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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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France calls for eurozone CDS clearing house

By Jeremy Grant in London

Published: February 18 2009 21:01 | Last updated: February 18 2009 21:01

The French central bank has called on eurozone countries to rally to create a clearing house for the credit default swaps (CDS) market to “face down” the risk of the business going to London or the US, raising alarm bells over financial protectionism.

In the war for control of the $28,000bn market, the confidential report prepared by the Banque de France looks at establishing a clearing mechanism for over-the-counter CDS.

It is likely to trigger a reaction from the UK Treasury and Bank of England, already concerned at the damage done to the City of London’s future prospects by the financial crisis.

Credit default swaps offer a form of insurance against corporate defaults. They are the focus of a push by regulators on both sides of the Atlantic for wider use of safeguards such as clearing in the use of lightly regulated, off-exchange products.

Efforts to come up with a clearing house for the CDS market are advanced in the US, where four exchange-led groups have proposed solutions.

The European Commission and European Central Bank insist that Europe have a clearer based in the region as well. But matters became complicated after suggestions last month by French finance minister, Christine Lagarde, that such a solution should apply to the eurozone.

The only clearer to offer CDS clearing in Europe is LCH.Clearnet, which is based outside the eurozone in London. It is in talks about a possible takeover by The Depository Trust & Clearing Corporation, the large US clearer.

In the 26-page report, obtained by the Financial Times, the Banque de France warned that LCH.Clearnet’s “decision-making structure” was based in London and that this could lead to “an increase in the weight of the London financial market or the relocation of governance to the US, if the Paris financial markets do not recommend a solution”.

“The strategic nature of this business sector means that it is important to create a pan-European clearing house for the eurozone with sufficient critical size to face down these challenges,” the report said.

Banque de France called for the creation of a “consortium of eurozone banks and shareholders of major infrastructures with the objective of developing a common strategy for the integration of several of the eurozone’s principle clearing houses”.

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L'implosion de l'Euro est-elle inéluctable ?

Stupéfiant aveu du Président de l'Eurogroupe Jean-Claude Juncker, qui constate rien de moins que l'échec de l'Euro : "Il est vrai que dix ans après l'introduction de l'euro on constate que cette zone euro présente un point faible : son faible potentiel de croissance". (le Figaro (12/01) Pour l'économiste Jacques Sapir, "la transformation radicale de l’Euro d’une monnaie unique en une monnaie commune pourrait éviter que les tensions internes induites par le processus d’eurodivergence n’atteignent un point de rupture. Le statu-quo actuel est certainement l’option la plus dangereuse économiquement (...) Les partisans les plus acharnés de l’Euro, ceux qui refusent d’ouvrir le débat sur son évolution, en seront ainsi les fossoyeurs et ils enfonceront le dernier clou dans le cercueil qui enfermera le cadavre de l’idée européennea.

par Jacques Sapir*

Une dynamique d’eurodivergence se manifeste à l’intérieur de la zone Euro. Ceci peut sembler étonnant, car l’instauration de l’Euro comme « monnaie unique » avait en théorie pour fonction d’aboutir à une homogénéisation des économies de la zone. Le processus de divergence était cependant visible dès 2003. Ainsi, dès cette époque avait été reconnu par un des meilleurs partisans de l’Euro que si l'on assistait alors à une unification des marchés des dettes (les marchés obligataires), les espaces qui continuent de porter une trace, même lointaine, de l'économie réelle (telles les Bourses) restaient marqués par "la forte résistance des segmentations nationales" (1).

Le passage à l'Euro n'a pas entraîné d'unification des prix entre les pays de la Zone, ni même de convergence dans les dynamiques inflationnistes ou encore les relations entre l’inflation et la croissance (2).

L’Euro aurait dû à la fois accroître la croissance et préserver l'Europe des turbulences économiques extérieures ; il n'en a rien été (3). L'Euro n'efface pas les divergences nationales ni ne ralentit l'effritement du modèle social européen. Il en est ainsi non pas parce que l’Euro aurait été en soi et dès le début, une mauvaise idée, mais avant tout parce que le principe de la monnaie unique appliqué à des économies dont les structures – et donc la conjoncture – restent fortement hétérogènes était une erreur sans les moyens d’harmoniser rapidement ces structures (4).

En réalité, ces moyens n’existent pas car ni les populations des pays concernés ni les classes politiques ne sont disposées à transférer à un quelconque pouvoir fédéral une capacité fiscale qui devrait être égale à peu de choses près à la moitié des budgets nationaux. Il en résulte qu’il ne peut y avoir de politique monétaire unique efficace pour l’ensemble des pays concernés.

Ainsi, l’Euro fort pénalise lourdement l’économie française (5), ce qui a été confirmé par une étude récente de l’INSEE qui chiffre à 0,6% - 1% de croissance du PIB le coût net de la surévaluation de l’Euro (6), mais aussi l’Espagne (où le déficit de la balance courante excède les 10% du PIB) et l’Italie.

On doit constater rétrospectivement qu’un système européen où l’Euro eut été une monnaie commune et non la monnaie unique, chapeautant et encadrant des monnaies nationales dans un régime de changes fixes mais régulièrement ajustables, garanti par des contrôles sur les mouvements de capitaux, aurait été une réponse à la fois plus robuste et plus flexible pour assurer la croissance et maintenir des règles de coordination tout en respectant la spécificités des économies des pays concernés.

Peut-on réformer le système monétaire international avec les Etats-Unis ?

Il apparaît donc que, face à la crise qui se développe aujourd’hui, la combinaison du protectionnisme et d’un retour à des systèmes de contrôle sur les capitaux, de manière à stabiliser la convertibilité des monnaies sur la base des seules transactions commerciales de biens et services, apparaît comme la base de toute solution, comme ce fut le cas après la crise des années 1930. Mais, comme en 1944, une telle position ne peut que se heurter à l’opposition des Etats-Unis. Ceux-ci combattirent sans relâche les propositions de Keynes et imposèrent à Bretton Woods un système qui montra rapidement ses faiblesses.

On constate cependant que la question du contrôle des changes et des contrôles sur les mouvements de capitaux constitue un point immédiat de conflit entre les gouvernements qui souhaitent recourir à de tels mécanismes et les Etats-Unis (7). La défense de la souveraineté économique n’est pas compatible avec les objectifs de la politique américaine. Robert Wade, qui a été un des grands spécialistes des stratégies industrialistes des pays asiatiques (8), identifie ainsi la question du contrôle sur les mouvements des capitaux comme le théâtre des conflits à venir entre les Etats-Unis et les pays souhaitant conserver la souveraineté de leur politique économique (9)

Il n’y aura donc de réforme et de sortie de crise que sur la base d’un affrontement avec la politique américaine. Il peut imposer d’en passer par la constitution de zones régionales qui se fixeraient des règles différentes de celles prévalant aujourd’hui. En ce qui concerne l’Europe, la transformation radicale de l’Euro d’une monnaie unique en une monnaie commune pourrait éviter que les tensions internes induites par le processus d’eurodivergence n’atteignent un point de rupture. Le statu-quo actuel est certainement l’option la plus dangereuse économiquement, car elle empêche de lutter efficacement contre la récession) mais aussi politiquement car elle risque de provoquer un rejet massif du principe même de coordination entre les pays européens.

Les partisans les plus acharnés de l’Euro, ceux qui refusent d’ouvrir le débat sur son évolution, en seront ainsi les fossoyeurs et ils enfonceront le dernier clou dans le cercueil qui enfermera le cadavre de l’idée européenne. La coordination n’est possible que dans la mesure où elle sait prendre en compte les spécificités et respecter les souverainetés. Tout volontarisme sur ce point ne peut que conduire à des violences et des crises. Les années 1930 ne furent pas seulement celles de la «Grande Crise». Elles furent aussi celles du « Haut Stalinisme », qui fut avant tout un volontarisme prétendant faire fi des impératifs de l’hétérogénéité économique et sociale du monde réel. On sait ce qu’il en advint.

*Jacques Sapir, économiste et essayiste est Directeur d’études à l’EHESS

Source :

http://www.observatoiredeleurope.com/L-implosion-de-l-Euro-est-elle-ineluctable_a1077.html

L'Espagne accusait déjà un solide ralentissement dans le secteur de la construction avant la crise. Même que pour la petite histoire c'est la cause d'un risque de faillite pour le C.F. Valence. Sinon, à part le Japon, les pays Asiatiques semblent épargnés, non ?

La bourse de Séoul a bien connu une forte baisse au début de l'année et Kia a annoncé en mi-janvier qu'il réduira sa production de près 20% par rapport à l'année précédente. En Chine, il n'y a pour l'instant qu'une forte chute des chiffres du commerce extérieur chinois comme par exemple les importations ont subi un coup d'arrêt de -43,1%.

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L'Euro est une catastrophe qui est responsable de bien des problèmes. On aurait jamais du accepter cette merde. Maintenant autre défaut : impossible pour chaque pays de la zone Euro d'ajuster les fluctuations de sa monnaie comme avant. On a plus aucune marge de manoeuvre. Seule solution : annuler l'Euro et revenir à nos anciennes monnaies.

Pour l'Asie ils s'en sortent bien je trouve : excepté le Japon qui est dévasté, les autres tiennent bien le coup. Pas de licenciements à la pelle comme chez nous. Comment ils font ? Pourquoi nos économies pourries ne résistent pas et là-bas si ?

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Sinon, à part le Japon, les pays Asiatiques semblent épargnés, non ?

Pas vraiment mais elles ont morflé avant les autres ... donc ca baisse moins maintenant. Mais les indice se tienne a la culotte pour la bonne et simple raison que les économie globalisé se tiennent par la barbichette, et que les investisseurs sont les meme sur toutes les places.

Image IPB

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Pour l'euro ... ca nous a sauver de la banqueroute. Vu l'état de nos finance je n'ose imaginer la veleur du franc... Reste que l'échec de l'europe politique et l'échec du convergence économique et fiscale implique de gros tiraillement sur l'euro, et qu'on tot fait d'agiter le chiffon rouge pour faire peur a ceux qui se laisse aller.

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L'euro incite nos gouvernants peut etre aussi a moins etre rigoureux....pas d'effondrement de la valeur du franc, donc consequences moins visibles avec l'euro!!

Par contre les interventions de la commision europeenne depuis des années pour reduire les monopoles d'etat (energie, transport,telecoms etc...) et mettre tous les pays de l'union au "pas" de l'économie de marché de gre ou de force donne une "mauvaise" image de l'union (enfin de ses "decideurs")  l'euro n'y est pas pour grand chose...Je pense que l'euro est utile mais n'est pas accompagné par une politique "commune" qui tienne la route!

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L'Espagne accusait déjà un solide ralentissement dans le secteur de la construction avant la crise. Même que pour la petite histoire c'est la cause d'un risque de faillite pour le C.F. Valence. Sinon, à part le Japon, les pays Asiatiques semblent épargnés, non ?

Un solide ralientisement? Quand tu regardes que grace au tres bon début d'années 2008 qu'a connut l'Espagne, elle est encore numéro 1 de croissance en europe de l'Ouest et ce malgrer une entrée en récésion au dernier trimestre, je ne vois pas du tout ou tu vas chercher ce coup de ralentisement...

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La hausse importante du chômage(L'un des plus haut tauxt de chômage d'Europe), une prévision de croissance négative du PIB pour 2009 par le gouvernement espagnol semblent être un bon indicateur.

Passer d'un taux de croissance de plus de 3,5% pour 2007 à celui d'une probable récession pour 2009 implique fortement un brutal ralentissement.

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La hausse importante du chômage(L'un des plus haut tauxt de chômage d'Europe), une prévision de croissance négative du PIB pour 2009 par le gouvernement espagnol semblent être un bon indicateur.

Passer d'un taux de croissance de plus de 3,5% pour 2007 à celui d'une probable récession pour 2009 implique fortement un brutal ralentissement

Pour le taux de chomage je suis d'accord, néamoins l'Espagne reste celle qui aura le plus grand taux de croissance de l'Europe de l'Ouest en 2008 je le repete, le ralentisement brutale a commencé  il y a 6 mois, le debut de l'année 2008 etant exellent...

La prévision de croissance négative est de toute facon prévut pour tous les pays riche, France y comprit....

Ralentisement brutale il y a eu, mais seulement depuis 6 mois...

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Les effets du marché immobilier sont visible à plus long terme que beaucoup d'autres secteurs.

L'Espagne a (avait) une économie bien plus basé sur la construction immobillière que les autres pays.

C'est bien beau d'avoir un super taux de croissance, mais quand celui-ci est basé sur de la spéculation (immobilière dans ce cas) la chutte n'en n'est que plus dure.

200 000 chômeur en plus en 1 mois contre 50 000 pour le pays voisin.

Les donneurs de leçons d'hier (Madrid et Londre) font moins les fiers aujourd'hui.

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Pour le taux de chomage je suis d'accord, néamoins l'Espagne reste celle qui aura le plus grand taux de croissance de l'Europe de l'Ouest en 2008 je le repete, le ralentisement brutale a commencé  il y a 6 mois, le debut de l'année 2008 etant exellent...

La prévision de croissance négative est de toute facon prévut pour tous les pays riche, France y comprit....

Ralentisement brutale il y a eu, mais seulement depuis 6 mois...

Lesechos.fr • Le 23 juin 2008

http://archives.lesechos.fr/archives/2008/lesechos.fr/06/23/300275128.htm

Espagne : Zapatero prévoit une croissance inférieure à 2% en 2008

Le gouvernement avait fin avril revu en baisse sa prévision, de 3,1 à 2,3%. Le pays, touché par la déprime immobilière et la crise internationale, a connu une croissance de 3,8% en 2007. L'Etat espagnol va entreprendre une cure d'austérité de 250 millions d'euros entre 2008 et 2009. 

La croissance de l'économie espagnole, qui est en train de connaître un sévère coup d'arrêt, sera inférieure à 2% en 2008, a déclaré lundi à Madrid le chef du gouvernement José Luis Rodriguez Zapatero, ce qui est en dessous de la prévision officielle du gouvernement de 2,3%.

"Actuellement, la conjoncture internationale et les plus récentes données internes nous permettent de penser que l'ajustement de l'économie espagnole va se poursuivre au cours des prochains mois, avec une croissance finale à la fin de l'année en dessous de 2%", a déclaré M. Zapatero lors d'un discours sur la situation économique devant le Conseil économique et social.

"Nous prévoyons une croissance faible à court terme, mais pas un arrêt durable" a déclaré M. Zapatero, alors que l'économie espagnole connaît un sévère coup d'arrêt depuis le début de l'année, notamment à cause de la crise immobilière dans le pays, de la crise financière internationale, et de l'envolée des prix du pétrole et de certaines matières premières.

Le gouvernement espagnol a rabaissé le 25 avril sa prévision de croissance pour l'année 2008 de 3,1 à 2,3%, mais le ministre de l'Economie Pedro Solbes avait déjà déclaré début juin que la croissance pourrait n'être qu'aux "alentours de 2%". La croissance espagnole en 2007 avait atteint 3,8 %.

La prévision de croissance négative est de toute facon prévut pour tous les pays riche, France y comprit....

Le point important n'est pas le taux de croissance au finales mais l'amplitude de la chute. C'est ce qui fait dire que la Chine est en crise alors qu'elle reste toujours à plus de 6%. Seulement passer de 11 à 6% est beaucoup plus grave que pour un autre pays de passer de 2% à 0%.
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L'Espagne a (avait) une économie bien plus basé sur la construction immobillière que les autres pays.

C'est bien beau d'avoir un super taux de croissance, mais quand celui-ci est basé sur de la spéculation (immobilière dans ce cas) la chutte n'en n'est que plus dure.

200 000 chômeur en plus en 1 mois contre 50 000 pour le pays voisin.

Il y a du vrais et du faux, il est vrais de dire que sans la bulle immobilaire, l'Espagne n'aurait eu une croissance que de 1.5 ou 2.0% par ans, et que l'immobilier boostait la croissance à des 3.5 voir 4%...

Lesechos.fr • Le 23 juin 2008

http://archives.lesechos.fr/archives/2008/lesechos.fr/06/23/300275128.htm

Espagne : Zapatero prévoit une croissance inférieure à 2% en 2008

Le gouvernement avait fin avril revu en baisse sa prévision, de 3,1 à 2,3%. Le pays, touché par la déprime immobilière et la crise internationale, a connu une croissance de 3,8% en 2007. L'Etat espagnol va entreprendre une cure d'austérité de 250 millions d'euros entre 2008 et 2009. 

La croissance de l'économie espagnole, qui est en train de connaître un sévère coup d'arrêt, sera inférieure à 2% en 2008, a déclaré lundi à Madrid le chef du gouvernement José Luis Rodriguez Zapatero, ce qui est en dessous de la prévision officielle du gouvernement de 2,3%.

"Actuellement, la conjoncture internationale et les plus récentes données internes nous permettent de penser que l'ajustement de l'économie espagnole va se poursuivre au cours des prochains mois, avec une croissance finale à la fin de l'année en dessous de 2%", a déclaré M. Zapatero lors d'un discours sur la situation économique devant le Conseil économique et social.

"Nous prévoyons une croissance faible à court terme, mais pas un arrêt durable" a déclaré M. Zapatero, alors que l'économie espagnole connaît un sévère coup d'arrêt depuis le début de l'année, notamment à cause de la crise immobilière dans le pays, de la crise financière internationale, et de l'envolée des prix du pétrole et de certaines matières premières.

Le gouvernement espagnol a rabaissé le 25 avril sa prévision de croissance pour l'année 2008 de 3,1 à 2,3%, mais le ministre de l'Economie Pedro Solbes avait déjà déclaré début juin que la croissance pourrait n'être qu'aux "alentours de 2%". La croissance espagnole en 2007 avait atteint 3,8 %.

Cet article, confirme totalement ce que je dis depuis plusieurs jours...

Les donneurs de leçons d'hier (Madrid et Londre) font moins les fiers aujourd'hui

C'est vrais, mais attention quand meme, faut arreter d'exagerer aussi, je ne connais pas bien l'economie anglaise, mais pour la crise économique espagnole, elle est tres loins d'etre la plus importante qu'elle à connut ses 50 dernieres années et il y a toujours une fin a tout, bonne choses comme mauvaises...

Le CNE prévoit d'ailleurs une croissance moderement positive en 2010 et denouveau bonne en 2011...

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c'est pas C7 qui disait à 2800 ca devait remonter ... :lol: :lol:

Y a pas mal d'analyste qui attendaient 2400 pour rentrer sérieusement ... mais  la situation sur les marché c'est un peu n'importe quoi, y a des midcap qui se valorise moins cher que le fond propre !!!

Et comme les investisseur n'anticipe toujours pas une sortie de crise a moyen terme ... ou n'ont juste pas de cash ... difficile de faire autre chose que du swingday.


http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-3234,50-1157276,0.html

Le FMI envisage une croissance mondiale de 0 % en 2009

Le Fonds monétaire international (FMI) pourrait réviser à la baisse sa prévision de croissance mondiale 2009 à près de zéro, déclare son directeur général, Dominique Strauss-Kahn, dans un entretien à paraître jeudi dans Les Echos, dont certains extraits sont disponibles sur le site Internet du quotidien.

La récession pourrait s'aggraver dans les pays avancés et il est "vraisemblable" qu'une deuxième vague de pays sollicite l'aide du FMI pour faire face à la crise, ajoute-t-il. "L'année 2009 est déjà largement jouée et elle sera très mauvaise. Nous avions arrêté notre dernière prévision à 0,5 % pour la croissance mondiale (...). La prochaine prévision du FMI, dans trois mois, pourrait bien s'approcher de zéro", explique Dominique Strauss-Kahn.


http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2009/02/20/wall-street-craint-une-nationalisation-des-banques-americaines_1158527_3222.html#ens_id=1138923

Wall Street craint une nationalisation des banques américaines

La Bourse de New York, dont l'indice vedette est tombé au plus bas depuis plus de six ans, a sombré vendredi 20 février face à l'inconnue qui pèse sur le sort des grandes banques américaines. A tel point que la Maison Blanche a dû intervenir dans la journée pour tenter de calmer les craintes de nationalisation du système bancaire américain.

"L'administration continue à croire fermement qu'un système bancaire privé correspond à la voie à suivre", a déclaré lors d'un point de presse le porte-parole de la Maison Blanche Robert Gibbs, qui a néanmoins assuré que le secteur sera "suffisamment réglementé" par l'Etat. Ces propos, retransmis en direct à la télévision, ont permis d'estomper le repli des valeurs bancaires à la Bourse de New York.

Face à la dégringolade des deux géants bancaires Citigroup (-22,31 % à 1,95 dollar) et Bank of America (-3,56 % à 3,79 dollars), déjà renfloués sur fonds publics, de nombreux analystes avaient jugé plus tôt dans la journée "inévitable" une nationalisation temporaire de ces établissements. Les deux titres ont perdu plus de 90 % en un an.

RÉPARER LE SECTEUR FINANCIER

Les déclarations de la Maison Blanche ont permis en fin de séance une remontée spectaculaire des indices, mais la Bourse de New York a néanmoins fini en baisse : le Dow Jones a perdu 1,34 % et le Nasdaq 0,11 %. L'indice phare de Wall Street a même évolué temporairement au plus bas en séance depuis 1997.

Ni la signature du plan de relance par le président Obama mardi, ni la présentation d'un plan de soutien aux propriétaires en difficulté mercredi ne sont parvenus à rassurer. Tous ces programmes ont été reçus "avec un grand scepticisme, les investisseurs craignant que ces programmes ne parviennent pas à restaurer la structure et la stabilité des banques mondiales", souligne Frederic Dickson, responsable de la stratégie marché de D.A. Davidson. Un sentiment d'angoisse s'est ainsi propagé dans le marché, qui souhaite avant tout un programme efficace pour réparer le secteur financier.

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Corée du Sud: baisse du PIB de 4%

L'économie de la Corée du Sud va subir une contraction de 4% en 2009, selon les prévisions nettement révisées à la baisse du Fonds monétaire international (FMI) publiées aujourd'hui.

Le FMI avait auparavant tablé sur une croissance en hausse de 2% en 2009.

Malgré cette baisse provoquée par la chute des exportations et une consommation intérieure en berne, la quatrième économie d'Asie devrait montrer des signes de reprise à partir du second semestre et croître de 4,2% en 2010, selon le FMI qui se dit optimiste sur le long terme grâce à la solidité des fondamentaux du pays.

Le PIB sud-coréen s'est réduit de 5,6% au dernier trimestre 2008 par rapport au trimestre précédent. Pour l'ensemble de l'année 2008, l'économie sud-coréenne a progressé de seulement 2,5%, contre 5% en 2007, selon la banque centrale.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/02/03/01011-20090203FILWWW00281-coree-du-sud-baisse-du-pib-de-4.php

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Avec la crise, les armées de l'Europe de l'Est trinque encore plus que celles des ''grands'' pays; On sabre sec dans les structures administratives en Roumanie, le budget de la Défense russe pourrait baisser de 15 %,  la Pologne réduit ces OPEX, ect :

http://bruxelles2.over-blog.com/article-27983111.html

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L'Europe de l'Est, bombe à retardement pour l'euro

http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/02/21/l-europe-de-l-est-bombe-a-retardement-pour-l-euro_1158606_3234.html#ens_id=1158171&xtor=RSS-3208

La monnaie américaine serait-elle redevenue la devise la plus sûre aux yeux des investisseurs ? Auraient-ils déjà oublié leurs craintes concernant le dérapage des finances publiques américaines ? Pas vraiment, mais face à une économie japonaise qui s'enfonce dans la crise et à un euro malmené par la récession qui menace les pays de l'Est, ils sont revenus vers le dollar. Celui-ci a gagné, au cours de la semaine achevée vendredi 20 février, 2,67 % face au yen et plus de 2 % face à l'euro.

Le produit intérieur brut nippon, publié lundi, a reculé de 12,7 % en rythme annuel entre octobre et décembre, sa pire contraction en trente-cinq ans. Et la banque centrale, qui n'a pas modifié jeudi le niveau de ses taux, à 0,10 %, a décidé de soutenir le crédit aux entreprises. Dans un premier temps, elle va racheter en mars pour 1 000 milliards de yens (8,3 milliards d'euros) de leurs emprunts. Ceux émis à moins d'un an par des entreprises notées au moins "A". Si cette annonce a stabilisé le yen jeudi, il reste encore à des niveaux historiquement élevés face au dollar (94,34 yens pour un dollar), proches de ceux de 1995 lorsque les Etats-Unis et le Japon étaient en pleine guerre commerciale.

LES LIMITES DU YEN FORT

Les prévisionnistes sont divisés sur l'orientation future du yen. Alors que ceux de Dresdner Kleinwort s'attendent à un repli de la devise nippone à 105 yens pour un dollar en fin d'année, ceux de Royal Bank of Scotland voient la monnaie japonaise se renforcer jusqu'à 80 yens pour 1 dollar en milieu d'année, à moins, disent-ils, que le Japon estime avoir atteint les limites du yen fort sur ses exportations et décide d'intervenir.

Mais c'est surtout l'euro qui a vécu des heures difficiles au cours de la semaine, tombant à 1,2563 dollar mardi, son plus bas niveau depuis novembre 2008. La monnaie unique a souffert des craintes concernant les pays de l'Est, dont bon nombre sont aux portes de l'euro. Dégradation de la situation économique, système bancaire fragilisé, les flux de capitaux vers ces régions se tarissent, entraînant une chute de leurs devises depuis six mois. Les prévisions de la banque ING font état d'une contraction de l'économie hongroise, roumaine et ukrainienne de 3 % à 5 % en 2009.

"SPIRALE DE DÉPRÉCIATION"

L'agence de notation Moody's s'est inquiétée, mardi, de l'exposition des banques d'Europe de l'Ouest vis-à-vis de leurs filiales d'Europe de l'Est, en rappelant que les difficultés de ces dernières auraient des répercussions négatives sur leurs maisons mères. Selon Moody's, les banques de six pays (Autriche, Italie, France, Belgique, Allemagne et Suède) concentrent environ 84 % des engagements des banques ouest-européennes en Europe de l'Est. Le système bancaire autrichien est de loin le plus exposé, selon l'agence, devant les banques italiennes et scandinaves.

Cette étude a accéléré le plongeon des devises d'Europe centrale. Le forint hongrois a atteint mardi son plus bas niveau historique (à 309,68 forints pour un euro), la couronne tchèque a coté 29,68 couronnes pour un euro, son plus bas niveau depuis novembre 2005 et le leu roumain a approché son plancher historique (à 1 euro pour 4,34 lei). Le zloty est tombé à 4,93 zlotys pour 1 euro, son plus bas depuis l'adhésion de la Pologne à l'Union européenne en 2004

Face à cette situation, le commissaire européen aux affaires économiques, Joaquin Almunia, s'est dit, mercredi, "préoccupé par l'évolution de la volatilité des taux de changes de certains Etats membres de l'Union européenne qui ont des régimes flottants" de changes, mais aussi "par la possibilité que certaines déclarations publiques aient accéléré cette évolution". Varsovie s'était en effet déclaré prêt à intervenir, mardi, pour défendre le zloty si son cours tombe sous le seuil de 5 zlotys pour un euro, tandis que le gouvernement tchèque avait rejeté, mercredi, une telle idée.

Selon les économistes de la Banque Dresdner, "les devises d'Europe de l'Est sont engluées dans une spirale de dépréciation", et "pour l'euro, c'est une bombe à retardement". Les prévisions pour l'euro sont plutôt pessimistes. Les experts d'ABN Amro, d'UBS et de Natixis voient la devise européenne s'affaiblir jusqu'à 1,233 dollar. Steven Pearson, stratège chez Merrill Lynch, cité par l'agence Bloomberg, le voit s'effondrer à 1,12 dollar d'ici au mois de juin.

Cécile Prudhomme

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c'est pas C7 qui disait à 2800 ca devait remonter ... :lol: :lol:

Non, j'ai dit en Octobre 2800 points dans 6 mois  ;)

C'est à dire en avril. Et ça fait la 3è fois que je précise ce point.

Ceci dit en Octobre on était à 3300 point.

Après les chutes à 2900 et les quelques rally haussier euphoriques qui ont suivit, on m'a déjà dit que j'étais dans les choux parce que le cycle de baisse était terminé...

Alors...

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Non, j'ai dit en Octobre 2800 points dans 6 mois  ;)

C'est à dire en avril. Et ça fait la 3è fois que je précise ce point.

Ceci dit en Octobre on était à 3300 point.

Après les chutes à 2900 et les quelques rally haussier euphoriques qui ont suivit, on m'a déjà dit que j'étais dans les choux parce que le cycle de baisse était terminé...

Alors...

On a tapé 2719 en séance ... je suis meme plus sur que les chantres des 2400pt sont si éloigné de la vérité que ca ...

Le raid sarkosyste sur BNP/BP/Natixis a sauver les meubles :lol: le titre KN reste au dessus de l'euro symbolique :)

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Non, j'ai dit en Octobre 2800 points dans 6 mois  Wink

C'est à dire en avril. Et ça fait la 3è fois que je précise ce point.

Ceci dit en Octobre on était à 3300 point.

Après les chutes à 2900 et les quelques rally haussier euphoriques qui ont suivit, on m'a déjà dit que j'étais dans les choux parce que le cycle de baisse était terminé...

Alors...

t'enerves pas C7, je taquines gentiment

a choisir je prefererais que tu ais raison mais je le sent pas trop : trop de facteurs conjoncturels qui commencent à sortir la tête de leur tanière (faiblesse des monnaies non euros des 27 donc effondrement des investissements dans ces pays, ecroulement de certaines locomotives de l'UE en terme croissance comme l'Irlande, nouvelles valeurs corrompus qui ressortent encore au compte goutte, un peu toute les semaines (ca aurait du être deja assaini...) etc etc ....)

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t'enerves pas C7, je taquines gentiment

a choisir je prefererais que tu ais raison mais je le sent pas trop : trop de facteurs conjoncturels qui commencent à sortir la tête de leur tanière (faiblesse des monnaies non euros des 27 donc effondrement des investissements dans ces pays, ecroulement de certaines locomotives de l'UE en terme croissance comme l'Irlande, nouvelles valeurs corrompus qui ressortent encore au compte goutte, un peu toute les semaines (ca aurait du être deja assaini...) etc etc ....)

Ohhhh le futur CAC a 2699pt :) ... si WS continue comme ca l'ouv' de demain va etre sympatique :lol:

On est passé sous les 7200pt sur le DJI...

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