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castle68

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Tout ce qui a été posté par castle68

  1. castle68

    [Rafale]

    Déjà le fait qu'ils aient des Rafale ( avec leur armement classique) a dû les agacer un tantinet, montrant ainsi une véléitée d'autonomie dans leur choix d'opérations aériennes réellement agaçante aux yeux d'Uncle Sam...
  2. En regardant avec un peu d'attention les différentes vidéos de la rencontre entre les 2 dirigeants Coréens j'ai remarqué un détail qui n'a pas fait réagir les journalistes et autre spécialistes dans les talks show: Kim Jung Un parait bien essoufflé après avoir effectués justes quelques pas ! On s'en rend compte quand la camera reste quelques secondes sur le dirigeant nord-coréen, alors que son homologue du Sud ne souffre visiblement pas de la même problématique. Alors certes on peut considérer que baby Kim a une surcharge pondérale certaine, mais quand même... je suis curieux de savoir ce qu'en pense les médecins spécialistes car les soucis de santé semble être relativement fréquent chez lui ( problème de boiterie il y a quelques temps déjà).
  3. Le tweet semble vouloir faire croire que cette commande résulte de la volontée de la ministre. Vu qu'il avait été décidé depuis le début qu'il y aurait 6 SNA Barracuda classe Suffren, la nouvelle donnée par la ministre perd beaucoup de son emphase. Même si au demeurant elle semble pas mal à ce poste, dame Florence, et fait preuve d'un réel attrait pour son ministère. Enfin c'est juste mon avis !...
  4. Des nouvelles concernant le blocage américain sur les SCALP pour les égyptiens ?
  5. Petite question pour ma culture générale: les F16 irakiens sont ils les seuls à utiliser des lanceurs tri-bombes (bon d'accord sur les photos il n'y a que 2 bombes installées) ? Merci.
  6. C'est beau et touchant l'amour
  7. et aussi d'être à l'origine des ouragans s'abattant sur la Floride... Heu... une place de modérateur va se libérer chez AD ! J'ai juste?
  8. castle68

    F-22

    Mais c'est qu'ils sont taquins, les bougres
  9. bonjour, et voici le 4ème extrait, l'action se déroulant à St-Pétersbourg... " Fiodor Dolokhov gravit les marches tranquillement. Il était parfaitement calme. Les hommes de la sécurité qu’il croisa au rez de chaussé laissèrent passer cet individu jeune et corpulent sans se méfier, car il avait tous les laissez-passer officiels. Un seul groupe de 2 hommes intégralement vêtus de noirs avec une capuche ne libérant que les yeux, inspecta son pass, sans zèle excessif d’ailleurs quand il arriva au 1er étage. Fiodor Dolokhov était concentré et même sa jambe ne le faisait plus souffrir. En bruit de fond on entendait présent le chanteur soliste Viktor Sorokin interprétant « Na pole tanki grohotali », une chanson soviétique qui parle du sacrifice. - Sur le terrain les tanks grondaient - Les soldats allaient à la dernière bataille - Et d’un jeune commandant - On portait la tête transpercée - … Il entra dans la loge au fond de l’allée et referma rapidement la porte derrière lui. Il trouva sur le sol une housse souple rectangulaire qu’il ouvrit. A l’intérieur se trouvait un fusil relativement basique, avec une lunette grossissante. Dans une poche adjacente se trouvait un long tube, servant de silencieux, qu’il adapta à l’arme. Il ôta le petit chargeur, vérifia son contenu, le remit dans le fusil et l’arma. Il se dirigea vers la rambarde. Il vit alors la scène baignée d’une lumière bleue où passaient des images en noir et blanc de la 2nde guerre mondiale montrant des chars et des bombes qui pleuvaient du ciel. - 4 cadavres près du tank - Vont s’ajouter au paysage du matin - … Les choristes, presque une quinzaine d’hommes, avaient la même tenue que le soliste Viktor Sorokin à savoir une tenue intégralement noire de cosaque. Mais tous portaient également une longue cape noire traditionnelle qui dépassait largement des épaules, la bourka, ainsi que le chachka, le sabre traditionnel d’origine circassienne. La main droite de Sorokin tenait le micro, tandis que la main gauche était cachée par la cape. - Et puis s’envoleront les télégrammes - Pour, aux amis et parents, faire part - Que le fils ne reviendra pas - …. L’émotion commençait prendre aux tripes Fiodor Dolokhov. Il fit bouger son arme et grâce à sa lunette il put constater que le public était tout aussi ému que lui : il vit alors une vieille femme d’une soixantaine d’année à la chevelure courte et blonde mettre sa main gauche à sa joue tout en fredonnant les paroles. Dolokhov pensa que peut-être c’était une mère qui avait perdu un fils dans le Dombass par la faute de Poutine, comme lui avait perdu ses parents. Il serra son arme plus fortement, sa résolution encore plus vive et fit bouger le fusil vers la droite. Il s’aperçut alors que l’émotion toucha également les plus jeunes en voyant une jeune fille, à la robe visiblement fleurie et au rouge à lèvres qu’il devina envahissant, remuer les lèvres. A coté d’elle une jolie jeune femme très classe, aux longs cheveux raides clairs, avait sa main droite sous son menton et fixait le plafond en une sorte de prière muette. L’homme à sa droite, la trentaine en costume et chemise rayée sans cravate, regardait fixement la scène. Les spectateurs étaient littéralement en communion avec la musique et les paroles, un peu comme s’ils étaient présents dans une église ! Peu avant la fin de la chanson retentit le son grave de la cloche d’une église et les choristes ôtèrent leur papakha clair. Tandis que le chanteur laissa tomber sa cape. Puis, après quelques secondes, Viktor Sorokin reprit sa complainte suivit par les choristes. Dolokhov vit alors un homme âgé, corpulent, avec un costume clair sur lequel coté gauche était fixé le ruban rouge et or de l’Armée Russe et une cravate rouge sang. Il portait au bout du nez de petites lunettes rectangulaires, et de son poing gauche fermé, il suivait le rythme de la musique. Il dirigea son arme vers la loge présidentielle. Apparut alors le visage de la seule femme présente, puis bougeant vers la droite se fut au tour du visage du Vladimir Poutine de se trouver en ligne de mire. Il pencha la tête vers la droite et échangea quelques mots avec sa voisine ; il sourit et redirigea son regard vers la scène. Fiodor Dolokhov était maintenant totalement concentré, il n’entendait même plus la musique. Sur la scène une nouvelle série de choristes firent leur apparition. Les costumes étaient beaucoup plus chatoyants et le rouge sang prédominait à présent. Les choristes féminines étaient mises en avant. * Arrivé au 1erétage, Castle fut arrêté par 2 hommes portant une cagoule, tout de noir vêtu et armé du fusil d’assaut AS Val qui est équipé d’origine d’un long silencieux intégré tout le long du canon. Castle supposa qu’il s’agissait d’hommes des forces spéciales, probablement le groupe « Alpha ». Il leur montra son badge plastifié, où il était écrit en Russe et en Français, que le possesseur de ce badge avait autorisation et permission de se déplacer où bon lui semblait, car appartenant à la sécurité présidentielle française. Après un instant de surprise ils acquiescèrent de la tête et le laissèrent passer. Castle ouvrit lentement la première porte d’une loge et la referma dans la foulée car il n’y avait que des spectatrices. Il entendit un des hommes en noir dialoguer via son oreillette, mais il ne comprit pas la teneur de la discussion. Il ouvrit la porte suivante et entra dans la loge. Puis il en ressortit rapidement car son mystérieux boiteux n’y était pas. Après une 3ème inspection, il fut prit d’une inspiration soudaine et se dirigea au bout du couloir vers la dernière loge où de la salle il avait vu qu’il n’y avait personne. Arrivé devant la porte il vit une affiche avec une ligne écrite en couleur rouge, en cyrillique et en dessous la traduction en anglais : « OUT OF SERVICE – SORRY » Thomas Castle appuya doucement sur la clenche et se rendit compte que la porte était fermée. Il constata que la serrure était des plus basiques. Il fouilla dans sa poche et en sortit l’outil adéquat. Après avoir regardé à gauche, il se mit à l’action. * Sur la scène, en uniforme rouge et bonnet blanc cette fois-ci, 26 choristes se tenaient derrière le chanteur Viktor Sorokin qui lui était tête nue en uniforme noir et épaulettes rouge & blanche. Il tenait en main un petit accordéon de couleur vert et était encadré de 8 musiciens assis, dans le même uniforme que lui mais avec une coiffe noire. La moitié avait des instruments à cordes de tailles variées et pour les autres soit un petit métallophone, soit un accordéon de taille normale. Le chef d’orchestre se tournant vers le public indiqua au micro en russe, puis en anglais : - « Lorsque nous étions à la guerre »… Viktor Sorokin ! L’annonce déclencha un tonnerre d’applaudissements. - Lorsque nous étions à la guerre - Lorsque nous étions à la guerre - Là-bas chacun pensait à sa femme ou à son aimé - … - Et moi-aussi j’aurai pu y penser Le chef d’orchestre prit par le rythme de la musique fermait les yeux, son visage exprimait une grande joie ; ses 2 bras levés, il ouvrait et fermait les poings en rythme. - Lorsque ma bouffarde, je regardais, et sa petite fumée bleutée - … Fiodor Dolokhov avait, à présent, la tête de Vladimir Poutine au centre de sa ligne de mire. - … - Comme, il fut un temps, tu me mentais - Comme ton cœur si léger, à un autre ami tu as donné - … - Mais à personne je ne pensais - Ma bouffarde, je ne faisais que fumer, avec son tabac turc plein d’accrêté - … Fiodor Dolokhov connaissait cette complainte par cœur il savait à quelle phrase il appuierait sur la queue de détente. Il en avait fait la promesse sur la tombe de ses parents. Le chœur reprenait la complainte accentuant encore plus l’émotion du moment. - Je ne fais qu’attendre la balle fidèle - Je ne fais qu’attendre la balle fidèle - Celle qui ma tristesse apaisera et ma colère abattra - Celle qui ma tristesse apaisera et ma colère abattra Le chef d’orchestre faisait les mouvements avec son bras droit, gardant le bras gauche replié et le poing fermé. Dolokhov retint sa respiration. Il appuya sur la queue de détente de son fusil !
  10. castle68

    Les FREMM de la Marine Nationale

    Bon après tout trouver des glands sur une chaine... on reste cohérent
  11. Bonjour à toutes et à tous, Tout d'abord je viens de constater que TheBookEdition m'a fait partir ma commande et que les romans sont en route. La version Pdf étant bien entendu disponible sur le site de la maison d'édition. Le WE approchant, voici le 3ème extrait/4 (un peu plus développé...) qui se déroule en Ecosse au château de Blair... " Scapin huma l’air et se mit à renifler le sol. Puis il redressa les oreilles figées, aux aguets. Justine avait une tenue sombre intégrale, des sneakers au pantalon en passant par le blouson camouflé en motifs géométriques, avec des teintes grises et noires. Un bonnet noir cachait sa chevelure rouquine un peu trop flamboyante. Elle avait néanmoins évité le camouflage sur le visage dont elle avait une sainte horreur, y compris pendant les exercices, se contentant de passer vite fait de la terre humide sur son visage. Elle enleva la housse qui était accroché à son dos. S’agenouillant, elle l’ouvrit et en sortit le fusil d’assaut qu’il contenait. Il s’agissait d’un fusil d’assaut automatique Heckler & Koch HK417 de couleur noire. Il était équipé d’une lunette Schmidt & Bender 10x42 pour le tir à longue distance et d’un énorme atténuateur de son (habituellement nommé « silencieux ») permettant de travailler avec discrétion sans déranger les voisins à l’ouie fine ! Un remarquable outil pour les pros et Justine en était une !… Ce n’était pas une arme adaptée aux tirs à très longues distances comme elle les appréciait, notamment au Mali quelques années plus où elle utilisa brillamment un Cheyenne Tactical M-200 au calibre de 12,7mm. * (*Voir Corne d’Abondance). Elle aimait bien le M-200 car c’est avec cette arme qu’elle battit en 2017 le record de tir longue distance, détenu par un sous-officier du 4ème Régiment de Chasseur avec 4150m et 3 balles sur 12 sur la cible. Effectivement, pour relever le challenge, elle fît placer une cible identique de 1m90 sur 1m20 à 4200m, tira 12 cartouches en 10mn et toucha la cible à 8 reprises ! Les témoins présents constatèrent qu’elle ronchonna car 4 balles c’étaient « égarées » ! Ce résultat ne fût pas homologué officiellement du fait de l’appartenance de Justine de St-Jacques à la DGSE. Cette arme aurait été totalement inadaptée en la circonstance, du coup c’était une arme de plus petite taille et d’un calibre de 7,62mm qu’elle jugea plus appropriée. Elle avait bien sur déjà procédé à plusieurs tirs d’entrainements avec le HK417, qui remplaçait de plus en plus le FRF-2 au sein de l’armée française. A présent elle maîtrisait parfaitement cette arme, en plus elle était plus facile à obtenir, car plus « internationale ». D’où son choix lors de la « prise de commande » ! Elle posa l’arme au sol après avoir déplié le bipied et vérifia une dernière fois que tout était ok. Elle avait tout mis au point dans la chambre d’hôtel après que le livreur ait livré la veille la marchandise à Castle. Elle avait été agréablement surprise, tout était bien là, y compris 10 chargeurs pleins, contenant chacun 20 cartouches. Elle fut un rien décontenancée par le fait que l’arme était effectivement full option ! De quoi sérieusement doucher certains enthousiastes un peu trop présomptueux ! Décidément il semblerait que Castle avait des amis bien placé question matos… Elle se demanda qui cela pouvait bien être. Encore un truc sur lequel il va falloir qu’elle ait une conversation sérieuse avec lui ! Scapin grogna brièvement. - Chut Scapin, tu va nous faire repérer ; ce n’est pas l’heure de chasser les lapins ! Puis après avoir chuchoté à l’oreille du Malinois tout en le caressant, elle s’allongea sur le sol et régla la lunette. Elle avait une vue parfaite et dégagée. Scapin s’éloigna silencieusement, sans qu’elle ne le remarque ; en bonne professionnelle, elle était entièrement concentrée sur son ouvrage. Elle était malgré tout inquiète pour Castle, même si elle avait une grande confiance en général dans les plans élaborés par son futur mari ! Elle vit dans la lunette plusieurs gardes qui patrouillaient tranquillement en fumant une cigarette. Elle repéra alors Castle qui se dirigeait silencieusement et discrètement vers la « vieille bâtisse ». Tout à coup elle se concentra encore plus. Elle vit alors son homme avancer lentement se cachant derrière les arbres ; puis avant d’arriver au pont en bois, il sauta sur un garde qui patrouillait, le neutralisant. Elle était particulièrement étonnée, on aurait dit qu’il savait que ce type allait arriver, normalement il aurait dû se faire surprendre ! … Il lui prit son long manteau et s’en revêtit ainsi qu’un chapeau à large bord. Ensuite elle vit Castle le tirer vers la rivière et semble t-il le dissimuler sous le pont. Il prit l’arme du garde et poursuit la tournée du garde comme si de rien n’était ! Justine jura en se disant que cette partie ne figurait pas dans le plan initial ! « Clic » Tout à coup le silence le silence de la nuit fut troublé par un bruit métallique. - Tu te lèves très doucement et tu ne fais pas de gestes brusques ! Justine de St-Jacques sentit le canon d’une arme sur sa tête en même temps qu’elle entendit la phrase dite en anglais avec un accent américain. Elle se redressa lentement en écartant ostensiblement les bras. Cette partie là ne figurait pas non plus dans le plan initial ! Elle sentit alors une main la palper rapidement et d’une manière professionnelle. Elle se tourna et vit son agresseur. C’était un black de grande taille, avec un bouc bien taillé et un bonnet sombre sur un crâne visiblement chauve qui la mettait en joue sans trembler. Il avait un long manteau en cuir noir sous lequel il portait un pull col roulé et costume avec pantalon en cuir et bottes (à faible talons plats) en cuir noir. Tenue un rien anachronique en la circonstance !… L’homme âgé d’une quarantaine d’année ressemblait à Shaft version Jamuel L.Jackson ! Mais élément plus inquiétant, au bout de son bras se tenait dans la main droite un revolver posé sur sa main gauche. Un revolver que Justine, en bonne professionnelle, identifia sans peine comme un Chiappa Mateba 6 Unica, un monstre qui crachait 6 dragées de calibre .44 Magnum ! Pas du tout un jouet d’amateur… Tout à coup Justine vit, dans un silence total, une ombre fendant l’air et… l’homme chût au sol car il avait été totalement surpris. Scapin avait silencieusement pris son élan et sauté sur l’individu en le faisant ainsi tomber, réussissant une fois de plus une de ses fourberies dont il était coutumier. Puis il se mit à grogner tout en attrapant le bras de l’homme qui essayait de récupérer son arme. Seule l’épaisseur du cuir de son manteau l’empêchait d’avoir son bras broyé par la mâchoire du malinois. Son autre bras essayait de se dégager de l’attaque. Ses jambes battaient l’air désespérément. Justine prit le fusil d’assaut l’arma d’un geste sec. Le bruit métallique résonna dans le « presque » silence nocturne et elle pointa le HK417 sur l’homme à terre. - C’est bien Scapin, c’est bien mon chien, lâches-le ! Puis elle continua en anglais : - Restez assis, ne bougez pas. Laissez votre arme où elle est, si vous voulez rester entier et pas finir comme un hamburger ! " Quelques images d'illustrations qui j'espère vous feront plaisir Château de Blair, arme utilisé par Justine de St-Jacques, Malinois en action (le personnage de mon roman est différent, et Scapin est un peu plus grisonnant étant un "retraité" du GIGN)
  12. Bonjour, Le roman est disponible à présent sur le site TheBookedition.com en version papier et en version pdf. 2ème extrait /4 : "discussion familiale" " Le plan de Castle avait été avalisé par la Direction de la DGSE, sans modifications particulières, quelque temps auparavant. Dans les grandes lignes, il s’agissait de se rendre à Milan en mission clandestine et d’obtenir le maximum d’informations du journaliste Egyptien Ali Abdel Mansour lors de la grande conférence internationale ayant pour sujet : « Journalist, information or disinformation » ! Informations obtenues que ce soit par des moyens électroniques et/ou humains. C’était plus facile ou plutôt moins compliqué d’agir lors de son week-end milanais que lorsqu’il se trouvait dans un pays arabe. Le Président avait lui-même avalisé ce plan car la finalité était de permettre la livraison express par « Air Rafale » de pruneaux guidés de 250 kgs contre le djihadiste Tarek al-Libani ! Non seulement pour venger les 2 agents de la DGSE assassinés à Beyrouth, mais également pour le punir d’avoir commandité des attentats qui auraient pu être extrêmement meurtriers en France. Couper une tête de l’hydre Daech était toujours une bonne chose. Thomas Castle avait carte blanche pour constituer son équipe et l’avait bien évidemment déjà constitué dans sa tête. Elle était à présent réunit dans le bureau du Colonel de la DGSE. La petite équipe était constituée de : · Lieutenant Denis Hacquer alias Décodeur, capable de casser tous les codes informatiques. · Major Fahrid Merhleen alias Dénicheur, capable de tout trouver, même l’introuvable · Lucy N’Guyen alias Champo-lionne une civile, Bac+5, sortie Major de sa promotion d’une grande école et capable de parler, lire et de traduire un nombre impressionnant langues vivantes ou mortes, grâce à une fabuleuse mémoire. Elle est chef de Section au service « Contre-Terrorisme » Mais il y avait un petit hic à cette belle construction architecturale ; le « petit hic » mesurait à peine 1m 60, avait une chevelure rouquine flamboyante et des yeux qui lançaient encore plus de flammes étant ainsi raccord avec sa robe rouge-orangée ! - Tu n’es pas en condition physique, ton opération est trop récente ! C’est à ce moment là que l’opiniâtre officier de la DGSE senti qu’il n’avait pas donné la bonne réponse à la question posée. Du moins pas la réponse que la câline rouquine considérerait comme très éventuellement acceptable ! … - Je te sens fourbe là. Tu te fous de moi. Sans moi, mon Colonel, tu n’aurais jamais trouvé Mansour, si je ne m’abuse ! - C’est tout à fait exact Capitaine, mais, du reste, cela ne change pas les données du problème ! - Je suis en excellente forme, arrêtes de croire que je suis fragile à tout bout de champ. Qu’est ce que ça sera quand tu apprendras que je suis enceinte ! … Et là tous les regards des participants se figèrent sur Justine. Un ange passa avec un gros ventre ! Devant la réaction des participants à l’annonce de cette nouvelle répartie bretonne, elle lança des coups d’œils à chaque personne présente et arrêta son rapide tour d’horizon sur Castle. - Hé Castle, tu peux recommencer à respirer, c’est un exemple pour illustrer mon propos, juste un exemple. Je ne suis pas enceinte ! Pas encore du moins… Toutes les personnes dans la pièce recommencèrent à respirer et Castle en premier ; on entendit même quelques rires…discrets ! Du coup et certainement encore sous le choc rétrospectif de cette fugace nouvelle, croyant clore définitivement le débat, il crut bon de rajouter tout de go, démontrant ainsi un optimisme tout à fait utopique et une certaine absence de perception de la réalité présente : - Il semblerait que tu sois inapte à comprendre certaines choses, mais ce n’est pas grave, tu as d’autres qualités ! Voilà, voilà… Clairement la « boulette du débutant », car cette dernière phrase à l’argumentaire discutable même si pas entièrement erroné, eut le même effet sur Justine qu’un cigare allumé sur un tonnelet de poudre ! Sentant bien que l’explosion n’était plus qu’une question de secondes, Décodeur leva la main et dit d’une petite voix : - Heu Pofint ! Il est vrai que Nettoyeur nous a bien aidé sur ce coup là et elle semble visiblement… en bonne forme. Il serait donc un peu dommage de nous en priver pour cette importante mission, d’autant plus que vous fonctionnez bien en phase tous les 2, enfin… d’habitude ! Justine de St-Jacques regarda Denis Hacquer avec un sourire de satisfaction, alors que Castle avait un regard un peu moins encourageant. - Y’a des permissions qui vont sauter, on dirait !… souffla le Pofint sur un ton prophétique - Néanmoins le Colonel a raison de s’inquiéter sur les capacités de Nettoyeur à être opérationnel sur le terrain. Donc, on va au stand de tir et le Capitaine nous montre si elle est toujours au Top Niveau au pistolet 9mm et ensuite un exercice de judo face à un moniteur. Si elle réussit les 2 exercices elle est des notre pour Milan. Correct non ? - Ca me va, mais, au stand de tir, tirer toute seule c’est pas génial. Disons 6 balles sur 2 cibles à 25m et je fais un meilleur score que toi Pofint qui est visiblement en pleine forme, physique tout du moins ! ... Tous les regards convergèrent vers Castle, interrogatifs. - C’est ok pour moi ! - 20 euros sur Nettoyeur ! lâchèrent de concert dans la foulée Dénicheur & Champo-lionne - Tenu ! répliqua Décodeur La réunion étant de fait terminée, le groupe se leva afin de régler définitivement ce conflit « familial ».
  13. Bonjour matinal, 1er extrait/4 Un petit tour dans les Everglades, c'est toujours sympa un dimanche " Environnement juste troublé par des habitants aquatiques, car de temps en temps on voyait poindre des yeux et des naseaux de lamantin des Caraïbes ou ceux plus inquiétant d’alligators… Des oiseaux passaient ou tournaient au-dessus de l’Airboat qui avait un peu ralentit. Thomas Castle regardait les arbres de la forêt qui les encadraient, quand Kahu Rapotoo lui donna un coup de coude et lui fit un signe de tête. A sa droite, sortant d’un amoncellement de branches et de racines, un raton laveur les regardait, nullement inquiet. L’Airboat avait encore ralentit et se déplaçait à présent lentement entre les arbres sinueux et les chemins d’eau, plus ou moins recouvert de nénuphars et de vase noire, parfois très étroits. Des paysages, au combien stupéfiant et unique, qui faisaient frissonner Castle. Quittant les arbres de la Mangrove, le paysage se dégageait un peu et sur le bord on voyait à présent un crocodile américain de près de 5m pour 500 kgs avec un énorme Python birman sur la tête ; en fait plutôt la moitié d’un python car le reste se trouvait dans la gueule du crocodile ! - C’est Erich. Je l’ai baptisé ainsi en l’honneur de Erich Mielke, mon dernier patron, car il a le même regard sournois ; surtout quand il a les yeux mi-clos. Je l’ai vu un jour se bagarrer avec un Python Birman de plus de 4m de long et…il l’a vaincu, heu le crocodile, pas Mielke ! dit Hans Trapp jovial pour la première fois de la journée - Impressionnant ! - Mais ce n’est pas lui le plus impressionnant, nous allons voir « the Boss » ! dit Hans Trapp redevenant sérieux A peine 5mn plus tard se trouvait, sur la berge, un vrai monstre, la gueule grande ouverte dont on devinait le palais rose pale. Le menton et la partie inférieure du corps du reptile avait une couleur blanc-crème. Un autre crocodile américain réellement gigantesque : pas loin de 7m pour près de 1000 kg à vue de nez ! Un monstre ! Kahu Rapotoo déglutit quand il le vit. - Voici « le Père des peuples : Joseph Staline ! Hans Trapp arborait un large sourire. Il expliqua alors l’avoir appelé ainsi car il avait éliminé sans pitié plusieurs de ses congénères !… Et là, chose incroyable, après avoir fait stopper l’Airboat, l’ex-général se mit à émettre des cris stridents. Les 2 français n’en crurent pas leurs yeux quand ils virent « Joseph Staline » fermer la gueule, tourner la tête vers l’Airboat, cligner des paupières, se lever et plonger dans l’eau ! Comme s’il reconnaissait l’homme qui criait et qu’il venait lui dire bonjour. - C’est surréaliste ! dit un All Black qui n’en croyait pas ses yeux Thomas Castle jeta un coup d’œil vers Hans Trapp ; jamais il n’aurait imaginé que cet homme sombre et mystérieux puisse être un « ami » des animaux, fussent-ils hors normes ! Encore à la rigueur avec des corbeaux, pourquoi pas ; mais un crocodile ! Et de cette taille en plus (bien sur ce n’est pas la taille qui compte, c’est bien connu) !… Une ligne de plus à ajouter à son dossier à la DGSE. Décidément cet homme le surprenait à chacune de leurs rencontres. Günther Klopfpeitsche s’approcha de Hans Trapp qui fixait le reptile et lui remit un cigare long et fin, puis le lui alluma. Il tira dessus et l’on vit le bout rougeoyer. Le crocodile nageait lentement vers eux ; seuls les yeux et les narines sortaient de l’eau… Il se trouvait au milieu des feuilles de nénuphar, apportant une touche bucolique à un ensemble pour le moins inquiétant… Le reptile se confondait admirablement avec la végétation et seul le mouvement de l’eau dénonçait la présence du nageur. Tout à coup le reptile ferma par un clapet ses narines et plongea… Puis regardant Ho Jong Suk, Hans Trapp ôtant le cigare de la bouche, lui dit alors en anglais d’un ton calme : - Quel était votre plan me concernant. Je veux connaître tous les détails, n’omettez rien, sinon… Puis pour être sur d’avoir été bien compris, il dit la même phrase en coréen. L’officier resta silencieux, mais avait le visage particulièrement méprisant. Il avait repris confiance en lui. Il était intimement persuadé que l’homme bluffait, car comme tous les occidentaux c’était des faibles. Sinon il serait déjà mort, c’est bien évident. Il voulait juste des renseignements ! - Mettez-le à l’eau ! dit alors Trapp en creek en montrant Rim Chun-Chu d’un signe de tête Après une fraction de secondes d’hésitation ils s’exécutèrent. Thomas Castle compris alors ce qu’avait prévu de faire Hans Trapp, pour se venger du tueur de Claire Wright, quand il vit les 2 indiens Séminole s’emparer du géant nord-coréen totalement immobile et le plonger au ¾ dans l’eau ! Il était fixé par les menottes à la base métallique du banc ce qui l’empêchait d’être totalement immergé. Il restait immobile grâce à l’injection, évitant ainsi le risque de faire chavirer l’Airboat. Mais dans son regard la terreur était bien visible car il était totalement conscient. Hans Trapp se remit à tirer sur son cigare. Il regardait fixement l’homme d’un regard froid, glacial, mais néanmoins sans aucune lueur de joie sadique, son poing droit fermé contre sa hanche. - Putain Pofint, dis-moi qu’il bluffe ! demanda All Black qui avait viré au gris complet - Pas sur… maintenant faire se rencontrer un Nord-Coréen stalinien et un dénommé Staline, on reste tout compte fait historiquement cohérent !… - Pofint, c’est un meurtre de sang froid ! - Les crocos sont des animaux à sang froid effectivement ! Devant le regard soutenu que lui lançait All Black, Castle crut bon de rajouter : - Ce n’est pas de l’assassinat, mais il y a quand même un léger cousinage, je te le concède… En même temps, Günther Klopfpeitsche traîna Ho Jong Suk, afin qu’il puisse bien profiter du spectacle. Dans les profondeurs le crocodile ondulant du corps battit plus fort de la queue, les pattes plaquées le long du corps, il prit de la vitesse, ouvrit la gueule et referma la mâchoire sur la jambe de Rim Chun-Chu qu’avait brisée la dent fossile ! Comme j'ai trouvé comment ça marche, du coup quelques images d'illustrations... Bon c'est cet Airboat qui m'a servit, les passagers sont pas les mêmes ! "Erich Mielke" en pleine activité La suite... bientôt !
  14. oui, mais j'arrive pas à insérer le jpg merci pour ces encouragements. Une partie de l'image de la couverture apparait sur la gauche, mais une image complète serait mieux, j'en ai conscience Hé j'ai trouvé
  15. Bonjour à tous. Ca y est j'ai envoyé le fichier à TheBookEdition.com et il sera disponible sur le site d'ici quelques jours. Vous avez constaté un "léger" décalage dans le temps quant à la parution de ce dernier opus. "Vengeances Multiples" fait 506 pages et sera disponible pour 25,-€ en version papier et 10,-€ en version electronique. Les différentes caractéristiques des autres opus se retrouvent à nouveau avec plusieurs aventures qui s'imbriquent et se succèdent. Comme pour le dernier épisode de la saison d'une série télévisé, on assiste à la fin d'un cycle avec des explications et des révélations sur le passé des acteurs principaux. J'ai voulu ainsi développer et mettre en avant outre Thomas Castle et Justine de St Jacques, mais également Hans Trapp et des personnages présent dans les opus précédents. Il y a également des "guest star" bien réels tel Emmanuel Macron, mais surtout Kim Jong-Un et Vladimir Poutine (héros malgré lui d'une tentative d'assassinat déjoué par notre héros alsacien). La base historique qui m'a fait commencer ce roman (en 2016 quand même) est la fuite d'un diplomate nord-coréen qui c'est barré de Londres avec la caisse noire de "baby" Kim. Dans mon histoire c'est bien sur Hans Trapp qui était l'instigateur de cette défection en 2016, mais mon roman est bien la suite chronologique de "Subtilité Chinoises". Les premières pages reprennent les dernières pages du roman précédent mais ces pages sont améliorées, modifiées et développées. Plusieurs nouvelles importantes se succèdent en quelques pages... Ensuite se greffent plusieurs aventures dont un complot contre le président Russe. Mon action se situant au 2ème semestre 2018 la rencontre Macron- Poutine ne pouvait se dérouler avant. Comme le Français avait invité son homologue Russe à Versailles, il me semblait logique que la rencontre suivante se passe à St Péterbourg. Or en début d'année j'ai appris qu'il y aura rencontre entre les 2 hommes en mai à...St-Pétersbourg ! Du coup j'ai inventé une 2ème rencontre plus politique en octobre à St-Pétersbourg mais Castle ne se baladera pas aux mêmes endroits que dans "Subtilités Chinoises". J'ai veillé comme d'habitude à être au plus près de la réalité, bien qu'étant dans une œuvre de fiction: les lieux existent bel et bien (y compris en Corée du Nord), les avions de ligne aussi, tout comme les restaurants et même les menus. En ce qui concerne les 3 Présidents, notamment pour Poutine j'ai regardé plein de reportages (notamment celui de Oliver Stone et le doc qui est passé sur France 5 ) afin que les attitudes et les paroles du Présidents Russes soient les plus proches possible de la réalité. Même la plaque d'immatriculation de la Mercedes Classe S de Vladimir Vladimirovitch est la vraie ! Toujours de l'action, du suspense, de l'humour, une pointe de philosophie et un zeste de fantastique, avec de multiples clins d'œil cinématographique que les cinéphiles ne manquerons pas de trouver. Normalement il s'agit de la fin d'un cycle, je ne suis pas sur de faire une suite. Certes vous verrez que je me laisse la possibilité en laissant entre-ouverte quelques fenêtres, ou peut-être vais-je commencer une série d'aventure avec Hans Trapp ou d'autres personnages (Samantha Blackwidow). Peut-être qu'une maison d'édition aura envie de m'éditer et non pas de m'éviter et je retravaillerai les précédents titres... Nous verrons. En attendant je vais vous faire paraitre quelques extraits dans les prochains jours. Vous pouvez me joindre en MP pour réserver votre exemplaire dédicacé. Normalement je pense pouvoir commander les exemplaires d'ici une dizaine de jours et ainsi les recevoir pour la fin du mois. Pour ceux intéressé je propose de vous faire cadeau des frais de port et de laisser ainsi le prix à 25,-€ si vous me réservez "Vengeances Multiples" en MP. Voici la 4ème de couverture: " Dans ce nouvel opus, l’officier de la DGSE, le Colonel Thomas Castle, aura à affronter une série d’aventures parmi les plus périlleuses de sa carrière. Ce sera la fin d’un cycle. Cette alliance renouvelée entre le Bien & le Mal n’est pas simple pour lui car se déroulant, au départ, sur fond de crise avec la Corée du Nord. Crise à laquelle devra faire face Castle pour ensuite affronter le retour de « fantômes » qui éclairent le passé des principaux héros sous un nouveau jour : les pièces du puzzle s’imbriquent enfin. Ce conflit aura pour répercutions une suite de vengeances… L’officier de la DGSE devant une nouvelle fois faire preuve de courage et d’ingéniosité afin de réussir ces missions, certes en sauvant Justine de St-Jacques, mais aussi, par ricochet, en combattant un passé qu’il pensait enfoui dans les Limbes. Ces aventures l’amèneront à Miami et dans les Everglades, à San Francisco, à Milan, puis à St-Petersbourg où il sauvera la vie de Vladimir Poutine et enfin au final à Pitlochry en Ecosse. Une fois de plus, le Colonel Castle se retrouve être ce Chevalier, tel celui représenté chez Dürer, qui l’âme tranquille, allait droit devant lui, sans crainte de la Mort, ni du Diable… Cependant la réalité est plus subtile que les apparences… Bien évidement, il faudra attendre les dernières lignes pour se faire une idée… Vengeances Multiples est un roman dans lequel le lecteur se trouve plongé dans un océan imaginaire où figurent quelques vagues bien réelles… Avec toujours les mêmes ingrédients qui ont fait le succès des romans précédents : action, humour, suspense, fantastique… Rarement un roman de fiction n’aura été aussi proche d’une réalité plausible !…"
  16. mais aussi le beau de quelqu'une
  17. Merci Dorf pour ton remarquable article sur les Flanker indonésiens Article complet et pointu, comme d'hab quoi !
  18. Vu la crise actuelle, doivent pas être vraiment opérationnels les Flanker...
  19. Mode humour on: un petit lot de B1 aux couleurs Armée de l'Air cela aurait de la gueule pourtant !
  20. Que l'arme du crime soit Russe ne fait pas de doute ayant été identifié comme telle, que ce soit une main Russe n'est pas certifié tant que l'instigateur n'est pas pris. D'où mon hypothèse d'échantillon acheté/récupéré en Russie lors de la "glorieuse" époque Eltsine où c'était la grande braderie. Je ne dis pas que c'est cela, simplement que c'est une possibilité car si le gaz a été identifié si rapidement c'est bien parce que les occidentaux disposaient depuis quelques temps d'échantillons afin de pouvoir le classifier et l'identifier; ce type de connaissance n'est pas spontané ! Historiquement Hillary est une anti Poutine chronique c'est connu et il suffit de se souvenir de ses discours; pour cela elle n'a pas besoin d'avoir sa carte du parti républicain ! Mais bien sur cela peut être autre chose, l'avenir le dira à moins que...
  21. " A qui profite le crime ? " Telle est la seule question à se poser pour l'instant dans cette affaire les seuls a se frotter les mains sont... les néo-conservateurs américains la mode Hillary chroniquement anti-Poutine. Souvenez vous c'est les même qui applaudissaient lors du renversement de Sadam le dangereux pourvoyeur de gaz (plus dangereux que le nounours bleu et sa bouteille) ! Sans pour autant sombrer dans le complotisme primaire, les américains et la CIA savent quand même faire leur boulôt et dans le foutoire chronique de la chute de l'URSS il serait extrêmement étonnant qu'un sujet aussi sensible que les gaz n'ait pas sucité leur intérêt dans les années '90. Et comme tout s'achetait on peut raisonnablement supposer qu'ils aient pu acquérir des échantillons (cela a bien été réalisé avec les avions militaires et encore bien avant la chute de l'URSS pour certains modèles). Eliminer un "traitre vénal" aux yeux des Russes qui n'avait plus d'intérêts aux yeux des américains que celui de mettre Poutine en "difficulté" et lui rendre ainsi la monnaie de sa pièce par rapport à son action (supposé) lors de l'élection US ne devrait pas poser de problèmes de conscience à certaine sphère de l'administration américaine. Après tout c'est plus discret que de mettre une balle dans la tête, on est pas des sauvages non plus !... Dites donc, cela ferait un chouette sujet de roman... Au fait, petite parenthèse, mon roman " Vengeances Multiples " est fini. Je vérifie encore pendant une quinzaine de jours les 500 pages qui composent cet opus et bientôt vous aurez comme d'habitude quelques extraits dans la rubrique littéraire. Nous aurons l'occasion d'en reparler. Je referme la parenthèse.
  22. castle68

    [Chine] J-20

    ce sera certainement la version pour les mollah iraniens il sera raccord avec leurs fameux jet furtif
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