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Batellerie et engin & moyens de débarquement


Fusilier
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Je reformule, Fusilier et moi nous parlions de dotation et acquisition, qui sont pour l'instant de 4 engins.On ne parle pas de réparation rapide et simple à entretenir.On parle de 4 engins pour 3 BPC.

Si dans l'hypothèse d'un coup au but par plusieurs obus ou missile, ton EDA-R il lui faudra plus qu'un coup de nettoyeur haute pression  :lol:

Donc, je demande à Eau Tarie s'il a des nouvelles de la prochaine commande.Puisque la MN parle d'un besoin d'expression de 8 EDA-R.

Maintenant, le fait d'avoir 8 EDA-R ne veut pas dire que toute la batellerie soit remplacée nombre par nombre et qu'on n'aura que 8 engins et moyens de débarquement.

J'ai changé de poste et ne suis plus dans l'équipe.

Bien sur j'ai gardé bcp de contact, mais je suis moins au coeur de l'action  ;).

Et les trucs très "politiques" même quand tu es dans l'équipe technique tu l'apprends assez tard en fait.

A une époque on disait que pour les premiers +2 ça devrait se faire bientot.

Mais à mon sens la DGA et la marine veul essayer le leur avant de signer la suite, ce qui tout à fait logique à mon sens. Après il faut connaitre tout les détails des contrats, clause de dédit etc. pour savoir ce qui est logique de ce qui ne l'est pas.

Surtout qu'on à une époque de vache maigre quand même...ya qu'à voir comment c'est tendu sur les voilures tournantes...  :O

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J'ai changé de poste et ne suis plus dans l'équipe.

Bien sur j'ai gardé bcp de contact, mais je suis moins au coeur de l'action  ;).

Et les trucs très "politiques" même quand tu es dans l'équipe technique tu l'apprends assez tard en fait.

A une époque on disait que pour les premiers +2 ça devrait se faire bientot.

Mais à mon sens la DGA et la marine veul essayer le leur avant de signer la suite, ce qui tout à fait logique à mon sens. Après il faut connaitre tout les détails des contrats, clause de dédit etc. pour savoir ce qui est logique de ce qui ne l'est pas.

Surtout qu'on à une époque de vache maigre quand même...ya qu'à voir comment c'est tendu sur les voilures tournantes...  :O

Pendant que je te tiens, plus petit chose on éveillé ma curiosité.

Les CTM qui font grosso modo la moitier des EDA-R accepte dans leur cuve l'équivalent de 90t. L'EDA-R est semble t il limité a emporté sur la plateforme 100t. Cette limitation a 100t est du a quoi? a la solidité de la plateforme? aux limites su systeme de verrin? au déplacement dadmissible du navire? Et enfin serait il possible en laissant la plateforme en bas d'embarquer plus de poids et de s'en servir alors unique en mode chaland?

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Dans la logique de tout navire :

Le problème c'est que les calculs réglementaires sont liés au déplacement, à la vitesse et au type de navigation (côtière ou pas etc.).

Tu déduis de tes objectifs des coefficients d'accélérations et des règles pour dimensionner ton navire.

du coup ça fait un "package".

Si tu augmentes la charges admissible, tu augmentes les structures et du coup tu handicapes pour faire tes vitesses maxi.

Plus tu rajoutes d'équipements (cabines, douches, toilettes, equipements etc.) plus ton devis de poids augmente.

Donc si tu veux pas revoir (trop) tout ton échantillonnage et prendre de la masse en renforcement, il faut alléger la capacité d'emport quand l'équipement augmente.

Pour les LCAT, une fois que tu as bien calibré ton besoin de capacité d'emport de la plateforme en fonction du besoin, tu choisis le système hydraulique qui permet de répondre à la fonction. Sachant que si tu transportes moins il sera un peu plus léger => Cercle vertueux.

Si tu voulais transporter très lourd en chaland sur les LCAT / EDAR tu pourrais en théorie, mais il n'y a pas eu de calcul ni de dépot de certification pour cette application spécifique qui n'est pas un besoin actuellement identifié. Typiquement tu tomberas sous un problème de certification.

Mais bon en chaland avec la plateforme en bas, tu plafones à <10 noeuds environ, et la tenue à la mer des chalands est assez limitée quand même.

Maintenant si c'est la guerre et si tu dois vraiment le faire...

Si tu voulais concevoir un LCAT qui porte 150 tonnes (pour 30m de longà, ça serait largement possible sans remettre en cause le concept.

Mais tu pénaliserais la vitesse à vide de manière surement importante, et du coup le concept perdrais de son interet à savoir faire des A/R de manière bcp plus vite.

SI par contre tu as un navire plus long c'est bcp plus simple car la résistance de vague sera bcp moins génante.

Sur les chalands type CTM, l'emport peut être très important car tu es en forme de baignoire=> pour une certaine charge le tirant d'eau augmente peu. En gros c'est une grosse boite vide à ciel ouvert.

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Mais bon en chaland avec la plateforme en bas, tu plafones à <10 noeuds environ, et la tenue à la mer des chalands est assez limitée quand même. Maintenant si c'est la guerre et si tu dois vraiment le faire...

C'était le sens de ma question. Dans le cas ou le BPC serait tout prêt d'un port inaccessible aux gros navire genre Haïti, l'EDA-R pourrait se permettre sur le tout petit transit de rester en bas en surchargeant largement. En gros c'est quoi le déplacement de la plateforme? elle fait 60cm d'épaisseur? et au pire dans l'état actuel a quel masse on pourrait monter en temps de guerre?

J'ai une autre question bete ... pourquoi ne pas avoir dessiné les carne des demi coque vers l'interieur plutôt que vers l'extérieure. la vague d'étrave se formant alors seulement entre les coque, comme sur les ferry? ca aurait posé un souci plateforme baissée?

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La plateforme à elle toute seule c'est environ 200m3 de flota ...

Merci ... donc si le caisson supporte le matériel qu'on pose dessus on peut tres bien en cas de besoin urgentissime débarquer pres de 200t, a condition que le transit soi bref et les condition favorable.

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Merci ... donc si le caisson supporte le matériel qu'on pose dessus on peut tres bien en cas de besoin urgentissime débarquer pres de 200t, a condition que le transit soi bref et les condition favorable.

On peut l'imaginer oui, mais personne n'a jamais poussé cette réflexion un peu extrême de manière précise par calcul.

Pour ta question sur les formes de coques. Je suis pas assez spécialiste de l'hydro pour te répondre.

Mais il y a eu des gens compétents dans le domaine qui ont bossé sur la question et plusieurs campagnes d'essais en bassins pour optimiser le compromis "comportement à la mer" et vitesse :)

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Pour ta question sur les formes de coques. Je suis pas assez spécialiste de l'hydro pour te répondre.

Mais il y a eu des gens compétents dans le domaine qui ont bossé sur la question et plusieurs campagnes d'essais en bassins pour optimiser le compromis "comportement à la mer" et vitesse :)

En y regardant de plus prêt effectivement l'EDA-R ne fait quasiment pas de vague d'étrave ;)

Image IPB

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Une bonne nouvelle pour fusilier http://www.ixarm.com/Demande-d-Information-de-la,112272

Dans le cadre d’une éventuelle acquisition de plusieurs unités de chalands multi-missions destinés à la Marine nationale, la Direction Générale de l’Armement souhaite obtenir des informations sur la propulsion de ces chalands, basée sur une solution soit de type mécanique, soit de type hybride (mécanique et électrique), soit de type tout électrique. L’objectif de cette demande d’information est de recueillir les éléments nécessaires permettant de statuer sur la faisabilité d’une solution « tout électrique », ou de tout autre solution hybride développée dans le cadre d’une éco-conception innovante, afin de réduire les émissions de polluants et dans la mesure du possible de ne pas nécessiter le stockage d’énergie fossile à bord ou d’en limiter l’utilisation. Les réponses à la demande d’information sont attendues dans la mesure du possible pour le 30 septembre 2011, et au plus tard pour le 31 octobre 2011.

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Je n'avais pas fini d'agrémenter mon message donc je poursuis ici, Fusilier m'a devancé en posant la question. =)

Il faut voir de quoi ils parlent exactement...

D'un Chaland Multi-Missions  :lol: http://www.ixarm.com/Liste-des-demandes-d-information?rfi=18, dont voici 15 pages en PDF http://www.ixarm.com/IMG/rfi/SOPHIEAD_13081495661_di_-_chalands_multi-missions_v1.0_060611.pdf

Les CMM seront des bâtiments polyvalents, aménagés suivant quatre types de missions :

1. MIS1 - servitude des bases navales (transport de matériel et personnel, soutien aux

travaux de génie sous-marin, remorquage de charges légères) ;

2. MIS2 - entraînement des plongeurs et pilotes d’hélicoptères aux hélitreuillages (jour

et nuit) des bases aéronavales ;

3. MIS3 - formation des plongeurs de l’école de plongée (grande capacité d’emport) ;

4. MIS4 - transport de munitions de tout type.

L’acquisition de douze CMM serait envisagée, selon la répartition suivante :

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PERIMETRE TECHNIQUE

2.1.1 Contraintes de gabarit et de déplacement

Pour tous types de missions

· Tirant d’eau pleine charge (de manière à accéder en tout endroit des ports) : inférieur ou égal à

1,20 mètres (souhaitable), 1,50 mètres (important), 1,90 mètres (primordial).

Mission MIS1 (servitude des bases navales)

· Surface disponible pour permettre le transport jusqu’à 3 sections de 25 personnes de l’armée

de terre, soit 75 passagers (souhaitable), 50 passagers (primordial), en position debout avec

leur armement réglementaire (1 sac et une arme). La dépose se fait sur plan incliné - slipway

(primordial) et/ou plage (souhaitable) - par une porte à l’avant.

Mission MIS2 (entraînement des plongeurs et pilotes d’hélicoptères)

· Longueur : pour être en mesure de réaliser les entraînements aux hélitreuillages de jour

comme de nuit, longueur minimale de repères pour le pilote de 23 mètres.

· Surface disponible pour accueillir 25 plongeurs en instruction et leurs équipements de plongée :

zone dégagée sur la plage arrière de superficie 2 m X 3,5 m.

Mission MIS3 (école de plongée) :

· Surface disponible pour transporter en position assise et assurer la mise à l’eau de 62

plongeurs.

· Surface disponible pour accueillir un caisson de décompression.

· Largeur : pouvoir circuler sur les passavants à un plongeur de front ou un brancard et mettre

quatre plongeurs à l’eau simultanément.

Mission MIS4 (transport de munitions)

· Surface disponible pour transporter une charge utile de 23 tonnes ou 2 conteneurs 20 pieds ou

un volume équivalent, sur une surface de 32 m2 minimum.

2.1.2 Performances à atteindre en terme de vitesse et d’autonomie

Les performances propulsives des CMM doivent permettre la réalisation des missions, selon le

profil d’emploi suivant.

Tous types de missions

Vitesse de 7 noeuds (souhaitable) 5 noeuds (primordial) à pleine charge, par mer 0, durant 8

heures, soit une autonomie de 56 nautiques (souhaitable) 40 nautiques (primordial).

Mission MIS1 (servitude des bases navales)

Remorquage de charges légères : transits aller / retour, manoeuvres de fixation de la charge au

croc, remorquage, soit au total 4 heures à 5 noeuds par mer 3.

Soutien aux travaux de génie sous-marin : transit vers la zone de travail à une vitesse comprise

entre 5 à 8 noeuds par mer 3 durant deux heures (total du transit aller / retour), phase

d’intervention des plongeurs pendant laquelle le CMM peut être au mouillage, à couple d’une autre

embarcation ou à quai durant 6 heures.

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Du nouveau matériel pour le SHOM

Le spectacle sur la plage de la pointe de Kernevel, en face de la base sous-marine de Lorient, est intrigant. Un homme en noir, équipé d'appareils et d'une antenne, quadrille méthodiquement la plage. Un autre, dans l'eau, fait les mêmes allers-retours sur l'estran. Posé au bord de la plage, une station montée sur trépied, avec un enregistreur de données GPS. « En quatre heures, nous allons pouvoir traiter la plage. Après il nous faudra quatre heures pour traiter nos données. » Le maître Yoann Boulaire est le chef de cette petite équipe d'hommes en noir, composée de lui-même et de ses deux équipiers, le maître Konogan Le Calve et le second-maître Corentin Le Mouellic. Ils font partie de l'équipe du SDHM, le Système Déployable d'Hydrographie Militaire, une des entités du Groupe hydrographique Atlantique dépendant lui-même du SHOM (Service Hydrographique et Océanographique de la Marine). « Le SDHM a été crée en 2003. Le principe est de pouvoir intervenir rapidement en avance de phase pour des opérations amphibies militaires. Concrètement, nous devons pouvoir être projetés en dix jours, avec notre matériel, n'importe où pour pouvoir effectuer rapidement des relevés et donner des cartographies de zone de plageage », précise le maître Boulaire.

...

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=116843

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