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  1. On connait le penchant germanophile de l'État Major helvétique révélé lors de l'Affaire des Colonels (en 1917) mais imaginons que la confédération décide de se joindre aux efforts de Berlin, selon-vous quelles auraient les conséquences militaires et géopolitiques?
  2. Livraison de 15 mortiers automoteurs M125A2 israéliens avec des mortiers Cardom de 120 mm à l'armée de terre des Philippines : https://www.pna.gov.ph/articles/1165056 Le contrat à été signé en 2017 : https://www.israeldefense.co.il/en/node/30544
  3. https://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/les-philippines-vont-rouvrir-les-frontieres-aux-touristes-vaccines_2166980.html Cette mesure est destinée à apporter une bouffée d'oxygène au secteur du tourisme des Philippines, dévasté par près de deux ans de fermeture des frontières et une restriction de déplacements à l'intérieur du pays afin de lutter contre la pandémie de Covid-19. Les étrangers non vaccinés seront quant à eux interdits d'entrée sur le territoire à partir du 16 février, a précisé le porte-parole de la présidence, Karlo Nograles, lors d'un point de presse. La situation déjà précaire de l'industrie touristique a été aggravée par le passage en décembre d'un typhon qui a ravagé certains régions très pauvres, détruisant des restaurants, bars et établissements de certaines destinations prisées. https://lecourrier.vn/leconomie-des-philippines-rebondit-en-2021/947231.html Le Produit intérieur brut (PIB) de ce pays a augmenté de 5,6%, selon les chiffres de l'agence en charge des statistiques, après une chute de 9,6% en 2020, du jamais vu depuis la Seconde Guerre mondiale. Cette performance est bien supérieure à celle attendue par les analystes interrogés par Bloomberg qui tablaient sur une croissance de 5,1%. Elle est due à une reprise des dépenses de consommation et du secteur de la construction au second semestre après un assouplissement des restrictions et une diminution des contaminations. "La porte de notre reprise économique est désormais entièrement ouverte", a déclaré Karl Chua, secrétaire à la Planification socio-économique, lors d'un point presse. Il est optimiste quant au fait que son pays va non seulement retrouver le niveau pré-pandémie en 2022, mais aussi atteindre le statut de pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure. Un changement de la politique gouvernementale destinée à lutter contre le COVID-19, avec notamment des restrictions plus ciblées et un taux de vaccination en hausse, a permis de stimuler l'activité économique, a-t-il affirmé. https://madame.lefigaro.fr/evasion/philippines-le-royaume-sans-pitie-des-concours-de-beaute-miss-110122-210221 Dans ce pays, les concours de beauté déchaînent les passions. Chaque île, chaque municipalité, chaque quartier possède son concours. Les gagnantes y changent de vie, échappent à la pauvreté, jouent un rôle quasi-politique. Mais tout est-il vraiment si beau pour ces si belles ? https://www.latribune.fr/economie/international/philippines-le-president-menace-d-arreter-les-non-vaccinees-contre-le-covid-19-899737.html Dans une allocution télévisée, le président philippin Rodrigo Duterte a déclaré jeudi que les personnes non vaccinées contre le Covid-19 seraient arrêtées si elles contreviennent aux règles d'isolement, alors que les infections atteignent un niveau record. https://thediplomat.com/2022/01/can-the-philippines-brahmos-missiles-really-deter-china/
  4. Dans la même veine , mais avec le YF-23: https://www.thedrive.com/the-war-zone/24911/this-is-what-a-northrop-f-23a-wouldve-looked-like-if-lockheed-lost-the-atf-competition
  5. Possible, quoique à ce point ça poserait la question de savoir à quel famille appartient le virus et son affinité à s'adapter aux cellules de l'hôte qu'il infecte. (en principe un virus qui transformerait ces hôtes en zombie verrait logiquement sa capacité à modifier le comportement de l'hôte renforcée au fil du temps, vu que c'est par là qu'il se répandrait le plus).
  6. Pas aussi cons que ceux de The Walking Dead, ils conservent une forme de mémoire et sont capable d'attirer à eux leurs congénères. Ils doivent se reposer et sont sensibles aux conditions climatiques extrêmes. Ils ont besoin d'apports caloriques. Décapitation et élimination directe.
  7. https://www.lemonde.fr/culture/article/2022/01/06/francisco-sionil-jose-grande-voix-des-philippines-est-mort_6108475_3246.html L’écrivain philippin Francisco Sionil Jose est mort jeudi, à l’âge de 97 ans, dans un hôpital de Manille, juste avant de subir une opération, a indiqué la branche philippine du PEN Club International sur sa page Facebook. Né à Rosales, petite ville de la province de Pangasinan, le 3 décembre 1924, lauréat du prix Pablo Neruda (2004) et chevalier des Arts et Lettres, (2000), il fut l’auteur philippin le plus lu de sa génération. Ecrivant en anglais, il a été traduit en vingt-huit langues dont le français. Homme tout en rondeurs, chaleureux, à l’ironie mordante et aux éclats de rires sonores, il traversa le siècle écoulé en épousant les espoirs et les désenchantements de son pays : de la résistance à l’occupation japonaise avec la guérilla des Huks (abrégé de Hukbalahap, Armée populaire contre les Japonais formée en mars 1942 par des paysans du centre de l’île de Luçon), à la dictature de Ferdinand Marcos (1972-1986). Puis, ce furent les volées d’espoir du people power revolution qui porta au pouvoir Cory Aquino en 1986 et les amères déceptions qui suivirent. Toute l’œuvre de Francisco Sionil Jose est consacrée à la reconquête de l’identité d’un peuple colonisé par les Espagnols puis par les Américains et, pour finir, trahi par son élite. Un peuple dont la force – et la faiblesse – est d’avoir toujours su rire de lui-même… mais qui est « habité aussi par une endurance chevillée au corps, une grande générosité et un indéfectible donquichottisme » précisait-il. Son enfance avait été difficile. Sa famille, de l’ethnie des Ilocanos, (nord de Luçon), dépouillée de ses terres par des grands propriétaires, migra dans différentes régions de la principale île de l’archipel philippin. Cette adolescence ballottée lui fit découvrir ce qu’étaient la misère et les injustices. Dévorant les écrits de José Rizal, romancier et poète, militant pour l’indépendance du joug espagnol, fusillé en 1896 à l’âge de 35 ans, le jeune Francisco se passionna aussi pour Faulkner et Steinbeck. Après l’université, il commença une carrière de journaliste à Manille et fonda une petite maison d’édition. Romancier, journaliste, homme engagé… Francisco Sionil Jose fut une figure incontournable pour tous ceux qui, artistes, écrivains ou journalistes s’intéressèrent aux Philippines au cours du demi-siècle écoulé. Frankie, comme l’appelaient ses amis, était intarissable sur l’histoire et la culture de son pays. Il recevait dans un minuscule bureau perché en haut d’un escalier en colimaçon au-dessus de la petite librairie, Solidaridad, qu’il avait ouverte en 1965, dans le quartier d’Ermita, au cœur du vieux Manille. Au cours de la dictature des Marcos, Solidaridad était devenue le point de rendez-vous des intellectuels et des politiciens qui y échangeaient des idées autour de la table ronde au premier étage. Tout naturellement, la librairie fut le premier siège du PEN Club philippin, association de défense des auteurs menacés du fait de leurs idées et écrits. Son œuvre majeure, la saga Rosales en cinq tomes (Po-on, A l’ombre de Balete ; Mon frère mon bourreau ; les Prétendants ; Jose Samson, éditions Fayard), est une fresque historico-romanesque qui s’étend sur un siècle : de la lutte contre les colonisateurs espagnols à la fin du XIXe à la proclamation de la loi martiale par Ferdinand Marcos en 1972. A travers l’histoire de sa petite ville natale, Francisco Sionil Jose brosse le tableau d’un pays marqué par les drames de la colonisation, puis de la décolonisation, et resté profondément divisé, ethniquement et socialement. « Les Philippines sont un pays éclaté en une poussière d’îles et fracturé en une trentaine d’ethnies. Seule la mer nous unit » disait-il. « Nous sommes situés en Asie sans y appartenir. Ses grandes religions asiatiques sont absentes : nous sommes catholiques et, pour une minorité, musulmans. Notre passé n’est pas le nôtre : c’est celui des colonisateurs. Les Américains ne furent pas de “mauvais maîtres” mais leur joug puis leur tutelle a perpétué l’ordre colonial et privé l’élite de tout sens des responsabilités ». Dans un court roman, Sin (1994), qui suscita des controverses, il dresse le portrait amer d’une société partagée entre une élite descendant des mestizos de l’époque coloniale espagnole, catholique, arrogante et méprisante, et les indios à la peau basanée. Dans un autre, Ermita (1989), il fait de la révolution la métaphore du sursaut de dignité nationale qui n’est jamais venu et de la soumission aux dominants une forme de prostitution. « Ce roman reflète la décadence sociale et morale de mon pays. Comment avons-nous pu nous prostituer à ce point ? », disait-il. « La pauvreté, le poids des coteries, et, plus que tout sans doute, l’absence chez nos dirigeants du sens de la nation. Résultat : dans les années 1960 nous marchions la tête haute, les Philippines étaient le pays le plus envié d’Asie. Aujourd’hui, regardez ce que nous sommes devenus : notre image est celle d’un pays dont les femmes sont domestiques à l’étranger ou prostituées, un pays de corruption et de violence ». Le radicalisme de Francisco Sionil Jose relevait moins d’un engagement politique marxisant que de la rage que suscitaient en lui l’humiliation et les injustices dont sont victimes les Philippins. « Nous avons été colonisés trop longtemps (quatre siècles par les Espagnols) puis trop dépendants des Américains et trop fascinés par l’american way of life pour apprécier notre propre culture. J’écris dans une langue qui n’est pas la mienne, l’anglais, car c’est la seule manière d’être lu. Déjà, il y a plus d’un siècle José Rizal écrivait en espagnol ». Au soir de sa vie, il reconnaissait « avoir cru en beaucoup de causes perdues » mais « sans regret car j’ai toujours pensé qu’elles sont justes ». Les désillusions se sont accumulées : de Cory Aquino (élue présidente en 1986) à Rodrigo Duterte (2016), auquel pendant quelques mois il avait voulu croire : « au moins, il n’appartenait pas à l’élite » disait-il avant de le condamner sans détour. Rebelle, Francisco Sionil Jose le fut jusqu’à la fin. Contrairement à beaucoup de ses héros, il ne transigea jamais sur les valeurs qu’il défendait, pas plus qu’il ne sombra dans un détachement désespéré. Il restera une grande voix philippine qui porta au-delà des mers. Philippe Pons(Tokyo, correspondant)
  8. Oh....(coupe son ordinateur, ranges sa chaise et éteint la lumière...avant de disparaitre de ce monde). Oui et non, par exemple le point de vue coréen était en soi plus original
  9. Celse contre les chrétiens, la réaction paienne sous l'empire romain de Louis Rougier (éditions Copernic): Un remarquable ouvrage, assez vieux, décrivant l'opposition intellectuelle au développement du christianisme à Rome sans tomber dans les stéréotypes classiques. Le livre montre ainsi très bien la partie immergée de l'Iceberg que fût l'opposition au christianisme (et où à tendance à ne voir que les persécutions), une opposition qui pratiquait le dialogue et le débat.
  10. Arrêter le massacre! Dans d'autres nouvelles; il y aurait bien un remake made in USA de l'excellent Last Train to Busan et il s'appellera: Dernier Train pour New York. (là c'est de la flemme) https://www.journaldugeek.com/2021/11/18/le-remake-de-dernier-train-pour-busan-a-un-titre-et-il-nest-pas-tres-inspire/
  11. https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/29/aux-philippines-levee-d-un-moratoire-sur-les-mines-a-ciel-ouvert_6107575_3244.html La mesure avait été imposée en 2017 par le gouvernement précédent, qui accusait le secteur minier de provoquer de graves dommages à l’environnement. Le gouvernement des Philippines a aboli un moratoire sur les nouvelles mines à ciel ouvert imposé il y a quatre ans, dans l’espoir de revitaliser l’économie du pays sinistrée par la pandémie de Covid-19, a annoncé mercredi 29 décembre un haut responsable. Cette décision a été critiquée par des défenseurs de l’environnement, qui l’ont jugée « à courte vue ». Le moratoire avait été imposé en 2017 par le gouvernement précédent, qui accusait le secteur minier de provoquer de graves dommages à l’environnement. Manille a depuis changé de politique et encourage les investissements miniers pour tenter de redynamiser l’économie nationale. En avril, le président philippin, Rodrigo Duterte, a ainsi levé un moratoire de neuf ans sur les nouveaux contrats miniers imposé par son prédécesseur. L’industrie minière est « un contributeur potentiel au rétablissement de l’économie », a déclaré à l’Agence France-Presse mercredi le directeur du bureau des mines et des sciences géologiques (MGB), Wilfredo Moncano, indiquant que la levée du moratoire avait été signée par le ministre de l’environnement, Roy Cimatu. Les mines « nous aideront à rembourser nos prêts pour combattre la pandémie », a-t-il affirmé. Jusqu’à 1,6 milliard de dollars Selon M. Moncano, neuf nouveaux projets de mines à ciel ouvert sont à l’étude, et pourraient rapporter au gouvernement jusqu’à 1,6 milliard de dollars (1,41 milliard d’euros) par an lorsque leur exploitation commerciale commencera. Les Philippines sont un des plus gros producteurs mondiaux de nickel, et le sous-sol du pays est également riche en or et en cuivre, mais le gouvernement estime que 95 % des réserves sont inexploitées. Selon les chiffres officiels, le secteur minier a représenté l’an passé moins de 1 % de l’économie nationale. La chambre minière des Philippines a salué la décision du gouvernement, estimant qu’elle « permettra à l’industrie de contribuer davantage à notre reprise économique ». A l’inverse, l’Alliance pour la fin des mines, une organisation de défense de l’environnement, a estimé que la levée du moratoire constituait « une priorité de développement à courte vue et déplacée ». « Une fois encore, le régime Duterte renforce son programme économique erroné qui qualifie les mines destructrices d’industrie essentielle pour se rétablir de la pandémie », a-t-elle déploré dans un communiqué. https://www.lemonde.fr/international/article/2021/12/25/philippines-noel-precaire-pour-les-survivants-du-typhon-rai_6107284_3210.html Plus d’une semaine après le passage du typhon qui a fait près de 400 morts et des centaines de milliers de sans-abri, les survivants s’accrochent à leur famille et à leur foi après que leurs maisons ont été balayées et les festivités prévues, annulées. Après le passage du typhon Rai, qui a ravagé l’archipel le 16 décembre, des centaines de milliers de personnes aux Philippines ont passé le réveillon de Noël dans des conditions plus que précaires : sans toit, sans nourriture, ni eau potable, sans électricité et sans réseau téléphonique ou Internet. Les îles de Mindanao, Siargao, Dinagat et Bohol comptent parmi les plus dévastées par cette tempête qui a fait près de 400 morts et des centaines de milliers de sans-abri. Aux Philippines, pays à majorité catholique, les familles se réunissent généralement pour partager un repas pour Noël. Mais les destructions étendues causées par Rai ont limité les célébrations. Debout dans une flaque d’eau, dans son église San Isidro Labrador dans la ville d’Alegria, à l’extrémité nord de l’île de Mindanao, ravagée par le typhon, le père Ricardo Virtudazo a célébré la messe devant quelques dizaines de fidèles qui, cette année pour Noël, souhaiteraient recevoir un toit, de la nourriture et du beau temps. « L’important, c’est que nous soyons tous en sécurité », déclare Joy Parera, venue assister à la messe de Noël avec son mari à l’église San Isidro Labrador. Une pluie fine a détrempé les bancs et le carrelage blanc de l’église endommagée, dont le plafond est percé d’un trou béant depuis le passage du typhon. Les fidèles rassemblés à l’intérieur, portant des masques, ont prié pour une année meilleure. « Nous avons encore de l’espoir », assure le père Virtudazo à l’Agence France-Presse (AFP). « Malgré les calamités qu’ils subissent, [les Philippins] ont toujours foi en Dieu », dit-il. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Aux Philippines, la violence du typhon Rai Appel à l’aide internationale L’ampleur des dégâts, l’absence de signal téléphonique et de réseau Internet dans de nombreuses régions ainsi que l’épuisement des caisses de l’Etat dû à la pandémie ont entravé l’arrivée de l’aide. Arthur Yap, gouverneur de la province de Bohol, durement touchée – où plus de 100 personnes ont péri dans le typhon et où environ 150 000 maisons ont été endommagées ou détruites –, a demandé, samedi 25 décembre, aux agences d’aide étrangères d’aider à fournir des abris temporaires et des systèmes de filtration d’eau pour compléter l’aide du gouvernement philippin. Pour Noël cette année, tout ce que Nardel Vicente voudrait serait de l’aide pour acheter un nouveau toit pour sa maison d’Alegria, détruite par le typhon. Sans emploi et avec peu d’argent, M. Vicente reconnaît que sa famille ne peut pas se permettre un repas de fête. « Les années précédentes, nous avions des spaghettis, du porc, du poulet, tout ce que nous pouvions nous permettre », raconte cet homme de 38 ans. Mais, ajoute-t-il, « ce n’est pas grave, nous sommes en vie. » Marites Sotis sert habituellement de la viande, des rouleaux de printemps et de la salade à sa famille. Mais pas cette année. « Nous n’en aurons pas parce que ça coûte très cher », explique à l’AFP cette femme de 53 ans, qui vit dans la commune côtière de Placer où la tempête a abattu la plupart des cocotiers de la famille. « Nous nous contenterons de spaghettis », dit-elle. Certains survivants de la ville voisine de Surigao City se tiennent sur les routes depuis des jours, mendiant de l’argent et de la nourriture aux automobilistes de passage. Ils n’ont pas reçu la moindre aide du gouvernement. Inaga Edulzura, 41 ans, espère seulement obtenir un paquet de spaghettis pour cuisiner pour sa famille. Sinon, ils « se contenteront de tranches de pain ». « Notre seul souhait est qu’il y ait du beau temps le jour de Noël pour nous donner un peu de joie. Ça et de la nourriture. » https://www.pna.gov.ph/articles/1164486 (Pénurie de paracétamol aux Philippines) MANILLE - Le secrétaire du Département du commerce et de l'industrie (DTI), Ramon Lopez, a déclaré qu'il n'y avait pas de pénurie de paracétamol sur le marché local et que son approvisionnement était limité en raison de problèmes de livraison. « Il pourrait y avoir une offre temporairement limitée pour certaines marques. Mais cela est dû au calendrier des livraisons pour reconstituer les stocks dans les succursales de ces pharmacies », a déclaré Lopez aux journalistes dans un SMS mardi. Il a cité que des marques telles que Biogesic et Decolgen, qui appartiennent à la société pharmaceutique Unilab, "pourraient avoir des ruptures de stock temporaires" dans les pharmacies alors que le fabricant a interrompu les livraisons en décembre dernier. La livraison des fournitures de ces marques de paracétamol et d'analgésiques commencera cette semaine, a déclaré Lopez. Il a ajouté que d'autres marques de paracétamol ont un approvisionnement suffisant et qu'il existe également des produits génériques sur le marché. "Il existe d'autres marques de paracétamol sur le marché, il n'y a donc pas de pénurie", a déclaré le chef du DTI. Évitez les achats de panique Pour éviter les achats de panique, Lopez a déclaré que le DTI ordonnerait aux pharmacies de limiter l'achat de paracétamol. L'agence est encore en train de finaliser le plafond d'achat de paracétamol par client. Mis à part l'offre restreinte pour certaines marques, Lopez a déclaré qu'il ne devrait y avoir aucun problème avec les prix du paracétamol. Lopez a également enjoint aux consommateurs de signaler au DTI ceux qui profitent du problème d'approvisionnement temporaire de certaines marques de paracétamol. "(Nous avons exhorté) les consommateurs à déposer une plainte dès que possible et à donner des détails (sur) ces profiteurs et nous les facturerons", a-t-il déclaré. "Et notre conseil aux consommateurs, ils achètent dans des pharmacies réputées pour garantir un prix équitable selon le SRP (prix de détail suggéré)."
  12. Bonjour et bonne année 2022. J'ouvre un nouveau Thread après avoir fini (et apprécié) les deux livres d'Alexandre Lang: Pandémie et Aube Rouge. Dans cet univers, une terrifiante pandémie venu du Xinjiang transforme une grande partie de la population humaine en infectés cannibales et abrutis, une grande majorité de pays se sont effondrés à l'exception notable de la France qui s'est replié dans une poche entourant Bordeaux. Cette lecture m'a donnée un peu à penser, que pensez vous qu'il arriverait à la France si une pandémie de ce type se répandait? on va partir sur des paramètres standards: 1) Virus originaire d'un pays asiatique, avec lesquels les échanges commerciaux sont intenses. 2) La maladie provoque la dégradation totale et irréversible des facultés cognitives supérieures, elle se répand par les fluides et par le contact direct (plaies ouvertes, coupures, griffures).
  13. Un James Bond qui ne boit pas, ne fume pas et ne drague pas, n'a aucun intérêt pour moi. Désolé, fallait que ça sorte. On reprochera ce que l'on veut à Moonraker ou aux films avec Brosnan mais ils conservaient ce bon vieux côté de 007 (un poil outrancier et dans l'exagération), les nouveaux films ne veulent que se donner un aspect sérieux, pseudo-académique pleins de prétentions que la franchise n'a jamais eu. Franchement je n'attends plus rien de cette franchise.
  14. Ma lecture du moment: Les chasseurs noirs: la brigade Dirlewanger de Christian Ingrao (aux éditions Tempus) Le livre se veut une étude totale de l'une des unités les plus insolites et les plus meurtrières de la SS. À l'image des hommes qui la composent, la formation puis division de Grenadiers SS est une structure marginal, à la "périphérie" de la SS (cette dernière s'inquiétant même de ces exactions en Biélorussie): D'abord constitué exclusivement de braconniers, l'unité va évoluer pour incorporer des criminels de droits communs et même des "politiques" sortis des camps de concentration, tout ceci dans une sorte de traque géante aux partisans entre la Hongrie et la Biélorussie. Je recommande.
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