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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Les surgénérateurs ce n'est pas nécessaire tout de suite: il y a dans l'uranium accessible au prix du marché actuel autant d'énergie en centrale classique que dans le pétrole qui reste. Le problème c'est d'avoir construit les 10000 centrales nécessaires d'ici à 30 ans, d'abord 5000 classiques puis 5000 surgénérateurs suivi d'encore 5000 surgénérateurs pour remplacer les 5000 classiques. 30 ans ça fait à peu près 10000 jours donc il faudrait construire une centrale par jour, mais le monde est grand et on peut les construire en parallèle, si on se ramène à la France il nous faudrait construire 100 centrales environ soit 3 par an, on en a construit 6 par an quand on a nucléarisé EDF! Donc rien d'impossible, mais bon dans 15 ans il faut que les surgénérateurs soient prêt et il faut améliorer la sécurité.
  2. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Ben le Mirage 2000 est plutôt un missile sol air que Air Air dans ce cas, car le Rafale ne le porte pas et ne le tire pas, il ne fait que le guider.
  3. Non c'est incompréhensible: la culture aéronautique c'est de ne pas cacher les problèmes qui touchent à la sécurité, c'est même un cas où tu peux dénoncer ton copain, si il ne réagit pas quand tu l'as avertis gentiment, et tout le monde le comprendra.
  4. Moi je pense que ce qui fait rire Rohani sur la photo c'est que c'est les UK qui seront la prochaine victime des USA, car ils sont en train de faillir et seront bientôt une proie assez faible pour ça. Mais j'attends la réaction de @kotai
  5. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Oui mais tu n'as pas de lien pour montrer qu'il n'y en a pas, des M88 de 8.3t, sur les Rafale Qataris
  6. Tiens j'aimerais bien savoir comment tu réagis au texte suivant, qui est un peu polémique, mais qui me semble à 180° de ce que tu penses: Les Ayatollahs sautent de joie Par Dmitry Orlov – Le 15 octobre – Source Club Orlov Lors de la récente Assemblée générale des Nations Unies, il y avait une personne qui paraissait plus heureuse que les autres, surtout en comparaison des Européens, aux mines plutôt sombres. C’était le président iranien Hassan Rouhani. Il rayonnait positivement de plaisir et de bonne humeur. Bien que son discours ait été dur, contenant des termes tels que « terrorisme économique » et « piraterie internationale », dont il accusait le régime de Washington, son comportement n’était que joie. En passant, il a anéanti les espoirs de Boris Johnson de négocier un rapprochement entre l’Iran et les Washingtoniens, estimant clairement que toute nouvelle tentative de négociation avec eux était tout à fait inutile. Rohani n’est certainement pas le seul à adopter cette position, même s’il est peut-être le seul parmi les dirigeants nationaux à le faire ouvertement. Les Chinois ont fait traîner les négociations commerciales sans aucune intention de parvenir à un accord. Les Russes considèrent les négociations de maîtrise des armements avec les Washingtoniens comme plutôt inutiles, promettant une réponse symétrique (mais beaucoup moins coûteuse) à toute escalade américaine. En effet, à quoi bon négocier avec les Américains si, comme l’expérience l’a montré, ils peuvent par la suite revenir à l’improviste sur un accord conclu ? Ils le font soit sans aucune justification (comme ce fut le cas récemment avec les Kurdes syriens), soit sur la base d’un quelconque caprice du moment (comme l’abandon du traité FNI entre les États-Unis et la Russie). Ce point semble encore mériter d’être répété quelques fois, bien qu’il ait été soulevé à maintes reprises par de nombreux analystes et qu’il devienne de plus en plus flagrant. (Les Russes ont même inventé un nouveau mot pour décrire cette condition : недоговороспособный (« nedogovorosposóbny », littéralement « incapable-de-passer-un-accord ».) Mais il y a un autre point à faire valoir et la plupart des observateurs géopolitiques semblent passer à coté jusqu’à présent. Soit dit en passant, cela explique l’humeur joyeuse de Rohani à l’ONU, et je suis également heureux de le partager avec vous. Négocier des accords avec le régime de Washington n’est pas seulement inutile, c’est aussi non nécessaire, car il est désormais possible pour tous les grands acteurs géopolitiques d’atteindre leurs objectifs stratégiques sans aucun accord avec les États-Unis, et parfois même sans avoir à engager un dialogue sérieux avec eux. Les exceptions sont le Japon et l’UE, dont la capacité d’affirmer leur volonté souveraine est très limitée, ayant cédé une grande partie de leur souveraineté aux États-Unis au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et pendant la guerre froide. Même des joueurs mineurs, comme la Corée du Nord, ont appris cette leçon. Après avoir tenté de négocier avec les États-Unis, les Nord-Coréens ont rapidement découvert que les Américains venaient souvent les mains vides, essayant d’obtenir des concessions sans rien donner en retour, et qu’ils se livraient à des effets de manche, comme les commentaires spectaculaires et contre-productifs de John Bolton sur l’application du « modèle libyen » en Corée du Nord. (Le dirigeant libyen, si vous vous souvenez, a été sauvagement assassiné par des forces soutenues par les États-Unis.) Mais en ne parvenant pas à un accord avec les États-Unis, les Nord-Coréens ont obtenu quelque chose de précieux : la reconnaissance universelle que les États-Unis sont militairement impuissants à s’y opposer. Oui, ils peuvent les détruire, mais la Corée du Sud et le Japon seraient également détruits, et comme il s’agit de deux nations que les États-Unis sont tenus de défendre en vertu d’un traité, prendre des mesures qui entraînent leur destruction n’est pas exactement une stratégie. Ainsi, les États-Unis sont passés d’une position belligérante contre la Corée du Nord, la menaçant militairement, à devoir se contenter d’appliquer des sanctions économiques presque totalement impuissantes étant donné la nature largement autarcique de l’État nord-coréen et son manque de commerce avec les États-Unis. C’est un exemple intéressant, parce qu’il montre que même des acteurs relativement faibles et mineurs peuvent maintenant obtenir des Américains qu’ils fassent ce qu’ils veulent sans négocier aucun accord avec eux. Mais cette même logique s’applique encore plus aux grandes entités géopolitiques, comme la Chine, la Russie et l’Iran. Pour reprendre quelques métaphores religieuses, ces trois pays forment la Sainte Trinité que le destin a désignée pour vaincre le Grand Satan (les États-Unis, du moins dans le langage politique iranien). Chacun d’eux joue un rôle essentiel. La fonction de la Russie est de tirer parti de sa technologie militaire supérieure pour contrecarrer militairement les États-Unis et de rendre tout son complexe militaro-industriel fantastiquement surévalué, impuissant et obsolète, avant de le faire disparaître dans l’oubli. La Réserve fédérale américaine imprime maintenant 60 milliards de dollars par mois, un chiffre qui correspond à peu près au coût mensuel du budget de la défense américaine. La technologie russe a déjà transformé toute la flotte des porte-avions américains en une pile de déchets flottants inutiles. La Russie a mis au point des armes qui peuvent détruire des porte-avions à une distance de sécurité supérieure à la portée utile de leurs jets. Les missiles hypersoniques russes ont fait la même chose pour l’ensemble des systèmes de défense antimissile américains. De même, tout l’argent que les États-Unis ont dépensé pour développer des avions « furtifs » (1 500 milliards de dollars pour le seul chasseur F-35) a été annulé par les nouveaux systèmes radar russes qui peuvent parfaitement bien voir ces avions supposés invisibles. Ironiquement, le développement de la technologie « furtive » était basé sur les travaux d’un scientifique soviétique, Peter Ufimtsev, qui a émigré aux États-Unis après l’effondrement de l’URSS : ce que la Russie donne, la Russie le reprend aussi. La Russie a également mis sa technologie de défense à la disposition d’autres pays, notamment les deux autres membres de la Sainte Trinité. À la surprise générale, Vladimir Poutine a annoncé récemment que la Chine sera en mesure d’utiliser le système russe d’alerte rapide en cas d’attaque nucléaire pour détecter les attaques lancées contre le territoire chinois. Cela étendra effectivement les capacités de dissuasion nucléaire de la Russie à la Chine. Et l’Iran a acheté des systèmes de défense aérienne russes S-300 et discute activement de l’achat du S-400 encore plus perfectionné. Ces systèmes feront de l’espace aérien au-dessus de l’Iran et de certaines parties de la Syrie des zones d’interdiction de vol pour les avions américains et de l’OTAN [et israéliens, NdT]. Si les objectifs de la Russie sont de pousser doucement les États-Unis vers l’oubli dans une tentative futile de les suivre dans le développement de nouveaux systèmes d’armes (les systèmes russes ont tendance à être non seulement plus efficaces mais aussi moins chers) tout en réalisant un profit en vendant leurs armes aux pays qui cherchent à s’assurer contre l’agression américaine, les objectifs chinois sont plus ambitieux encore. Au cours des cinquante dernières années, la Chine, qui était un pays agraire rustique, est devenue la plus grande superpuissance industrielle du monde. Entre-temps, aux États-Unis, le segment industriel s’est réduit à environ un dixième de l’ensemble de l’économie, le reste étant maintenant composé de baristas, de toiletteurs de chiens, de moniteurs de yoga et d’autres types de gratte-dos mutuels. En raison de ce changement spectaculaire, les États-Unis enregistrent un important déficit commercial structurel avec la Chine. Alors qu’auparavant la Chine finançait ce déficit commercial en achetant de la dette américaine sous forme de bons du Trésor, elle a cessé de le faire il y a quelque temps et vend maintenant des bons du Trésor et achète de l’or. Elle n’est pas la seule à le faire (par exemple, la Russie a déjà vendu toutes ses obligations du Trésor américain), ce qui provoque d’importantes perturbations financières aux États-Unis, au point où les institutions financières refusent d’accepter des titres de créances américains en garantie de prêts à un jour [Marché Repo, NdT]. C’est cette évolution qui a forcé la Réserve fédérale à imprimer 60 milliards de dollars par mois tout en empilant dans son bilan les titres de créances américains désormais boudés. La tendance à long terme est indubitable : au cours des 77 derniers mois, les banques centrales étrangères ont vendu les deux tiers des bons du Trésor américain qu’elles avaient accumulés au cours des 35 dernières années. Il est curieux de constater que, jusqu’à présent, la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine n’a fait qu’aggraver le déficit commercial. Ainsi, la tactique de négociation non négociatrice de la Chine semble fonctionner brillamment. Les États-Unis n’ont que deux moyens de financer leur déficit commercial : 1. vendre des déchets financiers ; et 2. vendre des terres, des usines et du matériel, la propriété intellectuelle, les reins de leur population et tout ce qui a de la valeur. Il n’y a vraiment pas d’autres options. Et comme la vente de déchets financiers ne fonctionne plus, l’option 2 est tout ce qui reste. Cela rappelle le démembrement d’actifs qui a eu lieu dans l’ex-URSS après son effondrement (et qui se poursuit toujours en Ukraine, pays qui se prépare à commencer à vendre ses terres aux sociétés transnationales). Certains pourraient penser qu’il existe également l’option 3 : ramener l’industrie aux États-Unis. Mais il a fallu 50 ans à la Chine pour devenir une puissance industrielle, avec des taux de croissance réguliers à deux chiffres. Aux États-Unis, le taux de croissance jusqu’à présent au cours de ce siècle, si l’on ne tient pas compte de l’effet du gonflement de la dette, a en fait été négatif. Les États-Unis n’ont pas 50 ans, même pas 10. Et si, au cours de cette hypothétique transformation, elle doit financer son déficit commercial en vendant les usines et les équipements dont elle aurait besoin pour se réindustrialiser, elle n’y parviendra jamais. Et cela nous amène en Iran avec ses ayatollahs rieurs et souriants. La quête sacrée de l’Iran en tant que partie intégrante de la Sainte Trinité consiste à paralyser les États-Unis et leurs mandataires au Moyen-Orient, rendant la région sûre pour une théocratie démocratique (ou peut être autre chose). Il y a deux proxys américains sur place : l’Arabie Saoudite et Israël. Cette attrition finira sans doute aussi par se produire pour eux, dans le cas de l’Arabie saoudite, lorsque ses plus anciens et plus grands gisements pétroliers, comme celui de Ghawar, cesseront finalement de produire ; dans le cas d’Israël, cela arrivera lorsque le flux d’argent du Trésor américain vers ce pays cessera en raison des difficultés financières mentionnées ci-dessus, malgré le pouvoir considérable du lobby pro-israélien aux États-Unis. Mais c’est une vision à plus long terme ; dans le cas présent, ce qui fait sourire les ayatollahs, c’est que la séquence récente des événements est une comédie. Les Américains ont renié l’accord avec l’Iran laborieusement négocié sous l’administration Obama et réimposent des sanctions unilatérales (et essentiellement illégales) contre l’Iran. En réponse, la Chine continue d’acheter du pétrole iranien, tout comme la Turquie et plusieurs autres pays. Pendant ce temps, l’UE regroupe et forme l’INSTEX – un système commercial qui évite le dollar américain et le système de virements électroniques SWIFT et qui est spécialement conçu pour contourner les sanctions commerciales unilatérales américaines, en particulier dans le cas de l’Iran. Ensuite, les Américains se sont lancés dans une guerre de pétroliers – et l’ont perdue rapidement de la façon la plus humiliante possible, car il devient clair qu’ils sont militairement impuissants à patrouiller dans le si important détroit d’Ormuz. Et puis deux événements vraiment ridicules ont eu lieu. Premièrement, les Yéménites, qui ont été attaqués par une coalition dirigée par les Saoudiens pendant plusieurs années et qui ont subi d’horribles privations, sont parvenus à bloquer la moitié de la production pétrolière de l’Arabie saoudite avec des roquettes et des drones. Les États-Unis ont immédiatement blâmé l’Iran… sauf que cela implique que les batteries de défense aérienne saoudiennes fabriquées par les États-Unis, dont la plupart sont dirigées contre l’Iran, sont des tas de ferraille inutiles incapables d’arrêter de petits drones lents, et volant bas. Pour ajouter à l’humour de la situation, les Américains ont décidé alors d’expédier en Arabie Saoudite encore plus de ces mêmes batteries Patriot inutiles. Deuxièmement, les Yéménites ont reconquis une parcelle de territoire frontalier que l’Arabie saoudite leur a confisquée il y a plusieurs décennies, détruisant ainsi près de la moitié de la partie relativement fonctionnelle de l’armée saoudienne, avec des soldats réellement Saoudiens (le reste étant essentiellement composé de mercenaires provenant de tout le Proche-Orient). Les Américains, qui ont récemment vendu aux Saoudiens pour 100 milliards de dollars de systèmes d’armement devenus manifestement inutiles, refusent de lever le petit doigt pour les aider. Pour faire monter l’hilarité d’un cran, Vladimir Poutine, lors d’une conférence de presse conjointe avec le turc Erdoğan et notre vieil ami Rohani, a proposé de vendre des systèmes russes de défense aérienne à l’Arabie Saoudite. Ceux-ci ont été testés au combat sur des drones lancés contre la base aérienne russe de Hmeimimim, en Syrie, par ce qui reste de l’EI. Peu ont pu passer au travers, donc arrêter les drones n’est pas un problème pour les Russes. Il ne fait aucun doute que cela coûterait aux Saoudiens un peu moins cher que les 100 milliards de dollars qu’ils ont donnés aux Américains – et dont ils n’ont rien obtenu d’efficace en retour. À la lumière de tout cela, ma nouvelle et importante thèse est que les nations souveraines du monde entier, grandes et petites, mais surtout la Sainte Trinité de la Chine, la Russie et l’Iran, peuvent amener les États-Unis à faire ce qu’ils veulent sans négocier avec elle. Enfin, la photo suivante, qui montre Rohani refusant de serrer la main de Boris Johnson en riant, semble mériter un concours de légendes. Que pensez-vous qu’il a dit à Johnson dans son excellent anglais qui a rendu Johnson et Macron si désorientés ? https://lesakerfrancophone.fr/les-ayatollahs-sautent-de-joie
  7. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    L’Australie contre la Chine c'est quand même un problème difficile. Ils ont peut-être besoin de rajouter des bidons à larguer dans la zone de combat pour faire le transit plus facilement....Sinon il faut qu'ils multiplient les bases. Et puis il faut se limiter à être défensif, ce qui montre à quel point le F-35 est adapté pour ce rôle.
  8. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Je suppose que la portée du radar ne suffirait pas... C'est à dire qu'on veut rester loin ... et que le Rafale a déjà consommé ses deux Meteor.
  9. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Il y a aussi ça: Traduit avec www.DeepL.com/Translator
  10. Pendant des mois, Boeing a déclaré qu'il n'avait aucune idée qu'un nouveau système automatisé du 737 Max, qui a joué un rôle dans deux accidents mortels, n'était pas sûr. Mais vendredi, la compagnie a remis aux législateurs une transcription révélant qu'un des meilleurs pilotes travaillant à bord de l'avion avait fait part de ses inquiétudes concernant le système dans des messages à un collègue en 2016, plus de deux ans avant que le Max ne soit interdit de vol en raison des accidents, qui ont fait 346 morts. Dans les messages, le pilote, Mark Forkner, qui a joué un rôle central dans le développement de l'avion, se plaignait que le système, connu sous le nom de MCAS, agissait de façon imprévisible dans un simulateur de vol : "C'est en cours d'expansion." Les messages datent de novembre 2016, des mois avant que le Max ne soit certifié par la Federal Aviation Administration. "C'est vrai, je suis nul en pilotage, mais même dans ces conditions, c'est scandaleux", a-t-il dit de manière ironique à un collègue, selon une transcription de l'échange examinée vendredi par The New York Times. La crise Max a dévasté Boeing, et la révélation des messages de M. Forkner intervient à un moment particulièrement sensible. Le directeur général de la société, Dennis A. Muilenburg, doit témoigner devant deux comités du Congrès, le 29 octobre et le 30 octobre, ce qui est la première fois qu'un dirigeant de Boeing comparaît à une audience portant sur ces accidents. L'action de Boeing a perdu 7 % de sa valeur vendredi, ce qui a accentué les retombées financières. L'existence des messages est de nature à porter atteinte à la défense de Boeing qui affirme n'avoir rien fait de mal à l'égard du Max parce que les organismes de réglementation avaient autorisé l'avion à voler, et cela pourrait accroître le risque juridique auquel la société est exposée en raison des enquêtes civiles et pénales et des multiples poursuites liées aux deux accidents. Face à la concurrence d'Airbus, Boeing s'est efforcé de produire le Max le plus rapidement possible, en s'efforçant de minimiser les coûts de formation des pilotes. La semaine dernière, un groupe de travail composé de 10 organismes de réglementation internationaux a publié un rapport selon lequel Boeing n'avait pas expliqué en détail le MCAS à la FAA. "C'est une preuve de plus que Boeing a induit en erreur les pilotes, les régulateurs gouvernementaux et d'autres experts de l'aviation au sujet de la sécurité du 737 Max ", a déclaré Jon Weaks, président de la Southwest Airlines Pilots Association, dans une déclaration vendredi dernier. Boeing a maintenu que le Max était certifié conformément à tous les règlements pertinents, suggérant qu'il n'y avait aucun signe indiquant que le MCAS était dangereux. Cette affirmation était au cœur de la raison pour laquelle la compagnie n'a pas immobilisé le Max après l'écrasement du vol 610 de Lion Air en octobre dernier, et qu'elle a attendu plusieurs jours avant de recommander l'immobilisation de l'avion après le deuxième accident, celui du vol 302 de Ethiopian Airlines en mars. Ce n'est qu'après que les données aient laissé entendre que le MCAS avait joué un rôle dans le second accident que Boeing et la F.A.A. ont décidé d'immobiliser le Max. M. Forkner était le pilote technique en chef du Max et était responsable de la communication avec le groupe de la F.A.A. qui a déterminé comment les pilotes devaient être formés avant de le piloter. Il a aidé Boeing à convaincre les organismes de réglementation internationaux que le Max pouvait voler en toute sécurité. Dans les messages, il a dit que pendant les essais en 2016, le simulateur a présenté l'avion faisant des mouvements inattendus au travers d'un processus appelé trimmage. "L'avion est en train de se trimmer comme un fou", a-t-il écrit à Patrik Gustavsson, un collègue pilote technique du 737 chez Boeing. "Je suis un quoi ?" M. Forkner a ajouté qu'il avait menti à la F.A.A. "En gros j'ai menti aux organismes de réglementation (sans le savoir)", dit M. Forkner dans les messages, bien que l'on ne sache pas exactement à quoi il faisait référence. Les législateurs, les régulateurs et les pilotes ont réagi par une condamnation rapide vendredi. "Il s'agit de la preuve irréfutable ", a déclaré Peter DeFazio, démocrate de l'Oregon, dans une interview. "Il ne s'agit plus seulement d'un échec réglementaire et d'un échec culturel. Ça commence à ressembler à une inconduite criminelle." Le sénateur Richard Blumenthal, démocrate du Connecticut, a déclaré qu'il attendait des réponses du directeur général et du conseil d'administration de Boeing. "Ils doivent être tenus responsables si Boeing a été trompeur ou induit en erreur en ne signalant pas les problèmes de sécurité ", a déclaré M. Blumenthal lors d'une entrevue. "Ces rapports indiquent que les employés de Boeing ont menti et caché la vérité." L'administrateur de la F.A.A.A., Stephen Dickson, a envoyé à M. Muilenburg une lettre vendredi matin demandant que la compagnie explique pourquoi elle n'avait pas fourni les messages à l'agence plus tôt. "Je m'attends à ce que vous m'expliquiez immédiatement le contenu de ce document et le retard pris par Boeing pour le communiquer à son organisme de réglementation de la sécurité ", a écrit M. Dickson. Un porte-parole de Boeing, Gordon Johndroe, a déclaré que la compagnie " coopérait volontairement " à l'enquête du Congrès et a fourni les messages aux législateurs dans le cadre de ce processus. Il a noté que la compagnie a transmis les messages au ministère de la Justice, qui mène actuellement une enquête criminelle sur Boeing, plus tôt cette année. Un porte-parole de Boeing a déclaré que la compagnie n'avait pas transmis les messages à la F.A.A. plus tôt en raison de l'enquête criminelle en cours. Le Max est immobilisé au sol depuis plus de sept mois et les compagnies aériennes ne prévoient pas le faire voler à nouveau cette année. La F.A.A. et Boeing ont repoussé à plusieurs reprises la date prévue de remise en service de l'avion, les organismes de réglementation et la compagnie ayant découvert de nouveaux problèmes avec l'avion. La crise a déjà coûté plus de 8 milliards de dollars à Boeing. Il a perturbé les plans d'expansion des compagnies aériennes du monde entier, qui ont dû annuler des milliers de vols et perdre des centaines de millions de dollars en ventes. Le Times, qui a été le premier à révéler l'implication de M. Forkner dans l'avion, avait précédemment rapporté qu'il avait omis de dire à la F.A.A. que la version originale du MCAS était en cours de révision, laissant aux régulateurs l'impression que le système était relativement bénin et ne serait utilisé que dans des cas rares. Huit mois avant l'échange des messages, M. Forkner avait demandé à la F.A.A. s'il était d'accord de supprimer la mention du MCAS dans le manuel du pilote. La F.A.A., qui croyait à l'époque que le système ne s'activerait que dans de rares cas et n'était pas dangereux, a approuvé la demande de M. Forkner. Un autre échange, dans un lot de courriels entre M. Forkner, des collègues de Boeing et des représentants de la FAA, a également été examiné par le Times vendredi. Dans un courriel de novembre 2016, M. Forkner a écrit qu'il utilisait «un tour de manipulation mentale jedi sur le régulateur pour que la procédure de formation soit approuvée par la F.A.A.». Un avocat de M. Forkner a minimisé l'importance des messages, laissant entendre que M. Forkner parlait de problèmes avec le simulateur. Si vous lisez l'ensemble des échanges, il est évident qu'il n'y a pas eu de " mensonge " et que le programme de simulation ne fonctionnait pas correctement ", a déclaré l'avocat, David Gerger, dans un communiqué. "D'après ce qu'on lui a dit, Mark pensait que l'avion était en sécurité et que le simulateur serait réparé." Les simulateurs de vol reproduisent des cockpits réels et sont utilisés pour tester des avions pendant le développement. Ils peuvent parfois se comporter de façon imprévisible, selon leur configuration. M. Forkner, qui est maintenant pilote pour Southwest Airlines, et M. Gustavsson n'ont pas répondu aux demandes de commentaires. Boeing a fourni la transcription aux législateurs du Capitole vendredi matin, avant les audiences de ce mois-ci, au cours desquelles M. Muilenburg témoignera pour la première fois au sujet des accidents. Reuters a été le premier à signaler l'existence de la transcription. M. DeFazio, qui, en sa qualité de président du House Transportation and Infrastructure Committee, supervise l'enquête sur les accidents, a déclaré qu'il avait examiné d'autres documents et courriels internes de Boeing qui laissaient entendre que les employés subissaient des pressions pour produire des avions aussi rapidement que possible et pour éviter une formation supplémentaire des pilotes. "Boeing ne peut pas dire qu'il s'agit d'une seule personne, a dit M. DeFazio. "Il s'agit d'un échec culturel chez Boeing, sous la pression de Wall Street, qui veut que vous n'ouvriez pas la possibilité à une formation supplémentaire des pilotes." Traduit avec www.DeepL.com/Translator https://www.nytimes.com/2019/10/18/business/boeing-flight-simulator-text-message.html?action=click&module=News&pgtype=Homepage
  11. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Tu pourrais aussi avoir un SU-30 MKI ou un Rafale qui fait de la DO pour Le Meteor du Mirage 2000.
  12. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Moi je m'attendais à ce que tu nous fournisse une google traduction!
  13. Nucléaire : une saisine parlementaire sur Astrid ? https://www.lemonde.fr/blog/huet/2019/10/18/nucleaire-une-saisine-parlementaire-sur-astrid/
  14. Le même en Français: Boeing 737 MAX : les dysfonctionnements avaient été repérés par des pilotes de Boeing
  15. Picdelamirand-oil

    SPECTRA et ce que vous savez

    Il y a deux techniques de base pour faire du LPI. Leur but à toute les deux c'est de faire ressembler l’émission du Radar à du bruit. Les deux techniques consistent à élargir le domaine utilisé pour émettre. On peut soit s'étaler dans le temps, soit s'étaler dans les fréquences. Dans le premier cas on va avoir un signal très faible qui dure très longtemps, le radar qui l'émet le sait et va comprimer le retour pour que ce soit exploitable mais l'ennemi va avoir du mal à le détecter car le signal va être à peu près au niveau du bruit, surtout à longue distance. Pour s'étaler dans les fréquences le radar du F-22 change de fréquence à peu près 1000 fois par seconde, encore une fois lui il le sait et pas les ennemis. Le signal est puissant et facilement détectable mais il est bref et donc apparait comme une anomalie qu'on ne comprend pas bien. Pour contrer ces deux techniques et leur combinaison, il y a sur le Rafale deux type de RWR intégrés à SPECTRA, un RWR large bande mais qui n'est pas très sensible, et un RWR super hétérodyne qui sert aussi à l'interférométrie qui est très sensible et très précis mais qui ne peut détecter qu'une bande étroite à la fois et qui doit donc scruter tout le spectre, fréquence après fréquence pour être exhaustif. Le premier système détecte sur l'ensemble du spectre simultanément et peut donc détecter la stratégie du F-22 facilement car le signal de celui ci est puissant ce qui compense la faible sensibilité du système. le deuxième système détecte facilement ceux qui s'étalent dans le temps car ceux ci émettent longtemps ce qui permet à la scrutation de ne jamais les rater et comme le système est très sensible la détection a lieu même si le signal est faible. Bon ce ne sont que des principes, c'est bien plus compliqué que cela. De plus dans les évolutions prévues de SPECTRA, Thales a proposé de rendre le système large bande aussi sensible que le système super hétérodyne....
  16. Picdelamirand-oil

    SPECTRA et ce que vous savez

    Les ricains...ils ont délaissé les RWR pour s'orienter vers le tout furtif... et nous non. D'ailleurs la suite du F-35 elle est faite par BAE qui sont bien moins bon que Thales.
  17. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Pentagon says decision on full-rate F-35 jet production possibly delayed until 2021 Le Pentagone indique que la décision sur la production à plein régime de l'avion à réaction F-35 pourrait être reportée jusqu'en 2021 Mike Stone WASHINGTON (Reuters) - La décision du Pentagone de passer à un contrat de production à plein taux pour le F-35 de Lockheed Martin (LMT.N) pourrait être reportée à 2021 en raison de problèmes d'intégration du jet avec ses simulateurs de test et de formation, a déclaré un fonctionnaire vendredi. Les contrats de production à taux plein sont plus lucratifs pour les entreprises de défense que les contrats de production à taux bas, ce qui donne à penser que le gouvernement américain et ses alliés pourraient retarder jusqu'à un an les paiements plus importants pour les livraisons de F-35 à Lockheed. Ellen Lord, chef de l'acquisition du Pentagone, a déclaré aux journalistes qu'elle avait signé un rapport indiquant que la décision finale sur la production à plein débit pourrait être retardée jusqu'à 13 mois. Une décision sur la production à plein régime était attendue en décembre. "Nous ne progressons pas aussi rapidement dans l'environnement de simulation conjointe en y intégrant le F-35 ", a déclaré Lord. L'environnement de simulation conjointe est une installation de modélisation et de simulation appartenant à l'État qui peut être utilisée pour tester les aéronefs et les systèmes de vol en complément des essais en plein air. Un représentant de Lockheed Martin a déclaré que l'entreprise était "confiante que l'ensemble de l'entreprise F-35 est prête à produire à plein régime et prête à répondre à la demande croissante des clients". L'objectif de Lockheed Martin était de livrer 131 avions en 2019, avec une production de plus de 140 avions de série en 2020, a déclaré le représentant. Traduit avec www.DeepL.com/Translator
  18. Boeing 2016 internal messages suggest employees may have misled FAA on 737 MAX: sources Les messages internes du Boeing 2016 suggèrent que les employés ont peut-être induit la FAA en erreur sur le 737 MAX : sources David Shepardson WASHINGTON (Reuters) - Boeing Co (BA.N) a transmis des messages instantanés à partir de 2016 entre deux employés qui suggèrent que le constructeur de l'avion pourrait avoir induit la Federal Aviation Administration au sujet d'un système de sécurité clé sur le 737 MAX au sol, selon des documents examinés par Reuters. Les messages, rapportés pour la première fois par Reuters vendredi, ont incité Steve Dickson, administrateur de la FAA, à exiger une explication "immédiate" du directeur général de Boeing, Dennis Muilenburg, pour le retard pris dans la remise des documents que la compagnie a dit avoir trouvés "il y a quelques mois". Ces messages ont aggravé la crise du plus grand constructeur d'avions du monde quelques jours avant que Muilenburg, qui a été dépouillé vendredi dernier de son titre de président par le conseil d'administration, ne témoigne devant le Congrès de l'évolution du 737 MAX. L'avion a été immobilisé au sol dans le monde entier depuis mars à la suite de deux accidents mortels survenus en moins de cinq mois. La FAA a déclaré vendredi que Boeing lui avait fait part la veille de messages internes qu'elle avait découverts "il y a quelques mois" et qui caractérisent "certaines communications avec la FAA lors de la certification initiale du 737 MAX en 2016". La FAA a déclaré qu'elle avait trouvé les messages "préoccupants" et qu'elle "examinait cette information pour déterminer quelle action est appropriée". Une personne informée à ce sujet a déclaré que Boeing n'avait pas remis les documents à la FAA pendant quatre mois et que le ministère de la Justice était également en possession des messages. Les messages internes de Boeing soulevaient des questions sur les performances du système anti-écrasement dit MCAS qui a été lié aux deux accidents mortels, l'un en Indonésie et l'autre en Ethiopie. Les messages sont entre le pilote technique en chef de la MAX, Mark Forkner, et un autre pilote de Boeing, ont dit les sources, et ont soulevé des questions sur la performance du MCAS dans le simulateur dans lequel il a dit qu'il était "en pleine expansion". Dans l'échange vu par Reuters, Forkner a dit qu'il écrivait tout en "buvant de l'oie glaciale gris froid". (tmsnrt.rs/2OZl4Ic) Les messages semblent être les premières observations connues du public selon lesquelles le MCAS s'est comporté de façon erratique pendant les essais avant l'entrée en service de l'avion. Forkner a depuis quitté Boeing. Ni lui ni son avocat n'ont répondu aux demandes de commentaires. Le Seattle Times a rapporté en septembre que Forkner a invoqué à plusieurs reprises son droit du cinquième amendement de ne pas remettre les documents cités à comparaître par le ministère de la Justice. Boeing a déclaré dans une déclaration que l'entreprise "a porté à l'attention du Comité un document contenant les déclarations d'un ancien employé de Boeing". "J'AI ESSENTIELLEMENT MENTI Forkner a dit dans un SMS : "J'ai menti aux régulateurs (sans le savoir)." L'autre employé a répondu que " ce n'était pas un mensonge, personne ne nous a dit que c'était le cas " d'un problème avec MCAS. Forkner a répondu peu après : "C'est vrai que je suis nul pour voler, mais même ça, c'était énorme." A un moment donné, Forkner a dit "il y a encore de vrais problèmes fondamentaux" dans le simulateur. La FAA prévoit de transmettre d'autres communications de Forkner au Congrès plus tard vendredi, selon certaines sources. Boeing est en train de réviser le logiciel 737 MAX pour y ajouter d'autres mesures de protection et exiger que le système MCAS reçoive les données de deux capteurs clés. La FAA a réitéré qu'elle " suit un processus complet, et non un échéancier prescrit, pour remettre le Boeing 737 MAX en service passagers. L'agence ne lèvera l'ordre d'immobilisation qu'une fois que nous aurons déterminé que l'avion est en sécurité." Les profits des compagnies aériennes du monde entier sont touchés par l'immobilisation au sol de 737 avions à réaction MAX, forçant plus de 100 annulations quotidiennes de vols chez de grands exploitants américains comme Southwest Airlines Co (LUV.N) et American Airlines (AAL.O). Southwest, qui a retardé jeudi le retour de l'avion à son horaire jusqu'en février, a déclaré vendredi qu'il n'était pas au courant des messages internes mais a continué à travailler avec Boeing et la FAA "dans leur poursuite commune de la sécurité". Par ailleurs, la commission du commerce du Sénat américain a confirmé qu'elle interrogera M. Muilenburg lors d'une audience le 29 octobre, un jour avant qu'un panel de la Chambre des représentants n'ait prévu de l'interroger. L'action Boeing a chuté de 6,7 % après le rapport Reuters, ce qui a contribué à ramener l'indice Dow Jones à son plus bas niveau depuis une séance. Les procureurs fédéraux, avec l'aide du FBI, de l'inspecteur général du ministère des Transports et de plusieurs groupes d'experts en ruban bleu, enquêtent sur la certification du 737 MAX. Traduit avec www.DeepL.com/Translator
  19. Picdelamirand-oil

    CVN classe Gerald FORD

    The Most Expensive Ship In The World Is Broken. The U.S. Navy Secretary Should Be Held Accountable. https://www.forbes.com/sites/craighooper/2019/10/16/the-navys-accountability-crisis-over-a-bet-ensnares-its-top-leader/#585fec491098 Les ascenseurs ne marchent toujours pas, le Secretary of the Navy, Richard V. Spencer a perdu son pari avec Trump....
  20. Non mais il croit vraiment que les Kurdes vont abandonner leur positions? C'est quoi ces clowneries?
  21. C'est super ça recoupe une information sur le SER du mirage 2000, du F-16 Bk 42 et du Gripen C/D: en effet j'utilise toujours la déclaration qu'avait faite un responsable de SAAB disant que le Gripen avait une SER moitiée du Mirage 2000 et 1/3 du F-16 Bk 42. Or pour le F-16 il est de notoriété publique que sa SER est de 1.2 m2 ce qui donne 0,4 m2 pour le Gripen et 0,8 m2 pour le Mirage 2000. Or 65% de 1.2 ça fait 0,78 ce qui recoupe les 0.8 du mirage 2000. Du coup ça consolide mes 0,06 m2 pour le Rafale (entre 1/10 et 1/20 de la SER du Mirage 2000 dixit un ingénieur de chez Dassault) cette valeur étant celle du début du programme hors furtivité active.
  22. Oui mais on a cédé sur un point important, on a été d'accord pour que l'exportation du Typhoon reste bloquée.
  23. Les blocages qui restent ce sont les compromis où c'est nous qui avons cédé
  24. Oui les Russe ont fait des surgénérateurs civils à base de plomb bizmuth, c'est très corrosif et si tu arrête le réacteur, il est foutu. Sinon c'est pas mal, peut être qu'il vaut mieux risquer des pertes financières qu'une explosion de Sodium.
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