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Retour au Japon d'avant ?


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Oui, la réalité c'est que les dédomagement à la Chine Nationaliste (fasciste) de Chiang Kaï Check, pas de problème, un arrangement aurait été trouvé, mais pas avec la Chine communiste.

L'Inde n'a pas donné clairement sa position et son camp, et en plus à accepté le Dalaï Lama en exil et s'est de ce fait rapproché des USA, ils l'ont payé cher et on compris la leçon en se rapprochant des soviétique par la suite.

Il y'avait aussi des contentieux territoriaux, qui au final ont été mis à plat.

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Zarorama, halte à la propagande communiste  :lol: Si vous lisiez l'article avant d'écrire de grosses bétises  :P

Alors, on ne peu  pas recevoir d'opposants politique sans se faire envahir ? Méme la Colombie s'est contenté de bombarder un camp d'un mouvement ennemi et n'a pas tenté de s'emparer de la frontiére  >:(

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Ce fut anecdotique, la France c'est servi en usines (faut dire que les Allemands avaient fait pareil 5 ans auparavant...), au final c'est Israel qui a sans doute eu le soutien le plus crucial, la RFA sauvant à plusieurs reprises l'économie de Tel Aviv de la banqueroute.

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On part en hors sujet, mais le sujet des crimes de guerres eSt toujours sur le tapis juridique aujourd'hui :

''Crimes nazis : Berlin ne peut être poursuivi civilement, selon la CEJ'' jeudi 15 février 2007

http://actu.skynet.be/index.html?l1=actuality&l2=news&l3=homepage&l4=detail&id=28106&show_post_comment=1

Si on remontre trop loin, tout le monde est coupable, exemple la Birmanie à ravagé prés de 30 fois la Thailande en 2 siécles entre le XVII et le XIXe S, et ce dernier n'a pas poursuivé le premier pour la destruction de sa capitale et la déportation de ses habitants.  :P

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Il n'y a plus de sud vietnam, le Nord a gagné en 1975, et pour le Cambodge vu les bombardements puis le soutien au Khmers rouge de la part des USA, ils ont interets à se faire tout petits (d'ailleur bizzarement c'est ce qu'ils ont fait lors des procès des dirigeants Khmers rouge)

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Une petite larme pour cette vérité qui se trouve toujours du même coté ...

Et cela ne vous choque pas que la RDA ne se sente impliquée en rien par les atrocités nazies?

Le Viet-Nam du Sud n'existe plus mais sa population si ...

...

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La suite de l’article. Le journaliste traite de la colère des Chinois face aux nouveaux manuels scolaires japonais :

"Given the fact that these apologies covered Japanese colonialism in Korea, the brutal invasion of China, the maltreatment of POWs and the forced prostitution of "comfort women", it would be hard to maintain that Japan has officially denied its dark history. Does this mean, then, that the recent violent demonstrations in China, with mobs hurling stones at Japanese consulates, restaurants and shops while the police looked on benevolently at this venting of popular rage at "Japanese pigs", were wholly off the mark?

In some ways, yes. Although ostensibly sparked by the publication of a new Japanese textbook (used by less than 1 per cent of Japanese schools), the protests were clearly inspired by politics, domestic and international. Economic growth and xenophobic nationalism have become the last justifications for the Chinese Communist Party's continuing monopoly on power. Popular discontents - about unemployment, corruption, pollution and the suppression of free speech - are deflected by allowing people to let off steam against Japan, or at times, the US. Popular sentiment takes the place of open debate. The "feelings" of the Chinese people are invoked to press China's claims as a dominant Asian power. Japan's desire to join the Security Council of the UN, its defence of Taiwan, and its claim to gas-rich spots in the East China Sea, are the real issues. The Japanese textbook is just an excuse."

- Ian Buruma, A sorry state, The Financial Times, 28/05/2005.

Sinon, on a trop tendance à oublier que durant les années 50 et 60, l’éducation et la culture (associations d’artistes) étaient tenues au Japon par des gens de gauche voir d’extrême gauche qui ont fait plus que leur mea culpa.

Pour ce qui concerne les mondes de l’art sur le sujet il y a un bon ouvrage :

- LUCKEN Michael, L’art du Japon au vingtième siècle, Paris, Hermann, 2001.

Et comme le dit un journaliste New-Yorkais :

"Your country lies in radioactive ruins; your rapacious military has been castrated; hated barbarians write your new constitution. "

- R.C. Baker, ” Da' Bomb! Japan's Subcults Point Fingers While Looking Inward “, The Village Voice, 18/04/2005.

Et en plus, tu vas continuer à t’excuser en 2008 pour les crimes que désormais la très grande majorité de ta population n’a pas commis.

Bouffe salaud de Japon, bouffe !

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En parlant du Vietnam, il est à noter que, malgré une économie de merde et un embargo des pays occidentaux, il a fallu rembourser les prêts de guerre à l'URSS. Et oui, rien n'est gratuit chez l'ami bolchevik et 30 ans de guerre ça en fait des dettes!!! Et quand la production était excédentaire comme pour le riz...Et béh, ça empéchait pas que les gens crevaient de faim quand même, puisque toute la production partait vers l'URSS. Chose paradoxale, c'est que malgré la chute de l'URSS, les vietnamiens continient toujours de payer leur dettes à la Russie.

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Si l'Inde était allié de la Chine, elle n'aurait pas accepté des gens qui lui étaient hostiles, ni putassé avec Washington, à un moment il faut choisir, sinon on n'a aucun allié véritable, juste des beaux parleurs, et c'est exactement ce qui est arrivé à l'Inde, qui a préféré par la suite avoir un véritable allié avec l'URSS.

Ensuite la rupture sino-soviétique était effective depuis déja un moment, et la diabolisation du régime chinois déja à son paroxysme à cette époque.

La seul réel perte, c'est l'image aupres des non alignés.

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Au Japon, on ne badine pas avec la patrie

LE MONDE | 03.04.08 | 14h50  •  Mis à jour le 03.04.08 | 18h47

www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2008/04/03/au-japon-on-ne-badine-pas-avec-la-patrie_1030499_3216.html?xtor=RSS-3208

Invoquant des "raisons de sécurité", cinq salles de cinéma à Tokyo et à Osaka ont renoncé à diffuser le film Yasukuni, du cinéaste chinois résidant au Japon, Li Ying. Produit par la Chine et le Japon, ce documentaire vient d'être primé au Festival international du film de Hongkong. D'autres salles à travers le Japon ont annoncé qu'elles ne projetteraient pas le film. Toutes craignent d'être la cible de manifestations des groupuscules d'extrême droite, dont la plupart sont liés à la pègre. La presse était unanime, mercredi 2 avril, à s'inquiéter de cette entrave à la liberté d'expression.

Vociférant des imprécations depuis leurs camions noirs équipés de puissants haut-parleurs et hérissés de drapeaux, ces groupuscules bombardent les salles de décibels. Au nom de la liberté d'expression, la police n'intervient guère. Après d'autres affaires récentes de restriction de la liberté d'expression, le retrait de l'affiche de Yasukuni, considéré par la droite comme "antijaponais", constitue une nouvelle atteinte à l'une des libertés démocratiques fondamentales.

Construit en 1869, le sanctuaire Yasukuni est dédié à la mémoire des morts pour la patrie. Depuis la fin des années 1970 y sont honorés aussi sept condamnés en 1948 pour crimes de guerre par le Tribunal international de Tokyo, qui furent exécutés. Aussi, les visites à Yasukuni par de hauts dignitaires japonais suscitent-elles régulièrement des polémiques avec la Chine et la Corée du Sud, qui estiment qu'elles reviennent à absoudre le passé militariste.

DRAPEAU EN TÊTE

Li Ying a concentré son film sur les dix dernières années, parce que le sanctuaire a focalisé la polémique sur l'interprétation de la guerre à la suite des pèlerinages répétés entre 2001 et 2006 du premier ministre Junichiro Koizumi. Le film montre des scènes filmées le 15 août, anniversaire de la défaite, où des anciens combattants en uniforme, drapeau en tête, se rendent au sanctuaire pour prier. Il utilise en outre des photographies du massacre de la population civile à Nankin (1937), un événement dont la droite nie qu'il ait eu l'ampleur que lui donnent les Chinois (plus de 200 000 morts) et qu'elle qualifie de simple "incident".

Selon les révisionnistes, l'authenticité de ces photos est contestable et le film manipule les faits. Le cinéaste donne néanmoins la parole à des personnes ayant des opinions différentes sur la guerre.

"Pendant trois mois, de décembre 2007 à mars, nous avons fait des conférences de presse au Japon, a expliqué Li Ying à notre correspondant à Shanghaï, Brice Pedroletti. Avec l'exploitant et le distributeur, nous savions que c'était un défi de sortir ce film. Il était évident que l'extrême droite se manifesterait, c'est habituel, et tout le monde m'encourageait. On se soutenait mutuellement."

Soucieux de son contenu, un groupe de parlementaires du Parti gouvernemental libéral-démocrate (PLD) avait demandé à visionner le film, faisant valoir qu'il avait été produit en partie avec des fonds publics (7,5 millions de yens, soit 47 000 euros). L'Agence pour les affaires culturelles avait accédé à leur demande. Pour la députée Tomomi Inada, le film contient "un message idéologique" et son "objectivité est sujette à caution". Elle estime qu'il ne devait pas recevoir de l'argent public.

ENSEIGNANTS PUNIS

Le ministre de la culture, Kisaburo Tokai, a regretté que "des pressions et des harcèlements aient conduit à cette situation". Parmi les médias, même le quotidien de centre-droit Yomiuri (13 millions d'exemplaires) appelle dans un éditorial au respect de la liberté d'expression, faisant valoir que la question du financement public est à débattre indépendamment de la projection du film.

"Après la projection à la Diète, tout a changé. Les politiciens ont fait toutes sortes de pressions, affirme Li Ying. Il est déplorable de voir que beaucoup de débats ne concernent pas le contenu du film. Pour moi, c'est inimaginable qu'on ne puisse le projeter. Cela révèle quel degré de conservatisme il peut y avoir au Japon et pose des questions sur la manière dont la société japonaise se positionne vis-à-vis de la Chine, de l'Asie, du reste du monde. Mon but désormais est de pouvoir communiquer avec les Japonais, qu'ils voient ce film par tous les moyens possibles, pour pouvoir y réfléchir et en débattre."

D'autres récentes affaires dont l'écho médiatique est moindre sont symptomatiques des pressions diverses, ouvertes ou diffuses, pesant sur la liberté d'expression dans l'Archipel. Une vingtaine d'enseignants du secondaire viennent ainsi d'être punis (réduction de 10 % de leur salaire, suspension d'enseignement pendant six mois et non-renouvellement de leur contrat dans le cas de travailleurs temporaires) pour avoir refusé de faire chanter à leurs élèves l'hymne national, cérémonie rendue obligatoire en 2003. Depuis, quatre cents enseignants ont été l'objet de punitions ou de "séances de rééducation" pour ne pas respecter cette directive.

L'hymne national nippon, lent et solennel est une ode à l'empereur : "Que ton règne dure mille vies, huit mille vies, jusqu'à ce que le caillou soit devenu rocher et ait été couvert de mousse." Avec le drapeau Hinomaru (un rond rouge sur fond blanc), il a été légalisé comme emblème national en 1999, provoquant la protestation d'une partie du monde intellectuel, pour lequel ils sont associés à l'idéologie militariste. Ces symboles nationaux ne suscitent guère de débats dans l'opinion. Les compétitions sportives et la liesse qui accompagne une victoire ont engendré chez les jeunes un sentiment festif d'identité qui les a dépouillés des connotations symboliques de l'avant-guerre.

L'hymne national n'en reste pas moins au coeur d'une controverse sur la liberté de conscience puisque son chant est imposé.

En septembre 2006, le tribunal de Tokyo a donné raison à des enseignants qui refusaient de l'entonner aux cérémonies de fin d'études. Dans ses attendus, le tribunal a statué que "les enseignants n'ont pas l'obligation de chanter Kimigayo" et que "forcer quiconque à le faire est une violation de la liberté de pensée et de conscience". Il ordonnait en outre à la municipalité de Tokyo de payer 12 millions de yens (80 000 euros) en dédommagement aux plaignants.

Dans une directive d'octobre 2003, la commission pour l'éducation de la municipalité de Tokyo avait donné instruction aux directeurs des établissements scolaires d'obliger leurs enseignants à se lever à l'envoi des couleurs et à faire chanter à leurs élèves l'hymne national. Cette directive prévoit des sanctions à l'encontre de ceux qui ne s'y conformeraient pas et 400 cents personnes avaient déposé une plainte auprès du tribunal de Tokyo. Le juge a fait valoir que l'obligation de chanter Kimigayo, assortie de sanctions, est contraire à la loi fondamentale sur l'éducation, qui interdit au gouvernement "toute intervention excessive" dans l'enseignement.

PLAINTES DE VÉTÉRANS

La guerre et son interprétation restent au Japon un enjeu de la vie démocratique et continuent à susciter des polémiques, débats et procès. Fin mars, la justice s'est prononcée cette fois sur un fait historique : les suicides en masse de civils ordonnés par l'armée impériale à Okinawa lors du débarquement américain en mars 1945.

Le tribunal d'Osaka a donné raison au Prix Nobel de littérature 1994, Kenzaburo Oe, auteur d'Okinawa Notes (1970), et à son éditeur, Iwanami Shoten, objets d'une plainte de vétérans affirmant que l'écrivain avait déformé les faits. Le tribunal a conclu que le commandement militaire "était profondément impliqué" dans ces morts.

Kenzaburo Oe évoquait les 430 suicides qui ont eu lieu dans les deux îles de Zamamijima et Tokashikijima. Le rôle de l'armée dans ces suicides en masse à Okinawa, où eurent lieu les plus féroces combats de la guerre du Pacifique en territoire nippon (120 000 morts, pour la plupart des civils, soit un quart de la population), est minimisé dans les manuels scolaires. Faudra-t-il que la justice se prononce aussi sur le film Yasukuni pour qu'il soit à nouveau présenté en salles ?

Philippe Pons

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http://japanfocus.org/products/details/2712

Plus sur l'affaire en question.

Le passage clef en ce qui concerne l'attitude du Japon par rapport à son passé:

The Japanese government employs a double standard. With regard to international society, it recognizes the verdicts of the war crimes trials, it acknowledges the existence of war criminals. But domestically, it uses Yasukuni to honor them, and give them the status of heroic souls, to express gratitude and respect. This is very Japanese, a different face at home and abroad. And this double standard has created the contradictory nature of Yasukuni over these decades.

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Au Japon, ça s'appelle Honne et Tatemae et c'est semble t'il une  règles fondamentales.Ce qu'on pense vraiment et ce qu'on dit et fait sont deux choses differentes.

C'est ce qui fait que dans les négociations avec les japs peuvent devenir assez exaspérantes(d'après ce qu'on dit).

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Zaro, vous étes impayable et un maitre de la désinformation mais avec des raisonnements totalement faussé, heureusement que vous ne travailler pas au Quai d'Orsay.

Doit on rappeller que la France à accepter d'éberger de VRAIS terroristes Italiens dans les années 1980, et Rome n'a pas envahi les Alpes a l'époque :P

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La France a aussi soutenu les basques du temps de Franco.

Il n'y avait pas que le Dalaï Lama en jeu, surtout des problèmes de frontières, frontières hérité de la colonisation britannique qui ne satisfaisait pas d'un coté comme de l'autre, les chinois ont voulu affirmer leur puissance et confirmer leur domination sur la région.

Vu qu'à cette époque ils n'avaient pas de représentation à l'ONU, ils se moquaient de l'opinion que les occidentaux auraient d'eux.

La seul perte d'image ça pouvait etre auprès des non alignés vu que l'Inde en était un des plus important membre.

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