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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Berlin prépare un autre plan de relance après 31 milliards c'est maintenant 50.

Il y est possible que notre pays face de même ?

Vive le PAN2 et les opv ....

http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/01/06/berlin-prepare-un-plan-de-relance-de-50-milliards-d-euros_1138386_3214.html

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Vu qu'il semble y avoir des experts en finance, pensez vous que la crise va entrainer un baisse des taux de credits au particuliers, pour l'immobilier par exemple et de quel ordre?

Un second plan de relance pourrait aller dans quelle direction, et l'armée en profitera t elle?

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il parait que la BCE va baisser son taux directeur aux environs de 1,5 % d'ici quelques mois.

Donc logiquement les taux bancaires devraient baisser.

Maintenant, la dernière baisse du taux de la BCE n'a pas été reporté par les banques qui veulent en profiter pour se refaire une santé financière ( sur le dos des clients, mais est-ce étonnant ?? ). Mais elles vont bien la répercuter un jour ou l'autre.

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il parait que la BCE va baisser son taux directeur aux environs de 1,5 % d'ici quelques mois.

Donc logiquement les taux bancaires devraient baisser.

Maintenant, la dernière baisse du taux de la BCE n'a pas été reporté par les banques qui veulent en profiter pour se refaire une santé financière ( sur le dos des clients, mais est-ce étonnant ?? ). Mais elles vont bien la répercuter un jour ou l'autre.

oui bonne analyse
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Dubaï: pour de nombreux étrangers, le rêve tourne au cauchemar

Virés, expulsés

La croissance phénoménale de Dubaï a attiré des centaines de milliers de personnes ces dernières années, mais avec la crise financière mondiale le rêve de beaucoup d’entre elles s’est brisé car même dans cet émirat du Golfe l’heure est maintenant aux licenciements

AFP | 07.01.2009 | 08:57

L’essor de cette ville, alimenté par le secteur immobilier, a provoqué une ruée d’étrangers attirés par des salaires alléchants, la quasi-absence d’impôts et, pour de nombreux Européens, la garantie d’un climat ensoleillé toute l’année.

Les étrangers représentent plus de 80% de la population de Dubaï, estimée à plus d’un million et demi d’habitants.

Comme le permis de résident est lié au contrat de travail dans les Emirats arabes unis, dont Dubaï est l’une des sept composantes, perdre son emploi signifie aussi qu’il faut faire sa valise et quitter le pays.

Pour certains, les licenciements ont été tellement rapides qu’ils n’ont rien vu venir.

"Cela s’est fait très vite", a affirmé sous couvert de l’anonymat un ancien employé de Nakheel, l’une des 500 personnes (soit 15% du personnel) licenciées fin novembre par ce promoteur immobilier contrôlé par l’émirat.

Là aussi, l'immobilier est en crise

Nakheel, qui a attaché son nom à plusieurs projets gigantesques, dont trois îles artificielles en forme de palmier, venait pourtant d’annoncer début octobre un nouveau projet de 38 milliards de dollars comprenant une tour de plus d’un kilomètre de hauteur appelée à être la plus haute du monde.

Mais la demande dans le secteur a chuté, les investisseurs fuyant le marché, et ces méga-projets sont aujourd’hui frappés de plein fouet par les difficultés de financement.

Nakheel n’a pas été le seul à licencier. Damac Properties, le plus grand promoteur immobilier privé de Dubaï, avait supprimé en octobre 200 postes, soit 2,5% de ses effectifs.

"Nos ventes avaient l’habitude de doubler d’une année sur l’autre mais ce n’est plus le cas maintenant. Si le marché se détériore davantage, nous devrons procéder à d’autres licenciements", déclarait le mois dernier le président de Damac, Hussein Sajwani.

Emaar, l’autre géant de l’immobilier contrôlé par l’émirat, a annoncé récemment qu’il réexaminait sa politique de recrutement et se serait déjà séparé de 100 personnes.

Une autre société immobilière, Al-Shafar General Contracting, a indiqué qu’elle allait licencier jusqu’à mille ouvriers, son carnet de commandes ayant baissé depuis septembre de 3 milliards de dirhams (816 millions de dollars).

Les licenciements ont aussi touché le secteur financier.

Un mois pour partir et payer ses dettes

Jusqu’à une période très récente, les sociétés émiraties recrutaient pourtant à tour de bras: quelque 640.000 permis de travail avaient ainsi été délivrés à des étrangers au premier trimestre 2008, dont 306.000 rien qu’à Dubaï, selon une étude.

Sur une population estimée à 6,4 millions d’habitants fin décembre par cette étude, 5,5 millions étaient des étrangers, dont plus de 3 millions d’ouvriers en majorité d’Asie du sud-est.

Les étrangers ayant perdu leur travail doivent quitter le pays dans un délai d’un mois, compliquant la vie des familles dont les enfants sont scolarisés.

Entre-temps, les employeurs doivent informer les banques du licenciement de leurs salariés, afin d’éviter qu’ils quittent le pays avant d’avoir achevé de rembourser d’éventuels prêts.

Pour ceux qui avaient investi dans l’immobilier, généralement dans des projets de leur ancien employeur, le risque est de perdre cet argent.

"Qu’adviendra-t-il de nos investissements et comment allons-nous régler les prochains versements ?", s’interroge ainsi un ancien employé de Nakheel aujourd’hui sans emploi.

http://www.24heures.ch/ac[...]auchemar-2009-01-07

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Vu qu'il semble y avoir des experts en finance, pensez vous que la crise va entrainer un baisse des taux de credits au particuliers, pour l'immobilier par exemple et de quel ordre?

boursorama

En décembre, les taux des prêts se sont établis en moyenne à 5.01% (5,04% pour l'accession dans le neuf et 4,96% dans l'ancien) contre 5,15% en novembre

[...]

La baisse devrait se poursuivre pendant les prochains mois. L'Observatoire Crédit Logement anticipe ainsi un taux moyen de 4,50 % dès le printemps 2009 tandis que le courtier en ligne Empruntis table sur des prêts à 4,75% en 20 ans et à 4,85% en 15 ans.

Aucune chute spectaculaire n'est toutefois à attendre, selon les experts. "On ne va pas arriver à des taux aussi bas que 4%", estime Mme Bernier-Resch.

"Les banques ont tiré les leçons de la crise des subprimes et se refusent désormais à prêter à perte comme elles le faisaient en 2005. Elles se gardent une marge de sécurité", ajoute-t-elle, rappelant que "5% reste un taux historiquement bas. En 1993, on empruntait à 9,10%".

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Vu qu'il semble y avoir des experts en finance, pensez vous que la crise va entrainer un baisse des taux de credits au particuliers, pour l'immobilier par exemple et de quel ordre?

jaloux  :lol: :lol: :lol:
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Ya t il des indiscretions sur un inventuel second plan de relance (surtout pour la defense)?

La défense est déja bien lotie ... non pas qu'il y ait trop d'argent ou trop d'équipements mais ce n'est pas la Défense ou les industriels de défense qui sont les plus à plaindre.

En fait ça va plutôt bien : les carnets de commande sont remplis car les programmes (français) ont été déja confirmés et l'export a vu de bons contrats être remportés (à part comme d'hab le rafale et le Leclerc ...).

Un second plan de relance français concernera plus la fiscalité des entreprises et des ménages, s'il voit le jour ... (Ex : l'état comme banque en direct des entreprises et pourquoi pas pour les crédits à la conso des ménages ?, ou des crédit d'impôts ciblés, en rapport avec l'écologie, c'est la démago du moment ...)

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Ils parlent de soutient a l'industrie automobile, et a l'auto propre...c'est bien... =D

Les contructeurs sont prevenus, s'ils delocalisent trop pas d'aides pour une fois que l'aide est conditionnée c'est plutot bien...maintenant reste a voir ce qui va etre fait!!

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Des estafettes neuves pour remplacer les tacots de 10 ans qu'on les brigades de gendarmerie dans mon canton. Et pour soutenir le secteur électronique, DES RADIOS QUI MARCHE dans les collines des Corbières, par pitié  :P

La semaine dernière, le portable perso qu'avait un patrouilleur était à plat et les pandores étaient obligé d'appeller depuis un bureau de la mairie pour contacter la gendarmerie... >:(

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http://fr.news.yahoo.com/2/20090119/tbs-economie-la-zone-euro-vers-la-pire-a-f41e315.html

Economie: la zone euro vers la pire année de son histoire

La zone euro devrait connaître en 2009 la première récession économique de son histoire, et l'une des plus graves traversées par l'Europe depuis des décennies, avec une envolée du chômage et une explosion des déficits.

Selon les prévisions actualisées publiées lundi par la Commission européenne, le Produit intérieur brut (PIB) devrait reculer de 1,9% en 2009 dans la zone euro, qui subira ainsi la première contraction de son économie sur l'ensemble d'une année depuis sa création il y a tout juste dix ans.

Bruxelles anticipe ensuite un léger redressement de la situation, avec une croissance de 0,4% en 2010.

"Les mesures de stabilisation du marché financier, l'assouplissement des politiques monétaires et les plans de relance économique nous permettront d'enrayer la détérioration de l'économie cette année et de créer les conditions d'une reprise progressive au cours du second semestre de l'année", a souligné le commissaire européen aux Affaires économiques, Joaquin Almunia.

"La mise en oeuvre efficace de ces mesures doit constituer notre priorité", a-t-il ajouté.

La "relance concertée" de l'économie est "l'impératif absolu" face à la récession, a renchéri la ministre française des Finances Christine Lagarde, à son arrivée à une réunion des ministres des Finances de la zone euro à Bruxelles.

Les grands argentiers de la zone euro, qui ont discuté des pronostics de la Commission, "partagent d'une façon générale les prévisions économiques" de Bruxelles, a indiqué leur chef de file Jean-Claude Juncker, à l'issue de la réunion.

"Un certain nombre de pays ont nuancé mais seulement marginalement les prévisions de la Commission, globalement en ce qui concerne l'ampleur de la reprise en 2010", a-t-il ajouté.

Selon la Commission européenne, toutes les grandes économies de la zone euro devraient être affectées par la récession en 2009, avec des reculs du PIB de 2,3% en Allemagne ou de 1,8% en France.

La Commission prévoit que cette récession généralisée s'accompagne d'une hausse du taux de chômage de près de trois points dans la zone euro entre 2008 et 2010.

Il devrait atteindre selon elle 10,2% en 2010, dépassant ainsi les 10% dans la zone euro pour la première fois depuis 1998.

Dans certains pays, l'envolée sera spectaculaire: en Espagne, qui bat tous les records, il devrait passer à 18,7% contre à peine plus de 8% en 2007. En France, il devrait monter jusqu'à 10,6%.

Sous l'effet de cette dégradation, et des dépenses liées aux plans de relance nationaux, Bruxelles table aussi sur une envolée des déficits publics.

Ils devraient enfoncer dès cette année la limite européenne de 3% du PIB, à 4% en moyenne dans la zone euro. Ils monteraient jusqu'à 4,4% l'an prochain.

Les pays de la zone euro "n'abandonnent pas pas l'objectif de consolidation des finances publiques", a cependant souligné M. Juncker, insistant sur leur "obligation collective de (se) doter d'une stratégie de sortie des déficits".

Mardi, la présidence tchèque de l'UE devrait proposer aux ministres des Finances réunis cette fois à 27 de se coordonner pour retourner à l'équilibre des finances publiques après la crise, selon un document dont l'AFP a obtenu copie.

"Après la coordination des plans de relance, il faudrait aussi ensuite une coordination de la consolidation" budgétaire, indique ce texte, qui servira de base à une discussion des ministres.

Malgré l'intensité de la crise et la hausse des déficits, encore illustrée par l'abaissement de la notation financière de l'Espagne lundi, M. Almunia a repoussé cependant les craintes d'un possible "éclatement" de la zone euro.

"Je ne suis pas préoccupé par ceux qui annoncent depuis dix ans que la zone euro va éclater", a-t-il dit.

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