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2 liens pour savoir plus sur les possibilités militaires de la syrie : http://www.meib.org/articles/0108_s1.htm http://www.csis.org/stratassessment/reports/syriaWMD.pdf désolé , pas de raccourci direct, vous devrez faire un copié-collé une question : plusieurs sites ( dont celui qui héberge ce forum ) créditent la syrie de SA 10 , quelqu'un sait-il quand ces systémes ont été livrés et combien de batteries ont opérationnelles ?

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Invité grinch

Pour rebondir sur les propos de SU-mka

voici un texte daté du 22 Août 2005

Le numéro lui consacre une étude sur la question de l’eau dans le conflit israélo-arabe dont nous publions ci-dessous quelques extraits. Au Proche-Orient plus qu’ailleurs, l’eau promet d’être un enjeu majeur du XXIe siècle. L’occupation de la Cisjordanie se traduit par une réalité lourde de conséquences pour les Palestiniens : Israël contrôle tous les flux, en provenance ou à destination des Territoires autonomes. Hommes ou marchandises, électricité ou Internet, tout doit passer par l’État hébreu à un moment ou à un autre. Et l’approvisionnement en eau ne doit pas faire exception à la règle. Les autorités israéliennes peuvent en effet à tout instant « couper le robinet » puisqu’elles gèrent l’ensemble du système d’infrastructures hydrauliques, des stations de pompage jusqu’au réseau de canalisations (…) L’État hébreu dispose de la capacité technique de limiter ou de perturber ses livraisons d’eau en fonction de la conjoncture politique. Une véritable épée de Damoclès suspendue en permanence au-dessus de la tête de la population palestinienne, qui, depuis des années, souffre d’un approvisionnement parcimonieux, et largement insuffisant. Car en Palestine, comme ailleurs au Proche-Orient, le spectre de la pénurie d’eau menace. Outre la dimension politique (l’eau est une source de pouvoir pour celui qui la possède), la problématique du partage des ressources hydriques est devenue un enjeu majeur pour tous les pays de la région. Régulièrement, le roi Abdallah II de Jordanie parle dans ses discours de « priorité nationale » absolue pour son royaume. Car le Proche-Orient commence à connaître des situations de « stress hydrique », selon la terminologie employée par les experts hydrauliques.

Nombreux sont les États qui se situent désormais sous le seuil de pénurie, estimé à 1 000 m3 d’eau par habitant et par an. À 500 m3, la situation devient critique et à moins de 100 m3, il faut faire appel à des sources d’eau « non conventionnelles » comme le dessalement ou la réutilisation des eaux usées. Le Koweït, le Qatar et Bahreïn disposent de 90 à 120 m3 par habitant et par an ; l’Arabie saoudite de 160 m3 ; Israël de 400 m3 et la Jordanie de 260 m3. Ces deux derniers pays accusent un déficit d’environ 300 millions de m3/an qu’ils comblent en surexploitant les nappes phréatiques, dont certaines ne sont pas renouvelables.

Aujourd’hui, l’équilibre entre les besoins de l’homme (agriculture, tourisme, industrie et approvisionnement des villes) et la qualité d’eau disponible dans de nombreuses parties du Proche-Orient est rompu ou en passe de l’être. Face à une croissance démographique rapide combinée à un développement économique et social qui dévore les ressources hydrauliques, le fossé se creuse inexorablement. Tout au long de la dernière décennie, la crise de l’eau a atteint une ampleur inquiétante. L’ancien secrétaire général de l’ONU, Boutros Boutros-Ghali, a été l’une des premières personnalités internationales à tirer la sonnette d’alarme : « Le prochain conflit dans la région du Proche-Orient portera sur la question de l’eau (…)

L’eau deviendra une ressource plus précieuse que le pétrole », assurait-il dès 1992.

Israël assoiffe pour régner

Plusieurs « guerres de l’eau » ont déjà eu lieu dans un passé récent. Ainsi la troisième guerre israélo-arabe de 1967, dite des Six-Jours, fut à bien des égards un conflit pour le contrôle des sources du Jourdain. Une grande partie de la tension qui a provoqué le déclenchement des hostilités trouve son origine dans les efforts d’Israël et des pays arabes visant à détourner et à exploiter à leur profit exclusif le cours du fleuve biblique. La décision d’Israël, en septembre 1953, d’assécher le lac Houleh pour capter la totalité du débit du Jourdain suscita une levée de boucliers dans le monde arabe. Afin d’apaiser les tensions naissantes, les États-Unis dépêchèrent d’urgence dans la région un envoyé spécial, Eric Johnston. Celui-ci proposa le fameux plan de partage des eaux du Jourdain qui porte son nom et qui restera pendant des décennies la référence pour toute solution négociée. Signalons que ce plan prévoyait l’octroi de quotas pour les pays riverains du bassin du Jourdain : un tiers du débit pour Israël et les deux autres tiers pour les pays arabes (Liban, Syrie, Jordanie). Mais le plan Johnston ne fut jamais appliqué en raison du climat politique extrêmement tendu et instable de l’époque.

Le fleuve Hasbani, un autre réservoir du Liban

Malgré les pressions internationales et régionales, Israël poursuivit ses travaux d’aménagement hydraulique qui devait servir à approvisionner les villes et à irriguer le désert du Néguev. De leur côté, les pays arabes décidèrent une riposte en adoptant lors du premier sommet arabe du Caire, en janvier 1964, un contre-projet de diversion des eaux du Jourdain, profitant de leurs positions privilégiées de pays en amont. Ce plan devait non seulement organiser le détournement des eaux du Jourdain vers la Syrie, le Liban et la Jordanie, mais également priver Israël des ressources du Hasbani, du Banias et du Yarmouk qui alimentent le cours du Jourdain. Israël réagit alors avec fermeté par la voix de son Premier ministre, Levi Eshkol, qui déclara le 15 janvier 1965 : « Toute tentative des Arabes visant à empêcher Israël d’utiliser la part qui lui revient des eaux du Jourdain serait considérée par nous comme une attaque contre notre territoire. J’espère donc que les États arabes n’appliqueront pas les décisions qu’ils ont prises au Caire. Si, toutefois, ils les appliquaient, une confrontation militaire serait inévitable. » Dès lors, les incidents armés se sont multipliés entre Israël et les pays arabes sur les chantiers et ouvrages hydrauliques (…) En avril 1967, l’aviation israélienne parvint à détruire un barrage syro-jordanien sur le Yarmouk. Finalement, la guerre des Six-Jours se traduisit pour l’État hébreu à la fois par des avancées territoriales et par des gains hydrauliques : l’eau du Golan et celle des nappes de Cisjordanie passèrent sous contrôle militaire israélien. Une situation qui perdure jusqu’à ce jour : un tiers de la consommation israélienne est assuré par les ressources du plateau syrien occupé et 90 % de l’eau des aquifères de Cisjordanie sont exploités pour les besoins d’Israël, notamment pour approvisionner les colonies juives.

Les réservoirs du Liban-Sud

L’État hébreu a toujours eu des visées hydrauliques au Liban, même s’il n’a jamais pu les réaliser. Ces ambitions remontent au projet sioniste de formation d’un État juif.

En 1919, dans une lettre adressée au Premier ministre britannique de l’époque, Lloyd George, le président de l’Organisation sioniste mondiale, Chaim Weizmann, écrivait : « (...) Nous considérons qu’il est essentiel que la frontière nord de la Palestine englobe la vallée du Litani sur une distance de près de 25 miles (40,5 km environ) en amont du coude, ainsi que les flancs ouest et sud du mont Hermon. » Mais le gouvernement français opposa son veto aux prétentions de la direction du mouvement sioniste ; et cela, afin de contrer l’influence britannique dans la région et de pérenniser son projet de « Grand Liban ». Israël n’a pas, pour autant, renoncé à son rêve d’accéder aux rives du Litani. Il y parviendra une première fois en 1978, lors de l’invasion militaire baptisée « opération Litani ». Le fleuve, qui prend sa source dans la vallée de la Békaa et forme un coude au niveau du château de Beaufort avant de se jeter dans la Méditerranée, constitue une ligne rouge en-deçà de laquelle Israël ne tolère aucune présence militaire hostile, qu’elle soit palestinienne ou syrienne.

En 1982, lors de l’opération « Paix en Galilée », les troupes israéliennes iront jusqu’à assiéger Beyrouth pour chasser les forces de l’OLP du Liban, avant de se redéployer puis d’établir une zone de sécurité de 850 km2 au Liban-Sud censée protéger sa frontière nord. L’expérience de ce glacis défensif sera un échec complet, qui s’achèvera en mai 2000 par le retrait des soldats israéliens et la dislocation de l’Armée du Liban-Sud (ALS), milice auxiliaire de l’État hébreu commandée par le général libanais Antoine Lahd. Au cours de ces vingt-deux années d’occupation, beaucoup ont accusé Israël de pomper l’eau du Liban-Sud, celle du Litani et des sources du Jourdain (Wazzani, Hasbani). En ce qui concerne le fleuve Litani, une telle hypothèse paraît fort improbable. Il faut savoir qu’un chantier hydraulique ne passe pas inaperçu : il nécessite une logistique lourde tant en moyens humains que techniques. Lorsque les Israéliens ont commencé à s’approprier de la terre libanaise par camions entiers, la réaction internationale a été immédiate et les transferts de terre ont cessé aussitôt. Mais il n’est pas exclu que des pompages limités aux sources du Jourdain aient pu être mis en place. Il est d’ailleurs intéressant de noter que les désormais fameuses fermes de Chebaa sur les flancs du mont Hermon (sud-est du Liban), adjacentes au Golan syrien annexé par Israël en 1981, surplombent un important réservoir d’eau. Cette zone contestée lors du retrait israélien abrite, en effet, deux sources contribuant à l’alimentation du Banias, du Dan et du Wazzani qui, eux-mêmes, se déversent dans le Jourdain.

À n’en point douter, dans de futures négociations de paix avec Beyrouth, Israël ne manquera pas de revendiquer un accès aux eaux du Liban-Sud. Les Israéliens justifient leurs prétentions en expliquant qu’une grande partie de l’eau du Litani est perdue dans la mer et qu’elle pourrait servir à alimenter la Galilée du Nord. Ce à quoi les Libanais rétorquent que l’insécurité dans le Sud ne leur a jamais permis d’exploiter le potentiel du fleuve et qu’ils ont désormais besoin de toutes leurs réserves pour approvisionner Beyrouth en eau potable et développer l’irrigation dans la plaine de la Békaa.

et de 2004

GILLES LABARTHE, DE RETOUR DU LIBAN

Paru le Mardi 25 Mai 2004

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InternationalPROCHE-ORIENT - Après les guerres du pétrole, les guerres pour l'eau? La gestion de l'or bleu provoque déjà de nombreuses rivalités au Proche-Orient, concernant la captation et le détournement des eaux du Tigre, de l'Euphrate, du Jourdain ou du Nil. Turquie, Syrie, Irak, Egypte et Soudan bataillent aujourd'hui pour s'assurer des ressources stratégiques. Le Liban, véritable château d'eau régional, n'est pas épargné par le phénomène. Retour sur une longue polémique qui l'oppose à Israël.

Pour échapper au stress de la capitale, les habitants de Beyrouth qui en ont le temps et les moyens aiment se rendre à Zahlé, petite ville nichée sur le versant est du Mont-Liban. Propice à la villégiature, Zahlé possède quelques bons restaurants dont les terrasses ombragées permettent de grignoter de délicieux mezzé, tout en regardant couler les eaux tranquilles de la rivière. En conduisant une heure plus au Sud, on traverse les riches vergers et les vignobles réputés de Ksara et de Kefraya.

PARADIS SUR TERRE

Une promenade à travers la réserve naturelle verdoyante de Haamiq contribuera à donner de cette plaine fertile et bien irriguée de la Bekaa une impression de paradis sur terre. Le calme y est assuré. Mais dès l'approche du lac artificiel de Qaraoun, retenant les eaux du Litani, la présence marquée de militaires libanais et syriens vient rappeler que l'eau est aussi source de conflits. Postes de contrôle, canons de DCA et blindés encadrent ce barrage long de 1350 mètres. L'image idyllique de la Bekaa s'estompe rapidement face aux uniformes.

«Depuis les années septante, les Israéliens ont pris l'habitude de pomper les eaux du Litani», explique une responsable d'association locale. Elle évoque les années de guerre, l'invasion à répétition de cette région du Sud-Liban par l'Etat hébreu. «Opération Litani» en mars 1978, opération «Paix en Galilée» en 1982, occupation de la zone dite «de sécurité» jusqu'en mai 2000...

Plusieurs observateurs soutiennent que, outre la lutte armée contre les éléments de la résistance palestinienne ou du Hezbollah, l'accès aux ressources hydrauliques représente une des raisons majeures des occupations militaires orchestrées par Israël (lire ci-dessous). Pendant des années, ingénieurs, enquêteurs et même soldats des casques bleus de l'ONU ont livré des rapports concernant des cas de pompage des eaux du Litani par les Israéliens.

SABOTAGE SYSTÉMATIQUE

D'un côté, l'Etat hébreu, qui souffre de pénuries sur ses propres terres. De l'autre, le Liban et ses montagnes, véritable château d'eau du Proche-Orient, souvent accusé par le gouvernement de Tel-Aviv de dilapider l'or bleu. C'est un fait: une bonne partie des eaux du Litani se déverse directement dans la Méditerranée. En jetant un coup d'oeil au barrage de Qaraoun, on peine d'ailleurs à saisir les dimensions réelles du litige. L'installation libanaise semble aujourd'hui encore fonctionner au ralenti, bien en deçà des capacités d'exploitation réelles du fleuve. Comme si, technologiquement parlant, le temps s'était arrêté au milieu du siècle.

Précisément, la construction du barrage remonte à 1959. A l'origine, il était «destiné à la production d'électricité et à fournir de l'eau d'irrigation aux grandes étendues cultivées de la Bekaa, explique un guide. Mais ces objectifs n'ont pu être atteints pendant de nombreuses années, à cause de la guerre civile (1975-91) et de l'occupation d'Israël du Sud-Liban. Un des aspects les plus ambitieux du projet, qui pourrait être repris aujourd'hui, consistait à construire quatre autres barrages et à creuser un tunnel pour irriguer la région de Natatiyé», située plus au Sud.

Mais la mise en valeur du potentiel hydraulique libanais, considéré comme le plus important de la région et représentant la seule ressource naturelle du pays, piétine lourdement. Bon nombre d'infrastructures ont en effet été détruites pendant la guerre. Certaines sous les bombardements israéliens de 1982. Les soldats de l'armée israélienne auraient aussi mené des opérations de sabotage systématique des canalisations, selon les témoignages d'un habitant. Faute d'une gestion publique efficace, le gouvernement du premier ministre Rafic Hariri compte désormais sur les investissements du secteur privé pour lancer de nouvelles constructions de barrages dans le bassin Wazzani-Hasbani. Dont un projet ambitieux portant sur dix ans, estimé à un coût global de 420 millions de dollars, rapporte le Daily Star de Beyrouth.

SHARON MOINS OBSÉDÉ

Là encore, il faudra composer avec le voisin hébreu et en appeler à des médiations internationales pour éviter de nouvelles querelles, voire des bombardements. «Dès que l'on parle du Sud-Liban, il faut rappeler qu'Israël y a des intérêts importants, souligne Thomas Litscher, ambassadeur de Suisse au Liban. Ariel Sharon a menacé le pays en octobre 2002 quand le Gouvernement libanais a inauguré une nouvelle station de pompage des eaux du Wazzani. Pour Israël, cela valait déjà le casus belli.»

Le gouvernement de Sharon semble aujourd'hui moins obsédé par l'accès au fleuve Litani. La situation s'était relativement détendue dans les environs. A une vingtaine de kilomètres seulement au sud-est du lac Qaraoun, la fixation israélienne sur les eaux de la rivière Wazzani et le fleuve Hasbani, situé en bonne partie sur territoire libanais en amont du Jourdain, reste en revanche toujours de mise. C'est même dans cette région du Mont-Hermon, fief du Hezbollah, que de violents accrochages militaires ont eu lieu ces derniers jours.

Image IPB

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dernières nouvelles du front ( france 3 ) - 1 voire 2 merkava en feu ( là il va en rester que dale vu les images ) - pertes israélieenes difficiles à évaluer ( l'armée cache ses pertes ) ( c'est le commentaire du journaliste, pas le mien ........) - des incendies déclenchés par le tir de quelques 200 roquettes du hezbollah - combats trés durs sur la ligne de front

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J'ai vu aussi. C'est pas facile de dire si ce sont bien 2 Merkavas Je tendrais à dire que effectivement il y a 1 MBT dans le lot donc pe un Merk. pour le second blindé, j'aurais plutot tendance à dire qu'il s'agit d'un VTT (M113 ou Achzarit, en fait je pencherais pour ce dernier la caisse étant assez basse) Cela dis tu a raison vu le brasier c'est pas bien evident .....

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sur arte : omert indique avoir détruit toute l'infrastucture du hezbollah et 7000 positions et centres de commandement ( il a du prendre des trucs prohibés avant l'interview pour dire de telles conneris, là c'est MON commentaire ) un sujet sur les crimes de guerre: - usage de sous munitions et de phosphore par israel ( le deuxième point sous réserve ) - l'association human right watch compte porter plainte pour crimes de guerre ( attaques de civils ) contre israel et le hezbollah

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J'ai vu aussi. C'est pas facile de dire si ce sont bien 2 Merkavas

Je tendrais à dire que effectivement il y a 1 MBT dans le lot donc pe un Merk.

pour le second blindé, j'aurais plutot tendance à dire qu'il s'agit d'un VTT (M113 ou Achzarit, en fait je pencherais pour ce dernier la caisse étant assez basse)

Cela dis tu a raison vu le brasier c'est pas bien evident .....

le deuxième on voit pas bien, effectivement la végétation cache un peu l'image.

le premier ça ressemble bien à un merkava, je sais pas trop ce qui l'a mis dans cet état , je sais pas si l'équipage s'en est sorti

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Ouais bousiller un merk (voir 2) dans un champs ca laisse rêveur sur les capacités du Hezbollah Jvais finir par reellement croire qu'ils ont des Kornet-E Bilan : Tu as beau avoir un char superblindé, entre l'épée et le bouclier au final c'est toujours l'épée qui finie par avoir le dernier mot

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Invité grinch

J'espère que l'on prend des notes sur les techniques et matériels utilisés dans ce conflit. Parce que les merk, l'un des meilleurs chars en combat urbain se fait descendre comme des mouches

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L'invulnerabilité des M1 dans les guerres du golfe est due a des conditions particulières et au manque d'armes antichar moderne des iraquiens. Face a une armée decemment equipée aucun char n'est invulnerable et ne l'a jamais été que ce soit un Tigre de la 2GM ou un M1A2. Le blindage vise a assurer une probabilité statistique de survie et de réparabilité du blindé si possible maximum. Pour le moment rien ne prouve que les Merkava sont defficients sur ce plan. Qu'ils aient des pertes quoi de plus normal face a un ennemi déterminé et equipé par les Iraniens. Ce qui prouve en passant que les Iraniens sont un peu equipés pour le combat AC.

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D'apres TF1 les commendos d'hier soir etait composé de 200 hommes :shock: encerclé, refugié dans un hopital et ils arrivent à partir avec 0 mort et 0 blessé ...

c'est louche quand meme

d'après la police libanaise, tous les morts sont des civils et les images israéliennes montrent que les véhicules lance roquettes détruits étaient vides ..... il y a peu être pas vraiment eu de combats ( c'est trés loin dans le nord balbek )

par contre olmert indiquant que l'infrastucture du hezbollah était entièrement détruite, il a raté une occasion de se taire

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aujourd'hui environ 200 roquettes tiré dont certain a plus de 60 km dans les terre d'Israel

Effectivement.................+ de 190 roquettes tirés aujourd'hui...............700 positions du Hezbollah détruitent depuis le début des hostilités ce qui n'a pas l'air d'affecter la moyenne des tirs....................ils doivent posséder des milliers de lanceurs ou quoi ?? :?

1 civils israélien tué

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En réponse à ta question :

January 13, 2005 :: News

The Russian newspaper Kommersant recently reported of Russian plans to sell a number of missile systems to Syria, a state sponsor of terrorism and in particular Hezbollah. These included the shoulder-fired SS-18 Igla anti-aircraft missiles, but also and more significantly, eighteen of Russia’s new and made-for-export SS-26 Iskander missile, and the S-300PMU-2 (SA-10) air and missile defense system, similar to that which rings Moscow, and other systems. The S-300PMU-2 system is one of Moscow’s most developed air and missile defense systems. The SS-26 has increasingly made the news for its touted capabilities to evade other air-defenses—possibly the U.S. Patriot interceptors—and the Russian’s plans to market it widely, including in the middle east. The export version of the SS-26 Iskander missile has a reported range of 280 km, sufficient for Syria to strike nearly all of Israel.

At this time, negative publicity may be sufficient reason for Russia to back out of the missile deal, but it nevertheless serves as yet another example of Russia’s long track record of being willing to proliferate missiles and missile technology throughout the world. (More »»»)

» January 12: Original report of planned missile sales by Russian newspaper Kommersant

» January 13: Ivanov denies plans to proliferate Iskanders to Syria

» January 12: Interfax: Colonel Vladimir Anokhin defends missile sales to Syria

» More stories on: Proliferation, Russia, Syria and Terrorism

» Missile details for: SS-X-26

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La Syrie, Etat laïc dirigé par le Parti Baath (« Résurrection ») de tendance socialiste athée, est un allié traditionnel de la Russie. Entre 1994 et 2000, la Syrie a acheté pour 500 millions de dollars d’avions et missiles SA-10, puis 1.000 missiles anti-chars AT-14, 4 chasseurs Sukhoï-27 un nombre indéterminé de chasseurs Mig-29. source: http://www.strategicsinternational.com/8_G%20troude.pdf

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Et histoire dans rajouter dans la stabilité de la région

June 7, 2006 :: BBC Worldwide Monitoring :: Analysis

Russia may export S-300 air/missile defense interceptors to Iran via Belarus, writes Polish analyst Piotr Koscinski on the Rzeczpospolita newspaper website. Koscinski cites the Russian publication Vzglyad, which published an article in April 2006 suggesting that Belarusian President Aleksandr Lukashenka himself would be the go-between for the transaction. The move would allow Russia to categorically deny the sale of these weapons to Iran, and maintain its image within the G-8 and on the world stage. According to Jane’s Intelligence Digest, an Iranian military delegation visited Minsk in January 2006, and negotiations surrounding the transfer of S-300 systems took place. According to Aleksandr Rakhimchyk, deputy director of the Moscow-based Institute of Military and Political Analysis, if Iran receives Russian-made S-300 systems, the U.S. would not be able to carry out a military operation against the Islamic Republic “without suffering significant losses.” (Article, Link)

» More stories on: Analysis, Former Soviet Republics, Iran, Proliferation and Russia

Ca risque de compliquer une opération aérienne Israélienne et ou US sur le pays des Mollahs ca

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Invité grinch

L'invulnerabilité des M1 dans les guerres du golfe est due a des conditions particulières et au manque d'armes antichar moderne des iraquiens.

Face a une armée decemment equipée aucun char n'est invulnerable et ne l'a jamais été que ce soit un Tigre de la 2GM ou un M1A2.

Le blindage vise a assurer une probabilité statistique de survie et de réparabilité du blindé si possible maximum.

+mobilité+ comm+ feu =le concept de survivabilité, On est d'accord

Pour le moment rien ne prouve que les Merkava sont defficients sur ce plan.

Il n'y a pas de confirmation de la part de Tsahal donc l'efficient n'est pas prouvé. On ne sais rien

Qu'ils aient des pertes quoi de plus normal face a un ennemi déterminé et equipé par les Iraniens.

Ce qui prouve en passant que les Iraniens sont un peu equipés pour le combat AC.

Si l'iran équipe le hezbollah en armes antichar moderne, la probabilité que les guerillas s'équipent de tel matériels s'accroit et de fait, un leclerc déployé en afrique peut se retrouver face à des kornet plus facilement. Et donc le retex sur l'opération au liban est nécessaire mais cela va être coton.

L'iran n'est pas le fournisseur exclusif des groupes armés et il y a en bien d 'autre

edit: à propos de douste

PARIS (Reuters) - L'Iran a une part de responsabilité dans le conflit au Liban et doit aujourd'hui "contribuer à pacifier" la région, a déclaré mercredi Philippe Douste-Blazy.

Le ministre français des Affaires étrangères avait déclaré dimanche dernier à Beyrouth que l'Iran jouait un "rôle stabilisateur" au Moyen-Orient.

L'Iran "dans ce conflit israélo-libanais et dans le conflit nucléaire doit jouer un rôle de stabilisation et non pas de déstabilisation", a-t-il déclaré sur Radio J, reprenant les grandes lignes d'une thèse esquissée mardi à Bruxelles, après la réunion des ministres des Affaires étrangères européens.

"L'Iran a une part de responsabilité dans le conflit actuel (...) L'Iran peut donc jouer un rôle dans sa solution et, donc, doit contribuer à pacifier cette région du monde. Il lui appartient maintenant de se montrer à la hauteur de sa responsabilité", a ajouté Philippe Douste-Blazy. "C'est le moment ou jamais".

Prié de dire s'il avait conscience que ses propos du week-end avaient pu choquer la communauté juive de France et les Israéliens, le chef de la diplomatie française a estimé que ses explications étaient "de nature à ne pas les heurter".

"On voit bien que le risque, c'est la déstabilisation du Liban et Israël n'a rien à y gagner. On a plutôt intérêt quand on est Israélien aujourd'hui à parler avec un gouvernement libanais fort qu'avec un gouvernement libanais faible", a-t-il ajouté.

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L'operation Baalbeck s'est soldé par la capture de 5 Nasrallah.Le tsahal a kidnappé 5 membre d'une famille qui par malheur porté le meme nom que Hassan nasrallah.Un certain Hassan nasrallah* et 4 membre de sa famille ont été capturé dans cette operation.Hassan nasrallah tenait une epicerie à Baalbeck et s'etait refuié à l'hopitale pour echapé les raides aeriennes israelienne. AAAAAh Mahmoud doit bien rigoler dans son palais :lol: Faire croire au Mossad que le vrai Hassan nasrallah se trouvait a Baalbeck :lol: et tous que le Tsahal obtien,c'est un petit marchat d'epice et sa famille :lol:

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Un officier de Tsahal ous couvert de l'anonyma aurait dit qu'Olmert ne raconte que des conneries et que le Hezbollah est toutjour intacte avec aytant de nuisance qu'avant le debut des hostilités, je crois que c'est vrais, vus le nombre de roquettes tirées aujourd'hui 183 en tout. Quand à l'assaut d'hier, les 5 personnes capturés sont bien du Hezbollah selon l'un de ses membres parlementaire, mais ce ne sont pas des combattants car agées de 55 à 60 ans et qu'il regrété qu'Israle capture des personnes agées commes trophés. Sinon une autre opération aeroporté aurait eu lieu au dessus de Beirout mais les commandos n'ont rien emporté avec eux. Quand aux syriens et l'armée libanaise, il n'ont qu'a bouclé leurs grosse gueulles car ils foutront rien :P Moi je crois pas un seul instant à la presence de S-300 en Syrie! Mais leurs forces de missiles sol-sol, si bien utilisée et sans peur, ils peuvent metre HS toutes les bases de l'IAF, mais le feront ils????? :rolleyes:

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L'operation Baalbeck s'est soldé par la capture de 5 Nasrallah.Le tsahal a kidnappé 5 membre d'une famille qui par malheur porté le meme nom que Hassan nasrallah.Un certain Hassan nasrallah* et 4 membre de sa famille ont été capturé dans cette operation.Hassan nasrallah tenait une epicerie à Baalbeck et s'etait refuié à l'hopitale pour echapé les raides aeriennes israelienne.

AAAAAh Mahmoud doit bien rigoler dans son palais :lol: Faire croire au Mossad que le vrai Hassan nasrallah se trouvait a Baalbeck :lol: et tous que le Tsahal obtien,c'est un petit marchat d'epice et sa famille :lol:

La CIA avait fait la même chose avec un mec qui s'appelait Ben Laden.

Je crois que la CIA a vraiment une mauvaise influence sur le Mossad. :lol:

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Mais leurs forces de missiles sol-sol, si bien utilisée et sans peur, ils peuvent metre HS toutes les bases de l'IAF, mais le feront ils????? :rolleyes:

Pour le moment, ils n'ont pas de vraie raison de le faire................

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