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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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le juridisme ça a jamais rien empeché, compliqué les choses tout au plus.

Sauf que tu ne peux pas mécaniquement d’empêcher un pays d'aligner sa monnaie sur la tienne ;) S'il a suffisament de réserve de change pour assurer la contrepartie, ou s'il utilise tes billets dans son économie. Y a plein d'endroit du monde ou on paye en dollar US sans qu'on ait demandé leur avis aux USA.

Dans C dans l'air ils on enfin expliqués comment ça se passerait pour la dette en Euro d'un pays qui sortirait de l'Euro: mettons que, au hasard, la Drachme Greque soit rétablie, elle le serait a un Euro pour une Drachme, et la dette en Euro serait convertie en Drachme. Inutile de preciser que dans l'heure qui suivrait la valeur de la Drachme serait divisée par deux .. et donc aussi la valeur de la dette Greque en Euro. Bien qu'il y a toujours l'espoir pour les preteurs que la Drachme remonte.

Ca s'appele un défaut de paiement ... soit il honore leur dette en euros en euros, soit ils l'honorent pas. Sauf qu'il on un deficit budgétaire primaire et une balance commercial déficicitaire. Il leur faudra donc pouvoir échnager le drachme pacotille contre des euro ou des dollar pour pouvoir importe de la bouffe ou des médoc. La seule chose qui va s'arrnager c'est qu'il pourront payer leur policier et leur retraité... c'est tout.

Sortir de l'Euro ça m'a l'air du bon sens pour la Grece. Peut etre pour la France aussi d'ailleurs.

Il a une drole de tete ton bon sens :lol:

Les Argentins on envoyés balader le FMI dans les années 90 et ont laissés filer leur monnaie. 10 ans plus tard ils étaient excédentaires.

La classe moyenne et moyenne supérieur argentine a été lessivé par la crise ... seul les riche informé avait planqué leur argent au paraguay, les autre on sévérement morflé. Les cadre supérieure faisait cartoneros pour acheter a bouffer!!! le taux de pauvreté est arrivé a presque 60% de la population, presque 30% en extreme pauvreté!!! Accessoirement la dette a été tres fortement restructuré, il y a eu un grooooos effacement et le reste a était largement étalé a taux favorable. On a eu de l'inflation en pic a 10% par mois! le PIB en dollar a baisser de 66%! Mieux l'Argentine a toujours un taux d'endettement de 45%/PIB!

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Le preteur hors "zone Drachme"  ;) par contre si la Drachme vaut des cacaouettes, il touchera des cacaouette. Rien de scandaleux a ça, ça lui apprendra a preter à n'importe qui.

Sûrement pas.

Pour que cette partie de la dette puisse être convertie en Drachme, il faut l'accord du pretteur. L'emprunt est libellé en Euro et cette monaie existe toujours. Donc aucune raison de changer.

Question que je me pose:

Si les banques grecques ont des prêts en Euro ou Dollars, alors en cas de dévaluation du Drachme, c'est bon pour elles?

Rappelle toi bien qu'une partie de notre niveau de développement est a crédit.

Très juste.
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La classe moyenne et moyenne supérieur argentine a été lessivé par la crise ... seul les riche informé avait planqué leur argent au paraguay, les autre on sévérement morflé. Les cadre supérieure faisait cartoneros pour acheter a bouffer!!! le taux de pauvreté est arrivé a presque 60% de la population, presque 30% en extreme pauvreté!!! Accessoirement la dette a été tres fortement restructuré, il y a eu un grooooos effacement et le reste a était largement étalé a taux favorable. On a eu de l'inflation en pic a 10% par mois! le PIB en dollar a baisser de 66%!

10 ans plus tard tout ça était effacé. ça s'appelle une purge. Ou un retour brutal dans la réalité.

Bon pour ce qui est de la convertion de la dette exterieure Greque en Drachme, je ne fait que reporter ce qu'un gars qui avait l'air de s'y connaitre a dit dans C dans l'air.

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Greek Democracy

Competitive politics, i.e. democracy, should bring out in the open available information. Here is a valuable contribution by Ambrose Evans-Pritchard (“Revenge of the Sovereign Nation” in The Telegraph),  here

about the Europeans' so-called "rescue plans" supposedly meant to "save" Greece, but in reality pushing the Greek economy over the brink in order to try to save the euro.

Excerpts:

… “the Greeks are stripping away the self-serving claims of the creditor states that their “rescue” loan packages are to “save Greece”.

They are nothing of the sort. Greece has been subjected to the greatest fiscal squeeze ever attempted in a modern industrial state, without any offsetting monetary stimulus or devaluation.

The economy has so far collapsed by 14pc to 16pc since the peak – depending who you ask – and is spiralling downwards at a vertiginous pace.

The debt has exploded under the EU-IMF Troika programme. It is heading for 180pc of GDP by next year. Even under the haircut deal, Greek debt will be 120pc of GDP in 2020 after nine years of depression. That is not cure, it is a punitive sentence.

Every major claim by the inspectors at the outset of the Memorandum has turned out to be untrue. The facts are so far from the truth that it is hard to believe they ever thought it could work. The Greeks were made to suffer IMF austerity without the usual IMF cure. This was done for one purpose only, to buy time for banks and other Club Med states to beef up their defences.

It was not an unreasonable strategy (though a BIG LIE), and might not have failed entirely if the global economy recovered briskly this year and if the ECB had behaved with an ounce of common sense. Instead the ECB choose to tighten.

When the history books are written, I think scholarship will be very harsh on the handful of men running EMU monetary policy over the last three to four years. They are not as bad as the Chicago Fed of 1930 to 1932, but not much better.

So no, like the Spartans, Thebans, and Thespians at the Pass of Thermopylae, the Greeks were sacrificed to buy time for the alliance.

The referendum is a healthy reminder that Europe is a collection of sovereign democracies, tied by treaty law for certain arrangements. It is a union only in name.”

Excellent summary.

Posted by Jean-Jacques Rosa at 7:51 AM

http://jjrosa.blogspot.com/2011/11/greek-democracy.html
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Là, c'est autrement plus gros:

Le président du Conseil va arriver à Cannes avec des mesures contre la crise, alors que l'Italie a été mise en difficulté, mardi, par la panique qui a saisi les marchés.

Après des semaines de tergiversations, Silvio Berlusconi semble désormais vouloir accélérer sur la mise en oeuvre de réformes en Italie. La panique qui s'est emparée des marchés, mardi, consécutive à l'annonce de la tenue d'un référendum en Grèce, a fragilisé encore un peu plus la situation du pays. Le président du Conseil a ainsi convoqué mercredi soir un conseil des ministres extraordinaire qui a approuvé le plan d'urgence à soumettre au G20.

Cette convocation a été précédée, mercredi matin, d'une réunion préparatoire réunissant les principaux ministres. Réunion suivie de celle du Comité pour la stabilité financière, qui rassemble les plus hautes autorités financières du pays sous la houlette de Ignazio Visco, nouveau gouverneur de la Banque d'Italie.

Parmi les mesures attendues figurent des annonces déjà faites en septembre: réforme du droit du travail, qui simplifie le recours au licenciement, mise aux enchères d'une partie du domaine public (15 milliards d'euros attendus en trois ans), simplifications de structures dans l'administration et privatisations, promesse de révision constitutionnelle dans les meilleurs délais et la libéralisation de certains ordres professionnels. Une taxe sur les patrimoines était aussi envisagée.

Pour sa part, la Banque d'Italie a fait savoir hier, après avoir réalisé un «stress-test» sur la dette publique (égale à 1900 milliards d'euros, soit 120% du PIB), qu'elle était «soutenable et devrait rester stable ou en léger déclin au cours des deux prochaines années, même si les taux sur titres publics atteignaient 8% et que la croissance reste nulle».

«Faire preuve de responsabilité» Silvio Berlusconi avait promis mardi à Angela Merkel de présenter ce plan de relance lors du G20. L'enjeu est crucial pour l'Italie, au moment où les taux d'emprunt à dix ans du pays approchent le «point de non-retour». Les analystes s'attendent à ce que le service de la dette publique (5% environ du PIB) augmente de 18 milliards d'euros en trois ans si les taux restaient ce qu'ils sont.

Dans ce contexte, les commentateurs exhortaient mardi Silvio Berlusconi à «se comporter en homme d'État» et l'ensemble de la classe politique à «faire preuve de responsabilité». Selon Ferrucio De Bortoli, le directeur du Corriere della Sera, le plan de relance est l'unique moyen d'éviter la faillite qui se rapproche dangereusement. Dans un éditorial, mardi, il regrettait le fait que l'Italie, faute de décider, soit devenue un «pays à la dérive».

De son côté, Giorgio Napolitano, le chef de l'État, de plus en plus préoccupé par l'inaction de l'exécutif, l'invitait à prendre, «en ce moment critique», des mesures «efficaces et partagées par l'opposition». Le patronat en faisait de même tandis que deux anciens premiers ministres de gauche, Romano Prodi et Giuliano Amato, dans un appel commun, soulignaient que «le moment est dramatique et commande une action immédiate».

Au sein du gouvernement, la tension est palpable. Mardi soir, Silvio Berlusconi et son ministre de l'Économie, Giulio Tremonti, ont eu des mots lors d'une réunion de «pré-consultations». Réunion marquée par l'absence de plusieurs ministres, dont celle d'Umberto Bossi, le leader de la Ligue du Nord, sans lequel l'exécutif ne peut faire aucun pas.

Le Figaro

Amusant non cette capacité à trouver des plans en 24h. Ça doit être particulierement pointu comme plan!

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10 ans plus tard tout ça était effacé. ça s'appelle une purge. Ou un retour brutal dans la réalité.

Je ne sais pas dans quel reve mouillé tu a vu que c'était "effacé" ... Il a fallu 13 ans pour revenir au PIB de 1998 !!! imagine le manque a gagner phénoménal et le gachis de ces 13 ans!!!

Bon pour ce qui est de la convertion de la dette exterieure Greque en Drachme, je ne fait que reporter ce qu'un gars qui avait l'air de s'y connaitre a dit dans C dans l'air.

Bon en meme temps c dans l'air, les mec on a peine le temps de commencer un phrase que l'animateur s'agite parce qu'il a rien compris ... pas vraiment une référence.

A priori seul la dette souscrit aupres des Grecs ... pourrait etre arbitrairement convertis en Drachme décorrellé de l'euro. Je rappel que la Drachme existe toujours, elle est juste callé sur l'euro au taux de conversion fixé par la BCE le jour du passage a l'euro.

L'énorme souci c'est pas tant la dette ... meme a supposer un effacement complet ... la grece ne pourrait pa ssubvenir a ses besoin. Elle est absolument pas indépendant niveau alimentaire, énergétique etc.

Pour que ca ai un sens il faut avant tout que le deficit public primaire soit nul ... et que la grece soit certaine de pouvoir échanger sa Drachme contre du dollar ou de l'euros pour continuer a importer normalement ce qui lui manque.

Tout cela semble difficile si les grecs claque la porte de l'UE de l'Eurozone et du FMI... Les Argentins avait négocié pas mal de chose avec le FMI, les preteur internationaux etc. pour continuer a avoir une vie économique minimal a l'international, il n'avait pas effacé tout le ur dette non plus. Malgré cela ils ont eu un mal fout a assurer leur approvisionnement énergétique par exemple.

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On s'en tape du PIB en dollar. Ce qui compte c'est le PIB en ppp (purchase power parity : pouvoir d'achat)

En plus j'ai la flemme de chercher les chiffres mais je suis pret a parier que:

- la balance commerciale est bien meilleur aujourd'hui qu'en 2000,

- l'état Argentin n'emprunte plus et on est pas pret de les reprendre.

Bref que la croissance e le PIB Argentin d'aujourd'hui sont bien plus sain et solide que le PIB équivalent des années 2000.

En tout cas ça leur a servi de leçon. C'est ce qu'il nous faut pour dégouter les politiques et les gens qui les élisent du déficit. Un collectivité brasse suffisament de fric, elle n'a aucune raison de s'endetter sauf evenement exceptionnel (guerre, catastrophe naturelle, crise conjoncturelle)

En France il y a un véritable credit crunch pour les collectivités locales. J'ai été scandalisé d'apprendre que l'état volait à leur secours avec la Poste et la cCaisse des Dépots. Mais putain qu'on les laisse faire faillite ! Défaut de paiement, liquidation, licenciements : il y a que les boites qui y ont droit c'est ça ? alors que d'une la faillite c'est pas la fin du monde (je suis passé par là), de deux ça aurait une excellente valeur d'exemple. Quand je pense que je me fait racketter par le fisc et les sociaux pour entretenir tous ces branleurs ça me fout les boules.

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Ils peuvent/pourront pas payer, c'est pour ça qu'on fait défaut. C'est moche pour ceux qui détiennent de la dette mais ça jamais été un investissement 100% risk free, sinon les CDS aurait pas eu autant de succés ...

Je ne sais pas dans quel reve mouillé tu a vu que c'était "effacé" ... Il a fallu 13 ans pour revenir au PIB de 1998 !!! imagine le manque a gagner phénoménal et le gachis de ces 13 ans!!!

Tout cela semble difficile si les grecs claque la porte de l'UE de l'Eurozone et du FMI... Les Argentins avait négocié pas mal de chose avec le FMI, les preteur internationaux etc. pour continuer a avoir une vie économique minimal a l'international, il n'avait pas effacé tout le ur dette non plus. Malgré cela ils ont eu un mal fout a assurer leur approvisionnement énergétique par exemple.

ça n'a pas de sens pour l'Argentine, c'est un gachis que si ils auraient fait mieux en restant dans leur etat pré-defauts, ce qui est pas facile a soutenir comme argument. Le gachis c'était de se coller au dollar , quelqu'en soit la raison, pas de s'en separer.

Après on peux toujours mettre des si sur leur modele economoque et social et deliberer sur leur "paresse" et leurs mentalités de "voleur et d'assistés", comme si on etait les garants de la morale economique (et c'est valable pour tout les pays qui critiquent et ralent)

Et il va falloir combien de temps a la Grèce pour revenir a son niveau d’avant 2008 avec ce qu’elle prend en se moment et ses plans de rigueur et tout le tralala, en espérant qu’elle y revienne un jour.  =)

Les grecs ils sortent de l'euro demain si ils le décident, les traités, les accords, les promesses tout ça tient pas a grand chose surtout entre état souverain. On va faire quoi, les envahir ?

Ceux qui se feront éclater par le défaut avaleront la pilule et probablement réinvestiront meme si pas tout de suite , parce qu'il est pas question de se faire manger des parts de gâteau, surtout quand il pourrait redevenir mangeable.

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En tout cas ça leur a servi de leçon. C'est ce qu'il nous faut pour dégouter les politiques et les gens qui les élisent du déficit. Un collectivité brasse suffisament de fric, elle n'a aucune raison de s'endetter sauf evenement exceptionnel (guerre, catastrophe naturelle, crise conjoncturelle)

L'endettement c'est le seul moyen de faire croire au gens qu'il ne s'appauvrisse pas trop ... du moins dans les économie mature ou la croissance est en berne et ou l'inflation des cout fixe des ménages ronge les marges.

En France il y a un véritable credit crunch pour les collectivités locales. J'ai été scandalisé d'apprendre que l'état volait à leur secours avec la Poste et la cCaisse des Dépots.

Il se trouve que l'état central s'est déchargé d'une quantité astronomique d'obligation sans effectuer les transferts de ressource, ni baisser sérieusement les impots.

Au contraire, l'état s'est recentralisé en drainant toute la fiscalité locale vers lui pour redistribuer ce qui l'arrange.

Forcément apres c'est difficile d'expliquer aux collectivitées locales qu'on leur coupe le peut de ressource qu'on leur doit :happy:

Mais putain qu'on les laisse faire faillite ! Défaut de paiement, liquidation, licenciements : il y a que les boites qui y ont droit c'est ça ? alors que d'une la faillite c'est pas la fin du monde (je suis passé par là), de deux ça aurait une excellente valeur d'exemple. Quand je pense que je me fait racketter par le fisc et les sociaux pour entretenir tous ces branleurs ça me fout les boules.

Une collectivité locale en défaut, c'est des pompier plus payé, plus de carburant dans les vehicule de secours, des routes abandonnée, des prisons vidé de leur détenu parce que les matons ne sont plus payé et que l'hébergement coute trop cher etc.

On a eu le cas récement en Californie et dans un autre état US ... des milliers de détenu on du etre relaché, parce que la californie n'avait plus de quoi payer leur incarcération.

En gros les collectivité locale sont bien trop indispensable a la vie quotidienne pour qu'on se permette de les abandonner a un défaut, même des commune modeste, on en a plein de surendettés. Too big to fail en quelques sorte.

ça n'a pas de sens pour l'Argentine, c'est un gachis que si ils auraient fait mieux en restant dans leur etat pré-defauts, ce qui est pas facile a soutenir comme argument. Le gachis c'était de se coller au dollar , quelqu'en soit la raison, pas de s'en separer.

Je parle de la destruction de bien public qui se produit quand un pays vis avec trois franc six sous pendant des années. Ça induit des défaut d'entretien, d'investissement, des fuite de talent, des perte de compétence etc. qui demande infiniment plus pour etre rattrapé que ce qu'il aurait fallu remettre au pot pour limiter la casse.

Exemple avec un défaut oragnisé de la grece il y a deux ans ... on en serait pas là.

En gros la grosse "purge" dont reve Roland n'est pas rentable ... c'est d'ailleurs pour cela qu'on l'évite autant que possible. Elle induit des risque bien au dela des simple souci financier.

Après on peux toujours mettre des si sur leur modele economoque et social et deliberer sur leur "paresse" et leurs mentalités de "voleur et d'assistés", comme si on etait les garants de la morale economique (et c'est valable pour tout les pays qui critiquent et ralent)

Et il va falloir combien de temps a la Grèce pour revenir a son niveau d’avant 2008 avec ce qu’elle prend en se moment et ses plans de rigueur et tout le tralala, en espérant qu’elle y revienne un jour.  =)

Roland voulais purger la France ;)

Les grecs ils sortent de l'euro demain si ils le décident, les traités, les accords, les promesses tout ça tient pas a grand chose surtout entre état souverain. On va faire quoi, les envahir ?

Ceux qui se feront éclater par le défaut avaleront la pilule et probablement réinvestiront meme si pas tout de suite , parce qu'il est pas question de se faire manger des parts de gâteau, surtout quand il pourrait redevenir mangeable.

Explique moi ce que mange les grec s'il n'ont plus acces au marché internationnaux aliementaire en dollar ou en euros!!!

Si le défaut de la grece ET la décorrellation de la drachme ne sont pas organisé ... il vont devoir s'éclairer a la bougie et manger des racine ;)

Tu leurs vendrais toi des marchandise au grecs pour te faire payer en drachme?! Ou tu leur demanderas de l'huile d'olive en contrepartie?

Ils ont déjà eu des groos probleme d'approvisionnement en médicament cette été par exemple.

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A priori Silvio B. est arrivé à Cannes avec de mauvaises nouvelles.

Le dernier conseil des ministres italien qui s'est tenu juste avant le sommet n'a pas réussi à adopter toute une série de mesures techniques.

Plusieurs de ses membres ont refusé de donner leur aval.

Çà sent le kroumir de ce côté des Alpes.

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L'endettement c'est le seul moyen de faire croire au gens qu'il ne s'appauvrisse pas trop ... du moins dans les économie mature ou la croissance est en berne et ou l'inflation des cout fixe des ménages ronge les marges.

Il se trouve que l'état central s'est déchargé d'une quantité astronomique d'obligation sans effectuer les transferts de ressource, ni baisser sérieusement les impots.

Au contraire, l'état s'est recentralisé en drainant toute la fiscalité locale vers lui pour redistribuer ce qui l'arrange.

Forcément apres c'est difficile d'expliquer aux collectivitées locales qu'on leur coupe le peut de ressource qu'on leur doit :happy:

Une collectivité locale en défaut, c'est des pompier plus payé, plus de carburant dans les vehicule de secours, des routes abandonnée, des prisons vidé de leur détenu parce que les matons ne sont plus payé et que l'hébergement coute trop cher etc.

On a eu le cas récement en Californie et dans un autre état US ... des milliers de détenu on du etre relaché, parce que la californie n'avait plus de quoi payer leur incarcération.

En gros les collectivité locale sont bien trop indispensable a la vie quotidienne pour qu'on se permette de les abandonner a un défaut, même des commune modeste, on en a plein de surendettés. Too big to fail en quelques sorte.

Je parle de la destruction de bien public qui se produit quand un pays vis avec trois franc six sous pendant des années. Ça induit des défaut d'entretien, d'investissement, des fuite de talent, des perte de compétence etc. qui demande infiniment plus pour etre rattrapé que ce qu'il aurait fallu remettre au pot pour limiter la casse.

Exemple avec un défaut oragnisé de la grece il y a deux ans ... on en serait pas là.

En gros la grosse "purge" dont reve Roland n'est pas rentable ... c'est d'ailleurs pour cela qu'on l'évite autant que possible. Elle induit des risque bien au dela des simple souci financier.

Roland voulais purger la France ;)

Explique moi ce que mange les grec s'il n'ont plus acces au marché internationnaux aliementaire en dollar ou en euros!!!

Si le défaut de la grece ET la décorrellation de la drachme ne sont pas organisé ... il vont devoir s'éclairer a la bougie et manger des racine ;)

Tu leurs vendrais toi des marchandise au grecs pour te faire payer en drachme?! Ou tu leur demanderas de l'huile d'olive en contrepartie?

Ils ont déjà eu des groos probleme d'approvisionnement en médicament cette été par exemple.

Et moi je voudrai savoir ce qu'ils font si ils restent dans la zone euro. Ils auront une monnaie assez forte pour importer, la y a pas de soucis, mais les caisses, elles seront vides, les habitant ils auront pas un rond, le PIB se sera contracté de je préfère pas savoir le nombre. En plus les pays de la zone auront dépensé en pure perte pour le contribuable des milliards d'euro.

Apres si tu me dis je préfère avoir les PIGS « in » que « out », sinon on va se faire écraser par le nouveau taux de change Euro, la c'est une autre discussion mais qui n'a pas a voir avec les intérêts Grec, mais bien les notre.

En attendant qu'il fasse défaut et le drachme, je prend des puts out of the money sur l'euro et les matières premières, métaux industriels et pétrole. Ensuite quand ils ont fait défaut et le jour ou il re-émettent de la dette, je saute dessus juste pour les remercier.

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Il se trouve que l'état central s'est déchargé d'une quantité astronomique d'obligation sans effectuer les transferts de ressource, ni baisser sérieusement les impots.

Au contraire, l'état s'est recentralisé en drainant toute la fiscalité locale vers lui pour redistribuer ce qui l'arrange.

Forcément apres c'est difficile d'expliquer aux collectivitées locales qu'on leur coupe le peut de ressource qu'on leur doit :happy:

Une collectivité locale en défaut, c'est des pompier plus payé, plus de carburant dans les vehicule de secours, des routes abandonnée, des prisons vidé de leur détenu parce que les matons ne sont plus payé et que l'hébergement coute trop cher etc.

Oui, enfin, pour avoir un pote qui bosse au tresor, les collectivites locales, ce sont surtout des entites sans trop d'argent qui claquent souvent des millions dans des projets sans queue ni tete et avec le sourire  :-\

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Le fonds national d'assurance retraite grec IKA aurait versé 8 milliards d'euros à des retraités déjà décédés, au cours des dix dernières années.

Rovertos Spiropoulos, le directeur du fonds, estime qu'entre 7 et 8 milliards d'euros ont été versés à des retraités déjà décédés.

Spiropoulos a déclaré : "Nous irons chercher cet argent, jusqu'au dernier cent".

http://www.lepost.fr/article/2011/11/01/2627298_en-grece-meme-les-morts-ont-droit-a-une-pension-de-retraite.html

Et bien voilà, ils viennent déjà de retrouver 8 milliards d'euros !  :lol:

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Le fonds national d'assurance retraite grec IKA aurait versé 8 milliards d'euros à des retraités déjà décédés, au cours des dix dernières années.

Rovertos Spiropoulos, le directeur du fonds, estime qu'entre 7 et 8 milliards d'euros ont été versés à des retraités déjà décédés.

Spiropoulos a déclaré : "Nous irons chercher cet argent, jusqu'au dernier cent".

http://www.lepost.fr/article/2011/11/01/2627298_en-grece-meme-les-morts-ont-droit-a-une-pension-de-retraite.html

Quelle demagogie !

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«L'ouvrier chinois est payé 5 sous lorsque le nôtre, en Europe, est payé 5 francs et plus. La Chine ne se contentera pas d'écarter nos produits, elle nous vendra les siens». Arnaud Montebourg? Nicolas Dupont-Aignan? Perdu, il s'agit du député de la Sarthe d'Estournelles de Constant à la Chambre des députés, et cela date du 7 février 1898.

euhhhh a part ça quoi de neuf ???

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Le fonds national d'assurance retraite grec IKA aurait versé 8 milliards d'euros à des retraités déjà décédés, au cours des dix dernières années. Rovertos Spiropoulos, le directeur du fonds, estime qu'entre 7 et 8 milliards d'euros ont été versés à des retraités déjà décédés. Spiropoulos a déclaré : "Nous irons chercher cet argent, jusqu'au dernier cent". http://www.lepost.fr/article/2011/11/01/2627298_en-grece-meme-les-morts-ont-droit-a-une-pension-de-retraite.html Et bien voilà, ils viennent déjà de retrouver 8 milliards d'euros! :lol:

C'est classique ... en France aussi on planque ses morts pour que la veuve continue a toucher la pension de son défunt mari ;) Ca doit etre partout pareil, difficile au différent service de pensionnement de verifié facilement la vie ou la mort de tout leur pensionnés chaque trimestre.

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http://www.1info2.com/coup-d-etat-en-grece---592.html

Coup d'Etat en Grèce ?

En Grèce, la crise qui était auparavant financière est devenue "politique".

Il y a tant dans le parti au pouvoir, PASOK, qu'à l'opposition,ceux qui demandent la démission du Premier ministre Papandréou, la formation d'un gouvernement d'union nationale et l'organisation des élections anticipées. Le ministre des Finances, M. Venizélos, fait partie de ce groupe.

Le cabinet qui avait décidé la tenue du référendum sur le plan anti-crise s'est réuni d'urgence suite aux oppositions au sein du PASOK.

C'est le groupe du parti qui va ensuite se réunir là où M. Papandréou va chercher à persuader les membres qui se préparent à dire "non", vendredi, au cours de la motion de censure.

D'autre part, certaines sources gouvernementales révisent la date d'expiration de l'argent liquide au milieu du mois prochain.

60% du peuple s'opposent pour leur part au plan anti-crise.

Alors que les arènes économique et politique sont si mouvementées, le côté militaire n'est pas, non plus, très calme. Le chef d'Etat-major des armées et les commandants des forces terrestres, maritimes et aériennes ont été obligés à prendre la retraite. Un plan de "coup d'Etat" serait à l'origine de cette décision.

Selon la presse grecque, les commandants se préparaient à un coup d'Etat, une information obtenue depuis les Etats-Unis.

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Bizarre cette interprétation, la presse international voit ce plus comme un gage donné a l'étranger de la stabilisé politique de la grece ...

http://in.reuters.com/article/2011/11/02/idINIndia-60283220111102

(Reuters) - The Greek government's sacking of its military brass at the height of the debt crisis may signal that the cabinet sees its own days as numbered, but the outside world need not worry about the army installing a junta as it did four decades ago.

Greeks have largely shrugged off suggestions that appeared in foreign media that the firing on Tuesday of top generals might have been aimed at thwarting a coup. The military is nowhere near the formidable political force that seized power in 1967 and held it for seven years.

Nevertheless, experts on Greek politics say the move could signal haste on the part of Prime Minister George Papandreou's cabinet to make sweeping changes before it loses office amid the deepening crisis over debt.

"To reshuffle the top brass is (something) typically done by outgoing governments, which appoint some of their own to top position before leaving power," said Pepe Egger from the London-based consultancy Exclusive Analysis.

"We do not think that the move was indicative of increased coup risks, simply because the Greek army of today is not likely to even mull coup ideas," he said.

Papandreou has come under mounting criticism from all sides after calling for a referendum on an EU bailout package intended to keep the country afloat.

He faces a confidence vote in parliament on Friday, and some in his own party have called for him to quit. Repeated waves of austerity have exacerbated Papandreou's problems, with protesting Greeks disrupting a national day parade on Oct. 28.

Papandreou's embattled Socialist government late on Tuesday replaced the heads of the army, navy, air force and the joint chiefs of staff while ordering another layer of senior army and navy officials into retirement.

Defence ministry officials described the move as a long-planned one to shrink the army at a time of spending cuts, but opponents said the timing was suspicious.

The axed military leaders were themselves appointed shortly before the last conservative government was ousted in 2009. The conservatives accused Papandreou of trying to stack the armed forces with loyalists before a possible government collapse.

"Yesterday as the government was being rocked by turmoil over the confidence vote and deputies were deserting it to become independent they thought it was the best time to make party appointments in the sensitive area of the armed forces," said the opposition New Democracy's leader Antonis Samaraas.

Defence Minister Panos Beglitis told parliament on Wednesday there was no political motive to the timing of the shakeup. It had been due to take place in August, he said, but he had delayed it because of a flare-up in tensions with Turkey.

"When the tensions eased, we had an obligation to change the military leadership."

JUNTA

Greeks have been deeply sensitive about any suggestion that their army is taking a political role since the seven-year rule by a junta of colonels who seized power in 1967. Papandreou's grandfather, a veteran politician and former prime minister, died aged 80 under their house arrest.

These days, military chiefs are replaced in Greece every couple of years, usually on the basis of party loyalty as politicians trade favours in a system of political patronage.

Squeezed by budget cuts, the military now flexes its muscles mainly during floods and earthquakes. Last month it was summoned to help collect garbage piling up in Athens due to a strike.

In its smaller role, it has won public favour: a 1996 survey showed the army beat out the church as the Greeks' favourite institution. But few see it operating in a political capacity.

"The army is not even mentioned in polls anymore, because we don't think it affects the political scene at all," said Costas Panagopoulos, head of the ALCO pollsters.

Budget cuts imposed by Papandreou during the debt crisis have led to street protests and unrest, but these have been tackled by the police, rather than the army.

Constantinos Loukopoulos, a retired Greek major general, dismissed fears of a coup as "total fantasy" and "ludicrous".

Giorgos Karkatis, 42, an insurance broker, summed up the view of most Greeks: "There is no possibility of a military coup in Greece, that time is gone forever."

PARADE INTERRUPTED

Military sources said the move to replace the chiefs may have been hastened by a protest against austerity measures that halted a major national parade last week.

The annual military parade in the northern city of Thessaloniki is one of the most symbolic events in Greece's political calendar, honouring its fight against fascism in World War Two, and it was the first time it had been cancelled.

President Karolos Papoulias was forced to leave the parade abruptly after being called a traitor by angry crowds.

The previous day, Defence Minister Beglitis was booed by a crowd of students in Thessaloniki. On Wednesday he described his reception as a "tragic experience".

The new appointments include Lieutenant General Michael Kostarakos as the new head of the joint chiefs of staff and Lieutenant General Konstantinos Ziazias as army chief. Rear-Admiral Cosmas Christidis was appointed navy chief while Air Marshal Antonios Tsantirakis took over the air force.

They will be taking over a time of disgruntlement in the armed forces, which have suffered large payroll cuts as part of austerity measures, and face the prospect of even deeper cuts.

Because of its long rivalry with Turkey, Greece has long had a defence budget that is a large share of its national output by European standards. It has been cut by about 20 percent every year since 2009. The 2011 defence budget is set at about 2 percent of GDP, down from 2.8 percent in 2010.

The government wants to reduce the armed forces by about 30 percent and make them more flexible. Beglitis has complained in the past that the military leadership he sacked on Tuesday was too bureaucratic to push through the changes needed.

"The army is part of the people, they also suffer from austerity," said Mary Bossis, professor of international security at the University of Piraeus, but she added: "In a western democracy, a coup is unrealistic. This is not Egypt, this is not the Arab Spring."

(Additional reporting by Lefteris Papadimas; Writing by Deepa Babington)

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L'endettement c'est le seul moyen de faire croire au gens qu'il ne s'appauvrisse pas trop ... du moins dans les économie mature ou la croissance est en berne et ou l'inflation des cout fixe des ménages ronge les marges.

ouai l'endettement c'est de la pure politique polititienne: je fait de l'esbrouffe a crédit, je cède a tout comme ça pas de vague, de toute façon quand les remboursements seront insupportables je serait peut etre plus en poste et c'est mon successeur qui se cognera les remboursements. Le serrage de ceinture sera tellement impopulaire qu'en plus j'aurais de bonne chance de me faire réelir le prochain coup. Elle est pas belle la vie ?

En République un élu ne devrait pas avoir le droit de s'endetter sur une durée excedant son mendat sauf faire un référendum parce que rembourser les dettes d'un predecesseur c'est continuer sa politique qui a été rejetée par les urnes.

Il se trouve que l'état central s'est déchargé d'une quantité astronomique d'obligation sans effectuer les transferts de ressource, ni baisser sérieusement les impots.

source ?

Au contraire, l'état s'est recentralisé en drainant toute la fiscalité locale vers lui pour redistribuer ce qui l'arrange.

source ?

Une collectivité locale en défaut, c'est des pompier plus payé, plus de carburant dans les vehicule de secours, des routes abandonnée, des prisons vidé de leur détenu parce que les matons ne sont plus payé et que l'hébergement coute trop cher etc.

faux pour les prisons: en France c'est le ministère de la justice: régalien donc sanctuarisé (espérons)

Pour le reste prend moi pas pour un naif en prétendant qu'ils sont démunis avec tous ce qu'ils nous assoment d'impots locaux. Et dire qu'ils trouvent encore moyen d'etre en déficit. C'est juste qu'il va falloir qu'ils apprennent a définir des priorités. En tout cas la cessation de paiement devrait leur permettre de licencier malgré le statut débile des fonctionnaires territoriaux qui n'a absolument aucune justification (contrairement aux fonctionnaires "régalien")

En gros la grosse "purge" dont reve Roland n'est pas rentable ...

ça reste a prouver et je suis loin d'etre convaincu. Non seulement ça mais ça a aussi une valeur "non comptable" d'exemple, de leçon, de choc psychologique et meme de justice.

- exemple parce que quand les conséquences de ses actes sont pas trop diluées dans des usines a gaz on retient la leçon,

- choc psychologique parce que les gens ont du mal a accepter la réalité quand elle est douloureuse sauf quand la réalité s'impose,

- justice parce que je vois pas pourquoi lorsqu'il y a des conneries des dirigeants ou que la conjoncture est mauvaise, les salariés du secteur commercial payent cash en perdant leur job alors que quand ces conneries c'est les politiques/fonctionnaires qui les font, et bien c'est encore les salariés du secteur commercial qui payent en rebouchant les trous avec leurs taxes mais pour les salaries des secteurs protègés il y a rien qui change.

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@Roland

Le recentralisation de la fiscalité ... Exemple la suppression de la "taxe professionnel", dont le produit atterrissait directement dans la fiscalité locale. Remplacé par deux taxe, dont le produit d'une la CFE arrive pour le moment directement a Bercy ;)

Pour l'état qui se défausse ... il suffit de voir tout ce qui a été décentralisé, et de compter les compensation de fiscalité état vers locale afférente tu va te marrer. Genre l'APA ... imposé par l'état central sans financement, dont les obligation sont imputé au budget locaux, pareil pour la police municipale, la vidéo surveillance, la voirie, les service de secours, lutte contre l'incendie, etc. etc. parfois on se demande si l'état central s'occupe encore de quelques chose!

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«L'ouvrier chinois est payé 5 sous lorsque le nôtre, en Europe, est payé 5 francs et plus. La Chine ne se contentera pas d'écarter nos produits, elle nous vendra les siens». Arnaud Montebourg? Nicolas Dupont-Aignan? Perdu, il s'agit du député de la Sarthe d'Estournelles de Constant à la Chambre des députés, et cela date du 7 février 1898.

euhhhh a part ça quoi de neuf ???

A l'epoque on avait des frontieres avec des barierres douaniere, des tarifs et tout et tout.  =D

Au final il avait quand meme raison le monsieur.

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Pour le reste prend moi pas pour un naif en prétendant qu'ils sont démunis avec tous ce qu'ils nous assoment d'impots locaux.

un exemple sur 36 000 communes environ 32 000 ont moins de 500 habitants et sont mécaniquement non viables financièrement

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