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Tout ce qui a été posté par BPCs

  1. Inversement les FREMM italiennes ont le radar de l'Hzn, et le rêve devient réalité ...
  2. L'exemple de 50 corvettes n'est pas bien choisi , par contre une attaque saturante à base de "cruise missile" rustiques voire d'UAV bricolés est par contre tout à fait étudié par certains organismes américains : j'ai le pdf chez moi éventuellement. Le problème est que l'on consomme assez vite du missile dans ces cas là
  3. "J'ai le plus Bô des batôoooo" chantait l'autre... C'est sûr que cela fait un peu langue de bois, ce qui est mieux quand on veut grimper l'échelle de la hiérarchie... Ceci dit le concept du BPC aura(it) de quoi "se rapprocher un peu de celle d'un porte-avions" dans le concept, ne serait ce que biscotte les missions de CAS ont en grande partie été abandonnées au Tigre par l'AdA. Maintenant dans l'état actuel il fait plus Canada Dry (version cannette Vide ) que Sea Control Ship ou Littoral Control Ship : Il ne manque que tout le reste...
  4. BPCs

    [Rafale] *archive*

    Le successeur du Rafale, le drone furtif type Neuron, risque de mettre tout le monde d'accord : prévu pour persister sur zone entre 25 et 50 h moyennant les ravitaillements.
  5. celui-ci fait aussi partie de la bande : Delilah 1 Delilah 1 is an air-launched stand-off and cruise missile, with a turbo jet engine that allows the ability to loiter in order to enable it to target well-hidden threats, as well as attack moving targets, making it ideal in destroying SAM threats. It has a range of 150 km (90 mi.), and can destroy targets both on sea and on land. An autopilot onboard as well as an INS/GPS navigation system allows the missile to perform its mission autonomously; a data link enables intervention and target validation. The missile can be fitted with a variety of warheads and can be fitted to most aircraft. It can be fired from aircraft, helicopter, or ground launcher. Its compact dimensions allow it to be carried by Sikorsky UH-60A helicopter and the SH-60B helicopter. It carries a small but effective warhead to allow it to destroy the target but minimize collateral damage. This missile was first used in combat by Israel over Lebanon on July and August 2006, launched by an F-16D fighter aircraft.
  6. J'aime bien ce passage qui confirme ce que nos faibles dotations en missile (200 MdCn, 200 aster 30 je crois) laissait craindre : "Autrement dit, en termes d'armement, la Marine Nationale n'est qu'une marine de cinquième rang, loin derrière l'US Navy, mais aussi les marines russe, chinoise, japonaise, ou sud-coréenne. Individuellement, un navire de surface français aura une salve anti-navires de taille réduite (8 missiles maximum), là ou les navires russes ou chinois ont des salves doubles. De même, avec seulement 16 ou 32 missiles anti-aériens, une attaque saturante aura toutes les chances de passer le feu défensif d'une frégate française. Cette situation est préoccupante y compris dans un schéma de "techno-guérilla navale" où l'adversaire userait de multiples vecteurs légers mais lourdement armés. Avec seulement quatre missiles anti-navires modernes par navire, un groupe de six patrouilleurs lance-missiles pourrait en une seule salve (32 missiles) venir à bout de la totalité du stock de missiles prêts à être lancés d'une FREMM, et sérieusement entamer celui d'une frégate Horizon, pour ne rien dire de la faible batterie Crotale des FLF. Et encore, cela part d'un cas idéal où tous les missiles adverses sont abattus, ce qui a peu de chances de se produire dans la réalité."
  7. Pour le capitaine de frégate Eric Lavault, commandant adjoint des opérations du Mistral, cette campagne correspond à "un véritable saut technologique, porté par les hélicoptères de nouvelle génération tels que le Tigre, le Caracal , dont la période d'homologation à bord du BPC s'est déroulée à la fin de l'année 2008, et le futur NH-90 . Avec ces hélicoptères moins nombreux que les appareils d'ancienne génération comme les Gazelle ou les Puma mais plus modernes, mieux équipés et armés, et aux missions plus larges, l'activité du BPC se rapproche de celle d'un porte-avions".
  8. S'appeler le prince Qu'on Sort c'est dur à supporter et cela mérite bien d'avoir son nom sur un PA... pour compenser... :-[ ouais , c'est pas drôle :-X Ok Je sors :'( Et oui la lumière divine m'est également apparue par une autre forme d'algorithme mathématique sophistiqué : Prenez une dotation de 60 rafales M et multiplié par une disponibilité de 70% dans l'Aéronavale vous obtenez 42 ... Mais de 42 à 24, est ce que cela ne fait pas un peu cher pour l'entrainement et le volant etc... Bref 60 correspondait à 42 dans l'optique de fournir les 34 sur le PA2 "Amiral Castex" (désolé Philippe, tu n'as pas écrit plus sur la question que ce Monsieur :lol: :lol: :lol:) plus qq uns pour l'entrainement et le volant d'indisponibilité... Si le PA2 n'est pas "vôté" en 2012 est ce que la Royale pourra effectivement justifier d'une dotation à 60 Rafales... L'idéal serait bien sur une super RGPP à laquelle travaillent certains ;) qui permettrait de dégager larga manu au sein du gachis financier de nos armées, les fonds pour un 2ème PA plus une dotation augmentée en Rafale M qui permettrait d'armer les 2 PA Bon on a le temps pour en reparler d'ici 2012 ... Mais cela risque sinon de faire comme pour les CVF et les harriers : si on peut flinguer les Harrier on peut se passer des CVF, Si on n'a pas F-35 à mettre dessus, on peut retarder les CVF ET pour nous : si pas de PA2 décidé en 2012, on "sucre" une partie des rafales pour rester autour de 42 ce qui moyennant une dispo de 70% permet d'obtenir la trentaine de rafales pour le CdG et l'entrainement. LE PROBLEME DANS LES HABITUDES DES LOBBYING DU PUBLIC c'est qu'ensuite on flingue encore plus aisément le PA2 puisqu'il n'aura définitivement pas de rafales à mettre dessus... Or Garder la dotation de Rafale et ultérieurement de la compléter avec des UCAV type Reaper/Heron TP (comme les US s'apprêtent à le faire sur leur PA) pour justifier aussi le PA2 comme un navire ayant une fonction, même quand le CdG est disponible : On pourrait avoir alors si besoin une dotation du type : CdG , 16 Rafale et 6 HeronTP et PA2 Castex 24 Rafale et 10 Heron TP,
  9. Non,non! Quand on voit les 8 miliards du M51 et les 5 de l'A400, on ne peut pas dire cela. MAIS inversement les budgets ne sont pas extensibles.
  10. C'est aussi valable pour nous, dans des conditions économiques non moins défavorables: si l'on trouve les 2700 m€ pour payer un PA2, on aura à peine les sous pour financer les 60 rafales M nécessaire à former un seul GAé, et encore avec la cadence toujours plus lente de livraison des rafales, on aurait le PA2 avant que d'avoir les 60... Et cela va être comme cela tant que l'on aura pas passé la bosse budgétaire et jusqu'en 2018 et que la RGPP fasse sentir ses effets. Et il ne faudrait pas qu'il y ait de grains de sable dans l'engrenage, comme un surcout de 1000 à 2000 m€ sur l'A400, que la structure de défaisance qui va devoir écouler les 1500-2300 m€ de 2k dash9 ne se les garde pas de trop sur les bras. Ou encore que les 800m€ nécessaire au développement du M88 à 90 kt ne soient pas imputés à la LPM au lieu des Emiratis (et entre nous ils seraient bien bêtes de le payer quand il y a plein de F-18 ou d'eurofighter à vendre). Le tout sur toile de fonds de crise économique majeure qui va forcément amener à réduire la voilure de nos dépenses militaires, puisque même les USA vont être amenés à le faire. Bref il serait judicieux de privilégier les rafales au détriment du PA2 et d'opter pour cette période intermédiaire pour une solution à l'Espagnole, c-a-d d'un navire amphibie pouvant temporairement accueillir des avions afin d'assurer la continuité de la présence à la mer d'un GAN. C'est l'option du BPE quand le Pde asturia est indisponible, même si le BPE est moins aviation capable que le pda. Pour en finir, on note que les USA ont 10 GAE pour 11 PA et nous 1 GAE pour 2 PA : chercher l'erreur...
  11. D'après Couteau Bégarie (je crois) les Français auraient refusé de prêter l'un de leurs 2 PA aux GiBi lors de la guerre des Malouines : ceci pour dire que le partage risquerait de n'être pas aisé...
  12. Propos maritimes : La deuxième plate-forme Le ministre de la Défense vient d'évoquer pour le futur deuxième porte-avions un coût situé entre 3,5 et quatre milliards d'euros. C'est nettement plus que les estimations précédentes, mais c'est prudent, et même peut-être pas assez : l'expérience montre que tous les grands programmes d'armement, dans tous les pays, souffrent de dépassements, parfois considérables. La décision serait prise après la publication du Livre blanc, dont la rédaction ne devrait pas être achevée avant l'été. Dans ce domaine, il faut être patient. C'est en effet en 1980, il y aura bientôt trente ans, qu'avait été prise la « décision » de construire deux porte-avions à propulsion nucléaire, dont le premier devait entrer en service vers 1990. En réalité, le Charles-de-Gaulle n'a été autorisé qu'en 1986, la mise en chantier a commencé en 1987, et il a été mis en service en 2001, la construction ayant donc duré quatorze ans. Il est vrai qu'elle a été retardée quatre fois pour des raisons budgétaires, et qu'elle a même failli être annulée. Les marins savent bien qu'un seul porte-avions, qui doit parfois rester indisponible pendant des mois, n'est pas satisfaisant. Malheureusement, un deuxième ne l'est pas non plus dans la mesure où il n'y a qu'un seul groupe aérien, dont le coût, rappelons-le, est du même ordre de grandeur que celui de la plate-forme. Que fera ce deuxième porte-avions quand le premier sera disponible ? La solution satisfaisante serait bien entendu d'avoir deux groupes aériens et trois plates-formes. Mais ce n'est qu'un rêve. Pierre Deloye - Le Télégramme http://www.kavadenn.com/nautisme/info/propos-maritimes-deuxieme-plate-forme/2454
  13. BPCs

    [Rafale] *archive*

    MaM avait annulé la version biplace M, pour cause d'économie budgétaires...
  14. BPCs

    Synthèse pp30

    Le document pdf est une sommation des différentes communications quand les auteurs ont fourni les diapo ce qui n'est pas le cas pour tout : notamment j'aurais bien aimé lire celle de STX france sur le cout des navires... Ceci dit je suis frappé du peu de place fait à l'aéronavale et au PA au travers de ces diapos : on voit bcp de BPC et un NS3 de DCNS et c'est tout...
  15. Surtout que depuis que l'on n'est plus autonome (en fait depuis Suez...et depuis la fin de l'indochine) On n'a que tout juste eu besoin du PA : En ce sens où la plupart des opérations menées dans les 30 dernières années à partir de celui-ci seraient maintenant faisable avec un combiné BPC avec (Tigre et UCAV type MQ-9 reaper) et sinon MdCn : ex : le bombardement de Balbeck , les mitraillages de colonnes du polissario (faites en fait par des Jag à bout de portée vu l'indisponibilité des PA) ; Seule les ops sur l'A-Stan étaient en limite de portée mais pour lesquelles la combinaison Tigre + Reaper auraient été questionnante. Pour le reste ce serait de participer à de la haute intensité où de toute façon nous ne serions pas tout seul : la probabilité d'ailleurs que l'on soit "autorisé" à faire une vraie guerre tout seul est peu probable (cf Suez) Et à ce moment, même avec 2 PA, on ne fait que grosso modo [(60 /(11x60 +11x24)] x100 des avions engagés soit à peine 7% des appareils engagés... (en se basant sur 11 carriers wings à 60 appareil et 11 LHD US à 24 appareils)
  16. BPCs

    Le F-35

    Exactement et c'est pourquoi, sur dedefensa et auspower, ils se palluchent grave. Ou alors il faudrait vraiment avoir un dépassement tel des couts du programme qui amènerait les exemplaires du F-35 à un coût proche du F-22 ce qui parait quand même difficile Même si en tant que challenger du F-35 on aimerait que le rapt sur l'industrie européenne capote.
  17. Je me demande si les Sorciers de Dassault ne seront pas tentés d'apporter quelques améliorations au Heron TP , quand on voit ce qu'ils ont apporté au drone Sperwer, en en modifiant la structure de l'aile. L'intérêt du Heron est d'être une plateforme qui va être rapidement "ucasée" par les Israeliens, dans les projets de surveillance antimissile. Et là l'intérêt de Dassault est d'être l'intégrateur des armes sous le Rafale : Cet Heron TP pourrait bien une fois les UAV de surveillance délivrés, devenir le premier UCAV français en attendant la soudure avec les Neurons Notamment la charge utile : 1tonne est proche de celle d'un Reaper, de même que le temps de loitering.
  18. BPCs

    Transformation A-330 en A-330 MRTT

    L'avantage de la solution A310 était de passer la ''bosse budgétaire''
  19. BPCs

    Le F-35

    Cela tire de tous les côtés :O : "Global Opposition Movement Challenges JSF Mar 4, 2009 By Bill Sweetman The first major military aircraft project of the Internet-era, the Joint Strike Fighter, faces a new opposition: a global, networked movement comprising independent and think-tank analysts, retired air force leaders and industry professionals and politicians concerned with the JSF’s financial and operational risks. All of them have immediate access to worldwide news, official reports and program briefings to an extent that was inconceivable when the F-22 was at the same stage of development a decade ago. There are a few main themes that run through many JSF critiques—some of which are complicated by classified information—but the F-35 Joint Program Office and Lockheed Martin have responded to many of them. •Risk: Critics assert that the JSF program represents a huge gamble. Alternative fighters—such as the F-22 and F/A-18—are due to go out of production soon. The JSF has yet to fly 100 sorties out of a 5,000-mission flight-test program. It is 30 months late, over budget and (depending on variant) 2,300-4,800 lb. above the empty weight goals set in 2002. Response: JSF leaders say the problems are behind them and the program has stayed largely on track since the redesign of 2004-05. Modeling, simulation and ground tests reduce the uncertainties of flight-testing, and the flight-test program has the resources—including more than 30 dedicated aircraft—to complete the program by mid-2014. •Cost: Independent analysts note that the real acquisition costs of JSF—a key factor in averting an F-22-like “death spiral” of declining numbers and increasing unit costs—are much higher than the less than $60 million quoted in many briefings (and by the Norwegian and Dutch governments). U.S. government numbers point to unit procurement costs in the $100-million range for the F-35A, in early years of high-rate production. Response: Program officials say the cost will remain stable, relative to the figures reported to customers, as long as decision-makers continue to support the program as planned and do not cut back on production. What seem to be unrealistically low numbers are legitimate “flyaway” costs, rather than full acquisition costs, and most real increases over the original cost goals are the result of historic factors. There are ongoing efforts to put together a fixed-price, multiyear, multinational binding contract for non-U.S. customers. •Capability: The “fifth-generation” tag applied to the JSF, critics and competitors assert, does not mean total superiority. The JSF cannot carry as many air-to-air missiles as a Eurofighter Typhoon or Sukhoi Su-35 and does not match their speed and agility. The weapons load is restricted in size and diversity unless the aircraft operates in non-stealth mode—in which case it lacks now-standard defenses, such as a towed decoy. Response: The JSF will operate in “stealth mode” in high-risk situations, giving it an advantage in air combat. The JSF pilot, with unique situational awareness, will have the option of declining close-quarters maneuvering combat while tracking and engaging adversaries from any direction. In surface-attack missions, accurate and lethal weapons and the JSF’s all-weather precision targeting system mean that fewer large munitions are needed. •Stealth: While the JSF’s radar cross-section characteristics are fixed by shape and construction, radar processing and networking are advancing according to Moore’s law, and new systems (like VHF radars) designed to detect stealth targets are under development. They may be even more effective against export-standard JSFs if those aircraft do not have the same stealth technology as U.S.-operated aircraft. Response: The JSF program declines to confirm or deny the existence of an “export stealth” configuration. “Anti-stealth” radars are unproven beyond the laboratory and test stage, and program officials are confident the JSF’s stealth technology will be good enough to “break the kill chain”—that is, prevent the defenses from consistently detecting, tracking and engaging the aircraft—for the life of the system. •Sovereignty: A combination of security (protecting stealth-related materials and the radar cross-section characteristics of the aircraft, embedded in the mission planning system) and a tightly controlled, automated logistics system will render overseas operators dependent on the U.S. Because the only stealth-compatible data link on the aircraft is the Harris Multifunction Advanced Data Link, too, the aircraft won’t be able to talk to export customers’ other systems while in emission-controlled mode. Response: Partners are happy enough with the level of sovereignty and national control provided, and the complex issue of connectivity with non-stealth assets is starting to be addressed. •Future airpower challenges: Supporters of the F-22, the Next Generation Bomber, the U.S. Navy Unmanned Combat Air Vehicle and other platforms worry that the size of the JSF program will crowd out other projects that may be critically needed in future conflicts. Many defense analysts envisage a future of Afghanistan-type counterinsurgency missions, deterrence against China, or both—but a stealthy, 600-mi.-range fighter is not central for either. Response: Affordable and stealthy, the JSF will still be a mainstay of future air forces and help promote coalitions. Funding of other programs is a budgetary issue for each customer. •Stovl: The value of the short-takeoff-and-vertical-landing F-35B, which will cost much more to buy and support than the F-35A but has inferior payload and range, is questionable. Stovl, as pioneered by the Harrier, made it possible to fly from short, unimproved air strips and small and multipurpose ships, but the much bigger JSF, with a hotter exhaust, will not be well-suited to those environments. Response: USMC Commandant Gen. James Conway asserts that the F-35B will be able to operate from unimproved, hot-and-high airfields unsuited for conventional aircraft. The U.K., however, has deliberately maintained the option to switch to the F-35C in the design of its new carriers."
  20. BPCs

    F-22

    Mar 4, 2009 By David A. Fulghum Following the Obama Administration’s decision this week not to certify further F-22 production until April at the earliest, departing Pentagon acquisition chief John Young signed an acquisition decision memorandum March 3 for Lockheed martin’s stealth fighter program. It continues what is described by Pentagon specialists with insight into the program as Young’s stance of “keeping all the President’s options open.” Those options include: stopping F-22 production at 183 and using congressionally approved long-lead money to shut down the production line; releasing long-lead money to start building the next 20 aircraft (184-203); or approving production of another 60 (for a total of 243) fighters as desired by the U.S. Air Force. Air Force officials tell Aviation Week that they are finding diminished support for all the additional 60 fighters they have hoped for and expect the Obama White House to approve production of another 20 while deferring additional production decisions for another year. That would mean the long-lead money would not be used to shut down the line. The Air Force’s program office forwarded the memo to Lockheed Martin March 4. Acquisition specialists are now studying its implications. There seems to be a standoff between the Pentagon and Lockheed Martin with the company raising the specter of shutdown costs that are higher than buying additional aircraft while the Office of the Secretary of Defense demanding lower units costs if there is to be any chance of additional purchases.
  21. On peut se demander si la présence du Rotterdam à Toulon n'est qu'un effet de Hasard ;) Sinon c'est une bonne nouvelle d'imaginer que les plus grosse version puissent intéresser : Les concepts novateurs terminent trop souvent à la trappe (je pense au NS3 de DCNS par exemple) Or je flashe sur la version MPV qui pourrait faire une vraie remplaçante des frégates de surveillance mais aussi des Batral.
  22. Je poste sur ce topic, vu que vers la page 24 on avait beaucoup parlé de missile de croisière de transition vers un UCAV Or j'ai trouvé le projet suivant qui colle pile poil : "MINION UCAV / HUNTER-KILLER / * The excitement over UCAVs is certainly welcome given the decades it took for the idea to catch on, but on the other hand there is a certain exasperation in watching the cost and complexity of the concept spiral upward while the schedule slips out. Of course, the armed services involved realize this perfectly well, and the US UCAV effort has branched off in several directions to meet immediate needs. Although the J-UCAS concept is a long ways from the early idea of a [glow=red,2,300]"reusable cruise missile",[/glow] that notion is apparently alive and well. In September 2003, an announcement was made that Lockheed Martin's famous "Skunk Works" was developing an air-launched UCAV named the "Minion". Details released describe it as having a launch weight of 3,400 kilograms (7,500 pounds) and able to carry a reconnaissance payload, a jammer system, a high-power microwave weapon, or four 100 kilogram (220 pound) GPS-guided small-diameter bombs. It could also be used as a decoy, though it would need to have radar-enhancement payload since it is described as extremely stealthy. Range was given as up to 1,850 kilometers (1,000 nautical miles). Two would be carried into combat by a single strike fighter such as a Lockheed Martin F/A-22 Raptor, with one under each wing, and launched from standoff distances to attack heavily defended targets. In practice, two strike fighters are expected to be used, launching four Minions, with the pilot of one aircraft watching out for threats while the other directed the UCAVs over a line-of-sight communications link. After the mission, the Minions would return to base and land conventionally on retractable landing gear. Pictures showed the Minion to have a certain broad resemblance to various air-launched cruise missiles, such as the Anglo-French Matra-BAe Dynamics APACHE / Storm Shadow or the US AGM-158A Joint Air to Surface Standoff Missile (JASSM), which is also built by Lockheed Martin and may have some degree of commonality with the Minion. The picture showed the Minion to have a spikelike, square-sided fuselage, with pop-out wings and twin tailfins, with the engine inlet just forward of the tailfins and the exhaust just behind the tailfins. Both the intake and the exhaust are shielded by triangular covers. Despite the stealthiness of the Minion, Lockheed Martin is designing it for low cost, to be substantially cheaper than the $400,000 USD JASSM. Rumors about a Skunk Works project involving a cruise-missile-like UCAV had been circulating for a year or two before the announcement. There were also very vague and unconfirmed rumors that the Minion was used in an operational evaluation during the invasion of Iraq in the spring of 2003. There has been little or no mention of the Minion since that time. It is unclear if the program has been abandoned, or if it has just been placed under deeper cover. * Somewhat more visibly, in the summer of 2004, the Air Force, in need of a less expensive short-term UCAV solution with a focus on endurance, issued a request for a "Hunter-Killer" UCAV. Specifications included: * An operating altitude of 10.7 to 15.25 kilometers (35,000 to 50,000 feet). * Endurance from 16 to 30 hours or more carrying a warload of 1,360 kilograms (3,000 pounds), in specific six 225 kilogram (500 pound) guided bombs. * Fit of SAR/MTI or EO/IR sensors and laser target designator. Of course, the Hunter-Killer would be capable of performing surveillance or reconnaissance missions along with its active combat role. Cost specifications were given as $10 million USD per aircraft and $30 million USD per "system", with each system including two aircraft and the necessary support kit. The Hunter-Killer program attracted considerable interest and a number of interesting proposals. Ceci dit j'aurais aussi pu poster sur le Topic "Bombardier lourd" puisque l'on assiste là aussi à une version "porteur" de l'UCAV cette fois. Surtout qu'il n'est pas clair que le Minion serait lançable d'un navire...
  23. Les UCAV sont déjà parmi nous Mr Vincent :lol: notamment sans attendre la next génération des X-47 et Neuron avec notamment la version Mariner duMQ-9 Reaper : Le Mariner est un aérodyne multi missions, dérivé du Predator B et optimisé pour la la reconnaissance maritime et de frontière de longue durée à haute altitude. En raison de sa nouvelle configuration, il peut réaliser des missions ISR en temps réel pendant une durée pouvant aller jusqu’à 49 heures. En plus de 800 livres de carburant en interne, le Mariner peut emporter jusqu’à 3800 livres en points externes. Il dispose d’un radar de surveillance maritime et terrestre Raytheon SeaVue (SV) Ce radar multi-modes est capable d’effectuer des mappings SAR et de poursuivre plusieurs objectifs simultanément,même de petits objectifs dans des conditions de mer difficile. A titre d’exemple, le radar peut détecter un homme dans un radeau de survie à 30 miles nautiques et un super tanker à 230 miles nautiques de distance. Navy version General Atomics designed a naval version of the Reaper, named the "Mariner", for the U.S. Navy's Broad Area Maritime Surveillance (BAMS) program requirements. The design would have an increased fuel capacity in order to have an endurance of up to 49 hours. Proposed variations on the ultimate design included one designed for carrier operations with folding wings for carrier storage, shorter and more rugged landing gear, an arresting hook, cut-down or eliminated ventral flight surfaces and six stores pylons with a total load of 3,000 pounds (1,360 kilograms). The concept was scrapped when the Navy Northrop Grumman RQ-4N was announced the BAMS winner. mais que l'on voit réapparaitre comme "compagnon possible du -8 poseidon Un Mariner sur BPC (mais je n'ai pas trouvé les take off run...qui seraient autour de 2000 pieds pour un MQ-1?) simplifierait la question de la vulnérabilité intrinsèque du BPC en lui permettant d'agir à plus longue distance de la côte qu'un GAN vu la très longue autonomie de l'appareil : le trajet aller retour n'amputerait que modestement sur les 49 h d'autonomie. Ou plus probabablement vu l'implication de Dassault ou d'EADS sur cette plateforme : un HERON TP Armé : "The Eitan, also known as Heron TP, was publicly unveiled at a media event at Tel Nof Airbase on 8 October 2007.[6][7] The sensors fitted on this occasion included a synthetic aperture radar (SAR) mounted in a pod on the aircraft's belly, a multi-sensor payload carried under its nose, and two conformal signals intelligence (SIGINT) arrays.[6] Additional sensors may be carried at the ends of the tail booms.[7] Analysis of the configuration presented to the media suggests an aircraft intended for deep penetration roles and on-board SIGINT processing capability.[6] However, at the media event an IAF official stated that IAI and the IAF had tested "all kinds of payloads, in all kinds of configuration schemes."[7] Apart from its intelligence, surveillance, target acquisition, and reconnaissance (ISTAR) role, the Eitan may also be used for aerial refuelling, and armed roles including missile defence[4][2] and long-range strategic strike[8] Or le Heron (je ne sais pas pour le HERON TP) a une distance de décollage assez compatible avec cette plateforme (même si les UAV à aile fixe ne sont plus testés actuellement au profit des VTOL : " The Heron may be equipped with RATO bottles to shorten the takeoff length by 50%, and can use arrestor wires for a shorter landing zone. Takeoff/Landing : 715m/495m Hardened Runway (pour mémoire les spec du Heron TP : Specifications: IAI Malat Heron TP (Heron 2 / Eitan) UAV Performance: Maximum altitude: 45,000 feet (13,716 m) [8] Endurance: 36 hours, range: BLOS (beyond-line-of-sight) Powerplant: 1,200 hp (895 kW) P&WC PT6A-67 turboprop driving a 2.8 m diameter, 4-blade propeller Dimensions: Length overall: 14.0 m, wing span: 26.0 m Weights: MTOW: 4,650 kg, typical payload: 1,000 kg)
  24. Oui mais cela n'envisage pas le problème du transfert d'un appareil confortable vers un cockpit inconfortable
  25. J'avais en tête que les jag étaîent restés 2 mn au-dessus du Liban mais sur le nombre de bombes je confondais avec le raid vulcain sur les malouines. Or le mitraillage des colonnes du polisario par les jag à partir de dakar dans un autre cas d'Indisponibilité de PA fut également fait au 30mm grace aux bidons.
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