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Armée Suisse


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  • 2 weeks later...

L’armée suisse vers une sérieuse cure d’amaigrissement

Dans une interview à un journal dominical, le ministre de la défense Ueli Maurer annonce vouloir diminuer les effectifs d’un bon tiers d’ici une dizaine d’années. Il souhaite également réduire la voilure dans le domaine des armes lourdes comme l’artillerie et les chars, estimant qu’une guerre impliquant des blindés en Europe est assez improbable.

De 120 000 militaires actifs, l’armée passerait à 80 000 hommes. Les réservistes pour leur part ne seraient plus 80 000 mais 40 000.

Une décision que soutient la députée Evi Alleman, du parti social démocrate au pouvoir.

“ Ces réductions, dit-elle, découlent de la prise en compte des réalités d’aujourd’hui. Le ministre de la défense devait en tenir compte. Notre armée ne peut plus être financée et n’est plus adaptée.”

L’opposition conservatrice s’inquiète, à l’image du député Ulrich Schlüer : “C’est vraiment l‘étiage le plus bas. 80 000 soldats pour des missions de surveillance étendue, ce n’est pas suffisant. Si l’armée suisse devait surveiller la voie ferrée entre Zurich et Lausanne, ce ne serait même plus possible.”

Le ministre souhaite toutefois développer les missions à caractère humanitaire à l‘étranger.

Pays neutre, la Suisse n’a pas été directement impliquée dans un conflit armé depuis le XIXème siècle.

http://fr.euronews.net/2009/08/16/l-armee-suisse-vers-une-serieuse-cure-d-amaigrissement/

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  • 2 weeks later...
  • 1 month later...

Ah l'armée suisse et l'informatique...  :lol:

Armée: matériel informatique incompatible pour des centaines de millions

DÉPENSES MILITAIRES | Interrogé par le «SonntagsBlick», le ministre de la défense Ueli Maurer reconnaît que la "Grande Muette" a tout simplement trop dépensé en matériel informatique.

Alors que le chef de l'armée répète dimanche que ses troupes manquent de moyens, Ueli Maurer révèle que ces dernières années des centaines de millions de francs ont été dépensés en matériel informatique. On a tout simplement trop acheté, reconnaît le ministre de la défense.

Comme exemple le plus parlant, il cite dans le «SonntagsBlick» le système d'information et de conduite FIS des Forces terrestres, acheté pour environ 700 millions de francs sous l'égide du chef de l'armée d'alors Christophe Keckeis et du ministre de la défense Samuel Schmid. Le FIS aurait dû permettre aux hauts gradés de diriger les batailles depuis un écran d'ordinateur.

Or, il n'en est rien pour l'instant. Bien que le système ait déjà été acquis dans les programmes d'armement 2006 et 2007, il ne pourra être introduit qu'à partir de 2011 et ce n'est qu'à partir de 2015 qu'il pourra être complètement utilisé par la troupe, selon Ueli Maurer. On peut toutefois se demander si le logiciel sera alors encore à la pointe, relève le conseiller fédéral.

Pas l'unique fiasco

Le FIS n'est toutefois pas le seul fiasco informatique de l'armée: au total, l'institution a acquis ces dernières années quelque 500 programmes d'ordinateur incompatibles entre eux. Il existe en outre environ 2000 appplications, dont une partie a été

développée au sein même de l'armée. «Nous ne sommes tout simplement pas en mesure de tout exploiter», déclare Ueli Maurer.

Pour corriger ces erreurs, le conseiller fédéral veut supprimer une partie de ces coûteux logiciels. Pour régler le reste des problèmes, il veut engager 50 employés supplémentaires et mettre sur pied une cellule d'intervention comprenant des experts externes. «Dans cinq ans, tout le système informatique fonctionnera», assure Ueli Maurer.

Le chef du Département fédéral de la défense ne veut pas désigner de coupables. L'armée a été réformée en permanence et le Parlement a chaque fois accepté le programme d'armement, relève Ueli Maurer. «Ce serait facile de chercher maintenant un unique coupable».

Manque de 725 millions

En septembre, Ueli Maurer s'alarmait du manque de moyens à disposition pour l'armée, qu'il chiffrait alors à un demi-milliard par année. Le chef de l'armée André Blattmann évalue même à 725 millions de francs les besoins supplémentaires pour ses troupes.

Interrogé par le journal «Sonntag», André Blattmann dit accepter les volontés d'économies des politiciens. «Mais cela signifie que seules deux brigades sur neuf sont suffisamment équipées» et que les soldats ne disposent pas d'assez de véhicules pour remplir leur mission, notamment en matière de sécurité intérieure. Et de citer la surveillance de l'axe de transport entre Bâle et Chiasso (TI).

André Blattmann est toutefois confiant d'obtenir davantage de moyens à partir de 2011, malgré le programme d'économies du Conseil fédéral. Selon lui, l'armée, contrairement à d'autres secteurs, a déjà économisé ces dernières années. Avions de combat

Un argument repris par le président du PLR Fulvio Pelli pour affirmer qu'il y a assez d'argent pour acheter des nouveaux avions de combat, contrairement à ce qu'a dit Ueli Maurer. Derrière cet argument, il y a davantage la volonté du conseiller fédéral de «fixer d'autres priorités et de répartir différemment l'argent au sein de l'armée», déclare le Tessinois dans la «Zentralschweiz am Sonntag».

http://www.24heures.ch/armee-materiel-informatique-incompatible-centaines-millions-2009-10-25

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  • 1 month later...
  • 1 month later...

Couac informatique dans la gestion des munitions rendues

L'armée suisse n'est pas sûre que quelque 100'000 militaires aient bien rendu leurs munitions comme ils devaient le faire. Ce problème résulte d'un couac informatique. Pour y remédier, des soldats examinent manuellement les livrets de service des personnes concernées.

Après plusieurs incidents survenus avec des armes de service, le Parlement avait décidé en automne 2007 que les munitions de poche devaient être restituées. A fin novembre, environ 80% des munitions avaient été rendues, avait alors indiqué l'armée.

Le nombre de munitions manquantes pourrait toutefois être inférieur, car le système informatique de l'armée a révélé des lacunes. "On a constaté des défaillances potentielles pour environ 100'000 militaires", a dit Christian Burri, porte-parole de l'armée.

Pour remettre ses données à jour, l'armée a demandé les livrets de service de toutes les personnes concernées. Et des soldats comparent maintenant les données qui figurent dans la base de données informatique avec celles qui se trouvent dans les livrets de service.

La cause de la panne informatique n'est pas encore connue. L'armée s'attellera à l'éclaircir dès la fin de l'opération de mise à jour, a précisé M. Burri.

(ats / 14 janvier 2010 21:17)

http://www.romandie.com/infos/ats/display.asp?page=20100114211751010172019048000_brf062.xml&associate=phf1144

L'armée suisse et l'informatique, ça fait vraiment 2...

Le plus "drôle" serait qu'une partie de ces soldats aient paumés leur livret de service...  :happy:

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  • 1 month later...

Programme d'armement 2010:

-> du matériel de support pour les EC-635.

y avait pas le fric pour l'acheter en même temps que les appareils...  :P

-> 2 PC-21 supplémentaires.

les forces aériennes croyaient pouvoir former 6 pilotes par an (en une seule volée) avec 6 machines...  :lol:

-> 2526 véhicules de transport ou logistiques. Des camions (910, des IVECO très probablement), des véhicules utilitaires (1250 de 2 types au moins, des Mercedes Sprinter, très probablement), des chariots à fourche, etc.

Je sens que les Saurer "Grue" risquent de devenir des objets très convoités, s'ils s'amusent avec les nouveaux camions sur les pistes tout terrain actuelles.  :happy:

Parce qu'un Iveco, c'est beau, peu polluant, ça a la clim, l'autoradio, mais quand il s'agit de faire autre chose que de la conduite sur route, ça vaut pas un bon vieux Saurer... :happy:

Et pendant ce temps là, les Puch G sévissent encore et toujours... je VEUX des Eagle IV non blindés pour remplacer ces bouses sur roues...

Le PDF édité par la confédération sur le sujet: http://www.news-service.admin.ch/NSBSubscriber/message/attachments/18292.pdf

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  • 1 month later...

"Le chef de l’armée suisse, le général André Blattmann, aurait peut-être dû y réfléchir à deux fois avant de dessiner sa « carte secrète » des menaces pesant sur la Confédération helvétique.

Le 14 mars, la télévision suisse révélait ainsi une carte de l’Europe indiquant la France, l’Espagne ou encore la Grèce et le Portugal comme possibles foyers de troubles sociaux, ceux-ci pouvant entraîner des mouvements migratoires vers la Suisse et provoquer une éventuelle intervention de l’armée !

La Suisse aurait-elle un complexe obsidional ? Le général a dû s’expliquer devant une Commission parlementaire de la défense très remontée. Car cette dernière a eu aussi fort à faire avec le ministre suisse de la Défense (conseiller national) Ueli Maurer. De nombreux parlementaires lui reprochent de faire traîner les réformes attendues depuis des années par l’armée suisse. L’explication de l’attentisme de Maurer se trouverait dans le programme de son parti, l’Union démocratique du centre, qui favorise le maintien de l’autonomie militaire et la seule défense des frontières.

L’automne dernier, les parlementaires ont déjà prié Maurer de revoir son rapport sur la sécurité nationale, jugé trop vague. La deuxième version doit être discutée au sein du gouvernement avant les vacances de Pâques. Mais déjà, les bonnes pages ont filtré et semblent confirmer qu’il ne « faut pas trop en attendre », comme l’a lui-même déclaré M. Maurer aux parlementaires helvétiques.

Selon la télévision suisse romande, qui s’est procurée le document, le texte évoque tous les types de risques pouvant concerner la défense nationale, des catastrophes naturelles aux mouvements migratoires en passant par les attaques de réseaux informatiques ou le terrorisme.

Mais pour les réformes, le rapport préconise avant tout le statu quo, c’est-à-dire le maintien d’une armée de milice, avec obligation de service militaire, ou au mieux « des réformes à petits pas ». Le concept stratégique met en avant le développement d’une communauté nationale de défense (Confédération, cantons et communes) et relègue clairement au second plan les collaborations internationales avec d’autres états, sans toutefois les exclure complètement.

En fait, seul l’engagement « compatible avec la neutralité » et limité « d’individus et de petits détachements sans armes » est prévu. Enfin, le rapport se contente de survoler un sujet pourtant très attendu. A savoir le remplacement des avions de l’armée suisse. Devant le Parlement, le ministre Maurer s’est contenté de reconnaître l’importance d’une présence dans les airs. Mais il a aussi expliqué que si la surveillance radar de l’espace aérien était permanente, la Suisse était le seul pays « qui ne peut intervenir que pendant les heures de bureau ». Et c’est vrai, la chasse suisse ne vole que de 8h à 17h !".

http://www.ttu.fr/francais/Articles/Actualite%20des%20forces/menacesuisse.html

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je corrige, la chasse vole de 8h à 12h, et de 13h30 à 17h30... :lol:

Faut bien que le personnel puisse aller prendre son repas de midi.  :happy:

Quant aux menaces, à une époque, l'OTAN était une menace quasiment aussi sérieuse que le bloc soviétique (même si les russes attaquaient l'OTAN à l'est, la Suisse resterait neutre et défendrait son territoire contre une quelconque invasion, y compris des forces de l'OTAN). D'ailleurs les troupes suisses s'entrainaient à la fois pour résister à l'armée rouge, mais aussi au passage des armées de l'OTAN de l'ouest au nord-est. Bien sûr, les soldats n'étaient pas au courant...

(en gros, l'état major estimait qu'il fallait tenir environ 10 jours, le temps de pouvoir négocier un accord).

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  • 4 weeks later...

On connait le nombre de troupes professionnelles suisses?

En ce qui concerne les troupes aptes au combat, il n'y a pas grand chose...

Les commandos du DRA 10 (environ 100/200 personnes à terme je crois), déployables rapidement à l'étranger, en cas de besoin,

La sécurité militaire, qui assurent des missions très très variées, allant de la protection de personnalités aux contrôles de routine des militaires de milice en passant par les missions à l'étranger et la protection d'installations et de convois sensibles. Et encore, certaines installations (notamment les aérodromes), sont surveillés par des civils en temps normal...

Le reste des professionnels de l'armée suisse se concentrent surtout dans les domaines suivants:

logistique (arsenaux, gestion des ouvrages militaires, etc.), mais c'est en majorité du personnel civil (renforcés par des militaire de milice),

planification/conduite de l'armée,

forces aériennes, mais là aussi, en dehors des pilotes et du commandement, il s'agit en grande majorité de civils (renforcé par des militaires de milice en cas de besoin).

instructeurs (qui ne font qu'encadrer les officiers et sous-officers de milice, qui eux encadrent la troupe), sauf quand il s'agit d'instruction technique.

renseignements, mais alors là c'est vraiment opaque...

Les grandes unités, que ce soit dans l'infanterie, les troupes blindées, l'artillerie, les troupes de sauvetage, les troupes sanitaires, sont composées en grande majorité de militaires de milice, y compris au niveau de l'encadrement (il existe des brigadiers de milice en suisse, hors un brigadier ça correspond à un général une étoile dans d'autres pays...). A une époque (guerre froide), ces unités devaient pouvoir entrer en service en quelques jours. Actuellement, la doctrine parle plutôt d'une remontée en puissance progressive. Les soldats déjà en partie formés recevraient une formation complémentaire allant de quelques jours à quelques mois suivant l'unité ou le statut du soldat (en école de recrue, en service long, en cours de répétition, dans la réserve*) avant d'être déclarés opérationnels.

Pour les interventions non planifiées en suisse (notamment pour le secours en cas de catastrophe**), l'armée dispose de soldats de milice en service long* regroupés dans des compagnies voir des bataillons, mobilisables rapidement en cas de besoin. Elle peut aussi faire appel aux écoles de recrue en fin de formation.

Pour les missions planifiées à l'avance, l'armée fait appel aux bataillons/compagnies de milice, qui sont appelés sous les drapeaux dans le cadre d'un cours de répétition*. Ils assurent alors des missions de surveillance, de logistique, de transport aérien, de police aérienne (enfin support de la police aérienne), etc. Mon unité a par exemple été engagé lors d'une visite de Medvedev en Suisse, d'autres ont étés engagés pour le World Economic Forum de Davos, etc.

En ce qui concerne, les contingents suisses déployés à l'étranger (sauf quand il s'agit juste de quelques observateurs) sont composés de militaire non professionnels volontaires. Ils reçoivent d'abord une formation pendant quelques mois, puis sont déployés, et une fois rentré au pays, sont libérés de leurs obligations militaires.

*le format de base c'est 21 semaines de formation (école de recrue) puis 5 ou 6 cours de répétition de 3 semaines, au rythme d'un par année. Les soldats en service long font directement 300 jours de service. Ils sont ensuite placés dans la réserve pour environ 10 ans et en cas de crise grave pourraient être rappelés sous les drapeaux.

**en complément à la protection civile, un autre organisme de milice suisse, chargé lui de renforcer les moyens de sauvetage professionnels ou semi-professionnels (pompiers, ambulanciers, police, etc.) en cas de catastrophe ou autres.

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  • 3 weeks later...

Armée suisse: les chaussettes révolutionnaires ont été testées

Une soixantaine de recrues ont fini de tester les nouvelles chaussettes censées protéger les pieds des ampoules. Chaque jour, ils ont effectué des marches de 6,5 kilomètres avec la dizaine de prototypes ainsi qu'avec une nouvelle sorte de souliers militaires.

[...]

L'armée a prévu d'équiper ses soldats des nouvelles chaussettes et souliers en 2013. L'armée israélienne a déjà franchi le pas. Elle a fourni en mars à ses soldats des chaussettes qui peuvent être portées non-stop pendant deux semaines d'affilée sans dégager de mauvaises odeurs ni devenir antihygiéniques.

(ats / 07 mai 2010 16:05)

La suite là: http://www.romandie.com/infos/ats/display.asp?page=20100507160546110172019048164_brf041.xml&associate=phf1731

Je sais pas pourquoi, mais je sens que mes bonnes vielles KS*, je vais me les coltiner jusqu'à la fin de mes obligations militaires...  :P

Remarque ça restera en armonie avec mon casque 71**... :lol:

*Kombat Schuhe; bottes de combat en français; les autocuiseurs Rangers portées par les soldats suisses au quotidien...

**71, c'est l'année de conception...  :lol:

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C'est le vendeur de militex qui va pas être content, je pense que ses chaussettes étaient le produit qui lui rapportait le plus.  :oops:

Même si nos bottes ne sont pas parfaites, elles ont le mérite de bien protéger des chocs et des entorses.

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Dérapages à répétition dans la Swisscoy

KOSOVO | Beuveries, visites de prostituées, bastons et désœuvrement: l’hebdomadaire alémanique «Weltwoche» dresse un portrait peu reluisant des soldats suisses engagés au Kosovo.

L’engagement militaire au Kosovo fait partie des missions prestigieuses de l’armée suisse. Les soldats qui rentrent au pays après leur mission de pacification sont accueillis en héros lors de parades où se trouve convié le gratin militaire et politique.

A en croire une enquête de la «Weltwoche», l’envers de la médaille est bien moins reluisant. L’hebdomadaire de droite cite des sources porches du commandement qui dénoncent les excès de la soldatesque helvétique et le laisser-aller de l’ancien commandant. Selon ces gradés anonymes en raison du secret de fonction, le chaos, l’abus d’alcool et la fréquentation de bordels sont à l’ordre du jour dans la Swisscoy.

[...]

la suite là: http://www.24heures.ch/derapages-repetition-swisscoy-2010-05-13

Par contre, je corrige un truc, en tout cas en suisse romande, tout le monde s'en fout des soldats déployés aux Kosovo... :P

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Par contre, je corrige un truc, en tout cas en suisse romande, tout le monde s'en fout des soldats déployés aux Kosovo... :P

Je confirme, la seule motivation pour aller au Kosovo c'est le salaire plus élevé.

Le seul retour d'expérience que nous avons à ce sujet, c'est des conseils sur la mise en place des checkpoints (et encore).

D'ailleurs les mauvaises langues diront qu'il suffit d'aller à Renens pour faire la même mission avec le même genre de "clients"  :lol:

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Franchement, moi je le trouve pas si mal ce film (pour un film suisse  :lol: ), en tout cas si on aime les clichés bien gros... (mais des non-suisses auront du mal à comprendre).

En tout cas il est bien meilleur que "Les faiseurs de Suisse"...

Personnellement, je crois que ce qui m'a achevé, c'est, comme Cadia l'a dit, le coup du commandant qui tire au Panzerfaust sur la voiture des mafiosis...

PS: pour ceux qui veulent éventuellement regarder, le film s'appelle "A vos marques, prêt, Charlie":

http://www.charlie-lefilm.ch/

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  • 5 weeks later...

l'UDC veut la mort du DRA 10, la seule unité combattante un peu utile de l'armée suisse...  =(

Nouvelle salve contre les troupes du DRA 10

POLÉMIQUE | L’UDC réclame la dissolution de l’unité spéciale d’intervention. Avec le soutien d’une partie de la gauche. Une proposition sera déposée aujourd’hui devant la Commission de la politique de la sécurité.

ITH MAYENCOURT | 28.06.2010 | 00:01

Les jours des troupes du DRA 10 sont-ils comptés? Deux semaines après le retour de Max Göldi, chaque jour apporte son lot de révélations sur les tentatives d’exfiltration des otages suisses. Avec un focus de plus en plus précis sur le détachement de reconnaissance de l’armée. Et les questions affluent. Le DRA 10 est-il intervenu – directement ou indirectement – sur le terrain? Pour quelle mission? Et sur l’ordre de qui précisément?

Selon l’enquête publiée hier par la SonntagsZeitung et Le Matin Dimanche, l’unité spéciale ne se serait jamais rendue en Libye. En revanche, elle aurait apporté son soutien logistique aux Services de renseignements suisses (SRS). L’armée aurait fourni des radios haute fréquence et des systèmes de navigation GPS nettement plus perfectionnés que des appareils civils. Et le DRA 10 aurait également formé quelques hommes des SRS à une possible intervention dans le désert. Une mission d’appui donc, sans incursion directe en Libye.

Ces précisions seront-elles de nature à calmer les craintes de l’UDC, qui réclamait mercredi dernier la dissolution du DRA 10? Rien n’est moins sûr. Samedi, le parti, réuni à Delémont, a lancé une nouvelle salve contre l’unité, accusée de porter atteinte à la neutralité et à l’intégrité de la Suisse. Toni Brunner, président de l’UDC, se dit prêt à lancer une initiative populaire pour interdire tout engagement militaire à l’étranger. «Nous ne lâcherons pas prise, jusqu’à ce que ces engagements soient totalement supprimés. L’armée doit défendre le pays et protéger la population. Fertig!» précise-t-il dans une interview au SonntagsBlick. Et tant pis si cette attaque embarrasse l’ancien président de l’UDC et actuel chef du Département de la défense, Ueli Maurer.

La gauche partagée

La droite blochérienne ne se retrouvera pas seule dans son combat, puisque le premier à dégainer est le Vert zougois Jo Lang. Membre du Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA), le conseiller national va déposer aujourd’hui une proposition dans ce sens auprès de la Commission pour la politique de sécurité. Il pourra sans doute compter sur le soutien d’une partie de la gauche, depuis toujours très partagée quant à la création du DRA 10.

http://www.24heures.ch/actu/suisse/nouvelle-salve-contre-troupes-dra-10-2010-06-27

En tout cas moi je suis à 200% d'accord avec le premier commentaire de l'article...

Y a pas un dictateur qui voudrait prendre en otage un ou deux membres influents de l'UDC (surtout Uli Maurer comme ça on ferait d'une pierre deux coups), histoire qu'ils comprennent ce que le DRA10 aurait pu leur apporter (ils sont contre l'engagement du DRA10 à l'étranger, donc on va respecter leur souhait et les laisser pourrir sur place sans envoyer le DRA10 les chercher...).

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  • 2 months later...

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