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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Est-ce le seul lieu où ces affrontements se sont produits ?
  2. herciv

    Le F-35

    Un f-35 c'est un banana split sans la banane. L'article parle de besoin massifs en énergie et en refroidissement pour le block4. Sans le nouveau moteur, je ne comprend pas comment ils vont gérer quand les TR-3 commenceront à sortir. Ils vont devoir couper une capacité ou plusieurs pour que les autres puissent fonctionner pendant le vol ?
  3. Qui dit inflation dit rentrées budgétaires en rab. Dit autrement tes 415 milliards sont à peu prêt équivalent à 400 milliards 2021. Sur la durée d'une LPM l'effort sera moins que 75% et l'ampleur réel dépendra énormément de l'inflation.
  4. Ce sont des sous pour réindustrialiser la France. D'une façon ou d'une autre la BITD va être arrosée d'euros. Des investissements qui vont aller dans la recherche, le spatial, le cyber, les ingé, les écoles, etc, etc On va passer à 3,5 % du PIB. Cette dette là est pour beaucoup une dette d'investissement dans l'avenir et donc une bonne dette, une dette qui va directement payer des emplois français.
  5. herciv

    Le F-35

    EN voilà une date intéressante : Les premiers EEP livrables à partir de 2029 (contre 2030 pour les AETP). Tout ce qui sera livrer avant aura donc une mise à jour majeure à faire pour pouvoir profiter du surcroît de puissance indispensable au block4 .... D'ici là ben ils vont faire beaucoup la guerre en simulateur les clients F-35 Avec 150 F-35 livrés par an, les deux tiers des f-35 auront déjà été livrés. Dire que ce sujet des retards de mise à jour avait été abordé dès la vente des F-35 belges ... Incidemment le choix de la mise à jour a pris une année de retard (FY24 au lieu de FY23 précédemment annoncé)... Alors que c'est une urgence absolue ... Dernier chiffre intéressant l'EEP c'est 30% du f-135 de base qui est modifié. https://www.defensedaily.com/raytheon-targets-f135-engine-core-upgrade-for-24-f-35-squadrons-by-2030/air-force/ Raytheon Technologies [RTX] a déclaré qu’elle était en mesure d’équiper 24 escadrons de F-35 d’une mise à niveau du cœur du moteur (ECU) pour le moteur Pratt & Whitney F135 de la société d’ici 2030 – sept escadrons en 2029 et 17 en 2030 – contre seulement deux escadrons de F-35 qui pourraient recevoir un nouveau moteur dans le cadre du programme de transition adaptative du moteur (AETP) en 2030. L’ECU et le système d’alimentation et de refroidissement d’urgence (EPACS) proposé par Raytheon, qui doit atteindre le niveau de maturité technologique 6 l’année prochaine, doivent fournir une augmentation de sept pour cent de la plage de performance et de la poussée du chasseur F-35 Lockheed Martin [LMT], plus de deux fois le refroidissement du F135 pour accueillir de nouvelles armes dans le F-35 Block 4. et des économies de plus de 40 milliards de dollars sur les coûts du cycle de vie. Le prochain budget du DoD pour l’exercice 2024 pourrait définir la voie future du moteur du F-35, qu’il s’agisse de l’ECU F135 proposé par Pratt & Whitney ou d’une nouvelle centrale électrique, telle que le moteur XA100 Tri-Variant Adaptive (TVA) proposé par General Electric (Defense Daily, 11 octobre). Raytheon a suggéré que le DoD ne pouvait pas accélérer le développement et la mise en service d’AETP. « Quant à savoir pourquoi nous ne pouvons pas faire XA plus rapidement, cela a à voir avec le fait que l’ECU est une mise à niveau de base, ce qui signifie que 70% du matériel restera probablement commun », a déclaré Jen Latka, vice-présidente des programmes F135 de Pratt & Whitney, aux journalistes lors d’une séance de briefing / questions-réponses virtuelle le 13 décembre. « Il n’y a pas de contact avec le ventilateur [du moteur]. Nous ne touchons pas l’arrière du moteur. Son champ d’application [en écus] est limité au noyau. Nous limitons les technologies que nous apportons à ce qui est absolument nécessaire. » « La base d’approvisionnement dont nous disposons actuellement est la base d’approvisionnement qui fabriquera l’écu », a-t-elle déclaré. « Ils sont déjà en place et établis, et il n’y aura pas de changements massifs ... D’un autre côté, quand vous regardez combien de temps il faut historiquement pour faire monter en puissance un tout nouveau moteur de ligne centrale, sans parler d’un moteur qui n’a jamais volé auparavant, nous aurons une énorme quantité d’apprentissage et nous aurons besoin d’un programme d’essais en vol très robuste, étant donné que ce n’est que le moteur de cet avion, cela va prendre beaucoup de temps. Le programme de test prendra beaucoup de temps, puis il faudra des années pour mettre en place la chaîne d’approvisionnement et la base d’approvisionnement et les faire monter à plein régime. » En ce qui concerne le F135 et le moteur Pratt & Whitney F119 pour le chasseur F-22 de l’US Air Force par Lockheed Martin, « nous n’avons pas atteint un taux de construction de 150 chaque année du jour au lendemain », a déclaré Latka. « Cela a pris de nombreuses années. C’est un tout nouveau moteur avec des pièces complètement nouvelles à fabriquer. » Raytheon a également déclaré que l’AETP est « significativement plus lourd » que le F135 de 3 750 livres de poids sec, mais a refusé de révéler à quel point il était plus lourd et a renvoyé cette question au Bureau du programme conjoint (JPO) F-35. Defense Daily ajoutera toute réponse du JPO F-35. L’ECU était auparavant connu sous le nom de Programme d’amélioration du moteur, mais le JPO F-35 a récemment changé de nom. Pratt & Whitney a récemment reçu un contrat de plus de 115 millions de dollars pour des travaux en ECU jusqu’en mai de l’année prochaine (Defense Daily, 5 décembre). Technology Refresh 3 (TR3) – stimulé par le processeur central intégré L3Harris [LHX] – est l’épine dorsale informatique du bloc 4, qui doit avoir 88 caractéristiques uniques et intégrer 16 nouvelles armes sur le F-35. Le programme F-35 a déclaré que le chasseur aura besoin d’un moteur nouveau ou considérablement amélioré avec une puissance électrique et une capacité de refroidissement améliorées pour accueillir les 53 nouvelles capacités prévues pour le F-35 Block 4. En octobre, 48 représentants ont exhorté le DoD à investir dans la propulsion adaptative de prochaine génération pour les chasseurs dans une lettre coparrainée par les sénateurs Rob Portman (R-Ohio) et Sherrod Brown (D-Ohio) et le représentant Brad Wenstrup (R-Ohio). En tout, 13 des 16 représentants de l’Ohio ont signé la lettre. La filiale GE Aviation de General Electric a son siège social à Evendale, dans l’Ohio, près de Cincinnati. GE a déclaré qu’il avait commencé à travailler avec le JPO F-35 à l’automne de l’année dernière pour évaluer si GE pouvait modifier le XA100 proposé pour que l’AETP de l’US Air Force l’adapte au F-35B du Corps des Marines des États-Unis. Depuis 2016, la Force aérienne finance l’AETP. Le programme F-35 a déclaré que bien que le XA100 TVA soit basé sur le moteur F135 du F-35A, le TVA nécessiterait un programme de développement indépendant.
  6. De source anciennement militaire on est sur plusieurs dizaines de blessés et de morts côté chinois. Les indiens se sont défendus avec des armes de mélée : Selon VSTOL JOCKEY I came to know about it yesterday but did not post it here as it was not in the MSM. Now that it has become known, I can share what happened there. The approach of this batallion sized force was noticed well in advance and so IA was very well prepared with higher number of soldiers to take them on. Plus IA has inducted Malee weapons in its force for LAC and all our soldiers have been very well trained to use them and fight as a cohesive unit with those weapons. The nett result is that Chinese suffered killed in Action in double digits and over 70 dead/wounded seriously. IA suffered about 25 injured but none is serious. PLA had to use white flags to retrieve its dead. We also captured their soldiers who have been returned today.
  7. Climat: l'UE adopte une "taxe carbone" aux frontières pour verdir ses importations industrielles zonebourse 13/12/2022 | 06:58 Bruxelles (AFP) -- Le Parlement européen et les Etats membres de l'UE ont annoncé mardi s'être entendus pour adopter un mécanisme inédit visant à verdir les importations industrielles de l'Europe en faisant payer les émissions carbones liées à leur production. Appelé communément "taxe carbone aux frontières" bien qu'il ne s'agisse pas d'une taxe proprement dite, ce dispositif sans précédent à cette échelle consistera à appliquer aux importations des Vingt-Sept les critères du marché du carbone européen, où les industriels de l'UE sont tenus d'acheter des "droits à polluer". Le mécanisme visera les secteurs jugés les plus polluants (acier, aluminium, ciment, engrais, électricité, mais aussi hydrogène), ont indiqué les institutions européennes dans deux communiqués distincts, après de longues négociations nocturnes conclues au petit matin. Avec l'envolée du prix de la tonne de CO2, l'idée est d'éviter un "dumping écologique" qui verrait les industriels délocaliser leur production hors d'Europe, tout en encourageant le reste du monde à adopter les standards européens. Ce dispositif d'"ajustement carbone aux frontières" (CBAM en anglais) "sera un pilier crucial des politiques climatiques européennes, c'est l'un des seuls mécanismes dont nous disposons pour inciter nos partenaires commerciaux à décarboner leur industrie", a expliqué l'eurodéputé Mohammed Chahim (S&D, sociaux-démocrates), négociateur pour le Parlement. En pratique, l'importateur devra déclarer les émissions directement liées au processus de production, et si celles-ci dépassent le standard européen, acquérir un "certificat d'émission" au prix du CO2 dans l'UE. Si un marché carbone existe dans le pays exportateur, il paiera seulement la différence. Selon l'accord, le dispositif tiendra compte des émissions "indirectes", celles générées par l'électricité utilisée pour la production des produits importés. Une période-test commencera dès octobre 2023, durant laquelle les entreprises importatrices devront simplement rapporter leurs obligations. Le calendrier de mise en oeuvre effective du dispositif, qui sera progressive, dépendra de pourparlers ultérieurs en fin de semaine sur le reste de la réforme du marché carbone de l'UE, au coeur du plan climat européen. Ainsi, à mesure que cet "ajustement aux frontières" montera en puissance, l'UE supprimera progressivement les quotas d'émission gratuits alloués jusqu'ici aux industriels européens pour leur permettre d'affronter la concurrence extra-européenne. Le rythme de suppression de ces quotas gratuits et la possibilité d'aides alternatives aux exportateurs européens, pour ne pas les désavantager sur le marché mondial, font encore l'objet d'âpres discussions. Les eurodéputés réclament une suppression très progressive des quotas gratuits à partir de 2027, avant leur disparition complète en 2032, date où le CBAM entrerait entièrement en vigueur. Les Etats défendent, eux, une élimination très graduelle entre 2026 et 2035. Il s'agit d'un point crucial: en traitant à égalité importations et production locale, Bruxelles estime rester dans les clous des règles de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) et contrer les accusations de "protectionnisme". Agefi-Dow Jones The financial newswire (END) Dow Jones Newswires
  8. La Chine envoie une vague record de bombardiers dans la zone de défense de Taiwan https://www.malaymail.com/news/world/2022/12/13/china-sends-record-wave-of-bombers-into-taiwan-defence-zone/44962 Taïwan démocratique vit sous la menace constante d’une invasion par la Chine, qui considère l’île autonome comme faisant partie de son territoire à saisir un jour. — Reuters pic Suivez-nous sur Instagram, abonnez-vous à notre chaîne Telegram et aux alertes du navigateur pour les dernières nouvelles que vous devez connaître. Mardi, 13 Déc 2022 12:40 PM MYT TAIPEI, 13 décembre (Reuters) - La Chine a envoyé un nombre record de 18 bombardiers à capacité nucléaire dans la zone de défense aérienne de Taiwan, a annoncé Taipei aujourd’hui, quelques jours seulement après que Pékin a interdit davantage d’importations taïwanaises dans le dernier signe de détérioration des relations. Taïwan démocratique vit sous la menace constante d’une invasion par la Chine, qui considère l’île autonome comme faisant partie de son territoire à saisir un jour. Pékin a intensifié la pression militaire, diplomatique et économique depuis l’élection en 2016 de la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen, qui rejette sa position selon laquelle l’île fait partie de la Chine. Dans une mise à jour quotidienne mardi matin, le ministère taïwanais de la Défense a déclaré que 21 avions étaient entrés dans la zone d’identification de défense aérienne (ADIZ) du sud-ouest de l’île au cours des dernières 24 heures, dont 18 bombardiers H-6 à capacité nucléaire. Cela représente de loin la plus grande sortie quotidienne de bombardiers H-6 depuis que Taipei a commencé à publier des données d’incursion quotidiennes en septembre 2020, selon une base de données gérée par l’AFP. La vague est survenue après que la Chine a imposé de nouvelles interdictions d’importation sur les aliments, les boissons, l’alcool et les produits de la pêche taïwanais la semaine dernière, incitant le Premier ministre Su Tseng-chang à accuser Pékin de violer les règles du commerce international et de « discriminer » l’île. Le H-6 est le principal bombardier longue distance de la Chine et est capable de transporter des charges utiles nucléaires. Il est rare que la Chine envoie plus de cinq bombardiers H-6 en une journée. Mais les sorties ont considérablement augmenté ces dernières semaines. Jusqu’à récemment, octobre 2021 était le mois avec le plus grand nombre de vols H-6 jamais enregistrés, soit 16. Mais le mois dernier, la Chine a envoyé 21 des bombardiers dans la ZIDA de Taiwan. Et le décompte actuel pour décembre s’élève à 23. De nombreux pays maintiennent des zones d’identification de défense aérienne (ZIDA), notamment les États-Unis, le Canada, la Corée du Sud, le Japon et la Chine. Ce n’est pas la même chose que l’espace aérien d’un pays. Au lieu de cela, ils englobent une zone beaucoup plus large, dans laquelle tout aéronef étranger est censé s’annoncer aux autorités locales de l’aviation. La ZIDA de Taïwan est beaucoup plus grande que son espace aérien. Il chevauche une partie de la ZIDA de la Chine et comprend même une partie du continent. — AFP
  9. 80 GW appelé de 8h00 à 12h00. Des centrales au fioul on apporter jusqu'à 1,5 GW, le nuke produit 41 GW. et Surtout des lâchés d'eau ont permis de tenir sans faire appel plus que d'habitude aux imports. Le gaz est appelé de plus en plus intensément jusqu'à 10 GW aujourd'hui.
  10. Sûrement mais les devises vont commencer à pleuvoir quand même. https://histoireetsociete.com/2022/12/05/le-projet-cle-du-gazoduc-de-lest-chine-russie-est-achevepar-global-time/ L’ensemble du gazoduc devrait fournir à la Chine 38 milliards de mètres cubes de gaz naturel russe par an à partir de 2024 dans le cadre d’un contrat de 30 ans d’une valeur de 400 milliards de dollars en vertu d’un accord signé entre la China National Petroleum Corp et le géant gazier russe Gazprom en mai 2014, selon l’agence de presse Xinhua. Le tunnel du Yangtsé est la clé du gazoduc de la route est, qui devrait être achevé et mis en service en 2025, selon les médias. Le gazoduc complet s’étend sur plus de 8 000 kilomètres, avec une section de 3 000 kilomètres en Russie et un tronçon de 5 111 kilomètres en Chine. 7 ans pour construire 8000 km de gazoduc .... Les sanctions ne seront pas efficaces bien longtemps. Un article complémentaire sur les deux gazoduc russes "FORCE DE RUSSIE" https://french.alahednews.com.lb/45755/340 Par AlAhed avec AFP Le gazoduc Force de Sibérie 2, en discussion depuis plusieurs années entre Moscou et Pékin, «remplacera» Nord Stream 2, qui devait relier la Russie à l'Europe mais dont la mise en service a été abandonnée depuis le conflit en Ukraine, a déclaré jeudi le ministre russe de l'Énergie, Alexandre Novak. Interrogé dans un entretien à la chaîne de télévision Rossiya-1 sur un remplacement dans la stratégie énergétique russe de l'européen Nord Stream 2 par l'asiatique Force de Sibérie 2, M. Novak a répondu: «Oui». Plus tôt dans la journée, le ministre, en marge d'un déplacement en Ouzbékistan, avait affirmé que la Russie et la Chine allaient prochainement signer des accords portant sur la livraison de «50 milliards de mètres cubes de gaz» par an via le futur gazoduc Force de Sibérie 2. Ce volume représentera quasiment la capacité maximale de Nord Stream 1 - 55 milliards de m³ au total -, à l'arrêt depuis le 2 septembre. C'est par ce gazoduc stratégique, qui relie la Russie à l'Allemagne, que transitait jusqu'alors un tiers des livraisons de gaz russe à l'Union européenne. Alimenter l'énergivore économie chinoise Force de Sibérie 2 alimentera, lui, l'énergivore économie chinoise en partie via la Mongolie. La date de début de construction est fixée à 2024. Dans la stratégie énergétique de la Russie, il remplacera donc le projet de Nord Stream 2, longtemps soutenu par l'Allemagne mais que les États-Unis regardaient d'un très mauvais œil et que les Occidentaux ont enterré depuis l'opération militaire russe en Ukraine fin février. En Europe, les exportations de gaz russe vers l'UE «vont baisser d'environ 50 milliards de m³» en 2022, a ajouté jeudi M. Novak. Dans le même temps, le ministre russe a indiqué que Gazprom, l'opérateur du gazoduc Force de Sibérie 1 qui relie depuis fin 2019 le champ de Tchaïandina (Yakoutie) au nord-est de la Chine, allait «augmenter ses livraisons» pour atteindre «20 milliards de m³ de gaz» chaque année. Le raccordement début 2023 du champ de Kovytka, proche du lac Baïkal, au gazoduc contribuera notamment à faciliter cette hausse importante. En 2025, quand il aura atteint sa capacité maximale, cet important gazoduc produira 61 milliards de mètres cubes par an, soit plus que Nord Stream 1, dont 38 milliards de m³ seront destinés à la Chine selon un important contrat signé en 2014 entre Gazprom et son homologue chinois CNPC. Des accords ont par ailleurs été signés avec Pékin pour la construction d'une nouvelle route de transit partant de Vladivostok (Extrême-Orient russe) vers le nord de la Chine, soit «10 milliards de m³ de gaz supplémentaires», a annoncé jeudi le ministre de l'Énergie.
  11. L'or est un bon candidat en effet. Et d'ailleurs les achat d'or par les banques centrales ont cru de 25% depuis février. Cette carte est intéressante parce qu'elle montre les pays qui sont intéressé à ne plus utiliser le dollar en valeur principale d'échange et de réserve. Ce sont principalement les BRICS et de très nombreux pays de l'OPEP. Issue de cette série de deux article datant de novembre. https://asiatimes.com/2022/11/the-financial-reset-is-near/ https://asiatimes.com/2022/11/till-debt-do-us-part-2/ Extrait de l'article : Les BRICS rassemblent les plus grands importateurs mondiaux d’énergie, la Chine et l’Inde, avec les plus grands producteurs mondiaux d’énergie, la Russie et l’Arabie saoudite. Si des membres candidats étaient ajoutés, les BRICS domineraient non seulement le marché mondial du pétrole, mais aussi de nombreux autres produits de base tels que le blé, les engrais, les métaux industriels, l’uranium et l’or. Les pays BRICS ont plusieurs raisons de réduire leur dépendance au système du dollar. Tant que le pétrole est échangé en dollars, les États-Unis sont un poste de péage virtuel pour le marché mondial du pétrole – et la plupart des autres matières premières. De plus, les États-Unis ont une énorme influence sur l’économie mondiale. Lorsque la Réserve fédérale américaine augmente les taux d’intérêt, le dollar s’apprécie par rapport aux devises d’autres pays, ce qui rend l’importation de pétrole et d’autres produits essentiels plus chère. De même, les pays et les entreprises qui ont des prêts libellés en dollars paient davantage dans leur propre monnaie pour assurer le service de leur dette. Les pays BRICS s’inquiètent également de la baisse de la valeur du dollar. La crise financière de 2008 et la crise de Covid de 2020 ont conduit à une impression monétaire massive qui a ajouté des milliers de milliards à la dette américaine. Depuis 1971, lorsque les États-Unis ont découplé le dollar de l’or, la valeur du dollar a diminué d’environ 70%. Les pays BRICS utilisent de plus en plus les swaps de devises pour contourner le système dollar. Les détails sont sommaires, mais la prochaine phase pourrait être l’introduction d’un système de paiement basé sur un panier de devises. Le poids de chaque monnaie serait proportionnel au PIB des pays participants, à leur part dans le commerce international, à leur population, à leur territoire, à leurs ressources naturelles et à divers produits de base, y compris l’or. Les pays des BRICS ont été discrets sur l’architecture du nouveau système, mais la monnaie numérique de la banque centrale chinoise (CBDC) pourrait être un modèle.
  12. D'un autre côté quand on répond à une commission d'enquète sur la fin de la perte de la souveraineté et de l'indépandance énergétique française forcément çà risque d'être un peu à charge. Bon l'interview de Escata revient sur le problème de la perte de compétence parce qu'on a pas sorti un seul réacteur en 10 ans. Bon globalement ce sont des constats qui sont posé mais et maintenant on fait quoi ? Un simple calcul montre que pour mettre en place une filière de transport par véhicules électriques il va falloir entre 20 à 50 réacteurs en Rab. Les filières éoliennes et solaires sont beaucoup trop consommatrices de foncier pour être viable dans les proportions dont on a besoin.
  13. Le découplage entre les économies mondiales avance. Pour l'instant les caractéristiques des blocs sont ceux qui vont tenter de conserver le dollar, ceux qui vont tenter d'éviter le dollar et donc avoir besoin d'une valeur de référence différente et enfin ceux qui vont tâcher de continuer à commercer avec tout le monde. Pour l'instant avec la montée des taux d'intérêt US le dollar n'est pas menacé mais les sanctions ont eu des effets collatéraux. https://markets.businessinsider.com/news/commodities/dollar-dominance-dedollarization-china-saudi-arabia-oil-deal-crude-price-2022-12 La Chine veut acheter plus de pétrole à l’Arabie saoudite – et cela pourrait ronger le dollar, selon un stratège d’un groupe de réflexion George Glover déc 9, 2022, 12:07 Le prince héritier saoudien Mohammed bin Salman et le président chinois Xi Jinping à Hangzhou, en Chine, en septembre 2016. La Chine est prête à importer davantage de pétrole d’Arabie saoudite, a déclaré vendredi le président Xi Jinping. Cela pourrait stimuler la « dé-dollarisation », si l’Arabie saoudite accepte d’accepter les paiements en yuans. « Cette tendance commence déjà », a déclaré un stratège d’un groupe de réflexion. La Chine veut acheter plus de pétrole à l’Arabie saoudite, a déclaré son président Xi Jinping – une décision qui, selon certains économistes, pourrait réduire la domination mondiale du dollar américain. M. Xi a déclaré que la Chine « élargirait l’échelle du commerce de pétrole brut » avec le pays du Moyen-Orient lors d’une visite d’Etat jeudi, selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Il a également accepté de renforcer la coordination avec l’Arabie saoudite sur la politique énergétique lors de sa rencontre avec le prince héritier Mohammed bin Salman. La réunion, qui a signalé une relation plus chaleureuse entre Pékin et Riyad, intervient après que les États-Unis et leurs alliés ont introduit une interdiction et un plafonnement des prix sur les exportations de pétrole russe. Ce ne sont que les dernières d’une série de sanctions de guerre contre l’Ukraine qui ont effrayé les autorités chinoises et saoudiennes, selon les experts. La conclusion de la réunion n’a fait aucune mention de l’idée que l’Arabie saoudite pourrait commencer à accepter des paiements en yuans de la Chine pour ses exportations de brut – quelque chose que les deux pays auraient eu en discussion active plus tôt cette année, dans un possible pivot loin du dollar. Cela augmenterait la probabilité d’une « dé-dollarisation » – le remplacement du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale. « Cette tendance commence déjà », a déclaré Gal Luft, directeur du groupe de réflexion Institute for the Analysis of Global Security, à CNBC vendredi. « Il n’y a aucune raison pour que deux pays qui ont déjà une vaste exposition au dollar américain maintiennent leurs échanges dans une devise tierce. » La Chine paie déjà l’énergie russe avec le yuan, qui représente maintenant près de la moitié du marché des devises de Moscou. Le dollar a bondi en 2022, stimulé par les hausses de taux d’intérêt de la Réserve fédérale, qui ont attiré les investisseurs étrangers à la recherche de rendements plus élevés. L’indice du dollar américain – qui mesure la valeur du billet vert par rapport à un panier de six autres devises – a bondi de 9,16% depuis le début de l’année. « Les Saoudiens ont beaucoup à acheter à la Chine et la Chine a beaucoup à acheter à l’Arabie saoudite », a déclaré Luft. « Pourquoi devraient-ils effectuer des transactions dans une devise tierce et encourir tous ces coûts de change? » Les contrats pétroliers sont basés sur des indices de référence bruts tels que les contrats à terme sur le Brent et les contrats à terme West Texas Intermediate, dont le prix est exprimé en dollars. Cela signifie que les pays doivent acheter des dollars pour acheter du pétrole, ce qui soutient la valeur du billet vert. Les sanctions occidentales contre la Russie ont conduit à un refroidissement des relations entre les États-Unis et la Chine et l’Arabie saoudite. « N’oubliez pas que la Chine et l’Arabie saoudite ont été choquées par ce qu’elles ont vu les Américains et les Européens faire aux Russes en termes de gel des actifs de la banque centrale et ainsi de suite », a déclaré Luft. « C’est quelque chose qui les a vraiment secoués parce qu’aujourd’hui c’est la Russie, demain c’est eux », a-t-il ajouté. « Cela a certainement un impact sur leur prise de décision, et je pense que la dé-dollarisation commence déjà à se produire. »
  14. C'est pourtant la conséquence en démocratie. On est responsable des gens qu'on met à notre tête.
  15. Air India sur le point de passer une commande de 500 AIRBUS et BOEING : zonebourse Exclusif-Air India proche d'une commande historique de 500 avions - sources 11/12/2022 | 14:51 par Tim Hepher et Aditi Shah PARIS/NEW DELHI, 11 décembre (Reuters) - Air India, propriété du conglomérat indien Tata Group, est sur le point de passer des commandes à Airbus et Boeing pour au moins 500 appareils représentant une valeur de plusieurs dizaines de milliards de dollars, ont déclaré dimanche à Reuters des sources du secteur. Ces commandes portent sur un maximum de 400 avions monocouloirs et au moins 100 gros porteurs, dont des Airbus A350 et des Boeing 787 et 777, ont précisé sous couvert d'anonymat les sources, ajoutant que la touche finale à cette opération aurait lieu dans les prochains jours. Au prix catalogue des commandes de cette ampleur, options comprises, pourraient dépasser les 100 milliards de dollars, soit l'une des plus importantes jamais effectuée par une seule compagnie aérienne en termes de volume. American Airlines avait commandé, il y a dix ans, simultanément auprès de Boeing et Airbus 460 avions. Sollicités, Airbus et Boeing n'ont souhaité faire aucun commentaire tandis que Tata Group n'a pas répondu dans l'immédiat. (Reportage Tim Hepher, Aditi Shah; version française Claude Chendjou)
  16. herciv

    L'Inde

    Je peux me tromper mais çà ressemble à une offensive en règle de l'IAF pour un MRCA avec 114 avions. C'est le rafale qui passe en arrière plan donc on imagine bien que le message subliminal est que le choix de l'IAF est fait depuis belle lurette.
  17. Mine de rien Macron prépare la France à se substituer à l'Ukraine qui servait de voie transitoire au gaz russe. Le projet BarMar pourrait aussi être l'occasion de rééquilibrer l'Europe vers le sud. Zonebourse France-Macron veut développer un "grand port" de Marseille à Lyon 10/12/2022 | 14:07 PARIS, 10 décembre (Reuters) - Emmanuel Macron veut développer un "grand port" reliant Marseille à Lyon qui favoriserait le transport des marchandises et des énergies pour ensuite atteindre le coeur de l'Allemagne, a-t-il déclaré lors d'une interview au quotidien La Provence publiée samedi. Ces déclarations du chef de l'Etat interviennent à la suite du lancement officiel du projet "BarMar" de gazoduc sous-marin entre Barcelone et Marseille. Cette interconnexion pour l'hydrogène vert entre l'Espagne et la France, reflétant la volonté des Européens de renforcer les énergies renouvelables comme alternative au gaz russe, devrait coûter environ 2,5 milliards d'euros et être finalisée d'ici 2030. "Marseille est une porte d'entrée naturelle, par sa position géographique et par la présence de ses industries tournées vers l'avenir. Il faut aussi qu'on fasse, là encore pour des questions de cohérence énergétique et industrielle, ce Grand Port qui aille de Marseille à Lyon", a déclaré Emmanuel Macron à la Provence. "Il remontera le sillon rhodanien pour acheminer les énergies et les marchandises vers la vallée de la chimie, au sud de Lyon, et permettra aussi de connecter l'Allemagne et son cœur de production", a-t-il ajouté. Le projet BarMar, qui inclut également le Portugal, aura une capacité de 2 millions de tonnes par an de transport d'hydrogène "vert", c'est-à-dire produit à partir des énergies solaire et éolienne. (Reportage Benjamin Mallet)
  18. herciv

    Le F-35

    Rapport au Congrès sur le moteur d’attaque interarmées F-35 https://news.usni.org/2022/12/08/report-to-congress-on-f-35-joint-strike-fighter-engine 8 décembre 2022 07:23 Ce qui suit est le rapport du 2 décembre 2022 du Congressional Research Service In Focus, F-35 Joint Strike Fighter (JSF) Engine Options. Extrait du rapport Le ministère de la Défense (DOD) envisage de moderniser le moteur F135 existant du F-35 Joint Strike Fighter (JSF) – l’Engine Enhancement Package (EEP) – ou de développer et d’acquérir un nouveau moteur pour l’avion – l’Adaptive Engine Technology Program (AETP). Le Congrès a longtemps exprimé son intérêt pour les questions relatives au moteur du F-35. L’article 242 de la loi sur l’autorisation de la défense nationale pour l’exercice 2022 (P.L. 117-81) exigeait que le DOD élabore une stratégie d’acquisition pour la transition du moteur de la version Air Force du JSF (le F-35A) à l’AETP. L’article 243 exigeait que le DOD élabore une stratégie d’acquisition distincte pour la transition des versions du Corps des Marines et de la Marine (le F-35B et le F-35C, respectivement) vers une forme de propulsion avancée. Histoire du moteur F135 Le F135 – conçu et construit par Pratt & Whitney (P & W) de Middletown, CT – est le seul moteur qui équipe actuellement le F-35. (Pour en savoir plus sur le programme F-35, voir le rapport CRS RL30563, F-35 Joint Strike Fighter (JSF) Program, par John R. Hoehn.) Le DOD a attribué à P&W le contrat F135 en 2001. P & W a décidé de dériver le F135 du moteur F119, qui propulse le chasseur F-22 de l’armée de l’air, pour accélérer le développement du F135. General Electric (GE) et Rolls Royce (RR), alternativement, ont collaboré pour développer un moteur pour le JSF appelé F136, et le programme F-35 prévoyait initialement d’utiliser les deux moteurs. La Marine a mis fin à sa participation au programme F136. Après l’attribution du contrat F135 par le DOD en 2001, GE et RR ont continué à développer le F136. Au cours de l’exercice 2011, le Congrès a mis fin au financement du développement du F136, et GE et RR ont annoncé en décembre 2011 qu’ils ne continueraient plus à développer le F136. P&W a rencontré des problèmes de conception avec le moteur F135, tels que les exigences en matière de prélèvement d’air et les problèmes de durabilité. Le lieutenant-général de l’armée de l’air, Eric Fick, officier exécutif du programme JSF, a témoigné en avril 2022 que le DOD avait initialement défini les exigences du F135 en matière d’air de prélèvement (air comprimé prélevé à l’intérieur du moteur) au début du développement. Cependant, des modifications de la conception des capacités du moteur et de nouvelles exigences sont apparues au cours du programme de mise en œuvre continue du développement des capacités (C2D2) des F-35. Le programme F-35 C2D2 fournit « des ... des améliorations pour maintenir la domination aérienne conjointe contre les menaces en constante évolution. Il a déclaré que « pour fournir l’air de prélèvement nécessaire, le moteur devait fonctionner plus chaud, et les premières évaluations techniques suggèrent que cette augmentation de la température de fonctionnement pourrait réduire la durée de vie du moteur, entraînant des inductions de dépôt plus précoces et une augmentation du coût du cycle de vie ». Aperçu du EEP du F135 P&W soutient que le PEE offrirait " une voie abordable, à faible risque et souple pour la mise en service de produits significatifs ", abordable, à faible risque et agile pour la mise en service de capacités de capacité de propulsion significative pour tous les clients du F-35". Plus précisément, Plus précisément, P&W affirme que l'EEP atténuerait les problèmes actuels de maintien en service du F135, répondrait aux besoins de la version besoins de la version Block 4 du F-35, et permettrait de réaliser des économies sur le cycle de vie. Le rapport du GAO de juillet 2022 note que l'EEP "se traduirait par une augmentation des capacités, telles que l'amélioration de la portée et de la poussée". portée et la poussée". P&W affirme que si l'EEP est requis pour les trois variantes de F-35, "une certaine dégradation des performances dégradation des performances pour accueillir la soufflante qui fait partie du moteur du F35B [variante] du Marine Corps". Le DOD n'a pas fourni d'estimation du coût du le coût de développement de l'EEP. Certains analystes analystes estiment le coût de développement de l'EEP à environ 2 milliards de dollars. Aperçu de l'AETP L'AETP est le programme de recherche et de développement de la prochaine génération de moteurs de l'Air Force. prochaine génération de l'Air Force, destiné à être utilisé l'avion de domination aérienne de prochaine génération (NGAD) envisagé par le service. (NGAD). Comme mentionné ci-dessus, le DOD évalue également évalue également la possibilité d'utiliser l'AETP avec le F-35. En règle générale, les concepteurs optimisent les moteurs à réaction en fonction des critères suivants de carburant (comme dans les avions de ligne et les avions-cargos militaires) ou une forte poussée élevée (comme dans les chasseurs). En permettant de modifier le taux de dilution de dérivation (la quantité d'air qui circule autour du cœur du moteur moteur par rapport à la quantité d'air qui traverse le moteur), la technologie des moteurs adaptatifs permet aux moteurs à réaction de de passer d'un mode économique à un mode de forte poussée, selon les selon les besoins. Les moteurs adaptatifs peuvent également améliorer la gestion thermique thermique, ce qui peut permettre d'augmenter la production d'énergie. Deux entreprises développent des technologies de moteurs adaptatifs adaptatives : GE (qui développe le XA100 ; voir la Figure 2) et P&W (qui développe le XA101). A 13 septembre 2022, la presse spécialisée affirme que les moteurs de GE et P&W "devraient augmenter la portée du F-35 d'au moins 25 du F-35 d'au moins 25 %, sa poussée de 10 % et une pour cent et doubler la gestion de la puissance par rapport au F135." Le secrétaire de l'armée de l'air Frank Kendall a témoigné en avril 2022 qu'il prévoyait que le PFAE offrirait une réduction des coûts et une augmentation des capacités (par ex. une augmentation de la capacité (par exemple, la gamme et la production d'énergie) par rapport à l'actuel F135. Il a déclaré qu'il qu'il prévoyait qu'il en coûterait environ 6 milliards de dollars pour faire le PTAE en production. Kendall a déclaré que l'Air Force pourrait l'armée de l'air pourrait prendre une décision quant à la poursuite du le budget FY2024. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
  19. herciv

    [Rafale]

    Partage de compétences et entrainement rafale français avec f-35 anglais. https://c.newsnow.co.uk/A/1157647836?-42681:29153
  20. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/le-nucleaire-condition-sine-qua-non-a-la-reindustrialisation-de-la-france-le-maire-944127.html Le gouvernement définit sa stratégie de gestion en matière de matières et déchets radioactifs https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/le-gouvernement-definit-sa-strategie-de-gestion-en-matiere-de-matieres-et-dechets-radioactifs-944156.html Le gouvernement a publié samedi son cinquième plan national de gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR) pour les années 2022-2026. U document qui va servir à piloter sa stratégie dans ce domaine.Écoutez cet article Le plan national de gestion des matières et déchets radioactifs se penche entre autres sur le problème de la "saturation" des entreposages temporaires existant. (Crédits : Orano) Le gouvernement a publié samedi son cinquième plan national de gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR) pour les années 2022-2026, un document qui va servir à piloter sa stratégie. Ce plan de gestion "est adopté", indique un décret paru au Journal officiel. Un arrêté le complète avec un certain nombre de prescriptions. Le PNGMDR était auparavant mis à jour théoriquement tous les trois ans mais sa portée a désormais été étendue à cinq ans pour le mettre en cohérence avec la feuille de route énergétique (PPE). Cette édition est le fruit d'un long processus puisqu'elle avait fait l'objet d'un débat public en 2019 puis d'une concertation en 2020 et 2021. Elle "continuera d'accorder une importance particulière à la poursuite de la mise en place de filières de gestion pour les déchets n'en disposant pas encore (déchets de moyenne activité à vie longue et haute activité), et à l'optimisation des filières existantes, en particulier celle des déchets de très faible activité", a commenté le ministère de la Transition énergétique. "Elle permet de renforcer la participation de la société civile", selon la même source. Cigéo, un projet en cours d'expertise Quelques articles de l'arrêté sont consacrés au projet "Cigéo" d'enfouissement des déchets les plus radioactifs à Bure (Meuse). Il est ainsi demandé à l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) de proposer d'ici fin 2024 "les objectifs et les critères de réussite de la phase industrielle pilote" et de définir, en particulier, "la nature des déchets qu'il est prévu de stocker pendant cette phase et les essais envisagés". Le texte se penche en outre sur le problème de la "saturation" des entreposages temporaires existant. L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) s'est déjà inquiétée de la "saturation prévisible à horizon 2030" des piscines d'entreposage du site Orano de La Hague (Manche), où refroidissent des combustibles irradiés. Il est demandé à EDF de fournir avant la fin de l'année "un rapport d'analyse afin de préciser les horizons de saturation des capacités d'entreposage existantes". Face à ce risque de saturation, EDF porte un projet de nouvelle piscine à La Hague. Il lui est aussi demandé de fournir un "calendrier révisé" de ce projet d'ici la fin de l'année. Enfin, le gouvernement demande aux producteurs de combustibles usés "la liste des combustibles usés susceptibles d'être éligibles à un entreposage à sec", une technique alternative couramment pratiquée à l'étranger. Il semble que EdF table sur un scénario de 80 heures de coupure cet hivers : https://www.latribune.fr/opinions/editos/la-france-qui-tombe-pas-encore-en-panne-944128.html Il semble que EdF table sur un scénario de 80 heures de coupure cet hivers : https://www.latribune.fr/opinions/editos/la-france-qui-tombe-pas-encore-en-panne-944128.html
  21. herciv

    Le F-35

    J'ai du mal à savoir. Si çà n'est que des coûts de développement uniquement les partenaires paieront non ? Que les FMS paient en direct les coûts de développement me semble étonnant. Evidemment ces coûts seront reportés dans les coûts d'achat de matériel et donc les coût de développement seront facturés indirectement.
  22. herciv

    Le F-35

    Non la RAAF raconte une jolie histoire pour justifier 8773 heure mais elle n'arrive pas à justifier 6854 heures qui sont pourtant tout à fait officielles.
  23. Ca ressemble à un proof of concept. De toute façon on ne voit rien venir sur cette RFP. Ca donne du temps au US pour mettre en place une vrai solution.
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