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reinel

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  1. Coût public annoncé de la bestiole ~ 18 000 €. Même si le contrat de l'armée a peut être tiré sur les prix, c'est pas le moment de t'embrouiller les manettes quand tu lui fais prendre l'air.
  2. reinel

    AMX-45 - Char 45T

    Si c'est du quantique, ce sera oui et non !
  3. reinel

    AMX-45 - Char 45T

    Le concept le plus probable à mon sens d'un AMX-45 dans l'AdT, serait dans l'optique de préserver au maximum les Leclerc et leur précieux GMP jusqu'à l'arrivée du MGCS Je ne crois pas de trop à une remontée en puissance significative hommes / matériels des armées dans un terme proche et moyen, surtout avec les budgets que l'on peut imaginer dans cette période du "quoi qu'il en coûte" (que je ne dénigre absolument pas, par ailleurs) En revanche, comme l'hypothèse a déjà été abordée sur ce fil, un lot de 100 AMX-45 venant remplacer 100 Leclerc que l'on mettrait sous cloche (ce qui coûte bonbon aussi, si j'ai bien tout compris) ne serait pas inintéressant. 1) nous aurions un engin blindé, plus employable et performant dans la majorité des conflits dans lesquelles nos forces armées se sont engagées depuis 20 ans (et qui ont toutes les chances de se renouveler dans les années à venir) 2) moins de réticence à sortir ce char que pour les Leclerc que ce soit pour les opérations ou les exercices 3) conserver dans l'effectif disponible suffisamment de Leclerc pour former un GTIA si un conflit nous oblige à sortir nos gros calibres 4) mieux préserver nos Leclerc et assurer la transition avec l'arrivée du MGCS sans connaître un gros trou capacitaire (nous permettrait aussi, dans le cadre d'un programme multi national, de moins avaler de couleuvres au prétexte que notre besoin est urgent et que, sans grosses concessions, il n'avance pas assez vite)
  4. reinel

    AMX-45 - Char 45T

    Détrompe toi. C'est ce qu'il y a de plus complexe à programmer : l'intelligence situationnelle. Je vais prendre un autre exemple "basique" : dans une rue 1 voie à sens unique, tu suis un camion poubelle. Tu sais qu'il va mettre 10 minutes à remonter la rue en s'arrêtant à chaque entrée d'immeuble => même si ton GPS t'indique que la rue parallèle est plus encombrée, tu n'hésiteras pas à la rejoindre dès que tu pourras parce qu'au final tu sais que tu seras plus rapide. Même situation sauf qu'après le 1er arrêt (à 1 stop, par exemple), le camion démarre et ne s'arrête plus, en fait il rentre au dépôt ; du coup, tu n'hésites plus à le suivre. Il très difficile "d'apprendre" à une IA d'analyser ce type de situation. Tu peux bien sûr le faire en rentrant finement tous les paramètres mais jamais tu ne pourras paramétrer finement toutes les situations potentielles (au risque d'ailleurs qu'à la fin le programme s'auto contredise.) Il reste encore des domaines où le neurone garde une longueur d'avance sur le bit.
  5. reinel

    AMX-45 - Char 45T

    Je ne suis pas persuadé que ce fil soit le bon mais puisque que le sujet est (re)lancé ici... Je vais résumer ce que je sais et ce que je pense des éléments qui déterminent le nombre de pax dans un équipage type cavalerie. Sur l'impact sur le volume / blindage du véhicule suivant que l'équipage soit à 2, 3 ou 4 Ce n'est certainement pas le critère le plus impactant. Surtout si le véhicule est doté d'une tourelle téléopérée non pénétrante. La taille et la position du GMP, de la chaine de transmission, etc... aura des conséquences plus lourdes (sans jeu de mots) sur le volume global et la masse. Tourelle téléopérée ou pas Ca dépend à mon sens de la destination première du véhicule. Pour ceux fortement orientés combat (type "char"), la tourelle téléopérée peut être un bon moyen de gagner du poids, de rationaliser l'architecture de gagner du volume utile en caisse, de réduire le volume global et donc la masse. En revanche, quand une partie de des missions dévolues sont la reco et l'éclairage, le contact avec la population, ... la tourelle téléopérée est moins pertinente. On rentre en contact et on parle plus facilement à un homme qu'à une boite. C'est une des raisons pour lesquelles le Jaguar a été conçu avec la tourelle habitée de Nexter et pas avec celle non pénétrante qui aurait permis une plus grande rationalisation de la caisse. La durée sur le terrain Il est certains qu'un équipage dure plus à 4 qu'à 3 ou 2. Dans une armée au format aussi resserré que la nôtre, je pense que c'est un critère à prendre en compte. Nous n'avons pas les moyens d'assurer le même rythme de relève que si nous avions 600 MBT. Sur les performances des IA et de l'automatisme. Certes les progrès sont énormes dans ce domaine mais il reste encore de gros pans où "l'homme dans la boucle et nécessaire et plus performant". Pour reprendre l'exemple de la circulation parisienne (qui reste relativement simple quand même. Les seuls variables à prendre en compte sont les trajectoires et vitesses des mobiles extérieurs -voitures, vélos, piétons, etc..- et les feux. Tout le reste est fixe : voies, limitations; zones d'arrêt, etc...) Une IA ne prendra jamais pas encore la rue A puis la B et enfin la C parce qu'elle sait que sur ce parcours peut-être plus long et encombré, une fois le 1er feu pris au vert, les autres le seront également et, qu'au final, ce sera plus rapide. Sur le terrain c'est encore plus complexe. Pour avoir manœuvré une SER pendant quelques temps, une des principales questions à se poser (et la plus intéressante) en reconnaissance de zone ou en éclairage d'itinéraire c'est "l'ENI est censé arriver de par là / être dans cette zone, qu'est-ce que je vois à sa place ? qu'est-ce que je ferais ?" bref "sentir" le terrain. Pour rejoindre un point A, je vais peut-être choisir de prendre par la droite pour longer une ligne de crête qui me permettra au passage de découvrir ce qui se passe au-delà. Ou au contraire de prendre par la gauche pour utiliser ce masque à 500 m qui sécurisera mon approche du point A. Une IA saurait faire ce choix ? Interpréter les priorités du moment de la mission pour déterminer l'itinéraire ? S'écarter légèrement de l'itinéraire pour aller reconnaître tel bosquet plutôt que celui là parce que l'approche du 1er, côté ENI, est plus sous couvert et sécurisée ? Quant à l'automatisme "tireur", j'y crois encore moins ; les conséquences sont sans commune mesure. Une IA saurait faire la différence entre une Toyata qui porte sur son plateau des gus armés de RPG et un camion de brousse qui revient avec des ouvriers chargés de fagots de bois ? Dans un conflit "classique" avec une ligne de front marquée, passe encore (quoique...) mais ce n'est pas la majorité des conflits envisagés pour nos forces armées actuellement et dans l'avenir La multiplicité des tâches à accomplir Cet élément est souvent (malheureusement) mal pris en compte dans l'étude des matériels. Le Rafale en est un "bon" exemple. A sa conception, avec les progrès de l'automatisation, un appareil monoplace était considéré comme pertinent. Et puis, entre son étude et sa réalisation, la multiplication des informations / interfaces / systèmes s'est révélée trop importante pour être gérée par le seul pilote pour la majorité des missions => l'équilibre des commandes entre la version mono et bi place a été largement revu. Nous voyons actuellement arriver des moyens qui ajoutent informations et systèmes à gérer par les personnels, même si les IA aident à les synthétiser. Un équipage à 3 est suffisant dans un MBT type Leclerc. Le sera-t-il dans un avenir proche où le combat sera de plus en plus décentralisé, avec des véhicules de plus en plus éloignés les uns des autres ? Avec une intégration dans la bulle Scorpion qui présentera une situation tactique améliorée mais demandera également de faire remonter le renseignement et de porter une attention accrue aux éléments reçus ? Avec des drones à gérer ? Je ne parle pas de véhicules de combat déportés mais juste de mini drones d'observation et de désignation. Je ne crois pas à l'efficacité du contrôle centralisé et déporté de ces drones. Un chef de char en cours de progression qui a besoin de contrôler une zone masquée par une ligne de crête située à sa droite pour éviter d'être engagé de flanc doit pouvoir envoyer et contrôler lui-même un drone. Et pas perdre du temps et de l'efficacité à faire une demande à un véhicule tiers (je vous passe les étapes du processus). Et je ne me projette qu'avec les moyens actuellement en service. Peut-être que d'autres moyens encore en projet ou pas encore imaginés pourront s'implémenter dans une dizaine d'année. Il serait dommage de devoir redessiner une plate-forme qui permettrait de les exploiter alors qu'il est toujours possible de rouler avec un siège inoccupé si les progrès des IA le permettent. En fait, tout ça peut être maîtrisé avec un équipage à 3 voire à 2 mais avec moins d'efficacité et de réactivité. Pour revenir à la circulation urbaine, combien de piétons ont été renversés par un conducteur qui jetait un coup d'oeil à son GPS pourtant judicieusement placé sur son pare-brise ? Le cerveau humain a ses limites et ne peut pas multiplier la gestion de champs différents sans perdre en efficacité globale. Bon, j'ai été (trop) long. Ca faisait longtemps. Désolé
  6. reinel

    AMX-45 - Char 45T

    Pas faux mais je ne suis pas sûr que les IA soient assez performantes pour assurer la totalité de la tâche
  7. Pas besoin d'aller si loin. Je me souviens d'une manœuvre de 3 jours en février du côté de Montargis par - 10 °c mais avec des coins où tu as de l'eau jusqu'à mi mollets (c'est pas pour rien que Montargis est appelée "la Venise du Gatinais") Là tu comprends le principe waterproof de la rangers => une fois l'eau rentrée, elle ne ressort plus J'ai passé 3 heures de la dernière nuit en poste d'observation statique. La seule fois de ma vie où j'ai compris que dans "claquer des dents", il n'y avait aucune volonté consciente.
  8. Oui, je pense que c'est ça. Il précisent que, dans l'AdT, c'est la composante "écoute" du 54 RT qui en sera dotée. Pour moi la grande nouveauté c'est que ce soit interarmées. Mais en fait ils ne donnent pas beaucoup de détails. Est-ce que c'est juste une plus value logicielle qui permettra l'interarmées ? Ou y aura-t-il aussi de nouveaux matériels qui viendront compléter et/ou remplacer les SAEC que l'on voit sur la photo ?
  9. reinel

    AMX-45 - Char 45T

    Ca dépend de ce qu'on entend par "drones". Si on parle de la gestion de moyens de combat inhabités et déportés, je suis d'accord. En revanche, pour les minidrones d'observation et/ou de désignation, je pense que leur dotation va se développer et qu'ils seront de plus en plus courants sur les véhicules. Et là il faut prévoir l'intégration de l'antenne de liaison, l'écran de contrôle... et le gars derrière pour gérer tout ça.
  10. reinel

    AMX-45 - Char 45T

    Non, je pensais Somua. Mais je me plante peut-être, suis pas un grand spécialiste WW2. Désolé si je pollue ce fil mais pour moi la réflexion est globale et pas seulement sur le MGCS. Elle vaut également pour le Jaguar (je sais bien qu'on ne va pas le redessiner alors qu'il n'est pas encore livré). Dans sa mission d'éclairage en particulier où il aura très vite des drones à contrôler, du renseignement à faire remonter, des liaisons à maintenir, etc... je pense que c'est son équipage limité à 3 qui posera la limite de son efficience bien avant d'atteindre les limites du système
  11. reinel

    AMX-45 - Char 45T

    Bonjour Une question que je me pose (en fait, c'est l'interview de qcq -sais plus qui- dans 1 HS de Raid d'il y a qcqs années qui me l'a soufflée) : Que l'engin blindé fasse 25, 45 ou 65 T, même avec un chargement automatique, est-ce que 3 pax suffisent pour tirer le plein potentiel du système d'arme ? Plus les concepts tactiques avancent et plus le combat est décentralisé pour en arriver jusqu'au "pion" de base. Dans la "bulle" Scorpion, chaque pion sera susceptible de manœuvrer et d'agir sans contact direct avec les autres éléments de son groupe / peloton/ section... C'est encore plus vrai quand on parle cavalerie. Alors, dans un engin blindé type cavalerie : - le pilote pilote - le tireur tire et, éventuellement, radiote - il reste donc tout le reste pour le chef de char : guider la manœuvre, s'informer de la situation tactique via Scorpion et faire remonter les infos recueillies, être en contact avec l'échelon supérieur, assurer la sureté proche du véhicule (tourelleau, systèmes d'alerte, contre mesures), être le "hunter" du véhicule, contrôler les moyens déportés type drones, voire manœuvrer son peloton pour le chef de peloton, régler la clim et faire le café... Je sais que l'automatisation et les aides IA se développent mais je crains qu'on finissent par faire un nouveau Somua : bon engin mais peu efficace sur le terrain à trop surcharger le chef d'engin de tâches diverses. Je verrais bien un équipage à 4 : pilote, tireur, chef qui se concentre sur la manœuvre du char et de son intégration dans la tactique globale, un "responsable systèmes" qui gère le reste pour remonter le renseignement et synthétiser la situation pour son chef. @+
  12. reinel

    AMX-45 - Char 45T

    Bonjour, Un "truc" me chiffonne : j'aime bien le concept mais... ...c'est pas une remontée rapide des forces qui accompagnerait son achat par l'AdT, c'est un changement de format. Parce que, si c'est pour remplacer le Leclerc par ce 45T, ça n'a pas de sens ; nos (maigres) 200 MBT restent indispensables dans un conflit moyenne / haute intensité. Maintenant, si c'est pour pouvoir l'employer là où on envoie pas les Leclerc et pour donner de l'épaisseur au corps de bataille en cas de gros conflit (ou de multiples conflits simultanés), OK et je suis pour. Mais il ne suffit pas de mettre 3 gars dans chaque engin acheté, il faut aussi les effectifs d'infanterie, d'artillerie, du génie sans compter les unités de soutient et toute la log. Et je ne suis pas sûr que ce soit un projet qui soit dans les cartons...
  13. Super intéressante cette courte vidéo Déjà on perçoit bien le blast de départ même si l'AT4 est prévu pour être tiré en milieu clos (tu me diras, si c'était pas le cas, ça se serait fini en barbecue) Ce que je trouve intéressant aussi c'est la crispation du tireur dans la fraction de seconde qui précède le tir. Du coup, il baisse légèrement sa ligne de visée @+
  14. Heu... vous pensez qu'ils ont mesuré les dimensions internes du Land Rover avant de tenter d'y faire rentrer le général ?
  15. Bonjour En préambule, je ne suis pas du tout spécialiste de l'artillerie et encore moins du sol-air ; mes questions vont peut être complétement à côté de la plaque. Un peu plus haut dans ce fil on parle de système SA mobile, capable d'accompagner les unités au contact et d'engager aéronefs et drones dans la bulle de responsabilité de l'unité. Je comprends la nécessité d'une portée ~ 10 km pour prendre en compte la profondeur de cette bulle tout en maintenant le système à une distance raisonnable de la ligne de contact. Mais où je m'interroge c'est sur l'efficacité s'un système placé à 5 km de la ligne de front pour prendre en compte la menace des drones ; en particuliers des drones de petite dimension type drones courte portée d'observation, attaque en essaim, attaque "suicide", etc... En effet, entre la dimension relativement petite de la cible, le fait que je ne pense pas que celui qui l'envoie le fera voler à 100 m au-dessus des masques du terrain et qu'il risque de n'être détectable qu'à très courte portée, je pense qu'ils seront très difficilement pris en charge par un système placé à 5 km en retrait. Pour prendre en compte cette menace j'aurais plus imaginé un système léger et mobile assez proche de la ligne de contact. J'ai faux ? @+
  16. Merci, je comprends mieux. Et il me vient une idée, sûrement stupide, pour "leurrer" ou au moins embrouiller suffisamment la chaîne de calcul de contre batterie pour avoir le temps de sortir de batterie : faire varier "aléatoirement" le poids des obus. Admettons (je donne des chiffres complètement farfelus, ce n'est vraiment pas mon domaine) qu'une même pièce tire 3 projectiles qui ont 1 kg d'écart chacun à 10 sec d'intervalle. Pour atteindre le même point, le calculateur calcule que le canon doit être relevé de 2° entre chaque tir. Le radar de contre batterie et son calculateur vont-ils être aussi performants dans le calcul ?
  17. @g4lly @Fanch @ZeGrinch Bonjour, C'est une question que je me suis déjà posée sans chercher à aller plus loin. Effectivement les radars de contre batterie peuvent déterminer le point de départ en analysant la fin de trajectoire de l'obus... mais comment ? Même en restant sur du 100 % basique (trajectoire balistique only, pas de culot "longue portée", etc...) Comment calculer le point de départ sans avoir déterminé le point sommital de la trajectoire ? Parce que, avec la même trajectoire finale, suivant la charge utilisée pour propulser l'obus, la batterie sera plus ou moins éloignée du point d'impact.
  18. reinel

    L'artillerie de demain

    Merci ! C'est parce que je suis trop vieux moche pour mettre ma photo Cela dit, j'apprécie également le tien ; il nous présente un joli... profil
  19. reinel

    L'artillerie de demain

    Je ne me suis jamais posé la question sur l'efficacité du couple 40 CTA / MMP ; je pense comme toi que des personnes bien plus compétentes que moi dans ce domaine ont fait leur boulot et que ce choix est bon. Pour moi, l'interrogation vient plus du nombre de porteurs de ce couple (autrement dit : du nombre de Jaguars). En cas d'engagements multiples, seront-ils suffisants pour couvrir ces 80 % des missions ? @+
  20. Bonjour, J'aimerais voir quel va être le positionnement de ce nouveau groupe "éclaireurs" par rapport aux GCP ? Et du coup les GCP vont-ils complètement abandonner les missions d'éclairage ? En fait les SAED ont repris les missions d'éclairage des SER mais sans en avoir les moyens spécifiques, en particulier niveau véhicules (quand je commandais ma SER, c'était 8 VL répartis en 3 patrouilles + commandement) Mais avec un éventail de missions qui dépassait largement l'éclairage pour se rapprocher (modestement) d'un emploi GCP / GCM Pour moi, SAED et SER c'est comme fromage et dessert ; quand je n'en ai qu'un des deux, il me manque qcq chose. L'éclairage d'une unité, qu'elle soit en mouvement ou à l'arrêt, demande des moyens spécifiques et dédiés. Et également une permanence de la mission sur le terrain. Si tu emploies l'unité chargée de l'éclairage à d'autres missions, il y aura forcément des trous dans la raquette. Je me souviens d'un exercice où, à cause d'un silence radio imposé par une ambiance "guerre élec.", le PC avait réquisitionné une de mes patrouilles pour renforcer les estafettes. Ben ça a pas loupé : les emmerdes nous sont arrivés dessus par la zone où, en toute logique, cette patrouille aurait dû éclairer. @+
  21. reinel

    Ici on cause MBT ....

    Salut, C'est le principe ultime de la tourelle téléopérée. L'équipage est dans un shelter à 10 000 km de là. @+
  22. @Gibbs le Cajun Ouiiiiii ! Le Simca ! Effectivement le levier était encore pire que le GBC. Mais il avait moins de vitesses. Enfin, la technique du "lever de fesses" était la même. Me suis toujours demandé pourquoi, dans ces camions, tout était à sa place sauf le levier de vitesse
  23. Ben sur le GBC8 KT c'était plutôt du brutal comme disait Raoul (pour rester chez Audiard) *instant nostalgie on* Les ingénieurs avaient eu l'idée espiègle de cacher le levier de vitesse entre les 2 sièges avant mais derrière. Pour rétrograder en 2nde ça demandait une certaine technique : 1) trouver le pommeau à l'aveugle ; 2) soulever légèrement tes fesses de ton siège ; 3) tendre le bras et bien verrouiller le coude ; 4) te laisser retomber sur le siège tjs le bras tendu. Et là, ça passait... si tu n'avais pas oublié le double débrayage. Sinon tu restais perché comme un con en appui sur le levier. ...et le doux bruit du ralentisseur sur échappement... qui faisait caler le moteur dès qu'il n'était plus en prise (pdt un double débrayage par ex.). et là tu perdais direction et freinage. Un copain s'est retrouvé direct dans un champ comme ça quand son conducteur s'est emmêlé les pinceaux en pleine descente. *instant nostalgie off* Aujourd'hui je me dis qu'il est cool mon Scénic
  24. reinel

    Ici on cause fusil

    Bon, ben j'ai faux. Merci pour la rectification. Du coup elle vient d'où cette différence de portée pratique entre le M27 et le HK416 ? J'ai bien fait de mettre ma parenthèse dans ma réflexion sur les réducteurs de son au combat, du coup j'ai appris que ce que je croyais sur le M27 était inexact.
  25. reinel

    Ici on cause fusil

    Salut Alors je ne suis pas du tout spécialiste du M27 mais voilà ce que je croyais avoir lu (en fait suis sûr de l'avoir lu, mais pas sûr que l'info soit bonne) : 1) canon différent sur l'IAR par rapport au HK416. Ce qui permet de faire passer sa portée à 600 m voire 800 m en tir sur zone. Est ce les 2" de plus qui permettent cette portée ? 2) un système de culasse qui permet un tir en rafales plus soutenu (pas une plus grande cadence mais plus longtemps) Si mes infos ne sont pas bonnes, désolé pour l'erreur et merci pour la rectification. @+
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