[Positionnement satellitaire] GPS etc.

[S-37 Berkut]

GLONASS: la Russie invite l'Inde à coopérer

NEW DELHI, 17 juillet

La Russie invite l'Inde à prendre part à la modernisation du système russe de navigation par satellite GLONASS (Global Navigation Satellite System, l'équivalent du GPS américain), a annoncé mardi le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine lors d'une conférence de presse à New Delhi.

"Nous invitons nos partenaires indiens, non seulement à utiliser les services fournis par le système GLONASS, mais aussi à prendre part à sa modernisation. Nous considérons ce système comme un projet commun. J'espère que cette proposition intéressera nos amis indiens", a déclaré M. Rogozine, arrivé pour la première fois en Inde en qualité de coprésident de la commission intergouvernementale russo-indienne pour la coopération économique, commerciale, technico-scientifique et culturelle.

Créé en 1993, le système de navigation GLONASS est destiné à déterminer les coordonnées des objets sur terre, sur mer, dans l'air et dans l'espace avec une marge d'erreur d'un mètre. Il couvre l'ensemble du globe depuis décembre 2011. L'accès aux signaux civils du GLONASS est gratuit et illimité pour les utilisateurs russes et étrangers.

Le vice-premier ministre a en outre souligné que la Russie et l'Inde passaient de plus en plus souvent "de projets commerciaux à des recherches scientifiques conjoints".

"Différents projets retiennent actuellement notre attention, depuis la modernisation des entreprises implantées en Inde par l'Union soviétique jusqu'à la mise en place de productions non seulement compétitives, mais surpassant par leur niveau technologique les productions similaires étrangères, a indiqué M. Rogozine.

Et de souligner le large potentiel de coopération russo-indienne dans le secteur énergétique et la construction aéronautique.

Le vice-premier ministre a rappelé à cette occasion que non seulement la Russie fournissait à l'Inde des avions de combat, mais qu'elle concevait aussi avec ce pays un chasseur de cinquième génération.

M. Rogozine a également fait savoir que la Russie et l'Inde coopéraient à la conception d'un avion de transport et d'un avion de ligne.

"Le marché de nos pays est suffisant important pour que ces appareils soient brigués, et rentables", a-t-il conclu.

http://fr.rian.ru/science/20120717/195383798.html

[S-37 Berkut]

GLONASS: Poutine compte déployer une station en Grande-Bretagne

LONDRES, 2 août

La Russie souhaite déployer une station terrestre du système de navigation GLONASS en Grande-Bretagne, a annoncé jeudi le président russe Vladimir Poutine au terme de sa brève visite à Londres.

"Nous envisageons de lancer plusieurs satellites anglais. Nous attendons une réaction positive à notre proposition de déployer une station de correction au sol de GLONASS ici, en Grande-Bretagne, pour augmenter la précision de ses signaux en Europe", a indiqué M.Poutine.

"Nous pouvons également coopérer dans le domaine militaire et technique, ce qui est profitable du point de vue économique et améliore la confiance politique", a conclu le président russe.

Créé en 1993, le système de navigation GLONASS est destiné à déterminer les coordonnées des objets sur terre, sur mer, dans l'air et dans l'espace avec une marge d'erreur d'un mètre. Il couvre l'ensemble du globe depuis décembre 2011. L'accès aux signaux civils du GLONASS est gratuit et illimité pour les utilisateurs russes et étrangers.

http://fr.rian.ru/science/20120802/195557920.html

[collectionneur]

Bizarre, La précision passe de 70 m a 1 m alors que les derniers satellites GLONASS n'ont pas l'air d'être beaucoup plus performant.

[Henri K.]

Les produits de positionnement et de navigation pour véhicule des particuliers, basés sur le système Beidou-2, sont proposés désormais au marché interne chinois. 

 

Ces produits qui sont aussi compatible avec le GPS américain, devrait rapidement créer le monopôle en Chine, laissant ainsi peu de place pour Galiléo sur ce marché.

 

Le premier retour d'utilisateur est très bon, paraît-il.

 

http://youtu.be/11JgK1sXWK4

 

L'adjoint ingénieur en chef du programme de Beidou confirme dans cette vidéo que le déploiement mondial de Beidou-2 est toujours prévu pour 2020.

 

Henri K.

[Henri K.]

Les nouveaux téléphones portables en vente en Asie commencent à équiper la puce Beidou-2. Toute la chaîne industrielle E2E autour du système de positionnement Beidou-2 est en place en Chine, les produits dérivés et les services publiques sont proposés à grande échelle dans le pays mais commencent à fleurir dans les pays voisins.

 

http://youtu.be/PePUWv1-Fns

 

Henri K.

[Henri K.]

Les journalistes de CCTV ont été autorisé à entrer dans la station centrale de gestion du système de positionnement et de navigation de l'état major de l'armée chinoise.

 

Ce qui est intéressant dans les 2 vidéos suivantes est qu'on voit les 3 équipes qui travaillent ensemble - Celle de Beidou-1 encore en orbite, celle de Beidou-2 code civile, et celle dont les blousons ont marqué "Fréquence militaire".

 

Aujourd'hui l'armée chinoise déploiement massivement l'utilisation et l'exploitation de Beidou, au détriment de GPS / GPS renforcé avec le sol / Glonass. Comme indiqué dans l'interview avec un vieux ingénieur : "Nous n'avons pas le droit de confier et de se fier un domaine aussi stratégique, qui a à la fois un gros impact en applications civiles et militaires, aux systèmes étrangers. Nous devons être indépendants dans ce domaine, c'est non négociable, non discutable."

 

Dans le reportage on voit que toutes les équipes de patrouille de frontière, les navires de la marine, les troupes terrestres ainsi que les appareils de l'armée de l'air migrent progressivement vers le système Beidou, les 2 parties qui ont fini de migrer sont la patrouille de frontière et la marine.

 

http://youtu.be/J1l2yzwJWAs

 

http://youtu.be/2GbrariC-0k

 

Dans la même lignée de ces 2 reportages, aujourd'hui CCTV-7 a diffusé un reportage similaire dans le JT militaire du soir. On apprend que d'ici fin d'années, les 20 000 taxis de Pékin seront tous équipés de Beidou, et les navires de pêche chinois le sont majoritairement. Les pêcheurs utilisent fréquemment la fonction d'envoie et de réception de texto via le système Beidou (une particularité du système par rapport à GPS et à Glonass). Le reportage confirme une fois de plus que la couverture mondiale du système sera opérationnelle d'ici 2020.

 

http://youtu.be/PnR7lNP14f8

 

Henri K. 

[Henri K.]

Un récepteur Beidou-1 dans un navire de la marine.

 

 

Dans la salle de contrôle de l'état major chinois

 

 

 

Sur le blouson de la personne en bas à droit, il est marqué "Fréquence militaire"

 

 

Un vieux ingénieur interviewé

 

 

Les satellites Beidou en orbite. 2 à 3 satellites de Beidou-1 et 15 satellites de Beidou-2 sont opérationnels, couvrant la quasi-totalité de l'Asie.

 

 

 

 

L'application de Beidou

 

 

Contrôle de Beidou, version très simplifiée

 

 

Des équipements en test

 

 

 

Dans une autre salle de l'utilité inconnue

 

 

 

Henri K.

[collectionneur]

Les SR US se demande si laisser construire une dizaine de stations de guidage pour le système Glonass sur le sol américain est une bonne idée :

 

http://www.nytimes.com/2013/11/17/world/europe/a-russian-gps-using-us-soil-stirs-spy-fears.html?pagewanted=all&src=ISMR_AP_LO_MST_FB

 

Cela permettrait de guidé des armes russes plus précisément (bien que les armes nucléaires ne dépendent pas en principe de ce type de système) et autres risques sécuritaires. 

Modifié le 18 novembre 2013 par collectionneur

[Henri K.]

Le Conseil d'état chinois tient une conférence de presse ce matin pour le 1er anniversaire de la mise en service du système régional de positionnement et de navigation Beidou (BDS).

 

http://interact.beidou.gov.cn/interact/show.html

 

Quelques résumés -

• La précision moyenne de positionnement du système dans l'ensemble des régions couvertes est de 10m en code civil (B1I)
• A Pékin, Zhengzhou, Xi'an, Urumqi et d'autres régions, la précision de positionnement du code civil peut allé jusqu'à 7m
• Dans les pays de l'ASEAN et d'autres régions de basse latitude, la précision en code civil est de 5m environ

• Un nouveau document ICD (Interface Control Document), version 2.0, est publié
• Un 2ème code civil, B2I, est mis à disposition
• Ce document pourrait aider les systèmes de renforcement au sol d'atteindre une précision métrique

• Le lancement des satellites Beidou pour le système de couverture mondiale reprend en 2014
• D'ici 2020, la précision de positionnement en code civil sera de 2,5m

Henri K.

[zx]

Pas terrible la situation de galiléo. c'est pas près de se finir.

 

Questions à Wake de New Galileo retard

 

http://www.insidegnss.com/node/3787

 

Some of the specific technical issues behind the latest delay for Galileo’s first full operational capability (FOC) satellites have already been reported. The story, as it is told, generally starts with a late navigation payload delivery by British firm Surrey Satellite Technology to the German prime contractor, OHB. Next, OHB ran into issues with the payload and the platform, further stretching out the timeline.

This resulted in the first two satellites being delivered late to ESA’s European Space Research and Technology Center (ESTEC) in the Netherlands, where they were to be tested. Meanwhile, ESTEC’s thermal vacuum chamber, designed to test satellites in extreme space-like conditions, apparently was not ready to proceed with the work, further delaying the sequence of events.

We could go on with the technical details, but for some at the European Commission (EC), none of these excuses — nor all of them together — are sufficient to explain this new postponement, suddenly announced, which sees the next launch pushed back astoundingly to the middle of next year.

Round 1 – Brussels
First, let’s hear from Vice-President Tajani, speaking in Brussels in October at a meeting hosted by the European Parliament entitled Galileo 2.0. He delivered his speech in French; so, the citations here are translated and perhaps best considered paraphrased.

Tajani started with the good news: Galileo is moving forward. Now for the bad news: it’s moving forward more slowly than planned.

Tajani said he “deplored” the fact that we are now unlikely to see any launches in 2013, and he wasted no time in getting to the heart of the matter. “The satellites we are building are the first in a new series, of a new generation, and of a new European industrial player in the program, the OHB company.”

“These kinds of technical difficulties,” he added, “are inherent in any space project of this magnitude. At the start of many aerospace projects, obstacles emerge from time to time.”

And this is perhaps a key to understanding why some find it more and more difficult not to raise their voices in frustration when discussing the Galileo launch schedule.

Mr. Tajani is not guilty of this impropriety. He continued to develop his thesis with patience and utter calm. Quality must be assured, he said, every element must be checked. Whenever there is doubt, the necessary time must and will be taken. No one can disagree with these sentiments.

Back to the heart of the matter — the selection of OHB-System AG, spurning at the same time the European Satellite Navigation Industries (ESNIS) consortium and its primary member, EADS Astrium, that had built the four in-orbit validation (IOV) satellites (at a substantial cost overrun and behind schedule). In contrast, at the time the Galileo FOC contract was awarded, Bremen, Germany–based OHB had just finished building and launching the German SAR-Lupe radar reconnaissance system on time and within budget.

“The choice,” Tajani said, “was made in strictest conformity with the rules, based on an offer that represented the best quality-to-price ratio and based on the recommendations of ESA technical panels.”

This is important to remember — ESA was responsible for the technical evaluation of the candidates, quite naturally; the EC is not responsible for technical issues; it simply manages.

To that point, Tajani insisted that the commission has been doing its job.

“The Commission, while according its full confidence to the European Space Agency — that is to say its architect and its supervisor — has always assumed its political responsibilities,” he told Parliament. “Everything that we are supposed to do has been done.”

So then, we might well ask, who is to blame?

In spite of all the EC’s efforts, Tajani suggested, the solutions to the technical issues were not under-stood or were discovered too late. He acknowledged that strong efforts have been made by OHB and that ESA has reinforced its support and supervision of the newcomer, and he thanked ESA Director-General Dordain for these efforts.

“But we must go farther,” he said. “And today, both OHB and ESA must take the necessary measures to face up to their responsibilities. And that is why I have asked Mr. Dordain to explain both the reasons why the problems were not anticipated and the solutions to be put in place for the future.”

In addition, he added, “Mr. Dordain has promised to give me, by the end of this month, a solid timetable, including three launches in 2014 and the delivery of initial services before the end of next year.”

Though pronounced calmly and courteously, these were indeed strong words coming from the Commission and directed at ESA, at a public event for all to hear. Days later, voices in the corridors of both institutions were still replaying the scene and, on some parts, with delight.

Once he has Dordain’s new timetable, Tajani continued, he will show it to the rest of us. He finished by reminding the audience that when he took office, no one wanted to talk about Galileo because it was a synonym for cost overruns.

“Today, that is no longer the case,” he said. “During my last mandate as Commissioner for Industry, I never requested one single, extra euro for Galileo.”

And he is not going to start now.

“It is for this reason that when the time comes, the penalties provided for in the contract will be enforced,” Tajani finished.

Meaning someone is going to pay for the delay.

Face to Face
Tajani’s words, delivered politely, were nevertheless firm and direct. Indeed, they could not have been more direct, as Director-General Dordain was seated facing him in the front row of the audience. But the vice-president’s words pale in comparison to what others in Brussels had already been saying off the record.

One informed official puts the case plainly: “After having eliminated the ESNIS consortium [Galileo Industries in a previous incarnation] in 2008, ESA officially became the ‘industrial prime’ of the Galileo program and also the procurement agent on behalf of the European Commission. But studies and internal audits have repeatedly shown that ESA is not able to carry out the duties of an industrial prime.

“ESA should have understood well in advance the deficiencies of OHB and the unrealistic nature of their schedule,” this source said. “On the contrary, ESA with its ‘hands-off’ approach, typical of an agency but not at all of an industrial prime, relied uncritically on OHB.”

Asked to comment on the specific technical problems that have caused the latest delay, our EC source says, “This is exactly the point — there is no major technical problem. The planning and schedule from OHB were simply unrealistic, given their lack of experience and the lack of adequate technical management. But all this could have been known at least one year ago.”

For those at the Commission who are now living the embarrassment, taking the blame for yet another Galileo mishap, three paragraphs are not enough.

“The problem is not the delay as such,” our source continued. “This kind of situation is not unusual in the space industry, especially when a new design is being qualified. The problem is that until May of this year, ESA was still telling the Commission that the launch would take place at the end of September. Now, all of a sudden, they have pushed the probable date to June 2014, postponing the launch by almost one year.”

When we put these views to ESA, the agency’s Media Relations Office sounded indignant.

Pal A. Hvistendahl responded, “ESA finds these allegations surprising. They do not convey the facts of the matter, and we cannot believe that this comes from the European Commission. This depiction does not reflect the relationship and discussions between ESA and the Commission. Therefore, we do not want to react to these unfounded accusations.”

ESA’s Dordain was more forthcoming when he spoke at the European Parliament, also in French, just moments after Tajani’s speech. He did not respond directly to the EC vice-president’s statement, but he did mention the problem with ESTEC’s thermal chamber and he did announce his intention to deliver a new launch schedule in early December.

The schedule, he said, would include three launches in 2014. We’ll see how that pans out, realizing that Mr Dordain will have to rely on his technical teams on the ground to get the job done.

Dordain also showed some of the classiness he is known for by defending OHB, noting that, after all, the company is new to the scene, a new player.

If all this sounds a bit calamitous, never fear, the bust-up at the Parliament was to be followed quickly by a major event in Munich, organized by the third big player in Europe’s Satellite navigation program, the European GNSS Agency (GSA). Everyone would be there, hands would be shaken, and all would be forgiven . . . one would have thought.

Round 2 – Munich
The European Space Solutions conference traditionally brings together pretty much everyone who is anyone in the European space-based services and applications community, encompassing both the Galileo and Copernicus (the Earth observation system formerly known as GMES, Global Monitoring for the Environment and Security) programs.

At the opening plenary session, one of the speakers (subbing for one of the announced speakers) called the conference “the most important event of the year for the EU satnav community,” but the only thing that anyone sitting there could have been sure of was that all the headline speakers had gone missing.

Many of the participants — businessmen and women, application developers, entrepreneurs and representatives of Europe’s top industrial groups — would have been expecting, nay hoping, to see the handshakes and the renewed determination, explanations, to be sure, or at the very least a few reassuring words from Galileo’s top leaders.

But the real story was what didn’t happen — Vice-President Tajani, ESA chief Dordain, Commission Deputy Director-General of Enterprise and Industry Paul Weissenberg, and two high-flying German representatives — all of whom were announced speakers — turned out to be no-shows.

Many perplexed looks were exchanged among the audience as apologies were made and, one after another, substitute plenary speakers were introduced.

More cynical minds might have thought they saw a pattern developing: Blown promises followed by disappearing acts. No forewarning. The disappointment was palpable.

What If Galileo Threw a Party and Nobody Came?
Let’s be clear about one thing, let us be fair — every one of the scheduled speakers who did not appear had a very good excuse.

Tajani, we learned, was meeting with no lesser body than the European Parliament. Paul Weissenberg, Tajani’s right-hand man for space, really did need to be with him. The German Minister had been called to a very important meeting that would determine the future of the German government. . . .

But let’s be fair to Galileo too. The opening plenary session should have featured the top man at the Commission and the top man at ESA.

The EC representative who spoke was the brand-new EU Satellite Navigation Director, two or three steps down in the EC “organigram” from Tajani and just two weeks into his new position. Matthias Petschke described himself as a newcomer, he said some very interesting things, and in all honesty he cut an impressive figure — but no one knew who he was. The ESA representative who spoke was the agency’s head of Copernicus, Europe’s earth observation program; so, there wasn’t an ESA Galileo officer of any rank on the platform.

Fine, never mind all that. The pointed question was going to come, no matter who was there to answer it. When the mic was finally given to the floor during the business roundtable — no questions were allowed during the plenary session — one audience member, a young Asian lady, stood up and ask, rather forcefully: “Why do we need Galileo? It’s one delay after another. We have GPS, we have GLONASS, COMPASS [China’s BeiDou GNSS] is coming. They are all working. Galileo is always late. What is Galileo for?”

The whole place froze for an instant, then turned into a mass of gasping and giggling, shifting and shuffling, and then froze again.

Mauro Facchini, the Commission’s Copernicus man at that moment moderating the roundtable, gathered himself and then judiciously deferred the question to GSA Director Carlo des Dorides, now the ranking Galileo executive at the event, who was just about to deliver the opening session’s concluding remarks as the roundtable drew to a close.

The valiant des Dorides — elbowed to the rear when skies are bright, elbowed to the front when things go wrong — put on a brave face.

They had almost gotten away with it. Through the plenary, through the business roundtable, and almost to the end of the opening session, no one had seen fit to address the eight-hundred-pound gorilla in the room. And if it hadn’t been for that impertinent audience member, no one would have.

What des Dorides said is not the point. Everyone already knew the answer: Galileo is about civil control, European independence, high accuracy, a stimulant to new innovation, etc., etc.

But the real question wasn’t why the world needs Galileo. The real question was about leadership. Is there anyone in Europe, anyone at all, who can and will stand up, right the ship, face the heat, answer the tough questions, and then take Galileo by the scruff of the neck and march it through the finish line?

Tajani showed that kind of leadership when he put ESA on the spot at the Galileo 2.0 event, but his failure to appear in Munich felt like a step back. The absence of an authority figure at this event at this time, other important duties or no other important duties, sent absolutely the wrong message.

The real measure of the success of Galileo, by Tajani’s own admission, will be how much money it makes for the European economy, but the business people who are going to make that happen are exactly the ones who got stood up in Munich.

Still Happy Together?
One thing that Tajani and Dordain can both agree on is that Galileo is moving forward; it is on the right track, if the slow track. It is going to happen.

We know that: Galileo works — those four lonely FOC satellites up there produce good results when they are all in view. Applications based on the region’s satellite-based augmentation system EGNOS and other ready for Galileo are flourishing around Europe. Important regulatory measures are now in place to integrate Galileo within European services and infrastructures (e.g. e-Call).

All major chipset and receiver manufacturers have already developed or are going to develop products compatible with Galileo (e.g., STM, Intel, u-blox, Qualcomm, and others). More than 30 percent of GNSS receivers around the world are Galileo-ready; and the “service-oriented profile” of Galileo has set the standard for GNSS worldwide.

Tajani supporters note that the VP has been very energetic in his push for early services in 2014, because he believes this is the best way to get all parties to come to the Galileo table, to move as quickly as possible away from a purely technology- and development-oriented posture to a service-oriented one.

Innovators and entrepreneurs now need to have confidence in the program and believe in the people who are running the show.

The program seemed to be gaining momentum in recent months. Now, the Galileo team needs to get some new wins under its belt. They need to breathe and breed confidence, or the people who matter most are going to start asking themselves once again if it is still worth the trouble.

 

Modifié le 3 janvier 2014 par zx

[hadriel]

Dans le dernier bulletin ESA il y a un dossier sur les stations sol galileo

 

 

http://www.esa.int/About_Us/ESA_Publications/ESA_Bulletin_156_Nov_2013

[zx]

En bref : Galileo achève avec succès sa validation en orbite

Alors que le déploiement de la constellation Galileo va s’accélérer (six satellites seront lancés cette année par Arianespace), l’Esa annonce le succès de la phase de validation en orbite. En termes plus simples, Galileo fonctionne. Et il fonctionne même très bien.

 

http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/astronautique-bref-galileo-acheve-succes-validation-orbite-52383/

[zx]

Lancement de deux satellite galileo demain, à 14h31 à Kourou

 

http://www.spaceflightnow.com/soyuz/vs09/status.html

 

channel tv

 

http://www.arianespace.tv/

 

Modifié le 19 août 2014 par zx

[syntaxerror9]

"Arianespace a décidé de reprendre les opérations de la chronologie de lancement du Vol Soyouz ST-B VS09 qui doit mettre en orbite les deux premiers satellites opérationnels de la constellation Galileo.

Le décollage du lanceur est désormais prévu dans la journée du 22 août 2014, à un H0 fixe :

09:27:11 (Heure de Guyane)

08:27:11 (Heure de Washington, DC)

12:27:11 (UTC)

14:27:11 (Heure de Paris)

16:27:11 (Heure de Moscou)"

À suivre en direct sur leur site.

[zx]

il mettront en service en 2015, c'est long.

Modifié le 22 août 2014 par zx

[zx]

demarrage du webcast de Kourou pour le lancement à 14:27:11   (Heure de Paris)

 

http://www.arianespace.tv/

voila la plaquette mission

 

http://www.arianespace.com/images/launch-kits/launch-kit-pdf-frn/VS09-launchkit-FR.pdf

 

c'est parti, mission en cours

c'est vraiment une très belle fusée, 1828eme vol, 

Modifié le 22 août 2014 par zx

[zx]

reprise webcast à 18h03  pour la suite de la mission

 

http://www.arianespace.tv/

mission statut

 

http://www.spaceflightnow.com/soyuz/vs09/status.html

 

 

Modifié le 22 août 2014 par zx

[thibaut]

 j'ai regarder  en direct,

cette fois entre la préciosité de la cargaison, les pbm des fusée russe en ce moment ,voir les tension russo europeene (dans ces instants je suis parano) ,et bien j'était assez anxieux. 

[seb24]

 j'ai regarder  en direct,

cette fois entre la préciosité de la cargaison, les pbm des fusée russe en ce moment ,voir les tension russo europeene (dans ces instants je suis parano) ,et bien j'était assez anxieux. 

Yep je pense que tu n'es pas le seul a être nerveux et c'est pour ça qu'au dernières nouvelles A6 devra en priorité remplacer Soyuz.

[zx]

Autant que sur proton il y a des problèmes, Soyouz est une fusée fiable, mais les tensions politiques commencent à devenir inquiétantes, le rover exomars peut être aussi en danger, puisque les russes travaillent sur l'atterrisseur. pour l'instant les russes continues à livrer des RD180 à ULA pour l'atlas.

 

si ca craque, il faudra sous traiter avec les indiens et space x.

 

Voir utiliser vega, le sat semble pas trop lourd 600kg, mais on ne peut envoyer qu'un seul à la fois, et elle ne fait que du LEO, il faut un pousseur pour l'amener à son orbite.

 

Tant que les russes n'envahissent pas l'Ukraine, ca n'ira pas trop loin, je pense.

Modifié le 22 août 2014 par zx

[seb24]

Autant que sur proton il y a des problèmes, Soyouz est une fusée fiable, mais les tensions politiques commencent à devenir inquiétantes, le rover exomars peut être aussi en danger, puisque les russes travaillent sur l'atterrisseur. pour l'instant les russes continues à livrer des RD180 à ULA pour l'atlas.

 

si ca craque, il faudra sous traiter avec les indiens et space x. voir utiliser vega, le sat semble pas trop lourd

600kg, mais on ne peut envoyer qu'un seul à la fois.

 

Tant que les russes n'envahissent pas l'Ukraine, ca n'ira pas trop loin, je pense.

Oui je pense pas qu'on soit encore sur un point vraiment problématique, mais ce genre de situation peut vite dégénérer. Et plus simplement je pense que c'est pas totalement innocent si ils ont signe le contrat pour lancer 12 sat Galileo via 3 Ariane 5 cette semaine. Et qu'ils ont réorienté A6 en priorité vers un remplaçant de Soyuz.

[zx]

C'est toujours un argument de plus pour A6, J'espère que cela va accélérer un peu, tout en gardant l'objectif des coûts et de la polyvalence. Ils ont pu trouver de la place sur une A5, vu le carnet de commande.

Modifié le 22 août 2014 par zx

[zx]

 ca roule

 

1615 GMT (12:15 p.m. EDT)

Spacecraft separation! Both Galileo satellites have been released from the Fregat upper stage in orbit approximately 14,600 miles above Earth.

 

1611 GMT (12:11 p.m. EDT)

T+plus 3 hours, 44 minutes. Arianespace confirms the successful ignition and cutoff of the second Fregat burn. This firing was designed to circularize its orbit at about 14,600 miles altitude.

 

 

Modifié le 22 août 2014 par zx

[seb24]

C'est toujours un argument de plus pour A6, J'espère que cela va accélérer un peu, tout en gardant l'objectif des coûts et de la polyvalence. Ils ont pu trouver de la place sur une A5, vu le carnet de commande.

Surtout que de ce que j'avais compris les Russes ont augmente le prix de vente des Soyuz vendus à Arianespace.

[zx]

Une raison de plus pour aller encore plus vite.

 

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20140821trib000845274/deux-nouveaux-satellites-europeens-bientot-dans-l-espace-pour-concurrencer-le-gps-americain.html

 

https://www.youtube.com/watch?v=NgGy5NEWDFk

Modifié le 22 août 2014 par zx