Moi j'ai l'impression d'assister à un sketch, avec Benjamin qui nous dit "Je peux imprimer moins d'argent". Il répétera qu'il le peut. Et ensuite un aide apparaîtra sur scène : "Mesdames et Messieurs, applaudissez, il PEUT le faire !"

:oops:

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Il ne le fera probablement pas. Ou si peu. La tâche sera probablement dévolue à Janet Yellen.

C'est le bordel au Brésil.

Mais... pourquoi ?

Jean-Paul Betbèze pour Le Cercle des Economistes sur Radio Classique :

[dailymotion=640,390]x111hb6[/dailymotion]

Le "C' dans l'air" de Yves Clavi sur Pluzz.fr :

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Chômage : l'Insee contredit Hollande sur l'inversion de la courbe

Extraits :

La croissance du PIB atteindrait 0,2% au deuxième trimestre, 0% au troisième et 0,1% au quatrième

Souvent prise pour bouc émissaire par les politiques à gauche, l'Allemagne aidera pourtant cette année la France à sortir la tête de l'eau. D'après la note de conjoncture de l'Insee publiée jeudi, c'est en effet grâce au rebond de la demande venue d'outre-Rhin .

Hausse du chômage

. Résultat, l'Insee, contrairement à François Hollande, voit le chômage augmenter et atteindre 11,1 % en fin d'année.

Ses experts estiment même qu'une telle situation poussera les Français à épargner davantage. Les ménages ne profiteraient donc pas de l'amélioration de leur pouvoir d'achat (elle-même due à la faible inflation) pour dépenser. La consommation fluctuera entre 0,1 % et 0 % selon les trimestres.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/06/20/20002-20130620ARTFIG00782-l-insee-revise-a-la-baisse-sa-prevision-de-croissance-pour-2013.php

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