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pas besoins que l'ISS soit habitable  simplement en faire une  sonde d’exploration qui fait 110 m de longueur, 74 m de largeur et 30 m de hauteur il y a de quoi mettre du matos et avec le VASIMR comme propulsion je serait curieux de voir en combien d’année l'ISS peu rattraper voyager 1 et allez au delà sa serait un sacrée défi . 

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Normalement, l 'iss sera désorbiter vers une zone cimetière du globe, tant qu'ils en auront le contrôle,  pour les éléments qui n'auront pas brûler, ce qui est marrant, on a assez peu d'information dessus. 

 

cas du retour d'un vaisseau progress

Il est prévu que des débris du cargo spatial imbrûlés dans les couches denses de l'atmosphère de la Terre vont tomber sur le «cimetière» des satellites dans une zone non-navigable de l'océan Pacifique.

 

Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2012_04_28/Progress-M-14M/

Modifié par zx
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Le problèmes ce sont les nœuds comme le module Unity qui eux ne sont pas remplaçable car cela nécessiterait de de disloquer toute la station, et le ce sont les éléments les plus anciens de la stations.

Modifié par Dino
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 Je savais pas qu'il existait des zones non-navigables dans le Pacifique ...

 

 

 

 

Posté aujourd’hui, 09:51

Le problèmes ce sont les nœuds comme le module Unity qui eux ne sont pas remplaçable car cela nécessiterait de de disloquer toute la station, et le ce sont les éléments les plus anciens de la stations.

 

 

   Il y a d'autres noeuds et d'ailleurs bien + récents et ou en + il y a des emplacements de libres pour venir y coller des modules (c'est fait pour un éventuel agrandissement ...) ou on pourrait très bien recentrer la station sur ces noeuds la ... Reste après le problème d'équilibre de masse éventuel (dans le cas ou ça pourrait poser problème bien que je pense pas ou ne présume pas) mais bon un recentrage avec des apports de modules neufs sur les derniers nodes apportés est je pense envisageable ...

 

   Tout comme l'extension de vie des + vieux modules après une inspections sévères de comment on évolué les matériaux de structure "critiques" a la sureté de la station via des micro-prélévements ect ... De toute façon la durée de vie des modules est surtout liée a l'espérance de vie des systèmes qui y sont installés et lié a l'habitabilité de base :

 

      _ Circuits thermodynamique de régulation de la t° via technologie de "réfrigérant" tel l'ammoniac, il est vrai que dépasser 25-30 ans d'espérance de vie de ce genre de système la est une prise de risque car car les circuits de réfrigérant pour PAC/clim sont soumis a de la corrosion poreuse quoiqu'il arrive et quelque soit le type de réfrigérant d'ailleurs, je mettrais ma main a couper qu'a bord de l'ISS leur relevé de qualité d'air note la présence en ppm légère d'ammoniac lié aux fuites par porosité du circuit ...

 

      _ Présence importante d'électronique non durcie (selon les systèmes ça, il doit y avoir de tout, des proco durcis et d'autres non ...) dans le capharnaüm électrique global de chaque module lié a tout les systèmes ... Il serait sage de virer toutes les cartes électroniques et composants non durcis pour un remplacement intégral : Ne pas oublier que l'électronique non durcie en orbite subit une usure bien + importante que sur Terre a l'altitude zéro du niveau de la mer (a +/- 1000m) des composants potentiellement liés a des systèmes vitaux pourraient lacher sans prévenir par usure prématurée lié au rayonnement cosmique & et ceux solaires qui parvienent a passer la magnétosphère (les cosmiques eux sont si énergétiques que la magnétosphère ils l'ignorent tout simplement en majorité) qui dégrade les pistes gravés au microns et nanomètre selon composants atome par atome jusqu'a l'éventuelle rupture de piste ... Et il doit y avoir aussi un risque potentiellement élevé électro-statique vu qu'il n'y a pas de "terre" dans le sens que tout les cumuls électro-statiques ne peuvent s'évacuer comme les frotemments ect même si il me parait évident qu'ils ont maximisé les mesures anti-statiques (vêtement anti-statique, déchargeurs, limiter les plastiques en frottement potentiel ect)   Quoi qu'il en soit passé 30-35 ans l'électronique (on parle de composant de technologie des années 90) devient un potentiel de calamités a bord notamment sur les systèmes les + critiques de survie et c'est une des raisons majeurs pourquoi il n'y a que peu ou pas de projet de réhabilitation des modules ...  Mais c'est pas non plus comme  s'ils n'existait pas des solutions de rénovation globales quasi intégrale possible : Mais ça représenterait des heures de travail assez colossale d'autant qu'a bord de l'ISS on bosse pas "vite & bien" comme un pro sur Terre ... Tout prend forcément + de temps et il doit y avoir aussi pas mal de systèmes dehors en boitiers extérieurs ou le travail devra être fait en sortie spatial : Probablement plusieurs jours de travail en extérieur si on évoque le cumul a faire avec les + vieux modules comme Zevda ect ...

 

   , _ Difficulté pour l'expertise US qui est omnipotente de pouvoir évaluer l'usure des systèmes des modules russes ... Qui ont des technos électronique qui datent probablement de l'ère soviétique a bord de Zevda ... Et la difficulté a remplacer des systèmes comme ça sans les "refonder"  et bien entendu la propension russe a avoir une confiance sans borne sur des vieux coucous soviétisant et une probable forte négation du problème de leur part et choc de culture techno en perspective pour en "discuter" ... D'ou pourquoi il a du apparaitre a la NASA probablement + sage de désorbiter que de ce lancer dans une rénovation qui pourrait devenir un truc assez "improbable" sur les parties russes, on est dans le spectre des vieilles rengaines de la corde sensible du duo Russie/USA et des vieux réflexes pavloviens, et risque assez élevé si la NASA évaluait le module Zevda qu'elle déclare : "Ce machin était bon a jeter au feu avant même de l'orbiter" en 97 xD   (je rigole mais il y a du possible vrai la dedans)  car je doute que Zevda ait été construit sur des normes communes obéissant aux exigences de sureté de la NASA : A l'époque ou Zevda a été orbité l'URSS avait disparue depuis a peine 6 ans ... Donc de belles surprises en perspectives si il était inspecté de fond en comble autour du respect du cahier des charges commun genre : "ah ok, et on comptait la dessus en cas de pépin ? LAUL" ou encore "ça tenait/fonctionnait par l'opération du st esprit" ... Bref de quoi finir en pugilat & linge sale foutraque sur orbite

 

 

      _ Structures "porteuses" (un bien grand mot en orbite) qui pourraient avoir évolué dans le mauvais sens avec beaucoup de vibrations transmises et petits choc cumulé, absorption d'énergie de vibrations ect ... Qui pourrait avoir transformé les cristaux d'alliages comme une sorte fluage négatif pas franc du collier mais pas bien net non plus pour compter dessus ...

 

   Et des rénovations de tuyauterie (cuivre ? quoi que j'en doute le cuivre n'est pas compatible avec l'ammoniac, dans le temps les circuits frigo a l'ammoniaque étaient en acier, maintenant en quoi c'est pour un circuit très techno pour l'ISS ?) probablement a faire intégralement de quasi TOUT les modules jusqu'au échangeurs sur la poutre principale soit des km de toyo a changer ou il va falloir trouver des trésors d'ingéniosité de bi-pass a improviser pour que le circuit puisse continuer a fonctionner pendant les travaux sinon c'est mort ... Ou alors jeter la poutre principale et les échangeurs aux orties et en amener une neuve a fixer sur un nouveau noyau central en partant des noeuds les + récents et désorbiter les + vieux trucs, ça pourrait être faisable mais ça seul un vaisseau comme le SLS pourra le faire et déja qu'il y a pas de missions simples prévues pour l'ISS mais bon qui sait ?

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Ce serait  génial si on pouvait la déposée sur la lune, on lui met des skis et on l’envoie sur une trajectoire quasi parallèle avec le sol lunaire :D

 

Si on pouvait la dirigé parfaitement au mm près, est-ce que se serait possible de l'envoyer sur une trajectoire qui la frais atterrir en douceur ?

Modifié par Divos
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encore une fois il faut se dire que la structure de l'ISS est fragile... les efforts pour la propulsée hors de l'orbite terrestre sont déjà énormes... il faut plusieurs propulseurs réparties sur la structure aux endroits les plus sensibles pour évité qu'elle ne se brise en morceaux. La faire atterrir est hors de propos...

 

ps: à moins que tu lui rajoute un noyau d'ézo pour l'anti gravité....

 

=> ( )

Modifié par Conan le Barbare
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Ce serait  génial si on pouvait la déposée sur la lune, on lui met des skis et on l’envoie sur une trajectoire quasi parallèle avec le sol lunaire :D

 

Si on pouvait la dirigé parfaitement au mm près, est-ce que se serait possible de l'envoyer sur une trajectoire qui la frais atterrir en douceur ?

 

En la dirigeant bien je pense qu'on peut limiter la zone de débris a seulement quelques dizaines de km2 =)

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encore une fois il faut se dire que la structure de l'ISS est fragile... les efforts pour la propulsée hors de l'orbite terrestre sont déjà énormes... il faut plusieurs propulseurs réparties sur la structure aux endroits les plus sensibles pour évité qu'elle ne se brise en morceaux. La faire atterrir est hors de propos...

 

ps: à moins que tu lui rajoute un noyau d'ézo pour l'anti gravité....

 

=> ( )

Pas du tout. La propulsion peut se faire de manière progressive.

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Pas du tout. La propulsion peut se faire de manière progressive.

 

Oui, je pense qu'il faudrait faire les calcules, même si sa lui prend 10 ans pour atteindre la lune se sera toujours mieux que d'être vaporisé...

En fait même un crash lamentable serait préférable a être vaporisé ^^

Modifié par Divos
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  • 2 months later...

pas grand chose à se mettre sous la dent, en ce moment

 

États-Unis et Russie: peut-être ennemis sur Terre, mais toujours alliés dans l’espace!

 

http://www.45enord.ca/2014/03/etats-unis-et-russie-peut-etre-ennemis-sur-terre-mais-toujours-allies-dans-lespace/

 

Malgré les différends sur l’annexion de la Crimée, le vaisseau spatial russe Soyuz a été lancé vers la Station spatiale internationale (ISS) ce mercredi du spatioport de Baïkonour, une ville du Kazakhstan administrée par la Russie, avec un équipage comprenant un astronaute américain qui vivra et travaillera 170 jours avec ses camarades russes.

Le vaisseau Soyouz TMA-12M transporte les cosmonautes russes Alexander Skvortsov et Oleg Artemiev, et l’astronaute américain Steve Swanson qui séjourneront et travailleront donc ensemble dans la Station spatiale pendant environ cinq mois.

Le vaisseau s’est séparé de la fusée neuf minutes après le lancement et a atteint l’orbite désignée, rapporte l’agence russe Interfax. Il devait atteindre la Station spatiale internationale ce mercredi à 04h04, mais l’amarrage a été reporté au 28 mars pour des raisons techniques.

Malgré le différend entre les États-Unis et la Russie sur le rattachement de la Crimée et les sanctions et les menaces qui fusent de part et d’autres, les deux pays étaient condamnés à s’entendre, surtout que les astronautes de la NASA, depuis la mise au rancart des navettes spatiales américaines, dépendent aujourd’hui exclusivement des vaisseaux russes Soyouz pour rejoindre l’ISS.

Les Russes et les Américains doivent aussi pouvoir vivre et travailler ensemble pendant de longs mois dans l’espace.

Au cours de cette mission ISS-39/40, les cosmonautes russes Aleksandr Skvortsov et Oleg Artemiev et l’astronaute américain Steven Swanson devront mener des dizaines d’expériences scientifiques, ainsi que des sorties dans l’espace.

L’équipage russo-américain tiendra aussi à jour un blog sur leurs expériences quotidiennes à l’ISS, a indiqué Aleksandr Skvortsov, cité par Interfax.

Âgé de 47 ans, le cosmonaute, avec deux vols à son actif, est le commandant de cette mission, tandis que son compatriote Oleg Artemiev, 43 ans, en est à son on premier vol dans l’espace.

Leur coéquipier américain Steven Swanson, 53 ans, a lui aussi déjà effectué deux vols dans l’espace, dont l’un marqué par quatre sorties dans l’espace.

Au total, seize pays participent à l’ISS, dont la Russie et les États-Unis, qui en financent la plus grande partie et un équipage de six astronautes occupe en permanence la structure avec des rotations allant jusqu’à six mois.

Mis en orbite en 1998, le vaste laboratoire de recherche orbital qu’est l’ISS, dont la construction a coûté cent milliards de dollars, a vu sa durée de vie prolongée de quatre ans en janvier par la NASA, soit jusqu’à 2024.

Avec les États-Unis, la Russie, l’Europe et le Japon, le Canada, le plus ardent soutien du nouveau pouvoir à Kiev et le pays qui a le plus véhémentement fustigé le comportement des Russes dans la crise ukrainienne, est également, avec l’Europe et le Japon, partenaire de la Russie dans cet «avant-poste» terrestre et se retrouvera aussi à devoir travailler avec les Russes dans l’espace.

Depuis le lancement de son premier module en 1998, la Station spatiale internationale fait le tour de la Terre 16 fois par jour à environ 370 km d’altitude à une vitesse de 28 000 km/h, bien loin des conflits qui agitent notre planète bleue, et pourtant…

 

Modifié par zx
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Pour moi le meilleur usage que l'on peut faire de l'ISS sur la lune c'est un impact pour étudier la structure du sol et un peu pour le remuer.

 

 

     Moins cher et probablement + efficace :  Un missile balistique transformé au dernier étage pour simplement embarquer de quoi faire un transit vers la Lune, une petite charge nuke et hue cocotte !

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(AFP) L'équipage russo-américain d'un vaisseau russe Soyouz a atteint vendredi la Station spatiale internationale (ISS) après avoir été contraint de passer deux jours en orbite à la suite d'un incident technique qui avait empêché la première tentative d'arrimage. 
Le vaisseau "TMA-12M", avec à son bord les Russes Aleksandr Skvortsov et Oleg Artemiev, et l'astronaute américain Steven Swanson, a cette fois réussi son arrimage à l'heure prévue à 3h53 heure de Moscou (0h53 heure française), a indiqué l'agence spatiale russe.
"Le Soyouz TMA-12M a effectué l'arrimage automatique au module d'arrimage du segment russe de l'ISS", a-t-elle annoncé dans un communiqué sur son site internet. 
Aleksandr Skvortsov a été le premier à ouvrir le sas d'entrée de l'ISS aux environs de 7 heures heure de Moscou (4 heures à Paris), avant d'étreindre, avec un large sourire, ceux qui l'attendaient de l'autre coté.
"C'était sympa... Il y a beaucoup plus de place ici", a-t-il noté dans une vidéo transmise depuis l'ISS. 
Les trois cosmonautes avaient pris place mardi soir dans le Soyouz, pensant arriver à l'ISS au terme d'un voyage de six heures... Ils y sont restés plus de deux jours.

 

Je suppose que si l'arrimage avait raté une nouvelle fois, il ne restait plus qu'à revenir sur terre car j'imagine mal que la capsule Soyouz puisse rester un ou plusieurs jours de plus en orbite !  En tout cas, ça dû être pénible pour les astronautes à bord !

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N'empêche, y en a aux USA qui doivent être verts de rage, parce qu'à ce niveau, les russes tiennent vraiment les US par les c*******...

 

(même si au niveau financier, je ne suis pas sûr que les russes puissent maintenir seuls ou uniquement avec les européens l'ISS)

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N'empêche, y en a aux USA qui doivent être verts de rage, parce qu'à ce niveau, les russes tiennent vraiment les US par les c*******...

 

(même si au niveau financier, je ne suis pas sûr que les russes puissent maintenir seuls ou uniquement avec les européens l'ISS)

 

   Ils ne peuvent s'en prendre qu'a eux même ... C'est quand même bien eux qui ont dit amen a la guerre et 1000 milliards de dépenses dont facile 800 milliards auraient put être économisé en renonçant a cette folie irakienne et en ce contentant uniquement de l'Astan qui certes elle était inévitable mais qui aurait pu se limiter a simplement 200 milliards de dépenses ...

 

    Ils ont asséché toute possibilité d'efforts de dépenses publiques dans le spatial sur la période 2001-2007 et l'équipe Obama n'a fait que ramasser les pots cassés au point qu'il a même fallu dire stop au programme Constellation tout en imposant a la NASA de reprendre les développements autour des lanceurs Ares pour en faire qu'un seul lanceur modulable au lieu de 2 lanceurs (dépense aberrante pour rien)

 

   Mais le problème va + loin, car a l'origine la NASA elle voulait ni + ni - que remplacer la navette par une nouvelle navette : Fin des années 90 a la NASA c'était le mot d'ordre, dès qu'ils auraient essuyés les fortes dépenses autour de l'ISS : Le développement d'une nouvelle navette + safe devait être lancé et la première aurait probablement volé entre 2010 & 2015 et ils l'auraient déja la a disposition aujourd'hui ...

 

   Mais y a eu Columbia en 2003 qui au final sera un désastre pour ce projet de base qui était le bon de simplement remplacer la navette par une autre remaniée et + modulables + safe ... (un train spatial fortement corrigé sur ces points critiques) car cela accouchera par l'abandon de tout projet de nouvelle navette pour opter sur des lanceurs fusées lourds & super lourds ... Ce qui est idiot car en aucun cas une fusée serait + sécurisante qu'une navette :

 

    Les chances d'exploser en vol a l'ascension sont les mêmes ... Par contre les chances d'exploser au retour sont certes + faibles avec les concepts de capsules il est vrai du fait que cela impose des boucliers thermiques "simples" et qui sont les + robustes et surs ...

 

   Mais bon, les 2 accidents sur la navette étaient des accidents qui auraient put être évité :  Des mousses d'isolants pouvant se détacher si facilement du réservoir principal, il était évident que c'était un éceuil sécuritaire qui allait tot ou tard poser problème ... Tout ça pour éviter du cumul de glace, glace qui de tout façon tombait intégralement sans broncher avant que la fusée ne prenne de la vitesse a l'époque des Saturn 5 : Ces couches d'isolant au final ont crée le problème au lieu d'en régler un ...

 

     Et une nouvelle navette aurait en + très bien pu servir au retour sur la Lune comme le prévoyait le programme Constellation : 

 

   Il suffisait d'augmenter les volumes de soute sur la nouvelle navette remaniée pour pouvoir intégrer un LEM dans la soute, et développer une version cargo du train spatial de lancement de la navette pour mettre en orbite basse un tanker de carburant cargo (avec éventuellement du matos lunaire dans le module cargo a récupérer pendant le transit lunaire) et se servir de ce tanker pour pouvoir lancer la navette en transit lunaire ... Et d'ailleurs c'était une chose potentiellement possible avec l'ancienne navette aussi :

 

   Elle était coincée a une capacité d'orbite basse uniquement a cause de ses réservoirs carburants limités qu'a de la prise de vitesse orbitale, manoeuvres et manoeuvres de retour, il aurait suffit de lui accorder un tanker de carburant pour envisager un transit lunaire : Mais ça n'aurait probablement servi a rien car la soute pas assez large pour abriter un LEM (en longueur elle le fait, mais en largeur pas vraiment ...)

 

    Mais la politique US a préféré céder a l'émotion de l'accident de Columbia en 2003 pour mettre Constellation sur des roulettes (beurre politique sur un programme spatial fort) et l'imposer a la NASA qui elle réclamait depuis 5 ans simplement des fonds pour développer une nouvelle navette safe car ils étaient déja conscient des éceuils de celles qu'ils exploitaient ...

 

    Et puis bon finalement la navette ils l'ont exploité jusqu'en 2011 ... Ils pouvaient très bien continuer a l'exploiter encore pour que tout cela ait un sens, d'autant qu'entre 2003 et 2011 elle n'a pas posé de problèmes ...

 

    De la, vraiment ils ne peuvent que s'en prendre a eux même d'avoir eu une politique spatiale pendant près de 10 ans complêtement inconséquente

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  • 2 weeks later...
  • 1 month later...

http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/astronautique-iss-bacteries-ont-resiste-peu-vide-spatial-53580/

 

Sur l'ISS, des bactéries ont résisté — un peu — au vide spatial


Bien que très faible, le risque existe que des micro-organismes terrestres embarquent sur des engins spatiaux et parviennent sur d’autres mondes. C'est ce que démontre une expérience réalisée sur une plateforme externe de l'ISS. Toutefois, leur survie implique qu'ils soient protégés d'une manière ou d'une autre contre les UV solaires et le rayonnement cosmique.

 

Une lecture rapide de trois travaux publiés dans la revue Astrobiology sur la faculté des micro-organismes à survivre à un vol spatial de longue durée tend à montrer que des formes de vie terrestres sont susceptibles de survivre dans des environnements spatiaux et martiens. C’est un raccourci qu’il faut éviter de prendre, nous explique Jean Cadet, coauteur d’une des études et conseiller scientifique au CEA de Grenoble. « Si des spores de bactéries ont bien résisté, c’est seulement en raison de conditions particulières. »

 

Les chercheurs ont utilisé la Station spatiale internationale et l'expérience Expose, un équipement dédié à l'exobiologie développé par l’Agence spatiale européenne et installé sur la plateforme Eutef, sur le module Columbus. Il est conçu pour permettre l'exposition d'échantillons chimiques et biologiques à l’environnement spatial tout en enregistrant un certain nombre de paramètres, dont la température et la durée effective de l’exposition à la lumière solaire du vide et aux rayonnements cosmique et galactique.

 

RTEmagicC_columbus_eutef_expose_iss_nasa

Le module Columbus et la plateforme (à droite) sur laquelle est installée l'expérience Expose. © Nasa

Pendant 18 mois, différents organismes terrestres ont ainsi été exposés au vide spatial. Une première expérience a consisté à suivre la survie d’organismes cryptoendolithiques, notamment des microchampignons noirs. Intéressant les exobiologistes, ils se développent au sein même des roches en proliférant dans les espaces laissés libres entre les grains de minéraux. Les scientifiques ont également testé des lichens épilithiques, qui vivent non pas à l’intérieur des roches, mais à l’extérieur. Ces organismes ont été choisis en raison de leur très grande adaptabilité aux conditions environnementales extrêmes de leurs habitats naturels. Presque 18 mois d’expositions aux UV solaires, aux rayons cosmiques et aux variations de température n’ont pas eu raison de certains d’entre eux. Selon les chercheurs, ces organismes se seraient mis dans une sorte d’état de stase en attendant des conditions de vie plus favorables. Explications.

L’ultraviolet, rayonnement le plus délétère pour les spores dans l’espace

Une des expériences a montré que les spores de la souche SAFR-032 de Bacillus pumilus (disposées en monocouche) sont plus sensibles à l’exposition à la lumière UV dans le vide que les spores bactériennes de Bacillus subtilis (qui s'installent en un biofilm de plusieurs couches de cellules). L’intérêt de cette étude s’explique par la résistance plus ou moins élevée de certaines spores bactériennes aux techniques utilisées pour nettoyer les engins spatiaux qui impliquent une exposition au rayonnement ultraviolet et un traitement par le peroxyde d’hydrogène (ou eau oxygénée).

Pour les besoins de l’expérience, ces spores ont été disposées à l’état sec sur des parties en aluminium utilisées dans la conception des engins spatiaux. Au terme de ces 18 mois exposés au vide spatial, à des fluctuations importantes de température et à une atmosphère martienne simulée, « nous nous sommes rendu compte que les organismes les plus résistants avaient bénéficié de conditions exceptionnelles, au premier rang desquelles une disposition en multicouches, les uns sur les autres, de sorte que ceux de dessus faisant office de protection physique naturelle », expliquent les chercheurs. Parmi toutes les spores de cette bactérie qui ont survécu, certaines présentaient des concentrations élevées de protéines associées à la résistance au rayonnement ultraviolet.

 

RTEmagicC_exposeE_life_spores_Vaishampay

Les spores de la souche SAFR-032 de Bacillus pumilus de l'expérience Expose à l'extérieur de la Station spatiale internationale. En haut à gauche, on voit le support en aluminium (bare aluminum). En haut à droit, une monocouche de spores (monolayer of spores). Au milieu, une image de contrôle avant le vol (control before flight) et un cliché au niveau d’un défaut du support (pits and faults). En bas, des portraits rapprochés des spores avant l’expérience (ground control) et après 18 mois d’exposition aux UV dans l’espace (spores after UV-Space). © P. Vaishampayan et al., Astrobiology

Changer les règles de la protection planétaire

La plupart de ces organismes ont été tués, mais lorsque les rayons UV sont filtrés et les échantillons conservés à l'obscurité, environ « 50 % d’entre eux ont survécu à ces conditions ». C'est pourquoi il est probable que les spores peuvent survivre à un voyage sur un vaisseau spatial vers Mars « à la condition d’être abritées des rayons du soleil », peut-être dans une anfractuosité de la surface de l'engin spatial ou protégées par une couche d'autres spores.

Ces résultats auront vraisemblablement des répercussions sur les règles de la protection planétaire. La démonstration que des micro-organismes peuvent résister à un voyage à destination de Mars, à la condition qu’ils soient protégés du rayonnement ultraviolet du vide, ne sera évidemment pas sans conséquence sur les procédures d’exploration humaine et robotique du Système solaire.

Si la colonisation à l’échelle d’une planète est peu probable, la contamination du site d’atterrissage est du domaine du possible. Elle pourrait fausser les résultats scientifiques, car il sera très difficile, voire impossible, de déterminer si cette forme de vie vient la planète explorée ou de la Terre.

La vie est-elle passée d'une planète à une autre ?

Les résultats de ces études alimentent le débat sur la lithopanspermie. Selon cette théorie, lesgermes de la vie terrestre proviendraient de micro-organismes apportés par des comètes et desastéroïdes écrasés sur Terre pendant l’enfance du Système solaire, lorsque la Terre et ses voisines planétaires auraient été assez proches les unes des autres pour s’échanger des lots de matière solide. Ce qui est vrai dans un sens l’est également l’autre : la vie terrestre a très bien pu s’exporter vers d’autres planètes du Système solaire.

En démontrant que des organismes cryptoendolithiques sont capables de survivre au moins 18 mois dans l’espace, et ce bien que cette durée soit loin d’être comparable avec les milliers ou millions d’années nécessaires à la lithopanspermie, ces données constituent la première preuve directe que des organismes à l’intérieur de roche seraient susceptibles de voyager dans l’espace.

Toutefois, « pour que ce transfert de vie entre planètes soit viable, il faut absolument qu’il y ait une protection physique » contre la lumière ultraviolette, ce qui en soi démontre les limites de ce scénario... Les chances de survie d’un micro-organisme dépendent d’une combinaison de facteurs favorables qui doivent être présents. Ce micro-organisme doit être camouflé à l’intérieur de la roche, capable de rester endormi et avoir la faculté de réparer efficacement les dommages de moléculescibles comme les acides nucléiques.

 

 

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  • 5 weeks later...

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