TarpTent

Probablement que la notion de near-space n’est effectivement pas assez précise, puisqu’elle s'étend de 20 kms à 100 kms au-dessus du niveau de la mer (soit entre 65 000 pieds et 325 000 pieds). Pour le Rafale MLA, je ne trouve pas l’info d’à quelle altitude ils envisageaient le largage de la charge.

C’est une erreur courante, mais si les poules et autres dindes font bien partie de l’ordre des galliformes (qu’on appelle communément gallinacés), les canards font majoritairement partie de l’ordre des ansériformes (avec les oies et les cygnes), la famille la plus courante en étant les anatidés. Bref, autant continuer à le traiter amicalement de « palmipède », il n’y aura là aucun contresens possible. Etant donné que tu n’es pas complèment tordu, tu n’aurais pas tort de mettre un « t » plutôt qu’un « d » dans ce cas. Donc un Rafale avec 8T5 de poussée et une soute amovible furtive et des réservoirs conformes, et voilà notre nouveau scaf. Pourquoi s’embêter à se prendre 15 ans d’études pour si peu, franchement (et je ne dis pas ça pour toi, Pic). Plus sérieusement, j’ai un peu de mal à concilier furtivité avec « near-space », par exemple. Non pas que le near-space soit aujourd’hui cité comme un futur attribut du Scaf - malgré un fort appel du pied de Trappier il y a quelques temps de cela, maintenant - , mais j’ai quand même le sentiment qu’à 25 ans d’ici avec la militarisation de l’espace et les engins hyper-véloce, il y aura besoin de monter plus haut qu’actuellement. Ne serait-ce qu’un avion « porteur » transportant un missile capable de détruire un satellite, solution qui s’intercalerait entre le satellite pré-positionné et par exemple armé d’un laser et le missile sol-espace, finira probablement par être envisagé. (Je ne présume cependant pas que la solution soit tactiquement pertinente au final, mais elle me semble dans la continuité des études du Rafale MLA airborne microlauncher)

C’est bien d’essayer de détourner le truc, comme si j’avais quelque jalousie à avoir du fait que tu sois à la retraite, ou quelque chose à redire à cela. Aucun de mes propos laisse penser cela, donc évite de tirer des conclusions erronées basées sur tes propres a priori. Comme pour les articles que tu ne lis pas, quoi.

Certes, mais il ne les a pas corrigé, voire il les a même amplifié. On est d’accord que le Board a spécifiquement chois son profil sur ces critères, donc il « n’est que » la tête de gondole d’une stratégie du groupe, et notamment de ses actionnaires.

Donc, « Techniquement c'est juste un article qui brasse du vent. », dont tu n’as lu que le premier paragraphe. Etant donné que c’est tous les jours dimanche pour toi, n’hésite pas à aller marcher dehors plutôt que de commenter des articles que tu ne lis pas. (Retour dans la vraie vie). Je ne dis pas que l’article est fabuleusement intéressant, mais il y a une vraie malhonnêteté intellectuelle à poster des avis aussi tranchés sans même avoir lu quoi que ce soit. Comme les critiques littéraires de bouquins qu’ils ne lisent pas.

Et donc, tu m’expliques le lien avec « USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques » ? le vrai, je veux dire, pas un truc tiré par les cheveux juste pour la blague. Trouve toi un autre fil pour continuer cette discussion.

Avant que ça parte dans tous les sens, on peut continuer cette discussion déjà commencée sur le fil :

C’est sans aucun doute vrai, mais quand même : le F-35 A est en service depuis 2015 et a déjà été produit à plus de 195 exemplaires. Que le Japon n’en soit qu’à son treizième de produit ne change pas le fait qu’avec l'expérience déjà accumulée par ailleurs, il ne devrait pas y avoir autant de soucis. En 10 mois, 7 atterrissages d’urgence pour 5 appareils sur les 13 produits, c’est peut-être le cas de tout avion de combat récent... si tu le dis... mais ça sent quand même bien la cata, malgré tout, chez Mitsubishi Heavy Industries (d’autant plus que cette proportion d’incidents ne se retrouve a priori pas dans les autres F-35 A produits par ailleurs). Relativiser, c’est bien, mais dans ce cas il y a très probablement matière à creuser.

Je vais revenir sur un de mes précédents posts avec cette conclusion de cet article : « Il n’y pas que le Japon et les Etats-Unis qui sont intéressés à la récupération de l’épave du F-35, la Russie et la Chine sont entrés dans la course. Les deux pays sont en effet, friands de pouvoir éventuellement mettre la main sur les technologies qui composent le F-35A. » L’affirmation est quand même très catégorique : on a d.autres sources de cette « entrée dans la course » ? Et si c’est vraiment le cas, il n’y a plus le problème avec la délimitation territoriale des eaux ?

Qu’est-ce que 2 pages de commentaires sur la Cathédrale viennent f****tre sur ce fil ?!! Je sais bien qu’il y a toujours moyen de relier n’importe quoi avec n’importe quoi d’autre et dans n’importe quel sens tout ça pour justifier encore plus de n’importe quoi, mais quand même, apprenez à vous modérer et à vous discipliner : créez un fil dédié, ce n’est quand même pas si compliqué, encore moins pour tous les anciens !

A priori, ils n’avaient pas prévu de réutiliser cet étage, dans tous les cas. Par contre, il est certain que les analyses qu’ils souhaitaient mener et les enseignements à en tirer, ça va être nettement plus compliqué.

@Teenytoon @Patrick : ouais mais comme on est pas passé à 8T3 de poussée, tout le reste, ça compte pas ! => je connais la sortie...

Il y a probablement 2 niveaux d’analyse avec RUAG : d’abord, ils ne se limitent pas à fabriquer les bidons de l’avion mais ont également entre autres une grosse activité de maintenance des Falcon (à Genève et à Lugano) ainsi que des bureaux d’études qui nous ont directement intéressé avec le nEUROn* . Ensuite, la Suisse n’a pas à craindre factuellement une quelconque perte d’activité en cas de sélection d’un autre appareil que le Rafale, puisque TAG Aviation racheté récemment est aussi une entreprise suisse. 2 vrais questions se posent cependant, et la seconde viendra directement selon moi de la sélection ou non du Rafale : > Dans le cadre de la consolidation en cours par Dassault des services de MRO, est-ce que RUAG ne devient pas dès lors un concurrent direct ? Ils ne perdront de toutes façons par leur agrément de maintenance mais verront désormais en face d’eux le constructeur lui-même sur ce même marché. RUAG pourrait donc pâtir de la concurrence... mais c’est une grosse entreprise que ne vit pas que de la MRO, loin de là. > De même que pour la Sabca, dont la vente s’inscrit dans un contexte bien plus large - et le maintien dans celui d’une opportunité, si le Rafale avait été retenu par la Belgique - , il sera effectivement intéressant de connaître les plans à plus long terme de Dassault pour le Rafale. Par exemple, la mise en place en Inde avec Reliance d’un centre qui va forcément monter en compétence pourrait tout à fait à terme produire également ce genre de pièce pour le Rafale, des bidons, même si le développement actuel est centré sur le Falcon. Après, le regroupement et la consolidation n’ont lieu que si cela devient rentable au niveau de qualité attendu, et s’il n’y a pas d’autres intérêts par ailleurs. Autrement dit, tant que l’Inde ne fait pas aussi bien que RUAG, aucune raison d’anticiper un quelconque changement, ce qui laisse sans doute 8 à 10 ans devant soi. Et si la Suisse sélectionne le Rafale, aucun intérêt politique à déplacer cette partie de l’activité en Inde à court terme non plus. Donc pour moi, sélection ou non, si modification il doit y avoir dans l’implication de RUAG dans le Rafale, ce n’est pas avant quelques années. (Si quelqu’un sait me dire quelle est la durée du contrat initial signé entre Dassault et RUAG pour la fabrication desdits bidons, ça pourra aussi être intéressant, voire provoquer un changement plus tôt que je ne l’anticipe).** * dans le programme nEUROn, RUAG avait à sa charge les essais de soufflerie basse vitesse, ainsi que les interfaces entre la plate-forme et les armements. ** j’ai quand même un gros doute sur un plan plus stratégique : est ce que ça a du sens en cas de conflit de faire fabriquer des pièces importantes pour l’Armée Française à des dizaines de milliers de kilomètres de là, au risque d’avoir l’approvisionnement sérieusement dégradé, voire coupé ? Euh... ça n’est pas tout à fait la PME du coin, quand même. Je poste ça là, sait-on jamais : https://www.ruag.com/fr

Dassault est effectivement bien connue pour da propension à racheter des sociétés pour les « réorganiser », les cannibaliser, puis les revendre en pièces détachées... Je sais bien que l’on vit dans un monde économique où certains et en tout cas beaucoup trop d’acteurs sont sans foi ni loi, mais Dassault ne fait a priori pas partie de ceux qui méritent ce genre de procès d’intention. La Sabca est actuellement bénéficiaire et solide, elle n’est pas dépouillée et lâchée en rase campagne, Relisez mon post précédent si vous n’avez pas compris pourquoi ils ont racheté les parts avant de mettre la société en vente.

Dassault a racheté les parts de Fokker (43,57%) en mars pour 7,17 € par action pour une Sabca actuellement cotée en bourse aux alentours de 23€. Et puis c’était aussi certainement la seule solution pour Dassault, qui a maintenant plus de 96% des parts, d’avoir les coudées franches pour organiser la revente en question. La Sabca majoritairement travaille pour Lockheed et Airbus, même si elle continuera à participer au programme Falcon 6x. Elle dispose également d’une implantation best cost au Maroc. Et puis Dassault a récemment acquis en début d’année Les activités mondiales de maintenance d’ExecuJet ... Trappier déclarait d’ailleurs : « " L'acquisition des activités MRO (Maintenance, Repair & Overhaul) d'ExecuJet permettra à Dassault Aviation de renforcer son réseau mondial, en particulier en Asie-Pacifique, en Océanie, au Moyen-Orient et en Afrique " […] " Avec ExecuJet, nous avons l'intention de continuer à développer un réseau d'excellence, tout en accroissant notre part de marché dans la maintenance Falcon " » https://www.journal-aviation.com/actualites/41743-dassault-aviation-s-offre-execujet ... ainsi que les activités de maintenance de TAG Aviation pour l’Europe, là aussi un acteur majeur du secteur MRO. Trappier a d’ailleurs déclaré à ce sujet que cela « permettra à Dassault Aviation de renforcer son réseau de stations-service en Europe ». Bref, avec une montée en gamme très claire avec acquisition de réseaux déjà en place au positionnement au plus près de ses clients, il est bien plus simple de revendre Sabca pour faire un apport d’argent plutôt que d’essayer de l’intégrer à ces réseaux, d’autant que le marché Falcon s’est clairement déplacé vers l’Asie. Et tout ça va de pair avec le concept de « Falcon Response ». S’il est pour moi évident que la Sabca rentrait dans les plans de Dassault si la Belgique choisissait le Rafale, il est tout aussi évident que cette vente de la Sabca par Dassault a été prévue de longue date* et entre dans une démarche bien plus globale qui consiste à fortement positionner Dassault sur le marché de la maintenance haut de gamme, notamment pour ses Falcons (ou comment se créer un volant d’activité récurrent quand le marché de l’acquisition pique du nez. L’idéal sur les 30 prochaines années pour absorber les à-coup du marché, et rentable puisqu’il s’agit de prestations haut-de-gamme où Dassault tient à être le principal maître d’oeuvre de la maintenance de ces appareils ), mais également pour d’autres appareils comme Bombardier avec ExecuJet. *et pour rappel, Dassault a, il y a bien longtemps déjà... , décidé de ne pas participer à l’appel d’offres belge...

@FATac : ah mais je n’ai jamais dit que c'était une course amicale @Patrick : d’accord avec toi sur ce coup. C’est bien trop proche des côtes japonaises pour qu’ils s’y amusent (même après coup pour ramasser quelques morceaux de revêtements qui auraient pu être oubliés sur place). Gageons que les USA vont proposer / fournir leur aide, sinon pour la récupération, du moins pour la surveillance de la zone si le Japon le souhaite. Après tout, c’est dans l’intérêt des 2 parties.

C’est ce soir à 21h que la première sonde privée Beresheet de la société israélienne SpaceIL, doit se poser sur la Lune ! Live à partir de 21h, sur le lien youtube posté ci-dessous : La vidéo de la cinématique d’alunissage : https://www.futura-sciences.com/sciences/breves/spaceil-spaceil-alunissage-sonde-bereshit-vivre-direct-ce-soir-570/ Le Gorafi assure pourtant qu’on vient déjà d’y détecter une pollution aux micro-plastiques ! Bon en même temps, c’est quand même la déchèterie idéale... (et si si, un jour l’homme y pensera sérieusement, s’il n’est pas mort sous les tas de déchets avant. Ça va viendre). http://www.legorafi.fr/2019/04/11/pollution-des-micro-plastiques-deja-detectes-a-linterieur-du-trou-noir-mr87/

Je ne peux pas m’empêcher de me demander combien de sous-marins sont en train de faire route sur les lieux du crash, et de quelles nationalités... « The remaining wreckage of the $126 million fighter lies at a depth of around 1,500 meters (4922 ft), including the flight data recorder which would shed light on what happened off the coast of northern Japan on Wednesday evening. ». Rien que les chinois, avec leur spécialité d’étude des grands-fonds sous-marins, pourraient être intéressés à gagner cette course. Sur les circonstances, il y a vraiment très peu d’informations : « Radar operators tracking the jet received a training abort message from the lost aircraft before it disappeared about 135 km (84 miles) east of the base. There was no communication from the pilot indicating a problem with the aircraft. » Il entendent quoi par là ?

Voilà les 18 technologies innovantes dans lesquelles la Nasa a décidé d’investir significativement, dans le cadre de sa démarche NIAC - pour Nasa Innovative Advanced Concepts - . Je les écris en anglais pour que vous ayez l’exact intitulé des programmes. Dans le lien, vous pouvez cliquer sur chacune d’elles pour plus de détails. > The new Phase I selections are: « - Bioinspired Ray for Extreme Environments and Zonal Exploration (BREEZE): Combines inflatable structures with bio-inspired kinematics to explore and study the atmosphere of Venus - Power Beaming for Long Life Venus Surface Missions: New approach to support a Venus surface mission with power beaming - SmartSuit: An intelligent spacesuit design with soft-robotics, self-healing skin and data collection for extravehicular activity in extreme environments that allows for greater mobility for exploration missions - Dual Use Exoplanet Telescope (DUET): A novel telescope design to find and characterize planetary systems outside the solar system - Micro-Probes Propelled and Powered by Planetary Atmospheric Electricity (MP4AE): Similar to the ballooning capabilities of spiders, these floating microprobes use electrostatic lift to study planetary atmospheres - Swarm-Probe Enabled ATEG Reactor (SPEAR) Probe: An ultra-lightweight nuclear electric propulsion probe for deep space exploration, designed to keep mass and volume low for commercial launch - Ripcord Innovative Power System (RIPS): An investigation of a drag using ripcord unspooling power system for descent probes into planets with atmospheres, such as Saturn - Power for Interstellar Fly-by: Power harvesting from ultra-miniature probes to enable interstellar missions - Lunar-polar Propellant Mining Outpost (LPMO): Affordable lunar pole ice mining for propellant production - Crosscutting High Apogee Refueling Orbital Navigator (CHARON): Novel system for small space debris mitigation - Thermal Mining of Ices on Cold Solar System Bodies: Proposes using a unique heat application on frozen volatiles and other materials for resource extraction - Low-Cost SmallSats to Explore to Our Solar System's Boundaries: A design for a low-cost, small satellite heliophysics mission to the outer solar system > Phase II studies allow researchers to further develop concepts, refine designs and start considering how the new technology would be implemented. This year’s Phase II selections address a range of cutting-edge concepts from flexible telescopes to new heat-withstanding materials. Awards under Phase II can be worth as much as $500,000 for two-year studies. > The 2019 Phase II selections are: - The High Étendue Multiple Object Spectrographic Telescope (THE MOST): A new, flexible optical telescope design that can be a deployed in a cylindrical roll and installed upon delivery, on a 3D printed structure - Rotary-Motion-Extended Array Synthesis (R-MXAS): A geostationary synthetic aperture imaging radiometer with a rotating tethered antenna - Self-Guided Beamed Propulsion for Breakthrough Interstellar Missions: An effort to advance self-guided beamed propulsion technology - Astrophysics and Technical Lab Studies of a Solar Neutrino Spacecraft Detector: A small-scale neutrino detector study to advance detector technology for future probe missions - Diffractive LightSails: A study to design and advance passive and electro-optically active diffractive films for missions in low-Earth orbit, inner solar orbits and to distant stars - Solar Surfing: A materials-science study to determine the best protective materials to enable heliophysics missions closer to the Sun “Le programme NIAC, a pour objectif d’aller au bout de la science-fiction, mais pas au-delà” – Jason Derleth, responsable du NIAC https://www.nasa.gov/press-release/nasa-invests-in-18-potentially-revolutionary-space-tech-concepts Personnellement, ça me plait bien que les voiles solaires ne soient pas abandonnées.

De toutes façons, c’était couru d’avance : May et Merkel avaient la même couleur de vêtements hier (et elles se bidonnaient ensemble) :

La version la plus soft de le dire : Vivement la saison 7, qui va commencer là maintenant tout de suite.

Entre nous, que Macron se plante sur ce sujet ne me semble pas plus mal. D’abord parce que son projet sur l’Europe n’est pas celui que j’appelle de tous mes voeux. Ensuite parce que quel que soit son avis, le poids de l’Allemagne dans la décision est tel qu’il n’aura jamais le dernier mot, et la politique intérieure allemande va créer encore d’autres humiliations pour notre Président qui se rêve celui d’une Europe fédérale (notez au passage que Sarkozy avait le même rêve...) Bref, dans tous les cas, les 2 prochaines années étaient déjà des années à prendre des baffes et des fins de non-recevoir. Alors autant commencer maintenant, ça évitera peut-être de pousser le bouchon trop loin. Et puis notre système bancaire étant des plus branlants, je préfère une sortie en douceur avec beaucoup de cadeaux faits au RU plutôt qu’une bonne petite crise qui servira encore de prétexte à un nouveau tour de vis et des mesures d’austérité à tout crin, juste pour accélérer la casse exigée par Bruxelles.

Non non, ils ont juste beaucoup de culot et ont bien compris que ce n’est toujours qu’une histoire de gros sous. L’ego, la fierté, tout ça, ça passe bien en second, l’UE ne veut vraiment pas d’un hard brexit. Bref, l’idée va faire son chemin, et elle aurait même des chances d’aboutir (il n’y a qu’à voir qui y est favorable au sein de l’UE). Business as usual.

Le sens de la formule. Les circonstances sont tristes, mais elle est plutôt bien trouvée. Spécialisé Méthode Agile, lui aussi ?

Ce qui est bien avec vous, c’est que le discours ne change jamais. Inde, Qatar, Malaisie, Boutchistan, même combat. Et comme Dassault ne change pas non plus sa communication depuis tout ce temps - et qui ne date vraiment pas d’hier - il faut croire que vous n’avez toujours pas compris. Bref, si au lieu de vous exciter en permanence sur tout ce sur quoi vous n’avez aucun contrôle, vous laissiez simplement ici Dassault faire comme il l’entend ? Parce que si pour vous 1 photo et 3 tweets sont de nature à changer le résultat d’un achat d’avions de combats, alors il faut croire que la politique, les budgets, l’influence des États alliés ou ennemis, les performances des systèmes et quelques autres menus détails ne valent même pas la peine d’être abordés, tellement ils sont négligeables au regard des réseaux sociaux. Pour le dire différemment : prenez du recul. Vraiment. Ça vous fatigue, déjà, puis le gras et les points d’exclamation partout, ça finit par être usant à lire. Et si vraiment vous voulez en faire votre combat et pourfendre des moulins à vent, ne le faites pas sur AD. Rencontrez Trappier, jouez les sauveurs sur tweeter et partout ailleurs, mais modérez-vous ici, s’il-vous-plaît. Pour ma part, toutes ces infos vont dans « crailleries et bullshit », parce que ce ne sont pas des informations. La seule vraie information à attendre patiemment, c’est le résultat des élections indiennes. Prenez une tisane, un bon bouquin ou des vacances et revenez le 23 mai, ce qui va se passer entre-temps sera bien trop violent pour vous.