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AIR-DEFENSE.NET

Rob1

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Tout ce qui a été posté par Rob1

  1. Rob1

    [Femmes soldats]

    That's what I call a target-rich environement ! =D
  2. Les deux journalistes, j'en entends parler au moins une fois par semaine à la radio (pourtant je ne l'écoute pas beaucoup) et ils ont leur tronche sur la façade de la mairie de ma ville depuis environ un an. Les autres otages français ailleurs dans le monde, j'en entends pas parler, je ne sais pas combien ils sont, quels sont leur noms, depuis combien de temps ils sont retenus (à part le faux-vrai agent secret en Somalie). Germaneau, jamais entendu parler avant qu'il soit tué. Pour moi, "l'indifférence générale", elle ne concerne pas les deux journalistes, mais les autres.
  3. Rob1

    Questions en vrac

    Je crois que c'est une Blaser R93.
  4. Rob1

    Bugaled Breizh

    Oui, m'enfin si ca coule à vitesse normale et que certains compartiments sont relativement étanches, on aura la même chose. C'est assez aléatoire comme diagnostique si on n'a aucune "reconstitution", aucune référence pour comparer.
  5. Rob1

    Bugaled Breizh

    Je ne vois pas en quoi la déformation de la coque indique une vitesse de descente...
  6. Perso, je trouve que pas mal de séries récentes ont des scénarios qui manquent de quelque-chose. Un cadre plus ou moins crédible, l'exposition de matéreil militaire, l'humour, ca ne suffit pas. Il y a un truc qui n'opère pas, un charme qui manque.
  7. Dans le topic L'artillerie de demain. Cela dit j'en avais discuté avec un copain sur internet, avec un peu de maths, on avait vite conclut que ca devait êre vachement galère pour tirer 2600 obus sur une colonne ennemie EDIT : les grandes lignes du plan : On prend un régiment d'AUF1 : 32 pièces (8 sections de 4) Selon la plaquette du fabriquant : "Au commandement [après 2 minutes de mise en place], le tir d'emblée commence par une rafale de 6 coups/pièce en 45 secondes ; pendant ce laps de temps, le régiment aura tiré 192 obus . . . Alors que le premier obus arrive sur objectif, le dernier a déjà été tiré et les pièces auront déjà commencé à quitter le front de batterie." Pour maintenir un feu continu, on alterne les huit sections une à une par salves de 6. chaque section a 7x45 = 5 minutes 15 entre chacune de ses propres salves. Avec 2 minutes de mise en batterie, il reste 3 minutes 15 de mouvement pour la contre-batterie. A 20km/h (l'AUF1 peut faire du 40 en tout terrain, disons qu'on fait la moitié), en 3 minutes, on fait un km (disons que c'est pour éviter la contre-batterie). Pour tirer les 2600 obus, chaque batterie devra répéter l'action 13 à 14 fois, et la manip va durer 1 heure 10... Bref, si on a huit champs de 4x4 km chacun, si la contre-batterie adverse n'est pas trop bonne, si les Su-25 ennemis n'ont pas envie de te pourrir ta manip, si la logistique te ravitaille en obus (on n'a pas abordé le sujet), si on arrive à suivre le mouvement de la colonne de chars avec une très grande précision... on peut mettre la colonne de chars HS comme dit dans l'article américain. Sinon, on sera évidemment plus ou moins en-deça.
  8. De mémoire, les M72 avaient été inefficace contre les PT-76 à la bataille de Lang Veï. Mais je crois que c'était parce que la roquette "ricochait" sans exploser. Et ce n'est pas le modèle le plus moderne de LAW qui aient été...
  9. Rob1

    Air quiz

    Ben comme Taurus l'a remarqué, des Skyraiders ?
  10. Si tu savais ce que je pense du SAS britannique, Mat... :lol:
  11. En fait la matériel du 13 est assez limité pour des FS : Famas parce que c'est standard, SIG 551 parce que c'est amphibie, MP5SD parce que c'est silencieux... Mais ils n'ont pas de G3, de snipers ou autre truc de ce genre car leur mission ne vise pas à l'action.
  12. Il y a des M4 au 13e RDP ? Je me souviens seulement de Famas, SIG 551, MP5SD...
  13. Sur la vidéo, je n'ai pas réussi à voir de tels détails. A quel moment tu arrives à voir les marquages du sélecteur ? Quand ils attendent devant la porte, la qualité est tellement pourrave qu'il m'a semblé voir un tube récupérateur au-dessus du canon, du coup je me suis demandé si ce n'était pas une kalash modifiée comme on en a vu dans l'ANA. Le seul moment où je suis sûr, c'est lors de l'investigation, quand le gars regarde en l'air, à cause du type de crosse. Et à 0:53, il y a un plan très court où on peut voir la crosse HK416. Il y en avait aussi dans les GCP, au 1er RPIMa, mais il se peut que ne soit plus le cas
  14. Rob1

    Weapons Quiz

    Sako = la marque TRG-42 = le modèle 338 = le calibre ;)
  15. Dur de dire si ce sont des HK416 ou des M4, je trouve.
  16. Rob1

    Weapons Quiz

    Le chargeur fait trop petit pour du 7,62 mm. Et les SR-25 / Mk 11 / M110 n'ont pas de "forward assist" (l'espèce de bouton-pression à l'arrière, sous le levier d'armement)
  17. Rob1

    Ici on cause fusil

    Sur le F2000, c'est surtout parce que c'est un "bullpup" : s'il éjecte vers la gauche, le tireur se prend la douille dans la figure, s'il éjecte vers la droite, pareil lorsque le tireur est gaucher ou épaule à gauche (par exemple en CQB pour entrer dans couloir à droite). Ca évite aussi de balancer les douilles dans la figure d'un copain à côté.
  18. Rob1

    Ici on cause fusil

    La plupart des poignées d'armement sont solidaires des culasses, et reculent donc avec elle. Parmi les exceptions, la famille M16.
  19. J'ai récemment décidé de me mettre à faire des fiches de mes lectures, alors voici ma première. J'ai essayé d'y noter le maximum de noms de codes d'opérations pour faciliter les recherches, c'est pour cela aussi qu'il y a parfois des références à des pages précises. N'hésitez pas à me faire part de vos remarques sur ce qui est bien, ce qu'il faudrait améliorer, ce qui manque... Références du livre : Sherry Sontag et Christopher Drew, Guerre froide sous les mers : l'histoire extraordinaire des sous-marins espions américains (trad. de Blind Man's Bluff: The Untold Story of American Submarine Espionage, 1998), Marines éditions, Rennes, 2004 ISBN 2-915379-15-7, 978-2-915379-15-0 487 pages, cahier photos (45 photos noir & blanc) (je note qu'à l'intérieur du livre, le sous-titre est légèrement différent : l'histoire méconnue des sous-marins espions américains. Il y a aussi un troisième co-auteur non crédité sur la couverture, Annette Lawrence Drew) Résumé par chapitre : Chapitre 1 « Un début meurtrier » : En 1948, les Américains envoient les sous-marins USS Seadog et USS Blackfin, équipés tant bien que mal d'équipements d'écoute électronique, en patrouille de renseignement en mer de Béring. En 1949, L’USS Cochino (SS-345), équipé de schnorkel, est envoyé pour une mission d’écoute longue durée en mer de Barents (opération Kayo). Récit détaillé de son naufrage (causes accidentelles). Chapitre 2 « Whisky à gogo » : lors d'une patrouille de reconnaissance en 1957, l'USS Gudgeon (SS-567) est repéré par des destroyers soviétiques et poursuivi jusqu'à ce que, à cours d'air, il soit forcé de faire surface. L'USS Wahoo (SS-165) est surpris au large d'une côte soviétique début 1958. En réaction, les Américains cherchent à faire de même aux Soviétiques. En mai 1959, l'USS Grenadier parvient à forcer un sous-marin Zulu à faire surface au large de l'Islande. En conséquence, les Américains s'orientent vers les sous-marins nucléaires, capables de rester en plongée presque indéfiniment. A la fin des années 60, un tel sous-marin, l'USS Skipjack, pénètre dans le chenal de Mourmansk (p.71). Chapitre 3 « Plongée profonde » : suite au naufrage accidentel de l'USS Thresher, l'US Navy lance un projet de véhicules de plongée profonde dirigé par John Craven. Programmes Deep Submergence Search Vehicle (DSSV), SEALAB. Evocation des missions d’écoute et surveillance des bâtiments russes (opérations Binnacle/Holystone), USS Scamp, Ronquil et Trumpetfish traqués, évacuation clandestine de Cubains (p.82). Le programme « plongée profonde » débouche sur des recherches d'objets à grande profondeur (opération Sand Dollar), la conversion de l'USS Halibut et la construction du mini-sous-marin NR-1. Recherche d'une bombe H perdue en Méditerranée par un B-52. Chapitre 4 « Poing de velours » : Premières campagnes infructueuses de recherche de débris de missiles soviétiques par le Halibut (opération Winterwind). Découverte de la perte du sous-main K129 : rôle de l’USS Barb, antennes ELINT type Wullenweber (115), recherches par l'USS Halibut (classification Velvet Fist). Chapitre 5 « Mort d'un sous-marin » : chapitre sur le naufrage et la recherche de l'USS Scorpion. Reprend principalement la thèse de l’explosion de torpille accidentelle de John Craven. Chapitre 6 « La ballade de Whitey Mack » : Le « sport » des années 60 est la découverte et la poursuite de nouveaux sous-marins soviétiques. Parmi les chasseurs les plus les réputés, USS Dace, Ray, Greenling. Britanniques agressifs (p.181). Récit détaillé de la traque d'un Yankee pendant 47 jours par l'USS Lapon, récompensé par une Presidential Unit Citation. Chapitre 7 « Le voilà... » : Les traques entraînent des collisions. Mention de l'USS Gato - K19. Récit détaillé de la collision de l’USS Tautog avec le K-108 en 1970. Le sous-marin soviétique fut cru perdu par les Américains, et Nixon garda la chose secrète. Chapitre 8 « Et bien, allons-y pour Oshskosh » : Premières opérations d'écoutes des câbles sous-marins en mer d’Okhotsk par le USS Halibut (opération Ivy Bells) en 1972. L’Halibut, secoué, doit se poser sur le fond. Ultérieurement, il sera équipé de « skis » pour ce genre de manœuvre. Chapitre 9 « Le château de sable à 500 millions de dollars » : tentative de la CIA de remonter secrètement l’épave du K-129 (projet Jennifer). Enquête de la commission sénatoriale Pike sur les activités de renseignement sous-marin. Opérations d'écoutes par l'USS Seawolf 1976-1977. Chapitre 10 « Triomphe et crise » : poursuite des opérations Ivy Bells, extension à la mer de Barents sous la présidence Carter. Implication de l’USS Parche en mer d’Oshkosh en 1978, et premier branchement en mer de Barents en 1979. Echouage de l’USS Seawolf en mer d’Oshkosh fin 1981. Chapitre 11 « Les joyaux de la couronne » : suites des opérations d’écoute (opérations Manta, Acetone). Compromission d’Ivy Bells. Déplacement des confrontations vers l'Arctique. Mission « endurance » du Parche de 1982 (passage par le pôle Sud pour entrer dans la mer de Barents, mission de 137 jours). Tensions de la remontée de la guerre Froide de 1983. Mission de l’USS Parche en 1984, enregistrements concernant les tensions de 1983 surnommés « Les joyaux de la couronne ». Affaires Walker et Pelton. Missions du Seawolf et du NR-1 en Méditerranée en 1986. Mission du Parche 1986, repéré, parvient à fuir grâce à une diversion de l’USS Finback. Chapitre 12 « Fait confiance, mais vérifie » : quelques réflexions sur la fin de la guerre froide et son impact sur les missions de renseignement sous-marin. Commentaire : Toute personne qui s'intéresse au monde du renseignement devrait avoir lu ce livre, éclairage rare, très bon et bourré de scoops sur la collecte du renseignement sous-marin, même s'il commence à dater (1998 pour la VO). Il y a un peu trop « d'étoffage » des récits à mon goût, qui alourdit un peu inutilement l'ensemble, mais le fond de livre compense largement ces défauts. Il est aussi dommage que beaucoup d’informations courtes mais intéressantes soient perdues dans la parties des références. Globalement, très bon, un seul véritable regret sur le fond, c’est la reprise au chapitre 11 des affirmations d’Oleg Gordievsky sur « Able Archer ». Dommage que les auteurs n’aient pas eu connaissance de la monographie de la CIA A Cold War Conundrum: The 1983 Soviet War Scare qui a recherché le même sujet. EDIT : une autre chose qui fait tiquer, c'est une courte phrase qui dit que le K-129 aurait atteint le fond de l'océan en coulant à une vitesse de 100 noeuds (p.125), je doute qu'un sous-marin puisse atteindre cette vitesse, même totalement rempli d'eau. Quelques regrets au niveau de la traduction : il y a quelques fautes de frappe, et je n’aime pas les choix de ne pas mettre de point après les initiales, et de traduire les titres d’ouvrage de la bibliographie (cela compliquerait la recherche plus qu’autre chose). On notera que ce livre a démarré un genre à part entière que l’on pourrait appeler « real-life Hunt for Red October genre », vu le nombre d’ouvrages sur des thèmes similaires publiés dans les années suivantes (The Silent War de John P. Craven, Red November de W. Craig Reed, Stalking the Red Bear de Peter Sasgen, Rising Tide de Gary E. Weir…) où on doit sans doute trouver le pire comme le meilleur.
  20. Rob1

    Weapons Quiz

    Heu... un truc sur base de M16, mais à part ca... Mk 12 SPR ?
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