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Le cas UNM et le port de Marseille


alexandreVBCI
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Liquidation de l'UNM : Symbole du « malaise marseillais » ?

Le tribunal de commerce de Marseille a prononcé, hier matin, la liquidation judiciaire de l'UNM, dernière entreprise de réparation navale lourde du port phocéen. Après trois mois de conflit entre syndicats et direction, celle-ci décidait, il y a quelques jours, de jeter l'éponge. Malgré les menaces de cessation d'activité, aucun accord n'a été trouvé avec les grévistes, dénonçant depuis janvier un recours abusif à la sous-traitance. Bilan des courses : La fin de l'entreprise et 130 salariés bientôt au chômage. Jeudi, la société, filiale du groupe espagnol Boluda, se déclarait en cessation de paiement puis lançait une procédure de liquidation. Les salariés, de leur côté, souhaitaient une mise en redressement judiciaire, dans l'espoir qu'un repreneur se manifeste. La CGT, qui veut faire appel de la décision, a réclamé la tenue d'une table ronde sur l'avenir de la réparation navale à Marseille. Le syndicat juge, en effet, « inconcevable » que le port se prive de cette activité.

Reprise par Boluda à l'automne 2006, l'ex-Compagnie Marseillaise de Réparation avait été rebaptisée Union Naval Marseille. Dès 2007, l'UNM voyait son activité se redresser, avec 33 navires traités dans l'année, contre seulement 11 en 2006. Il y avait donc un marché, d'autant que l'entreprise exploitait les formes 8 et 9, longues de 350 et 250 mètres, adaptées aux arrêts techniques des grands navires. L'UNB a, notamment, tenté de se placer sur le segment des navires « à forte valeur ajoutée ». A l'instar de Brest, l'entreprise convoitait les méthaniers, mais aussi les très nombreux paquebots croisant en Méditerranée. Elle pouvait, de plus, compter sur une clientèle captive, composée des compagnies SNCM et La Méridionale, dont les navires effectuaient historiquement leurs arrêts techniques à Marseille (sauf si les formes sont pleines).

Mais l'UNM devait, malgré ses précieuses infrastructures et un marché potentiel important, faire face à la concurrence d'autres réparateurs, à Malte et en Turquie, sans oublier ses voisins de Barcelone et Gênes. Pour être plus compétitive, la société a tenté d'améliorer sa réactivité en recourant à des fournisseurs spécialisés. C'est, sur ce point, que le conflit a éclaté avec la CGT. Dénonçant un recours abusif à la sous-traitance, le syndicat empêche, en janvier, l'accès de sous-traitants à un navire. Suite à cette action, 7 salariés sont licenciés. Puis, une quarantaine d'autres se voient menacés de sanctions. La CGT dénonce une atteinte au droit de grève alors que l'UNM assigne en justice plusieurs salariés pour entrave à la liberté de travailler. La direction sera déboutée mais le torchon brûle et le conflit, très dur, fini de dissuader les derniers clients du chantier. Même les « captifs » s'en vont. Ainsi, la Méridionale décide d'envoyer le Girolata en arrêt technique à Barcelone (il est parti hier matin, ndlr), alors que le navire mixte effectue habituellement ses entretiens à Marseille. « Fin février, la situation financière de l'entreprise présente un déficit rendant impossible la poursuite de l'activité. En raison de la tension sociale, la plupart des clients d'UNM se sont détournés vers d'autres ports de la Méditerranée. Cette situation critique est malheureusement due à une opposition syndicale radicale ayant entraîné une succession de grèves ces dernières semaines », dénonçait en début de semaine la direction de l'UNM, citée par le journal la Provence. En deux ans, la société aura réparé 80 navires mais, selon le tribunal de commerce, elle affichait début mars un passif de 7 millions d'euros et un carnet de commandes quasiment vide.

Un port « malade de ses grèves et blocages » :

Pour manifester leur mécontentement et défendre l'avenir de la réparation navale, les salariés de l'UNM bloquaient, depuis samedi, le départ du Girolata vers Barcelone. Mais, hier matin, le préfet décidait de déloger les grévistes en faisant intervenir les CRS. Suite à cette évacuation, des agents du port, par solidarité, ont organisé le blocus des bassins Est de Marseille. Or, ces mouvements sociaux à répétition exaspèrent les entrepreneurs et les pouvoirs publics, qui les rendent responsables de la mauvaise image de la place. Dans son édition d'hier, la Provence évoquait un port « malade de ses grèves et blocages ». Pour la direction de l'UNM, qui a reçu le soutien des organisations patronales durant le conflit, la CGT (majoritaire dans l'entreprise et au port) est responsable de la situation. « C'est un gâchis énorme. La CGT a poussé tout le monde contre le mur », affirme Ingrid Sanchez, directrice générale de l'UNM. L'accusation est réfutée par les responsables du syndicat, qui font valoir le bien fondé de leur combat et parlent d'un « climat de haine » à leur encontre.

Alors qu'un certain nombre d'agents du port continuent de faire de la résistance face à la réforme, le conflit dans la réparation navale n'a fait qu'attiser les tensions. « Cela fait trente ans que ça dure. Il y a une culture locale du conflit et une certaine résignation face à tout cela », confie un professionnel du port, sous couvert de l'anonymat.

Ce dernier relève, toutefois, que la place évolue, même si c'est lentement. « La grève de 2007, qui a vu le blocage du port pendant trois semaines, a quand même marqué un tournant. Après cela, il ne fallait pas espérer que ça se passe dans la douceur ». Pour mémoire, c'est précisément le conflit de 2007 qui a convaincu le chef de l'Etat d'entreprendre la réforme des ports. Face aux résistances rencontrées actuellement à Marseille sur cette question, responsables politiques et entrepreneurs locaux en ont appelé à Nicolas Sarkozy pour faire appliquer la réforme. Toutefois, même si certains déplorent encore un manque d'efficacité, les pouvoirs publics semblent prendre de moins en moins de pincettes. Ainsi, hier matin, le préfet n'a pas hésité à envoyer les CRS pour débloquer le Girolata. Dans le même temps, on aura noté que le blocage des bassins Est, consécutif à l'évacuation du navire, n'a duré que quelques heures.

A Marseille, on fait également remarquer certaines dissensions entre professionnels du port. C'est le cas au terminal conteneurs de Maurepiane, où l'activité est perturbée depuis un mois et demi. Les agents du port dénoncent le versement des activités de manutention aux opérateurs privés, transfert prévu par la réforme des ports.

Mais, chose impensable il y a encore quelques années, la plupart des navires, équipés de grues, se passent des portiqueurs pour charger et décharger. Les dockers poursuivent en effet le travail, marquant ainsi une « scission » avec les agents du port.

Fos, de son côté, a pris beaucoup d'importance. Porté par les grands projets (Fos 2XL et 3XL), le nouveau « temple » marseillais du conteneur connait une vie sociale nettement plus apaisée. De nombreux armateurs y ont transféré leurs activités et jurent de ne plus revenir dans les bassins marseillais. Selon l'un des professionnels de la place, que nous avons interrogé : « C'est vrai que le port a un problème de fiabilité et que de nombreux armateurs sont partis ailleurs. Mais le tableau n'est pas si noir que cela. Les choses évoluent progressivement, portées par les grands projets. Il y a les conteneurs à Fos mais aussi GDF2, qui va bientôt ouvrir, ou Shell qui veut installer un grand terminal méthanier. Il y aura encore, sans doute, quelques soubresauts, mais on avance ».

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=109722

Le cas UNM ou comment détruire un outil industriel par pure stupidité !

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UNM est un cas d'école

Le port de Marseille est un bastion CGT depuis environ 60 ans au moins...

Ce qui sauvera la réparation navale lourde à Marseille ce sont

le temps

les infrastructures (Formes 8,9,10)

La réparation navale à Marseille fonction très bien sur les yachts de luxe (je vous parle d'unités de plus de 50 mètres). Là c'est le royaume de l'interim et de la sous traîtance. Les investissements sont nombreux (hall couvert récemment installé sur une des formes de radoub), les clients potentiels et les entreprises concernées aussi.

Pour la réparation navale lourde les choses sont encore sclérosées mais le temps joue désormais contre les vieux staliniens. Les dockers ont franchi le pas. C'est un combat de longue haleine. Le gaspillage est énorme (bien qu'aujourd'hui c'est la crise mondiale qui cause la baisse du trafic) mais les enjeux deviennent énormes surtout avec 2XL ...

On ne revient pas du jour au lendemain sur des décennies de pratique "marseillaises" notamment sur les bassins est (port de Marseille même) Fos se situant 50 km dans l'ouest.

Je vis ici depuis 1995 et cette ville évolue peu à peu certains disent qu'elle perd un peu son ame d'autres qu'elle se modernise.

Cà bouge plus ou moins vite mais çà bouge il faut être patient ou laisser à demeure sur le port est trois compagnies de CRS

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Affaire UNM : après la grève stupide, la violence gratuite...

Mer et Marine : Le Secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau a très fermement condamné l'agression de Jean-Pierre Billat, Directeur Général Adjoint du Grand Port Maritime de Marseille. Hier matin, une cinquantaine de salariés de l'entreprise de réparation Union Naval Marseille, mise en liquidation judiciaire la semaine dernière, ont investi le siège du GPMM, place de la Joliette. Selon la direction du port, ils ont provoqué de violents incidents : « agression du Directeur Général Adjoint, portes enfoncées, tableaux arrachés des murs, fumigènes dans les couloirs, meubles renversés, portes vitrées brisées... Jean-Claude Terrier, Président du Directoire du GPMM en déplacement à Paris au moment des faits, s'est fortement élevé contre ces pratiques violentes et a décidé de poursuivre les agresseurs en justice ».

Après le cas UNM, le scandale SeaFrance :

AFP : LD Lines a annoncé hier qu'elle retirait son offre de fusion avec SeaFrance, propriété à 100% de la SNCF. La filiale de Louis Dreyfus Armateurs jette l'éponge, en raison, notamment, de l'opposition syndicale à son projet. « C'était une clé essentielle de la réussite. Nous aurions souhaité pouvoir présenter notre projet aux partenaires sociaux, car c'était un projet industriel qui avait du sens et permettait de sauver de nombreux emplois chez SeaFrance. Mais les syndicats sont restés sur des positions dogmatiques et on fait de la surenchère, ce qui fait que les conditions de la réussite du projet n'existent plus », estime Pierre Géhanne, directeur général de LDA. L'armement avait pourtant élaboré une stratégie qui aurait pu séduire, en proposant de baser des bateaux de SeaFrance à Boulogne et de faire jouer les synergies avec LD Lines. Les collectivités locales avaient été sensibles à ces arguments, le Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais apportant son soutien.

Outre l'opposition des syndicats, tant chez les marins que chez les officiers, LDA a aussi décidé de mettre fin aux négociations en raison pour des questions de planning et d'absence de réponse de la SNCF, à la date buttoir du 16 mars. A cette occasion, on a d'ailleurs appris que les discussions ne duraient pas depuis quelques semaines, mais bien depuis six mois.

« La SNCF est venue nous chercher pour sauver SeaFrance »

Selon LD Lines, c'est en effet le 15 décembre 2008 que les premières propositions de reprise de la compagnie de Calais ont été transmises à la SNCF. Puis, le 23 février, LD adressait une « offre ferme et engageant » au groupe public, portant sur la création d'un « Grand SeaFrance ». Conservant la marque de SeaFrance, la nouvelle compagnie, avec son siège à Calais, aurait associé les lignes de SeaFrance et LD Lines. Or, après avoir indiqué début mars qu'elle n'avait pas reçu d'offre - ce que dément catégoriquement LD Lines - la SNCF avait affirmé le 12 mars aux représentants CGT que « SeaFrance n'était pas à vendre » ; propos de Guillaume Pépy ont été rapportés par plusieurs responsables syndicaux. D'où l'étonnement de Pierre Géhanne face aux déclarations de la maison mère de SeaFrance : « La SNCF est venue nous chercher pour sauver SeaFrance. Nous avons travaillé et fait une offre. Nous attendions le 16 mars mais nous n'avons pas eu de réponse. On ne peut pas attendre indéfiniment car nous avons nos propres impératifs et nos propres projets ».

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  • 1 month later...

Je pense que je comprendrais jamais pourquoi cette ville est la seule grande ville de France a avoir un maire de droite alors qu'elle a une culture de gauche . Et ne me sortez pas l'histoire des racistes de Marseille y en a pas plus que chez les Bobos de Lyon .

Enfin bon ,ville pleine de cliché mais ville adorable :D .

(Et grêve stupide ,mais ça durera pas, y a déjà un bon tiers des effectifs qui ont changés de statut et ça a marché) .

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Marseille : Bernard Thibault propose que DCNS sauve la réparation navale

Présent vendredi dernier à Marseille, Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, a proposé que DCNS reprenne les activités de réparation navale du port phocéen. Le dernier grand chantier marseillais, l'UNM, a effet été placé en liquidation judiciaire le 10 mars dernier (un appel du jugement du tribunal de commerce sera examiné le 19 mai). « Puisqu'on nous dit qu'il n'y a pas, a priori, d'industriel disposé à se relancer dans l'activité, on va demander à Etat d'étudier la possibilité que DCNS soit cet opérateur industriel. Il doit être possible, même si ce sont des métiers avec des spécialités différentes, de s'appuyer sur le coeur de métier militaire (de DCNS) pour imaginer une branche d'activité », a estimé Bernard Thibault, dont les propos ont été recueillis par l'AFP. Pour le leader de la CGT : « Il serait complètement aberrant qu'un port comme Marseille puisse voir disparaître des tâches en matière de réparation navale, alors que ce port dispose d'une des seules infrastructures dans tout le bassin méditerranéen ».

Filiale du groupe espagnol Boluda (qui avait repris fin 2006 l'ex-Compagnie Marseillaise de Réparations), Union Naval Marseille employait 130 personnes et faisait vivre des centaines de sous-traitants.

Présent à Toulon, DCNS est spécialisé dans la construction et la maintenance de navires militaires. Le groupe naval cherche, toutefois, à développer son activité dans le secteur civil. C'est le cas dans le domaine du nucléaire, des services portuaires, mais aussi, ponctuellement, dans les arrêts techniques de bateaux civils. Ainsi, DCNS a récemment réalisé, à Toulon, l'entretien du NGV Liamone, de la SNCM.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=110086

ils foutent le bordel (pour rester poli...) et espèrent maintenant que l'état va sauver la mise grâce à DCNS... :P

un seul mot à dire: j'éspère que le gouvernement les enverra paître...  :lol: :lol:

ça sera juste bien fait pour leur gueule...

PS: oui je sais, c'est dommage pour les employés et sous-traitants non grévistes qui perderont leur emploi, c'est triste, mais que faire face à des syndicats trop bornés pour être capable de voir qu'ils sont en bonne partie responsable de ce qui est arrivé... :P

Risquer l'avenir de DCNS est à mon avis bien plus dommage...

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malheureusement ,s'est toujours les braves types qui se font avoir ,merci les syndicats  qui n'ont fait que défendre leurs propres intérêts (justifier leur place dans le systéme ) ils s'ont pas mieux qu'un patron voyou .

grâce à eux à l'heure actuelle, ils ont dévalorisé la valeur du travail pour beaucoup de monde en priviligiant les copains qui avaient la carte d'adhérent ,si sa se n'est pas du lobying  >:(

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malheureusement ,s'est toujours les braves types qui se font avoir ,merci les syndicats  qui n'ont fait que défendre leurs propres intérêts (justifier leur place dans le systéme ) ils s'ont pas mieux qu'un patron voyou .

grâce à eux à l'heure actuelle, ils ont dévalorisé la valeur du travail pour beaucoup de monde en priviligiant les copains qui avaient la carte d'adhérent ,si sa se n'est pas du lobying  >:(

C'est le principe meme du syndicat ... défendre les syndiqués. Et encore en France les accord négocié apr un syndicat s'applique a tous ... a l'étranger quasiment partout ...seuls les syndiqués des syndicat qui on signé l'accord bénéficient de l'accord ... les autres vont se faire foutre.

En France on a tout perverti le systeme du syndicat ... resultat on a tres peu de syndiqué et une quantité phénoménale de salarié non représenté ... le taux de syndicalisation est de moins de 6% dans le privé ... alors qu'il est de 95% au Danemark ...

Apres si les gens ne veulent pas se syndiquer et participer au négociation ... et laisser les autres les mener a leur place ... tant pis pour eux ... c'est comme ceux qui vont pas voter et qui gueule apres.

Y a pas si longtemps meme l'UMP s'inquiétait de la faible syndicalisation et de la perte de pouvoir de la CFDT - les traitres ! - au profit de syndicat plus actif ... CGT ... et d'autre genre Sud etc.

Tellement que meme Sarkhozy a ménager la CGT .... pour conserver un interlocuteur de poids dans les négociation avec les partenaires sociaux... parce que la grande angoisse c'est que le syndicalisme se radicalise en mini syndicat avec lesquels on ne puisse rien négocier ou presque ... au moins avec la CGT y a des professionnel de la négociation ... qui meme s'il sont casse couille savent jusqu'au aller et pas aller.

On le voit bien récement la meme la CGT ... le syndicat le plus reconnu dans la defense des salarié n'arrive plus vraiment a tenir sa base ... la direction etait farouchement contre les sequestrations et prefere les action vicible et positive ... defilé ... greve 24h ... voir greve du zele genre train gratuite peage gratuit - dépénalisé par la court européenne de justice -. Si le dernier gros syndicat perd l'influence qu'il a sur la base ... les politique on du souci a se faire pour les prochaine négos.

D'ailleurs ya quelque années a droite on avait émis l'idée de resyndiquer tout le monde ... en forcant la main; en associant syndicalisation avec Mutuelle santé Prevoyance etc. comme au danemark ou en allemagne, mais c'est tombé a l'eau parce que l'idée de syndiquer 90% des salarié semblait incomprehensible dans l'electorat de droite :lol:

A défaut "ils" on décidé de faire des partis politique plus représentatif en gonflant le nombre d'adherant pour avoir plus de poids ... En France le nombre d'adherent des parti politique est ridiculement faible ... ca a marché pour l'UMP meme si pas mal de militant internet on pas renouvelé ... pas mal aussi au PS ... meme si la aussi le soufflet et retombé apres les elections ... on verras pour les prochaine si les partis mise sur une meilleur represnetaiton populaire au sein meme des parti ... et des syndicat ... ou s'il vont continuer a végéter entre eux.

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justement ,si il y a une baisse  des personnes qui prennaient une carte dans les syndicats ,faut peut-être se posé la question du pourquoi ,s'est qu'il y a encore une différence faîte entre les gens à l'intérieur du syndicat ,et pour les autres qui ne sont pas inscrit dans les syndicats s'est qu'ils ne se sentent pas en accord avec la maniére et la politique appliqué (donc on se fait déjà taxer partout ailleur,si en plus faut payer la cotisation ,en étant pas sûr d'avoir la même égalité  :rolleyes:).je bosses dans une boite ,le boulot est dure mais payé correctement ,on avait un gus syndicalisé qui voulait débraillé pour une histoire de prime de lavage de vêtement (faut pas déconné :lol: vu la paie )alors excuse moi mais je comprends pourquoi on est pas nombreux à être syndicalisé dans la boite ,donc si s'est pour défendre le beafteak comme sa ,s'est pas la peine ,faut être crédible face aux patrons ,alors avec un guignolo comme sa ,si ils sont comme sa dans d'autres boites (à mon avis je pense que oui ) faut peut-être voir là aussi le désintéressement des gens aux syndicats . ;)

 

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<rapport même lointain avec la defense ?? la non plus nada .....donc pareil que l'autre sujet je ferme

ca fait 2 d'affilés, si vous voulez faire de ce forum une tribune politique vous revez très fort

au prochain sujet de ce type l'initiateur aura des vacances gratuites ...............>

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