Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

g4lly

Administrateur
  • Compteur de contenus

    68 433
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    394

g4lly a gagné pour la dernière fois le 21 juin

g4lly a eu le contenu le plus aimé !

Réputation sur la communauté

30 978 Excellent

3 abonnés

À propos de g4lly

Profile Information

  • Gender
    Not Telling
  • Pays
    France

Visiteurs récents du profil

Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.

  1. Surtout parce qu'elle n'est pas sensé tomber chez eux ...
  2. D'un coté l'occident propose essentiellement une poursuite du conflit associé à un renforcement de l'aide militaire. C'est pas spécialement compatible avec la recherche d'un cessez le feu, ou d'un arrangement vers une solution de "paix". L'alternative est sensé être une "reddition" russe et un retour à la situation territoriale d'avant 2014, du moins c'est le discours. En gros c'est le méchant flic le rôle. Il n'est alors pas très étonnant que quand on se met à chercher parallèlement des solutions moins militaire, on se tourne vers d'autres interlocuteurs. Ils sont sensé jouer le rôle du gentil flic. Concernant la Chine, c'est un peu le seul interlocuteur qui pourrait faire sérieusement pression sur la Russie pour imposer quelques chose, tant ils se tiennent par la barbichette.
  3. A Gaza, le calvaire d’un jeune trisomique tué par un chien de l’armée israélienne Après avoir été attaqué par l’animal au domicile de sa famille, Muhammed Bhar, un handicapé mental de 24 ans, a été abandonné dans une pièce de la maison, où il est décédé de ses blessures. Les soldats ont empêché sa mère et ses frères de lui porter assistance. Muhammed Bhar aimait le calme, la musique et riait lorsqu’on lui caressait les cheveux. A 24 ans, il sortait peu de la maison familiale de Chadjaya, un faubourg oriental de la ville de Gaza, où sa mère, sa fratrie, ses neveux et ses nièces prenaient soin de lui. La famille avait choisi de demeurer dans la ville, durant les invasions successives qu’y a menées l’armée israélienne depuis novembre 2023. En partie parce que Muhammed était trisomique, qu’il se déplaçait avec difficulté et avait peur des foules. De nombreux Gazaouis ayant la charge d’un parent handicapé, âgé ou malade ont fait de même. Ils font partie des quelque 300 000 personnes qui sont restées dans la cité, largement détruite et coupée du monde, en dépit des ordres d’évacuation de l’armée. La famille Bhar, cependant, a dû fuir les bombardements à de multiples reprises et chercher refuge temporairement dans d’autres secteurs de la ville, comme Rimal et Touffah, emportant Muhammed à chaque fois un peu plus apeuré. A la fin juin, lorsque l’armée s’est déployée pour la seconde fois dans leur quartier de Chadjaya, dix-sept membres de la famille, dont Muhammed, se sont trouvés bloqués durant une semaine dans leur maison par les bombardements et les tirs, tout proches. Le 3 juillet, en début d’après-midi, les soldats ont fini par entrer chez eux, pour fouiller la maison. La procédure est standard : ils ont percé un mur à l’arrière du bâtiment et y ont fait rentrer un chien de combat, muni d’une caméra. Le chien a attaqué Muhammed. Il l’a mordu à l’épaule et au torse, l’a traîné dans tous les sens. « Pendant qu’il le mordait, Muhammed caressait le chien. Il lui disait doucement : “Va-t’en mon chéri, va-t’en.” C’étaient les mêmes mots qu’il utilisait quand il jouait avec ses neveux et ses nièces », raconte sa mère, Nabila, jointe par téléphone. Depuis le début de la guerre, l’armée interdit au Monde comme à toute la presse internationale d’accéder à Gaza. « Pas de nouvelles » des frères Muhammed est un garçon en surpoids, absolument sans défense. « Il avait un cœur tout blanc et pur. Il avait 24 ans, mais le cerveau d’un enfant. Je faisais tout pour lui, je lui donnais son bain, je le nourrissais. il dépendait de moi pour tout », raconte cette ancienne institutrice, âgée de 70 ans, d’une école maternelle de l’agence des Nations unies chargée des réfugiés palestiniens. Face aux soldats, elle a crié : « Laissez-le ! Il est malade, il est trisomique ! Mais ils ne m’ont pas écoutée. Ils ont laissé le chien le traîner dans la maison », se souvient-elle. L’épisode dure plusieurs minutes, jusqu’à quinze, selon Nabila Bhar.
  4. Alexandre Chatillon, directeur de l’ONG Super-Novae : « Objectivement, toute la bande de Gaza est détruite. Il faudra des dizaines d’années avant de pouvoir reloger les gens correctement » Ancien diplomate, Alexandre Chatillon dirige l’ONG Super-Novae. Bénéficiant de financements du ministère des affaires étrangères français, elle a ouvert un bureau à Gaza en 2023 pour accompagner des femmes vers l’emploi et le marché du travail. Depuis le 7 octobre 2023, elle porte assistance à ces femmes déplacées, organise un soutien psychologique, et sensibilise aux violences faites aux femmes dans les camps de réfugiés. Elle finance aussi des activités à destination des enfants. De retour dans la ville de Gaza, où il s’est rendu début juillet, il témoigne de l’agonie du territoire palestinien. Quelle est la situation dans la bande de Gaza alors que l’armée israélienne multiplie les incursions et force quotidiennement des milliers d’habitants à se déplacer ? Nous ne pouvons plus accéder à Rafah, dans le Sud. Le quartier où j’ai séjourné en mars a été ravagé. Tout le sud de la bande est un champ de ruines. J’ai pu accéder à Deir Al-Balah et dans la ville de Gaza. Les humanitaires sont concentrés dans une toute petite zone, à la merci des attaques israéliennes. Nous sommes censés bénéficier d’un mécanisme de « déconfliction ». Une plate-forme des Nations unies nous permet de localiser les maisons dans lesquelles nous logeons et de signaler nos déplacements qui sont envoyés aux autorités israéliennes pour validation. Elles sont censées nous appeler pour nous évacuer si elles interviennent dans la zone. Dans les faits, cela n’arrive jamais. Protéger les humanitaires n’est pas un enjeu pour l’armée israélienne. Les gens se déplacent depuis octobre [2023]. Souvent, ils se sont déjà déplacés une fois, deux fois, trois fois. Les camps de déplacés sont aujourd’hui organisés, et on sent que cela va être long. Au sud, la population est entièrement parquée dans la zone humanitaire qui fait 4 kilomètres de long sur 1 kilomètre de large. La pression démographique est colossale sur un tout petit territoire. Les réfugiés vivent toujours sous les tirs et témoignent d’un effondrement de la sécurité. Qu’en est-il ? Le premier élément d’insécurité permanent, ce sont les bombardements. La zone humanitaire était censée être une zone protégée, mais comme on l’a vu à Nousseirat, le 15 juillet, une frappe visant le supposé numéro 2 du Hamas a fait cent morts. Quand je suis dans la ville de Gaza et que je demande aux gens pourquoi ils ne descendent pas vers le sud, la réponse est toujours la même : pourquoi y aller et s’y faire quand même bombarder ? Ils préfèrent rester chez eux. Tous les gens qui sont dans le Sud rêvent eux d’une trêve pour remonter dans le Nord, où vivent encore 350 000 personnes. Mais pour l’instant, ceux qui tentent de passer se font tirer dessus par les Israéliens. Des gens ont été tués la veille de mon arrivée. Si beaucoup gardent espoir – et heureusement d’un point de vue psychologique –, objectivement, toute la bande de Gaza est détruite. Il faudra des dizaines d’années avant de pouvoir reloger les gens correctement. Ce sont des générations qui sont perdues.
  5. L’intérêt de la solution ukrainienne est que coté matériel est est simplissime. Des micros grand public connecté à des smartphones. Un réseau de donnée tout venant. Chaque point ne fait que signaler une signature, une amplitude, sa variation et un horodatage. Le traitement niveau serveur rapproche les divers relevé basique ... pour construire des pistes. C'est assez précis, parce que la distance d'écoute d'un micro vers un petit drones est pas grande, et que l'amplitude et sa variation donne une indication sur la proximité. Au final on doit avoir une piste à 1000m près - peut etre une centaine si le son est capté par plusieurs micro en zone dense ou engin tres bruyant - ... très largement suffisante pour alerter les guetteur, et la DSA sur le chemin de l'engin, qui finiront le job avec des optroniques ou des radars.
  6. Le taux de compression c'est aussi le taux d'expansion, c'est plus facile à comprendre comme ca. Si le taux de compression augmente, le taux d'expansion aussi. Dans un fusil ça reviendrait à avoir un canon plus long par exemple - la quantité d'air en chambre ne change pas avec le taux de compression, l'air est juste plus compressé en haut du cycle -. Un canon plus long c'est plus de capacité à convertir l'énergie thermique en énergie mécanique, donc pour la meme énergie thermique on récupere plus d'énergie mécanique. --- Le second aspect c'est la combustion. Il est plus facile de chauffer la même masse d'air, dans un petit volume que dans un grand volume, c'est un problème d'efficacité thermique et de perte périphérique. Donc avec un taux de compression élevé et le même débit massique, on consomme moins de carburant pour obtenir la même température de sortie - détente ou turbine chaude selon piston ou turbine -. --- C'est le double effet, plus facile à chauffer, plus facile à transformer. La contrepartie c'est souvent la gestion de pression "pic" au moment de la combustion, et de l'auto-allumage - lié à la haute température et pression en chambre -. Sur les voiture c'est réglé entre autre par l'injection directe, au pire ça autoallumage quand on injecte ... et par l'ajout d'un petit turbo ou compresseur, pour souffler proprement les gaz d'échappement et obtenir un air assez froid en chambre. Je ne sais pas si pour les turbine la taux de compression élevé est un problème coté turbine chaude ... à priori la température n'a pas de raison de changer, seule la pression monte ce qui n'est pas un gros problème. L'essentiel du problème c'est coté admission et compression, puisque ça pompe de l'énergie sur la poussée pour augmenter la compression et tout le sujet c'est d'arriver à le faire efficacement justement sans trop pomper d'énergie ou chauffer l'air entrant.
  7. Oooops non c'est les russes qui sont rentrés dans Konstatynivka ... du moins bien rentré. Au préalable il faisait des passages rapide dans les faubourg, à priori il y ont pris pied fermement maintenant.
  8. Le sucre et pas seulement les produits "sucrants" - mais tous les carbohydrates - sont un poison pour le corps ... c'est pas un problème de dent, mais un problème métabolique, le corps sédentaire du l'humain moderne, suralimenté est incapable de gérer correctement l'apport en glucide. Il ne rentre presque plus en cétose.
  9. Pendant ce temps là les ukrainiens évacuent Krasnohorivka. Et les russes sont entrés dans Konstatynivka.
  10. Il joue le role d'un Prowler ... il portent les brouilleur et attire les drones qui autrement ne peuvent pas attaquer les autres engins à cause du brouilleur protégé. Le blindage espacé ne sert pas de blindage ... mais de déclencheur. il empeche la shape charge de déclenché à bonne distance et le drone de visée précisément un endroit fragile. En gros les place de tole, comme les slat armor et autre filet, réduise notablement l'effet des munitions adverse. Pour le canon et la tourelle, ce n'est pas le probleme. Il ne s'agit pas d'un combat de rencontre entre char. Le canon sert au mieux juste à engager l'infanterie AC adverse. Moi je trouve ça particulièrement malin comme solution ... à un problème apparemment sans solution. Pas sur que nos bidasse aient de solution plus élégante à la problématique des munitions kamikaze très bon marché.
  11. g4lly

    AMX-45 - Char 45T

    40mm APFSDS c'est une pénétration d'au moins 150mm plus dommage important après pénétration ... Le Centauro 2 pesant pas plus qu'un VCI ... je vois mal comment il serait notablement plus blindé ... alors qu'il est pénalisé par la masse de son armement principal.
  12. Comme quoi il n'y a pas que moi qui qualifie les USA et ses suzerains ou vassaux, d'empire...
  13. Tentative d’assassinat de Donald Trump : un drone piloté par le tireur a survolé le site deux heures avant, selon le FBI L’engin et la manette de guidage ont été retrouvés dans le véhicule du tireur, avec des engins explosifs « plutôt basiques », activables à distance, a précisé le service de police fédéral. Le jeune tireur qui a tenté d’assassiner l’ex-président américain Donald Trump à l’occasion d’un meeting de campagne en Pennsylvanie a survolé les lieux par le biais d’un drone deux heures avant le début de l’événement, a affirmé mercredi 24 juillet le directeur du FBI (une branche de la police fédérale), Christopher Wray, devant une commission d’élus américains. Installé sur un toit d’un bâtiment surplombant le meeting à Butler, Thomas Matthew Crooks, 20 ans, avait ouvert le feu samedi 13 juillet, peu après 18 heures, sur le candidat républicain, le blessant légèrement à l’oreille, entraînant aussi la mort d’un participant d’une cinquantaine d’années et blessant deux autres personnes, avant d’être abattu. « De nombreuses recherches effectuées » Le drone et la manette de guidage ont été retrouvés dans le véhicule du tireur, avec des engins explosifs « plutôt basiques », activables à distance. L’enquête n’a en revanche pour l’heure pas permis de préciser les motivations du tireur, a par ailleurs reconnu le patron du FBI, « mais nous continuons à chercher ». Il a en revanche précisé que huit douilles ont été retrouvées sur le toit. Le tireur a « réalisé de nombreuses recherches sur diverses personnalités », sans qu’un objectif précis soit identifié, mais « à partir du 6 juillet il s’est concentré plus spécifiquement sur l’ancien président Trump et son meeting », a ajouté M. Wray. Parmi ses recherches, le tireur a interrogé le moteur de recherche de Google « sur quelle était la distance à laquelle [Lee Harvey] Oswald était de [John F.] Kennedy », en référence à l’auteur présumé de l’assassinat du président américain en 1963. La réaction du Secret Service, chargé de la protection des personnalités politiques américaines les plus importantes, a été vivement critiquée alors que des spectateurs avaient signalé aux autorités, peu avant les tirs, la présence d’un homme armé lors du meeting. La directrice du Secret Service, Kimberly Cheatle, a annoncé mardi sa démission, après avoir reconnu devant une commission d’enquête du Congrès la faillite de son agence pour empêcher la tentative d’assassinat. Le Monde avec AFP
  14. g4lly

    AMX-45 - Char 45T

    C'est bizarre selon d'autre source ont trouve que le premier niveau de blindage ne protege que du 20mm AP arc frontal et 14.5 all around ...
×
×
  • Créer...